17/07/2015 Sources : État-major des armées
Ils sont peu nombreux, mais ils sont indispensables. Sans eux, sans elle, les avions ne voleraient pas, les bateaux resteraient à quai et les véhicules terrestres dans les box. Ce sont les techniciens du Service des essences des armées (SEA), au service des aviateurs, des marins et des terriens de l'opération Chammal.
Ils sont une dizaine pour s'occuper des Rafale, des Mirage 2000, de l'Atlantique 2, des navires qui arrivent à quai ou des engins spécialisés au sol qui nécessitent l'intervention d'un avitailleur spécialiste. Leur chef, l'ingénieur principal Cyrille, gère ainsi un théâtre qui a la particularité de devoir prendre en compte trois milieux. "A chaque opex ses spécificités, déclare-t-il, ici nous avitaillons le ciel, la terre et la mer".
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