16 juin 2015
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15/06/2015 Gabriel Boyer - Armée de Terre
Le 2e régiment d’infanterie de marine (2e RIMa) du Mans a organisé un exercice tactique de préparation opérationnelle dans son département du 8 au 10 juin 2015. Pendant ces 72h, trois compagnies du régiment ont été évaluées.
350 marsouins, 40 véhicules (VBCI VPC, PPLD, VAB,…), 2 sections du 6e régiment de génie, 2 hélicoptères Gazelle du 3e régiment d’hélicoptères de combat et un NH90 du 1er régiment d’hélicoptères de combat ont pris part à cet exercice en terrain libre. Le but était d’évaluer toutes les unités du 2e RIMa susceptibles d’être projetées à la fin de l’année 2015.Malgré les opérations intérieures auxquelles prennent part les marsouins, un haut niveau d’entraînement a été maintenu au cours de ces derniers mois. L’exercice a permis « de valider une année de transformation du régiment » comme le souligne le colonel Georgin, chef de corps du régiment.
D’Auvours à Thorée-les-Pins, en passant par Sillé-le-Guillaume et la Flèche, les marsouins du 2e RIMa ont sillonné les routes à bord de leurs VBCI pendant ces 3 jours. Aptes à manœuvrer et combattre en zone urbaine et dans la campagne sarthoise, leurs savoir-faire ont été testés sur des actions spécifiques comme le contrôle de zone, la reconnaissance d’axes, la coopération avec les hélicoptères de combat, l’escorte de convois, l’évacuation de ressortissants, le secourisme et le soutien logistique.
Un passage par le centre d’entraînement au combat début juillet achèvera un cycle de formation et d’évaluation pour les soldats du 2e RIMa, avant leurs prochaines échéances opérationnelles du second semestre 2015.
13 avril 2015
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09/04/2015 SCH Beltran - armée de Terre
Du 23 au 25 mars, la 1re compagnie de combat du 19e régiment du génie (19e RG) de Besançon a organisé un raid de fin de stage, dans le Haut Doubs.
A cette occasion, la coopération de deux hélicoptères Puma du 3e régiment d’hélicoptères de combat (3e RHC) d’Etain a permis d’enrichir l’exercice. Cette manœuvre d’ampleur conclut la formation générale élémentaire et de spécialité (FGE et FSE) des futurs gradés du régiment. Durant la synthèse, les cinquante stagiaires ont parcouru plus de 40 km dans les massifs forestiers de la région et ont été confronté à divers ateliers d’évaluation.
Le 19e RG, implanté à Besançon depuis 1964, participe au combat de contact dans ses missions à l’étranger. Il fournit un appui à la contre mobilité (minage et destruction) à la mobilité (ouverture d’itinéraires et franchissement) et au déploiement lourd (réalisation de chantiers d’envergure).
9 mars 2015
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9 Mars 2015 Source Marine Nationale
Le 8 mars 2015, les équipages du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT) embarqué à bord du Bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude depuis le départ de la mission Jeanne d’Arc, mettent à profit leurs premiers jours de navigation en mer Méditerranée pour la qualification à l’appontage de nuit.
Dans l’objectif d’être rapidement et totalement opérationnels, de jour comme de nuit, les équipages du DETALAT, déjà qualifiés à l’appontage de jour, enchainent les vols crépusculaires et nocturnes durant les premiers jours de mer du groupe amphibie Jeanne d’Arc. Les séquences de touch and go (TAG) sur le BPC Dixmude ainsi que sur la frégate Aconit leur permettront de valider rapidement leurs qualifications à l’appontage de nuit.
C’est également l’occasion pour eux de se familiariser à l’environnement maritime et de travailler avec les équipages du Dixmude et de l’Aconit pour la préparation et la conduite de leurs missions.
Le détachement, composé de 40 soldats, est essentiellement issu du 3ème Régiment d’hélicoptères et de combat (RHC) d’Etain. Il accueille par ailleurs deux membres d’équipage du 1er RHC de Phalsbourg. Le BPC Dixmude met en oeuvre à son bord 2 hélicoptères de manœuvre et d’assaut Puma ainsi que 2 hélicoptères de reconnaissance et d’attaque Gazelle.
Avec le détachement de la flottille amphibie (25 marins, 1 engin de débarquement rapide (EDA-R) et 2 chalands de transport de matériel (CTM)), le groupement aéromobile constitue la force de réaction embarquée et fait partie intégrante du groupe amphibie constitué pour la mission Jeanne d’Arc.
12 février 2015
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12 Février 2015 Source : Marine nationale
Du 9 au 29 janvier 2015, l’équipage du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude a effectué un stage de mise en condition opérationnelle (MECO) pour recouvrer ses qualifications à la veille de la prochaine mission « Jeanne d’Arc », laquelle verra le bâtiment accueillir jusqu’à 149 officiers-élèves.
Sous l’œil attentif des entraîneurs de la Force d’action navale, le bord a enchaîné les épreuves : préparation physique et mentale du combattant, exercice d’intrusion, postes de combat, exercices de sécurité, de tirs, opération d’évacuation de ressortissants, ravitaillements à la mer et visite d’un bâtiment suspecté de trafic.
Une journée complète aura été consacrée aux ravitaillements à la mer menée avec le concours du bâtiment de commandement et de ravitaillement Marne. 300 mètres cubes de gasoil ont ainsi été délivrés. Sur la plate-forme, 1 hélicoptère Puma et 2 hélicoptères Gazelle du 3e RHC de l’aviation légère de l’armée de Terre ont multiplié les exercices de jour et de nuit.
Le programme d’entraînement a également associé le 519e GTM et la flottille amphibie pour embarquer de nombreux véhicules, deux chalands de transport de matériel et un engin de débarquement amphibie rapide. Ces derniers ont notamment été sollicités pour effectuer l’évacuation de ressortissants. L’exercice a été conduit avec réalisme grâce à la participation de 100 jeunes issus de différentes Préparation Militaire et Marine.
Enfin, les entraînements au tir 12,7 et 20 mm ont été l’occasion pour le bord d’éprouver avec réussite les tirs sur cible remorquée, une première pour le bâtiment.
30 novembre 2014
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28/11/2014 par Frédéric Lert- Air & Cosmos
L’exercice Aozou qui a commencé cette semaine dans la région d’Etain (sur les terres du 3ème RHC) voit la mise en œuvre d’une chaîne d’information entièrement numérisée. Le pion de base, la Gazelle équipée Sitalat (Système d’Information Terminal de l’Alat) sera reliée au SIR (Système d’Information Régimentaire) directement ou bien en passant par le relai d’un HMPC Valorisé. Un CMD3D (Centre de Management de la Défense dans la 3ème Dimension) permettra en outre d’étendre la « bulle » numérisée à l’artillerie, dans un contexte interarmes. Le 3ème RHC, qui dirige la manœuvre, est aujourd’hui leader dans l’expérimentation du Sitalat. Le régiment a reçu son premier appareil équipé en 2009 et il dispose à ce jour de six Gazelle Viviane dotée d’une version présérie du Sitalat. Deux seront donc engagées dans l’exercice tandis que les deux déployées en RCA depuis mai dernier sont en cours de relève par les cinquième et sixième exemplaires disponibles. Il est prévu que le 3ème RHC reçoive sa première Gazelle Viviane avec le Sitalat au standard série dans les premières semaines de 2015.
Un premier emploi opérationnel avait été fait en mai 2013 pendant l’opération Atalante, lorsque les Gazelle embarquées sur le BPC avaient transmis vers le navire des comptes-rendus immédiats de leurs observations côtières. On indique au 3ème RHC que l’emploi en RCA confirme tout l’intérêt du système embarqué sur les Viviane : « Le Sitalat nous permet de trouver très rapidement au viseur des objectifs en zone urbaine explique le capitaine Romain, chef de mission. Nous pouvons également extraire des coordonnées géographiques très précises d’un objectif donné et les transmettre immédiatement aux troupes au sol ». L’emploi de « BTR » (boitier relais transmission) par les troupes au sol permet également de pointer précisément leur position sur les cartes numériques, limitant ainsi les risques de tirs fratricides. Le Sitalat est également apprécié pour sa rusticité, le système ayant jusqu’à présent très bien résisté aux températures élevées et à l’humidité centrafricaine…
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23/10/2014 A. Herlin - Armée de Terre
L’exercice CATAMARAN se poursuit sur terre dans la région de Fréjus. Dans le cadre d’un scénario, la force débarquée a pour mission de rétablir l’intégrité territoriale d’un pays ami.
Après le débarquement de la force dans la nuit du 19 au 20 octobre sur les plages de Fréjus, environ 900 militaires issus de la 9e brigade d’infanterie de marine (9e BIMa), des 3e et 5e régiments d’hélicoptère de combat (RHC) et du 515e régiment du train (515e RT) participent à la manœuvre interarmes. Du 20 au 23 octobre 2014, différents objectifs tactiques ont été remplis : prise d’assaut d’une centrale électrique, sécurisation d’axes routiers et saisie d’un aérodrome… Le raid blindé atteindra le camp de Fréjus le 26 octobre 2014.
Ces missions, menées dans le cadre d’un assaut amphibie réalisé avec le concours de la marine Nationale, permettent aux unités de s’entraîner dans un environnement opérationnel interarmées et interarmes de grande ampleur.
Retrouvez nos reportages vidéo sur l’exercice la semaine prochaine sur tous nos supports.
11 juin 2014
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11/06/2014 Sources : EMA
L’adjudant Laurent est chef prévisionniste au 3e régiment d’hélicoptères de combat d’Etain depuis 2010. En tant que météorologue, il est une aide à la décision pour le commandement. Il est également en charge de la protection aéronautique pour les équipages : il briefe les commandants de bord des aéronefs sur les conditions météo au cours de leur vol, du décollage à l’atterrissage.
En opération, il observe tout ce qui peut avoir un impact sur les forces aéromobiles et terrestres. Arrivé sur le théâtre le 16 avril 2014 pour son deuxième mandat Serval à Gao, il travaille essentiellement au profit des unités déployées dans le Nord-Mali.
Equipé d’une station portable de recueil et d’information météo, d’un Synergie nomade et d’une station d’observation avec des capteurs de vent, de température, de pression et de pluviométrie, l’adjudant Laurent est également en liaison avec le centre interarmées de soutien météo-océanographique des forces (CISMF) de Toulouse qui lui assure une veille météo. « On a progressé en matière de prévision depuis la fin des années 2000 avec la création du CISMF, nous avons un rôle important dans la prise de certaines décisions en opération. Heureusement, j’ai des contacts avec mon homologue à Bamako. »
Evoluant selon des mécanismes très différents de ceux connus sous les latitudes européennes, le climat tropical fait encore l’objet de recherches et s’avère compliqué sans formation spécifique. « L’échelle spatio-temporelle est beaucoup plus importante sous les tropiques, on devine les risques mais il est difficile de faire des prévisions précises. »
Il n’y a pas beaucoup de réseau d’observation au Nord-Mali, c’est pourquoi suite à un épisode pluvieux assez important dans la nuit du 9 au 10 mai, la radio malienne de l’ORTM (Office de radiodiffusion télévision du Mali) l’a sollicité pour connaître les caractéristiques de cet événement. « Cette année le phénomène était très étendu, des monts Hombori jusqu’à l’Adrar des Ifoghas, pour la partie Nord, avec beaucoup de pluie : 11,6 mm à Gao en 6h de temps et j’imagine que cela a pu être plus ailleurs. D’une manière générale, les premières grosses pluies arrivent au mois de mai. C’est pourtant tous les ans la même chose ici, mais quand il s’agit de météo, au Mali comme ailleurs, les gens ont la mémoire courte »
2 juin 2014
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Raid commandos pour le 3e RG / Crédits : 3e RG
28/05/2014 J. SEVERIN Armée de Terre
Du 26 au 28 mai 2014, le 3e régiment du génie a réalisé un exercice d’aguerrissement, entre Charleville-Mézières et Sedan.
600 acteurs sur le terrain, répartis en 3 compagnies de combat, appui, plastron et PC régimentaire. Deux aéronefs « gazelle » du 3e régiment d’hélicoptères de combat d’Étain, ont également été réquisitionnés pour l’occasion.
L’exercice WOINIC II fait suite à celui déjà réalisé en 2013, dans l’optique d’aguerrir les combattants. Lors de la précédente édition, les sapeurs devaient effectuer une marche d’exfiltration de 80 kilomètres, en groupes, sans se faire détecter par l’ennemi.
Cette année, l’exercice est joué au niveau compagnie et s’appuie sur la mise en œuvre des techniques commandos. C’est en rase campagne que se situaient les différents objectifs : prendre un pont, récupérer un village aux mains de l’ennemi et lui tendre une embuscade.
Un exercice d’enseignement complet, puisque celui-ci a nécessité le déploiement des composantes opérationnelles, logistiques, sanitaires, mais aussi de renseignements.
Un entraînement dans le cadre de la préparation aux futures projections du régiment, en République Centrafricaine, à Djibouti, en République de Côte d’Ivoire ou encore en Polynésie Française.
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30/04/2014 Sources : EMA
Le 24 avril 2014, sur le camp M’Poko, une équipe de techniciens de l’aviation légère de l’armée de terre (ALAT) du sous-groupement aéromobile (SGAM) a effectué le contrôle technique d’un hélicoptère Puma.
Cette opération de type « 300 heures » (appelée ainsi car elle est réalisée toutes les 300 heures de vol) est conséquente car elle demande l’entretien de toutes les parties tournantes de l’aéronef (rotor, moteurs). Par le contrôle de chaque élément elle garantit la sécurité des vols. « Cette opération de maintenance est la plus lourde qu’on puisse réaliser sur le théâtre, précise le lieutenant Fabien, elle demande environ une semaine d’entretien mécanique. Demain nous procèderons aux vols techniques».
En France, ce type d’entretien est plus long. Mais sur un théâtre d’opérations les impératifs opérationnels ne permettent pas de prendre ces délais, c’est pourquoi une équipe se consacre à cette mission à temps complet. Cinq personnes travaillent sur l’aéronef : deux « avio » (avionique, radiocommunication et navigation) et trois « cell-mot » (cellule et moteur). Il faut y associer les techniciens sans qui l’équipe ne pourrait travailler : une équipe d’approvisionneurs, chargée entre autres de fournir les pièces de rechange, un chef d’atelier, un contrôleur, qui s’assure que les opérations de maintenance sont faites dans les règles de l’art, et un documentaliste, qui tient à jour le « carnet d’entretien » de l’aéronef qui le suit tout au long de son emploi dans les forces. Lorsque l’opération de maintenance est terminée, le lieutenant Fabien signe l’approbation pour remise en service. « Ma signature libère la machine et je peux ensuite la rendre au pilote ».
Affectés au 3e régiment d’hélicoptères de combat à Etain, les vingt-cinq mécanos travaillent chaque jour à la maintenance des six hélicoptères Puma et des deux Gazelle de l’armée de terre qui composent le SGAM de l’opération Sangaris. Ces techniciens sont un rouage essentiel dans le maintien en condition opérationnelle des capacités aéromobiles de la force.
Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5600 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.
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28/01/2014 ASP M. FOUQUET
Du 10 au 16 janvier 2014, au large de Toulon, les militaires du 3e régiment d’hélicoptères de combat (3e RHC) et de la division aéronautique du commandement des forces terrestres (CFT) ont participé ensemble, à l’exercice Jokari sur le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre de la Marine nationale.
Cette activité a fait appel à des savoir-faire mis en œuvre durant l’opération HARMATTAN, menée par l’armée française en Lybie, en 2011.
Pour cet exercice, un détachement de 10 hélicoptères de combat a embarqué sur le BPC. La manœuvre s’est déroulée de manière progressive, s’achevant sur la réalisation du procédé de saturation du pont d’envol, point d’orgue de la semaine.
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20.12.2013 Armée de Terre
Susceptible d’être projeté au Mali et en République Centrafricaine, le groupement commando montagne de la 27e brigade d’infanterie de montagne (GCM 27) s’entraîne une dernière fois.
Ce sont ces commandos de l’urgence, qui assurent, sur le terrain des théâtres d’opérations extérieures, la sécurité des équipages au sol, celle des hélicoptères en vol et accomplissent des actions offensives au profit des forces armées pour intercepter des terroristes.
Leur spécialité ? Intervenir, en tous temps en tous lieux, en zone urbaine, montagneuse, boisée, en conditions climatiques extrêmes, sans que l’hélicoptère ne se pose. Une mission sensible qui requiert des qualités exceptionnelles : réactivité, rapidité, discrétion. Ces hommes surentraînés sont capables d’être déployés très rapidement d’un point à l’autre, quels que soient les conditions et le terrain, en agissant par surprise. Ils s’aguerrissent à la descente en corde lisse, en rappel. Si la corde lisse favorise une descente plus rapide, la descente en rappel permet d’agir à plus de 50 mètres de haut. La grappe extrait 12 personnes en même temps en moins de deux minutes pendant que l’hélicoptère vole à 150 km/heure. Sensations fortes assurées ! Alors que l’équipage du Puma veille avec une précision minutieuse de vol pour une dépose des commandos sur un container, soit une surface de 4 m2, le commando s’entraîne à sauter de l’hélicoptère pour un poser délicat. Chaque équipier de la grappe surveille son co-équipier pendant le vol en grappe. Sur chaque baudrier, une petite flamme rouge s’allume, en cas d’incident. C’est le signal pour le « 4e homme », dans la soute du Puma, chargé de la sécurité, de donner des consignes pour que le Puma atterrisse en urgence. C’est l’esprit de cohésion et de corps, appliqué à chaque seconde par ces commandos de choc !
Reportage photos
3 décembre 2013
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2 déc. 2013 Armée de Terre
Le 27 novembre 2013 s'est déroulée sur la place d'armes du 2e régiment étranger d'infanterie à Nimes la cérémonie de dissolution de la Brigade Interarmes SERVAL 2* présidée par le général d'armée Bertrand RACT MADOUX, chef d'état-major de l'armée de Terre.
Après la lecture de l'ordre du jour le général d'armée Bertrand RACT MADOUX et le général de corps d'armée Bertrand CLEMENT-BOLEE commandant des Forces Terrestres ont effectué une remise de plusieurs récompenses pour des actions effectuées au Mali.
* 2e REI, 3e Rama, 1er REC, 1er et 3eme RHC et du 1er TIR