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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 17:45
photos Marine Nationale

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11/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 6 au 7 mars 2015, dans le cadre du déploiement des Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), le détachement d’intervention lagunaire (DIL) a appuyé la flottille amphibie du transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco dans le cadre d’une mission de reconnaissance de « plageage » à Abidjan.

 

L’objectif de cette mission était la validation des sites propices à un débarquement, c’est-à-dire une reconnaissance des plages et de leur cartographie. Cette opération permettra à la flottille amphibie de produire un document de synthèse sur la modélisation des plages et leur variabilité en vue d’éventuelles évacuations de ressortissant (REVAC).

 

Armé par le 3èmerégiment de génie de Charleville-Mézières, le DIL réalise des patrouilles quotidiennes sur la lagune d’Ebrié, au cœur d’Abidjan, et en connait toutes les menaces : hauts fonds, bancs de sable, jacinthes flottantes et îlots de déchets. Le DIL a guidé le chaland de transport de matériel (CTM) du Siroco pour cette mission, ce qui a permis à l’échelon naval de plage de reconnaitre les accès de la zone, ainsi que de baliser et conduire une reconnaissance nautique et cartographique de la zone de débarquement. Les sapeurs du DIL ont sécurisé la zone de plongée où la flottille amphibie réalisait ses relevés.

 

Effectuée avec le soutien des marins du Siroco et de la flottille amphibie, actuellement en mission Corymbe, cette opération de reconnaissance a permis d’actualiser les données des plans d’évacuation qui seraient mis en œuvre en cas de catastrophe naturelle ou de de dégradation sensible de la situation sécuritaire.

 

Les FFCI, créées le 1erjanvier 2015, assurent la protection des ressortissants français et aident à entretenir la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire. Elles sont en mesure d’appuyer les partenaires de la région, notamment l’ONUCI. Elles constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

photos Marine Nationalephotos Marine Nationale

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 16:45
FS Floréal – photo Consulat de France Cape Town

FS Floréal – photo Consulat de France Cape Town

 

11 March 2015 by Dean Wingrin - defenceWeb

 

Cape Town has seen a profusion of visiting foreign naval ships these past few weeks and now it is the turn of the French surveillance frigate Floréal to delight in what the Cape has to offer.

 

Floréal (F730), based in Port-des-Galets, Reunion Island, is visiting Cape Town as its first port of call since departing on a patrol of French overseas territories approximately 30 days ago.

 

Floréal’s main action areas are the Indian Ocean (Eastern Africa and Southern Asia) and the French Exclusive Economic Zones (EEZ) north of the Antarctic. Thus, she is a regular visitor to Cape Town. Having arrived on 6 March, she will be using her short stay to refuel, perform routine maintenance and allow the crew a few days R&R (Rest and Recuperation).

 

Commander Marc Woodcock, Officer Commanding Floréal, told defenceWeb that they had just endured some really rough seas and cold temperatures whilst performing surveillance in the EEZ of the islands of Kerguelen, Crozet and St Paul and Amsterdam, also known as the Desolation Islands, in the southern Indian Ocean.

 

These islands, among the most isolated places on Earth, are part of the French Southern and Antarctic Lands and are administered as a separate district. There are no indigenous inhabitants, but France maintains a permanent presence of scientists, engineers and researchers.

 

The area is known for being rich in the fragile Patagonian Toothfish species and thus the Floréal ventured as far as 50 degrees south to ensure no illegal fishing activities were taking place.

 

“The temperature went down to approximately 2 degrees Celsius,” Woodcock said, “We can’t go beyond 60 degrees south as it is an international demilitarised zone and warships can’t go down there.”

 

Of course, fishery patrol is not their main mission. “It is, first of all, sovereignty. Because it is French zones, it is important to show we are there and know what is happening. It is our number one mission. Fishery, EEZ is the economic aspect of it,” Woodcock explained.

 

Floréal carries out several different tasks such as anti-piracy missions, maritime surveillance, fishing patrols in Austral and Antarctic French economic areas as well as public service operations and the enforcement of France’s international defence agreements.

 

Woodcock notes that the frigates (Floréal and her sister ship Nivôse which is also based at Reunion Island) are multi-mission vessels and are deployed in various types of operations.

 

“We have a Panther maritime helicopter aboard and a large boarding team. Also permanent satellite communications and air surveillance radar. Our assets allow us to do all kinds of things, which differentiates us from the patrol boats,” he remarked.

 

Floréal will resume her patrol on Thursday 12 March and is expected to be back in Reunion in mid-April. The route home will include patrolling French islands and protectorates in the Mozambique Channel.

 

Although France is not part of the Operation Copper anti-piracy mission in the Mozambique Channel, Woodcock says that they are available to assist should they be close and in international waters.

 

Floréal is the first vessel of a series of six surveillance frigates of the same class. She was built by Chantiers de l’Atlantique in Saint-Nazaire and commissioned in March 1992. With an overall length of 93.5 meters and breadth of 14 meters, the frigate Floréal displaces 2 800 tons. She is armed with one 100 mm and two 20 mm multipurpose guns and four 12.7 mm browning guns. The Floréal is also fitted with a Eurocopter Panther helicopter. The crew is composed of 98 sailors: 14 officers, 65 petty officers and 19 seamen.

 

Floréal will be back in South African waters in September this year when she participates in Exercise Oxide 2015, the joint maritime exercise held between the French naval forces stationed at Reunion Island and the South African Navy. The exercise will once again take place in the Richards Bay area. The Reunion Island-based French Navy Amphibious Supply Ship La Grandière”visited Richards Bay in mid-February.

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 16:45
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

11/03/2015 Actus Air

 

Jeudi 5 mars 2015, le détachement d’hélicoptères Fennec a réalisé sa 500e mission au-dessus du territoire centrafricain.

 

Ce vol, réalisé dans le cadre d’une mission de reconnaissance dans le sud-ouest du pays, souligne le professionnalisme des équipages et des mécaniciens. Déployés sur la base de M’Poko, depuis décembre 2013, les aviateurs des escadrons d’hélicoptères 3/67 « Parisis » et 5/67 « Alpilles » réalisent quotidiennement des missions d’appui renseignement et d'appui-feu au profit de la force Sangaris. L’excellente disponibilité technique est due au travail des mécaniciens des escadrons de soutien technique aéronautique 2E/060 « Yvelines » et 2E/005 « Barronies ».

 

Reportage sur des aviateurs au coeur de l'Afrique.

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 16:45
FFDj : retour d’expérience du 21e RIMa

 

11/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 25 février, le capitaine commandant la 4e compagnie du 21e régiment d’infanterie de marine (RIMa) a rendu le fanion de la 1re compagnie du 5e régiment interarmes d’outre-mer (RIAOM) après un mandat de 4 mois à Djibouti. Cette mission de courte durée aura été l’occasion pour les marsouins d’entretenir les aptitudes opérationnelles indispensables pour tout déploiement en milieu désertique. C’est à la fois plus aguerris et manœuvriers qu’ils ont donc réintégrér leur unité en métropole.

 

La 4e compagnie du 21e RIMa de Fréjus a été projetée en novembre 2014 à Djibouti pour renforcer les Forces Françaises stationnées à Djibouti. Ce déploiement constituait également une période de maintien en condition opérationnelle pour les marsouins qui ont dû évoluer en faisant face à la rudesse du climat et de l’environnement djiboutien.

 

Après une période d’acclimatation durant laquelle les premières séances de tirs et de manœuvres ont eu lieu, la compagnie a pu dominer pleinement son nouvel environnement et confirmer le réglage des optiques FELIN. Les instructions interarmées dispensées au sein des FFDj ont également permis de valider les capacités des sections à réaliser des opérations héliportées et aérotransportées, ainsi que des demandes d’appui feu par hélicoptère Gazelle, dans un milieu particulièrement hostile et exigeant. Après plusieurs semaines, les 136 membres de la compagnie ont poursuivi et approfondi leur savoir-faire dans le domaine du tir et de l’évolution tactique au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD). Déployés sur la plage qui jouxte le CECAD, dite « plage des Italiens », ils ont pu s’entraîner au parcours de tir niveau section ainsi qu’aux phases de combat à pied, pour affiner et adapter les dernières procédures, avant de participer à la formation des lieutenants des écoles d’infanterie et de cavalerie le mois suivant.

 

En outre, 170 stagiaires accompagnés de leur capitaine ont arpenté les premières lignes de crêtes, pistes collectives et individuelles pour une séquence de 3 semaines de stage opérationnel intense : « QAID 2015 ». Cette période a été ponctuée par la visite d’auditeurs de l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale (IHEDN) qui a conduit la compagnie à se réarticuler, faisant ainsi valoir sa capacité d’adaptation.

 

FFDj : retour d’expérience du 21e RIMaFFDj : retour d’expérience du 21e RIMaFFDj : retour d’expérience du 21e RIMa
FFDj : retour d’expérience du 21e RIMa

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la république de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. Elles participent ainsi au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de force pouvant être projetées en cas de crise. Par ailleurs, les FFDj bénéficient d'une capacité d’entraînement permanente, avec comme principal « outil » le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert de Djibouti (CECAD) qui accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, des unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDj : retour d’expérience du 21e RIMa
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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 08:45
photo BHO Beautemps Beaupré - Marine Nationale

photo BHO Beautemps Beaupré - Marine Nationale

 

10 Mars 2015 Sources : Marine nationale

 

Depuis le 8 février et jusqu’au 29 mars, le bâtiment hydrographique et océanographique (BHO) Beautemps Beaupré conduit un déploiement dans la zone de protection renforcée temporaire de Mauritanie (ZPRT). Ayant pour mission la mise à jour des cartes et des informations nautiques des approches et des ports de Nouakchott et Nouadhibou, leBeautemps Beaupré opère dans les eaux mauritaniennes.

 

Ces ports constituent les poumons économiques et stratégiques de la Mauritanie mais également l’accès à la mer de nombreux pays du Sahel. L’essentiel des exportations de minerais de la région passe par le cap Blanc et Nouadhibou alors que la plus grande partie des marchandises débarquées à Nouakchott partent pour le Mali. Cette mission entre dans le cadre des missions d’hydrographie nationale du SHOM à travers les engagements internationaux de la France. Les travaux qui seront réalisés par le Beautemps Beaupré et le service hydrographique de la marine faciliteront les accès aux principaux ports participant ainsi au développement économique de la région et donc à sa stabilité politique.

 

Par ailleurs, ces deux ports constituent des points d’appui logistiques potentiels pour les opérations militaires dans la région du Sahel.

 

Chaque jour, l’activité du bâtiment et de son équipage obéit à un tempo bien rôdé :

 

7h, les travaux commencent au lever du jour par la mise à l’eau des 2 vedettes hydrographiques. Le personnel débarqué pour les travaux à terre est sous la protection des fusiliers mauritaniens.

 

La journée se poursuit par différentes opérations telles que la mise à l’eau d’appareils de mesures soit directement soit par les plongeurs, le ravitaillement et les réparations en liaison avec la terre et la marine mauritanienne ou encore le soutien médical au profit d’expatriés français.

 

photo BHO Beautemps Beaupré - Marine Nationalephoto BHO Beautemps Beaupré - Marine Nationale
photo BHO Beautemps Beaupré - Marine Nationalephoto BHO Beautemps Beaupré - Marine Nationale

photo BHO Beautemps Beaupré - Marine Nationale

Au coucher du soleil, les vedettes sont embarquées et le Beautemps Beaupré fait route vers le large.

 

La nuit est parfois l’occasion d’une rencontre avec un autre bâtiment français. Bien souvent, ce créneau permet au bâtiment de mettre à l’eau d’autres appareils de mesures capables de réaliser des prélèvements nécessaires à la poursuite des levés de fonds des chenaux d’approche portuaire.

 

Les cartes de la région du banc d’Arguin, lieu du drame de la Méduse il y aura 200 ans en 2016, n’ont pas été mises à jour depuis 1964 alors que le port de Nouadhibou et son activité commerciale se sont profondément développés.

 

Moyen efficace et singulier agissant pour l’anticipation et la connaissance, le Beautemps-Beaupré allie prises de données à caractère scientifique pour la Défense et recueil de renseignements d’ambiance à vocation militaire. Il est présent à la fois dans des zones peu fréquentées par les bâtiments de la flotte mais également au cœur de zones sensibles où il reste en mesure d’accomplir toutes les missions qui pourraient entrer dans les capacités d’un bâtiment de la Marine nationale.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 18:45
Sangaris : MINUSCA et Sangaris en patrouille dans la ville de Bundi

 

10/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 5 et 6 mars 2015, des éléments de Sangaris ont effectué une mission de reconnaissance ainsi qu’une patrouille mixte en coopération avec les soldats congolais de la MINUSCA, dans la région de Bundi à l’est de la Centrafrique.

 

Le 5 mars, des tirailleurs du GTIA Turcoont conduit une mission de reconnaissance au sud de la ville de Bundi, à quelque cent kilomètres de leur lieu de stationnement. Cette mission leur a permis d’identifier les passages difficiles d’accès, de calculer les élongations et de tester le franchissement des ponts. Les sapeurs du 25ème régiment du génie de l’Air qui faisaient partie de ce détachement ont effectué les calculs nécessaires pour déterminer la capacité de charge ainsi que les types de véhicules qui pouvant franchir les ponts sur cet axe de communication. Cette mission a aussi permis d’estimer le temps nécessaire pour rallier la zone en cas d’intervention dans cette région.

 

Une patrouille commune avec les soldats congolais déployés au profit de la MINUSCA a également été menée dans le quartier de Ngakobo au sud de la ville de Bundi, le 6 mars. Lors de cette patrouille, les soldats français et onusiens ont pris contact avec les différents acteurs de la ville et chefs de groupe afin d’encourager le dialogue entre les communautés dans une région où près de 12 000 Centrafricains ont déserté leurs villages.

 

Environ  1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangarisvise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 17:50
photo European Parliament

photo European Parliament


source Subcommittee on Security and Defence
 

16 March 2015

1.        Adoption of agenda

2.        Chair’s announcements

With the Council and Commission and EEAS

3.        Cybersecurity and defence
Exchange of views with:
- Udo Helmbrecht, Executive Director, European Union Agency for Network and Information Security (ENISA)
- Heli Tiirmaa-Klaar, Head of Cyber Policy Coordination, Conflict Prevention and Security Policy Directorate, EEAS
- Peter Round, Director Capability, Armament & Technology, European Defence Agency (EDA)

4.        The strategic military situation in the Black Sea Basin following the illegal annexation of Crimea by Russia

           AFET/8/02489

                      2015/2036(INI)          

Rapporteur:

Ioan Mircea Pașcu (S&D)

PR – PE546.620v03-00

Responsible:

AFET

     

· Consideration of draft report

· Deadline for tabling amendments: 23 March 2015, 12.00

 

17 March 2015

5.        Fight against piracy in Africa
Exchange of views with:
- Alan Cole, Head of Transnational Organised Crime Programme, Regional Office for Eastern Africa, Head of Global Maritime Crime Programme, UNODC
- Marcus Houben, Head of the Support Team of the Contact Group on Piracy, EEAS
- Adriaan van der Meer, Head of Unit "Instrument contributing to Stability and Peace, Nuclear Safety", DG DEVCO, European Commission

6.        Any other business

7.        Next meetings

· 24 March 2015 (Brussels)

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 17:45
photo DLAO 5 - Ministère de la Défense

photo DLAO 5 - Ministère de la Défense

 

10/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 26 et 27 février 2015, dans le cadre de l’opération Barkhane, le Détachement de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) de Tessalit a mené une patrouille conjointe avec la MINUSMA dans la région de Tessalit, au Mali.

 

L’objectif de la mission était la reconnaissance et le contrôle d’éventuelles zones de départ de tirs indirects pouvant atteindre la Plateforme désert relais (PfDR) de Tessalit, tout en effectuant la reconnaissance et la sécurisation de plusieurs axes de communication.

 

Trente militaires français et une section de militaires tchadiens ont ainsi réalisé une patrouille au départ de Tessalit pour rejoindre la ville d’Udzhieshit, située un peu plus au Nord. Les informations recueillies lors de cette mission ont permis une optimisation de la sécurité d’un convoi logistique menée par la force Barkhane dans la région. Les soldats de la MINUSMA et du DLAO ont également eu l’occasion d’entretenir et de développer des contacts avec les habitants et les autorités locales, facilités par les aides médicales menées régulièrement par le DLAO et la MINUSMA au profit de la population.

 

Composés d’une trentaine de soldats, les DLAO sont placés au plus près des forces maliennes et de la MINUSMA. Ils coordonnent et assurent des missions aux côtés des forces partenaires dans leur zone d’opération, en leur apportant notamment des appuis spécialisés (guidage aérien, santé), tout en accompagnant et conseillant au quotidien les forces armées maliennes dans l’exécution de leurs missions.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armées terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

photo DLAO 5 - Ministère de la Défense
photo DLAO 5 - Ministère de la Défense
photo DLAO 5 - Ministère de la Défense

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 17:45
Chad soldiers killed as Boko Haram lose Nigerian towns

 

10 March 2015 defenceWeb (Reuters)

 

About ten Chadian soldiers died in fighting to free two towns in northern Nigeria previously held by Boko Haram, the first gains against the militants made in a joint offensive launched with Niger at the weekend, military sources said on Monday.

 

About 30 Nigerien and Chadian soldiers were wounded in clashes over Malam Fatouri and Damasak, a day after thousands of troops crossed the border to retake areas held by the Sunni Islamist group, whose insurgency has forced Nigeria to delay an election and neighbours to mobilise their armies.

 

A Chadian officer, who asked not to be named, said about ten Chadian soldiers were killed and 20 wounded in fighting to liberate the towns. There was no official comment from Chad's army.

 

"We have kicked the enemy out of these areas and they are now under our control," one of the Niger military sources said.

 

Damasak, the town furthest into Nigeria, is 10 km (6 miles) south of the Niger border, where Niger and Chadian troops have been massing in recent weeks ahead of the offensive.

 

A medical source in Diffa, the capital of the Niger region which borders Boko Haram's heartland in Nigeria's northeast, said 30 wounded soldiers had been admitted to the town's hospital.

 

The Niger military source said about 300 Boko Haram militants had been killed. There was no official confirmation of the toll and it was not possible to verify the figure.

 

"We had permission from Nigeria for this action," the source said. There was no immediate comment from Nigeria, which has launched its own offensive against the militants, whose gains forced Nigeria to delay elections that were due in February.

 

Boko Haram's 6-year insurgency, who aims to carve out a caliphate in Nigeria's northeast, has killed thousands. The group has pledged allegiance to Islamic State, which rules a self-declared caliphate in parts of Iraq and Syria, according to an audio clip posted online on Saturday.

 

Cameroon, Chad, Niger and Benin have this year mobilised forces to help Nigeria defeat the group after it seized swathes of territory and mounting cross-border attacks.

 

Nigeria and its neighbours have been working to pull together plans and rules of engagement for a regional force of 8,700 troops but cooperation between the region's armies has been strained at times.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 17:45
U.N. delays approval of Libya request for weapons, jets

 

10 March 2015 defenceWeb (Reuters)

 

.At least eight United Nations Security Council members delayed approval on Monday of a request by Libya to import weapons, tanks, jets and helicopters to take on Islamic State militants and monitor its borders, diplomats said.

 

Spain - supported by Lithuania, Chile, New Zealand, Britain, France, Angola and the United States - placed a so-called "hold" on the request to the Security Council committee that oversees an arms embargo imposed on the North African state in 2011, said council diplomats, speaking on condition of anonymity.

 

"Spain would appreciate further information on the point of origin of the weapons requested and the arrangements established for transportation," the Spanish U.N. mission wrote to the chair of the committee in a note seen by Reuters.

 

Libya wants to import 150 tanks, two dozen fighter jets, seven attack helicopters, tens of thousands of assault rifles and grenade launchers and millions of rounds of ammunition from Ukraine, Serbia and Czech Republic.

 

If agreement is not reached to lift the hold, it could leave the request in limbo indefinitely. The 15-member committee works on the basis of consensus.

 

The internationally recognised government is allowed to import arms with approval of the committee. Libya said it needs the weapons and equipment to take on Islamist militants and to control borders.

 

"Without strengthening the air force we cannot do anything about it," Libya's U.N. Ambassador Ibrahim Dabbashi told Reuters, adding that he was disappointed by the delay.

 

U.N. sanctions monitors say they are concerned that if the committee approves the request, then some of the weapons and equipment could be diverted to militia groups.

 

"Spain is also deeply concerned about the major threat to international peace and security posed by the proliferation of weapons in the region," the Spanish U.N. mission said.

 

Libya's internationally recognised government has operated out of the east since a rival armed faction called Libya Dawn took over Tripoli in fighting last year and set up its own administration.

 

The rival governments are battling for control of Libya four years after Muammar Gaddafi was ousted. The chaos has allowed Islamic State and Ansar al-Sharia militants to strengthen their foothold in Libya, an OPEC member.

 

Libya has called for the arms embargo on the government to be lifted entirely. The council committee has long urged Libya to improve monitoring of its weapons over concerns that arms were being diverted to militant groups

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 17:45
(Archives / defenceWeb)

(Archives / defenceWeb)

 

10 March 2015 defenceWeb (Reuters)

 

Spain said on Tuesday it has dismantled a militant Islamic cell in its North African enclave of Ceuta that it claims was ready to attack either Spain or other targets in Europe.

 

Police arrested two suspected militants as part of a wider security operation that began in January, the Interior Ministry said.

 

"The cell neutralised today, as opposed to others dismantled, doesn't follow the same pattern of radicalisation, recruitment and sending of activists to organised jihadist organisations in conflict zones," the Ministry said in a statement.

 

"This group was clearly operational and consisted of individuals who were already radicalised and prepared for a possible attack, in our own country or those nearby."

 

The two male suspects in Ceuta, on the Moroccan coast, included a Spanish and Moroccan national and were arrested as part of the same police investigation that led to the arrest of four people in January, the ministry said.

 

The six detained in the two operations presented profiles similar to those involved in the attacks in Paris on Jan. 7 and 8, the ministry added.

 

Spain has made more than 20 arrests of suspected Islamic militants since September.

 

Western nations have become increasingly worried about the risk of young people becoming radicalised by militants in North Africa and the Middle East and returning home to launch attacks.

 

A Moroccan woman who is a Spanish resident was arrested on Sunday on suspicion of attempting to join Islamic State fighters in Syria.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 17:45
The closing ceremony of Exercise Flintlock 2015 - photo US Africom

The closing ceremony of Exercise Flintlock 2015 - photo US Africom

 

10 March 2015 by Africom - defenseWeb

 

The annual Flintlock exercise wrapped up on Monday in N’Djamena with a closing ceremony that brought together senior leaders from over 20 participating countries.

 

The Chadian exercise director, Brig. Gen. Zakaria Ngobongue, when bidding farewell to the guests and participants from different African and Western partner nations, who trained tirelessly in Chad, Niger, Nigeria, Cameroon and Tunisia, thanked the troops for their professionalism. “I am pleased to note that the progress made during this exercise was tangible and these results were reached thanks to willing participants.”

 

Ngonbongue thanked partner nations for the quality medical and humanitarian assistance that benefited citizens in locations near Mao, Faya and Moussoro. Similar medical activities were also conducted in Agadez, Niger.

 

The closing ceremony of the Flintlock exercise was also attended by the Commanding General of U.S. Africa Command (AFRICOM), Gen. David Rodriguez, who thanked Chad for being a great host to this year’s Flintlock despite the security challenges the country faces.

 

“It is important to recognize that exercise Flintlock 2015 was successfully conducted by Chad and other African partners while actively engaged in combat operations against Boko Haram. The capacity to execute real world operations while simultaneously training to increase capacity and capability, demonstrates a level of proficiency exhibited only by an extremely professional, capable, and disciplined military,” said Rodriguez during the closing ceremony.

 

This year’s exercise was the largest Flintlock to date and has continued to build on the success of previous exercises. The three-week Chad hosted event included the implementation of a collaborative Command and Control and information sharing systems, which will remain in place for African partners to share operational information and intelligence with each other, as well as international partners.

 

Over 1,000 personnel from over 20 countries participated in Flintlock ‘15, with locations in Niger, Nigeria, Cameroon and Tunisia. Ten flight crews from Belgium, the United States, Canada, Spain, Denmark, Germany, Sweden, The Netherlands, Italy, and the United Kingdom moved most of the troops and 500,000 pounds of cargo with 113 flights. In all the locations, each soldier received 150 hours of training.

 

They also conducted four community activities, met with key leaders, and treated 1,800 people in several medical assistance clinics. Chadian and U.S. military, as well as U.S. Embassy personnel, also conducted outreach to an orphanage in N’Djamena, supporting victims of war, HIV, and poverty. With the support of non-governmental organization Spirit of America, $4,500 of educational supplies, hygiene tools, and basic items like blankets, sheets, towels, and mosquito nets were given to 59 orphans.

 

The tactical portion of Flintlock 2015 consisted of small-unit combined training and activities involving partner nation counter-terrorism units and military humanitarian relief operations to help improve the basic medical, dental and veterinary access for some communities in Chad and Niger.

 

As an enduring exercise, Flintlock is not focused on any specific security situation, but instead on developing security capacity, building professionalism, and strengthening bonds among exercise participants. Flintlock exercises began in 2005 and are conducted by the Special Operations Command Forward – West Africa (SOCFWD-WA) and sponsored by Africa Command’s Special Operations component to develop the capacity of and collaboration among African security forces to protect civilian populations across the Sahel region of Africa.

 

Flintlock exercises strengthen security institutions, promote multilateral sharing of information, and develop interoperability among the partner nations of the Trans-Sahara Counter Terrorism Partnership (TSCTP). Through exercises such as Flintlock, the United States Special Operations Command provides military training opportunities to foster relationships of peace, security, and cooperation among all Trans-Saharan nations through the TSCTP program.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 17:45
Réunion à Tunis du Comité directeur de l’Initiative « 5+5 Défense »

 

10.03.2015 Ministère de la Défense - Tunisie
 

Le 20eme Comité directeur de l’Initiative « 5+5 Défense » se tient les Mardi 10 et Mercredi 11 mars, à Tunis. Prennent part à ces assises des représentants des ministères de la Défense de Tunisie, d’Algérie, de Libye, du Maroc, de Mauritanie, d’Italie, d’Espagne, du Portugal, de Malte et de France.

 

La Tunisie, qui préside la session de 2015 de l’Initiative « 5+ 5 Défense », a proposé d’axer les travaux de cette réunion sur le renforcement des capacités opérationnelles des forces armées des pays de l’Initiative en vue de lutter contre les nouvelles menaces qui se dressent devant la région.

La Tunisie va œuvrer à sensibiliser les participants aux dangers du terrorisme et aux moyens de développer les compétences armées afin de combattre ce fléau dans un cadre euro-maghrébin.

Cette réunion sera consacrée à l’état d’avancement des projets en cours dans le cadre de l’Initiative, et ce en prévision de la 10eme session de la réunion des ministres de la Défense 5+5, prévue au cours de 2015 en Tunisie.

 

L’évaluation des activités programmées pour cette année et la préparation du calendrier des activités prévus pour l’année prochaine seront examinées lors de cette réunion. Le Comité directeur de l’Initiative « 5+5 Défense » se réunit deux fois par an. Chaque pays membre de l’Initiative « 5+5 Défense » y est représenté par deux membres.

 

Quant à la réunion des ministres de la Défense des pays membres de l’Initiative, elle se tient, une fois par an, dans le pays qui préside la session. L’Initiative « 5+5 Défense » dont la première session a eu lieu en Tunisie en 2003, a pour objectif l’instauration d’une coopération multipartite et de terrain relative aux questions sécuritaires d’intérêt commun et l’échange d’expériences, de compétences et de connaissances.

 

Les domaines de coopération de l’Initiative concernent la surveillance maritime de la région ouest de la Méditerranée, la contribution des forces armées dans la protection des civils en cas de catastrophes, la sécurité aérienne de la Méditerranée ouest, la formation et la recherche.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 14:45
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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 13:45
L'EI recrute-t-il au Nigeria?

 

10.03.2015 BBC Afrique

 

Le fils de l'ancien président de la Cour suprême nigériane est suspecté d'avoir rejoint l'organisation Etat islamique.

 

L’information a été confirmée par l'ambassade turque, qui aurait délivré un visa au jeune homme.

La nouvelle a été accueillie avec stupeur par la famille d’Ibrahim Lawal Uwais.

Selon ses proches, Uwais condamnait avec la plus grande force les violences meurtrières commises par Boko Haram au Nigeria.

Agé d'une quarantaine d'années, il aurait quitté le Nigeria pour le Moyen Orient avec ses deux femmes et ses quatre enfants le mois dernier.

Le département nigérian de la Sécurité d'Etat a dit suivre ce dossier.

C'est un membre de la belle-famille d’Uwais qui, alerté par l'une de ses épouses, a rendu public sa disparition.

On ne sait pas ce qui a déclenché ce potentiel ralliement à L'EI.

Les autorités nigérianes essayent ces derniers temps d'attirer l'attention des parents sur les risques de radicalisation de leurs enfants via les réseaux sociaux.

C'est la deuxième fois qu'un fils de la grande bourgeoisie nigériane est accusé de vouloir combattre au nom d'un groupe islamiste étranger.

En 2008, Umar Farouk Muttalab, dont le géniteur est un grand banquier nigérian, avait tenté de faire sauter un vol Amsterdam-Detroit au nom d'Al-Qaïda.

Son père, choqué par la radicalisation de son fils, avait d'ailleurs alerté l'ambassade américaine d'Abuja, la capitale nigériane, peu de temps avant la tentative d'attentat.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 13:45
Reportage - Aux avant-postes de l’opération Barkhane

Fort de Madama, Nord Niger - photo Thomas Goisque

 

10 Mars 2015 Par Frédéric Pons – V.A.

 

Terrain. En première ligne face aux djihadistes, les soldats français combattent sur un territoire immense, jusqu’aux frontières de la Libye et de l’Algérie. Une guerre sans répit, bourrée de pièges.

 

Le ciel est d’une pureté absolue, la luminosité intense. Un vent sec et froid pique la peau et gerce les lèvres. « Le pays du vent qui rend fou », disent les Africains. Sur cet immense plateau de sable parsemé de falaises de grès, rien n’arrête l’harmattan. Même pas le minuscule fort de Madama, qui émerge des dunes, au milieu de nulle part, à plus de trois heures d’avion au nord-est de Niamey, la capitale du Niger. L’amplitude thermique sera une nouvelle fois énorme : elle est parfois de près de 40 degrés entre le jour et la nuit.

 

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 08:45
Ebola : une nouvelle sortie de deux patients guéris

 

09/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 6 mars, deux soignants contaminés par Ebola sont sortis guéris du centre de traitement des soignants de Conakry (CTS), mis en œuvre par les armées françaises en Guinée.

 

Les deux patients, médecins guinéens, sont sortis guéris du virus Ebola après 15 jours de prise en charge en chambre individuelle au sein du CTS, ajoutant deux victoires de plus à l’équipe médicale, suite aux trois patients sortis les 16 et 23 février dernier.

 

Après le diagnostic définitif de contamination au virus Ebola réalisé par les biologistes et les techniciens du laboratoire P3, l'équipe médicale avait commencé le protocole Favipiravir, adapté à leurs symptômes. Les médecins et paramédicaux ont assuré au gré des tours de garde le suivi des patients derrière leurs équipements de protection individuel (EPI). Le soutien psychologique aux patients est un élément déterminant dans le processus de guérison, et les patients pouvaient communiquer avec leur proche grâce à des téléphones et tablettes. Les familles, amis et collègues sont venus les voir régulièrement grâce à l'espace communautaire mis en place pour soutenir les malades durant leur hospitalisation. Tous étaient là pour les accueillir à leur sortie.

 

Deux nouveaux patients contaminés par le virus ont été accueillis au CTS le 7 mars. Ainsi, depuis le 23 janvier, 20 personnes ont été prises en charge dont 9 ayant contracté le virus. Le CTS déplore un décès à ce jour, des suites d'une insuffisance rénale, l'une des conséquences de la maladie Ebola.

 

Depuis cet été, les armées françaises prennent pleinement part à l'action gouvernementale de lutte contre le virus Ebola, coordonnée par une Task Force interministérielle en Guinée. Cette participation a d’abord consisté à mettre à disposition des capacités d’évacuation sanitaire et d’hospitalisation de patients contagieux au sein des hôpitaux militaires français, à la viabilisation d’une piste sommaire en Guinée et de différentes structures du plan interministériel Ebola. Le CTS est une structure unique de soins qui répond à un réel besoin pour tous ceux qui sont en première ligne dans la lutte contre Ebola en Guinée. 130 militaires y sont déployés, dont plus de 70 soignants volontaires du service de santé des armées, la plupart issus des hôpitaux militaires français.

Ebola : une nouvelle sortie de deux patients guéris
Ebola : une nouvelle sortie de deux patients guéris
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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 18:45
photo EMA / ECPAD

photo EMA / ECPAD

 

09/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 7 mars, une délégation de l'agence gouvernementale américaine en matière de protection de la santé et de sécurité publique, présidée par Thomas Frieden (Centers for disease control and prevention) s'est rendue au centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry en Guinée, mis en place par les armées françaises.

 

Cette visite a été guidée par l'ambassade de France et ses collaborateurs présents en Guinée sur les différents pôles d'action de la lutte contre Ebola, dont le CTS fait partie. La visite a notamment porté sur l'unité de distribution de produits de santé , le laboratoire « P3 », les SAS d'habillage et de déshabillage du personnel en équipement de protection individuelle (EPI), la chambre individuelle à usage unique, les détails techniques de construction de la dalle sur laquelle reposent les structures mobiles, le concept de zéro effluent et enfin le poste de commandement médical.

 

Le directeur médical et concepteur du centre, a expliqué les trois mots clefs qui caractérisent le CTS : environnement, autonomie et intégration. Le directeur du CDC s’est dit très impressionné devant ce dispositif inédit et innovant.

 

Cette visite importante pour le partage d'expertise entre les acteurs de la coordination de la lutte contre le virus Ebola, marque une transversalité des compétences et des savoir-faire, ainsi qu’une reconnaissance internationale de ce déploiement médical français. Tout ou partie du CTS pourra être utilisé(e) à nouveau pour la gestion de crises sanitaires.

 

Depuis cet été, les armées françaises prennent pleinement part à l'action gouvernementale de lutte contre le virus Ebola, coordonnée par une Task Force interministérielle en Guinée. Cette participation a d’abord consisté à mettre à disposition des capacités d’évacuation sanitaire et d’hospitalisation de patients contagieux au sein des hôpitaux militaires français, à la viabilisation d’une piste sommaire en Guinée et de différentes structures du plan interministériel Ebola. Le CTS est une structure unique de soins qui répond à un réel besoin pour tous ceux qui sont en première ligne dans la lutte contre Ebola en Guinée. 130 militaires y sont déployés, dont plus de 70 soignants volontaires du service de santé des armées, la plupart issus des hôpitaux militaires français.

photo EMA / ECPADphoto EMA / ECPAD
photo EMA / ECPAD

photo EMA / ECPAD

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 17:45
Nigeria: soldats nigériens et tchadiens reprennent Damasak à Boko Haram

 

9 mars 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Les armées nigérienne et tchadienne, qui mènent depuis dimanche une offensive d’envergure dans le nord-est du Nigeria contre Boko Haram, ont repris la ville de Damasak, que les islamistes nigérians tenaient depuis novembre, a indiqué lundi une source sécuritaire tchadienne.

 

« L’offensive a permis de prendre le contrôle de Damasak », ville nigériane située à une centaine de kilomètres de la rive ouest du lac Tchad, a déclaré cette source.

Selon elle, quelque 200 combattants du groupe extrémiste ont été tués dimanche, pour 10 tués et 20 blessés parmi les soldats tchadiens.

« Damasak est reprise par la coalition après de violents combats », a confirmé un officiel nigérien à Diffa, capitale du Sud-Est nigérien située à une trentaine de kilomètres de Damasak.

Un haut responsable civil de Diffa a de son côté fait état de pertes humaines très élevées dans les rangs de Boko Haram.

Ni le gouvernement ni l’armée du Niger n’ont pour l’instant fait de déclarations sur cette prise importante.

Boko Haram s’était emparé de Damasak le 24 novembre dernier, tuant une cinquantaine de personnes et en poussant 3.000 autres à fuir, selon le Haut commissariat aux réfugiés de l’ONU.

Les combattants islamistes avaient infiltré la ville en se déguisant en marchands et en dissimulant leurs armes dans des cartons de marchandises. Les soldats nigérians s’étaient alors enfuis au Niger voisin avec une partie de la population, avait raconté un parlementaire nigérian à l’époque.

Les armées du Niger et du Tchad mènent depuis dimanche une vaste offensive terrestre et aérienne contre Boko Haram dans le nord-est du Nigeria, à partir du sud-est du Niger voisin.

La radio privée nigérienne Anfani, basée à Diffa, a dénombré « plus de 200 véhicules » militaires partis en convoi vers le Nigeria: « des tout-terrains équipés de mitrailleuses, des chars, des ambulances, des citernes d’eau et des camions de transport de logistique ».

Des milliers de soldats nigériens et tchadiens étaient positionnés depuis plus d’un mois en posture défensive dans la province nigérienne de Diffa, sous le feu de Boko Haram.

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 17:45
A Somali MAV 5

A Somali MAV 5

 

09 March 2015 by defenceWeb

 

The Italian government has donated 54 vehicles to the Somali National Army as part of efforts to strengthen its ability to combat al Shabaab militants and other security challenges.

 

The vehicles were received by General Dahir Adan, chief of the Somali National Army (SNA) on March 5 at Mogadishu’s port after arriving by ship. Also present at the handover was Colonel Bernardo Mencaraglia, Commander Italian National Support Element (IT-NSE), European Union Training Mission (EUTM) Somalia.

 

Garowe Online reports that the equipment will be used by the armed forces, intelligence service and police. The shipment includes trucks and MAV 5 light armoured vehicles, based on the IVECO 40.10 and capable of carrying six personnel.

 

Mencaraglia said the vehicles were donated in line with previous commitments. For example, in April 2014, Italy delivered 30 vehicles to the Somali Police Corps in the first instalment of materiel donated by the Italian ministry of defence to Somalia’s armed forces.

 

The donations are part of Italy’s commitment to safeguarding peace and stability in Somalia. Italy is strongly committed in the European Union Training Mission in Somalia. After four years in Uganda it redeployed to Mogadishu in 2014. The current strength of 130 personnel represents 11 nations and forms an integral part of the EU Horn of Africa strategic plan, proving a variety of military capabilities for the development of Somali security forces.

 

EUTM Somalia provides military advice to the MoD/Defence General Staff and basic/specialist training to the Somali National Army and as of October 2014 had planned and conducted 18 training courses at Jazeera Training Camp, training almost 1 500 Somalis.

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 17:45
photo 1e RAMa - Armée de Terre

photo 1e RAMa - Armée de Terre

 

09/03/2015 Camille Pégol - Armée de Terre

 

En janvier, le 5e régiment interarmes d’outre-mer (5e RIAOM) a accueilli 135 lieutenants de l’infanterie et de cavalerie pour un entraînement au combat en zone désertique.

 

L’exercice, baptisé QAÏD 2015, est un moment fort pour les écoles mais aussi pour le 5e RIAOM qui a déployé sur le terrain pas moins de 250 militaires et 80 véhicules.

La première partie de cet exercice s’est déroulée dans le désert du Qaïd et ses environs et a consisté, à partir d’une base opérationnelle avancée, à couper l’ennemi de sa zone d’approvisionnement située dans la région d’Arta. La seconde partie, l’opération WILWILE, était un exercice en terrain libre (FTX) avec des missions de reconnaissance et de destruction dans la profondeur.

 

«Nous avons développé, durant ce partenariat, des automatismes interarmes, ainsi qu’une réactivité de tous les instant. Cela nous a permis de faire face à toutes menaces possibles sur un terrain se rapprochant beaucoup des actuelles zones d’engagement», relate le sergent-chef Radjahi, chef de groupe d’infanterie.

 

Régiment des forces prépositionnées prêt à l’engagement, le 5e RIAOM participe à la mise en condition opérationnelle de ses unités ainsi que des lieutenants en formation dans les écoles d’application. Deux fois par an, en janvier puis en mai, le régiment, en structure groupement tactique interarmes, accueille les écoles de l’infanterie, de cavalerie et d’artillerie afin d’immerger les lieutenants dans leur futur contexte opérationnel.

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 17:45
US-led exercise in Chad prepares troops to fight terror

A Chadian platoon practices dismounting during mounted operations during Exercise Flintlock '15 at Moussoro, Chad on 19 February 2015. (U.S. Army photo by Staff Sgt. Amber Martin)

 

9 March 2015 By Thomas Fessy - BBC Africa

 

Troops from Chad are leading the fight against the militant Islamists of Boko Haram in West Africa. Their troops are being trained to fight terror in an exercise deep in the desert.

 

Down at the firing range, it is the Chadians' turn. American special forces are training them on the machine gun. Chadian soldiers queue to lie down on a piece of cardboard, load the weapon and aim at a target around 150 metres away. Occasionally we hear the "ding" from a bullet hitting the metallic target. But what makes the soldiers cheer is when one of their comrades holds the trigger down, shooting several rounds at once from the automatic weapon. This shooting session is taking place in western Chad, in a section of the Sahel region that skirts the southern edges of the Sahara Desert. It is part of Operation Flintlock, an annual counter-terrorism exercise led by the United States and held with their Nato allies in West Africa. This tenth edition is particularly timely. These drills are taking place against the backdrop of a region preparing to take on Boko Haram in Nigeria. In fact, these Chadian troops may be going straight back into battle as soon as their training is over.

 

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 14:45
photo EMA

photo EMA

 

09 March 2015 defenceWeb (Reuters)

 

France and Mali have agreed to new measures to reinforce security in Mali in the wake of an attack that killed five people at a restaurant in Bamako, the French presidency said in a statement on Saturday.

 

"The two presidents decided common measures to reinforce security in Mali," the statement said after French President Francois Hollande spoke to his Malian counterpart.

 

It did not specify how the measures would be strengthened.

 

France has more than 3,000 troops in West Africa as part of a counter-insurgency force targeting al-Qaeda linked militants.

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 13:45
(weo 2005)

(weo 2005)

Depuis plusieurs semaines, la Libye est le théâtre d'une série d'attaques revendiquées ou attribuées au groupe djihadiste EI qui contrôle des pans entiers de territoire en Syrie et en Irak.

 

09.03.2015 Le Monde.fr

 

Neuf personnes – quatre Philippins, deux Bangladeshis, un Ghanéen, un Tchèque et un Autrichien – ont été enlevés lors d'une attaque vendredi 6 mars contre le champ pétrolier Al-Ghani, dans le sud de la Libye, ont annoncé lundi les autorités philippines. L'attaque a été imputée aux djihadistes du groupe Etat islamique (EI), qui a fait huit morts parmi les gardes. Le porte-parole du ministère des affaires étrangères philippin, qui s'appuyait sur un rapport de l'ambassade des Philippines en Libye, a déclaré qu'il n'était pas en mesure de confirmer l'identité des ravisseurs, ajoutant qu'aucune demande n'avait été formulée par les ravisseurs.

 

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 12:45
Daesh et "Globalisation" du califat : le cas de Boko Haram

Mowag Piranha de l'armée nigériane capturé par les combattants de Boko Haram, repris fin 2014 par les forces nigérianes (le cliché choisi ici). Le blindé figure sur plusieurs vidéos de propagande de l'organisation d'Aboubakar Shekau. Sa "saisie" par les soldats nigérians est donc symboliquement importante et peut être considérée comme une petite victoire morale. Victoire qui malheureusement n'a pas été relayée comme elle aurait dû l'être. (Source : réseaux sociaux)

 

8 mars 2015 par Laurent Touchard - CONOPS

 

Boko Haram (Jamaat 'u Ahlis Sunna lidda'Awati wal-Jihad – Groupe Sunnite pour la Prédication et le Jihad) a donc « prêté allégeance » à l’État Islamique. Contrairement à nombre d'experts pour qui « ça n'est pas une surprise », je n'attendais pas ce ralliement avant davantage de défaites des combattants de Shekau face aux troupes tchadiennes, nigériennes, camerounaises et nigérianes qui multiplient les actions offensives depuis le début février 2015. Cette erreur d'appréciation de ma part est pourtant synonyme d'une bonne nouvelle : Boko Haram se révèle donc beaucoup moins puissant que redouté. Non sans le bémol de rigueur : « à condition d'y consacrer les moyens adéquats. »

 

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