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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 17:45
photo Marine nationale

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31 Mars 2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le patrouilleur hauturier L’Adroit débute le 30 mars un mois d’opération anti-piraterie en Océan Indien. Le bâtiment patrouillera entre la corne de l’Afrique et les côtés malgaches jusqu’à la fin du mois d’avril, dans le cadre de l’opération européenne Atalanta.

 

L’opération Atalanta a été lancée sous mandat du Conseil de Sécurité des Nations-Unies le 10 décembre 2008, et a récemment été prolongée jusqu’en décembre 2016. Plusieurs pays ainsi que certaines nations de l’Union Européenne se sont engagées dans cette opération qui a permis d’endiguer efficacement la piraterie dans l’océan Indien et le golfe d’Aden.

 

Aujourd’hui sous le commandement suédois du contre-amiral Jonas Haygren, l’opération est dirigée depuis le quartier général opérationnel de Northwook, au Royaume-Uni. La période de l’inter-mousson venant de débuter est favorable à la reprise de l’activité de piraterie. L’Adroit et ses 46 marins viennent ainsi renforcer les moyens engagés. Ils patrouilleront aux côtés de bâtiments et aéronefs des marines allemandes, néerlandaises, italiennes et espagnoles.

 

L’opération Atlanta a été lancée le 8 décembre 2008 par l’Union Européenne et conformément aux résolutions du Conseil de Sécurité, afin de lutter contre les activités de piraterie dans l’océan Indien occidental. Les pays contributeurs travaillent à la dissuasion, prévention et répression des actes de piraterie et vol à main armée. Cette opération, qui est la première opération navale de l’Union européenne, s’inscrit dans le cadre de la politique européenne de sécurité et de défense (PESD).

photo Marine nationale

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:46
Exercice Conan sur l’île de la Réunion

 

31/03/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

Du 23 au 27 février 2015, l’île de la Réunion a été le théâtre d’un exercice mettant en scène le 2e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (2e RPIMa).

 

Les parachutistes se sont lancés à l’assaut d’un aéroport sous le contrôle de l’ennemi. L’exercice Conan avait pour but d’entretenir les savoir-faire des militaires dans un contexte de haute intensité. Pendant 5 jours, commandos et unités conventionnelles ont manœuvré avec l’ambition de reprendre le contrôle de la zone. Rejoué à intervalles réguliers, cet exercice contribue au maintien du niveau opérationnel du régiment.

 

Soldats de l’urgence, les parachutistes ont vocation à intervenir sur les théâtres d’opérations en premier.

 

Le bilan de l’exercice en images.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:45
L'Algérie met-elle en oeuvre la cyberdéfense contre les attaques ?

 

29.03.2015 maghrebnaute.com

 

De nombreux pays mettent en place des dispositifs de défense contre des cyberattaques. En France, aux Etats-Unis et même en Chine, les armées s’entraînent pour repousser toute attaque cybernétique, de plus en plus envisageable dans un monde numérique qui avance à grande vitesse.

 

Qu’en est-il en Algérie ?

 

Notre pays s’entraîne-t-il pour faire face à une éventuelle cyberattaque ? L’Algérie œuvre-t-elle à la mise en place d’une cyberdéfense, qui devient une nécessité pour contrer une possible attaque massive qui rendrait inopérants des millions de sites internet, dont ceux d’institutions sensibles comme les centres de gestion des moyens de télécommunications ?

 

Dans la cyberguerre, il n’y a bien entendu ni terroristes encagoulés tapis dans l’ombre ni missiles expédiés en salve depuis un bâtiment de marine. La cyberattaque, telle que décrite par les spécialistes, vise la technologie de cryptage, qui est utilisée par la majorité des serveurs internet.

 

L’Algérie fait partie des pays les plus vulnérables en matière de sécurité informatique. Selon le dernier rapport annuel de Symantec, l’Algérie se trouve à la cinquième place des pays africains les plus exposés au risque de sécurité sur Internet. Elle surclasse certes de grands pays comme l’Afrique du Sud et l’Egypte. Mais elle reste autant vulnérable que d’autres Etats comme le Ghana, la Côte d’Ivoire, le Cameroun ou encore le Nigeria et la Mauritanie, indique ce rapport analysant le risque sécuritaire sur Internet durant l’année 2012.

 

Dans le même document, il est fait état du classement mondial de l’Algérie, passant de la 13e place en 2011 à la 61e place en 2012. Cette légère amélioration s’explique en partie par l’utilisation non massive de l’internet et des nouvelles technologies de l’information et de la communication.

 

Les principales cibles des cybercriminels sont les entreprises de taille moyenne. Le rapport de Symantec, leader mondial dans le développement des solutions de sécurité et de protection contre les attaques sur Internet, précise que les sociétés de plus de 250 salariés sont les plus menacées. Le nombre d’attaques ciblant ce type d’entreprises a triplé de 2011 à 2012. Une augmentation qui est directement liée à leurs activités lucratives.

 

Les cybercriminels visent également les chaînes logistiques et les écosystèmes de sous-traitants pour accéder aux informations sensibles des grandes entreprises et à une propriété intellectuelle à forte valeur. Depuis 2012, les attaques sur mobile ont augmenté de 58%.

 

Plus de la moitié de ces attaques (32%) visent à collecter des données telles que des adresses électroniques et des numéros de téléphone. Pour les experts, l’approche choisie par le gouvernement algérien est «dangereuse», car elle maintient le pays dans sa vulnérabilité face aux cyberattaques aux conséquences économiques qui peuvent être désastreuses.

 

Des experts algériens avaient mis en garde, en 2013, contre cette approche qu’ils qualifient de «défensive», appelant les pouvoirs publics à passer à l’offensive à travers la mise en place d’un collège d’experts pour élaborer une stratégie de lutte contre de telles attaques.

 

Selon eux, l'approche «offensive» consiste en la création de cercles d'experts en la matière, en sensibilisant et en alertant les différents organismes dès l'apparition d'une nouvelle menace ou d'un nouveau virus. D’autant que l'Algérie avait déployé des efforts pour lutter contre le terrorisme en promulguant des lois qui n'existaient pas avant 1990.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:45
photo EMA

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30/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Dans le cadre de l’opération Barkhane, la cellule achats-marché du détachement Air de Niamey permet d’assurer le renouvellement et l’achat de matériels nécessaires à l’ensemble des unités et du personnel militaire présents au Niger.

 

Directement rattachée à l’antenne de la Direction du Commissariat (DIRCOM) située au Niger, la cellule achats-marchés est composée de quatre sous-officiers (dont trois aviateurs et un maréchal des logis). Elle s’organise autour de deux pôles d’activités : les achats courants auprès du secteur économique local, et le suivi et la rédaction des marchés. Elle gère ainsi l’approvisionnement du quotidien et les prestations de service pour le détachement Air mais aussi pour les sites isolés de Madama et Dirkou.

 

Suite aux différentes demandes des unités opérationnelles concernant diverses fournitures, outillages ou matériels, les membres de la cellule se rendent sur Niamey pour effectuer leurs achats. La cellule peut être amenée à traiter près de 200 demandes par mois. En outre, elle initie de nombreux partenariats avec les entreprises locales, tels que la location de véhicules, le pressing, le matériel de couchages ou encore la collecte de déchets.

 

Ce rôle indispensable qu’assure la cellule achats-marchés permet le maintien opérationnel constant des sites militaires de la force Barkhane  au Niger.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la BSS.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:45
photo EFS

photo EFS

 

30/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 16 au 27 février 2015, un détachement de l’unité de coopération régionale des Eléments Français au Sénégal (EFS) s’est rendu à Abidjan en République de Côte d’Ivoire, afin de dispenser une formation au profit de soldats ivoiriens.

 

Composé des commandos de l’air de l’unité de coopération régionale (UCR), ce détachement a ainsi instruit 103 stagiaires, sous-officiers et militaires du rang de la base aérienne d’Abidjan, à la sécurisation de points géographiques sensibles.

 

Les stagiaires ont tout d’abord passé en revue les savoir-faire indispensables en matière de filtrage, patrouille, contrôle et intervention sur les individus et véhicules. Puis, la deuxième partie de la formation s’est axée sur la sécurité et l’emploi des armes. Enfin, les stagiaires ont appréhendé les techniques d’autodéfenses.

 

L’excellente coopération avec les autorités militaires ivoiriennes a permis aux EFS et aux stagiaires ivoiriens d’approfondir cette formation et d’en atteindre tous les objectifs.

 

 Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix.

photo EFSphoto EFS
photo EFS

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:45
DIO TIOR et techniques commandos en RCI

 

30/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 21 février au 1er mars 2015, un détachement d’assistance opérationnelle « commando », composé de six instructeurs de l’unité de coopération régionale des Eléments Français au Sénégal (EFS), s’est rendu sur le camp d’Akouédo en Côte d’Ivoire, afin de mener une formation au profit de l’armée ivoirienne.

 

L’objectif de cette formation était l’apprentissage des techniques d’interventions opérationnelles rapprochées (TIOR). Tous les officiers et soldats ivoiriens ont suivi cette instruction technique élémentaire qui doit leur permettre, à terme, de mener une instruction TIOR dans leur propre unité. Cette formation a aussi été l’occasion de passer en revue les savoir-faire en termes de franchissement (exercices de rappel) et de combat commando.

 

Une démonstration de TIOR a été faite par les stagiaires aux autorités militaires ivoiriennes présentes, le dernier jour du stage. La traditionnelle cérémonie de remise des attestations de stage a clôturé la formation.

 

Depuis 2011, les EFS constituent « un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Depuis le 1er janvier 2015, les EFS partagent cette activité de formation avec les forces françaises en Côte d’ Ivoire, seconde base opérationnelle avancée (BOA) en Afrique de l’Ouest avec celle de Djibouti.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 11:35
CA A. Beaussant, commandant de la zone maritime océan Indien (ALINDIEN).photo Marine Nationale

CA A. Beaussant, commandant de la zone maritime océan Indien (ALINDIEN).photo Marine Nationale

 

26 Mars 2015 Propos recueillis par l’EV1 Virginie Dumesnil – Marine nationale

 

 « L’océan Indien se situe au cœur d’enjeux stratégiques mondiaux, ce qui explique une implication permanente de la Marine », selon le contre-amiral Beaussant. Zone d’importance mondiale, l’océan Indien est une zone stratégique pour la France puisque s’y joue une partie de sa sécurité. Pour la France, il a une place prépondérante puisqu’une grande partie des approvisionnements stratégiques y transitent et qu’elle possède, sur les 22 millions de km² que couvrent cet océan, 2.8 millions de km² de zone économique exclusive (ZEE), soit plus de 10% de la surface totale de l’océan Indien et plus de 20% de la ZEE françaised’une totalité de 11 millions de km². L’implication française dans cette zone stratégique se traduit aujourd’hui par le déploiement simultané de 4 Task Force.

 

Amiral, en tant qu’ALINDIEN, pouvez-vous nous présenter les spécificités et les enjeux de votre zone ?

 

Tout d’abord, il faut savoir qu’il s’agit d’une zone immense marquée par des enjeux économiques, notamment pétroliers, essentiels dans une région immensément riche en ressources énergétiques. Le phénomène de maritimisation s’illustre particulièrement dans le nord de l’océan Indien, où l’on retrouve quasiment toutes les flottes de guerre du monde. Les Etats de la péninsule Arabique, conscients de l’importance du fait maritime pour leur développement et leur sécurité, renforcent d’ailleurs la place de leur Marine au sein de leurs armées.

 

Je dénombre trois enjeux principaux dans la région. Pour commencer, la piraterie, à laquelle l’opération Atalante s’est attaquée, est en déclin. Mais le risque de criminalité en mer reste présent dans une zone essentielle pour le transport maritime. De surcroît, la faiblesse de la gouvernance dans certains pays de la zone va de pair avec le développement de tous les trafics, en particulier en mer, et participe au financement du terrorisme. Justement, la flambée du terrorisme est le facteur majeur d’instabilité de la région. Celui-ci prospère sur fond de tensions confessionnelles, sur lesquelles se cristallisent aujourd’hui de nombreux conflits régionaux.

 

Participation française aux opérations en océan Indien - Carte-ALINDIEN

Participation française aux opérations en océan Indien - Carte-ALINDIEN

 

En quoi cette zone est-elle stratégique pour la France ?

 

L’océan Indien est une priorité pour nos armées. Notre pays est dépendant des biens transportés par voie de mer, dont une large part transite par cette zone. Rappelons que la zone océan Indien dans son ensemble concentre quatre des points de passages maritimes les plus importants du monde (le canal de Suez, le détroit de Bab-el-Mandeb, le détroit d’Ormuz et le détroit de Malacca).

 

La France porte une attention particulière au Golfe et a développé depuis longtemps des accords de défense et de coopération militaire avec les Etats de la région. De fait, elle entretient des relations extrêmement étroites avec l’ensemble des pays du Conseil de coopération du Golfe. Notre coopération avec les Etats riverains s’expliquent d’autant mieux le golfe Arabo-Persique constitue un nœud de l’économie mondiale. Pour mémoire, 30% des exportations mondiales d’hydrocarbures transitent par le Golfe. Une crise majeure dans cette zone aurait donc des répercussions bien plus larges.

 

Comme je l’ai déjà mentionné, la région fait également face à un terrorisme hyper violent qui tente de se sanctuariser en Irak et en Syrie avec la revendication d’un prétendu Etat Islamique, et qui affecte dorénavant directement le territoire national.

 

Il est de la responsabilité de la France, membre du Conseil de sécurité des Nations Unies, d’œuvrer à la réduction de cette menace et à la stabilité de cette région. Elle y prend d’ailleurs toute sa part avec l’opération Chammal….

 

Quatre Task Forces y seront déployées simultanément. Quelles sont-elles et quelles sont leurs missions ?

 

C’est vous dire à quel point l’océan Indien est zone est stratégique pour que la Marine déploie ou contribue dans les semaines qui viennent à quatre Task Forces.

 

Cela permet premièrement de nourrir notre coopération de défense, coopération qui s’appuie sur les accords de défense conclus avec les pays amis. Concrètement, nous organisons des exercices multilatéraux, qui permettent de renforcer notre niveau d’interopérabilité avec nos alliés (locaux mais aussi américains et britanniques). Mais surtout ces Task Forces sont déployées pour participer à la conduite d’opérations.

 

Depuis février, la Task Force 473 (TF 473), c’est-à-dire le groupe aéronaval français intégrant  notamment une frégate britannique, est  présent dans le nord de l’océan Indien et dans le golfe Arabo-Persique. La TF 473 est un élément supplémentaire de la contribution française à la coalition contre Daech. Les opérations en coalition permettront, par ailleurs, d’atteindre un niveau d’interopérabilité avec les Américains jamais obtenu auparavant. La présence de la TF 473 permet aussi d’entretenir les échanges avec les différents pays partenaires de la zone, Arabie Saoudite, Inde, Emirats Arabe Unis, Qatar …

 

La France prend, de plus, le commandement de la Task Force 150. Cette Task Force multinationale s’appuie sur deux résolutions post « 11 septembre » du conseil de sécurité des Nations Unies et a pour objectif la lutte contre le terrorisme et les trafics en mer dans le nord de l’océan Indien. La troisième Task Force est celle de guerre des mines. Elle est déployée jusqu’à la fin du mois de mai pour participer à la sécurisation des routes maritimes au profit de nos bâtiments civils et militaires. Une fois encore, cette Task Force réalisera des actions de coopération avec toutes les marines de la région. Enfin, le groupe amphibie Jeanne d’Arc assurera une présence opérationnelle et diplomatique dans la région.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 07:45
photo EMA

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30/03/2015 Sources : État-major des armées  

 

Du 1er au 14 mars 2015, trois officiers des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont participé en tant qu’observateurs à l’exercice Maliza Ugaidi 15, conduit conjointement par le Burundi, le Rwanda, la Tanzanie, l’Ouganda et les Etats-Unis, à Jinja en Ouganda.

 

Cet exercice interalliés regroupant 300 militaires, policiers et civils visait à les entraîner à la planification et à la conduite d’une opération en coalition, ainsi qu’à renforcer la capacité de coordination entre acteurs civils et militaires.

 

Centré sur un scénario de contre-terrorisme, cet exercice était placé sous le regard attentif de 29 observateurs relevant d’organisations internationales (Nations-unies, Union européenne, Union africaine) et d’ONG (le Comité International de la Croix Rouge). Le Kenya riverain faisait également partie des observateurs dont la principale mission consistait à s’assurer de l’application des procédures communes par l’ensemble des joueurs. Pour la première fois, les FFDj ont rejoint ce dispositif. Cette mission d’observation leur a notamment permis de constater la bonne mise en œuvre des savoir-faire opérationnels transmis dans le cadre des détachements d’instruction opérationnels régulièrement réalisés par les FFDj au profit de nos partenaires africains. Cela a également été l’occasion pour les trois observateurs des FFDj de mieux appréhender la complexité et les contraintes de ce type de déploiement civilo-militaire. Ces derniers sont finalement revenus de l’exercice avec un constat plutôt positif mettant en évidence l’efficacité de l’interopérabilité développée par les acteurs.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces Françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 07:45
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30/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 29 mars 2015, le général Gillet a succédé au général Bellot des Minières à la tête de l’opération Sangarisà l’occasion d’une cérémonie de transfert d’autorité qui s’est tenue sur le camp de M’Poko, à Bangui en république Centrafricaine.

 

La cérémonie a été présidée par le général de brigade Francisco Soriano, commandant les éléments français au Gabon et premier « patron » de la force Sangaris. La chef de l’État de transition, Mme Catherine Samba Panza, et l’ambassadeur de France étaient également présents.

 

Depuis juin 2014, la force Sangaris a conduit des opérations sur l’ensemble des zones fragiles du pays, lui permettant de participer à l’apaisement de la situation sécuritaire du pays, tout en se réorganisant en un dispositif plus réduit mais mobile et réactif. Afin de faciliter le déploiement de la MINUSCA, Sangaris a porté ses efforts sur le couloir central et l’est du pays, s’engageant dans plus de 200 opérations. Sous les ordres du général Bellot des Minières, l’action des soldats de la force Sangaris a permis aux contingents africains dans le pays de multiplier de deux tiers leurs effectifs. Les quelques 5800 hommes alors mobilisés par l’Union Africaine (MISCA) sont aujourd’hui plus de 9400 et portent les couleurs de l’ONU (MINUSCA) depuis septembre 2014.

La force Sangaris a fourni un appui opérationnel à la force onusienne, lui permettant de monter en puissance. Le contrôle de différents postes de sécurité, tels que PK 12, ont ainsi été transmis à la MINUSCA. Malgré quelques poussées de violence, notamment dans Bangui, un palier sécuritaire a été atteint. Pour rehausser ce palier, les militaires français ont opéré en complémentarité avec l’EUFOR et la MINUSCA pour soutenir la restauration de l’autorité de l’État et le redéploiement de l’administration. Aujourd’hui, 80% des écoles accueillent à nouveau leurs élèves, et les échanges commerciaux ont été rétablis sur les axes routiers. Ces résultats attestent d’un retour à une certaine normalité et d’une reprise de l’activité économique.

 

Dans un contexte apaisé, l’action conjointe des forces internationales et l’implication des autorités de transition ont permis la bonne tenue des consultations populaires, première étape du processus politique de réconciliation.

 

Au regard de l’ensemble de ces évolutions positives, la force Sangaris, composée de 2 000 hommes en juin 2014, est passée à un format à 1 700 soldats début mars 2015.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 12:45
Obangamé-2015 Crédits Marine nationale RCI

Obangamé-2015 Crédits Marine nationale RCI

 

29 mars 2015 fratmat.info

 

Les activités militaires maritimes internationales engagées dans les eaux ivoiriennes dans le cadre de l’exercice "Obangamé-2015" ont pris fin le 27 mars dernier, au centre opérationnel de la base navale, à Abidjan.

 

Débuté le 16 mars 2015, cet exercice visait entre autres, à renforcer le partenariat entre les États-Unis et les forces navales des Etats du Golfe de guinée, les liens entre les cadres des Marines nationales, l’instruction des personnels sur la méthodologie de planification d’un exercice interallié.

 

« Ce fut une belle expérience et un honneur pour nous de s’instruire et se frotter aux États Unis dans un même poste de commandement et manœuvrer avec les frères d’armes des pays voisins »,  a déclaré, le Capitaine de Vaisseau N’Guessan, adjoint au contre-amiral Djakaridja Konaté, commandant la Marine nationale.

 

Mieux, il s’est réjoui de l’instruction reçu par ses hommes au cours de cet exercice. C’est d’ailleurs pourquoi, il a tenu à faire une mise garde. « Les barons de la drogue qui ont inscrit le Golfe de guinée dans leur stratégie, nous trouveront désormais très unis, renforcés et intraitables contre toute incursion », a-t-il lancé.

 

Les États riverains du Golfe de guinée, il faut le souligner, sont confrontés à un certain nombre de menaces d’ordres maritimes depuis quelques années. « C’est donc pour relever ce défi, que les États-Unis d’Amérique ont développé un concept de coopération avec les Forces navales africaines sous le vocable d’African partnership station (Aps), dans le but de renforcer la sécurité et la sûreté maritimes », explique une note de la marine nationale ivoirienne.

 

Il faut signaler que le contre-amiral Djakaridja Konaté se trouvait aux mêmes instants à Accra pour la même cérémonie de clôture de l’exercice « Obangamé version ghanéenne »

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 11:45
photo EMA

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27/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Depuis mars 2015, le colonel Hélène est déployée au sein des Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), pour une mission de courte durée. Elle s’est engagée il y a 5 ans comme réserviste, et est affectée à l’Inspection du Service de Santé des Armées (ISSA).

 

Dans le civil, le colonel Hélène est pharmacien général inspecteur de la Santé publique à Dijon. Elle vit actuellement sa première expérience outre-mer, et le liseré vert sur le galon témoigne de sa spécialité « pharmacie ».

 

Au camp de Port Bouët d’Abidjan, elle est adjoint conseiller pharmaceutique du directeur médical, et chef de l’unité de distribution des produits de santé : « nous avons entre 1 et 3 mois de stock de médicaments, de la trousse individuelle du combattant, aux traitements antipaludéens, la dotation EBOLA, le lot de projection initiale, le sang ». Sa journée est rythmée par les missions de soutien aux opérations des forces françaises en côte d’ivoire : prévoir et gérer les commandes de médicaments, ravitailler le centre médical et le bloc opératoire, organiser le stockage, préparer des trousses individuelles du combattant.

 

Elle s’est engagée à servir dans la réserve opérationnelle afin de mettre à profit ses compétences et son expertise au service de l’armée, en vue de participer à des missions d’inspections et d’audits dans les hôpitaux interarmées. Le colonel Hélène indique que « la plus-value d’un pharmacien est notamment d’analyser les consommations et permettre une gestion des stocks optimisée et répondant aux besoins des forces, et de pouvoir le cas échéant  conseiller le commandement ». Très fière de son engagement, le colonel est rigoureuse sur la gestion de la pharmacie : mutualiser, organiser rationaliser et formaliser sont ses maitres mots, pour le succès de la mission des FFCI. Signe de la réussite de son intégration parfaite au sein des FFCI, elle participe aux différentes activités du camp, où elle vient de fêter son anniversaire.

 

Les Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), créées le 1er janvier, assurent la protection des ressortissants français et aident à entretenir la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire (FRCI). Ces forces constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 07:45
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27/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 8 au 12 mars, un détachement d’instruction opérationnel (DIO) issu de la section de reconnaissance régimentaire (SRR) du 2e Régiment étranger de parachutistes, a mené une action de formation  au sein du centre d’instruction commando de Loumia, au sud du Tchad.

 

L’objectif de cette mission était d’instruire les élèves de 3è année de la 26è promotion de l’école des officiers interarmées (TCD) au combat d’infanterie. 70 élèves-officiers tchadiens ont ainsi bénéficié de cette formation

 

Ces quatre jours ont été axés sur l’instruction tactique au combat d’infanterie à pied et motorisé. Une fois les notions théoriques revues, les stagiaires ont appliqué ces savoir-faire grâce à des exercices de mise en situation Ils ont également pu suivre une instruction relative au secourisme au combat et au tir de combat, après avoir revu les fondamentaux du tir au fusil d’assaut FAMAS et AKM.

 

Au terme de cette formation, les futurs officiers tchadiens se sont dits très satisfaits de l’instruction dispensée et des excellentes relations nouées avec l’ensemble des légionnaires parachutistes de la section de reconnaissance régimentaire (SRR).

 

La coopération militaire franco-tchadienne s’inscrit dans le cadre d’une relation ancienne et renouvelée depuis la signature du premier accord de coopération militaire technique en 1976.   Sur le plan opérationnel, elle vise à soutenir la consolidation des forces armées de défense et de sécurité (FADS) du Tchad, en renforçant plus spécifiquement leurs compétences et leurs expertises dans les domaines de la sécurisation des frontières et de la lutte contre le terrorisme. Cela s’inscrit également dans le cadre plus global de la coopération française en Afrique, visant à accompagner les États africains partenaires dans le renforcement de leur sécurité collective. A ce titre, la coopération opérationnelle franco-tchadienne vise à appuyer la formation des contingents tchadiens engagés dans des opérations de maintien de la paix.

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 07:45
Ebola : visite de la secrétaire générale de l'organisation internationale de la francophonie au CTS

 

27/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 23 mars, le médecin en chef Boutin, commandant le centre de traitement pour les soignants (CTS) a eu l'honneur d'accueillir son excellence Michaële Jean, secrétaire générale de l'organisation internationale de la francophonie (OIF) lors de sa première visite officielle en Afrique.

 

Accueillie par les autorités militaires du CTS, la secrétaire générale a pu découvrir les différents pôles d'activités du centre, le poste médical, mais aussi le laboratoire, le sas d'habillage et de déshabillage, ainsi que la tente d'accueil et de transit pour accéder à une chambre individuelle à usage unique. Le directeur médical et le chef du CTS ont expliqué les principes fondamentaux de ce centre, dont le dispositif respecte l'environnement, l'intégration auprès de la Coordination Nationale de Riposte Ebola (CNRE) le partage d'expérience et d'expertise avec les partenaires internationaux, et enfin l'intégrité culturelle, religieuse et communautaire des patients.

 

Avant son départ, la secrétaire générale de l'OIF a rendu visite aux deux patients guéris de la maladie après deux semaines de prise en charge, et dont la sortie était imminente. Elle s'est donc rendue à l'espace communautaire, espace délimité par une zone de sécurité, où les familles peuvent quotidiennement venir voir leur proche hospitalisé et participer ainsi à l'accompagnement psychologique. Malgré cette distance, la rencontre a été forte en émotion grâce à l'énergie positive de ces deux médecins guinéens qui souhaitent pouvoir partager leur expérience avec leurs homologues. La rapidité de prise en charge est l'une des raisons principales de leur guérison. L'un d'entre eux a déclaré : « quand on est arrivé au CTS, on a senti l'espoir ! ».

 

Ebola : visite de la secrétaire générale de l'organisation internationale de la francophonie au CTS

Ce centre engage depuis le 14 janvier près de 120 militaires, dont 70 proviennent du service de santé des armées (SSA) et du régiment médical de la Valbonne et une vingtaine viennent du 2e régiment de Dragons de Fontevraud, dont la spécialité est l’intervention face aux dangers nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques. Une quarantaine de militaires sont dédiés au commandement et au soutien logistique de ce centre.

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 07:45
photo EMA / ECPAD

photo EMA / ECPAD

 

27/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Déployé au sein du centre de traitement de soignants (CTS) de Conakry en Guinée, le sergent-chef Eric est réserviste à l'hôpital d'instruction des armées (HIA) de Brest. Dans le civil, il est aide-soignant en clinique à Vannes, et parvient à concilier sa vocation médicale auprès de ses patients et son engagement au sein des armées.

 

Le 14 janvier, l'équipe médicale et paramédicale du premier mandat du CTS est arrivée sur la base aérienne de Conakry où le centre venait tout juste d'être construit. Il a fallu tout d’abord organiser le centre. L'acclimatation s'est parfaitement déroulée pour le sergent-chef Eric, fort de ses précédentes missions. Des formations complémentaires lui ont permis de prendre ses marques et d'intégrer les nombreuses procédures, dont celles rigoureuses de la biosécurité. Le sergent-chef Eric s’est assuré du soutien psychologique des patients tout au long de sa mission. Son meilleur souvenir restera la première sortie d’un de ses patients guéris, confit-il avec un sentiment de fierté et de victoire face à la maladie.

 

Eric a fait ses débuts dans l'armée de Terre à 19 ans dans le cadre de son service militaire, en tant que fantassin. Puis il a signé son premier contrat dans l'armée professionnelle, et quelques années plus tard il a rejoint le service de santé en tant qu’auxiliaire sanitaire en régiment. Sa première opération extérieure à ce poste a été en Ex-Yougoslavie, en 1993. Après son retour à la vie civile, le sergent-chef Eric a intégré la réserve opérationnelle en 2006, au sein de l'unité d'intervention de réserve (UIR) du 3e régiment d'infanterie de marine de Vannes (3e RIMa). Pleinement investi, il y consacre 90 jours par an. En 2008, il participe à sa première opération extérieure en tant que réserviste de santé en République centrafricaine (RCA). Aujourd’hui il a rejoint le service de santé des armées au service des urgences de l'HIA de Brest.

 

L'expérience d'Eric démontre qu'il est possible d'allier une carrière dans le civil et un engagement dans la réserve militaire. Ses camarades au CTS n’ont réalisé que très tard qu'il était réserviste. Son intégration s'est faite naturellement et sans distinction. Pour lui, «La confiance entre binômes est indispensable». Ses savoir-faire lui sont utiles sur les plans civil et militaire, et Eric a vite trouvé son équilibre entre sa vie civile et sa fonction de réserviste. Son employeur y a gagné un personnel expérimenté, ouvert sur le monde, garant de valeurs de dépassement de soi et de cohésion. Signe de sa volonté et de l’épanouissement que lui procure le métier de réserviste, le sergent-chef prépare son prochain départ en opérations extérieures, dans quelques mois.

 

Le 2emandat du CTS mobilise depuis le 20 mars, près de 120 militaires français. Rattachés au service de santé des armées (SSA) et au régiment médical de la Valbonne, plus de 70 d'entre eux en sont issus. Le reste du détachement est constitué d’une vingtaine de militaires du 2erégiment de Dragons de Fontevraud, dont la spécialité est l’intervention face aux dangers nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques, et d’une vingtaine de militaires dédiés au commandement et au soutien logistique de ce centre. Il répond à l’objectif que se donne la France de lutter activement contre la maladie en étant intégré à la Task Force Ebola (TFE). Il est destiné aux soignants guinéens et ceux de toute autre nationalité amenés à œuvrer dans la lutte contre le virus Ebola dans le pays.

photo EMA / ECPAD

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 05:45
Opération Barkhane : mission de ravitaillement par air

 

27/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 20 mars 2015, dans le cadre de l’opération Barkhane, le Groupement de transport opérationnel (GTO) basé sur le détachement air (DETAIR) de Niamey au Niger, a réalisé une mission tactique de transport au sein de la bande Sahalo-saharienne.

 

L'objectif de la mission était d’effectuer un « largage gravité » en vivres et matériels au-dessus du Nord Mali, dans la région de Terz, afin de ravitailler des unités du fuseau Ouest de Barkhane stationnées ponctuellement dans cette région.

 

L’équipage s’est rendu à Gao, où se trouvait l’équipe de largage du 1er Régiment du train parachutiste (RTP). Une réunion s’est tenue entre l’équipage de largage et les personnels en relation avec les troupes au sol qui recevront la livraison, permettant ainsi de rassembler et coordonner toutes les données inhérentes à la mission. La présentation de la zone, le briefing météo, les coordonnées géographiques, les procédures de largage, ou encore la situation tactique de la manœuvre ont été étudiés afin d’anticiper toutes complications pouvant porter atteinte au bon déroulement de la mission. Un avion de transport C160 Transall a ainsi été chargé de près de sept tonnes de vivres et matériels. Après plus d’une heure de vol en haute altitude pour rejoindre la zone concernée, le Transall a effectué sa livraison par air à 125 mètres d’altitude.

 

Ces missions tactiques de transport de moyens logistiques effectuées par le GTO sur les théâtres d’opérations doivent s’affranchir des contraintes de transport en zone d’insécurité. Elles sont déterminantes pour les missions car elles permettent d’assurer le ravitaillement logistique.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la BSS.

Opération Barkhane : mission de ravitaillement par air
Opération Barkhane : mission de ravitaillement par air
Opération Barkhane : mission de ravitaillement par air
Opération Barkhane : mission de ravitaillement par air
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28 mars 2015 6 28 /03 /mars /2015 07:45
Boko Haram (Mar 2015) - credits BBC

Boko Haram (Mar 2015) - credits BBC

 

26 mars 2015 Romandie.com (AFP)

 

Niamey - Les armées du Tchad et du Niger poursuivent leur offensive contre Boko Haram dans le nord-est du Nigeria, fief des insurgés islamistes, où elles ont repris la ville de Gachagar, a indiqué jeudi à l'AFP le ministre de la Défense nigérien.

 

Nous avons pris Gachagar, une ville nigériane proche de la frontière avec le Niger, a déclaré le ministre Mahamadou Karidjo, qui a évoqué des bombardements aériens et terrestres menés ces derniers jours dans le nord-est du Nigeria par les armées tchadienne et nigérienne.

 

Nous nous dirigeons vers Malam Fatori, une autre ville nigériane frontalière avec le Niger, a poursuivi le ministre, qui a fait état de quelques accrochages avec les insurgés, sans évoquer d'éventuelles pertes humaines.

 

Selon l'armée nigérienne, des combattants de Boko Haram se sont repliés au sud de Malam Fatori, après plusieurs défaites successives au cours des dernières semaines. L'armée nigériane affirme à l'inverse que Malam Fatori est sous son contrôle.

 

Tchad et Niger mènent depuis le 8 mars une offensive terrestre et aérienne contre Boko Haram dans le nord-est du Nigeria, à partir du sud-est du Niger voisin.

 

Ils ont notamment repris Damasak. Située à une trentaine de kilomètres de la ville nigérienne de Diffa, la localité de Damasak avait été conquise par les islamistes nigérians fin novembre 2014.

 

Des bombardements aériens ciblés sont en cours depuis quelques jours contre des positions de Boko Haram en territoire nigérian, a déclaré jeudi à l'AFP un cadre de la municipalité de Diffa, capitale du sud-est du Niger, frontalière avec le Nigeria.

 

Selon un journaliste local, ces frappes sont menées depuis le début de la semaine sur les zones encore tenues par Boko Haram.

 

Ce (jeudi) matin, nous avons aperçu des avions militaires se diriger vers le Nigeria pour de probables bombardements, a-t-il affirmé.

 

Une source humanitaire a de son côté mentionné des mouvements de troupes nigéro-tchadiennes jeudi matin et des combats avec des combattants de Boko Haram.

 

Le groupe islamiste avait multiplié les conquêtes territoriales dans le nord-est du Nigeria courant 2014 mais a été mis à mal dans son fief par l'opération lancée début février par le Nigeria avec l'appui décisif des pays voisins, Tchad en tête.

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 12:45
ONU : effectifs réduits en RDC

Territoire de Kalehe, Sud-Kivu : Le pont Luzira vient d’être remis officiellement le lundi 16 février 2015 au gouvernement provincial, après sa réhabilitation par la MONUSCO/Sud-Kivu. Photo MONUSCO/Tahina Andriamamonjitianasoa

 

26.03.2015 par BBC Afrique

 

Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté une résolution pour réduire d’ici quelques semaines la taille de la mission de l'ONU en RDC, la plus grande du monde, de 2000 soldats.

 

En effet, le Ministre congolais des Affaires Etrangères avait déclaré la semaine dernière que la RDC était prête à prendre la pleine charge de sa propre sécurité.

Pourtant, le chef de la mission de l’ONU au Congo l’a contré en affirmant qu’il y avait encore à faire pour réduire la menace des groupes armés contre les civils, et que tout retrait de la mission devait être progressif. Des groupes de la société civile ont quant à eux demandé à ce que la mission de l'ONU augmente ses troupes en RDC d’ici l'élection présidentielle prévue l'année prochaine.

 

Suite de l’article

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 08:45
photo R. Veron - FFDj

photo R. Veron - FFDj

 

26/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Comme chaque année, l’hôpital médico-chirurgical militaire français (HMC) Bouffard, situé à Djibouti a dressé son bilan d’activités.

 

L’Hôpital Médico-Chirurgical Bouffard est une formation des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj) composée de personnel médical du service de santé des armées françaises. Sa mission principale est le soutien santé des membres des FFDj et de leurs familles. L’HMC Bouffard assure également une mission complémentaire de soutien du personnel des Forces Armées djiboutiennes (FAD) et de la gendarmerie locale. Selon les disponibilités, elle soigne aussi la population djiboutienne dans le cadre de l’aide médicale aux populations.

 

Pour l’année 2014, ce sont plus de 7 500 journées d’hospitalisation en médecine, chirurgie et réanimation qui ont été réalisées sur plus de 2 000 patients. Le service des urgences a accueilli, quant à lui, environ 4 400 patients. Enfin, les domaines spécialisés (soins dentaire, chirurgie, ORL, psychiatrie, anesthésie) totalisent près de 10 000 consultations. La majorité des interventions se sont faites au profit des militaires et civils djiboutiens (88% des journées d’hospitalisation et 61% des consultations).

 

Par ailleurs, l’HMC Bouffard contribue à la formation des futurs médecins djiboutiens en les accueillant pour des périodes de stage au sein de ses différents services. L’an passé, 30 externes djiboutiens ont ainsi été formés. En 2016, l’HMC Bouffard sera rétrocédé à l’Etat djiboutien, selon le traité de coopération en matière de défense en vigueur entre la France et Djibouti. Le soutien médical des FAD sera alors pris en compte par le nouvel hôpital militaire djiboutien.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise.

photo R. Veron - FFDj

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 08:45
Côte d’Ivoire : les forces françaises en Côte d’Ivoire en exercice

 

26/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 16 au 21 mars 2015, les Forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) ont conduit un exercice de synthèse au camp Port-Bouët, en Côte d’Ivoire.

 

Cet exercice visait à contrôler les savoir-faire des militaires dans le domaine de la sécurisation, tout en contribuant à leur maintien en condition opérationnelle. Centré sur un scénario de dégradation sécuritaire, cet entraînement a permis de renforcer les capacités des militaires dans des domaines aussi variés que l’action défensive, le contrôle de foule, le secours aux populations ou encore la préparation à l’évacuation de ressortissants.

 

Après le signal de rassemblement, deux sections armées par la compagnie de commandement et de logistique (CCL) se sont regroupées pour recevoir leurs armements, vivres, et transmissions. La CCL avait pour mission d’assurer la défense du camp, appuyée par les détachements des services (infrastructure, essences, commissaires,..). Tous se sont déployés dans les différents postes de défense entourant le camp, celui-ci étant interdit d’accès pour la durée de l’exercice. Une intrusion a été simulée, et les gendarmes se sont chargés d’interpeller l’intrus. Les fantassins ont quant à eux dû  conduire un exercice de contrôle de foule. Parallèlement, une évacuation sanitaire à partir d’un poste de combat situé en hauteur a été déclenchée. L’équipe de protection a dû dispenser les gestes de premiers secours à un blessé inconscient, évacué jusqu’au centre médical.

 

Pendant ce temps, l’escadron blindé du 1er régiment de Spahis s’est préparé à se déployer sur l’aéroport Félix Houphouët-Boigny. En cas de dégradation sécuritaire, il aurait pour mission  d’accueillir les renforts venant d’autres théâtres, et d’appuyer une éventuelle évacuation de ressortissants. Un troisième détachement est venu appuyer le dispositif, en cas de récupération de ressortissants depuis les points de rassemblement identifiés avec le consulat.

 

Les forces françaises stationnées en Cote d’Ivoire (FFCI) constituent la base opérationnelle avancée française sur la côte Ouest de l’Afrique et un réservoir de forces. Base de soutien logistique aux forces engagées dans la bande sahélo-saharienne, elles agissent dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Côte d’Ivoire et la France en assurant des missions de coopération militaire avec les forces armées ivoiriennes. Par le maintien d’une présence militaire à Abidjan, elles assurent la protection des ressortissants, si nécessaire.

Côte d’Ivoire : les forces françaises en Côte d’Ivoire en exercice
Côte d’Ivoire : les forces françaises en Côte d’Ivoire en exercice
Côte d’Ivoire : les forces françaises en Côte d’Ivoire en exercice
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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 08:45
Nigerian Air Force Alpha Jets flying with Alenia G-222 (C-27 Spartan) photo Kenneth Iwelumo

Nigerian Air Force Alpha Jets flying with Alenia G-222 (C-27 Spartan) photo Kenneth Iwelumo

 

26 March 2015 by defenceWeb

 

The Nigerian Air Force has acquired at least two second hand Dassault/Dornier Alpha Jet trainer and light attack aircraft as it continues to expand its aerial fleet.

 

One of the jets was seen passing through the United Kingdom on 25 March, having travelled from the United States via Iceland. It then continued to Palma de Mallorca, Spain, on its way to Nigeria, reports Air Forces Daily.

 

It was flown by Air USA Inc, which specialises in military air combat readiness training and flies Hawks, Alpha Jets, MiG-29s and L-59 Super Albatroses. The Alpha Jet seen transiting the UK was cancelled from the United States register on 19 March together with a second Alpha Jet, both originally flown by the Luftwaffe before operating in the States.

 

The delivery status of the second aircraft is unclear. It is also not clear if the two Alpha Jets are attrition replacements or part of a larger batch being acquired by the Nigerian Air Force (NAF).

 

Air USA Alpha Jets were converted for night vision goggle (NVG) operations, according to the company, and flight certified for operational use of TER, IMER and SUU-20 bomb racks.

 

Nigerian Alpha Jets have been used in the ground attack role to strike Boko Haram targets and a couple have been lost on operations: one crashed in Niger, killing two pilots, in May 2013 while another went down in September last year.

 

The NAF has recently reactivated a number of its Alpha Jets. A total of 24 were acquired in the 1980s but several have been lost in crashes. Apparently 11 have been made flyable again.

 

In addition to refurbishing some of its existing aircraft such as the Alpha Jets, L-39s, Super Pumas and C-130s, the NAF is also acquiring additional platforms. For instance, it recently inducted Gazelle helicopters, which are believed to have entered service in February this year.

 

Three Beechcraft King Air 350i light transport aircraft were delivered in August last year, together with two AgustaWestland AW101 VIP transport helicopters. The NAF is also acquiring six Mi-35M attack helicopters and 12 armed Mi-171Sh helicopters, which were ordered in August 2014.

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 08:45
SAS Strikecraft OPV

SAS Strikecraft OPV

 

26 March 2015 by Dean Wingrin/defenceWeb

 

Operation Copper, the anti-piracy deployment in the Mozambique Channel, is a demanding and expensive operation that is stretching the South African Navy, according to Flag Officer Fleet.

 

In his recent state of the Navy briefing, Rear Admiral Bravo Mhlana said that sustaining the seven day a week, 24 hour a day presence “is an extremely demanding operation in terms of logistic support and sustainment.”

 

The Navy has been involved in Operation Copper since SAS Mendi commenced patrols in January 2011. An operational pause was undertaken in July 2012 as the use of the frigates “was proving costly and expensive.” It was then decided to introduce the Warrior-class Offshore Patrol Vessels (OPVs) into Operation Copper. Since then, deployment duties have rotated between the frigates and the OPVs, “with OPVs typically spending six weeks on station and the frigates up to four months on station.”

 

The replenishment ship SAS Drakensberg has also been sent to patrol for pirates, and assisted European warships in apprehending seven Somali pirates in early 2012.

 

Operation Copper has accounted for the bulk of the Navy’s total sea days. Whilst no actual figures were available, Mhlana said that the frigates were meant to operate approximately 120 days at sea a year, but the intense nature of Operation Copper forced the Navy to operate the frigates at a rate of over 220 sea days a year for each frigate.

 

“I must indicate that the last financial year was dominated by the OPVs which came to us as a big relief as the frigates could focus on other deployments and international commitments that happened for us in this particular year,” Mhlana explained.

 

“(For) the OPVs themselves, the mileage they gained from Operation Copper is far higher than in any other period since the inception of democracy in 1994.” Despite the challenges “that puts a strain on the finances of the organisation, we have more days at sea now than we have had before.”

 

Whilst the current mandate for Exercise Copper expires at the end of March, the Navy is preparing a frigate to replace the OPV on station. “We have no indication that Operation Copper will be terminated in a short space of time,” Mhlana said, as the Navy always waited “until the last day to get confirmation of the continuation of Operation Copper.”

 

“SAS Isaac Dyobha will return towards the end of next week [this week] and by that time SAS Isandlwana will be ready to take over. They are currently undergoing workup and operational sea training evaluation before we can confirm them mission ready…Until such time as we receive any instruction to discontinue, we will get ourselves ready.”

 

Although Mozambique and Tanzania are the other two SADC nations who have committed to supporting Operation Copper, South Africa is the major contributor of both personnel and equipment – for instance, Mozambique only contributes a few personnel aboard South African Navy ships.

 

The South African Air Force contributed shore-based aircraft from Pemba but apparently this is no longer the case.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 21:45
photo Sangaris / Armée de Terre

photo Sangaris / Armée de Terre

 

26/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Cette semaine a été marquée par la visite, le 21 mars, du chef de l’Etat de transition à Ndélé, afin de réaffirmer l’autorité de l’État dans cette ville.

 

Elle était accompagnée d’une délégation composée du nouveau préfet de Ndélé, d’une vingtaine de professeurs, et d’un groupe de gendarmes qui resteront sur place pour relancer les institutions gouvernementales. La dernière visite d’un chef d’État centrafricain à Ndélé remontait à 2011. Dans la capitale, le commissariat du 3e arrondissement a été inauguré vendredi 20 mars.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo Sangaris / Armée de Terrephoto Sangaris / Armée de Terre

photo Sangaris / Armée de Terre

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 21:45
A SAAF Oryx at the Rand Show 2012

A SAAF Oryx at the Rand Show 2012

 

26 March 2015 by defenceWeb

 

The SA National Defence Force (SANDF) will be part and parcel of the Rand Show right from the official opening Friday after next along with arena and static displays for the duration of the event at the Johannesburg Expo Centre.

 

Of the more than 10 000 square metres of display space that will be taken up by the military, a major portion will be dedicated to careers in the SANDF. To be housed in Hall 10A, the career expo will, in addition to having representatives from all four arms of service on hand to answer questions, also have Army Young Lions and Air Force Young Falcons present. They will tell, in their own words, what these two arms of service are like, having done camps and been involved in some of the musterings, ranging from pilots, navigators and flight engineers through to artillery and mortar men as well as Sappers, the military name for an engineer whose work ranges from blowing up bridges and roads to building them and providing clean water.

 

Another part of the indoor exhibition will be a display showing a typical day in the life of a soldier. Also of interest to those thinking of joining the SANDF, more specifically the Signals Formation, will be a display pitting first generation communication methods such as Morse Code against modern signalling equipment and technology.

 

Rand Show visitors will also be able to show their support for soldiers on peace support and peacekeeping missions in the DRC and Sudan. 11 Field Postal Unit, an active Reserve Force unit staffed by Post Office employees, will be open for the duration of the show and have goodwill postcards waiting for messages.

 

The outdoor exhibition will feature, among others, the Ratel ZT3, Gecko rapid deployment vehicle, Badger infantry combat vehicle, Rooikat armoured vehicle, radar systems, a tactical intelligence post with working cameras, the Rooivalk combat support helicopter, Umlindi radar, a flight simulator, a dive tank and compression chamber as well as elements of a field hospital and emergency medical, disaster and search and rescue equipment.

 

The military will this year also be hands-on with visitors to the SANDF exhibition able to try their skills on driving, shooting and missile simulators.

 

The SAAF Silver Falcons aerobatic team, headquartered at AFB Langebaanweg, will perform displays as will Hawk Mk120 Lead-In Fighter Trainers from 85 Combat Flying School at AFB Makhado. Their displays will coincide with SANDF arena displays including fast-roping of specialist infantry from an Oryx helicopter, an artillery gun run, precision drill and parachute jumps (weather permitting).

 

The military contribution to the opening on Friday April 3 will be in the form of a massed band comprising the SA Military Health Service band, the SA Army’s Kroonstad band and the SA Navy band.

 

The Rand Show closes on April 12.

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 21:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

26/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Ces dernières semaines ont été marquées par trois opérations majeures, réparties sur l’ensemble de la zone d’opération : une opération à l’ouest du Mali avec les forces armées mauritaniennes (région Ouagadou), une au Nord du Mali (région Tighargar), et une au Nord du Niger avec les forces armées nigériennes (région Madama). L’objectif de ces opérations est d’empêcher les groupes armés terroristes de se réinstaller, et de permettre aux pays partenaires de s’approprier pleinement cette lutte. La dernière en date, dans le massif du Tighargar, a abouti à la destruction d’un millier d’obus, de 4000 munitions et d’un groupe de combattants terroristes. Elle a permis de confirmer qu’il n’existe plus de sanctuaire terroriste dans cette zone, même si le terrain est ponctuellement utilisé à des fins logistiques et d’entraînement.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armées terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA / Armée de Terre
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photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 17:45
Un VBL (Véhicule Blindé Léger) et un char ERC-90 Sagaie du 1e RHP au cœur du Sahara au cours d’une opération bipartite au nord du Niger avec l’armée nigérienne

Un VBL (Véhicule Blindé Léger) et un char ERC-90 Sagaie du 1e RHP au cœur du Sahara au cours d’une opération bipartite au nord du Niger avec l’armée nigérienne

 

26.03.2015 par Thomas Goisque

 

Opération Barkhane. Aux côtés des soldats nigériens, les légionnaires français du 2e REP luttent contre les islamistes aux confins d’un territoire plus vaste que l’Europe. Une traque incessante de la Mauritanie au Tchad en passant par le Mali, le Burkina Faso et le Niger.

 

Au milieu du Sahara non loin des frontières libyenne et algérienne, le vieux fort méhariste de Madama a retrouvé un rôle stratégique tandis que les unités du Génie construisent à quelques encablures une nouvelle Base Opérationnelle Avancée et une piste d’atterrissage en latérite.

 

Un reportage exclusif à découvrir ce week-end dans le Figaro-Magazine et dès aujourd’hui sur le site internet.

 

Accéder directement au reportage

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