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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 08:45
Roberta Pinotti, ministre italienne de la défense, plaide pour une action en Libye

 

15 février 2015 Liberation.fr

 

C’était son ancienne colonie et elle connaît le terrain. «L’Italie est prête à guider en Libye une coalition de pays de la région, européens et d’Afrique du Nord, pour arrêter la progression du califat, qui est parvenu à 350 kilomètres de nos côtes», a affirmé, dimanche, la ministre de la Défense Roberta Pinotti, du gouvernement de centre gauche de Matteo Renzi. L’hypothèse de l’instauration d’un califat en Libye alarme Rome.

 

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:45
Barkhane : premier convoi pour le bataillon logistique Niel

 

13/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 26 au 29 janvier 2015, dans le cadre de l’opération de lutte contre le terrorisme Barkhane, le bataillon logistique Niel a effectué sa première mission de soutien aux opérations en acheminant des ressources logistiques entre Gao et Kidal, au Mali.

 

Ce premier convoi du bataillon logistique (BATLOG) à destination de la plateforme Désert relais (PfDR) de Kidal, avait pour objectif de conduire les ressources logistiques nécessaires au détachement de Kidal et d’en assurer la maintenance, ainsi que de tester pour la première fois le porteur polyvalent lourd de dépannage (PPLD) sur le territoire malien.

 

Pour atteindre ce premier objectif opérationnel, les logisticiens du BATLOG ont donc parcouru plusieurs centaines de kilomètres à travers les reliefs désertiques et l’environnement climatique exigeant du Mali.

 

Barkhane : premier convoi pour le bataillon logistique Niel

Ce nouveau véhicule a donné entière satisfaction sur sol instable et participe à accroitre la mobilité des convois dans les zones sensibles de circulation. Actuellement, la force Barkhane compte une vingtaine de porteurs polyvalents lourds de dépannage.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : premier convoi pour le bataillon logistique Niel
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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:45
Relation France-Maroc: Paris va décorer le patron du contre-espionnage marocain

 

14 février 2015 Romandie.com (AFP)

 

Rabat - Le ministre français de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, en visite au Maroc, a annoncé samedi que Paris décorerait prochainement le patron du contre-espionnage marocain, visé par une plainte pour torture en France, ce qui avait entraîné une crise diplomatique entre les deux pays.

 

Le Maroc et la France, deux proches alliés, viennent de tourner la page d'une année de brouille née du dépôt d'une plainte à Paris pour torture contre Abdellatif Hammouchi. Rabat avait aussitôt suspendu la coopération judiciaire, qui n'a été rétablie que fin janvier, à la faveur d'un accord entre les deux gouvernements.

 

Alors que la coopération sécuritaire a également été fortement entravée durant cette crise, Bernard Cazeneuve a loué samedi l'expertise et l'efficacité du Maroc dans l'échange de renseignements, évoquant un partenaire clé.

 

Je veux à cet égard tout particulièrement saluer l'action menée par la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), dont le rôle est déterminant dans la coopération contre le terrorisme, a-t-il ajouté, lors d'un point de presse conjoint avec son homologue marocain Mohamed Hassad.

 

M. Cazeneuve a rendu hommage en premier lieu à Abdellatif Hammouchi, le patron de la DGST.

 

La France avait déjà eu l'occasion de distinguer monsieur Hammouchi en 2011 en lui attribuant le titre de Chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur. Elle saura prochainement lui témoigner à nouveau son estime en lui remettant cette fois les insignes d'Officier, a-t-il indiqué.

 

L'annonce de cette future décoration a fait l'objet de critiques à Paris.

 

Décorer Abdellatif Hammouchi dans ces circonstances me paraît un véritable scandale, une honte pour la France, a clamé Me Patrick Baudouin, avocat d'un des plaignants et président d'honneur de la Fédération internationale des ligues des droits de l'homme (FIDH).

 

- 'Perdre son âme' -

 

Il a jugé avilissant (...) d'avoir cédé dans le cadre d'un deal passé avec les autorités marocaines pour permettre un rétablissement de la coopération militaire et sécuritaire, évoquant une façon de perdre son âme.

 

Les deux pays ont un rôle particulier à jouer ensemble pour dire un non implacable au terrorisme et à l'intolérance, a pour sa part plaidé Bernard Cazeneuve devant la presse.

 

Premier officiel français à se rendre au Maroc depuis la fin de la brouille, il s'est ensuite entretenu avec le chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, avant de quitter le Maroc pour se rendre sur les lieux de l'attentat de Copenhague.

 

Paris et Rabat sont engagés dans la lutte contre le terrorisme, les deux pays comptant plus d'un millier de ressortissants chacun --dont une part de binationaux-- dans les rangs d'organisations telles que le groupe Etat islamique (EI).

 

La crise diplomatique avait débuté en février 2014 lorsque des policiers français s'étaient rendus à la résidence de l'ambassadeur du Maroc près de Paris pour notifier à M. Hammouchi une demande d'audition de la justice française, qui agit en vertu du principe de compétence universelle.

 

La réconciliation a finalement été scellée le 9 février 2015 à l'Elysée par le président François Hollande et le roi Mohammed VI, actuellement en France.

 

A la faveur de ce nouveau climat, nous avons convenu de multiplier les contacts et les rencontres entre les responsables en charge de la sécurité des deux pays, a souligné Mohamed Hassad.

 

Les deux chefs d'Etat ont de leur côté annoncé un intense programme de visites ministérielles, afin de préparer une prochaine réunion de haut niveau en présence des deux chefs de gouvernement. Elle doit avoir lieu avant l'été.

 

La France est le premier partenaire économique du royaume où vivent entre 60.000 et 80.000 Français, tandis que plus de 1,3 million de Marocains résident en France.

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:45
Opération Corymbe : Le Siroco prend le commandement du Task Group 451.03

 

16/02/2015 Sources : Marine nationale

 

Le dimanche 8 février, à Mindelo (Cap-Vert), le Transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco a officiellement commencé son déploiement – le dixième en moins de vingt ans de service actif ! – en mission Corymbe, dont il prend le 128e mandat. Il sera accompagné par l’aviso Commandant Bouan dont le rôle sera en particulier de l’escorter dans les zones les plus sensibles.

 

Opération Corymbe : Le Siroco prend le commandement du Task Group 451.03

Il y a retrouvé le Bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre qui achevait  trois mois de mission. Les commandants des deux bâtiments ont effectué la passation de suite, au cours de laquelle le Siroco a embarqué de nombreux équipements nécessaires aux missions qu’il pourrait être amené à réaliser dans le Golfe de Guinée : coopération avec les marines de la région, lutte contre les narcotrafics et la piraterie, évacuation de ressortissants…

 

Le Siroco avait appareillé de Toulon le 27 janvier et avait fait escale à Lisbonne du 31 janvier au 3 février, escale destinée à la visite du bâtiment par de très hautes autorités portugaises afin de montrer les différentes fonctions opérationnelles et l'intérêt d'un navire amphibie.

 

À Mindelo était aussi présent l’aviso Lieutenant de Vaisseau Lavallée, qui sera sous peu relevé par l’aviso Commandant Bouan. Le Bouan sera alors sous le commandant tactique du Siroco, formant avec lui le Task Group 451.03.

 

Ce déploiement Corymbe sera la dernière grande mission opérationnelle du TCD sous le pavillon français : son retrait du service actif est prévu pour l’été 2015.

 

La mission Corymbe, assurée depuis 1990, est l'une des missions des forces armées françaises dans le golfe de Guinée. Elle est destinée à compléter le dispositif pré positionné en Afrique occidentale. Outre leur mission de présence dans une zone où les intérêts français sont nombreux, les navires déployés en Corymbe effectuent des actions de coopération bilatérale avec les pays de la région. Ils sont en mesure d’apporter un soutien rapide en cas de besoin, au même titre que les forces pré positionnées dans la région.

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:45
Statement by HR/VP Federica Mogherini on the beheading of 21 Egyptian Coptic Christians in Libya

 

16/02/2015 EEAS

 

"The EU stands in solidarity with the people and the government of Egypt in the wake of the beheading of 21 Egyptian Coptic Christians. I convey my heartfelt condolences to the families and friends of those massacred by terrorists in Libya.

 

I will meet Foreign Minister Sameh Shouky in Washington later this week and I will convey to him personally my condolences. We will also discuss the challenges ahead together with other leaders of the region and US Secretary of State John Kerry.

 

This act of terror is also a stark reminder of the plight of civilians in Libya – whether they are Libyans or migrants and whatever their faith.

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 16:45
La force Sangaris en soutien de la MINUSCA (26 jan. 15)

 

26 janvier 2015, 14h09, Crédits : Etat-major des armées / armée de Terre

 

à Bambari, face à des manifestants s’opposant à une réunion de consultation, la force Sangaris s’est déployée en soutien de la MINUSCA.

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner le déploiement vers sa pleine capacité opérationnelle de la mission de l’ONU.

 

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 08:30
Après la décapitation de 21 Chrétiens, l'Egypte bombarde l'Etat islamique en Libye

 

16/02/2015 Par lefigaro.fr, AFP, AP, Reuters Agences

 

Tôt lundi matin, les avions de combat de l'armée de l'air égyptienne ont visé des camps, des sites d'entraînement et des arsenaux du groupe terroriste, situés à proximité de la frontière avec la Libye.

 

Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi avait averti: les «assassins» seront punis de la manière «adéquate». Moins de 24 heures après la diffusion d'une vidéo montrant la décapitation de 21 Egyptiens coptes revendiquée par l'Etat islamique (EI), des avions de combats de l'armée de l'air égyptienne ont bombardé tôt lundi matin des positions de Daech en Libye. Dans le viseur de l'armée: des camps, des sites d'entraînement et des arsenaux de l'EI situés à proximité de la frontière avec la Libye.

Dimanche, la branche libyenne du groupe terroriste a mis en ligne une vidéo montrant la décapitation de 21 Egyptiens de confession chrétienne copte, récemment kidnappés en Libye. Sur cette vidéo de 5 minutes, des hommes portant des combinaisons oranges, semblables à celles d'autres otages exécutés ces derniers mois en Syrie, sont alignés sur une plage les mains menottées dans le dos. Un homme habillé en treillis militaire s'exprime en anglais avec un couteau à la main alors que les autres bourreaux, un derrière chaque prisonnier, sont intégralement vêtus de noir et silencieux. Tous sont masqués.

 

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15 février 2015 7 15 /02 /février /2015 12:45
SANGARIS : opération de distribution de médicaments à des ONG

 

13/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le mercredi 4 février, dans le cadre du soutien sanitaire français en République centrafricaine, la mission hospitalière de l’ordre de Malte et l’organisation du Rotary ont reçu près de 800 kg de médicaments de la force Sangaris, redistribués au profit de malades des dispensaires, cliniques et hôpitaux centrafricains.

 

Conduite par les forces françaises, cette donation de médicaments concerne 5 000 flacons de Perfalgan (paracétamol en perfusion), à péremption longue. Les produits seront ensuite redistribués par les réseaux médicaux des deux organisations qui couvrent le territoire centrafricain.

 

Comme en témoigne M. N’Galani, conseiller principal de l’ordre souverain de Malte, l’action est importante pour la population : « Nous sommes fiers et heureux de pouvoir servir de relais pour améliorer la santé de nos concitoyens centrafricains. ».

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

SANGARIS : opération de distribution de médicaments à des ONGSANGARIS : opération de distribution de médicaments à des ONG
SANGARIS : opération de distribution de médicaments à des ONG
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15 février 2015 7 15 /02 /février /2015 12:45
Barkhane : Renforcement du Groupement tactique désert-Est

 

13/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 1er février, le groupement tactique désert Est (GTD-E) a connu son deuxième transfert de commandement (TOA) depuis le lancement de l’opération Barkhane au Sahel, en août dernier.

 

Le 2e régiment étranger parachutiste (REP) a succédé au 3e régiment parachutiste infanterie marine (RPIMa), dans la conduite des opérations qui auront lieu sur l’ensemble de la zone Est de la bande sahélo-saharienne.

 

À ce titre, il arme l’état-major tactique stationné au camp Kossei, à N’Djaména au Tchad. C’est depuis ce poste qu’il commande les sous-groupements du REP et du 1er régiment hussards parachutistes (RHP), ainsi que les détachements d’Abéché, de Faya, de Dirkou et de Madama. Ce dispositif est renforcé par une section d’appui mortier du 35e régiment d’artillerie parachutiste (RAP), un détachement de liaison et d’appui aux opérations du 3e régiment hussard (RH), ainsi qu’un détachement d’hélicoptères de l’armée de l’Air.

 

Emmené par le 2e REP, le groupement tactique désert Est a pour mission de poursuivre les principales opérations de montée en puissance de la base avancée de Madama (Nord Niger), de contrôle de zones bipartites, ainsi que les opérations de ravitaillement logistique intra-théâtre.

 

L’opération Barkhane regroupe 3000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : Renforcement du Groupement tactique désert-Est
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15 février 2015 7 15 /02 /février /2015 12:45
U.S. Army M-ATV

U.S. Army M-ATV

 

February 11, 2015: Strategy page

 

The United States is providing the 21,000 AU (African Union) peacekeepers in Somalia with twenty MRAP (Mine Resistant Ambush Protected) vehicles to provide peacekeepers with additional protection while patrolling areas where mines and roadside bombs are still a problem. These MRAPs will replace older (late 1980s vintage) and lighter Casspir vehicles. These are from South Africa which is where the modern MRAP design was invented and for over a decade Casspir vehicles were among the best MRAP type vehicles you could get.

 

The U.S. is apparently providing a much newer design, the M-ATV (MRAP-All Terrain Vehicle) to the Somalia peacekeepers. These are refurbished after service in Afghanistan and more can be sent if needed. M-ATV is a 15 ton, 4x4 (with independent wheel suspension) armored vehicle. Payload is 1.8 tons, and it can carry five passengers (including a gunner). Top speed is 105 kilometers an hour, and road range on internal fuel is 515 kilometers. The M-ATV is slightly larger than a hummer. An M-ATV costs about $800,000, not including transportation. It cost about $150,000 each to fly one into Afghanistan.

 

The M-ATV design was heavily influenced by earlier American experience in Iraq and Afghanistan. This includes much better off road capabilities. After 2009 several thousand M-ATVs were sent to Afghanistan and troops found that the M-ATV can safely handle a lot of cross country travel that would be dangerous for a conventional MRAP. But, like taking a tracked vehicle (like a tank) off road, you can't just drive it anywhere. Even a tracked vehicle will flip, or lose a track (hit an obstacle that will tear the tracks from the wheels) if you don't drive carefully. Same deal with the M-ATV. Off the road, this is a more stable and forgiving MRAP, and commanders are coming up with new tactics to take advantage of it. The enemy can no longer assume all MRAPs will stay on the road.

 

The M-ATV design improved on the fact that all other MRAPs were, after all, just heavy trucks. The basic MRAP capsule design produces a high center of gravity that makes the vehicles prone to flipping over easily. They are also large vehicles, causing maneuverability problems when going through narrow streets. Most MRAPs don't have a lot of torque, being somewhat underpowered for their size. And, being wheeled vehicles, they are not very good at cross country movement (especially considering the high center of gravity.) The M-ATV was designed to deal with all of these problems.

 

The rush to get MRAPs to Afghanistan is all about reducing casualties. Anyone in these vehicles is much less likely to be killed by a roadside bomb. The math is simple. If all the troops who encountered these bombs were in a MRAP, casualties would be about 65 percent less. About two-thirds of all casualties in Afghanistan are from roadside bombs. Thus these vehicles reduced overall casualties by about a third.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 17:45
Cyberspace: new frontiers for gender violence
 

11 February 2015 by ISS

 

Recent years have seen an important shift in how security is prioritised, with an emphasis on threats in cyberspace. Last year, the Sony Corporation hack drew attention worldwide, challenging perceptions of state governance and security in cyberspace.

The estimated financial cost of cybercrime worldwide exceeds US$445 billion annually. For individuals, the loss of private and sensitive information is particularly concerning, and a recent poll in the United States (US) shows that Americans fear breaches in cyber security more than any other ‘traditional’ crimes.

Africa has not been immune to increased cybercrime either, with countries such as Nigeria, Kenya and South Africa fast becoming hubs of cybercrime activity.

 

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 12:45
photos ECPAD

photos ECPAD

 

13/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le mercredi 11 février 2015, à la suite des combats du 10 février dans la ville de Bria, au centre de la République centrafricaine, une délégation d'autorités militaires et civiles s'est rendue sur place afin d'y rencontrer l'ensemble des acteurs de la ville et de la région.

 

Le premier ministre en place en RCA était présent, et a pu, avec l’ensemble de la délégation, observer les matériels militaires récupérés la veille aux Ex-Seleka, ainsi que les prisonniers. Il s’est ensuite adressé à la population locale par l'intermédiaire de la radio de Bria, remise en place par la force Sangaris.

 

Les autorités politiques et militaires ont aussi commencé la réimplantation du pouvoir central avec la réouverture de la gendarmerie. Le général Bellot des Minières, commandant les forces françaises en RCA en a profité pour féliciter ses hommes.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République Centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Sangaris : Visite des autorités civiles et militaires à BriaSangaris : Visite des autorités civiles et militaires à Bria
Sangaris : Visite des autorités civiles et militaires à Bria
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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 12:45
FRCI source LdDef

FRCI source LdDef

 

12 février 2015 par BBC Afrique

 

L’Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation, la Réinsertion (ADDR) a décidé de mettre les bouchées doubles pour traiter vingt- huit ex-combattants en Côte d’Ivoire car elle n'a plus que quatre mois pour finir sa mission.

 

L’ADDR est chargée de l’orientation générale, la coordination, la supervision et l’exécution des actions de Désarmement, de Démobilisation, de Réinsertion, de Réintégration socio-économique des Ex-Combattants ainsi que la réhabilitation communautaire dans les zones d’accueil des ex-combattants. Pour l'instant, quarante-six mille d'entre eux ont suivi tout le processus de profilage, désarmement, formation et réintégration.

 

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 12:45
Diffa: le futur tremplin franco-nigérien pour lutter contre Boko Haram?


13.02.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

L'aéroport nigérien de Diffa (1800 m de long et 45 de large), avec sa piste en dur, deviendra-t-il un futur point d'appui temporaire français si Paris décide de s'impliquer un peu plus dans la lutte contre Boko Haram.

Pour l'heure, comme l'a rappelé le président Hollande début février, le soutien français aux pays de la région du lac Tchad se résume à un soutien "logistique et opérationnel": fourniture de carburant et de munitions à l'armée tchadienne, survol des frontières du Nigeria pour "faire du renseignement", participation à la cellule de coordination mise en place à N'Djamena, au Tchad...

A Diffa même, actuellement, la présence française se limite, selon l'EMA, à une quinzaine de membres de la cellule de liaison et de contact. Cette cellule a toutefois été renforcée par des "éléments de protection" dont ni le volume ni la provenance n'ont été précisés.

La détérioration de la situation locale (attentats et raids de Boko Haram contre Diffa, fuite de milliers de civils, incapacité du Nigeria à régler le problème) risque de forcer Paris à s'engager davantage. Des forces spéciales de Sabre (au Burkina) pourraient ainsi être amenées à jouer un rôle accru à Diffa, siège de la 5e Région militaire.

 

A lire ici une analyse de Marc-Antoine Pérouse de Montclos parue, le 11 février, sur le site de la Fondation Jean-Jaurès. Elle s'intitule Boko Haram. Les enjeux régionaux de l'insurrection.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:45
Lynx from the Royal Navy’s 226 Flight - photo Dean Wingrin defenceWeb

Lynx from the Royal Navy’s 226 Flight - photo Dean Wingrin defenceWeb

 

12 February 2015 by defenceWeb

The South African Air Force’s 22 Squadron, flying Super Lynx and Oryx helicopters for the SA Navy, is hosting a Lynx from the Royal Navy’s 226 Flight. The helicopter is embarked with the destroyer HMS Dragon currently visiting South Africa. Click here to view the gallery.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 05:50
Schengen Area as of 1 july 2013

Schengen Area as of 1 july 2013

 

13.02.2015 Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen) - Le Monde.fr

 

S’il n’y avait eu les négociations sur la guerre en Ukraine et la résurgence de la crise grecque, c’est le dossier de la lutte contre le terrorisme qui aurait essentiellement occupé les chefs d’Etat et de gouvernement réunis jeudi 12 février à Bruxelles. Il s’agissait initialement, lors de ce sommet informel, de publier une déclaration commune rappelant « les valeurs, la liberté et la tolérance des Européens, ainsi que leur unité », comme le soulignait une source diplomatique française.

 

Le texte publié jeudi rappelle dès lors les grands principes et fixe des objectifs : une meilleure détection et une meilleure identification des terroristes ; une lutte accrue contre le financement des réseaux ; une politique de prévention censée endiguer la radicalisation — notamment sur Internet — ; une meilleure coordination des actions locales et nationales dans les prisons et les écoles ; des contacts accrus avec les pays tiers du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord, du Sahel ou des Balkans, etc.

Au-delà des principes, des problèmes politiques concrets étaient posés. La France insistait notamment sur la nécessité de permettre le contrôle « systématique » de toutes les personnes entrant ou sortant de l’espace européen sans passeport de Schengen, ressortissants de pays tiers ou de l’Union. Paris demande en conséquence une révision du code Schengen, même si celui-ci permet déjà des contrôles renforcés dans certaines situations. La Commission est réticente, craignant une remise en cause du principe de la liberté de circulation et estimant que les dispositions actuelles sont suffisantes.

 

 

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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 19:45
Après le feu des djihadistes en Irak, les Forces spéciales canadiennes près de Boko Haram en Afrique

Un membre du Régiment d'opérations spéciales du Canada enseigne à un sergent comment utiliser correctement un inclinomètre pour déterminer la vitesse du vent, à Agadez, au Niger, le 21 février 2014. (Archives/Spc. Timothy Clegg/US Army)

 

11 février 2015 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Après avoir essuyé le feu des djihadistes de l’EI sur la ligne de front en Irak, voilà que les Forces spéciales canadiennes se retrouvent maintenant dangereusement près des combattants du redoutable groupe islamiste Boko Haram en Afrique.

 

«Oui, je peux confirmer que le CSOR (le Régiment d’opérations spéciales du Canada) est ‘teamé‘ [fait équipe, ndlr] cette année avec des forces du Niger, mais ne ne lutte pas contre Boko Haram dans la ville de Diffa», a bien confirmé à 45eNord.ca le Commandement des Forces d’opérations spéciales du Canada (COMFOSCAN).

Le Niger a été récemment le théâtre de violents combats entre les troupes gouvernementales et les extrémistes islamistes du groupe sanguinaire Boko Haram dans la ville de Diffa, qui se trouve sur la frontière avec le Nigeria.

Les forces spéciales canadiennes, pendant ce temps, s’entraînent avec les troupes du Niger à la périphérie de la ville en préparation «à l’exercice FLINTLOCK 15, […], un exercice financé par les États-Unis et dirigé par une nation africaine», précise le COMFOSCAN.

Les membres du groupe Boko Haram, eux, ont pris d’assaut une prison à Diffa le week-end dernier et ont pu se frayer un chemin dans une partie de la ville de 50.000 personnes lundi. Une voiture piégée a également explosé dans la ville, tuant cinq personnes et en blessant grièvement cinq autres.

L’armée du Niger a certes repoussé les insurgés de la ville, mais c’était tout de même la troisième attaque de Diffa en quatre jours.

Diffa est à environ cinq kilomètres de la frontière nigériane. Boko Haram, qui contrôle des régions frontalières au du Nigeria et dispose de 4.000 à 6.000 des hommes armés aguerris.

Le groupe a tué des milliers de personnes au cours des ans et cherche maintenant, à l’instar du groupe État islamique en Irak et en Syrie, à établir un émirat islamique dans le nord du Nigeria. Boko Haram a également mené des raids sur les pays voisins et a aussi choqué l’opinion internationale en 2014 avec l’enlèvement, non encore résolu, de 276 écolières à Chibok, au Nigeria.

La menace est réelle. Des milliers de personnes ont déjà fui la ville de Diffa et le gouvernement du Niger a conseillé à ceux qui restent de rester dans leurs maisons pendant les combats.

Les Forces spéciales canadiennes se trouvent donc, par le plus malheureux des hasards, encore une fois au mauvais endroit au plus mauvais moment… Vont-ils, après avoir essuyé les tirs des djihadistes en Irak alors qu’ils accompagnaient les forces irakiennes sur la ligne de front, se retrouver dans une situation semblable en Afrique, et, qui plus est, à l’occasion d’un exercice?

 

FLINTLOCK 15

FLINTLOCK est un exercice organisé et sponsorisé par le United States Africa Command (AFRICOM) depuis 2005 dans le nord et l’Afrique de l’Ouest pour «améliorer la capacité de sécurité des forces militaires régionales». Environ 1.000 militaires de plusieurs nations y prennent part chaque année. En 2015, l’exercice est organisé et hébergé par le Tchad.

FLINTLOCK 15 se déroulera du 16 février au 9 mars 2015.

La seule unité de forces spéciales canadiennes qui va y participer est le Régiment d’opérations spéciales du Canada (ROSC).

Selon le Commandement des opérations spéciales du Canada, les raisons de prendre part aux exercices FLINTLOCK sont simples: c’est une «excellente occasion pour le ROSC de se former dans un environnement austère, tout en continuant à construire l’interopérabilité et les relations avec les alliés, et en soutenant le gouvernement des initiatives du Canada dans la région du Sahel».

Plus de 1.200 personnels seront impliquées dans l’exercice Flintlock 15 au Tchad, avec des antennes au Niger, au Nigeria, au Cameroun et en Tunisie.

Les participants sont du Burkina Faso, du Danemark, du Canada, de France, d’Allemagne, d’Italie, de Mauritanie, des Pays-Bas, de Belgique, de Suède, de Norvège, du Sénégal, d’Espagne, du Royaume-Uni, du Mali, de République tchèque, d’Estonie, de Lituanie et des États-Unis.

 

La situation dans la région

Pendant ce temps, la guerre contre Boko Haram devrait s’accélérer dans les prochaines semaines. Le Nigeria a reporté son élection présidentielle jusqu’au 28 mars et se prépare maintenant à attaquer Boko Haram et à détruire ses bases.

En outre, le Tchad, le Bénin, le Cameroun, le Niger et le Nigeria ont convenu d’établir une force multinationale de 8.700 hommes pour venir à bout de Boko Haram.

Les soldats du Tchad, eux, ont déjà engagé la lutte contre Boko Haram dans le nord du Nigeria.

Dans le passé, la mission d’entraînement FLINTLOCK a déjà dû être annulé en raison d’un conflit dans la région où elle devait se dérouler. En 2012, FLINTLOCK, qui devait avoir lieu au Mali, a été annulée en raison de la poursuite des combats dans ce pays. Mais il semble, cette fois, qu’il n’est pas question d’annulation.

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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 18:45
photo Guy Martin - defenceWeb

photo Guy Martin - defenceWeb

 

12 February 2015 by Kim Helfrich - defenceWeb

 

The week starting February 23 will see SANDF Joint Operations headquarters become a hive of high level activity when planning for the African Union Amani Africa II field training exercise gets underway.

 

The exercise was originally set to take place in Lesotho last October but was put on hold due to changes in the mountain kingdom’s political situation. The AU said at the time it hoped to stage the exercise in South Africa in March 2015.

 

A joint communique issued earlier this month by the AU/UN following a joint task force (JTF) meeting of the two bodies in Addis Ababa said South Africa will at some time this year host the Amani Africa ll field training exercise.

 

“The JTF agreed to continue to co-operate in the area of peacekeeping based on the principles of shared responsibility, value addition and complementarity. In this regard, the meeting welcomed the ongoing UN review of peace operations and progress in the operationalisation of the African Standby Force (ASF) and the African Capacity for Immediate Response to Crises (ACIRC),” the communique stated.

 

Joint Operations Captain (SAN) Jaco Theunissen told defenceWeb the exercise would take place in October and “the most likely venue” would be the SA Army Combat Training Centre at Lohatla in the Northern Cape.

 

“This is not cast in stone and depending on the requirements decided on for the exercise the location could change to another with infrastructure more suitable for the scenario,” he said, adding the exercise dates would also be finalised during the five day planning session in Thaba Tshwane.

 

Last year the SA National Defence Force’s annual force preparation exercise Seboka at Lohatla took on a different image when it became South Africa’s most visible training preparation yet for the African Capacity for Immediate Response to Crises (ACIRC), a standby force to serve until such time as the long-awaited Au African Standby Force (ASF) can be mobilised and deployed.

 

Indications are the South African exercise will focus on airlift and communication capabilities to and from AU headquarters in Addis Ababa. There are also expected to be smaller tactical exercises with objectives put to troops on the ground during which command and control of forces as well as inter-operability between forces from different countries will be tested.

 

The phrase “Amani Africa” means “peace in Africa” in Kiswahili and is the over-arching name given to exercises aimed at developing the ASF to full operational capability.

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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 18:45
US studying special operations airlift needs in Africa

 

12 February 2015 by Oscar Nkala/defenceWeb

 

The United States military is seeking to identify companies able to provide fixed wing air transport services on behalf of US Army Special Operations Command (SOCOM) in countries in Africa.

 

On February 4 the Federal Business Opportunities (FBO) register issued a notice saying Special Operations Command Africa was “conducting market research to identify parties having an interest in, and the resources to support, an emerging requirement for mobile fixed wing air transport services to move personnel and cargo within the northern regions of Africa and surrounding countries”.

 

SOCOM said the airlift services will cover the African nations of Libya, Algeria, Morocco, Tunisia and Senegal. Jordan, which is likely to the base for the Africa operations, is the only Middle Eastern country covered by the airlift requirement.

 

The fixed wing aircraft involved must be capable of transporting a minimum of 1 000 pounds and maximum of 4 500 pounds to include a mix of a maximum of 12 passengers and/or cargo. It must also be capable of taking off/landing on improved and unimproved dirt airfields of a minimum of 1 800 feet in length to support supply and personnel transportation requirements.

 

"The primary operation area where the air transportation support could be provided include, but are not be limited to, Libya, Jordan, Tunisia, Algeria, Senegal, and Morocco. Other locations within northern Africa may be dictated by operational requirements and timely coordination will ensure contractor support," the notice stated.

 

Responses are called for by February 23.

 

The notice comes amid calls for the Pentagon to prepare for a large-scale counter-insurgency campaign to destroy West African-based terrorist groups like Boko Haram and several other Islamist militant groups operating in Mali, Niger, Algeria, Mauritania and other 'safe havens' in the Sahel and Lake Chad sub-regions.

 

In remarks made during an address at the Centre for Strategic and International Studies in Washington, DC, last week, Africa Command (Africom) head General David Rodriguez said a US-led counter-insurgency campaign was necessary to eliminate the threat posed by new terrorist groups based in West Africa.

 

He said Africom is already preparing a response which will include operations that will target 'forces affiliated to Boko Haram' in four West African countries neighbouring Nigeria.

 

Presenting a lecture to students at the US Army's West Point academy early this month, Special Operations Command (SOCOM) commander General Joseph Votel said US Army commando teams must start preparing now for new deployments against Boko Haram and the Islamic State in north and west Africa.

 

“Boko Haram is creating fertile ground for (terrorist) expansion into other areas. While it is not yet a direct threat to the (US) homeland, it is impacting indirectly our interests in this particular area (West Africa) and creating another area of instability,” General Votel said.

 

So far, US special operations forces operating in the Africa and Middle Eastern regions have conducted a number of raids against al Shabaab in Somalia, Islamist militants in Libya and Al Qaeda in the Arabian Peninsula in Yemen.

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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 18:45
BSS : point de situation du 12 février

 

12/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 1er février 2015, trois Mirage 2000D ont quitté la base aérienne 133 de Nancy pour rejoindre la plateforme aéronautique du Détachement ait (DETAIR) de Niamey. Ces trois avions de chasse appartiennent à la 3ème escadre de la base aérienne 133 de Nancy et remplacent les trois précédents aéronefs arrivés sur le théâtre au mois de septembre dernier.

 

Dans quelques jours, après une très rapide mise en condition opérationnelle, ils participeront à la lutte contre le terrorisme dans l’opération Barkhane. Ils effectueront notamment des missions d’appui aérien au profit des troupes engagées sur le terrain et de bombardement d’objectifs préétablis ou d’opportunités.

 

Du 5 novembre 2014 au 26 janvier 2015, une équipe de l’action civilo-militaire de la force Barkhane a travaillé dans plusieurs villes du nord du Niger, pour y restaurer des pompes et permettre aux populations de reprendre une activité agricole.

 

Des militaires nigériens ont assisté la force française durant toute la durée des opérations, matérialisant le partenariat noué entre les deux armées. Des contacts ont été pris, puis développés avec les chefs coutumiers et religieux de la région afin de maintenir à long terme le dialogue avec la population.

 

Du 1erau 7 février 2015, près de 120 militaires de la force Barkhane ont conduit une opération de reconnaissance dans la région de Tessalit. Ils ont reconnu les points hauts et les éventuelles zones de départ de tirs indirects des groupes armées terroristes, permettant la découverte et destruction de deux têtes de roquettes de 122 mm. Le DLAO 5 a poursuivi cette action par un contrôle de zone bipartite aux côtés du bataillon tchadien de la MINUSMA à proximité d’un point d’accès de la ville de Tessalit.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

BSS : point de situation du 12 févrierBSS : point de situation du 12 février
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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 17:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre


10.02.2015 MINUSCA

 

As part of its contribution to the restoration of the State authority throughout the country and in accordance with its mandate of protection of civilians, the United Nations Multidimensional Integrated Stabilization Mission in the Central African Republic (MINUSCA), supported by the French Force Sangaris, retook on this Tuesday 10 February 2015 public buildings, which were illegally occupied in Bria (Haute Kotto Prefecture in the Centre of the country) by armed ex-Séléka elements of the Popular Front for the Renaissance of the Central African Republic (FPRC).

The efforts to regain control of these state-owned buildings were immediately countered by the hostile armed group, which caused the resolved response of international forces.
 

The operation, which took place after the repeated refusal of the armed group to peacefully evacuate the premises, aimed at ending the existence of a parallel administration in Bria and to further ensure the protection of civilians.
 

The goal of the initiative was to support the holding of popular consultations in Bria, to give citizens the opportunity to speak freely about what they think is the root causes of the Central African crisis and to share their vision of the future.

"By taking actions in Bria, international forces confirm their determination to put all their resources in place to protect the Central African people and to support the transitional government in its efforts to restore the authority of the State, to continue the process of national reconciliation in order to organize fair, regular, transparent and open elections" said the Special Representative of the Secretary-General for Central African Republic and Head of MINUSCA, Babacar Gaye.
 

International Forces reiterate their call to all armed groups to integrate the Brazzaville process in order to have the opportunity to freely express their deep concerns and aspirations, and to be part of the national reconciliation, the only guarantee of lasting peace in the Central African Republic.

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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 16:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

12/02/2015 Sources : État-major des armées

 

A Bangui, la situation sécuritaire est calme. Les consultations populaires se sont déroulées sans difficulté et sont quasiment achevées dans la majeure partie des arrondissements de la capitale.

 

Les relèves se sont poursuivies et le GTIA Picardie, majoritairement armé par le 1errégiment d’infanterie (1er RI), a été relevé par le GTIA Turco, constitué par le 1er régiment de tirailleurs.

 

A Bria, la force Sangaris a appuyé une opération de la MINUSCA le 10 février visant à restaurer l’autorité de l’Etat dans la ville pour y permettre le déroulement du processus de consultations populaires. Au cours de cette opération à laquelle les soldats de Korrigan et plusieurs hélicoptères ont participé, les bâtiments publics occupés par des hommes armés du Front Populaire pour la Renaissance de la Centrafrique (FPRC) ont été libérés. Cette opération, ainsi que l’intervention quelques jours plus tôt de Sangaris sur une colonne de véhicules armés au Sud de N'Délé, a permis d’affirmer la détermination des forces internationales, face aux opposants des consultations populaires voulues par l’Etat de transition, dont la préparation et la tenue sont sécurisées par les militaires de Sangaris.

 

En Bamingui-Bangoran, les consultations populaires se sont achevées dans de bonnes conditions. La présence massive et continue des forces internationales a de toute évidence facilité la tenue de réunions auxquelles les groupes armés ont été mis en échec.

 

La semaine a également été marquée par la réarticulation des forces à Bambari, dont le contrôle de la base, jusqu’ici par les forces françaises, a été transféré à l’ONU. La force a achevé sa réarticulation hors de la ville, sur l'aérodrome, à partir duquel elle continuera d'appuyer l'action du contingent congolais de la MINUSCA.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo Armée de Terre et ECPADphoto Armée de Terre et ECPADphoto Armée de Terre et ECPAD
photo Armée de Terre et ECPAD

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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 12:45
photos Armée de Terre

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11/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 6 février 2015, la force Sangaris a transféré sa base opérationnelle avancée de Bambari à la MINUSCA.

 

La cérémonie de transfert s’est déroulée en présence du général Bellot des Minières, commandant la force Sangaris, et le général Tumenta, commandant la composante militaire de la MINUSCA.

 

Deuxième ville du pays, Bambari a connu une situation sécuritaire difficile dès le début des évènements. Depuis avril 2014, la présence de la force Sangaris au cœur de la ville a permis, en plus des actions menées dans la région, un retour à une situation sécuritaire plus stable. Le général Bellot des Minières a salué le travail des GTIA qui ont servi à Bambari: « Aux hommes de Sangaris qui se sont succédé sur ce poste, je veux dire toute mon admiration pour l’investissement constant et courageux qu’ils ont ici témoigné. ». Les opérations menées aux prises avec les ex-séléka, au contact avec les anti-balaka, ou encore face aux foules manipulées par quelques extrémistes des deux bords, ont toujours été menées avec brio.

 

La MINUSCA, et avant elle la MISCA, participe au travail de sécurisation de la zone depuis plusieurs mois. Le développement de son installation au cœur de la ville – en plus de ses deux autres camps à Bambari – permet de conforter la population dans un climat serein en accompagnement des forces de sécurité intérieures (FSI). Le général Bellot des Minières a transmis au général Tumenta la base de Bambari lui assurant par la même du soutien indéfectible des militaires de la force à leurs homologues onusiens : « Le drapeau de l’ONU hissé symbolise ainsi la transmission de la responsabilité de cette emprise à la MINUSCA (…) ».

 

Comme à Grimari, le 20 janvier dernier, la transmission de la base opérationnelle avancée française aux militaires de la MINUSCA est un gage de rétablissement des conditions de sécurité minimales nécessaires au retour à la vie normale pour les habitants de la ville. Le GTIA Korrigan, installé sur l’aérodrome de Bambari, continuera à veiller au retour de l’autorité de l’Etat, avec la remise en place de l’administration, ainsi qu’à la reprise des activités économiques. Les militaires du contingent congolais poursuivront leur travail de patrouilles et d’interventions sur la zone de Bambari, au profit de la population. Les liens entre l’aérodrome et le centre-ville perdureront au travers des actions conjointes menées entre forces internationales dans la région de Bambari.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Sangaris : Transfert à la MINUSCA de la base opérationnelle avancée de BambariSangaris : Transfert à la MINUSCA de la base opérationnelle avancée de Bambari
Sangaris : Transfert à la MINUSCA de la base opérationnelle avancée de Bambari
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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 12:45
photos EMA

photos EMA

 

11/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Depuis le 14 janvier, l’aide-soignante de classe normale Céline, de l’hôpital d’instruction des armées Clermont-Tonnerre de Brest, est en Guinée, pour participer à la lutte contre Ébola au sein du centre de traitement des soignants (CTS) construit et mis en œuvre par les armées françaises.

 

L’ASCN Céline fait partie des équipes médicales qui entrent en zone rouge d’hospitalisation pour prendre en charge les soignants guinéens contaminés par le virus Ébola. Elle s’est portée volontaire pour cette mission unique pour le service de santé des armées. « Déployer un hôpital de campagne pour une épidémie, c’est une première. Il a fallu s’adapter au cheminement sous les tentes, à l’équipement de protection, apprendre à travailler avec les autres soignants des hôpitaux militaires de toute la France et avec les militaires des régiments qui nous soutiennent, c’est très enrichissant. »

 

Diplôme d’État d’aide-soignante en poche, Céline s’est engagée en 2006, avec un premier contrat d’un an à l’hôpital militaire de Brest sur les conseils de sa sœur, infirmière militaire. « Le service de santé est une petite famille » explique-t-elle. « Les équipes en HIA sont très soudées, c’est très agréable d’y travailler. » Depuis, elle a enchainé deux contrats de cinq ans comme MITHA (militaire infirmier et technicien des hôpitaux des armées), d’abord au service de réanimation, puis en chirurgie.

 

Sa motivation à l’engagement : les opérations extérieures, pour « se dépayser, travailler avec d’autres personnes et faire des choses qu’on ne fait pas en France. » Souhait exaucé, elle en a fait quatre en 8 ans de service : Djibouti, Afghanistan, à deux reprises et la Côte-d’Ivoire. « On a davantage de responsabilités en opérations extérieures, ces expériences nous apportent beaucoup sur le plan professionnel et personnel ».

 

L’ASCN Céline prodigue les soins aux deux patients contaminés actuellement hospitalisés. Elle intervient en zone rouge avec un binôme infirmier militaire, parfois renforcé d’un médecin, tous en équipement de protection individuelle. Leur action est limitée à une heure pour éviter toute déshydratation et surveillée par webcam depuis le poste de commandement médical. Valides mais fébriles, les patients nécessitent une surveillance constante. « Il faut les réhydrater, soulager la douleur, leur donner leur traitement, les rassurer, leur apporter les repas et nettoyer la chambre »  car le virus Ébola provoque fièvre, diarrhées, et vomissements hautement contaminants. Les règles de sécurité sont drastiques. « On est bien encadré et je n’ai pas d’appréhension. Ça change vraiment du quotidien de l’hôpital. C’est pour ce genre de mission que je me suis engagée. »

 

4 700 paramédicaux servent au service de santé des armées. Ils sont recrutés sur titre pour servir dans les hôpitaux militaires après une formation militaire initiale, ou bien sur concours pour intégrer l’École du personnel paramédical des armées (EPPA Toulon) qui prépare à l’obtention du diplôme d’État d’infirmier ou d’aide-soignant. Les compétences ainsi acquises leur permettent de s’adapter rapidement à toutes les conditions d’exercice, notamment en opérations extérieures.

Portrait d’une aide-soignante militaire engagée dans la lutte contre EbolaPortrait d’une aide-soignante militaire engagée dans la lutte contre Ebola
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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 08:45
Les Forces Internationales reprennent les édifices publics de Bria


10.02.2015 MINUSCA

 

Dans le cadre de sa contribution à la restauration de l’autorité de l’Etat sur tout le territoire national et conformément au mandat de protection des civils, la MINUSCA, appuyée par la Force française Sangaris, a procédé mardi 10 février 2015 à la reprise de certains édifices publics à Bria, occupés illégalement par les éléments armés ex-Séléka du Front Populaire pour la Renaissance de la Centrafrique (FPRC).

 

La volonté de reprise de contrôle des bâtiments appartenant à l’Etat s’est heurtée à l’hostilité immédiate du groupe armé, entrainant la riposte déterminée des Forces internationales.

 

Cette opération, intervenue après le refus répété des groupes armés d’évacuer pacifiquement les emprises de l’Etat, vise, entre autres, à mettre fin à l’existence d’une administration parallèle et à assurer davantage la protection des civils.

 

Cette initiative a également pour objectif de  permettre la tenue des consultations populaires à Bria en donnant aux citoyens la possibilité de s’exprimer librement sur ce qu’ils pensent être les racines de la crise centrafricaine et leur vision de l’avenir.

 

“En agissant ainsi à Bria, les forces internationales confirment leur détermination à mettre tous leurs moyens en œuvre pour protéger les populations et pour appuyer le gouvernement de transition à rétablir l’autorité de l’Etat, à poursuivre le processus de réconciliation nationale en vue de l’organisation d’élections libres, régulières, transparentes et ouvertes”, a déclaré le Représentant spécial, Babacar Gaye.

 

Les Forces Internationales réitèrent leur appel à tous les groupes armés à intégrer le processus de Brazzaville qui leur donne l’opportunité d’exprimer librement leurs préoccupations profondes et leurs aspirations profondes et de s’inscrire dans une dynamique de réconciliation, seul gage de paix durable.

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