26/09/20 par Patrice Barrère - DNA
ITW d’ Alain Coldefy Directeur de recherches à l’Iris, spécialiste des questions de défense
Après l’assassinat de l’otage, l’armée française peut-elle passer à la vitesse supérieure en Irak ?
Sur les moyens militaires, nous sommes presque au bout du bout. En Libye en 2011, l’Armée de l’air et la Marine avaient mis déjà 100 % de leur capacité. Avec le Mali et la Centrafrique, au niveau de l’Armée de terre, on a atteint également les limites. Aujourd’hui, on est au taquet pour les avions de combat et les pilotes de l’Armée de l’air. C’est la même situation pour la Marine. Nous participons en Irak avec quelques Rafale basés à Abou Dhabi. On peut toujours en rajouter quelques-uns. Mais cela va se compliquer. Pour un avion, il faut compter une équipe en moyenne de 50 personnes.
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