Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 novembre 2015 5 06 /11 /novembre /2015 08:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

05.11.2015 par Marine Nationale

 

Pendant 7 jours, les pilotes du 5e régiment d'hélicoptères de combat (5e RHC) et le groupe interarmées d'hélicoptères (GIH), soit deux Puma et une Gazelle, vont effectuer 22 qualifications de jour, 30 de nuit, dont 15 par nuit noire.
Au programme : appontages, ravitaillements, décollages sur le pont d'envol.
Un but : ne rien laisser au hasard pour un jour partir en mission. De l'évacuation de ressortissants à la protection, les hélicoptères affectés sur les bâtiments de projection et de commandement accomplissent des opérations complexes et variées.
Précision, rigueur et sensations fortes sont les maîtres mots pour les pilotes et pour le personnel du pont d'envol

 

Reportage photos

Partager cet article
Repost0
29 octobre 2015 4 29 /10 /octobre /2015 17:45
photo EMA / Armée de terre

photo EMA / Armée de terre

 

29/10/2015 Sources : Etat-major des armées

 

L’immensité désertique et l’étendue de la zone d’action figurent parmi les contraintes dont doit s’affranchir la force Barkhane. Dans ce contexte, la composante aéromobile occupe un rôle majeur dans la conduite des opérations. Permettant d’accroître la mobilité et d’inverser le principe d’incertitude, elle apporte à la force la capacité de mener, à l’endroit et au moment qu’elle choisit, des actions de feu, de renseignement et de mouvement, en appui et en complément des troupes déployées au sol.

 

Barkhane dispose d’un potentiel aéro-combat de 17 hélicoptères de manœuvre, de reconnaissance et d’attaque, répartis sur les bases de Gao, N’Djaména et Madama. Armée par deux sous-groupements aéromobiles (les 1er et 5erégiments d’hélicoptères de combat) et un groupement tactique air (armée de l’Air), la composante aéromobile apporte ses moyens et son expertise aux différentes missions menées par Barkhane, dans la conduite et l’exécution des actions en profondeur.

 

Mis en place pour appuyer la force dans la lutte contre les groupes armés terroristes, le groupement aéromobile couvre six missions. Les hélicoptères de manœuvre permettent d’assurer un appui à la mobilité au profit de la force Barkhane, notamment en termes de transport tactique d’unités ou de transport logistique.

 

Le groupement aéromobile est également composé d’hélicoptères de reconnaissance et d’attaque couvrant quatre missions spécifiques permettant de déceler et de neutraliser l’adversaire. Il effectue des missions de reconnaissance et de recherche de renseignements, en autonomie ou en évoluant en amont des forces. Il peut aussi réaliser des missions de protection ou être déployé sur des missions d’appui feu en complémentarité et en coordination avec les troupes du terrain avant d’effectuer leurs missions.

 

Depuis le lancement de l’opération Barkhane, la composante aéromobile a réalisé plus 5 000 heures de vol, permettant ainsi d’appuyer et de compléter l’engagement de la force sur la bande sahélo-saharienne.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 500 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

Partager cet article
Repost0
27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 12:55
photo CCH Gérald 17e RGP

photo CCH Gérald 17e RGP

 

La semaine dernière, 3 hélicoptères du 5e RHC ont réalisé un exercice avec les soldats du 17e RGP. Sapeurs et commandos parachutistes ont ainsi participé à des opérations héliportées durant 3 jours.

Malgré un rythme intense, notamment dû aux projections dans le cadre de la mission de sécurisation du territoire national (Sentinelle), le 17e RGP continue de travailler les savoir-faire du soldat, du parachutiste et du sapeur.

 

Reportage photos

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 15:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

02/07/2015  armée de Terre

 

Le 29 juin, monsieur Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense et le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT), ont rendu visite au 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC) à Pau. Le ministre de la Défense a notamment souligné la place centrale du 5e RHC dans la nouvelle brigade d’aérocombat (BAC) ainsi que le renforcement de la flotte d’aéronefs.

Détails en images.

Partager cet article
Repost0
30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:55
Le ministre de la Défense au 5e RHC

Après une démonstration statique des hélicoptères et du matériel spécifique, Jean-Yves Le Drian a suivi un briefing d’avant vol puis est monter à bord d’un hélicoptère Tigre. photo R. Pellegrino

 

30/06/2015 Marine Picat -DICoD

 

Lundi 29 juin, le ministre de la Défense s’est rendu au 5e régiment d’hélicoptères de combat de Pau-Uzein, dans les Pyrénées-Atlantiques.

 

Lundi 29 juin, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu au 5e régiment d’hélicoptères de combat (RHC) de Pau-Uzein, dans les Pyrénées-Atlantiques. Sur place, il s’est entretenu avec le colonel Richou, chef de corps du 5e RHC, en présence du chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Jean-Pierre Bosser.

 

Le ministre est ensuite venu à la rencontre du personnel du régiment officiant sur hélicoptères Tigre, Puma et simulateur. Après une démonstration statique des hélicoptères et du matériel spécifique, Jean-Yves Le Drian a suivi un briefing d’avant vol puis est monter à bord d’un hélicoptère Tigre.

 

Le 5e RHC se trouve être la base d’hélicoptères la plus importante d’Europe, comptant 900 personnes et une cinquantaine d’hélicoptères de combat. Rappelant que « le régiment est présent sur tous les théâtres où les forces françaises sont engagées », le ministre souligne l’engagement du régiment dans les opérations Sangaris et Sentinelle, ainsi que dans le plan Hephaistos de lutte contre les incendies. « L’aérocombat est une capacité essentielle pour notre armée de Terre. Elle est au cœur de toutes les opérations » ajoute Jean-Yves Le Drian, qui a ainsi salué le personnel du 5e RHC, « animés par des valeurs qui font toute [leur] force. »

Partager cet article
Repost0
4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 16:55
photo A.Manzano Marine nationale

photo A.Manzano Marine nationale


28.05.2015 par Défense Sud-Ouest
 

MARINE ET ARMÉE DE TERRE MAIN DANS LA MAIN. Le mardi 19 mai 2015, le 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC) de Pau et le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Mistral ont été réunis en binôme officiel au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée sur le pont d’envol du bâtiment dans la rade de Toulon.


La cérémonie rassemblant une centaine de militaires du 5e RHC et une centaine de marins a notamment été marquée par la signature de la charte de jumelage, signée par le colonel Stéphane Richou, commandant le 5e RHC, et par le capitaine de vaisseau Benoit de Guibert, commandant le BPC «Mistral», puis par la remise de récompenses à plusieurs personnels du régiment. Les deux commandants ont ainsi eu le plaisir de pouvoir décorer des militaires de l’autre unité, donnant ainsi tout son sens à ce jumelage.
Engagés à de nombreuses reprises en opérations comme en exercice interarmées, le BPC Mistral et le 5e RHC entretiennent des relations privilégiées depuis de nombreuses années. L’opération Harmattan, en 2011, est l’un des principaux temps forts de l’engagement opérationnel simultané des deux unités. L’objectif de ce partenariat est de favoriser, dans un esprit tourné vers l’efficacité en opérations, les échanges entre le régiment et le bâtiment. Au-delà des opérations menées conjointement, les deux unités sont régulièrement appelées à s’entrainer ensemble, en particulier lors de campagnes d’appontages au cours desquelles les pilotes du 5ème RHC viennent entretenir leur qualifications et leur aptitude à se poser et à décoller du pont d’envol du «Mistral». Ces campagnes permettent également au «grand équipage», composé de marins et de terriens, d’entretenir leur fraternité opérationnelle et leur capacité à œuvrer ensemble, dans l’espace restreint d’un bâtiment de combat et l’environnement parfois hostile que représente la mer.

photo A.Manzano Marine nationalephoto A.Manzano Marine nationale
photo A.Manzano Marine nationale

photo A.Manzano Marine nationale

Partager cet article
Repost0
25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 20:54
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

25 Mars 2015 Source : Marine nationale

 

Le BPC Mistral mène, du 23 au 27 mars 2015, une campagne d'appontages en Méditerranée au profit des pilotes du 5ème Régiment d'Hélicoptères de Combat (RHC) de Pau et de l'Escadron Hélicoptères (EH) "Pyrénées" de Cazaux. Cette sortie à la mer s'inscrivait dans le cadre de la préparation opérationnelle des équipages potentiellement amenés à conduire des missions héliportées depuis la mer.

 

 Pendant ces quelques jours, marins, terriens et aviateurs ont travaillé conjointement afin de maintenir les savoir-faire nécessaires à la mise en œuvre de l'aviation à bord d'un bâtiment de combat et de permettre aux pilotes de se qualifier sur Tigre, Caracal, Gazelle ou Puma. L'entraînement, progressif, a débuté par des vols de jour, puis par nuit claire avec l'horizon visible et enfin par nuit noire, sans aucune référence extérieure. Ces conditions, particulièrement difficiles, obligent les pilotes à voler aux instruments avec le précieux concours des marins du central « opérations » du BPC Mistral, jusqu'à prendre visuel des feux du pont d'envol.

 

La base aéronautique navale de Hyères, le Service des Essences des Armées (SEA) et les équipes de techniciens ont également apporté leur appui pour ravitailler les hélicoptères à l’issue de chaque vol et assurer leur maintien en condition opérationnelle. Sur le pont d'envol, le ton était donné par les "chiens jaunes" qui, avec les « PONEV » et les équipes « SECU », ont œuvré jour et nuit dans des conditions souvent parfois éprouvantes.

 

Ces semaines à la mer sont intenses et nécessitent une vigilance de tous les instants. Rien ne serait possible sans cet esprit de cohésion qui caractérise si bien les BPC lorsqu’ils accueillent des détachements provenant de tous azimuts. Le terme « grand équipage » du Mistral, si souvent employé par les marins affectés prend, lors de ces semaines d’entraînements communs, tout son sens.

photo Marine Nationalephoto Marine Nationale

photo Marine Nationale

Partager cet article
Repost0
1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 12:45
L'opération Serval vue par le patron du 5e RHC, le colonel Gout

 

28.02.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense


La reconquête du Mali et l'opération Serval commencent à générer une littérature abondante. J'ai déjà eu l'occasion de parler du très bon livre du commandant Scarpa ("Offensive éclair au Mali", paru aux éditions Pïerre de Taillac) ou de signaler la prochaine sortie d'un livre du colonel Gout sur le rôle de l'Alat sur ce même théâtre (voir mon post du 24 janvier ici). Ce livre est sorti.

Les ambitions premières exprimées par l'auteur de Libérez Tombouctou! ne se sont pas toutes concrétisées. Le récit n'aborde guère "l'aventure" du "peuple malien soumis à la domination impitoyable de quelques-uns" ou celle "du quotidien" des soldats du colonel Gout; il ne permet pas, non plus, de découvrir "qui sont les combattants du Mujoa et d'Aqmi".

Certes, en outre, le GAM a été de tous les combats; mais il n'a pas à lui seul libéré le Mali.

Peu importe: l'aventure que narre l'ancien chef de corps du 5e RHC est la sienne et celle des défis "techniques, climatiques et humains" qu'il a relevés. Et elle est passionnante.

Sous-titré "Journal de guerre au Mali", le texte de Frédéric Gout tient avant tout de la chronique;  il raconte effectivement les trois mois (janvier à avril 2013) qu'il a vécus, avec ses hélicoptères et ses soldats, à Bamako, Tombouctou, Gao, Tessalit. Un livre à lire en complément du livre de Rémy Scarpa, par exemple.

A quand un ouvrage sur les défis logistiques de Serval?

Libérez Tombouctou!, Frédéric Gout, Tallandier, 256 pages, 18,90 €.

Partager cet article
Repost0
18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 20:55
Les hélicoptères du 5e RHC en action

 

18/01/2015 Armée de Terre

 

Du 13 au 16 janvier, lors d’un entraînement interarmes baptisé AFRICAN TIGER, le 5e régiment d’hélicoptère de combat (5e RHC) s’est exercé avec la 11e brigade parachutiste, la base aérienne 118 et la base aéronautique de Lann-Bihoué.

 

Il s’inscrivait dans une préparation opérationnelle en vue d'un déploiement des équipages Tigre dans la bande sahélo-saharienne. Organisé dans les zones d’entraînement du 5e RHC, il a permis de réaliser des missions élaborées sur le retour d’expérience des pilotes des escadrilles d’hélicoptères d’appui-protection (EHAP) de l’opération BARKHANE.

 

Outre la qualité des scénarios ultra-réalistes, « AFRICAN TIGER » permet de confronter des cultures différentes, où chaque protagoniste apporte son vécu opérationnel notamment lors des briefings et débriefings. Ce type d’exercice a vu le jour avant la première projection en Afghanistan du TIGRE en juillet 2007. Il est aujourd’hui devenu incontournable pour éprouver les équipages lors de leur mise en condition avant projection (MCP). L’entraînement dure une semaine et est reconduit avant chaque départ des équipages des EHAP qui sont en auto-relève sur le théâtre malien.

Partager cet article
Repost0
2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 18:55
Une Gazelle de l'armée de terre prend en chasse un drone près d'un site nucléaire

 

02/12/2014 Par Guerric Poncet -  Le Point.fr

 

"La Dépêche" affirme qu'une Gazelle de l'armée [de terre] a suivi un appareil téléguidé près de la centrale nucléaire de Golfech.

 

C'est ce qu'on appelle employer les gros moyens. Selon La Dépêche, un hélicoptère Gazelle de l'armée a pris en chasse lundi 1er décembre vers 9 heures un drone qui survolait la zone interdite autour de la centrale nucléaire de Golfech, dans le Tarn-et-Garonne. L'appareil militaire appartiendrait au 5e régiment d'hélicoptères de combat de Pau, et aurait été affecté à la surveillance aérienne du site sensible, survolé deux fois par des drones le 31 octobre et le 12 novembre derniers. L'information n'a pas été confirmée officiellement.

"Même s'il n'y a pas eu de survol de la centrale nucléaire, cette zone située à moins de 5 kilomètres du site nucléaire est couverte par l'interdiction de tout survol à moins de 1 000 mètres d'altitude", explique La Dépêche. Les centrales nucléaires françaises sont victimes depuis le mois d'octobre de nombreux survols sauvages par des drones, sans que les autorités parviennent à identifier les pilotes. De tels survols, souvent nocturnes, pourraient être destinés à cartographier les éléments sensibles des centrales nucléaires et ainsi préparer une attaque sur le réseau électrique français.

Au moment où les températures chutent avec l'arrivée de l'hiver, les inquiétudes sont grandes. La mise hors service de quelques éléments des centrales suffirait à déclencher un scénario catastrophe : ERDF et EDF ne pourraient peut-être plus assurer l'approvisionnement énergétique du pays.

Lire également - Centrales nucléaires : comment abattre un drone ?

Partager cet article
Repost0
27 octobre 2014 1 27 /10 /octobre /2014 17:56
CATAMARAN, déploiement des troupes terrestres

 

23/10/2014 A. Herlin - Armée de Terre

 

L’exercice CATAMARAN se poursuit sur terre dans la région de Fréjus. Dans le cadre d’un scénario, la force débarquée a pour mission de rétablir l’intégrité territoriale d’un pays ami.

 

Après le débarquement de la force dans la nuit du 19 au 20 octobre sur les plages de Fréjus, environ 900 militaires issus de la 9e brigade d’infanterie de marine (9e BIMa), des 3e et 5e régiments d’hélicoptère de combat (RHC) et du 515e régiment du train (515e RT) participent à la manœuvre interarmes. Du 20 au 23 octobre 2014, différents objectifs tactiques ont été remplis : prise d’assaut d’une centrale électrique,  sécurisation d’axes routiers et saisie d’un aérodrome… Le raid blindé atteindra le camp de Fréjus le 26 octobre 2014.

 

Ces missions, menées dans le cadre d’un assaut amphibie réalisé avec le concours de la marine Nationale, permettent aux unités de s’entraîner dans un environnement opérationnel interarmées et interarmes de grande ampleur. 

 

Retrouvez nos reportages vidéo sur l’exercice la semaine prochaine sur tous nos supports.

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2014 4 16 /10 /octobre /2014 11:55
Une Valeur Militaire partagée au 5e RHC

 

15 oct. 2014 Armée de Terre

 

Le 8 octobre, à l’occasion de la cérémonie des 60 ans de l’aviation légère de l’armée de Terre, le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre, a décoré le 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC) de la Valeur militaire avec palme de bronze.

Partager cet article
Repost0
15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 11:45
Sangaris : Transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile

 

14/10/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Le 11 octobre 2014 a eu lieu le transfert d’autorité du sous groupement aéromobile (SGAM) sur le camp M’Poko à Bangui. Présidée par le général de brigade Eric Bellot des Minières, commandant l’opération Sangaris, la cérémonie a été l’occasion de saluer le professionnalisme et la détermination de ce détachement.

 

Le lieutenant-colonel Yann Menet a ainsi été relevé par le lieutenant-colonel Pierre Letzelter, commandant le nouveau SGAM, dont l’unité leader est le 1er RHC stationné à Phalsbourg.

 

Déployé de juin à octobre 2014 et composé de 6 hélicoptères de manœuvres PUMA et de 4 GAZELLE, le SGAM « mandat 3 » fût principalement articulé autour du 5e régiment d’hélicoptères de combat (5eRHC) de Pau. Fournissant un appui indispensable à la conduite des opérations, les 85 soldats du SGAM, ont réalisé plus de 400 missions à travers le pays, comptabilisant plus d’un millier d’heures de vol. Cet appui essentiel permet à la force Sangaris de conserver sa liberté de mouvement et d’action sur l’ensemble du théâtre d’opération. Le SGAM intervient dans les domaines du renseignement, de l’appui feu et de la sécurisation des troupes au sol. Il participe en outre au soutien logistique d’urgence et aux évacuations sanitaires. Le crédo particulier de ce groupement est l’engagement dans l’urgence et la capacité à mobiliser les moyens dans les plus brefs délais.

 

Au cours de la cérémonie de transfert d’autorité, le général Bellot des Minières a souligné « l’engagement total et la redoutable efficacité  du SGAM qui a œuvré jours et nuits, dans des conditions toujours difficiles ». Le « manche » est maintenant entre les mains du SGAM « mandat 4 », qui œuvre et vole dès à présent dans sa nouvelle zone de responsabilité.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 700 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangarisvise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission onusienne.

Sangaris : Transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile
Sangaris : Transfert d’autorité du sous-groupement aéromobileSangaris : Transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile
Partager cet article
Repost0
13 octobre 2014 1 13 /10 /octobre /2014 07:57
Une Valeur partagée

 

10/10/2014 Armée de Terre

 

Le 8 octobre, à l’occasion de la cérémonie des 60 ans de l’aviation légère de l’armée de Terre, le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre, a décoré le 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC). de la Valeur militaire avec palme de bronze.

 

La citation qui justifie cette décoration a été attribuée au régiment pour son action dans le cadre de l’opération SERVAL, qui a permis la sauvegarde de nombreux combattants de la coalition et la neutralisation d’un nombre significatif de matériels ennemis et de groupes terroristes. L’attribution de cette quatrième palme, depuis 2011, fait du 5e RHC l’un des régiments les plus décorés de ce début de 21e siècle.

Partager cet article
Repost0
25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 16:56
De l’importance de nos hélicoptères

 

 

25/09/2014 LTN Valérian Fuet et LTN Hélène Facchin - Armée de Terre

 

Pilote Tigre au 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC) de Pau, le lieutenant Thomas R. a participé aux débuts de l’opération SERVAL. Avant de repartir prochainement en opération extérieure, il témoigne de cette expérience marquante.

 

Comment s’est déroulée votre projection au Mali ?

 

LTN Thomas : En décembre 2012, le régiment a pris l’alerte GUEPARD. Le 11 janvier 2013, l’opération SERVAL a été déclenchée et l’on a appris la mort au combat du lieutenant Damien Boiteux. Deux jours après, un groupement aéromobile (GAM) de 17 appareils a été constitué pour armer la force, les Tigre étant de la partie. À mon arrivée au Mali, j’ai compris que nous évoluerions en terre inconnue. Lorsque j’ai été engagé en Afghanistan en 2011, la logistique et le soutien étaient déjà en place, nous disposions d’études topographiques, d’itinéraires... Au Mali, il n’y avait rien. Pas même une carte du territoire. Il a fallu prendre ses repères au fil des sorties. À mon arrivée, une des priorités a été de valider ma qualification au poser sur sable. Chaque théâtre d’opérations est différent et nous devons nous adapter rapidement à l’environnement.

 

L’urgence du déploiement passée, quelles ont été vos missions au sein du GAM ?

 

Après quelques missions au nord de Bamako, la phase de reconquête du territoire est déclenchée. Les sorties s’enchaînent à un rythme soutenu. Nous commençons par éclairer l’axe Goundam-Tombouctou et appuyons ensuite le raid blindé qui l’emprunte. Peu après, nous participons à l’opération aéroportée du 2e régiment étranger de parachutistes au nord de Tombouctou. Mais ma mission la plus éprouvante reste l’opération PANTHÈRE dans le massif des Ifoghas. En appui des légionnaires au sol, les contacts avec l’ennemi sont nombreux et violents. À tel point que je dois atterrir pour recharger seul mes paniers de roquettes et mon canon de 30 mm. Parti en “autonomie machine” sans soutien logistique, je dois m’en charger moi-même pour la première fois.  

 

Que retenez-vous de cette expérience ?

 

L’intensité de l’opération. Même si ce n’était pas ma première OPEX, j’ai acquis énormément d’expérience en quelques semaines d’engagement. En l’espace de 15 jours, j’avais déjà effectué 40 heures de vol… En comparaison, après trois ans d’école, j’en comptais 150. Le nombre et la variété des missions conduites nous ont aussi fait prendre conscience de l’importance de nos hélicoptères dans les manœuvres terrestres. Je retiens aussi la rusticité de l’environnement, la chaleur étouffante, le sable qui s’infiltre partout. Pourtant, en dépit de ces conditions difficiles, j’ai été marqué par l’engagement de chacun. Je me souviens de phases de ravitaillement où beaucoup de soldats nous prêtaient main-forte pour que l’on puisse redécoller au plus vite. Humainement, ce sont des moments très forts qui m’ont fait gagner en maturité.

Partager cet article
Repost0
18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 08:55
Mission Jeanne d’Arc : c’est parti !

Crédits : Cch Seychelles 3ème RIMa / Armée de Terre 2014

 

17/03/2014 J. SEVERIN - Armée de Terre

 

210 soldats, provenant de la 9e brigade d’infanterie de marine (9e BIMa) et du 5e RHC, accompagnent les officiers élèves de l’École navale, à bord du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Mistral, pour la mission Jeanne d’Arc.

 

Le 12 mars 2014, après une cérémonie officielle, les soldats et futurs officiers ont embarqué pour cette mission de quatre mois, où les connaissances et techniques d’approche du terrain de chacun, apporteront une réelle plus-value.

 

La mission Jeanne d’Arc illustrera durant toute sa durée, un large spectre des missions impliquant une coopération interarmées.  Une action importante pour l’armée de Terre qui montre, ainsi, son rôle essentiel dans la défense et la sécurité de la France.

 

Les soldats de l’armée de Terre participeront à de nombreuses actions amphibies. Une technique souvent utilisée en première approche sur les théâtres d’opérations, afin de gérer les situations de crise. Les officiers élèves qui ont participé à ce premier type d’exercice, relèvent le caractère décisif de l’entraînement. « J’ai pris conscience de l’importance des contraintes environnementales dans une telle opération », confie l’un d’eux.  Plusieurs exercices bilatéraux seront effectués, afin de renforcer la coopération tactique avec certaines forces pré-positionnées, françaises et étrangères.

 

L’objectif étant de vérifier les capacités opérationnelles des militaires, si une situation identique se présentait réellement.

 

Les unités de l’armée de Terre ont été saluées par l’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la Marine. « Votre présence, mesdames et messieurs, apporte une grande richesse qui bénéficiera à chacun d’entre vous », a-t-il déclaré.

Partager cet article
Repost0
7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 13:55
Mission Jeanne d’Arc 2014 : conduire les opérations d’aujourd’hui en préparant la Marine de demain.

 

07/03/2014 Marine Nationale

 

Le 12 mars 2014, un groupe amphibie composé du Bâtiment de projection et de commandement (BPC) Mistral et de la Frégate type La Fayette (FLF) La Fayette appareillera de Brest pour la Mission Jeanne d’Arc 2014. Le groupe sera positionné en océan Atlantique où il conduira des opérations militaires et des actions de coopération bilatérale.

 

A cette occasion, 154 officiers-élèves issus des différents corps d’officiers et de 18 nationalités différentes effectueront leur premier déploiement opérationnel. Il s’agit pour ces jeunes officiers d’acquérir une stature de chef militaire et de marin, grâce à la pratique in situ du métier et à l’expérience de la prise de responsabilités.

 
Mission Jeanne d’Arc 2014 : conduire les opérations d’aujourd’hui en préparant la Marine de demain.

Pour cette mission, le groupe amphibie sera composé du BPC Mistral et de la FLF La Fayette

 

A bord du BPC Mistral :

Une force de réaction embarquée

- Un groupe tactique embarqué composé d’éléments issus du :

- 3e  régiment d’infanterie de marine (3eme RIMa) de Vannes

- Régiment d’infanterie chars de marine (RICM) de Poitiers

- 11erégiment d’artillerie de marine (11e RAMa) de Rennes

- 6e régiment du génie (6e RG) d’Angers

 

Un groupement aéromobile

Composé d’unités du 5erégiment d’hélicoptères de combat

- 2 hélicoptères de manœuvre et d’assaut PUMA

- 2 hélicoptères de reconnaissance et d’attaque GAZELLE

 

Un détachement de l'escadrille 22S

- 1 hélicoptère Alouette III

 

Un détachement de la flottille amphibie

- 1 engin de débarquement amphibie rapide (EDA-R)

- 2 chalands de transport de matériel (CTM)

Partager cet article
Repost0
13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 21:55
Exercice - Dead scorpion

 

12/02/2014 ASP M. FOUQUET Actu Terre

 

Dans le cadre de leurs futures projections en opération extérieure au Mali et en RCA, le 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC) de Pau et le 54e régiment d’artillerie (54e RA) d’Hyères, ont participé à l’exercice Dead scorpion, du 4 au 6 février 2014.

 

En posture de défense,  dans la région de Tarbes, les artilleurs du 54e RA ont pu parfaire leurs connaissances tactiques et techniques sur les hélicoptères de combat Tigre et Gazelle.

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 18:55
Le BPC Mistral mobilisé pour la mission Jeanne d'Arc 2014 qui partira de Brest

 

31.12.2013 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

La mission Jeanne d'Arc partira cette année de Brest, au début du mois de mars. Et c'est le BPC Mistral qui accueillera les élèves-officiers de l'école navale.

 

Depuis le 10 janvier (et jusqu'au 1er février), le Mistral a procédé à sa mise en condition opérationnelle (MECO). Le BPC sortait d'entretien à Toulon.

 

Il s’agissait de qualifier l’équipage en amont de la prochaine mission Jeanne d’Arc. La MECO s’est déroulée à quai puis à la mer, en Méditerranée. Le BPC Mistral a embarqué trois engins de la Flottille Amphibie, un hélicoptère Alouette III de l’escadrille 22S, deux hélicoptères Gazelle et un hélicoptère Puma de l’Aviation légère de l’armée de terre (5ème RHC), des marsouins du 3e Régiment d’infanterie de Marine de Vannes et leurs blindés (photo Marine nationale).

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 21:45
Le 5e RHC se prépare pour l’opération Serval - video

04/10/2013 International

 

Du 23 au 27 septembre 2013, 30 aéronefs et 700 hommes se sont entrainés dans un cadre interarmes avant leur projection vers le Mali.

 

« Pour les pilotes, les mécaniciens, les contrôleurs aériens, les transmetteurs, cet entrainement est particulièrement important parce qu’au Mali nous travaillons d’une façon très intégrée avec toutes les capacités opérationnelles de l’armée de Terre » précise le colonel Richou, chef de corps du 5e régiment d’hélicoptères de combat de Pau. C’est ici la dernière occasion de mettre en pratique et de valider tous les acquis avant le grand départ.

 oct. 2013 Armée de Terre

 

Du 23 au 27 septembre plus de 30 aéronefs et 700 hommes sont déployés dans la région du Béarn. Nom de code de l'exercice, Béarn 2013. Son but la validation avant projection au Mali du 5e régiment d'hélicoptère de combat.


Le 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine ainsi que le 17e RGP et le 35e RAP participent aussi à cette manœuvre.


Dans quelques semaines le 5e RHC sera de retour sur le théâtre Malien, dans le cadre de la mission de régionalisation.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories