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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 11:50
Pirater le système de contrôle d'un avion, c'est possible selon l'Agence européenne de la sécurité aérienne

 

08 octobre 2015 Par Olivier James –Usine Nouvelle

 

Le directeur de l’Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) s’inquiète des failles des avions en matière de cybersécurité. Un hacker a fait la preuve concrète de cette menace auprès des experts de l’agence.

 

La confirmation est maintenant indiscutable. Le hacker qui avait prétendu avoir piraté un avion de ligne en mai dernier avait pourtant provoqué le scepticisme chez nombre d’experts. Le directeur de l’Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA), Patrick Ky, a levé le doute : "l’aviation est vulnérable à la cybercriminalité". Des propos tenus jeudi 8 octobre, lors d’une rencontre avec l’Association des journalistes de la presse aéronautique et spatiale (AJPAE). Pour soutenir ses dires, Patrick Ky a expliqué en détails comment un hacker en avait fait la preuve formelle… au sein même de l’AESA ! "Nous avons organisé il y a quelques mois une cession sur la cybersécurité au sein de l’agence, raconte Patrick Ky. Un groupe de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) nous a alors assuré que le risque cybernétique état faible. Juste après cette présentation, j’ai fait intervenir un hacker, détenant également une licence de pilote d’avion commercial. En moins de cinq minutes, il est arrivé à entrer dans le réseau d’une compagnie aérienne avec un profil d’administrateur. Il s’agissait du réseau ACARS, le réseau de messageries entre l’avion et le sol".

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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 16:50
Les drones loisirs sont dans le collimateur de l'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA)

Les drones loisirs sont dans le collimateur de l'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA)

 

09/10/2015 Par Michel Cabirol - LaTribune.fr

 

Le directeur exécutif de l'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA), Patrick Ky, estime qu'il y a un sujet d'actualité avec les drones de moins de 25 kg. Il regrette le trop grand nombre d'incidents.

 

Pour l'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA), il y a un sujet d'actualité drones. Et pas qu'un peu. "On regarde de très, très près ce dossier, a expliqué le directeur exécutif de l'AESA, Patrick Ky, qui était l'invité jeudi de l'Association des journalistes professionnels de l'aéronautique et de l'espace (AJPAE). On s'aperçoit qu'il y a de plus en plus de drones qui volent n'importe où, n'importe comment". Et cela énerve également les pilotes d'avions commerciaux.

 

Les incidents se multiplient

L'inquiétude semble justifiée. Car les incidents se multiplient. le 21 juillet, un drone est passé à environ cent mètres d'un appareil de la compagnie allemande Lufthansa arrivant à Varsovie en provenance de Munich, selon l'agence polonaise de la navigation aérienne. L'appareil, un Embraer 195, se trouvait à environ dix kilomètres de l'aéroport international de Varsovie Okecie, à l'altitude de 700 mètres, quand ses pilotes ont aperçu un objet volant. L'objet n'a pas perturbé cependant l'atterrissage normal de l'appareil de la Lufthansa.

Un incident similaire s'est produit l'année dernière à Cracovie. En Californie, les pompiers se sont plaints le 21 juillet de voir cinq drones gêner leurs hélicoptères dans leur combat contre un incendie. En France, depuis le début de l'année, trois vols de drones ont été signalés par des pilotes dans l'axe des pistes d'Orly et deux à Roissy, selon le porte parole de la Direction générale de l'aviation civile.

 

L'AESA va publier un début de réglementation à la fin de l'année

Ce sont les drones dans la catégorie Open (moins de 25 kg), le plus souvent des "jouets inoffensifs", qui posent le plus de problèmes. "C'est la catégorie la plus compliquée", a reconnu Patrick Ky. L'Agence souhaiterait intégrer une puce contrôlée par le système GPS dans ces drones de loisirs pour les empêcher d'entrer dans les zones à risques et de voler au-delà d'une certaine altitude. Toutefois, Patrick Ky a rappelé que l'AESA n'était pas encore compétente pour réglementer des aéronefs de moins de 150 kg. "La réglementation doit changer", a-t-il fait valoir, tout en se montrant optimiste. En outre, il s'est interrogé à voix haute pour savoir comment on pouvait s'assurer de la présence de cette puce alors que la majorité de ces drones sont fabriqués en Chine.

Après avoir lancé une consultation publique qui s'est terminée la semaine dernière (3.400 commentaires envoyés), l'AESA va publier d'ici à la fin de l'année "une opinion technique". Ce document servira de base à une future réglementation sur ce type de drones

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15 septembre 2015 2 15 /09 /septembre /2015 07:50
Captor-E radar for Eurofighter credits Selex ES

Captor-E radar for Eurofighter credits Selex ES

 

14 September, 2015 BY: Dominic Perry – FG

 

London  - The Euroradar consortium is closing in on the flight-test phase for its Captor E-Scan active electronically scanned array (AESA) radar, for the Eurofighter Typhoon.

 

A pair of instrumented production aircraft (IPA) will be used for the test effort – IPA5 from the UK and IPA8 from Germany – and are nearly ready for radar installation, says consortium chairman Andrew Cowdery. “Both aircraft are nearing completion in terms of accepting the radar,” he says. The €1 billion ($1.1 billion) programme – which is part of a broader capability enhancement for the Typhoon – is "on track" to launch the next phase, which will require a "significant amount" of flight testing to complete the calibration and integration of the new radar.

 

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13 mars 2015 5 13 /03 /mars /2015 08:50
Guide d'utilisation des drones en Europe

 

12.03.2015 Romandie.com (ats)

 

L'agence européenne de sécurité aérienne (AESA) a annoncé jeudi travailler sur l'élaboration d'une nouvelle réglementation pour l'utilisation des drones civils. Elle tiendra compte de leur catégorie, de leur usage et donc des risques qu'ils peuvent engendrer.

"Baptisé 'Concept of operation' (concept d'utilisation opérationnelle), cette nouvelle approche prévoit une réglementation graduée afin d'intégrer les engins volants pilotés à distance dans l'espace aérien européen", a indiqué l'AESA dans un communiqué.

 

Sites sensibles

Trois catégories seront définies, la dernière étant relative aux drones de loisirs. Ces derniers ne feront pas l'objet de réglementation particulière, à l'exception de l'interdiction de survol de certaines zones comme les villes ou les sites sensibles.

"Les législations sont très variables d'un pays à l'autre en Europe. Dans certains cas, elles peuvent être relativement restrictives (licences individuelles, autorisation obligatoire pour certaines utilisations), dans d'autres, elles sont quasiment inexistantes", a expliqué un porte-parole de l'AESA. Il y a donc urgence à harmoniser la législation à mesure que l'usage des drones se popularise.

 

Utilisateurs entendus

Des propositions concrètes seront présentées à la Commission européenne en décembre pour les drones de loisirs, a ajouté le porte-parole. Il a précisé qu'il n'y avait en revanche pas de calendrier précis pour les autres types de drones, compte tenu des nombreuses parties prenantes à la réflexion.

"Ce concept est le premier résultat tangible de la nouvelle approche au sein de l'AESA qui consiste à écouter en premier lieu les utilisateurs avant d'élaborer les réglementations en fonction des risques encourus", a commenté Patrick Ky, directeur de l'AESA.

En France par exemple, l'usage des drones est d'ores et déjà réglementé depuis 2012. Ils doivent voler à moins de 150 mètres d'altitude pour ne pas faire courir de risque au trafic aérien. Le cadre réglementaire définit en outre quatre scénarios et autorisations éventuelles requises, suivant le poids du drone, le rayon d'action, l'altitude, le vol à vue ou hors vue du pilote, la zone survolée, notamment.

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 17:30
Thales SEARCHMASTER AESA surveillance radar at IDEX 2015


5 mars 2015 Thales Group

 

At IDEX 2015, French company Thales is showcasing its latest maritime surveillance 5 in 1 radar called SEARCHMASTER. It is a truly multirole surveillance radar with the ability to meet all the surveillance requirements of five mission types: antisurface warfare, anti-submarine warfare, maritime surveillance, ground surveillance and tactical air support.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:30
photo Israeli air force

photo Israeli air force

 

20.01.2015 By Arie Egozi - FG

 

Tel Aviv - The Israeli air force is upgrading the capabilities of its Boeing F-15I strike aircraft, including the installation of a new radar system. The sensor most likely to be fitted is the Raytheon APG-82(V)1 active electronically scanned array, which was also fitted to the US Air Force's F-15Es in place of the ageing APG-70. The selection of the US-made radar instead of an Israeli-designed option is likely the result of the fact that Israel can purchase the APG-82(V)1 using the Foreign Military Funding it receives annually from the USA.

 

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:20
APG-79(V)X radar - photo Raytheon

APG-79(V)X radar - photo Raytheon

 

19.01.2015 By Stephen Trimble - FG

 

Washington DC - A new competition has emerged to upgrade the radars for potentially hundreds of the original Boeing F/A-18 Hornet fighters operated by US and foreign militaries.

 

Northrop Grumman and Raytheon have confirmed plans to offer tailored versions of each company’s active electronically scanned array (AESA) radars for so-called “legacy” F/A-18 Hornets, including A, B, C, D models.

 

Raytheon recently performed a flight test of the APG-79(V)X radar, a system scaled down from the APG-79 installed on the F/A-18E/F Super Hornet.

 

“I was sitting in the testbed myself and watching it real time it felt like watching the APG-79 I saw in the fleet,” says Michael “Ponch” Garcia, a Raytheon business development director and former US Navy F/A-18E/F pilot and instructor.

 

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 16:55
Aéronautique : l’évaluation du Rafale F3R par le CEPA

 

8 Décembre 2014 Source : Marine nationale

 

Du 1e au 4 décembre 2014, les pilotes du centre d’expérimentations pratiques de l’aéronautique navale (CEPA) ont participé à la première revue d’aptitude à l’utilisation du standard F3R du Rafale. Cette campagne leur a notamment permis d’évaluer en vol la conduite de tir du missile air-air Meteor dans un contexte opérationnel et de proposer des améliorations du système. Grace à l’allonge du missile Meteor et à la portée de détection du radar à antenne active AESA, le Rafale F3R disposera d’une capacité d’interception sans équivalent.

 

Outre ces nouvelles capacités de défense aérienne par rapport au F3 actuellement en service,  le F3R emportera également le nouveau pod de désignation laser dans ses actions air-sol et une nouvelle nacelle de ravitaillement, indispensable lors des opérations autour du GAN (groupe aéro-naval).

 

Sa mise en service dans la Marine est prévue à l’horizon 2020.

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 11:55
Thales awarded with a study contract for the next generation of active array radars

 

September 30, 2014 Thales Group
 

The French defence procurement agency (DGA) has awarded Thales a technology study contract for the next generation of active phased array radars, including modular processors and multifunction panel technologies. These new technologies will ultimately equip the Rafale combat aircraft and will be suitable for future unmanned combat air vehicles (UCAVs).

 

 

During the signing ceremony held on 29 September in the presence of Laurent Collet-Billon, Head of the DGA, Jean-Bernard Lévy, Thales’s Chairman and CEO wished to highlight the "strong support of the DGA in maintaining a French sector of excellence in the field of airborne radars. With this technology study contract, Thales will maintain its lead in the field of active radar antennas, which is essential for the future of defence aerospace. "

Under the advanced study contract, Thales will demonstrate the technological readiness of various components and design a new generation of multifunction arrays (radar, electronic warfare and communications). The new arrays will also significantly improve range capabilities and discretion.

Over the next four years approximately 100 Thales staff, will be involved in these studies alongside a number of SME’s which have already contributed to the development of the Rafale active phased array radar.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 11:55
Le premier exemplaire de la 4e tranche de production du programme Rafale

Le premier exemplaire de la 4e tranche de production du programme Rafale

 

29/09/2014 DGA

 

Le délégué général pour l’armement, Laurent Collet-Billon, a officiellement remis ce jour à Jean-Bernard Levy, président-directeur général du groupe Thales, un contrat d’études technologiques concernant la future génération de radar à antenne active.

 

Ce projet vise notamment à démontrer les technologies de panneaux multifonctions et de nouvelles architectures modulaires de calculateur. Ces nouvelles antennes sont destinées à équiper à terme l’avion de combat Rafale et les futurs projets de drones aériens de combat.

 

Représentant 89 millions d’euros sur plusieurs années, cet investissement illustre l’effort consacré par l’État au maintien de l’avance technologique de l’industrie de défense française, en particulier dans le domaine de l’aéronautique militaire. Après avoir réalisé une première européenne avec le radar à antenne active de série sur Rafale, la France entend ainsi conserver sa place de leader dans le domaine des radars aéroportés.

 

Ces études permettront de démontrer la maturité des composants et de réaliser des antennes multifonctions (radar, guerre électronique et communications). Ces nouvelles antennes offriront également un avantage significatif en matière de portée et de discrétion des aéronefs et permettront de maintenir au meilleur niveau technologique l’industrie française d’aviation de combat.

 

La DGA investit dans l’industrie en moyenne 730 M€/an en études amont pendant la Loi de programmation militaire 2014-2019.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
A400M photo Airbus Military

A400M photo Airbus Military

 

21 novembre 2013 Par Olivier James - Usinenouvelle.com

 

En raison de la baisse des effectifs au sein de l’Agence européenne pour la sécurité aérienne (AESA), certains grands programmes pourraient voir leurs certifications retardées. C’est le patron de l’AESA lui-même qui tire la sonnette d’alarme.

 

Le risque est bien réel. Alors que le secteur européen de l’aéronautique engrange les commandes, il pourrait être freiné dans son élan par des problèmes de… certification. C’est Patrick Ky, le nouveau directeur exécutif de l’Agence européenne pour la sécurité aérienne (AESA), qui a pointé du doigt cette menace jeudi 28 novembre lors d’une conférence organisée par l’Association des Journalistes professionnels de l’Aéronautique (AJPAE). "L’année 2015 sera critique et si nous ne pouvons pas certifier dans les délais, les industriels risquent de livrer leurs appareils en retard et seront dans une situation difficile vis-à-vis de leurs clients", a-t-il prévenu.

Raison invoquée par le patron de l’AESA, dont l’un des rôles est de certifier les appareils : la baisse des effectifs imposée par la Commission européenne à toutes les agences européennes. A l’heure de l’austérité, la Commission souhaite en effet réduire de 5% les effectifs de l’ensemble des institutions et des agences d’ici 2018. "Aujourd’hui, cette consigne de réduction des effectifs inquiète les industriels, assure Patrick Ky. Si cet objectif est maintenu pour notre agence, ils auront du mal à faire face au pic de production que nous prévoyons en 2015".

 

Demande de 70 postes supplémentaires

Pour le patron de l’AESA, l’année 2015 sera particulièrement à risque en raison de nombreuses demandes de certification sur de nouveaux modèles d’appareils ou sur des programmes existants. Patrick Ky cite en particulier la certification du Falcon 5X de Dassault Aviation, celle de modifications de l’A400M, mais également de l’Airbus A380, dont une nouvelle version rallongée obligera à des modifications au niveau des issues de secours. Des industriels comme Eurocopter et l’italien Agusta Westland seraient aussi concernés.

"Nos experts sont communs à tous ces projets, précise Patrick Ky. Ils travaillent en panel sur chaque type de pièces, ce qui représentent autant de goulets d’étranglement en cas de manque de personnel". C’est le chevauchement des multiples programmes européens qui inquiète le patron de l’AESA, agence dont l’effectif est d’environ 700 personnes. Le directeur exécutif estime que l’agence pourrait effectuer correctement son travail de certification avec un effectif supérieur d’au moins 10%, soit environ 70 postes supplémentaires.

 

Un budget assuré par les industriels

Un autre programme, non européen celui-ci, vient encombrer un calendrier déjà bien chargé : le C919, l’avion de ligne du chinois Comac. Si sa date de certification reste incertaine, le patron de l’AESA réfléchit à un rapprochement avec la FAA (Federal Aviation Administration, l’équivalent américain de l’AESA) afin de simplifier le processus. "Un programme de ce type nécessite des ressources particulières, deux fois supérieures à un programme européen", admet Patrick Ky.

La Commission européenne argue de nécessaires économies en période d’austérité et ne prévoit pas d’exception. Réponse de Patrick Ky : le budget de l’AESA dévolu aux certifications est assuré à 100% par les industriels. Le budget total s’élève à environ 130 millions d’euros par an. "Le Parlement européen nous soutient mais pas les Etats membres en raison de la rigueur budgétaire", déplore Patrick Ky. Le nouveau directeur exécutif de l’AESA compte bien poursuivre les négociations dans les prochains mois et trouver une issue favorable.

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9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 11:30

Selex-Galileo-Raven-ES-05-active-electronically-scanned-arr.jpg

 

7 Jul 2012 by Stephen Trimble – FG

 

Farnborough - The Saab Gripen on display at the Farnborough air show features a new radar installed in Sweden less than a month ago.

 

The Selex Galileo Raven ES-05 active electronically scanned array (AESA) fire control radar was installed on 16 June in Linkoping, the radar supplier says.

 

AESA radar is one of the key features being introduced with the Gripen NG fighter, which also includes higher-thrust engines.

 

The ES-05 began integration testing immediately after being installed.

 

"These developments are not without risk and this result demonstrates Selex Galileo's commitment to deliver, on time and on promise, the best radar and sensors," says Alastair Morrison, senior vice president of Selex Galileo radar and advanced targeting.

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 17:20
Lockheed Martin’s Fighting Falcon Evolves With New F-16V

 

February 15th, 2012 By Lockheed Martin - defencetalk.com

 

Lockheed Martin [NYSE: LMT] unveiled a new version of the F-16 today at the Singapore Airshow. The F-16V will feature enhancements including an active electronically scanned array (AESA) radar, an upgraded mission computer and architecture, and improvements to the cockpit – all capabilities identified by the U.S. Air Force and several international customers for future improvements.

 

With nearly 4,500 F-16s delivered, this is a natural step in the evolution of the world’s most successful 4th generation fighter. The Fighting Falcon program has continually evolved as it began with the F-16 A/B as the lightweight fighter then transitioned to F-16 C/D and Block 60 versions as customers’ requirements changed.

 

AESA radars offer significant operational capability improvements. Lockheed Martin has developed an innovative solution to affordably retrofit this key technology into existing F-16s. The F-16V configuration is an option for new production jets and elements of the upgrade are available to most earlier-model F-16s. The “V” designation is derived from Viper, the name fighter pilots have called the F-16 from its beginnings.

 

“We believe this F-16V will satisfy our customers’ emerging requirements and prepare them to better interoperate with the 5th generation fighters, the F-35 and F-22,” said George Standridge, Lockheed Martin Aeronautics’ vice president of business development.

 

The F-16 is the choice of 26 nations. The F-16 program has been characterized by unprecedented international cooperation among governments, air forces and aerospace industries.

 

Headquartered in Bethesda, Md., Lockheed Martin is a global security company that employs about 123,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. The Corporation’s net sales for 2011 were $46.5 billion.

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