Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 08:35
Putrajaya Going Ahead with Nuri and C-130 Upgrade

RMAF C-130H (photo : scramble)

 

18 Feb 2014 Defense Studies


KUALA LUMPUR — The government is going ahead with the upgrade of its fleet of Sikorsy S-61 Nuri and C130 Hercules military transport planes, Defence Minister Datuk Seri Hishammuddin Hussein said today. 

He brushed aside claims that Putrajaya has decided to defer plans to upgrade its air fleet but would not say whether the country’s ageing fleet of 18 MiG 29 fighter jets will be replaced with multi-role combat aircrafts.

“We are looking at upgrading the Nuris and the C130s... things are already in the works,” he said at a press conference for the 14th Defence Services Asia (DSA) exhibition and conference here.

Last week, Aviation International News Online (AINOnline) reported that the government has deferred plans to update existing military assets that are already behind schedule amid pressure from the country’s chronic budget deficit and increasingly vocal opposition on military procurements.

Malaysia has 18 Russian-made MiG-29s but only eight are still operating. The planes are due to be decommissioned in 2015 but must now remain in service until replacement multi-role combat aircraft are approved.

Malaysia also cannot buy trainer aircraft until it decides which of four manufacturers, Boeing, Dassault, BAE Systems or Saab, secures the deal to replace the MiG-29s.

The country’s Nuri helicopters, which were pressed into service as a stop-gap measure during last year’s Sulu incursion into eastern Sabah, are also due to be replaced.  

Hishammuddin said that AIOnline’s report last week was “a case of misreporting”, but did not elaborate on either the Nuri or MiG29 deals.
 

RMAF S-61 (photo : scramble)

The minister said that Malaysia is “leveraging” on cooperation among ASEAN member countries to manage regional defence but gave no details.

Malaysia’s MiG-29s were purchased during the early 90s and are due to be replaced owing to reported difficulties in obtaining parts and services to keep the Russian fighters flying.

Reuters reported last year that Malaysia had shortlisted five manufacturers to replace the Russian-made MIG-29s.

The choice was between the Britain-backed Eurofighter Typhoon, Sweden’s SAAB JAS-39 Gripen, France’s Dassault Aviation Rafale, Boeing’s F/A 18E/F Super Hornet and Russia’s Sukhoi Su-30, it quoted then defence minister Zahid Hamidi as saying on the sidelines of the Langkawi International Maritime and Aerospace Exhibition last year.

Since September last year, Putrajaya has embarked on aggressive cost-cutting measures after pressure grew for it to rein in a chronic budget deficit that traces back to the Asian Financial Crisis of 1997, and which has left Malaysia’s national debt at just below a critical legal ceiling.

Among others, the government has reduced fuel subsidies, removed the price control for sugar and increased the excise tax for tobacco. It also approved an increase to power rates. The moves are blamed for rising inflation and cost of living hitting Malaysians.

In 2008, the opposition parties of Pakatan Rakyat (PR) denied the ruling Barisan Nasional (BN) a two-third majority in Parliament for the first time.

Opposition lawmakers have been relentless in their criticism of Malaysia’s defence procurements, which they allege to be inflated due to corruption.

Among the deals targeted were the Defence Ministry’s purchase of armoured personnel carriers, offshore patrol vessels, and helicopters — all of which PR lawmakers demonstrated to be available for less than what Putrajaya paid.

(TheMalayMail)

Partager cet article
Repost0
18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 22:50
[Armée de l'air] suisse : tout est question de timing

 

18 Février 2014 valeursactuelles.com

 

Pas trop vite. Le détournement hier matin d’un avion de ligne éthiopien, qui a dû se poser en urgence sur le tarmac à Genève, a soulevé de nombreuses questions. Parmi elles: pourquoi les armées françaises et italiennes sont intervenues pour résoudre cette urgence, et non l’armée suisse ? La réponse est surprenante.

 

Un problème de timing

 

L’[armée de l'air] suisse n’est pas intervenue car elle ne travaille pas 24 heures sur 24. En effet, l’[armée de l'air] suisse n’est opérationnelle qu'entre 8h30 et midi, puis de 13h30 à 17h00. L’avion éthiopien a été détourné à 6h05, soit 2h25 trop tôt…Cette lacune opérationnelle surprend d'autant plus que le service militaire est obligatoire en Suisse pour tous les hommes de 20 ans à 34 ans.

 

Le porte-parole des forces aériennes suisses a tenté de se justifier : «Nous n’avons pas les moyens d’assurer un service de piquet 24 heures sur 24». Il a également assuré qu’un service militaire aérien effectif 7 jours sur 7 est prévu pour 2020 !

Partager cet article
Repost0
18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 13:50
Crédits MBDA

Crédits MBDA

 

17/02/2014 Par Guillaume Steuer – Air & Cosmos

 

Le chiffre a de quoi rendre jaloux les militaires français : alors que l'actuelle loi de programmation militaire ne prévoit de moderniser que 100 missiles de croisière Scalp-EG, le ministère de la défense allemand a notifié en fin d'année dernière un contrat d'un montant indéterminé pour rénover pas moins de 300 KEPD 350 Taurus, des armements longue portée de la même catégorie et qui sont actuellement mis en oeuvre par les Tornado de la Luftwaffe.

 

Ce programme d'extension de durée de vie prévoit non seulement le remplacement de composants périssables (pyrotechnie, carburant…) mais aussi l'intégration d'une nouvelle architecture GPS et la "modernisation de l'environnement de développement logiciel", selon nos informations. Le chantier de cette "grande révision" sera mené sur le site MBDA Allemagne de Schrobenhausen, à une cadence d'environ 75 exemplaires par an jusqu'en 2020.

 

Taurus Systems GmbH, consortium en charge du KEPD 350, est une société conjointe entre Saab Bofors et MBDA Allemagne. Elle a récemment décroché une belle victoire à l'export en s'imposant face au JASSM américain pour équiper les F-15K de la force aérienne sud-coréenne. Le missile est également intégré sur les EF-18 espagnols.

 

En France, les projets de rénovation à mi-vie des Scalp-EG emportés par les Rafale et Mirage 2000D sont flous. L'intention de principe reste de sécuriser un programme commun avec le Royaume-Uni (qui utilise cet armement sous l'appelation Storm Shadow sur Tornado GR4) au titre d'un projet baptisé SSCEP, pour Scalp/Storm Shadow Common Enhancement Program. La déclaration commune issue du sommet franco-britannique qui s'est tenu fin janvier prévoit que les deux pays s'accordent sur "un mémorandum d'entente" au début de cet été.

 

L'environnement budgétaire contraint devrait limiter ce chantier à un "simple" allongement de la durée de vie des missiles, sans amélioration capacitaire notable. Sur les quelque 500 Scalp-EG initialement livrés à la France, seuls 100 seront donc ainsi rallongés puisque l'actuelle loi de programmation militaire ne prévoit de disposer que de 250 missiles de croisière à l'horizon 2020. Chiffre incluant les 150 missiles de croisière navals (MdCN) destinés à équiper Fremm et sous-marins Barracuda.

 

La situation est pour le moins paradoxale : l'Allemagne, qui devrait disposer en 2020-2025 de trois fois plus de missiles de croisière aéroportés que la France, n'a jamais fait usage d'un tel armement en opérations. Les avions de l'armée de l'Air et de la Marine ont quant à eux tiré quinze Scalp-EG au cours de l'opération Harmattan, en Libye, tandis que plusieurs dizaines de Storm Shadow étaient largués par les Tornado de la Royal Air Force.

Partager cet article
Repost0
18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 12:50
Détourné en dehors des heures de bureau, l'avion a dû être escorté par des forces étrangères

 

 

17.02.2014 RTS.ch

 

Le détournement d'avion de lundi à Genève ayant eu lieu hors des heures de bureau, les forces aériennes suisses n'ont pu l'escorter vers Cointrin et ce sont des forces étrangères qui ont dû oeuvrer.

L'avion éthiopien qui a été détourné lundi matin par son copilote a été escorté par des appareils militaires italiens puis français jusqu'à son atterrissage à Genève, car les forces aérienne suisses n'étaient pas en service à cette heure-là.

L'aéroport de Cointrin a été fermé durant plus de 2 heures après l'arrivée de l'avion, détourné par le copilote de l'appareil, qui souhaitait demander l'asile à la Suisse  (lire le compte-rendu détaillé des faits: L'auteur du détournement d'avion à Genève-Cointrin était le copilote). L'homme a été maîtrisé et personne n'a été blessé.

 

Intervention française et italienne

Le Boeing d'Ethiopian Airlines a été accompagné par deux Eurofighter de l'armée italienne dans l'espace aérien italien, a indiqué lundi le porte-parole des forces aériennes suisses, Laurent Savary. Deux Mirages 2000 de l'armée française ont ensuite pris le relais dans l'espace aérien français, jusqu'à Genève, où l'appareil détourné a atterri à 6h02.

Les forces aériennes suisses ne sont pas intervenues, car elles ne sont opérationnelles que dans les heures de bureau, entre 8h et 12h et de 13h30 et 17h.

Cette limitation des interventions de l'armée aux heures de bureau est surtout due à des questions financières: un service de piquet et l'engagement de pilotes seraient nécessaires pour assurer des opérations en tout temps. Lancé par le Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports, le projet Ilana devrait remédier à cette situation, mais pas avant 2020.

Partager cet article
Repost0
18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 08:50
Les armées de l’air française et italienne interviennent lors du détournement du vol ETH 702c

 

17/02/2014 Sources : EMA

 

Lundi 17 février 2014, l’armée de l’air française, en coopération avec les forces aériennes italiennes et suisses, a réalisé l’interception en vol d’un Boeing 767 de la compagnie Ethiopian Airlines.

 

Il est environ 04h10, lorsque le centre interallié de conduite des opérations aériennes de Torrejon (Espagne) informe le centre national des opérations aériennes (CNOA) de Lyon Mont-Verdun du détournement de l’avion de ligne éthiopien vers la Suisse.

 

L’avion, en provenance d’Addis Abeba en Éthiopie, a été détourné de sa destination d’origine, Rome, pour se diriger vers l’aéroport de Genève.

 

Après analyse de la situation depuis le CNOA, la haute autorité de défense aérienne (HADA) ordonne le décollage de la permanence opérationnelle (police du ciel) de la base aérienne 115 d’Orange pour intercepter l’appareil et place également d’autres avions en alerte.

 

05h07 : le 767 est intercepté par 2 Eurofighter italiens, relayés à 05h12 par un Mirage 2000 C français. À 05h17, la reconnaissance à distance réalisée par l’avion de chasse confirme que le vol d’Ethiopian Airlines met le cap sur la Suisse. Un négociateur dépêché sur l’aéroport de Genève par les autorités suisses est en contact avec le pirate de l’air qui refuse de poser l’avion tant que ses exigences ne sont pas acceptées.

 

05h56 : la HADA ordonne le décollage d’un second Mirage 2000 C d’Orange pour relever le premier. Les négociations aboutissent et le vol ETH 702 d’Ethiopian Airlinesentame sa phase d’approche sur Genève et se pose à 06h02. Le pirate de l’air a immédiatement été arrêté par la police suisse. Quant aux deux Mirage 2000 français, ils regagneront la base d’Orange.

 

Ce cas de détournement réel d’un avion de ligne a permis de mettre à l’épreuve les chaînes de commandement de sûreté aérienne suisse, italienne et française, conjointement à la coordination avec les autorités suisses qui a eu un rôle déterminant. La mobilisation dans un délai très bref de tous ces acteurs a contribué à secourir les quelque 200 passagers et membres d’équipage à bord de l’appareil.

 

Ces aéronefs de l’armée de l’air ont décollé dans le cadre de la posture permanente de sûreté aérienne, dispositif de sûreté participant à la protection du territoire national et visant à faire respecter la souveraineté nationale.

 

Le 21 janvier dernier, APEX, exercice transfrontalier mené entre la France et l’Italie, déroulait le scenario d’un détournement d’avion de ligne, permettant de tester la mise en œuvre des procédures de sûreté aérienne des deux pays. Cet exercice a porté ses fruits comme les deux armées de l’air l’ont démontré aujourd’hui. Les exercices transfrontaliers organisés régulièrement demeurent une garantie du bon déroulement des procédures et des transmissions d’informations, ayant pour but d’assurer, 24h/24 et 7 jours sur 7, la mission de sûreté aérienne confiée à l’armée de l’air.

Les armées de l’air française et italienne interviennent lors du détournement du vol ETH 702c
Les armées de l’air française et italienne interviennent lors du détournement du vol ETH 702c
Partager cet article
Repost0
17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 18:55
Un outil de premier plan pour le décideur politique : la projection de puissance

February 17, 2014 CESA

 

Dans un contexte budgétaire de plus en plus contraint, les décideurs politiques français sont amenés à effectuer des choix dans la politique d’équipement des forces armées. Le maintien de certaines capacités devrait ainsi dépendre de la plus-value qu’elles procurent aux décideurs politiques, en particulier, dans la défense des intérêts de la France. Les dernières interventions extérieures en Libye et au Mali ont démontré l’intérêt de disposer d’une capacité à réagir promptement dans le cadre de situation de crise pouvant évoluer rapidement. La puissance aérospatiale constitue dans ce cadre l’outil adéquat.

 

Retrouvez l’intégralité de cet article extrait du dernier numéro de Penser les ailes françaises au format PDF

Partager cet article
Repost0
17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 17:30
photos Tsahal

photos Tsahal

 

février 17, 2014 Tsahal

 

Le commandant de l’Armée de l’Air française, le général Denis Mercier, a atterri la semaine dernière en Israël. Au cours de sa visite, il a rencontré le commandant de l’Armée de l’Air israélienne, le général de division Amir Eshel, s’est rendu dans les bases aériennes de Tsahal et a même participé à un vol. Venez en apprendre plus sur cette coopération franco-israélienne.

 

La visite du général Denis Mercier a été l’occasion de rencontres avec le général de division Amir Eshel et d’entretiens concernant les défis quotidiens présents au Moyen-Orient. La coopération existante ainsi que les intérêts communs entre les deux puissances aériennes ont également été évoqués. Le commandant de l’Armée de l’Air a pu décoller à bord d’un avion F-15L de la flotte israélienne et a déclaré : “c’est un grand avion doté de beaucoup de puissance. C’était une expérience très forte de voler avec pour la première fois.”

Le général Denis Mercier a servi en tant que pilote de chasse de l’Armée de l’Air française aux commandes des avions Mirage 2000 et Rafale. Durant son mandat de commandant des forces aériennes françaises, il a souhaité renforcer les relations avec son homologue israélien, une coopération entre les deux pays qui existe depuis déjà près de cinquante ans. “Hier, j’ai rencontré des anciens pilotes israéliens qui ont volé à bord du Mirage français dans les années 60 lors des guerres qu’Israël a connues. Depuis ce temps-là, nos relations n’ont cessé d’exister.”

 

5 POINTS SUR L’ARMÉE DE L’AIR FRANÇAISE :

1. L’Armée de l’Air française est la quatrième plus grande flotte aérienne au monde.

2. La France a été la première nation à envoyer un pilote de chasse se battre lors de la Première Guerre mondiale.

3. Le drone Harfang, actuellement en usage en France, est développé en collaboration avec l’ingénierie aéronautique israélienne.

4. En 2011, les pilotes de l’Armée de l’Air française ont pris part aux frappes de l’OTAN en Libye contre les forces du régime de Mouammar Kadhafi.

5. Cette année, l’Armée de l’Air française fête ses 105 ans et est considérée comme la plus vieille armée de l’air au monde.

La France en visite dans les bases aériennes de Tsahal
La France en visite dans les bases aériennes de Tsahal
La France en visite dans les bases aériennes de Tsahal
Partager cet article
Repost0
16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 12:55
Chuteurs opérationnels du CPA20

Chuteurs opérationnels du CPA20

,

14/02/2014 Armée de l'air

 

Du 11 au 13 février 2014, l’escadron d’hélicoptères 1/44 «Solenzara» a participé, sur la base aérienne 102 de Dijon, à un entraînement conjoint avec le commando parachutiste de l’air n°20 (CPA 20).

 

Grâce à un hélicoptère Super Puma déployé pour l’occasion sur la base bourguignonne, les commandos dijonnais et l’équipage corse se sont entraînés à de multiples missions tactiques, notamment à l’aérocordage de personnel et au parachutage de chuteurs opérationnels.

 

Cet entraînement a également permis d’entretenir les liens tissés depuis plusieurs années entre les deux unités. En effet, ces dernières s’exercent régulièrement ensemble sur l’île de Beauté, notamment lors des entraînements tactiques que le CPA 20 opère en Corse en collaboration avec le 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi.

 

Créé en Algérie, le CPA 20 est l'unité la plus ancienne de la brigade aérienne des forces de sécurité et d'intervention (BAFSI). Ses missions sont nombreuses. Le personnel du CPA 20 est particulièrement sollicité et projeté partout dans le monde. Il s'est illustré ces dernières années au cours des opérations menées en Afghanistan et au Mali, notamment dans les domaines de l'appui aérien et de la reconnaissance de terrain sommaire.

 

Commando du CPA 20

Commando du CPA 20

Commandos du CPA20 à bord d'un hélicoptère de l'armée de l'air

Commandos du CPA20 à bord d'un hélicoptère de l'armée de l'air

Partager cet article
Repost0
16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 12:35
2014 marque les 50 ans des relations diplomatiques franco-chinoises

2014 marque les 50 ans des relations diplomatiques franco-chinoises

 

 

14/02/2014 Armée de l'air

 

A l’occasion du 50e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et la Chine, une délégation des écoles d’officiers de l’armée de l’air (EOAA) s’est rendue en Chine, du 24 au 30 janvier 2014, pour célébrer l’événement.

 

Répondant à l’invitation de la Fondation Charles de Gaulle, les aviateurs français faisaient partie d’une large délégation composée aussi bien de militaires, que d’universitaires, d’élus, d’industriels ou même encore de l'orchestre symphonique de la Garde Républicaine.

 

Outre la découverte des plus célèbres sites de la capitale chinoise et de ses environs, ainsi que de la ville de Shangaï, les élèves officiers de Salon-de-Provence ont assisté à de nombreuses manifestations, telles qu’un colloque sur les relations sino-françaises, ainsi qu’au vernissage de l’exposition «Chine – France : 50 ans !» au musée national de Chine à Pékin. Les jeunes aviateurs ont également assisté à un concert conjoint exceptionnel entre l’orchestre symphonique de la Garde Républicaine et l’orchestre de l’Armée Populaire de Libération de Chine, organisé le 26 janvier à Pékin.

 

Plus d’informations sur le site de la Fondation Charles de Gaulle

 

Les militaires français présents en Chine

Les militaires français présents en Chine

Partager cet article
Repost0
14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 08:40
Décès d’une figure du régiment de chasse «Normandie-Niemen»

 

12/02/2014 Armée de l'air

 

Vendredi 7 février 2014, le mécanicien Aleksandr Petrovich Nikitine, une figure de l’épopée «Normandie-Niemen», s’est éteint à l’âge de 91 ans.

 

Les funérailles d’Aleksandr Petrovich Nikitine se sont déroulées dans la petite ville de Mikhaïlov à 250 km de Moscou le 9 février. Le président de l’association russe « Normandie Niemen », M. Fétissov et l’attaché de défense adjoint «air», le lieutenant-colonel Matthieu Evain, ont pris part aux cérémonies religieuses rendues en son honneur.

 

L’adjudant Aleksandr Petrovitch Nikitine faisait partie des derniers Russes à avoir accompagné du début à la fin les aviateurs de la France Libre venus combattre sur le front de l’Est : de l’arrivée à Ivanovo du groupe de chasse numéro 3 «Normandie», en décembre 1942, jusqu’au retour par les airs, au Bourget, des pilotes français avec les Yak offerts par l’Union soviétique, en juin 1945. Sa tâche consistait à préparer et réparer les appareils des pilotes français et plus particulièrement ceux de Paul de Forges, Pierre Dechanet et Marcel Perrin. Avec le régiment «Normandie» (dénommé régiment de chasse «Normandie-Niemen» le 21 juillet 1944), il participa à l’ensemble des campagnes de libération des villes de Kalouga, Orel, Smolensk, de la Biélorussie et de la Lituanie, de 1943 à 1945.

 

Décès d’une figure du régiment de chasse «Normandie-Niemen»

Sa bravoure aux côtés des pilotes français du régiment de chasse «Normandie Niémen» a été reconnue et  récompensée par de nombreuses décorations soviétiques et françaises, dont celle de la Croix de guerre et de la Légion d’Honneur.

Partager cet article
Repost0
13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 22:45
Sangaris : visite de l’ambassadeur de Pologne à Orléans

 

10/02/2014 Sources : EMA

 

Le 5 février 2014, l’ambassadeur de la République de Pologne en France, Monsieur Tomasz Orlowski, s’est rendu sur la base aérienne 123 d’Orléans-Bricy auprès du contingent militaire polonais déployé en soutien de la force Sangaris depuis le 30 janvier.

 

Accueilli par le colonel Gilles Besançon, commandant de la BA 123, l’ambassadeur de Pologne a reçu les honneurs du détachement polonais. Il a ensuite visité l’escadron de transport Franche-comté(ET 2.61) et rencontré les membres de l’équipe multinationale de mise en service (Multinational Entry into Service Team - MEST) déployé à Orléans dans le cadre de l’entrée en service de l’avion de transport A400M.

 

Depuis le 30 janvier 2014, les autorités polonaises ont mis un avion de transport tactique C130 à disposition de la force Sangaris pour appuyer les manœuvres logistiques entre la France et la RCA. D’une durée de trois mois, ce soutien est réalisé depuis la base aérienne 123 d’Orléans Bricy.

 

Le contingent polonais compte deux équipages, un avion C-130 Hercules et du personnel de service au sol. Un deuxième appareil est en disponibilité opérationnelle sur la base aérienne de Powidz en cas de défaillance du premier.

 

La coopération de défense entre la France et la Pologne s’inscrit dans le cadre du partenariat stratégique signé en 2008. Cette coopération opérationnelle s’exerce principalement dans le domaine de la formation, des entraînements et des exercices. Elle a dernièrement été mise en évidence dans le cadre de l’exercice de certification de la force de réaction rapide de l’OTAN, Steadfast Jazz. Organisé en Pologne du 2 au 9 novembre 2013, cet exercice avait notamment permis de renforcer notre interopérabilité au sein de l’Alliance.

Sangaris : visite de l’ambassadeur de Pologne à OrléansSangaris : visite de l’ambassadeur de Pologne à Orléans
Sangaris : visite de l’ambassadeur de Pologne à Orléans
Partager cet article
Repost0
10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 20:35
Pourquoi l'Inde fait patienter le Rafale sur la piste d'envol

Six raisons pour comprendre pourquoi le contrat pour l'acquisition des 126 Rafale par l'Inde est si long à se concrétiser

 

10/02/2014 Michel Cabirol – laTribune.fr

 

La semaine dernière, le ministre de la Défense indien a confirmé que le contrat Rafale ne serait pas notifié avant les élections. Pourquoi ce ce contrat met-il autant de temps à être signé ? Explications.

 

L'Inde ne signera pas d'accord d'achat de l'avion de combat Rafale de Dassault Aviation avant les élections prévues d'ici à mai en raison de contraintes budgétaires, a déclaré jeudi dernier le ministre de la Défense, A. K. Antony. Ce qui n'est pas réellement une surprise, les industriels du Team Rafale misant pour une mise en vigueur du contrat en 2015. "Les grands contrats d'équipement militaire devront attendre le prochain exercice qui commence en avril", a encore expliqué le ministre et beaucoup de ces contrats "sont à un stade final". Ce qui ne remet pas en cause cette opération entre Dassault Aviation et New Delhi.

"En raison du manque de fonds, il ne faut pas attendre d'accord ou de décision finale lors de cet exercice" budgétaire, qui s'achève fin mars, a dit le ministre lors d'une conférence de presse. "J'espère que les choses pourront se matérialiser l'année prochaine", avait-il précisé en référence au prochain exercice budgétaire. Au 1er février, l'Inde avait déjà dépensé 92 % de son budget d'équipement militaire, a précisé le ministre. L'Inde a choisi d'entrer en négociations exclusives avec Dassault en janvier 2012 pour l'achat de 126 avions de combat, soit un montant estimé à 12 milliards de dollars. Parmi ces avions, 108 doivent être assemblés par des industriels indiens.

 

Pourquoi faut-il à l'Inde autant de temps pour signer ce contrat

Lors de la 8e édition de DEFEXPO, le salon international de défense organisé tous les deux ans par New Delhi depuis 1999, qui a fermé ses portes ce dimanche, les industriels étaient résignés. Ils devront patienter encore quelques mois de plus pour signer des contrats en cours de négociations ou en cours de validation par l'administration indienne. Car à seulement trois mois des élections générales prévues en mai, le gouvernement actuel s'impose un gel sur les décisions importantes, notamment les contrats d'armement.

Et après ? "Le temps que le nouveau gouvernement s'approprie les dossiers en cours, il ne faut pas s'attendre à des décisions avant 2015", explique-t-on à "La Tribune". Et encore tout dépendra du résultat des élections. "Si c'est une grande coalition qui sort des urnes, les décisions seront encore plus compliquées à prendre". C'est bien pour cela que la plupart des grands patrons de l'industrie de défense française, à l'exception de celui de Nexter, Philipe Burtin, ont déserté cette année DEFEXPO.

Tout dépendra également de la volonté de l'armée de l'air indienne (IAF), qui a besoin de ces avions rapidement, à exiger la signature de ce contrat. Très respectée en Inde, elle peut - à condition qu'elle le souhaite - débloquer un contrat rapidement. En tout cas, l'IAF a toujours soutenu le deal depuis le début des négociations.

 

Un contrat hors norme

La masse incroyable de détails qui ont été négociés et qui restent encore à négocier, est à l'origine de la difficulté de conclure rapidement un contrat hors norme baptisé "Mother of all deals" (la mère de tous les contrats). Et les négociateurs  français ont dû fatalement se mettre à l'heure indienne. D'autant que les industriels français doivent négocier pied à pied avec le principal partenaire indien de Dassault Aviation, Hindustan Aeronatics Ltd (HAL) très ambitieux. "Ils veulent tout faire mais être responsables de rien", constate un connaisseur de ce dossier.

Ce qui n'est pas réellement nouveau, car, précise-t-il, "ils ont toujours été de redoutables négociateurs". Mais les discussions entre Dassault Aviation et HAL se sont terminés sur qui est responsable de quoi. Enfin, Dassault Aviation, qui veut faire les choses de façon extrêmement propres, souhaite coller au plus près de la proposition qui lui a permis de gagner le droit de négocier en exclusivité avec New Delhi.  L'Inde avait demandé des offres basées sur le coût de possession des appareils. Soit sur la durée de vie des appareils. Et le ministre de la défense indien a indiqué la semaine dernière qu'il y avait encore des contestations "sur des procédures, sur le calcul du + life cycle cost + (coût du cycle de vie, ndlr) qui doivent être résolues mais n'affectent pas le processus de négociation". Des questions qui ne retardent pas les négociations.

 

La roupie malmenée par la politique monétaire de la FED

La remontée des taux longs américains et la décision récente de la FED de réduire de 10 milliards de dollars supplémentaires ses achats mensuels d'obligations sur les marchés influent sur le taux de change des devises entre le dollar et les monnaies des pays émergents, dont la roupie indienne. La dernière semaine de janvier, la roupie indienne a chuté de 2,45 %. Ce qui renchérit d'autant le coût de ses importations, et donc de ses achats d'armement. Du coup, New Delhi qui achète entre 60 % et 70 % de ses matériels de défense à l'étranger sur un budget d'acquisition évalué à 11,6 milliards d'euros pour l'exercice 2013-2014 clos le 31 mars, n'a plus de crédits budgétaires pour signer des grands contrats d'équipements. Pour autant, les autorités indiennes ont pris certaines dispositions pour assurer la stabilité des marchés financiers en dépit de la politique monétaire américaine.

Depuis son plus bas d'août 2013, la roupie indienne a partiellement regagné du terrain face au dollar américain, bien que la tendance reste à la baisse à court terme. Les turbulences monétaires, qui avaient fait chuter la roupie à un plus bas historique en août 2013, ont d'ailleurs renforcé le mécontentement contre le Premier ministre, Manmohan Singh. La roupie n'a cependant cédé que moins de 1% face au dollar au moins de janvier mais cela n'a pas empêché la banque centrale indienne de relever ses taux d'un quart de point le 28 janvier pour lutter contre l'inflation, notamment des prix des produits alimentaires.

 

Un système qui favorise la corruption

Les très nombreuses affaires de corruption paralysent la plupart des processus d'acquisition. "Plus personne ne veut prendre de décision", explique-t-on à La Tribune. En décembre, le Parlement indien a approuvé une loi anti-corruption prévoyant la création d'un médiateur ayant le pouvoir d'enquêter sur les politiques et les fonctionnaires soupçonnés de corruption. En mai, le Premier ministre s'était engagé à ce que les achats d'armements et d'équipements militaires soient "plus transparents, lisses, efficaces et moins vulnérables aux pratiques contraires à l'éthique".

"Le principal problème est que les Indiens ont crée un système obligeant les vendeurs étrangers à payer des pots-de-vin", estime Bharat Verma, du magazine Indian Defence Review interrogé par l'AFP. Il relève ainsi qu'au moins 18 services doivent approuver tout accord d'achat militaire, créant ainsi autant de fenêtres de corruption possible et que rares sont les responsables politiques ou administratifs convaincus de corruption à avoir été condamnés.

La décision récente de l'Inde d'annuler un important achat d'hélicoptères au constructeur italien AgustaWestland s'ajoute à une longue liste de contrats avortés pour des soupçons de corruption qui met en difficulté la modernisation des équipements vieillissants de l'armée indienne. New Delhi a officiellement mis fin le 1er janvier à l'achat de 12 hélicoptères de transport de personnalités pour 556 millions d'euros, une enquête en Italie ayant mis au jour des soupçons de versement de pots-de-vin à des responsables militaires.

Plusieurs contrats ont subi le même sort depuis 20 ans en raison de soupçons de corruption, comme l'affaire Bofors en 1986 ou un contrat pour l'achat de 197 hélicoptères en 2007 attribué à Eurocopter (devenu Airbus Helicopters) puis annulé. En 2009, l'Inde a banni de son marché sept groupes de défense comme Singapore Technologies, Rheinmettal Air Defence et l'israélien Military Industries, toujours pour des soupçons de corruption. Ce qui n'est pas encore le cas d'AgustaWestland. Aucune décision a été prise, selon le ministère de la Défense.

 

Des nouvelles procédures qui vont complexifier les achats ?

New Delhi a promulgué en juin dernier de nouvelles procédures de passation des marchés de défense en plus des 30 % d'offset que les Indiens exigent pour accorder des contrats aux industriels étrangers. Pour le contrat Rafale, c'est 50 % ! Ces exigences visent notamment à développer une industrie de défense indienne robuste, selon le ministère de la Défense indien, avec les plus hauts standards de transparence, de probité et de responsabilité publique. Clairement, New Delhi donne une impulsion à l'indigénisation des achats d'armements. "Une plus grande préférence sera maintenant accordée explicitement" aux entreprises indiennes.

Pour autant, l'Inde peine à développer ses propres programmes. Ainsi, le développement de la phase deux de l'avion de combat LCA (Light Combat Aircraft) sous l'autorité du DRDO indien (Defence Research and Development Organisation) devait être achevé…. en décembre 2008. Il le sera en décembre 2015, selon le ministère de la Défense. Tout comme le missile LR-SAM (Long range surface to air Missile) développé avec les Israéliens est aujourd'hui attendu en décembre 2015 au lieu de mai 2011.

Par ailleurs, le manque de compétences et de connaissances techniques de l'administration indienne complique aussi l'achat de matériel, estime Manoj Joshi, du think tank Observer Research Foundation basé à Delhi, interrogé par l'AFP. "Une personne chargée de l'élevage un jour va se retrouver à la Défense le lendemain. Nos fonctionnaires civils n'ont pas l'expertise des marchés et des matériels, ce qui complique la situation", relève-t-il.

 

La légendaire lenteur de l'administration indienne

Un contrat même signé peut attendre des mois et des mois, voire des années, avant d'être mis en vigueur. C'est le cas du programme SR-SAM gagné par le missilier MBDA et signé en décembre 2011 mais pas encore mis en vigueur à ce jour. Le contrat doit être approuvé successivement par le ministère de la Défense, puis par celui des Finances et enfin par le CCS (Cabinet Committee on Security), présidé par le Premier Ministre. Le CCS réunit également les ministres indiens de la Défense, des Finances, de l'Intérieur et des Affaires étrangères. Le contrat SR-SAM est actuellement entre les mains du Bercy indien.

Airbus Helicopters, qui a répondu en 2008 à un nouvel appel d'offre pour la fourniture de 197 hélicoptères, attend désespérément depuis 2010 l'ouverture des enveloppes commerciales par New Delhi. Et Charles Edelstenne, l'ancien patron de Dassault Aviation, ne se lassait pas de raconter cette anecdote sur la lenteur de l'administration indienne. Il avait gardé en travers de la gorge un appel d'offres lancé par New Delhi pour des avions d'entraînement sur lequel l'avionneur, qui proposait ses Alpha Jet, avait négocié... pendant vingt-deux ans, avant de jeter l'éponge.

Partager cet article
Repost0
10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 18:50
Gripen: la Suisse appelle Saab à la retenue

 

 

08.02.14 arcinfo.ch (ats)

 

La Confédération appelle Saab à la retenue avant la votation. La vente des Tiger F-5 de la Confédération intéresse divers repreneurs notamment le département de la défense des Etats-Unis.

 

Le fabricant suédois Saab devrait faire preuve de retenue pendant la campagne de votation sur l'achat des Gripen, estime le Département fédéral de la défense (DDPS). La population n'apprécie pas l'ingérence d'un acteur étranger, selon Christian Catrina, chef de la politique de sécurité au DDPS.

 

Dans une premier temps, Saab "voulait toujours en faire plus que ce que nous estimions utile", a dit Christian Catrina dans une interview publiée samedi dans le journal "Nordschweiz". La démocratie directe est un terrain tout à fait nouveau pour le groupe suédois: "des erreurs ont ainsi pu être commises ". Mais elles ont pu être corrigées rapidement, selon le chef de la politique de sécurité.

 

Des politiciens bourgeois ont aussi appelé le groupe suédois à ne pas intervenir pendant la campagne. Car à peine la date du vote sur l'acquisition du Gripen était fixée que Saab était présent à la mi-janvier à Wengen (BE) avec un "stand d'information" dans le très médiatisé cadre des courses de ski du Lauberhorn. Une affiche grand format montrait l'avion surmonté de l'inscription "Gripen E - Le jet de combat intelligent pour une défense intelligente".

 

Répartition importante

 

Christian Catrina s'est aussi exprimé sur la clé de répartition régionale. Si la Suisse acquiert vraiment le Gripen, le fabricant suédois Saab s'est engagé à conclure des contrats avec des firmes suisses pour plus de 2,5 milliards de francs. Le contrat d'achat des 22 Gripen se monte à 3,1 milliards de francs.

 

Saab avait promis que 30% des 2,5 milliards iraient à l'industrie romande. Cette clé de répartition est certes "sacro-sainte", mais uniquement à condition que des entreprises de toutes les régions du pays soumettent des offres concurrentielles.

 

"Si nous nous en tenons de manière rigide à cette clé de répartition, cela signifie que Saab serait obligé de retenir aussi des offres qui ne sont pas concurrentielles, et cela, nous ne le voulons pas", a ajouté M. Catrina. "Mais nous sommes confiants que cela fonctionnera".

 

"Pour mieux diriger là où des investissements devraient affluer, nous réfléchissons actuellement à considérer différemment certaines affaires", souligne en outre le responsable du DDPS.

 

"Disons que l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich reçoit un mandat pour 20 millions de francs: au lieu de l'estimer à 20 millions, nous pourrions le coter à 30 ou à 40, s'il s'agit d'un mandat qui rapporte beaucoup", explique-t-il. "En retour, le total des affaires compensatoires baisserait."

 

La Marine américaine s'intéresse aux Tigers

 

Si le peuple se prononce le 18 mai pour l'achat des 22 Gripen suédois, les anciens avions de combat devront faire place nette. La Confédération a déjà reçu des offres pour le tiers de ses Tiger F-5, assure Christian Catrina.

 

"Les premiers 18 appareils pourraient être vendus encore en 2014", précise-t-il. Les 36 autres devraient être mis hors-service d'ici au plus tard mi-2016.

 

Au premier plan des acheteurs potentiels, la Marine américaine. "Une partie des Tiger pourraient aussi être revendus à des sociétés privées américaines, qui souhaitent utiliser les avions de combat à des fins de formation". La Confédération peut tirer environ un demi-million de francs par appareil.

 

D'après le chef de la section Politique de sécurité, "il est improbable de ne trouver aucun acheteur". Dans ce cas toutefois, les avions seraient détruits en Suisse.

Partager cet article
Repost0
10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:45
Iraq Heading Toward Fully Operational Air Force

 

Feb. 10, 2014 - By AWAD MUSTAFA – Defense News

 

DUBAI — A proposed foreign military sale to Iraq for air traffic control and landing systems highlights the imminent possibility of a fully operational Iraqi Air Force in the next few years, according to an industry expert.

 

On Feb. 4, the US Defense Security Cooperation Agency (DSCA) notified Congress of a possible foreign military sale to Iraq for Air Traffic Control and Landing Systems and associated equipment, parts, training and logistical support for an estimated cost of $700 million.

 

Matthew Hedges, military analyst for the Institute for Near East and Gulf Military Analysis, said the DSCA notification should be seen in conjunction with other recent messages that not only point to Baghdad’s pending acquisitions but also show that the US will be a key partner in this process.

 

“Whilst the Iraqi armed forces have already embarked on aerial sorties, the need for more sophisticated mechanisms will help the Iraqis absorb a broader, more advanced fleet,” he said.

 

According to the DCSA, Iraq has requested a sale of commercially available Federal Aviation Administration air traffic control equipment and airfield navigational aids suites to be installed at four bases — Tikrit, al-Basra, al-Kut and Taji.

 

The equipment includes airport surveillance radars, automation systems, airfield support and navigation suites, and primary search radars.

 

Also provided are site surveys, system integration, installation, testing, repair and return, facilities, warranties, spare and repair parts, support equipment, personnel training and training equipment, publications and technical documentation, US government and contractor engineering and logistics support services, and other related elements of logistics and program support.

 

“The strategic positing of the four airfields also directs a message to its neighbors that they are pursuing a defense posture and not one opposed to adjacent regimes,” Hedgessaid.

 

According to the DCSA, the proposed sale will contribute to Iraq’s continued efforts toward rebuilding its airfield systems for near-term basing of multiple aircraft.

 

The renovations and upgrades to the airfields and systems will allow for greater ease in launch and recovery of aircraft and will improve the overall sustainment to aircraft and affiliated systems, the agency added.

 

The principal contractor will be determined through a competitive process. There are no known offset agreements proposed in connection with this potential sale.

Partager cet article
Repost0
9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 12:55
Le BAAMA au camp régimentaire de la Courtine

Exercice de synthèse sous l'œil attentif du commandement

 

07/02/2014 Armée de l'air

 

Du 20 janvier au 6 février 2014, le personnel des unités de la brigade aérienne d’appui à la manœuvre aérienne (BAAMA) du commandement du soutien des forces aériennes a pris part au camp régimentaire de la Courtine, un exercice de synthèse.

 

Ce rendez-vous majeur de l’année dans le cadre de leur préparation opérationnelle s’est déroulé sur le plateau creusois. Il a regroupé 220 sapeurs du 25e régiment du génie de l’air (25e RGA), 140 militaires du groupement aérien d’appui aux opérations (GAAO) de Bordeaux-Mérignac et, pour la première fois, une quarantaine d'aviateurs du groupement tactique des systèmes d’information et de communications aéronautiques (GTSICAéro) d’Évreux.

 

Ce camp régimentaire annuel a pour objectif de permettre à l’ensemble des militaires déployés de parfaire les fondamentaux du combattant et de s’entraîner aux missions défensives. Complément indissociable des savoir-faire techniques, la rusticité et les conditions climatiques hivernales de la Corrèze donnent un cadre idéal et optimisent cette mise en situation désormais traditionnelle.

 

Le général Serge Soulet, commandant les forces aériennes et commandant le soutien des forces aériennes, accompagné du général Jean-Christophe Zimmermann, commandant la BAAMA, s’est rendu les 3 et 4 février 2014 sur le camp de la Courtine pour assister au rallye de synthèse composé de treize ateliers (secourisme, instruction sur tir de combat, munitions, explosifs…).

 

Ce rallye a permis à chaque soldat de restituer en ambiance tactique les enseignements dispensés pendant deux semaines et de mettre à l’épreuve sa condition physique.

 

La préparation opérationnelle conjointe du 25eRGA et des deux groupements tactiques que sont le GAAO et le GTSICAéro est le reflet de l’indispensable complémentarité de ces unités qui mettent en œuvre la coordination du déploiement d’installations expéditionnaires et des SIC lors d’une entrée en premier de théâtre. Les militaires du 25e RGA et du GAAO se sont notamment illustrés dernièrement dans le cadre de l’opération Sangaris.

 

Le BAAMA au camp régimentaire de la CourtineLe BAAMA au camp régimentaire de la Courtine
Partager cet article
Repost0
7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 16:55
La maquette JVN est un formidable outil pédagogique

La maquette JVN est un formidable outil pédagogique

 

 

07/02/2014 Armée de l'air-  Economie et technologie

 

Le 28 janvier 2014, le général Richard Reboul, commandant le centre d’expériences aériennes militaires (CEAM), et le colonel Emmanuel Vialle, commandant la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan, ont inauguré la salle JVN (jumelles de vision nocturne).

 

Fruit d’une innovation et d’un travail d’équipe, la salle abrite une maquette d’une surface d’environ 10 m2 dédiée à  la formation théorique aux JVN.

 

Le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air a pu se rendre compte lui-même de la portée du projet. En compagnie du capitaine Élie-Rodolphe El-Khourge, initiateur du projet, le CEMAA a exprimé sa surprise face au réalisme de la maquette. Il a pu assister à une démonstration type de celle qu’auront les futurs stagiaires dans le cadre de leur formation théorique JVN. Satisfait de ce projet, il a terminé sa visite en déclarant : «Je suis toujours aussi fier de constater les excellentes compétences du personnel de l’armée de l’air.»

 

« Ambitieux », « réaliste », « opérationnel » : les qualificatifs ne manquent pas pour décrire le projet mais les plus importants d’entre tous sont « économique » et « innovant ». Le caractère innovant et l’excellence de ce projet lui ont permis d’être sélectionné par la mission d’innovation participative du ministère de la Défense dans le cadre du prix de l’audace 2014. Il a été retenu en tant que finaliste dans la catégorie « armée de l’air », et le résultat final est attendu le 28 mai prochain.

Inauguration de la salle JVN

Inauguration de la salle JVN

Vision sur le terrain de nuit à travers des JVN

Vision sur le terrain de nuit à travers des JVN

Vision de la maquette depuis les JVN

Vision de la maquette depuis les JVN

Partager cet article
Repost0
7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 13:35
Inde : l'A330 MRTT en courte finale ?

 

06/02/2014 Par Guillaume Steuer – Air & Cosmos

 

Après Singapour, New Delhi ? Le marché international semble sourire à l'A330 MRTT d'Airbus Defence & Space, passé en moins d'une décennie du statut d'outsider sur un marché historiquement dominé par Boeing à celui de champion de l'export, avec cinq compétitions remportées face à ses rivaux américains, israéliens et russes.

 

Après avoir conclu cet automne avec Singapour la vente de six tankers, qui devrait être officialisée lors du salon aéronautique de l'île-Etat la semaine prochaine, Airbus DS garde les yeux rivés sur l'Inde. Et pour cause : pour la deuxième fois de son histoire, la force aérienne indienne (IAF) a désigné le MRTT vainqueur d'une compétition qui l'opposait à l'Il-78 Midas d'origine russe. Lors du premier "round", la procédure avait finalement été annulée en janvier 2010 après une objection formulée par le ministère des finances.

 

Christian Scherer, vice-président exécutif d'Airbus DS en charge du marketing et des ventes.

 

"Nous sommes actuellement en phase finale de négociations", expliquait au salon Defexpo Christian Scherer, vice-président exécutif d'Airbus DS en charge du marketing et des ventes. "Et la concurrence va avoir du mal à battre notre tanker", sourit le dirigeant, confiant dans les chances de son poulain d'émarger une nouvelle fois en tête.

 

Si elle était confirmée, cette vente pourrait potentiellement débloquer d'autres commandes ultérieures en Inde. "Il existe un potentiel pour des machines supplémentaires, mais notre priorité est bien de se concentrer sur le premier lot de six avions", soulignait Christian Scherer à l'occasion du salon de défense qui a ouvert ses portes ce matin à New Delhi.

 

Une vente qui pourrait débloquer d'autres commandes.

 

Interrogé quant à d'éventuels transferts de compétences ou de production liés au contrat MRTT indien, Christian Scherer n'a pas voulu livrer de détails précis, soulignant simplement qu'Airbus DS était "prêt et disposé à réaliser des transferts de technologie sur cet appareil".

 

Au-delà du contrat MRTT, la société voit un fort potentiel en Inde pour son bimoteur de transport C295, proposé dans le cadre d'un programme de remplacement des antiques Avro exploités par l'IAF. L'appareil pourrait également répondre à un besoin exprimé sous forme de RFI (demande d'informations) par les garde-côtes, qui cherchent à s'équiper d'une dizaine d'appareils de ce type. Une compétition toujours en cours et pour laquelle Airbus DS propose des co-développements avec l'industrie indienne dans le domaine "des systèmes de mission et des radars", selon Christian Scherer.

Partager cet article
Repost0
6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 21:55
Le général Denis Mercier à bord du Mirage F1 du "Savoie"

Le général Denis Mercier à bord du Mirage F1 du "Savoie"

 

06/02/2014 Actus Air

 

Le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), a réalisé un vol en Mirage F1 sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan, le mardi 4 février 2014.

 

Clin d’œil symbolique, le Mirage F1 CR de l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie » arborait les cinq étoiles, le nom et l’alias du CEMAA.

 

Après avoir été breveté pilote de chasse en 1983, le général Mercier a débuté sa carrière opérationnelle sur Mirage F1.

Le général Mercier avant son départ en vol

Le général Mercier avant son départ en vol

Partager cet article
Repost0
6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 13:35
Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

 

06/02/2014 Le Point.fr

 

New Delhi a signifié qu'il ne signerait pas d'accord final d'achat du fleuron de l'aviation française fabriqué par Dassault avant les élections.

 

L'Inde ne signera pas d'accord d'achat de l'avion de combat français Rafale, fabriqué par Dassault, avant les élections prévues d'ici à mai en raison de contraintes budgétaires, a déclaré jeudi le ministre de la Défense, A. K. Antony. "En raison du manque de fonds, il ne faut pas attendre d'accord ou de décision finale lors de cet exercice" budgétaire, qui s'achève fin mars, a dit le ministre lors d'une conférence de presse.

 

"J'espère que les choses pourront se matérialiser l'année prochaine", a-t-il ajouté, en référence au prochain exercice budgétaire. Au 1er février, l'Inde avait déjà dépensé 92 % de son budget d'équipement militaire, a précisé le ministre. Les élections législatives doivent se tenir d'ici à mai et le Parti du Congrès, qui conduit la coalition gouvernementale, est en difficulté, selon les sondages. L'Inde a choisi d'entrer en négociations exclusives avec Dassault en janvier 2012 pour l'achat de 126 avions de combat, soit un montant estimé à 12 milliards de dollars. Mais des reports successifs n'ont pas permis de conclure le contrat sous la législature en cours. Le patron de Dassault, Éric Trappier, a déclaré en janvier espérer finaliser le contrat d'ici à fin 2014.

Partager cet article
Repost0
5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:54
Permanence opérationnelle : clap de fin pour les F1

Retour sur la base de Mont-de-Marsan pour les Mirage F1 de la PO

 

05/02/2014 Adjudant Jean-Laurent Nijean Actus Air

 

Le mardi 4 février, les Mirage 2000-5 de l’escadron de chasse 1/2 « Cigognes » ont relevé les Mirage F1 de l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie » en mission de police du ciel à Lorient, sur la base aéronavale de Lann Bihoué. Cette relève marque le point final de la participation du Mirage F1 à la permanence opérationnelle (PO).

 

Le capitaine Nicolas Gainand de l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie », chef du détachement PO, revient sur cette dernière permanence opérationnelle assurée par les Mirage F1 : « Nous avons été émus lors de la réalisation de cette mission opérationnelle qui est en toute probabilité la dernière pour le Mirage F1. En effet, nous n’avons plus d’appareils déployés en opérations extérieures actuellement. »

 

Les pilotes et les mécaniciens du 2/33 « Savoie » se sont successivement relevés sur la base aéronavale depuis le 3 septembre 2013. Des équipes constituées de deux pilotes et de cinq mécaniciens se sont relayées pour cette dernière prise d’alerte de l’escadron.

 

« Nous avons eu la chance d’être bien soutenus et encadrés par le personnel de la base aéronavale », souligne le pilote de Mirage F1. Le pacha de la BAN de Lan Bihoué a tenu à souligner la dernière permanence opérationnelle du Mirage F1 en remettant à l’escadron de reconnaissance un cadre photo.

 

La cérémonie officielle pour le retrait programmé du service du Mirage F1 aura lieu 13 juin 2014 sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Le dernier vol de cet avion mythique aurait lieu lors du 14 Juillet. Après avoir participé au défilé aérien au-dessus de l’avenue des Champs-Élysées, il se poserait sur la base aérienne 279 de Châteaudun pour un repos bien mérité.

Partager cet article
Repost0
5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:45
Kenya Air Force acquires Grob G120 trainers

 

 

05 February 2014 by Guy Martin - defenceWeb

 

The Kenya Air Force recently acquired six Grob G120A basic trainers, becoming the first African air force to operate the type.

 

The Kenyan G120s were observed practicing for the Jamhuri Day flypast on December 12, 2013. According to Grob, six aircraft have been delivered. The aircraft were handed over to the Kenyan military in November in Germany and subsequently flown to the African country after four Kenyan pilots were trained in Mattsies, Germany.

 

The G120A is powered by a six-cylinder Lycoming piston engine providing 260 hp. The largely all-composite airframe has a service life of 15 000 hours and is certified for +6/-4 gs, allowing for aerobatic training. The modern glass cockpit features three Elbit 205 x 150 mm multi-function displays, a digital standby flight display and a digital engine display. Grob says the G120 has one of the lowest maintenance costs in the industry.

 

The G120 is also flown by the Canadian, German, French and Israeli air forces while the turboprop G120TP has been bought by the Argentine and Indonesian air forces.

 

The Kenya Air Force flies around ten Scottish Aviation Bulldogs, 12 Embraer Tucanos and eight BAE Systems Hawks in the training role. It is likely that the Bulldogs will be replaced by the new German aircraft. According to Kenyan sources, the Kenya Air Force has another six G120s on option.

Partager cet article
Repost0
5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:45
Sangaris : un C130 belge en appui des forces françaises en Centrafrique - video

27 janv. 2014 FORCESFRANCAISES

 

Le 21 janvier 2014, un avion militaire C130 « Hercules » belge a atterri à Bangui, marquant la reprise des missions de soutien logistique effectuées par des pays européens au profit de la force Sangaris. Au cours du mois de décembre 2013, le Royaume-Uni avait déjà envoyé un avion C17 pour réaliser des missions identiques.

Partager cet article
Repost0
5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:35
Signature de l’accord d’acquisition des chasseurs F-35 au T3

 

SEOUL, 27 jan. (Yonhap)

 

Le gouvernement signera l’accord d’acquisition de 40 chasseurs F-35 du constructeur américain Lockheed Martin au troisième trimestre, a fait savoir ce lundi l’Administration du programme d’acquisition de défense (DAPA).

 

La DAPA a approuvé l’acquisition de 40 F-35 à partir de 2018, se réservant la possibilité d’acquérir 20 autres chasseurs par la suite selon le budget et la situation sécuritaire. «Une fois que la DAPA aura approuvé la révision du plan d’acquisition entre février et mars, nous nous efforcerons à conclure un accord au troisième trimestre après les négociations et les tests aériens», a déclaré le brigadier-général de l’armée de l’air et directeur du département aéronautique de la DAPA Jung Kwang-sun lors d’un point de presse.

 

La DAPA a estimé à 7.400 milliards de wons le budget nécessaire pour acquérir les 40 F-35, qui comprend armes et équipements. L’Institut coréen pour les analyses de défense va mener de son côté sa propre évaluation budgétaire. Le budget sera confirmé en coopération avec le ministère des Finances, chargé des allocations budgétaires.

 

La DAPA devrait acquérir les avions via une transaction de gouvernement à gouvernement, sans appel d’offres, car le F-35 est vendu uniquement à travers le programme américain de ventes militaires à l’étranger (FMS). Le FMS dicte qu’un gouvernement étranger paie le montant voulu par le gouvernement américain pour les F-35 au moment de l'achat effectif des avions.

 

Lockheed Martin a indiqué le mois dernier qu’il offrira son soutien au projet de développement du chasseur sud-coréen de nouvelle génération et au lancement d’un satellite de communication militaire malgré l’achat réduit de 40 avions, contre 60 prévus initialement.

Partager cet article
Repost0
5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 17:40
Kirghizstan: la Russie renforcera sa base aérienne (ministre)

 

 

MOSCOU, 3 février - RIA Novosti

 

La Russie entend renforcer le potentiel de sa base aérienne de Kant, au Kirghizstan, a annoncé lundi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.

 

"Nous nous proposons de renforcer progressivement le potentiel de notre base aérienne à Kant", a déclaré le général Choïgou lors des négociations avec son homologue kirghiz Taalaïbek Omouraliev.

 

Le ministre n'a pas fourni davantage de détails, se contentant d'indiquer que la Russie et le Kirghizstan attachaient une "grande importance" à la planification d'opérations conjointes associant l'armée kirghize et les représentants de la base militaire russe.

 

"Je pense que ces efforts permettront de créer un solide potentiel défensif, capable de faire face aux défis et menaces pour la sécurité de nos Etats", a relevé M.Choïgou.

 

On a appris auparavant que depuis décembre dernier, la Russie avait commencé à fournir des armements modernes dans cette république d'Asie Centrale en prévision du prochain retrait d'Afghanistan de la Force internationale d'assistance à la sécurité (ISAF).

 

La base de Kant constitue une composante aérienne des forces de déploiement rapide de l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC). La base a été officiellement ouverte le 23 octobre 2003.

 

Créée en 2002, l'Organisation du traité de sécurité collective, parfois qualifiée d'"Otan russe", est une organisation politico-militaire qui regroupe l'Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, la Russie et le Tadjikistan.

Partager cet article
Repost0
4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 17:45
Sangaris : un C130 polonais en appui des opérations logistiques

 

 

03/02/2014 Sources : EMA

 

Le 30 janvier 2014, les autorités polonaises ont mis un avion de transport tactique C130 à disposition de la force Sangaris pour appuyer les manœuvres logistiques entre la France et la RCA.

 

C’est le Président Bronisław Komorowski qui a signé le 29 janvier dernier la décision d’envoyer un contingent militaire polonais en soutien des troupes françaises en RCA. Une cinquantaine de militaires et civils polonais sont désormais déployés en soutien de la force Sangaris. D’une durée de trois mois, ce soutien est réalisé depuis la base aérienne 123 d’Orléans Bricy.

 

Le contingent polonais compte deux équipages, un avion C-130 Hercules et du personnel de service au sol. Un deuxième appareil est en disponibilité opérationnelle sur la base aérienne de Powidz en cas de défaillance du premier.

 

Le 30 janvier 2014,  le général de corps d’armée Lech Majewski, Commandant général des composantes des Forces armées polonaise s’est rendu sur la base aérienne de Powidz dans le cadre de la cérémonie précédant le départ du détachement polonais vers la BA 123. A cette occasion, il a indiqué que la participation polonaise s’inscrivait dans le cadre du renforcement de la coopération franco-polonaise .

 

La coopération de défense entre la France et la Pologne s’inscrit dans le cadre du partenariat stratégique signé en 2008. Cette coopération opérationnelle s’exerce principalement dans le domaine de la formation, des entraînements et des exercices. Elle a dernièrement été mise en évidence dans le cadre de l’exercice de certification de la force de réaction rapide de l’OTAN, Steadfast Jazz. Organisé en Pologne du 2 au 9 novembre 2013, cet exercice avait notamment permis de renforcer notre interopérabilité au sein de l’Alliance.

Sangaris : un C130 polonais en appui des opérations logistiques
Sangaris : un C130 polonais en appui des opérations logistiques
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories