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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:50
Photos : Malek Azoug – Mil.be

Photos : Malek Azoug – Mil.be

 

25/03/2015 MIL.be

 

Ce mardi 24 mars, le ministre de la Défense Steven Vandeput a rendu visite au détachement du 1/3 Bataillon de Lanciers au camp de Sennelager en Allemagne. Cette unité de combat de Marche-en-Famenne s’entraîne en vue de sa mission au Mali, prévue plus tard dans l’année.

 

Le ministre voulait avant tout découvrir la réalité et l’importance des entraînements à l’étranger. Le camp d’entraînement allemand de Sennelager a une superficie d’environ 120 km². Les militaires peuvent y organiser des exercices de grande envergure. Ils ont également la possibilité de s’entraîner de manière dynamique avec leur matériel dans des conditions presque réelles. Pour les militaires, cet entraînement représente une condition préalable afin de pouvoir assurer la sécurité lors de leurs missions à l’étranger.

 

Le ministre Vandeput a assisté à une démonstration réaliste et a pu faire ensuite connaissance avec les véhicules du bataillon. Selon le ministre, chaque engagement à l’étranger doit satisfaire à trois conditions : une mission clairement définie, avec des risques calculés qui permettent d’assurer la sécurité des militaires, et qui représente également une plus-value pour la Défense.

 

 

Photos : Malek Azoug – Mil.bePhotos : Malek Azoug – Mil.be
Photos : Malek Azoug – Mil.bePhotos : Malek Azoug – Mil.bePhotos : Malek Azoug – Mil.be
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Photos : Malek Azoug – Mil.be

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 18:50
photo Jürgen Braekevelt –MIL.be

photo Jürgen Braekevelt –MIL.be

 

23/03/2015 Victoria Timmermans & Virginie Flawinne – MIL.be

 

Du 16 au 26 mars, le 1/3 Bataillon de Lanciers a pris ses quartiers dans le camp militaire de Sennelager, en Allemagne. Parmi ces militaires se trouvent ceux du détachement qui assurera la Force Protection de l’EUTM (European Union Training Mission) au Mali. Afin de s’entraîner dans les meilleures conditions, ses membres ont notamment réalisé un exercice de grande envergure de 48 heures sur la plaine de Sennelager.

 

Mi-mai, le détachement composé d’une septantaine de militaires s’envolera pour le Mali. Il y assurera la protection des trainers, les instructeurs de différentes nations européennes qui forment les forces armées maliennes. « Nous devrons également défendre le centre de formation de Koulikoro et pouvoir fournir une QRF, Quick Reaction Force, à l’ensemble du sud du pays » précise le capitaine Matthieu De Keyzer, chef du détachement.

 

Afin de s’y préparer au mieux, les militaires ont effectué une série d’escortes et de patrouilles dans le cadre d’un exercice bataillon de 48 heures. Quelques incidents tels que des routes bloquées, des accidents de la circulation, des manifestations, des vols et bien d’autres encore ont pimenté cet entraînement particulièrement condensé. « Dans le cadre de l’exercice, le détachement subit des incidents toutes les deux heures environ. En réalité, cela ne devrait arriver qu’une à deux fois par semaine » ajoute Matthieu.

 

photo Jürgen Braekevelt –MIL.bephoto Jürgen Braekevelt –MIL.be
photo Jürgen Braekevelt –MIL.be
photo Jürgen Braekevelt –MIL.bephoto Jürgen Braekevelt –MIL.bephoto Jürgen Braekevelt –MIL.be

photo Jürgen Braekevelt –MIL.be

 

Le 1/3 Bataillon de Lanciers est, en effet, un bataillon professionnel qui a réussi l’évaluation OTAN haut la main l’année dernière. « J’en suis ressorti avec du personnel très bien formé d’une part. D’autre part, la perspective de cette mission leur donne une motivation nouvelle et une envie d’évoluer davantage », affirme-t-il.

 

Pourtant la mission EUTM au Mali n’est pas sans risque. Le récent attentat dans la capitale de Bamako en est d’ailleurs la preuve. Mais les hommes du détachement en ont pleinement conscience. « Par rapport aux missions précédentes, celle-ci est différente. En Afghanistan, par exemple, nous nous y rendions en sachant que le pays était en flamme et qu’il brûlait toujours. Le Mali est un baril de poudre où la moindre étincelle peut tout faire exploser » compare l’adjudant Benoît Laloux.

 

Cette métaphore traduit bien les risques qu’encoure le détachement. Un détachement particulièrement jeune qui se réjouit toutefois de cette mission. Pour 75% de son personnel, il s’agira de la première à l’étranger. Une consécration après des mois au service de la Défense, voire parfois des années. « Cela fera plaisir au personnel » affirme le lieutenant Jérôme Bronckart. « Nous avons également le devoir de montrer l’exemple à l’armée malienne et de valoriser notre professionnalisme aux yeux des autres nations présentes », ajoute-t-il.

 

Le détachement Mali s’est entraîné, s’entraîne encore et se sent fin prêt à relever cette mission avec brio. Il assurera la sécurité, servira d’exemple et représentera la Belgique en promouvant sa Défense tout au long des quatre mois de mission.

Vidéo : Erwin Ceuppens

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 12:50
photo Sedeyn Ritchie - Mil.be

photo Sedeyn Ritchie - Mil.be

 

13.02.2015 Liesbeth Bardyn ––  MIL.be

 

Le Premier ministre Charles Michel a remercié les militaires qui ont effectué des tâches de surveillance et de sécurité pendant un mois. Le vendredi 13 février, il se rendait dans l'après-midi à Marche-en-Famenne, accompagné du ministre de la Défense Steven Vandeput, afin de rencontrer les militaires des trois bataillons qui sécurisaient des lieux cruciaux dans notre capitale.

 

Il y a un mois, le gouvernement fédéral décidait de déployer des militaires pour des missions de surveillance. Ceux-ci renforçaient la police afin qu'elle puisse se concentrer sur d'autres tâches. Depuis, des militaires sont présents aux synagogues, aux palais de justice et à d'autres endroits susceptibles d'être la cible de terroristes.

 

Répartis à Anvers, Bruxelles, Huy et Verviers, trois cents militaires sont répartis de jour comme de nuit. L'un d'eux est sergent au Bataillon 12e de Ligne Prince Léopold - 13e de Ligne. « J'étais à l'intérieur du Palais de justice de Verviers en tant que chef de section, » raconte-t-il. « C'était une expérience très positive parce que nous travaillons dans notre propre pays. Être parmi la population locale et faire son travail est complétement différent que surveiller un poste de garde en Afghanistan ou au Mali. »

 

Photos: Ritchie SedeynPhotos: Ritchie SedeynPhotos: Ritchie Sedeyn
Photos: Ritchie SedeynPhotos: Ritchie Sedeyn

Photos: Ritchie Sedeyn

Depuis le 17 janvier, trois bataillons d'infanterie se sont relayés : le Bataillon de Chasseurs Ardennais, le Bataillon 12e de Ligne Prince Léopold - 13e de Ligne et le 1/3 Bataillon de Lanciers. Le Premier ministre Charles Michel a vivement exprimé sa gratitude. « J'aimerais profiter de cette occasion pour vous remercier de votre engagement » a-t-il déclaré, lors de son discours, aux soldats rassemblés. « Vous défendez des valeurs de liberté, de tolérance et de respect. »

 

Les militaires seront dans les rues jusqu'au 23 février prochain. Ensuite l'Organe de Coordination pour l'Analyse de la Menace (OCAM) examinera s'il faudra réévaluer son niveau. Mais tant que celle-ci reste au niveau trois, notre pays pourra compter sur l'engagement des militaires belges.

 

Vidéo: DG COM

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7 février 2015 6 07 /02 /février /2015 07:50
Les Lanciers prennent la relève des Chasseurs Ardennais

 

05/02/2015 Victoria Timmermans – MIL.be

 

Depuis ce vendredi 30 janvier, les bérets noirs des Lanciers ont remplacé les bérets verts du Bataillon de Chasseurs Ardennais dans les rues de Bruxelles.

 

Quelque 130 Lanciers sont déployés à divers endroits clés de Bruxelles. Leur mission de soutien à la police est la même que celle remplie par leurs prédécesseurs. Ils doivent surveiller, de jour et parfois même de nuit, des lieux qui pourraient être la cible d'une attaque terroriste.

 

Pour cette opération, les militaires travaillent en concertation avec les policiers. Le lieutenant-colonel Hoggart, chef de corps du 1/3 Bataillon de Lanciers, explique que ses hommes représentent un appui pour la police fédérale et locale. « Pour nous, il s'agit uniquement d'une mission statique. C'est la police qui s'occupe des patrouilles et interceptions » précise-t-il. Cependant ce sont bien les militaires qui sont présents dans la rue et qui doivent contacter la police en cas de menace.

 

Une mission de sécurisation que les Lanciers effectueront jusqu'au 9 février prochain. La suite des événements n'est pas encore déterminée. Les responsables doivent se concerter pour savoir si le dispositif de sécurité sera reconduit. Ils devront également réévaluer le niveau de la menace terroriste dans notre pays, actuellement élevé au niveau 3 sur une échelle de 4. Les Lanciers sont pourtant d'ores et déjà prêts à assurer la sécurité jusqu'au 14 février.

 

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 16:50
Le 1/3 Bataillon Lanciers attaque les Alpes

 

01.07.2014 by Belgian Defense

 

Le quotidien du 1/3 Bataillon Lanciers de Marche-en-Famenne a été quelque peu chamboulé la semaine dernière. Nonante d'entre eux ont pris la direction de Flaine, en Haute-Savoie non loin d'Annecy. Dirigés par le 27 Bataillon Chasseurs Alpins français, ils ont affronté les pentes savoyardes du 24 au 26 juin 2014.

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