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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 12:45
144 Casques bleus chinois à Juba, 520 autres en route


27.02.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Xinhuanet a publié ce vendredi un article annonçant l'arrivée d'un premier détachement de casques bleus chinois à Juba (Soudan du Sud). Ce contingent, qui sera suivi d'un second groupe de 520 autres militaires, appartient à l'unité d'infanterie mécanisée que la Chine déploie dans le cadre de l'UNMISS.

Ces soldats avaient quitté Jinan, la capitale de la province de Shandong, le 26, visiblement ravis de leur toute prochaine escapade africaine:

 

Dans un post du 13 janvier, j'avais montré l'embarquement de leur matériel (à lire ici).

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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 12:45
Barkhane : portrait d’un contrôleur aérien opérationnel

 

27/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Depuis le mois de janvier 2015, le maréchal des logis Lucas, participe à sa première opération extérieure au Mali dans le cadre de l’opération Barkhane, en qualité de contrôleur aérien.

 

Cinq ans après son intégration militaire, le maréchal des logis Lucas, âgé de 24 ans, est chargé d’assurer la gestion du trafic aérien continu de la force Barkhane et de la MINUSMA, sur la plateforme opérationnelle désert (PfOD) de Gao.

 

Entré en service en 2010, le maréchal des logis Lucas est affecté au 1er régiment d’hélicoptères de combat (1er RHC) de Phalsbourg, où il y exerce le métier de contrôleur aérien opérationnel après avoir suivi une formation pointue au sein de l’école nationale des sous-officiers d’active (ENSOA) de Rochefort, puis au centre d’instruction de contrôle et de défense aérienne à Mont de Marsan (CICDA), et enfin à l’école de l’aviation légère de l’armée de Terre de Dax (EALAT). Tout en suivant ces étapes successives, le jeune contrôleur aérien s’est exercé au sein de son régiment sous l’égide d’un contrôleur confirmé.

 

Il gère notamment l’organisation des mouvements des appareils au sol (zone de parking, Taxiway, pistes), et en vol dans sa zone de responsabilité, afin d’éviter tout risque de collision. En lien avec les équipages, il leur transmet des informations au sol qui leur sont nécessaires lors de leur phase d’approche (axe de la piste notamment). Au Radar, il est en mesure d’appuyer les pilotes par mauvaise météo ou par grande fatigue suite à leurs missions opérationnelles. « Il faut s’assurer que la plateforme aéronautique ne présente aucun danger pour les appareils et les équipages, si nécessaire nous sommes en mesure d’intervenir sur très court préavis » nous livre le maréchal des logis Lucas. Appliqué et bien intégré au sein de son équipe, il est en mesure de prendre en charge le contrôle aérien à tout instant, les rotations de personnels étant constamment effectives. En moyenne, les contrôleurs de Gao suivent du haut de la tour de contrôle près de 400 mouvements aériens (atterrissage et décollage), par semaine.

 

L'opération Barkhane regroupe 3000 militaires dont la mission en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 12:45
EFG : formation de 850 militaires au Burundi

 

27/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 13 janvier au 4 février 2015, un détachement du 6ème bataillon d’infanterie de marine (BIMa) s’est rendu à Bujumbura, au Burundi, pour conduire la préparation opérationnelle du 33èmebataillon d’infanterie de la force de défense nationale (FDN) du Burundi, celle étant prochainement déployée en Somalie dans le cadre de la mission de l’Union africaine en Somalie (AMISOM).

 

L’objectif de cette instruction dispensée par une trentaine de militaires du 6èmeBIMa sur les sites d’instruction de Muzinda et Mudubugu, destinée à un état-major et d’un bataillon complet, visait à perfectionner leurs savoir-faire tactiques dans le domaine du commandement et de les former aux rudiments du combat d’infanterie dans le cadre d’une opération de maintien de la paix.

 

Une formation au profit de l’état-major du bataillon a été dispensée, basée sur la conduite des opérations de maintien de la paix et sur la capacité à réagir de façon graduée en cas de montée de tension dans la zone de déploiement. Une instruction a notamment été dispensée sur la mise en pratique du cadre juridique spécifique à ce type d’opération. Les militaires burundais ont également suivi des formations théoriques avec mise en pratique dans le domaine du tir, du secourisme au combat, et des techniques d’intervention opérationnelle rapprochée (TIOR).

 

Contributeur important aux opérations de maintien de la paix en Afrique, le Burundi est particulièrement demandeur de ces formations. Ainsi, une autre instruction du même type sera dispensée à deux autres bataillons rejoignant respectivement l’AMISOM et, en 2015, la MINUSCA en Centrafrique.

 

Depuis le 1erseptembre les éléments français au Gabon (EFG) sont devenus un pôle de coopération opérationnelle à vocation régionale. Tout en restant un point d’appui opérationnel et logistique, les EFG portent désormais leur effort sur les actions de coopération régionale. Elles visent plus particulièrement à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective et, ainsi, à contribuer à la stabilité régionale.

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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 12:45
Sangaris : un tireur de précision du GTIA Korrigan posté sur le toit de son VAB observe les mouvements durant une patrouille

 

Crédits : État-major des armées / ECPAD



5 janvier 2015, 10h57, dans la région de Bambari, un tireur de précision du GTIA Korrigan posté sur le toit de son VAB observe les mouvements durant une patrouille.

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Objectif : accompagner la montée en puissance de la mission de l’ONU.


 

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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 12:45
Visit of the Commander of Estonian Defense Forces

 

16 février 2015 by mhq pao

 

The Commander of Estonian Defense Forces, Major General Riho TERRAS, accompanied by Lieutenant Colonel Rain JANO, Captain Indrek ELLING, Chief of STRATCOM Mr. Vallo TOOMET, Estonian Prime Minister representative Mr. Kadri PEETERS, Estonian MoD representative Mr. Sven SAKKOV, arrived on Saturday 14 February 2015 in Bamako, visiting the European Union Training Mission – Mali.

 

The distinguished visitord have been greeted by the Mission Commander of EUTM Mali, General Alfonso GARCIA-VAQUERO PRADAL.

 

The EUTM Mali Chief Of Staff presented a complex brief at EUTM Headquarters in Bamako, and then the distinguished visitors departed for Koulikoro, where the TTF commander presented a brief regarding the training mission followed by a visit of the Training Camp.

Visit of the Commander of Estonian Defense ForcesVisit of the Commander of Estonian Defense Forces
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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 12:45
L'opération Serval vue par le patron du 5e RHC, le colonel Gout

 

28.02.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense


La reconquête du Mali et l'opération Serval commencent à générer une littérature abondante. J'ai déjà eu l'occasion de parler du très bon livre du commandant Scarpa ("Offensive éclair au Mali", paru aux éditions Pïerre de Taillac) ou de signaler la prochaine sortie d'un livre du colonel Gout sur le rôle de l'Alat sur ce même théâtre (voir mon post du 24 janvier ici). Ce livre est sorti.

Les ambitions premières exprimées par l'auteur de Libérez Tombouctou! ne se sont pas toutes concrétisées. Le récit n'aborde guère "l'aventure" du "peuple malien soumis à la domination impitoyable de quelques-uns" ou celle "du quotidien" des soldats du colonel Gout; il ne permet pas, non plus, de découvrir "qui sont les combattants du Mujoa et d'Aqmi".

Certes, en outre, le GAM a été de tous les combats; mais il n'a pas à lui seul libéré le Mali.

Peu importe: l'aventure que narre l'ancien chef de corps du 5e RHC est la sienne et celle des défis "techniques, climatiques et humains" qu'il a relevés. Et elle est passionnante.

Sous-titré "Journal de guerre au Mali", le texte de Frédéric Gout tient avant tout de la chronique;  il raconte effectivement les trois mois (janvier à avril 2013) qu'il a vécus, avec ses hélicoptères et ses soldats, à Bamako, Tombouctou, Gao, Tessalit. Un livre à lire en complément du livre de Rémy Scarpa, par exemple.

A quand un ouvrage sur les défis logistiques de Serval?

Libérez Tombouctou!, Frédéric Gout, Tallandier, 256 pages, 18,90 €.

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 12:45
photo EUTM Mali

photo EUTM Mali

 

24 février 2015 by mhq pao

 

On Saturday, 21st of February 2015, at Koulikoro Training Centre, in the presence of the EUTM Mission commander, the Minister of Defence and Veterans Affairs, the Chief of General Major Staff of the Army, European and international diplomatic missions and representatives of international organizations, has been organized the graduation ceremony of GTIA AL FAROUK, after 12 weeks of intensive training for the future missions.

 

The distinguished visitors and the audience have had the opportunity to follow a close combat demonstration sustained by the GTIA AL FAROUK personnel, instructed by the European trainers.

 

The commanding officer of the GTIA AL FAROUK, Lieutenant Colonel Traoré, and all its officers, NCOs and soldiers, then received the certificate for the end of training from the Minister of Defence and Veterans Affairs, the Chief of General Major Staff of the Army, the EUTM Mission commander and EUTM trainers.

 

The ceremony concluded with a parade of GTIA AL FAROUK, which is now ready to be deployed and execute its missions in the area of responsibility.

photo EUTM Maliphoto EUTM Mali
photo EUTM Maliphoto EUTM Mali
photo EUTM Maliphoto EUTM Mali
photo EUTM Maliphoto EUTM Mali

photo EUTM Mali

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 12:45
photo EFS

photo EFS

 

27/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 10 au 24 janvier 2015 le détachement d’assistance opérationnelle « commando » de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS) a conduit une instruction de combat en zone urbaine au profit des soldats togolais, au centre d’entraînement aux opérations de maintien de la paix de Lomé, en République du Togo.

 

L’objectif de ce détachement d’instruction opérationnelle était de permettre aux cadres togolais de dispenser, dès leur retour en unité, une instruction au combat en localité de qualité. Un effort particulier a été porté sur les stagiaires devant être projetés prochainement en République de Côte d’Ivoire, au Mali ou au Darfour.

 

Les neufs instructeurs des EFS ont mené, pendant deux semaines, une action de formation de combat en zone urbaine. Les 55 stagiaires togolais du 1erbataillon d’intervention rapide ont reçu en première semaine une revue des savoir-faire individuels de base et des déplacements en groupe. Durant la deuxième semaine, un exercice de « restitution/synthèse » a permis aux chefs de section de s’exercer en situation de commandement lors de manœuvres offensives et défensives.

 

Au terme de cette expérience enrichissante pour l’armée togolaise, la formation s’est clôturée par la traditionnelle remise d’attestation de stage.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

photos EFSphotos EFSphotos EFS
photos EFS

photos EFS

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 12:45
photos EUTM Mali

photos EUTM Mali

 

16 février 2015 par mhq pao     

 

Le commandant des forces de défense de l’Estonie, Général Commandant Riho TERRAS, accompagné par Lieutenant-Colonel Rain JANO, Capitaine Indrek ELLING, le Chef du STRATCOM Mr. Vallo TOOMET, le représentant du Prime Ministre Estonien Mr. Kadri PEETERS, le représentant du Ministère de la Défense Estonien Mr. Sven SAKKOV, est arrivé le samedi 14 février 2015 à BAMAKO pour une visite à la Mission Européenne d’Entraînement au Mali.

 

Les visiteurs distingués ont été accueilli au MHQ par le général de brigade Alfonso GARCIA-VAQUERO PRADAL, commandant l’EUTM Mali.

 

Le Chef d’Etat-major de l’EUTM Mali a présenté les différents aspects de la mission avant de se rendre au centre de formation de KOULIKOURO, ou le Chef du TTF a présenté a présenté un mémoire au sujet de la mission de formation suivie d’une visite du camp d’entraînement.

La visite du commandant des forces de défense de l’Estonie a l’EUTM Mali
La visite du commandant des forces de défense de l’Estonie a l’EUTM Mali
La visite du commandant des forces de défense de l’Estonie a l’EUTM Mali
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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 12:45
U.S. military ends Ebola mission in Liberia

 

27 February 2015 defenceWeb (Reuters)

 

The United States military officially ended a mission to build treatment facilities to combat an Ebola outbreak in Liberia on Thursday, months earlier than expected, in the latest indication that a year-long epidemic in West Africa is waning.

 

Washington launched the mission five months ago and the force peaked at over 2,800 troops at a time when Liberia was at the epicentre of the worst Ebola epidemic on record.

 

Nearly 10,000 people have died in Liberia, Sierra Leone and Guinea over the past year. More than 4,000 of those deaths were in Liberia, but the number of new cases has plummeted in recent months, leaving many treatment centres empty and the mission has already begun winding down.

 

"While our large scale military mission is ending...the fight to get to zero cases will continue and the (Joint Force Command) has ensured capabilities were brought that will be sustained in the future," said U.S. Army Major General Gary Volesky.

 

The troops were deployed to support the international Ebola response mission led by the U.S. Agency for International Development. The operation was initially expected to last between nine and 12 months, said Volesky, the mission's commander.

 

Speaking to lawmakers during a visit to Washington on Thursday, Liberia's President Ellen Johnson Sirleaf thanked the United States for its support during the crisis.

 

U.S. soldiers built treatment centres, set up mobile testing labs, and provided transportation and logistical support. Military medical teams trained around 1,500 local health workers.

 

"A lot of our health workers of this country died during the course of the Ebola crisis," Liberian nurse Juma Kollie told Reuters. "There was a need to have some attention giving to them. So the American government came in that direction."

 

The force will withdraw over the coming weeks but more than 100 soldiers would remain in the country for several months to monitor the disease.

 

"We are not turning our backs. We’re transitioning to a civilian operation that is already supporting more than 10,000 civilians who are working in the region," U.S. Assistant Secretary for African Affairs Linda Thomas Greenfield said on Wednesday.

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 12:45
Barkhane : le 11 février 2015, 17h20, dans le désert malien, un soldat français donne ses ordres à la radio

 

Crédit : État-major des armées / Armée de Terre


Le 11 février 2015, 17h20, dans le désert malien, un soldat français donne ses ordres à la radio.

Cette action s’effectue au cours d’une opération quadripartite et transfrontalière dans laquelle les forces armées du Mali, du Niger et du Burkina Faso opèrent conjointement, avec le soutien de Barkhane.

Dans la bande sahélo-saharienne, 3000 militaires luttent contre les groupes armés terroristes, en partenariat avec les pays du G5 Sahel.


 

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 17:45
US confirms Ethiopian C-130E Hercules donation

 

27 February 2015 by defenceWeb

 

United States embassy officials in Addis Ababa have confirmed that the Ethiopian government has received a single Lockheed C-130E Hercules transport aircraft from the United States for tactical airlift of troops and equipment to support Ethiopian participation in AU and UN peacekeeping operations.

 

The aircraft was previously operated by the Puerto Rico National Guard where it was flown by the 198th Airlift Squadron, according to Air Forces Daily. After retirement from the US Air Force, it was put in storage at Davis-Monthan Air Force Base, Arizona, in September, 2013, having flown a total of 22 739 flight hours. Early the following year it was taken out of storage and prepared for delivery to Ethiopia. The aircraft in early June 2014 flew to Ethiopia, making stops in Canada and the United Kingdom.

 

A statement from the US embassy in Addis Ababa said the donation came with full training support for Ethiopian pilots, technicians and engineers with specially focused programmes on navigation and maintenance processes. An embassy spokesperson said there are no existing plans to provide any additional aircraft.

 

The Ethiopian Air Force’s 15 Squadron has flown C-130s since 1998 when it received two former US Air Force C-130Bs and later two commercial L100-30 variants that were previously operated by the Ethiopian Government. It is not clear if the aircraft are still operational.

 

The C-130 is a welcome boost to the Ethiopian Air Force after it lost an Antonov An-12 in a crash at Mogadishu International Airport on 9 August 2013. The aircraft was delivering ammunition to help the Somali government combat al Shabaab militants.

 

The Ethiopian Air Force has also lost a number of aircraft to neighbouring Eritrea and Kenya through defecting pilots and technicians. In December, a senior air force pilot, his co-pilot and a technician escaped Ethiopia in the Mi-35 attack helicopter they were flying on a training mission and landed in the Eritrean town of Aishidada where they were granted political asylum. Since last year, Ethiopia has been trying to use diplomatic channels at various levels to secure the return of its aircraft but to no avail.

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 16:45
FS Floréal - photo Marine Nationale

FS Floréal - photo Marine Nationale

 

27 February 2015 by Kim Helfrich - defenceWeb

 

The quiet buzz around Simon’s Town in anticipation of Exercise Good Hope goes up in the decibel level on Monday when a gun salute marks the start of the bi-national exercise between the South African and German navies.

 

Between Monday and Friday, March 27, when the end exercise happens, German and South African warships and aircraft, fixed and rotary-winged, will take part in numerous exercises, both at sea and in port.

 

This is the sixth edition of the Good Hope exercise and the tasks set for participants range from navigation and transit exercises through to air defence, gunnery, surface, tactical, electronic warfare and casualty evacuation. Replenishment at sea (RAS) is another task, in which the German navy supply ship Berlin will be the major roleplayer. The firefighting skills of both navies will also be put to the test during a simulated harbour fire.

 

The maritime arm of the SA National Defence Force (SANDF) will have two platforms in action for the duration of the exercise. They are the Valour Class frigate, SAS Spioenkop (F147), under the command of Captain (SAN) Mark Boucher, and the Heroine Class submarine, SAS Manthatisi (S101), under the command of Commander Russell Beattie. The SA Air Force’s (SAAF) contribution comes in the form of Super Lynx embarked aboard the frigate and a pair of Oryx medium transport helicopters. All three are 22 Squadron assets and they will be joined by a 35 Squadron C-47TP.

 

Apart from the Berlin, other platforms in the German navy contingent are the three frigates Hessen (flagship), Karlsruhe and Brandenburg. Each has a maritime helicopter aboard.

 

The German participants in the exercise will take two breaks from maritime warfare activities for open days at the V&A Waterfront in Cape Town on March 13 and 14 and will also be in harbour at Simon’s town for the Navy Festival from March 20 to 22.

 

In addition to the four German vessels, South Africa will at the same time be hosting naval vessels from the United Kingdom and France. The Royal Navy’s Daring class destroyer HMS Dragon and supply vessel RFA Gold Rover have been visiting Simon’s Town and will call at Cape Town on March 4, while the French Navy patrol frigate FS Floreal will arrive on March 6.

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 16:45
photo EUTM Mali

photo EUTM Mali

 

 

24 février 2015 par mhq pao

 

Samedi, le 21 février 2015, au Centre de formation Koulikoro, en présence du commandant de Mission EUTM, le Ministre de la Défense et de l’Anciens Combattants, le Chef d’Etat-Major de l’Armée, les missions diplomatiques européennes et internationales et les représentants d’organisations internationales, a été organisée la cérémonie de la remise des diplômes du GTIA AL FAROUK, après 12 semaines d’entraînement intensif pour les missions ultérieurs.

 

Les visiteurs distingués et l’audience ont eu l’opportunité de suivre une démonstration de lutte corps-à-corps soutenue par le personnel du GTIA AL FAROUK, indiqué par les entraîneurs européens.

 

Le commandant du GTIA AL FAROUK, Lieutenant-colonel Traoré et tous ses officiers, sous-officiers et soldats, ont ensuite reçu le certificat pour la fin d’entraînement du Ministre de la Défense et de l’Anciens Combattants, le Chef de l’Etat-Major de l’Armée, le commandant de Mission EUTM et les entraîneurs EUTM.

 

La cérémonie s’est achevée par un défilé des GTIA AL FAROUK, qui est maintenant prêt d’être déployé et exécuter ses missions dans le domaine de la responsabilité.

photo EUTM Maliphoto EUTM Mali
photo EUTM Maliphoto EUTM Mali
photo EUTM Maliphoto EUTM Mali
photo EUTM Maliphoto EUTM Mali

photo EUTM Mali

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 08:45
photo USAF

photo USAF

Joint terminal attack controllers from the 24th Marine Expeditionary Unit’s Maritime Raid Force and French 3rd Maine Artillery Regiment observe the exercise during a bilateral close air support training exercise in Arta, Djibouti, Feb. 4, 2015. The event was part of a scheduled bilateral CAS exercise between a contingent of MEU Marines and French soldiers and sailors. (U.S. Air Force photo by Staff Sgt. Kevin Iinuma)

 

Arta, Djibouti, February 24, 2015 By Staff Sgt. Kevin Iinuma - CJTF-HOA

 

French and U.S. coalition forces conducted a live and simulated close air support exercise in Arta, Djibouti, Jan. 31-Feb. 4, 2015.

 

The five-day event involved the U.S. 24th Marine Expeditionary Unit and the French 3rd Marine Artillery Regiment joint terminal attack controllers guiding U.S. Air Force HH-60 Pave Hawks and French Air Force Rafale-M multirole combat fighters to specified targets during the day and night CAS exercise.

 

"This is the first significant stop that we've made, conducting a live firing exercise in coordination with the U.S., preparing the French Naval Airway pilots for upcoming operations," said Lt. Cmdr. Ian Sloan, British Royal Navy exchange pilot to the French Naval Airway.

 

To increase partner nation interoperability, each exercise day was separated into three sections with two aircraft guided by both nations' JTACs, illustrating the different operating conditions they may encounter in future operations.

 

These exercises introduced both military partners to integrating and refining work tactics for time-sensitive procedures. A JTAC instructor evaluated the teams in locating targets on different terrain and communication skills between one another.  This exercise ensured that all aerial munitions called in by coalition JTACs and delivered by both nations' aircraft were on target and on time.

 

According to Sloan, it is easy to conduct training inside your comfort zone when you are doing it in a familiar environment.  However, working with coalition nations using different languages and procedures, in unfamiliar terrain, is when the real benefits come out of the training/exercise/event.

 

English was the designated language for both U.S. and French forces, their conduct of all CAS missions became successful by working through the language barriers and completing specific directions that are unique to each country.  Communication challenges included different military language being used over the radio from both nations and the available light.

 

"There were mostly similarities controlling the aircraft, especially procedural control," said U.S. Marine 1st Lt. Ashley McMillan, 24th MEU senior air director and Air Support Element officer-in-charge. "It can only be done one way. It's almost like having a universal language, the pilots knew what to expect from the JTAC and exactly what they had to do."

 

By the end of the exercise, both JTAC parties gained valuable experiences by working through friction points during the exercise, in turn helping strengthen relations and improving security amongst participating partner nations.

 

"It's always a benefit to train with our coalition partners, and any opportunity you get to do that is worth taking," said Sloan. "Even if you think you have learned all the lessons and you're on top of your game, there is always something to take away from the way other people do business."

 

The 24th MEU is currently embarked on the ships of the Iwo Jima Amphibious Ready Group and deployed to maintain regional security in the U.S. 5th Fleet area of operations.

photo USAF
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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 08:45
RCA: Korrigan rentre dans la lande, Vercors lui succède dans la jungle

 

26.02.2015 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

C'était le 18 février 2015: le patron du 3e RIMa, le colonel Pierre saluait ses soldats lors de la cérémonie de transfert d’autorité du commandement du GTIA Korrigan, déployé dans l'est de la  République centrafricaine depuis 4 mois.

 

Marsouins, spahis et autres soldats du GTIA Korrigan ont entamé leur retour en métropole.

 

Ils seront remplacés par les Alpins du GTIA Vercors qui se compose d’un état-major et d’une compagnie de combat fournis par le 7e Bataillon de chasseurs alpins, d’un escadron du 4e Régiment de chasseurs, d’une section génie du 2e Régiment étranger de génie et d’un sous-groupement aéro-mobile du 1er Régiment d’hélicoptères de combat. Vercors (déjà déployé au Mali en 2014) est aux ordres du colonel Lionel Catar, chef de corps du 7e BCA.

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 08:45
EUTM commander warns of possible failure in Somali army training programme

 

26 February 2015 by Oscar Nkala - defenceWeb

 

The outgoing commander of the European Union Training Mission (EUTM) in Somalia, Brigadier General Massimo Mingiardi, says the mission will fail to achieve its objectives of setting up, training and equiping a professional Somali National Army (SNA) unless the US and European Union make the long term funding commitment needed to achieve the mission's objectives.

 

Addressing reporters at EU headquarters in Brussels last week, Mingiardi said he notes that a lot of work that has been done in training the Somali army over the past few years but there remains a possibility of failure due to a lack of long term commitments from the principal programme funders:

 

"I have been satisfied with the results so far but they are not enough..It would be very naïve to say we could have solved the problems of Somalia in the last year - not after 22 years of civil war.

 

"We are on a good track but the West needs a long-term commitment. Otherwise, or else we will commit the same mistakes made in other parts of Africa or the Middle East," he said.

 

Mingiardi said the training programme faces severe shortages of basic training equipment while the continued absence of proper barracks, military uniforms and central authority in the form of a Ministry of Defence severely hampers the work of the mission and compromises its outcomes.

 

"To provide training without the basic equipment doesn't work. We have to do more. For example, during the last course we administered to 100 soldiers, not one of them received a uniform. They attended the course in civilian clothes and flip-flops!

 

"If we want to see any improvement, the only path before us is to provide them the equipment they need for training as well. We're also trying to help the Somalis rebuild their MoD [Ministry of Defence], but without more money I don't think we can achieve the desired results. One of my first priorities would be to re-build barracks, which would enable the soldiers to better control the armoury," the Italian Army general said.

 

The commander wants the EUR2.5 million pledged to the EUTM this year to be used for the acquisition of non-lethal military supplies such as camouflage uniforms and the construction of barracks and other cantonments.

 

He said this will improve the morale and basic living standards of the newly trained soldiers. The EUTM was set up in 2011 to support the rebuilding of a Somali army after the installation of a new UN-backed government in Mogadishu.

 

The programme was initially run from Uganda but was transfered to Mogadishu with the stabilisation of the military/security situation in late 2013. More than 250 Somali soldiers, including special forces elements, have been trained by the programme which ends next year.

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 08:45
photo Nektarios Markogiannis, UN MINUSCA

photo Nektarios Markogiannis, UN MINUSCA

25.02.2015 UNMAS

UNMAS in its work as part of MINUSCA, the Frensh Army (Sangaris), and the Central African Forces (FACA), in a combined operation destroyed 688 rockets (approximately 3.5 of explosives) stored in Camp de Roux. The rockets were labeled to be beyond their use date and their destruction was essential.

Reportage PHOTO Nektarios Markogiannis, UN/MINUSCA

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 21:45
Barkhane : point de situation au 26 février

 

26/02/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La force Barkhane poursuit ses opérations quotidiennes visant à entraver la liberté de mouvements des groupes armées terroristes (GAT).

 

Dans le fuseau Ouest, une opération quadripartite a été conduite de part et d’autre de la frontière et du fleuve Niger, dans la région dites des « trois frontières » entre le Mali, le Niger et le Burkina-Faso. Lors de cette opération, ces trois pays ont mené avec l’appui de la force Barkhane des actions de reconnaissance et de contrôle de zone visant à réduire le potentiel des groupes armés terroristes qui profitent de ces frontières pour se soustraire à l’action des forces armées. Il s’agissait de la sixième opération conjointe transfrontalière planifiée et conduite par les Etats du G5 Sahel en lien avec la France, illustrant leur capacité à opérer conjointement et à se coordonner à leurs frontières.

 

Durant l’opération, des représentants de l’Union européenne et de l’Union africaine ont rendu visite au poste de commandement quadripartite à Gao, afin d’être en mesure d’exporter cette synergie dans les initiatives internationales, à l’instar des missions européennes (EUCAP Sahel Mali et  EUTM) ou africaines (Mission de l’Union africaine pour le Mali et le Sahel - MISAHEL).

 

Le 21 février, M. Laurent Fabius, Ministre des affaires étrangères et du développement international (MINAEDI), s’est rendu à N’Djaména où il a été accueilli par le général de division Jean-Pierre Palasset, commandant l’opération Barkhane.

 

Le même jour a eu lieu la cérémonie de fin de formation du 6e GTIA formé par la mission EUTM Mali.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armées terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 21:45
Fin de l’opération militaire américaine contre l’Ebola au Liberia

 

26 février 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Les États-Unis ont mis un terme jeudi à leur opération militaire pour combattre l’épidémie d’Ebola au Liberia, lors d’une cérémonie militaire à Monrovia, a constaté un journaliste de l’AFP.

 

«L’importance des progrès que nous voyons aujourd’hui signifie plus qu’une diminution du nombre de cas confirmés ou suspects d’Ebola. Ces progrès se voient aussi à travers la capacité des Libériens à reprendre une vie normale», a déclaré jeudi le général Gary Volesky, chef de l’opération militaire américaine lors d’une cérémonie à Monrovia.

 

La 101e division aéroportée a «baissé ses couleurs» lors de cette cérémonie qui marque la fin de la mission entamée en septembre au Liberia, un des trois pays les plus touchés par la maladie d’Ebola qui a fait en un peu plus d’un an plus de 9500 décès.

 

Washington avait déployé jusqu’à 2800 soldats en Afrique de l’Ouest, essentiellement au Liberia, pour construire des centres de traitement, former du personnel et apporter un soutien logistique aux agences d’aide internationale. Moins d’une centaine devraient rester sur place d’ici fin avril.

 

Cette fin de l’opération militaire américaine a lieu alors que la présidente libérienne Ellen Jonhson Sirleaf doit s’adresser jeudi au Congrès américain pour remercier Washington de son aide dans la lutte contre Ebola. Elle sera ensuite reçue par le président Barack Obama.

 

La fin de la mission intervient aussi après la réouverture des écoles le 16 février, suivie de la levée du couvre-feu et de la réouverture des frontières du Liberia dimanche en raison de la décrue de l’épidémie d’Ebola.

 

L’épidémie de fièvre hémorragique est la plus importante depuis l’identification du virus en 1976, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le Liberia où elle a tué plus de 4000 personnes, la Guinée et la Sierra Leone sont les trois pays les plus touchés par la maladie.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 20:45
La MINUSMA patrouille dans la region de Mopti


26 févr. 2015 MINUSMA

 

La région de Mopti fut le point de départ de l’intervention internationale pour la libération des régions nord du Mali.
Ici, les nombreuses patrouilles de la MINUSMA participent à la sécurisation des villes et des populations. Cette population durement éprouvée par les évènements de 2012 est très sensible à présence de ces Casques bleus.
A Konan, ville où tout a commencé le 9 janvier 2013, une colonne de véhicules djihadistes lourdement armés tenta de descendre plus au sud. L’armée malienne avec le soutien de la force serval les stoppèrent leur avancé.
Désormais, dans ces localités, la MINUSMA sécurise chaque semaine la foire hebdomadaire. Une présence des hommes et des véhicules blancs des Nations Unies qui rassurent tout le monde. Les autorités administratives et politiques, la population, les jeunes et les femmes tous ont réaffirmé leur joie de voir le marché ainsi protégé

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 19:45
Les forces spéciales canadiennes au Niger hors de portée de Boko Haram

Un membre du Régiment d'opérations spéciales du Canada enseigne à un sergent comment utiliser correctement un inclinomètre pour déterminer la vitesse du vent, à Agadez, au Niger, le 21 février 2014. (Archives/Spc. Timothy Clegg/US Army)

 

25 février 2015 par Jacques N. Godbout -  45eNord.ca

 

Les forces spéciales canadiennes, en mission de formation à la lutte contre le terrorisme au Niger, ont été contraintes de quitter la zone frontalière et déménager dans une autre partie du pays pour s’éloigner des combats entre les extrémistes de Boko Haram et les troupes gouvernementales.

 

Lors d’une de leurs missions de formation en février, après avoir essuyé le feu des djihadistes de l’État islamique sur la ligne de front en Irak, nos Forces spéciales canadiennes se sont aussi retrouvés dangereusement près des combattants du redoutable groupe islamiste Boko Haram en Afrique, alors qu’ils s’entraînaient  à la périphérie de la ville de Diffa avec les troupes du Niger en préparation «à l’exercice FLINTLOCK 15, un exercice financé par les États-Unis et dirigé par le Tchad.

Les troupes canadiennes n’ont pas été impliqués dans les combats dans la ville de Diffa, qui se trouve sur la frontière avec le Nigeria, mais elles risquaient à tout moment d’être plongées en pleine tourmente alors que le groupe djihadiste multipliaient les attaques contre la ville.

Les soldats du Régiment d’opérations spéciales ou ROSC étaient autorisés à se défendre mais pas à prendre part au combat.

Alors qu’il devenait  de plus en plus difficile de mener la mission de formation  et que la situation sécuritaire ne cessait de se détériorer, les  officiers canadiens des forces spéciales ont alors  pris la décision  de plutôt poursuivre la mission dans d’autres parties du pays.

Mais les Forces armées canadiennes affirment qu’elles sont prêtes à renforcer leur rôle au Niger si Ottawa décide d’envoyer de l’aide à ce pays.

Et, entre temps, les forces spéciales canadiennes continuent, comme en Irak, l’entraînement de leurs homologues locaux, cette fois, dans le cas du Niger, la formation au tir, aux communications et à la planification de mission – des compétences qu’ils pourront utiliser dans leur combat contre Boko Haram.

Boko Haram, qui contrôle les régions frontalières du Nigeria, dispose de 4.000 à 6.000 des hommes armés aguerris. Le groupe, qui a tué des milliers de personnes au cours des ans et cherche maintenant, à l’instar du groupe État islamique en Irak et en Syrie, à établir un émirat islamique, multiplie les raids sur les pays voisins, dont le Niger.

En outre, le Niger, le Nigeria, le Tchad, le Bénin et le Cameroun font partie d’une alliance régionale lutte contre Boko Haram.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 19:45
La Libye menacée de devenir une nouvelle Syrie, craint son chef de la diplomatie

 

25 février 2015 45eNord.ca (AFP)

 

La montée en puissance des groupes extrémistes menace de transformer la Libye en une nouvelle Syrie, juge le ministre libyen des Affaires étrangères, Mohammed al-Dairi, pour qui les Occidentaux doivent armer les forces libyennes qui combattent les djihadistes.

 

« Le temps presse », a déclaré dans un entretien accordé à l’AFP M. Dayri lors d’une brève visite mardi soir à Paris. « Le terrorisme ne constitue pas un danger pour la Libye et les seuls pays voisins, il s’agit d’une menace qui s’intensifie contre l’Europe ».

 

« En l’absence d’une solution politique, le pays peut être entraîné dans une véritable guerre civile comme en Syrie », a averti le ministre, dont le pays, en proie aux milices rivales, a sombré dans le chaos.

 

La Libye, riche pays pétrolier, est aujourd’hui dirigé par deux parlements et deux gouvernements rivaux, l’un proche des milices islamistes qui contrôle la capitale Tripoli et l’autre reconnu par la communauté internationale qui siège à Tobrouk (est).

 

Le ministre, qui fait partie de cet exécutif à Tobrouk, a souligné que le groupe de l’État islamique contrôlait déjà deux villes, Derna (est) et Syrte (centre), qu’il « tient en otages », et qu’il était présent à Tripoli où il a mené le mois dernier un attentat contre un hôtel abritant des responsables et des étrangers.

 

Les combattants djihadistes sont estimés, selon lui, à environ 5.000 actuellement et comme en Syrie, un grand nombre d’entre eux, notamment à des postes de commandement, sont des étrangers.

 

Ainsi, « l’émir » autoproclamé de la Cyrénaïque, dont la capitale est Derna, est Yéménite, celui de Tripoli est Tunisien, deux des trois kamikazes ayant mené le dernier attentat suicide de l’EI vendredi dans l’est du pays seraient Saoudiens, a précisé le ministre.

 

M. al-Dairi a souligné que son gouvernement ne plaidait pas « pour une nouvelle intervention militaire occidentale », à l’instar de celle qui avait délogé le régime de Mouammar Kadhafi en 2011, mais pour « le renforcement des capacités de l’armée libyenne ».

 

Il avait déjà appelé la semaine dernière, devant le Conseil de sécurité de l’ONU, à une levée de l’embargo imposé depuis 2011 aux armes destinées à la Libye. Plusieurs membres du Conseil, dont la Russie, sont réticents à lever cet embargo, évoquant le risque de voir des armes tomber entre de mauvaises mains.

 

La communauté internationale réclame une solution politique en Libye avant toute chose, et s’inquiète, outre la montée en puissance des djihadistes, de l’afflux de l’immigration clandestine à destination de l’Italie notamment.

 

« La formation d’un gouvernement d’union nationale est une priorité libyenne, avant d’être une demande internationale », a assuré le ministre. « Mais si nous parvenons dès demain à former un tel gouvernement, il nous faut de l’aide pour l’armée libyenne. Or je n’ai trouvé aucune réponse convaincante aux États-unis ou en Europe, seulement des assurances qu’il y aurait une action internationale et non une intervention ».

 

L’armée et la police régulières sont profondément divisées et affaiblies en Libye. Mais pour le ministre, les forces du général controversé Khalifa Haftar, qui combattent depuis des mois les groupes islamistes dans l’est du pays, constituent « un embryon d’armée nationale ».

 

Le Parlement libyen reconnu par la communauté internationale a d’ailleurs décidé mardi d’instaurer un poste de « chef général de l’armée », créé sur mesure pour le général Haftar.

 

Le gouvernement de Tripoli étant très hostile au général Haftar, cette création risque de compliquer le dialogue politique entre les deux camps, mené sous l’égide de l’ONU.

 

Un nouveau round de discussions était prévu jeudi au Maroc, mais le Parlement libyen reconnu par la communauté internationale a décidé de suspendre sa participation à ce dialogue « après les attentats terroristes » vendredi commis par l’EI à Al-Qoba (est) et qui ont fait plus de 40 morts.

 

Le gouvernement de Tobrouk reproche à son rival de Tripoli de ne pas « condamner assez fermement le terrorisme », a dit le ministre. Mais Mohammed al-Dairi a cependant assuré qu’il n’y avait « pas de remise en cause du dialogue » venant de son camp. Il reviendra à la table des négociations, a-t-il dit, sans préciser quand.

 

« Notre condition sine qua non pour former un gouvernement d’union nationale est l’engagement à combattre le terrorisme », a-t-il insisté.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 17:45
Entraînement à Madagascar pour l’escadron « Réunion »

 

26/02/2015 Armée de l'air

 

Du 18 au 20 février 2015, l’équipage d’un Transall C160 de l’escadron de transport 50 « Réunion » a effectué une période d’entraînement dans le nord de Madagascar.

 

« L’île rouge » offre des possibilités d’entraînement qui n’existent pas à La Réunion. La géographie de Madagascar permet notamment de travailler le vol à basse altitude, la reconnaissance de terrains sommaires et  le vol tactique.

 

Cet entraînement a donné l’opportunité d’effectuer des reconnaissances en prévision de l’exercice que les forces armées dans la zone sud de l’Océan Indien (FAZSOI) mèneront à Madagascar en mai, en coopération avec les pays de la commission de l’Océan Indien (Seychelles, Maurice, Comores, Madagascar).

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 17:45
Libyan PM criticizes U.S., UK and EU for failing to supply weapons

 

26 February 2015 defenceWeb (Reuters)

 

Libya's official Prime Minister Abdullah al-Thinni on Tuesday criticized the United States, Britain and European Union for failing to supply arms to his forces as they battle those of a rival government.

 

The tough comments come a day after Libya's elected parliament, allied to Thinni, suspended its participation in U.N.-sponsored talks to try to end the power struggle between the two rival administrations and assemblies.

 

Thinni has been confined to a rump state in the east since a rival faction called Libya Dawn seized the capital Tripoli last year, reinstating an old assembly known as the GNC and setting up a rival government.

 

Thinni and the House of Representatives, also based in the east, enjoy the recognition of world powers but anti-Western sentiment has been building up. Many normal people demand military support in the power struggle with Tripoli, four years after the NATO-backed ousting of Muammar Gaddafi.

 

"Unfortunately, the international community and especially the United States, Britain and the European Union have refused to arm the Libyan army," Thinni told pan-Arab channel Al-Arabiya.

 

"Libya Dawn is part of militant Islamists which get weapons, ammunition and supplies from all over the world," he said. "But America and Britain have other ideas against the interest of the Libyan people."

 

Libya is still under a U.N. arms embargo dating from the 2011 uprising, though the country is awash with weapons and dominated by armed factions.

 

Thinni has been facing pressure from army general Khalifa Haftar who has merged his forces with army troops in the east to fight Islamist groups. While the alliance has managed to win back some territory in Benghazi, Haftar has drawn criticism for calling in air strikes on civilian airports and seaports.

 

Frustrated with hardships in the east, where the conflict has made petrol, electricity and medicines scarce, protesters have demanded Thinni quit and hand power to a military council headed by Haftar.

 

In another sign of pro-military sentiment, a committee of the House of Representatives on Tuesday voted to create the position of top military commander, its spokesman Farraj Hashem said.

 

Lawmakers did not name anyone but analysts expect Haftar to get the job. Some of his senior officers have already received official positions.

 

In Tripoli, the rival General National Congress (GNC) urged all parties to join the U.N. talks, its second deputy speaker Saleh Makhzoum told reporters.

 

The United Nations had planned to hold a new round in Morocco this week, after several sessions inside and outside Libya made little progress.

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