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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 11:55
L’atout troisième dimension

 

23/09/2014 LTN Valérian Fuet et LTN Hélène Facchin - Armée de Terre

 

Au même titre que l’infanterie ou la cavalerie, l’ALAT est désormais reconnue comme une arme de contact. Permettant de s’affranchir des contraintes du terrain, les hélicoptères font partie intégrante de la manœuvre aéroterrestre.

 

Projetables sur court préavis, les formations d’hélicoptères sont intégrées au dispositif interarmes dès la phase de planification des opérations. Elles constituent un pion de manœuvre supplémentaire dans les mains du chef interarmes ou interarmées au côté des GTIA. Selon le général d’armée Ract Madoux, ancien CEMAT, « l’hélicoptère de combat est un partenaire indissociable de l’infanterie et de la cavalerie au contact de l’adversaire. »  Capable d’être là où on ne l’attend pas, l’ALAT est un multiplicateur d’effets qui permet au chef interarmes de conserver sa liberté d’action en concentrant ses efforts et en économisant les moyens humains et matériels.

 

L’ALAT apporte des capacités feux, renseignement, mouvement et commandement. En complément des unités de mêlée, une formation d’hélicoptères peut être l’un des éléments de premier échelon d’une action principale, dans le cadre d’une reconnaissance, d’une attaque ou d’une exploitation. En second échelon, elle privilégie les actions en réaction ou de sécurisation. Enfin, l’ALAT est également en mesure de mener une action distincte de l’action principale comme une sécurisation de zone ou une mission d’assistance.

 

Les formations aéromobiles peuvent être engagées selon quatre niveaux :

    la patrouille : de 2 à 3 appareils ;

    le sous groupement aéromobile (SGAM) : jusqu’à 12 appareils articulés en modules, en fonction de l’effet à obtenir ;

    le groupement aéromobile (GAM) : de 13 à 36 appareils ;

    le GAM PLUS : un GAM renforcé d’une formation aéromobile, nationale ou étrangère.

 

Un SGAM ou, a fortiori, un GAM, peuvent être renforcés d’éléments interarmes multipliant leur capacité d’action. Ils constituent alors un SGTIA ou un GTIA à dominante aéromobile (GTIA-A).

 

Interopérabilité

De rares unités hélicoptères alliées sont capables de combattre aux côtés de l’ALAT en tant qu’unités tactiques intégrées à la manœuvre aéroterrestre. Parmi ces pays,  on trouve notamment la Grande-Bretagne dont les aéronefs ont côtoyé ceux de la France en Libye, mais aussi l’US Army Aviation (US AAVN).

 

Le raid artillerie

 

L’atout troisième dimension

Vecteurs d’aérotransport pour la délivrance des feux dans la profondeur, Puma et Caïman accueillent également l’acier des mortiers de 120 mm. « C’est un concept inventé par le 35e régiment d’artillerie parachutiste (35e RAP) en 1978, lors du conflit Tchad-Libye. Nous avions besoin d’emporter des mortiers depuis le porte-avions Foch », explique le capitaine Marc Gima, officier feux au 35e RAP. « Le RAID ART est une opération aéromobile de ‟va-et-vient”. Elle consiste à aérotransporter quatre mortiers dans un rayon de 250 km, de jour comme de nuit. Posés derrière un obstacle situé entre 6 et 8 km de l’objectif, ils délivrent 50 coups en 5 minutes. À l’issue, le mortier est démonté et embarqué dans l’aéronef pour répéter la manœuvre à partir d’une autre zone. Ce genre d’opération est effectué sur un objectif stable qui ne peut être traité par l’aviation en raison de contraintes opérationnelles, comme un large découvert par exemple, précise le capitaine. Discrétion et rapidité sont les maîtres mots d’une telle opération. »

 

Focus : Close combat attack (CCA)

L’aérocombat en CCA est une attaque de groupe, frappant de manière précise et ne laissant aucun recours à l’ennemi. Les unités d’hélicoptères de reconnaissance et d’attaque (HRA) se sont illustrées par leurs succès opérationnels, notamment sur les théâtres d’opération africains. Leur mission : détruire ou neutraliser un ennemi déjà au contact des troupes au sol, en sûreté et sécurité, en coordination étroite avec l’unité au sol. La manœuvre, conçue par le chef de patrouille HRA qui autorise seul l’ouverture du feu, a montré toute sa pertinence au cours des dix dernières années.

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23 septembre 2014 2 23 /09 /septembre /2014 11:55
 Terre information magazine de septembre est en ligne


22/09/2014 Armée de Terre

 

Pour la rentrée, le numéro de Septembre de TIM vous propose le panorama de l’actualité des unités de l’armée de Terre, avec ce mois-ci, un dossier central sur l’aérocombat.

Dans ce numéro, vous trouverez aussi une interview du nouveau chef d’état-major de l’armée de Terre ainsi que des reportages au Liban et à Djibouti. 

Et toujours, des témoignages, des découvertes, des photos exceptionnelles, la rubrique « Histoire », la BD du Sergent TIM, et les rendez-vous à ne pas manquer !

Bonne lecture !

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23 septembre 2014 2 23 /09 /septembre /2014 11:55
De la terre, par le ciel

 

22/09/2014 LTN Valérian Fuet et LTN Hélène Facchin - Armée de Terre

 

 

Créée en 1954, à l’aube de la guerre d’Algérie, l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) fête ses 60 années d’existence. Un peu plus d’un demi-siècle d’engagements où les hélicoptères de l’armée de Terre sont rapidement devenus incontournables, passant de missions de soutien à celles d’appui, puis à une intégration complète dans la manœuvre de contact. Un large panel de compétences qui fait aujourd’hui de l’aérocombat un atout majeur dans les mains du chef interarmes ou interarmées.

 

Difficile d’imaginer une armée moderne sans sa composante aérocombat. Des côtes libyennes aux déserts maliens, des villes africaines aux massifs afghans, les hélicoptères de l’armée de Terre ont été engagés sur tous les théâtres d’opérations. Sollicités en permanence, les hélicoptères sont indissociables de l’action des unités au sol.

Cette capacité à faire la différence sur le terrain, l’ALAT l’a construite en modernisant constamment ses équipements, sa formation et sa doctrine. Elle sera à nouveau confortée avec l’emploi opérationnel des premiers hélicoptères Tigre HAD et des Caïman à l’automne 2014.

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 10:50
Tigerschießen über Südfrankreich


9 sept. 2014 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 09/2014 14E12101

 

Ein Kampfhubschrauber TIGER fliegt über die spärlich bewaldeten Hänge. Plötzlich, links und rechts eines Weges, klappen Ziele auf. Innerhalb von Sekundenbruchteilen reagiert die Besatzung. Der TIGER senkt die Nase und zieht nach unten. Kurze Feuerstöße sind zu hören. Dann über Funk die Meldung: „Treffer! Alle Ziele bekämpft.“
Die Besatzungen, die hier den Kampfeinsatz ihres High-Tech-Hubschraubers üben, sind keine Anfänger. Sie alle haben bereits viel Flug- und auch taktische Erfahrung auf dem Panzerabwehrhubschrauber BO-105, kurz PAH gesammelt. Doch dieses Flugmuster wird durch den Kampfhubschrauber TIGER ersetzt und nun müssen auch die „alten Hasen“ nochmal umschulen. Am Deutsch-Französischen Heeresfliegerausbildungszentrum TIGER in Le Luc wird dafür der Grundstein gelegt.

 

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 07:45
Photographe : Cch Olivier D. / Armée de terre

Photographe : Cch Olivier D. / Armée de terre


05/08/2014 by Photographe : Cch Olivier D. / Armée de terre Sources : EMA

 

22 juillet 2014, à 21h31, avitaillement de nuit d’un hélicoptère PUMA de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) engagé dans l’opération Sangaris sur la base opérationnelle avancée (BOA) de Bouar. L’avitaillement de l’hélicoptère est effectué par un militaire de service des essences des armées (SEA) à partir d’un groupe motopompe relié à un réservoir de carburéacteur. Ce système peut également se transformer pour ravitailler les véhicules militaires de la gamme tactique en carburéacteur diesel. Situé sur la Main Supply Road (MSR), à l’ouest de la République centrafricaine, la BOA de Bouar accueille l’état-major tactique du GTIA « de Boissieu » et son poste de commandement principal.

Après une pluie battante, j’ai profité d’une accalmie pour réaliser cette photo. Je me suis rapproché de l’hélicoptère et posé mon boîtier photo (Nikon D3S) au sol. Avec une focale de 24 mm, j’ai réglé mon boîtier à une sensibilité de 3600 ISO et une ouverture à F7,1 pour avoir une netteté allant du groupe motopompe jusqu’aux véhicules et conteneurs (KC 20) situés plusieurs mètres derrière l’hélicoptère. Avec un temps de pose de 30 secondes, j’ai pu capter un éclair lumineux bleuté provoqué par la lampe frontale du caporal-chef John du SEA qui se déplaçait de l’hélicoptère PUMA au groupe motopompe.

Il m’aura fallu plusieurs essais de prise de vue afin d’obtenir l’effet que je recherchais, à savoir, montrer le lien entre l’homme et la machine.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 16:45
Mali : transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile de la force Serval à Gao

 

18/07/2014 Sources : EMA

 

Le 16 juillet 2014 a eu lieu le transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile (SGAM) de la plateforme opérationnelle Désert (PfOD) à Gao entre le lieutenant-colonel Philippe Goisnard et le lieutenant-colonel Denis Thiebaut.

 

Intégré au groupement tactique interarmes (GTIA) Désert « Vercors » puis « Dio » de la force Serval, le SGAM effectue des missions d’appui feu, de transport de troupes, de fret et d’évacuation sanitaire.

 

Au cours de ses trois mois de mandat, le SGAM a effectué quelques 950 heures de vol pour des missions de combat.

 

Environ 1 600 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 16:55
Les 60 ans de l'ALAT

 

17.07.2014 Armée de Terre

 

Les 28 et 29 juin 2014, la base école de l'aviation légère de l'armée de Terre au Cannet-des-Maures, dans le Var, fêtait les 60 ans d'existence de l'aviation légère de l'armée de Terre (ALAT). Les appareils modernes ont côtoyé pour l'occasion les modèles anciens qui ont fait les grandes heures de l'ALAT. Les visiteurs ont pu admirer les évolutions et acrobaties aériennes. Un des moments forts de ce meeting a été l'arrivée en vélo du « raid commandant Boiteux », après 800 km de solidarité pour les blessés de la Défense et les familles. Les tableaux aériens et la patrouille de France ont émerveillé petits et grands durant ces deux jours de présentation.  

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 12:55
Tigre et Caïman en vol photo A. Pecchi - Eurocopter

Tigre et Caïman en vol photo A. Pecchi - Eurocopter

 

17.07.2014 by Armée de Terre

 

Les lundi 23 et mardi 24 juin 2014, la base école de l'aviation légère de l'armée de Terre du Cannet-des-maures a été investie par les caméras de l'émission Auto-moto. Deux jours intenses, où une Porsche 911 a défié, sur la piste d'envol qui a pris des allures de piste automobile, un Caïman NH90 et un Tigre. Si la Porsche a été plus rapide que le Caïman sur 500 mètres en départ arrêté, il n'en a pas été de même avec le Tigre sur 1 000 mètres, qui a gagné son duel. Les vols et courses ont été suivis par un passage au simulateur. Une expérience qui marquera à jamais tous les protagonistes de l'émission, à commencer par monsieur Denis Brogniart, qui a chaleureusement félicité le personnel de la base pour son savoir-faire et son implication dans l'émission.  

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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 11:54
Raid à la mémoire du commandant Boiteux

 

07.07.2014 Armée de Terre

 

Du 23 au 29 juin, 13 militaires, coureurs cyclistes, de l'école de l'aviation légère de l'armée de Terre se sont élancés dans un raid de 800 km de Dax au Cannet des Maures. Une épreuve sportive dédiée à la mémoire du commandant Boiteux, mort pour la France au Mali, qui a permis de récolter des dons pour les associations d'aide aux blessés de l'armée de Terre.

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 10:55
Un meeting aérien pour les 60 bougies de l’ALAT

 

02.07.2014 Ministère de la Défense

 

Six décennies que l'aviation légère de l'armée de Terre (ALAT) opère au profit des troupes au sol, en France comme à l'étranger. Le 29 juin 2014, sur sa base école du Cannet-des-Maures, l'ALAT a fêté l'événement en offrant au public un meeting aérien époustouflant.

 

Devant 30 000 spectateurs, les soldats de l'ALAT ont montré les savoir-faire acquis depuis 60 ans : démonstrations en vol, combat aéroterrestre, présentation de matériel au sol. A leurs côtés, d'autres passionnés d'aéronautique, civils et militaires, français et étrangers, ont complété le show. Cet anniversaire était placé sous le signe du lien armées-nation et du devoir de mémoire.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 12:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

30 juin 2014 MIXBOY

 

Meeting aérien des 60 ans de l'ALAT - page Facebook


Site de MIXBOY : http://dmcompagnie.wix.com/mixboy

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 08:45
Sangaris : survol de Bangui en Puma

 

26.06.2014 Crédits : EMA / ECPAD

 

Le 7 juin 2014, vers 16h, deux hélicoptères Puma de la force Sangaris survolent Bangui, la capitale de la République centrafricaine, au cours d’une mission de reconnaissance aérienne dans le cadre de la relève d’un SGTIA. Ces missions permettent aux cadres des unités de combat de s’approprier plus rapidement la zone des opérations.

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5800 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

 

Reportage photos

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 12:55
Puissance de feu / Crédits : ADC Drahi

Puissance de feu / Crédits : ADC Drahi

 

19/06/2014 MME BOISGELOT Actu Terre

 

Du 2 au 5 juin 2014, le groupement aéromobilité de la section technique de l’armée de Terre (GAM STAT) et un détachement du 1er régiment d’hélicoptères de combat (1er RHC) ont participé à une campagne d’expérimentation du Tigre HAD (hélicoptère appui-destruction) au camp de Suippes.

 

Les équipages du 1er RHC sont venus consolider, auprès du GAM STAT, leurs connaissances de la machine, avec laquelle ils seront projetés à l’automne. Ils effectuent, de jour et de nuit, des tirs de roquettes et d’obus et des entraînements aux tirs de missiles.

 

Le détachement est aussi présent à Suippes pour faciliter la future préparation opérationnelle du régiment doté de cet aéronef, et permet, par la même occasion, de valider la capacité d’effectuer des tirs air-sol Tigre à Suippes. A découvrir dans ce reportage vidéo.

 

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 11:50
Tigre HAP de la FAMET, équivalent espagnol de l'ALAT photo Airbus HC

Tigre HAP de la FAMET, équivalent espagnol de l'ALAT photo Airbus HC

 

18/06/2014 par Emmanuel Huberdeau – Air & Cosmos

 

L'ALAT (Aviation Légère de l'Armée de Terre) a organisé au salon Eurosatory une conférence sur les opérations air-sol dans les engagement récents. Cette conférence a été l'occasion pour le général commandant la FAMET, l'équivalent espagnol de l'ALAT, de présenter son corps et de revenir sur l'engagement des hélicoptères espagnols en Afghanistan.

 

La FAMET est composée de cinq bataillons pour un total d'environ 100 machines. La flotte de manoeuvre est composée de 34 Super Puma et 17 CH-47 Chinook. 24 Tigre ont été commandés et 6 ont été réceptionnés. L'Armée de terre espagnole devrait recevoir fin 2014 son premier NH-90. 19 NH-90 TTH ont été commandés.

 

Suite de l’article

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 19:33

 

18.06.2014 Armée de Terre

 

Le GAMSTAT à Suippes

 

Une expérimentation de tirs air-sol sur le tigre HAD (version Appui Destruction) s'est déroulé du 2 au 4 juin 2014 sur le site du camp de Suippes.

 

Effectuée sous la responsabilité du GAMSTAT (Groupement aéromobilité section technique de l'armée de Terre), cette campagne réalisée en commun avec un détachement TIGRE HAD du 1er RHC de Phasbourg a eu pour objectifs d'entraîner le personnel du GAMSTAT aux tirs air-sol, le transfert de compétence vers le personnel du 1er RHC et de valider le régime de champ de tir air-sol TIGRE du camp de Suippes.

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 16:55
Tigre et Caïman en vol photo A. Pecchi - Airbus HC

Tigre et Caïman en vol photo A. Pecchi - Airbus HC

 

17 juin 2014 varmatin.com

 

On le sait, les meetings aériens n'ont plus de secret ou presque pour la base de l'Ealat au Cannet.

 

Pourtant, dimanche 29 juin, l'Aviation légère de l'armée de terre (Alat) va mettre les petits plats dans les grands à l'occasion de son soixantième anniversaire, offrant aux passionnés et aux curieux un show d'exception.

 

Créée le 22 novembre 1954 pendant les mouvements en Algérie, l'Alat a bien grandi et compte aujourd'hui 5 500 hommes répartis sur une demi-douzaine de sites, plus de trois cents hélicoptères et une quinzaine d'avions. Elle constitue aujourd'hui une fonction opérationnelle à part entière, l'aéromobilité de l'armée de Terre.

 

Suite de l’article

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15 juin 2014 7 15 /06 /juin /2014 11:45
Un Transal C160 transportant un hélicoptère Tigre

 

Crédit : EMA / armée de Terre

 

Le 4 juin 2014, à 10h 17, un avion Transal C160 transportant un hélicoptère Tigre se pose sur le tarmac de l’aéroport de Bamako.


Dans le cadre de la réorganisation des moyens aéromobiles de la force Serval et de la cinématique de relève des matériels, ce Tigre va être mis en condition pour rentrer en France par voie aérienne.

 

Reportage photos

 

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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 13:55
Eurosatory 2014 : NH90 - Caïman TTH

 

13.06.2014 ministeredeladefense

 

La référence des hélicoptères de manœuvre et d'assaut

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 11:45
Sangaris : transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile

 

11/06/2014 Sources : EMA

 

Le 9 juin 2014, sur le camp de M’Poko à Bangui, s’est déroulé le transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile (SGAM) de l’opération Sangaris.

 

Au cours de la cérémonie, le général Soriano, commandant de la force Sangaris, a tenu à souligner l’engagement sans faille du SGAM dans un environnement opérationnel complexe et des conditions climatiques rudes pour les hommes et leurs machines.

 

Composé de six hélicoptères de manœuvres Puma et de quatre Gazelle, le SGAM a effectué plus de 900 heures de vol et environ 450 missions au cours de ses quatre mois d’engagement.

 

Opérations d’appui lors du déploiement d’un groupement tactique interarmes (GTIA), missions de reconnaissances dans la profondeur, ou encore évacuations sanitaires, le SGAM a aussi été déployé pour soutenir les unités pendant les opérations, permettant ainsi de maintenir leurs capacités. Les pilotes et les « maintenanciers », mais aussi le module IMEX (immediate extraction) du nouveau mandat ont d’ores et déjà pris en compte le cadre espace-temps de leur engagement sur un vaste théâtre des opérations.

 

2 hélicoptères Fennec de l’armée de l’Air complètent ce dispositif pour réaliser des missions de reconnaissance et d’observation.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5800 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile
Sangaris : transfert d’autorité du sous-groupement aéromobile
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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 11:55
Dans la peau d’un météorologue

 

11/06/2014 Sources : EMA

 

L’adjudant Laurent est chef prévisionniste au 3e régiment d’hélicoptères de combat d’Etain depuis 2010. En tant que météorologue, il est une aide à la décision pour le commandement. Il est également en charge de la protection aéronautique pour les équipages : il briefe les commandants de bord des aéronefs sur les conditions météo au cours de leur vol, du décollage à l’atterrissage.

 

En opération, il observe tout ce qui peut avoir un impact sur les forces aéromobiles et terrestres. Arrivé sur le théâtre le 16 avril 2014 pour son deuxième mandat Serval à Gao, il travaille essentiellement au profit des unités déployées dans le Nord-Mali.

 

Equipé d’une station portable de recueil et d’information météo, d’un Synergie nomade et d’une station d’observation avec des capteurs de vent, de température, de pression et de pluviométrie, l’adjudant Laurent est également en liaison avec le centre interarmées de soutien météo-océanographique des forces (CISMF) de Toulouse qui lui assure une veille météo. « On a progressé en matière de prévision depuis la fin des années 2000 avec la création du CISMF, nous avons un rôle important dans la prise de certaines décisions en opération. Heureusement, j’ai des contacts avec mon homologue à Bamako. »

 

Evoluant selon des mécanismes très différents de ceux connus sous les latitudes européennes, le climat tropical fait encore l’objet de recherches et s’avère compliqué sans formation spécifique. « L’échelle spatio-temporelle est beaucoup plus importante sous les tropiques, on devine les risques mais il est difficile de faire des prévisions précises. »

 

Il n’y a pas beaucoup de réseau d’observation au Nord-Mali, c’est pourquoi suite à un épisode pluvieux assez important dans la nuit du 9 au 10 mai, la radio malienne de l’ORTM (Office de radiodiffusion télévision du Mali) l’a sollicité pour connaître les caractéristiques de cet événement. « Cette année le phénomène était très étendu, des monts Hombori jusqu’à l’Adrar des Ifoghas, pour la partie Nord, avec beaucoup de pluie : 11,6 mm à Gao en 6h de temps et j’imagine que cela a pu être plus ailleurs. D’une manière générale, les premières grosses pluies arrivent au mois de mai. C’est pourtant tous les ans la même chose ici, mais quand il s’agit de météo, au Mali comme ailleurs,  les gens ont la mémoire courte »

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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 07:45
FFDj : stage de survie en mer pour le DETALAT

 

05/06/2014 Sources : EMA

 

Le 14 mai 2014, le détachement d’aviation légère de l’armée de terre (DETALAT) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) a réalisé une journée d’instruction de survie en mer.

 

L’exercice baptisé « SAMAR » s’est déroulé à proximité de l’île de Maskali au large de Djibouti. L’objectif de l’instruction était de permettre aux équipages qualifiés CESSAN (centre d’entrainement à la survie et au sauvetage de l’aéronautique navale) de réviser les procédures qui leur ont été enseignées. Les membres opérationnels de soute (MOS) ont pu, quant à eux, mettre en pratique le cours d’information « survol maritime » qui leur est dispensé en début de séjour à Djibouti.

 

Après avoir été déposés sur l’île en hélicoptère Puma, les équipages se sont mis à l’eau. Sous la supervision du plongeur-sauveteur du DETALAT, ils ont ensuite parcouru 300 mètres à la nage, afin de rallier le point de passage en apnée. Après avoir plongé à 5 mètres de profondeur, les personnels navigants (PN) ont « percuté » chacun à leur tour leur gilet afin d’actionner le dispositif de flottabilité, reproduisant ainsi la gestuelle de sortie d’hélicoptère immergé. Les équipages se sont ensuite regroupés en formation « chenille » (méthode qui consiste à s’accrocher par les jambes et qui permet d’éviter la dispersion).

 

La deuxième phase du stage consistait au repérage et à l’évacuation des naufragés. Pour cela, les équipages ont d’abord procédé à des lancements de fusées de signalisation pour avertir et guider l’approche du Puma sur leur position. Puis un à un, le personnel a été hélitreuillé à bord du Puma et déposé à terre.

 

Cette instruction est organisée à chaque nouveau mandat de mission courte durée (MCD) sur Djibouti. Il permet aux équipages du DETALAT de parfaire les procédures particulières et la mise en œuvre de moyens spécifiques en cas de crash en mer.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante (soutien des bâtiments de guerre et des actions de patrouille maritime, soutien santé). Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente, avec le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

 

FFDj : stage de survie en mer pour le DETALATFFDj : stage de survie en mer pour le DETALAT
FFDj : stage de survie en mer pour le DETALATFFDj : stage de survie en mer pour le DETALATFFDj : stage de survie en mer pour le DETALAT
FFDj : stage de survie en mer pour le DETALATFFDj : stage de survie en mer pour le DETALAT
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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 11:55
La DGA réalise un tir de roquette guidée depuis un Tigre HAD

 

05.06.2014 par Guillaume Belan (FOB)

 

Le 3 juin, au centre d’essais des Landes, la DGA a réalisé le tir d’une roquette guidée laser depuis un Tigre HAD évoluant à 70 nœuds sur une cible en mer illuminée par un opérateur au sol. Ce tir s’inscrit dans le cadre d’une série de tirs qui a débuté en 2010. Le dernier essai a été réalisé en janvier 2014 depuis un Tigre HAP. Ce tir sera suivi d’autres, notamment d’essais de la roquette guidée sur une cible mobile.

 

Des munitions guidées à bas coût

 

L’intérêt de disposer de roquettes précises est là: pouvoir mettre en œuvre des munitions très précises pour un coût limité, en tout cas, bien moins cher qu’un missile. Les derniers engagements en Afghanistan, en Libye ou au Mali ont confirmé la pertinence de cette capacité : La première version du Tigre (HAP pour Appui Protection) ne dispose pas d’armement de précision. C’est pourquoi les vénérables hélicoptères Gazelle, très vulnérables, équipés du missile HOT sont toujours nécessaires. Le panier de roquettes (non guidées) du Tigre HAP (pour l’instant seule version déployée) étant utilisé en tir de saturation, l’équipage ne dispose que du canon de 30 mm pour effectuer des tirs de précision, mais doit alors engager sa cible à moins de 1500 mètres, l’exposant alors aux tirs ennemis. Demain, la version la plus aboutie du Tigre, celle HAD (Appui Destruction), qui devrait connaître son premier déploiement à partir d’octobre au Sahel, mettra en œuvre le missile Hellfire de 8 km de portée (contre 7 km pour la roquette). Redoutable mais très coûteux. « On ne tirera pas autant de missiles Hellfire demain que de missile HOT aujourd’hui» reconnaît un officier de l’ALAT. L’intérêt est donc là : éviter d’utiliser des missiles beaucoup plus chers que leurs cibles (pick-up ou infrastructures) tout en évitant les dommages collatéraux. Sachant que le prix d’acquisition d’un missile Hellfire s’élève à plus du double que celui d’une roquette guidée…

 

Le PEA Munitions à Précision Métrique (MPM)

Le développement de la capacité d’une roquette guidée laser s’inscrit dans un Plan d’Etude d’Amont (PEA) plus ambitieux lancé par la DGA en 2009, visant à développer des briques technologiques communes à plusieurs munitions pour les rendre précises. Il s’agit là de la roquette tirée depuis un hélicoptère, mais également d’obus d’artillerie de 155 mm, d’obus de 120 mm tirés depuis un char Leclerc ou encore d’obus de mortier de 120 mm. Ces briques communes comprennent un kit de guidage, un capteur laser, un calculateur ou encore un système de contrôle des actuateurs. Pour résumer, l’encombrement de la munition est la même (la roquette demeure du 68 mm) mais composée différemment incluant un kit de guidage et des ailettes directionnelles). La roquette de précision métrique demeure aujourd’hui la munition guidée la plus aboutie parmi celle du PEA MPM « pour le mortier de 120 mm, on en sera au même stade dans deux ans qu’aujourd’hui pour la roquette » confiait un responsable de programme

 

Une mise en service vers 2018/2020

Des discussions sont en cours pour intégrer cette nouvelle capacité dans le standard MK2 du Tigre. Ce standard qui est prévu à l’horizon 2018/2020, verra outre le traitement des obsolescences, l’intégration du SIT ALAT (système de communication et commandement ) et donc un panier de roquette incluant des munitions guidées. Peu d’adaptations sont nécessaires, le panier reste inchangé, l’adaptation étant surtout logicielle. La cible pourra être illuminée au laser soit par un opérateur au sol soit par l’hélicoptère lui même. Pour le tireur, il suffira de sélectionner  parmi les roquettes du panier, celles guidées pour les engager. Le Tigre HAD disposera alors d’une panoplie complète d’armement : canon de 30 mm, missile air-air Mistral, Hellfire pour des cibles fortement blindées et roquettes (guidées ou non) pour des cibles moins durcies.

 

Et l’export ?

L’industriel en charge de cette roquette est TDA (filiale de Thales), qui va bientôt pouvoir proposer à l’export cette nouvelle munition. Pour l’instant, seules la France et l’Espagne en disposent sur leur Tigre. Mais l’industriel est confiant pour la suite et des discussions seraient en cours. TDA offre ainsi diverses solutions de panier de roquettes qui peuvent équiper divers types d’hélicoptères mais aussi d’autres aéronefs comme des avions légers. L’offre des roquettes guidées est quant à lui réduit : outre la France, seuls les États-Unis et la Turquie ont développé des solutions comparables.

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27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 17:45
Photos SGC K. Congini - Armée de l'Air

Photos SGC K. Congini - Armée de l'Air

 

27/05/2014 Sources : EMA

 

Le 14 mai 2014, un hélicoptère Puma du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT) a rejoint la flotte aéromobile des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Engagé dans l’opération Serval, au Mali, l’aéronef a été relevé début mai par un hélicoptère Cougar nouvelle génération.

 

Son convoyage a été assuré par le C160 Transall de l’escadron de transport (ET) 88 Larzac depuis Gao au Mali, vers la base de Djibouti. Ce transfert a été réalisé dans le cadre de la relève opérationnelle et selon la logique de bascule d’efforts qui prévaut entre les forces françaises déployées en Afrique. Les FFDj mettent actuellement deux de leurs hélicoptères Puma à disposition de l’opération Sangaris, en République centrafricaine.

 

Pour convoyer par avion cet hélicoptère de près de 5 tonnes, les mécaniciens du peloton de soutien du DETALAT des FFDj ont procédés au démontage minutieux de l’aéronef. La poutre de queue, le MRP (Moyeu Rotor Principal) et la cellule (habitacle et soute) ont été démontées puis chargées, une à une, dans la soute du Transall. Les points sensibles de l’hélicoptère, barque (partie inférieure du Puma) et moteurs notamment, ont fait l’objet d’une attention rigoureuse, car ils ne doivent pas toucher la structure de l’avion pendant le chargement, au risque d’endommager l’un ou l’autre, voire les deux aéronefs.

 

A leurs côtés dans cette manœuvre délicate, les mécaniciens navigants de l’escadron de transport ont apporté leur soutien et leurs savoir-faire sur le chargement et la répartition des parties de l’hélicoptère dans la soute du C160.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné, permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente, avec le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDj : convoyage d’un hélicoptère de Gao à DjiboutiFFDj : convoyage d’un hélicoptère de Gao à DjiboutiFFDj : convoyage d’un hélicoptère de Gao à Djibouti
FFDj : convoyage d’un hélicoptère de Gao à Djibouti
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23 mai 2014 5 23 /05 /mai /2014 17:45
Mali : Exercice du détachement d’intervention aéromobile du SGAM de la force Serval

 

19/05/2014 Sources : EMA

 

Le 2 mai 2014, le sous-groupement aéromobile (SGAM) du groupement tactique interarmes (GTIA) Désert « Vercors » de la force Serval a conduit son dernier exercice d’entraînement du module d’intervention aéromobile (DIA) sur la plateforme opérationnelle Désert (PfOD) de Gao pour être pleinement opérationnel après une période de relève.

 

Cet entraînement visait à mettre en œuvre les procédés d’exécution du détachement d’intervention aéromobile dont l’objectif est d’engager un module aérocombat pour des opérations coups de poing, combinant l’allonge et la puissance de feu des hélicoptères avec l’emploi au sol de commandos montagne.

 

Pour cet exercice, le DIA regroupait une patrouille d’hélicoptères de reconnaissance et d’attaque (HRA) avec un Tigre et une Gazelle et un module Assaut avec un Puma et un Cougar et deux groupes de commandos de montagne (GCM).

 

L’action était bâtie sur un scénario simple et réaliste : après un tir de sommation par le Tigre pour faire stopper le véhicule suspect fictif repéré au sol, le premier groupe de combat a débarqué en appui. Une fois l’appui en place, le deuxième groupe mis à terre a procédé à l’interception fictive du conducteur. Après contrôle du suspect et de son véhicule, il a été exfiltré en HM pour être interrogé.

 

Séquence brève de moins de trente minutes, cet exercice tactique a notamment permis de prendre en compte la contrainte particulière du terrain sur ce théâtre : le soulèvement de sable lors de l’approche du sol et du poser des hélicoptères.

 

Environ 1600 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Mali : Exercice du détachement d’intervention aéromobile du SGAM de la force Serval
Mali : Exercice du détachement d’intervention aéromobile du SGAM de la force Serval
Mali : Exercice du détachement d’intervention aéromobile du SGAM de la force Serval
Mali : Exercice du détachement d’intervention aéromobile du SGAM de la force Serval
Mali : Exercice du détachement d’intervention aéromobile du SGAM de la force Serval
Mali : Exercice du détachement d’intervention aéromobile du SGAM de la force Serval
Mali : Exercice du détachement d’intervention aéromobile du SGAM de la force Serval
Mali : Exercice du détachement d’intervention aéromobile du SGAM de la force Serval
Mali : Exercice du détachement d’intervention aéromobile du SGAM de la force Serval
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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 12:56
photos EMA / Armée de Terre

photos EMA / Armée de Terre

4 avril 2013, Tessalit, décollage d'un hélicoptère Tigre du Sous-GAM en appui du Groupement Tactique Interarmes (GTIA) Vercors. Au cours des mois de mars et avril, la force Serval a mené aux côtés des forces armées maliennes et de la MINUSMA des actions successives de reconnaissance et de contrôle de zone dans la région de l’Adrar des Ifoghas. Celles-ci avaient pour objectif de mettre la pression sur les groupes armés terroristes, en entravant leur liberté de mouvement, en gênant leurs flux logistiques et en les empêchant de mener des actions.
 

Mali : action de reconnaissance dans l’Adrar des Ifoghas
Mali : action de reconnaissance dans l’Adrar des Ifoghas
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