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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 13:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

21/03/2015 Gabriel Boyer - armée de Terre

 

Le mardi 17 mars 2015 à 16h30, le sergent François, accompagné des caporaux Bérénice, Fabrice et Yoann de la 1ère compagnie du régiment médical de la Valbonne (RMED), a porté secours à une passante dans le 1er arrondissement de Paris.

 

La patrouille, en phase de repos lors d’une mission au cours de l’opération Sentinelle, aperçoit une personne qui s’effondre sur le trottoir. Prise de convulsions, elle sombre dans l’inconscience. Le sergent François et le caporal Bérénice, tous deux qualifiés secouristes, interviennent alors immédiatement sur la victime pendant que les caporaux Fabrice et Yoan alertent les secours. Une patrouille de police arrive ensuite et sécurise la zone pendant que les militaires effectuent les gestes de premier secours.  5 minutes plus tard, les pompiers alertés interviennent et évacuent la victime. Les quatre soldats du RMED ont été fidèles à la devise de leur régiment « Servire pro salvare » : servir pour sauver.

 

Depuis le début de l’opération Sentinelle en janvier 2015, grâce à la formation militaire, opérationnelle et médicale reçue au sein de leurs unités, les militaires sont intervenus à de nombreuses reprises pour porter secours à des personnes en danger.

 

Le régiment médical de l’armée de Terre (RMED)

photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

Le régiment médical de l’armée de Terre (RMED) appartient à la 1re brigade logistique (1re BL). Il met en œuvre les unités médicales opérationnelles (UMO) du service de santé des armées.

 

Créé le 1er juillet 2011 à partir des structures des 1er, 2e, 3e RMED et du centre d’instruction santé de l’armée de terre (CISAT), le tout nouveau RMED s’est vu attribuer le patrimoine des unités du service de santé qui ont servi en :

Italie 1943-1944, car le 1er régiment médical a hérité des traditions des bataillons médicaux du corps expéditionnaire français en Italie,

France 1944-1945 et Allemagne 1945, car le 2e RMED a repris le patrimoine de la 1re armée française ainsi que les armes de la ville de Colmar (la séparation des eaux du Rhin et du Danube), reflétant ainsi l’engagement du général de Lattre envers l’Alsace,

Indochine 1945-1954, car le 3e RMED s’est vu attribuer le patrimoine des unités du service de santé qui ont servi en Indochine entre 1945 et 1954.

Sa devise est : « servire pro salvare ».

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 11:55
Crédits: Armée de Terre

Crédits: Armée de Terre

 

20 Mars 2015 enderi.fr

 

Héritage des nouvelles conflictualités post-guerre froide, le Véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) de Nexter Systems est emblématique des changements stratégiques opérés depuis le début des années 1990, date des débuts de sa conception. Véritable rupture technologique et tactique pour une armée de terre initialement attachée à ses chenilles, le VBCI s’est imposé auprès des opérationnels comme le cheval de bataille par excellence des conflits modernes.

 

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 08:45
Construction d'un pont Bailey à Bangui


20 mars 2015 Forces Françaises

 

Avec des sapeurs centrafricains, les militaires français du génie ont construit un pont métallique de type « Bailey » pour préserver une liaison indispensable située entre les 2e et 6e arrondissements de Bangui.

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 17:55
Intervention vitale des Spahis

 

20/03/2015 SCH Beltran – Armée de Terre

 

Lundi 16 mars, à Marseille, l’intervention d’un groupe de soldats du 1er régiment de spahis (1er RS) de Valence a permis de secourir une jeune femme renversée par une voiture.

 

Déployé dans le cadre de la mission Vigipirate, le groupe patrouille autour des sites sensibles de l’agglomération. Alors qu’ils stationnent dans le 10e arrondissement, les militaires sont témoins d’un accident. Un piéton heurté par un véhicule est projeté à terre. Conscient de l’urgence de la situation, le maréchal des logis Romain, chef de groupe, déploie une équipe pour sécuriser la zone. La seconde équipe effectue les gestes de premiers secours sur la victime. L’alerte lancée, les services d’urgence interviennent sans délais et prennent en charge le blessé.

 

Pour la deuxième fois en 3 jours, les militaires déployés à Marseille ont porté assistance aux habitants. Valeureux et courageux, les soldats font preuve de professionnalisme quelles que soient les circonstances. Ils contribuent donc au sentiment de sécurité de la population.

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 17:35
photo EMA

photo EMA

 

20/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Ces deux derniers jours (19 et 20 mars 2015), les Forces armées de Nouvelle Calédonie (FANC) ont porté leur effort sur l’île de Tanna, depuis la frégate de surveillance Vendémiaire, grâce au pont aérien établi entre Port Vila et Tanna et avec l’intervention du détachement du RIMaP NC pour effectuer les premières missions d’évaluation.

 

Après une réunion de coordination regroupant les autorités locales, l’organisation gouvernementale National Disaster Management Office (NDMO) et des personnes de la Croix Rouge, le détachement du RIMaP-NC des FANC a commencé sa mission d’évaluation axée sur la reconnaissance des dispensaires (état des infrastructures et des stocks de médicaments, présence de personnes blessées…) ainsi que sur le réseau routier de l’ile.

 

Un détachement de l’équipage du Vendémiaire, deux officiers de la police locale, une personne de la Croix Rouge et un médecin, ont été héliportés par le PUMA de l’escadron de transport 52 (ET 52) embarqué sur le Vendémiaire afin de visiter les six dispensaires de l’île.

 

Parallèlement, les missions d’aérotransport entre Nouméa et le Vanuatu se sont poursuivies toute la journée grâce aux deux avions CASA (1 FANC et 1 FAPF) : mise en place d’un lot « nomade » au profit de la Croix à Port Vila, déploiement du véhicule P4 de Port Villa à Tanna et plusieurs mises en place de détachements (dont l’ONG Solidarité Tanna) et du fret de la sécurité civile de la Nouvelle-Calédonie sur Tanna. Plusieurs évacuations sanitaires ont par ailleurs été réalisées en Alouette III au profit d’un nourrisson blessé, de personnes âgées en difficulté et de femmes enceintes en phase d’accouchement.

 

Enfin, le patrouilleur La Glorieuse de la Marine nationale a appareillé de Nouméa le 20 mars avec à son bord 2 équipes multifonctions capables de faire de l’ouverture d’axe avec des tronçonneuses, des électriciens du RIMaP, 1 équipe de de la BA 186 en mesure d’évaluer l’état des pistes d’atterrissage et 1 tonne de fret de la Croix Rouge. Il devrait rejoindre Erromango (ile au Nord de Tanna d’une superficie de 1 000 km2 et peuplée de 2 000 habitants) et entamer un travail d’évaluation identique à celui qui est réalisé par la frégate Vendémiaire et le détachement du RIMaP NC sur Tanna.

 

Depuis le 15 mars, près de 300 militaires français participent, en liaison avec le haut-commissariat de la République de Nouvelle-Calédonie, aux opérations de secours aux populations et de réhabilitation des infrastructures touchées par le cyclone « PAM » qui s’est abattu sur l’archipel des Vanuatu dans l’océan Pacifique.

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 16:56
Cyberdéfense : lancement de DEFNET 2015

 

20/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 16 au 27 mars, l’exercice annuel interarmées DEFNET 2015 se déroule cette année sur sept sites militaires du territoire national (Rennes, Douai, Toulon, Mont-de-Marsan et trois sur Paris), ainsi qu’à bord de deux bâtiments de la Marine nationale.

 

Cette deuxième édition de l’exercice DEFNET est particulièrement innovante par son caractère global et résolument interarmées. Le scénario choisi simule, dans un contexte international fictif, des menaces et des attaques cyber multiples contre plusieurs sites sur des thèmes très différents, au plus proche de la réalité. Cela permet ainsi d’entraîner nos forces depuis le niveau le plus bas jusqu’au niveau du centre de planification et de conduite des opérations (CPCO).

 

Autre nouveauté : dans le cadre de la montée en puissance d’une nouvelle composante de la réserve dédiée à la cyberdéfense, des enseignants et des élèves d’établissements d’enseignement supérieur prennent part à cet exercice. Ces derniers joueront le rôle des réservistes de cette future réserve de cyberdéfense. Ils devront effectuer un travail d’éradication de code malveillant et de réinstallation de système dans le cadre d’une simulation d’intervention.

 

Menée sous l’autorité du vice-Amiral Arnaud Coustillière, officier général cyber de l’état-major des armées, les objectifs attribués à cette édition 2015 sont multiples :

    tout d’abord, expérimenter un modèle de centre opérationnel ;

    ensuite entraîner les joueurs à la planification et à la conduite des opérations dans le domaine de la lutte informatique défensive, ainsi qu’au déploiement d’unités cyber (Terre, Mer, Air, DIRISI, expérimentation réserve Rennes et Paris) ;

    enfin, il s’agit de renforcer la prise en compte de la dimension cyber des opérations par des non spécialistes.

 

Conformément au Livre blanc de 2013 qui fait de la cyberdéfense l’une des priorités nationales, cet exercice s’inscrit dans le cadre de la montée en puissance de la chaîne opérationnelle de cyberdéfense du ministère.

 

Entraînement fondateur pour cette dernière, l’exercice DEFNET 2014 avait déjà permis de valider des procédures opérationnelles dans l'emploi des groupes d’intervention rapide (GIR), et d’apporter des évolutions regardant la formation et de l'instruction cyber.

 

REPERES

 

Cyberdéfense : lancement de DEFNET 2015

La cyberdéfense militaire regroupe l’ensemble des actions défensives ou offensives conduites dans le cyberespace pour garantir le bon fonctionnement du ministère de la Défense et l’efficacité de l’action des forces armées en préparation ou dans la planification et la conduite des opérations.

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 12:55
Deuxième édition pour l’exercice de cyberdéfense DEFNET

 

20 mars, 2015 Pierre Brassart (FOB)

 

À l’automne 2014 s’était tenu l’exercice DEFNET 2014, un exercice interarmées de cyberdéfense d’un genre nouveau. À cette occasion, une soixantaine d’experts de cyberdéfense et de cybersécurité s’étaient réunis sur le site des Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan  pendant 4 jours.

 

DEFNET 2014 a permis de valider des procédures opérationnelles dans l’emploi des groupes d’intervention rapide (GIR). Il a aussi permis d’apporter des évolutions dans le format actuel de la formation et de l’instruction cyber.

 

Avec DEFNET 2015, on passe à un échelon supérieur.  Celui-ci se déroule sur 7 sites sur le territoire nationale ainsi que sur deux navires de la marine et ce durant 12 jours (du 16 au 27 mars). Cette édition doit permettre d’entraîner nos forces spécialisées cyber depuis le niveau le plus bas jusqu’au niveau du Centre de planification et de conduite des opérations.

 

Les objectifs de l’édition 2015 sont multiples : expérimenter un modèle de centre opérationnel et le fonctionnement d’une réserve cyberdéfense dans un cadre opérationnel ; entraîner les joueurs à la planification et à la conduite des opérations dans le domaine de la lutte informatique défensive, au déploiement d’unités cyber (Terre, Mer, Air, DIRISI, expérimentation réserve Rennes et Paris) et à la prise en compte de la dimension cyber des opérations par des non spécialistes.

 

Le scénario de DEFNET 2015 simule, dans un contexte international fictif, des menaces et des attaques cyber multiples contre plusieurs sites sur des thèmes très différents, au plus proche de la réalité. Associant les spécialistes de cyberdéfense des unités interarmées et des trois armées, cet exercice revêt une ampleur plus importante et un caractère résolument interarmées.

 

Plusieurs établissements d’enseignement supérieurs, spécialisés dans les sciences appliqués et notamment les télécommunications, participent à l’exercice.

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 11:45
Barkhane : Point de situation au 19 mars

 

20/03/2015 Sources : État-major des armées

 

La force Barkhane a achevé le 10 mars une opération tripartite de contrôle de zone aux côtés des forces armées maliennes et mauritaniennes dans la région de la forêt d’Ouagadou. Plus de 700 militaires mauritaniens et près de 500 militaires maliens ont ainsi mobilisé leurs efforts dans cette zone aux côtés de la quarantaine de militaires français déployés en appui.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armées terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 08:45
photo EMA / Sangaris

photo EMA / Sangaris

 

19/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 13 mars 2015, la force Sangaris, qui contrôlait « le point kilométrique » PK12 au nord de Bangui, a transféré le poste de contrôle aux forces de sécurité intérieures (FSI) centrafricaines.

 

Point de passage stratégique pour l’approvisionnement des commerces de Bangui, un poste de contrôle fixe y avait été installé dès le déploiement de la force Sangaris afin de rétablir la libre circulation de la population et des biens. Le transfert du contrôle de ce point auprès des FSI est réalisé de façon progressive depuis mi-février.

 

Depuis la fin des consultations populaires dans le pays, les restitutions populaires ont fait l’objet de la préparation d’un rapport de synthèse qui permettra à l’Etat de transition de définir la date et les contours du Forum de Bangui. A Bangui, la prise à partie de la force par un groupe de trafiquants laisse présager du refus de certains de voir se restaurer l’autorité de l’Etat.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo EMA / Sangarisphoto EMA / Sangaris
photo EMA / Sangaris

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 08:45
photo EMA / Sangaris

photo EMA / Sangaris

 

19/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le lundi 16 mars, le marché de la ville de Bambari, en République centrafricaine, a rouvert ses portes, sous la protection de Sangaris en appui des forces de la MINUSCA et des forces de sécurité centrafricaines.

 

Cette ouverture est l’un des signes d’un progressif retour « à la normale » dans cette zone sensible du pays. L’Etat et l’administration locale ont repris le contrôle des institutions de la ville, après que la force Sangaris et les forces de la MINUSCA leur ont restitué les bâtiments de la gendarmerie et de la cour d’appel occupées par des opposants. Les forces de sécurité centrafricaines, les forces de la MINUSCA et la force Sangaris continuent d’assurer la sécurité et la protection de la population.

 

Le maire de Bambari, M. Matchipata, et la municipalité portent leurs efforts sur la reconstruction de la ville, en lien avec les forces internationales qui patrouillent jour et nuit afin de garantir la sécurité des habitants. Les résultats escomptés sont la libre circulation de la population ; l’activité normale du marché central ; le retour progressif d’une véritable vie économique.

 

Grâce à l’appui de la communauté internationale, les autorités locales entretiennent un dialogue d’apaisement envers toutes les communautés afin de recréer un tissu social. Cette réconciliation repose sur les trois principes indispensables : retour du pouvoir de l’Etat ; développement de la vie économique et sécurité de tous.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo EMA / Sangaris

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 08:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

19/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Cette semaine, la force Chammal a réalisé 117 sorties aériennes, dont dix ont abouti à des frappes au sol. Plusieurs véhicules armés et logistiques ont été détruits par les aéronefs français, ainsi qu’un véhicule suicide dans la région de Kirkouk. Les avions français ont également ciblé des combattants à plusieurs reprises ainsi que du matériel d’artillerie.

 

Parallèlement, un avion E-3F Awacs a rejoint Al Udeid, au Qatar, dimanche 15 mars, avant de réaliser sa première mission trois jours plus tard. Sous contrôle opérationnel américain et en collaboration avec les pays alliés, il assure des fonctions de Command and Control au sein de la coalition. Il s’agit du deuxième déploiement de cet aéronef qui a déjà été engagé dans l’opération Chammal de fin octobre à mi-novembre 2014.

 

Concernant le volet terrestre de l’opération Chammal, les actions de formation ont débuté le 7 mars au profit d’une cinquantaine de stagiaires de l’Iraqi Counter Terrorism Service (ICTS).

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 3 200 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliées de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage 2000D), d’un avion ravitailleur C-135 FR, d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et du groupe aéronaval et de son groupe aérien embarqué (douze Rafale Marine, neuf Super Etendard modernisés et un Hawkeye).

photos EMA
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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 15:45
Mission accomplished for the French Contingent of EUFOR RCA and for the representatives of Netherlands and Hungary

 

12/03/2015 EUFOR-RCA

 

With a simple but exciting farewell ceremony held in camp Ucatex, ended the mission for the French contingent and for the representatives of Netherlands and Hungary.

 

The French contingent, composed of Army and Gendarmerie has been the largest contribution to EUFOR RCA.

 

The tour of duty of the ‘black stork’ – the nickname of the Régiment de Marche du Tchad– was marked by a number of successful achievements in terms of improvement of the security in the 3rd and 5th Districts of the Central African Capital.

 

The establishment of a steady presence at the border between these sensitive areas has triggered an increase of freedom of movement and trade, while a number of dialogue initiatives were launched in order to foster inter-community reconciliation and the return of Internal Displaced Persons.

 

The cooperation with the EUFOR’s Integrated Police Unit on the one hand and the UN Forces on the other, was certainly one of the distinctive marks of the Multinational Battalion, whose core was formed by the ‘Black Storks’, side by side with Georgian’s Army troops.

 

The French gendarmerie served in the framework of the Integrated Police Unit (IPU) of the European Gendarmerie Force, alongside Polish, Spanish and Lithuanian comrades; they took effectively part in all operations aiming to ensure freedom of movement and a safe environment in the 3rd and 5th Districts of Bangui, where they became a reassuring and popular presence for the population, as witnessed in the local media as well.

Mission accomplished for the French Contingent of EUFOR RCA and for the representatives of Netherlands and Hungary
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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 12:45
Thomas Fessy joins French patrols stepping into the Sahel region's main militant hotspot

Thomas Fessy joins French patrols stepping into the Sahel region's main militant hotspot

 

19 March 2015 by Thomas Fessy – BBC Africa

 

France has set up a military base in Niger, just south of the Libyan border, hoping to cut off trafficking and supply routes, on which militant groups like Islamic State rely to spread their influence around the region, as Thomas Fessy reports.

 

Paratroopers from the Foreign Legion are receiving last-minute instructions before they climb in their armoured vehicles. Engines roaring, they are on the move before the first light. This morning, they will advance through a searing and bitterly cold desert wind. The temperature sinks to 4C (39F) overnight and at 05:30, the mercury of the thermometer has not started to rise. These soldiers' mission is not the easiest; they are searching for clues amidst the emptiness.

 

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 11:55
Célébration des dix ans de l’aumônerie militaire du culte musulman

 

18/03/2015 DICOD

 

Mercredi 18 mars 2015, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a célébré à l’Hôtel de Brienne  les dix ans de l’aumônerie militaire du culte musulman en présence du chef d’État-major des armées, le général Pierre de Villiers, de l’aumônier en chef Abdelkader Arbi, nommé en juin 2006, des aumôniers en chef des cultes catholique, protestant et israélite, des aumôniers des quatre cultes et de nombreux invités.

 

Le 18 mars, à l’occasion de la célébration des dix ans de l’aumônerie militaire du culte musulman, Jean-Yves Le Drian, en présence du général Pierre de Villiers, chef d’État-major des armées, et du secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire, Jean-Marc Todeschini, a rassemblé à l’Hôtel de Brienne l’aumônier en chef Abdelkader Arbi, nommé en juin 2006, des aumôniers en chef des cultes catholique, protestant et israélite, et des aumôniers des quatre cultes. Étaient également présents le grand rabbin de France Haïm Korsia et le recteur de la Grande Mosquée de Paris Dalil Boubakeur. A cette occasion, le ministre a rappelé que dix ans après sa création, « l’aumônerie musulmane aux armées s’est montrée à la hauteur des espoirs placés en elle », et qu’elle a acquis « légitimité » et démontré du « dynamisme ». Ce mérite revient notamment « aux aumôniers musulmans, parmi lesquels se trouvent une femme et sept réservistes opérationnels ».

 

Pour sa part, Abdelkader Arbi a souligné « [qu'] il aura fallu beaucoup d’effort, d’entrain et de pédagogie pour rassurer, banaliser, rendre accessible au plus grand nombre notre service cultuel». « Les militaires d’aujourd’hui qui vivent leur foi musulmane de manière assumée [...] sont des citoyens à part entière à l’égal de tous les Français », a-t-il ajouté.

 

Créée par arrêté ministériel du 16 mars 2005, l’aumônerie militaire du culte musulman compte trente-huit aumôniers d’active (un aumônier en chef, trois aumôniers en chef-adjoints terre, marine et gendarmerie, cinq aumôniers de zone de Défense, vingt-neuf aumôniers des forces) et cinq aumôniers de réserve répartis sur l’ensemble du territoire national.

 

Avec pour missions essentielles de soutenir moralement et spirituellement les personnels militaires et civils de la Défense qui le souhaitent, les aumôniers militaires des cultes catholique, israélite, protestant et musulman peuvent également être consultés par le commandement dans leur domaine de compétences.

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 08:55
Comment l’armée s’entraîne au combat numérique

Le BPC Tonnerre, bâtiment français, participe actuellement aux simulations réalisées par le ministère de la Défense - photo Marine Nationale

 

18/03/15 Capital.fr

 

Vengeance de Vladimir Poutine ? Malveillance d’un hacker jihadiste ? On ne sait pas… Toujours est-il que deux bâtiments de notre marine nationale, le « Mistral » et son jumeau le «Tonnerre », actuellement en opérations en Méditerranée, viennent de faire de l’objet de cyberattaques simultanées. Leurs ordinateurs de bord ont été infectés par un virus informatique, générant un dysfonctionnement du SCADA, le système de contrôle automatisé qui permet gérer les principales fonctions de ces bateaux de guerre, à commencer par leurs radars et leurs systèmes d’armes. Un groupe d’intervention rapide composé de six membres de nos forces spéciales de cyberdéfense est en cours de déploiement sur les deux navires afin de résoudre la crise au plus vite.

 

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 08:45
photo EMA

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18/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 9 au 13 mars 2015, la compagnie d’infanterie des Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) a réalisé un exercice de contrôle de foule au camp de Port-Bouët à Abidjan, en étroite collaboration avec une section de sécurité incendie et sauvetage des pompiers de l’aviation légère de l’armée de terre (ALAT).

 

Le but de cet exercice était d’entretenir les qualifications de la compagnie dans ce domaine, qualifications acquises lors de la mise en condition opérationnelle préalable à son déploiement en Côte d’Ivoire.

 

La compagnie d’infanterie des FFCI est principalement composée de militaires du 1er régiment de Tirailleurs d’Epinal, d’un groupe du 132ème bataillon cynotechnique de l’armée de Terre ainsi que d’une section du génie du 3ème régiment du Génie de Charleville-Mézières.

 

Equipés de protections spécifiques, les soldats de la compagnie ont d’abord été déployés face à des manifestants calmes, joués par un peloton de l’escadron blindé des FFCI. Ils ont ensuite été mis en face d’une situation de plus en plus tendue et dégradée, les obligeant à manœuvrer en permanence et à apporter une réponse toujours graduée et proportionnelle.

 

Les soldats se sont aussi entraînés à la mise en œuvre de plusieurs procédés, comme les vagues de refoulement, bonds offensifs, charges, et relèves. Les sapeurs-pompiers ont ensuite conduit un dispositif d’appui, utilisant le canon à eau pour repousser une foule hostile. Enfin, en appui des fantassins, les équipes cynotechniques se sont aussi relayées afin de réaliser des neutralisations ciblées au sein de la foule, les chiens d’intervention assurant une présence dissuasive.

 

Les Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), créées le 1er  janvier, assurent la protection des ressortissants français et aident à entretenir la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire (FRCI). Ces forces constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 15:45
photo ECPAD

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18/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Arrivé le 14 janvier en Guinée dans le cadre de l’action des armées françaises de lutte contre le virus Ebola, le brigadier Fabrice du 2e régiment de Dragons (2e RD) de Fontevraud, 27 ans, termine sa mission, fier du travail accompli auprès des équipes médicales et paramédicales du centre de traitement pour les soignants (CTS) à Conakry.

 

Originaire de l’Hérault, le brigadier Fabrice est étudiant en chimie lorsqu’il décide de rejoindre l’armée de terre une fois son diplôme obtenu. Il rejoint le 2e RD en mars 2011, le plus ancien régiment de l’Arme Blindée Cavalerie, dont la spécialité, unique au sein des armées, est l’intervention face aux dangers nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques. Le brigadier Fabrice travaille alors au quotidien au sein d'un peloton de reconnaissance. Sa mission est de rechercher, localiser et identifier les zones de danger chimiques ou nucléaires.

 

Lorsqu’il est informé qu'une projection future partira en Guinée avec une vingtaine de ses camarades et sous le commandement de son chef de corps, le brigadier Fabrice est volontaire et déterminé à remplir la mission. Cette opération d’assistance sanitaire, inédite pour les armées, nécessite l'expertise unique du 2e RD pour assurer la sécurisation des phases d'habillage et de déshabillage des soignants qui travaillent en zone de danger biologique au chevet des malades. Ils sont aussi susceptibles d’intervenir en cas d’incident ou de malaise d'un personnel dans cette zone. Ils assurent également les opérations de décontaminations nécessaires pour garantir une biosécurité maximale des matériels et des infrastructures spécialement créées pour cette mission.

 

Le brigadier Fabrice est investi dans sa mission, aussi déclare-t-il : « faire de l’agent biologique en réel, c'est génial ». Effectivement, cette mission lui donne l'occasion de mettre en œuvre les procédures répétées en France ou lors d’exercices internationaux. Ces procédures sont adaptées au terrain, participant ainsi pleinement au succès du déploiement français. Il confie avoir été confiant et serein durant ces deux mois, malgré le risque réel que présente un virus mortel, grâce à une maîtrise des techniques adaptées à la situation. Sa priorité était d'être rapide et méticuleux, notamment lors de la phase d'habillage. De sa rigueur dépendait la sécurité du personnel entrant en zone de danger biologique et la précision de ses gestes assurait la sécurité du personnel lors du déshabillage des équipes qui avaient passé plus d'une heure sous l'équipement de protection individuelle (EPI).

 

La bonne ambiance tant avec le personnel guinéen qu'avec ses camarades de Condé Dragons et le personnel du détachement de soutien a rendu cette mission opérationnelle humainement très riche et professionnellement exaltante.

 

Depuis l'été dernier, l'armée française prend pleinement part à l'action intergouvernementale française pour la lutte contre le virus Ebola, coordonnée par une Task Force interministérielle en Guinée. Avec la fin de mission mi-mars des deux militaires SSA superviseurs du centre de formation pour les soignants (CFS), l'action des armées françaises se concentre sur le CTS qui est pleinement opérationnel depuis janvier 2015, avec une trentaine de prises en charges de patients. 130 militaires dont plus de 70 soignants volontaires des organismes relevant du service de santé des armées et une vingtaine de militaires du 2e régiment de dragons à la spécialité NRBC, participent pleinement à cette mission soutenus par un détachement de commandement et de logistique.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:55
photo BPC Mistral - Marine Nationale

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2 mars 2015 par BPC Mistral – Marine Nationale

 

Le BPC « Mistral » a conduit durant ces trois dernières semaines, en Méditerranée, de nombreux exercices visant notamment à qualifier de jeunes pilotes de l’Aviation Légère de l’Armée de Terre (ALAT) à l’appontage, mais aussi différents régiments de l’armée de terre au débarquement amphibie. Le « Mistral » a par ailleurs mené des entraînements de ravitaillement à la mer, de lutte contre un sinistre, de tir sur buts flottants et contre avions.

 

Au cours de cette sortie à la mer, riche en activités, le « Mistral » avait également pour objectif d’acquérir la qualification supérieure pour la maîtrise de ses capacités opérationnelles (MACOPS) en situation de combat. En effet, lorsqu’un bâtiment navigue sous menace, une organisation interne spécifique est mise en place afin de maintenir son aptitude à poursuivre sa mission, suivant la priorité d’action fixée par le commandant. Elle permet également au commandant de connaître, en temps réel, au poste de combat, la situation matérielle et humaine de son bâtiment.

 

Nécessitant entraînement et investissement de la part de tout l’équipage, la maîtrise des capacités opérationnelles est évaluée par la division entraînement d’ALFAN. Embarqués à bord du « Mistral », les entraîneurs ont évalué l’aptitude de l’équipage à faire face à de nombreux sinistres et avaries, à des pertes humaines et matérielles conséquentes et aux reconfigurations nécessaires. Ils ont également examiné l’arrimage de combat dans tout le bord, les connaissances théoriques et pratiques des marins sur le secourisme de combat ainsi que l’organisation générale : mini-vérifications et investigations de contrôle, comptes-rendus correspondants, diffusions régulières de la situation etc. Ils ont également assisté au « mess in action », temps calme permettant à l’ensemble de l’équipage de se restaurer, tout en restant au poste de combat, en se répartissant sur un créneau total de moins de 75 minutes (préparation-repas-rangement du matériel compris).

 

A l’issue de cette journée et après un débriefing très constructif au cours duquel les experts ont souligné en particulier une grande implication des marins, le BPC « Mistral » s’est vu attribuer la qualification supérieure attestant la maîtrise significative de ses capacités opérationnelles au combat. Cette certification, motif d’une grande satisfaction pour l’équipage, est le fruit de nombreux entraînements, de sessions de formation du personnel au secourisme de combat ainsi qu’aux techniques de lutte contre un sinistre et de l’exploitation des retours d’expériences.

 

Après avoir mené à bien, sans relâche, ces entraînements difficiles, le BPC « Mistral » reste ainsi prêt à remplir tous les types de missions en situation de menace et de combat qui pourraient lui être confiées.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:45
photo 5e RIAOM - Armée de Terre

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17/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le jeudi 12 mars, les services consulaires de l’Ambassade de France à Djibouti ont organisé une Journée Défense et Citoyenneté (JDC) au sein de l’emprise du 5erégiment interarmes d’outre-mer (RIAOM), au quartier Monclar.

 

La Journée Défense et Citoyenneté est la 3e étape du parcours de citoyenneté. C’est un rendez-vous obligatoire et indispensable entre les jeunes et la Défense, qui concerne tous les Français, filles et garçons, entre 17 et 18 ans, qu’ils vivent en France ou à l’étranger. Ainsi, chaque année la section consulaire de l’Ambassade de France à Djibouti organise une JDC au sein des emprises des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Cette dernière s’est déroulée en présence de l’ambassadeur de France, M. Mucetti et du commandant des FFDj, le général Montocchio.

 

Cette année, 80 jeunes Français ont été convoqués au 5e RIAOM pour approfondir leur connaissance de la Défense et débattre avec les militaires. Trois sous-officiers issus du 5e RIAOM et du groupement de soutien de la base de défense des FFDj ont animé la journée en abordant les trois thèmes suivants : la nécessité d’une Défense dans un monde instable, l’appareil de Défense et l’engagement citoyen. Une fois sensibilisés aux nouveaux enjeux de défense et de sécurité nationale, les jeunes gens ont visité le 5e RIAOM.

 

A l’occasion de cet événement, le 5e RIAOM a organisé une journée interarmes afin de présenter aux lycéens ainsi qu’aux visiteurs extérieurs (familles et militaires américains), ses unités et matériels majeurs. Le régiment a mis en place du matériel caractéristique des unités de la composante terrestre des FFDj, accompagné d’ateliers représentatifs des savoir-faire spécifiques de chacune d’entre elles.

 

Pour clôturer cette journée d’échanges et de rencontres entre les militaires et les jeunes Français, son excellence M. l’ambassadeur Mucetti a remis à chacun son certificat de participation et a remercié les FFDj. Les adolescents se sont dits satisfaits de la journée, regrettant même de ne pas avoir plus de temps pour profiter des ateliers de la journée interarmes.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise.

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 18:25
photo Armée de Terre

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17/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 9 au 13 mars 2015, 240 militaires du Détachement Terre Antilles - 33e RIMa (DTA 33) des Forces armées aux Antilles (FAA) ont été déployés sur la presqu’île des Trois Îlet, située au sud-ouest de la Martinique, dans le cadre de leur préparation opérationnelle permanente.

 

Cet exercice Madiana avait pour objectif de maintenir le haut niveau des savoir-faire opérationnels du DTA 33 nécessaires lors des opérations d’évacuation de ressortissants. Cet entrainement s’inscrit dans le cadre de la préparation des FFA à leurs missions, axées notamment autour de  l’aide à la population en cas de catastrophes naturelles et l’évacuation de ressortissants. Ces interventions militaires peuvent également être menées en coopération avec nos pays alliés dans la région Caraïbe.

 

Lors de cet entraînement, le DTA 33 a simulé une intervention sur une zone de conflit au profit d’un pays allié. Le régiment avait dans un premier temps pour mission de stabiliser et contrôler la zone de l’aéroport, et de préparer l’arrivée de renforts métropolitains ou alliés. Il devait ensuite conduire une opération où étaient coordonnés les moyens militaires et civils, ainsi que les actions des organisations humanitaires.

 

Les forces armées aux Antilles (FAA) garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis les départements de la Martinique et de la Guadeloupe. Elles constituent un dispositif interarmées à dominante aéromaritime de premier plan sur le théâtre Antilles-Guyane.

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 17:35
photo Ministère de la Défense

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Paris, 17 mars 2015 Marine & Océans (AFP)

 

L'aide de la France au Vanuatu sera "amplifiée dans les prochains jours pour répondre à l'urgence de la situation", a déclaré mardi l'Elysée à l'issue d'un entretien téléphonique entre les présidents français et du Vanuatu, François Hollande et Baldwin Lonsdale.

 

M. Hollande a indiqué à son homologue "que l'aide apportée dès dimanche (par la France, NDLR) serait amplifiée dans les prochains jours pour répondre à l'urgence de la situation, évaluer les besoins et permettre la reconstruction du pays", a précisé la présidence dans un communiqué.

 

"J'ai donné tous les ordres et toutes les instructions pour que nous puissions apporter une aide immédiate, une aide matérielle, une aide humanitaire", a souligné un peu plus tard le chef de l'Etat français lors de l'inauguration de nouveaux laboratoires du Collège de France, à Paris.

 

Parlant d'une "situation terrible" et d'une "cataclysme" sans précédent, François Hollande a rapporté des propos de son homologue du Vanuatu, lui disant: "nous sommes aujourd'hui à la fois dévastés et en même temps conscients que ça ne peut plus durer et que vous devez, la communauté internationale, non pas simplement nous apporter une aide mais permettre d'espérer dans la conclusion de la conférence de Paris sur le climat".

 

Selon le communiqué de l'Elysée, le président français a rappelé lors de cette conversation "sa détermination" à ce que cette conférence mondiale s'achève sur "un accord ambitieux" en décembre.

 

"Le cyclone Pam est un nouveau cri d'alarme pour que la communauté internationale prenne toutes ses responsabilités dans la lutte contre le changement climatique", a-t-il fait valoir.

 

A Baldwin Lonsdale, François Hollande a également fait part, toujours selon l'Elysée, "de l'entière solidarité de la France face aux conséquences désastreuses du cyclone Pam" et du "plein soutien de la France dans cette épreuve".

 

Saluant "le courage avec lequel le peuple et le gouvernement du Vanuatu font face à la catastrophe", il a "présenté ses condoléances pour les familles et les proches des victimes", a poursuivi la présidence française.

 

La France a affrété lundi un nouvel avion militaire français avec de l'aide humanitaire vers l'archipel de Vanuatu, qui a été ravagé par le cyclone Pam, évacuant six Français.

 

Un appareil français avait déjà rallié dimanche le Vanuatu depuis la Nouvelle-Calédonie afin d'y apporter du matériel et une équipe d'évaluation des dégâts.

 

Entre autres moyens déployés, la frégate française Vendémiaire, basée à Nouméa, doit aussi appareiller avec du fret et un hélicoptère Puma à bord, qui permettra d'explorer des lieux difficiles d'accès.

 

L'archipel du Vanuatu, dans le Pacifique sud, a été balayé vendredi par le cyclone Pam qui a provoqué la mort d'au moins 24 personnes avec des vents de 320 km/h, ont indiqué lundi les Nations unies.

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 17:20
Marine corps trials : 10 médailles pour nos blessés !

 

17/03/2015 armée de Terre

 

Toutes nos félicitations aux blessés de guerre de l’armée de Terre qui, après plus d’une semaine de compétition, reviennent des Etats-Unis avec un total de 10 médailles ! (5 médailles d’or, 3 médailles d’argent et 2 médailles de bronze).

 

Dans ce dernier épisode des Marine corps trials, découvrez leurs performances : au tir à la carabine, en natation, au basket fauteuil ou en athlétisme. C’est le caporal-chef Benjamin qui remporte la dernière médaille française puisqu’il décroche l’argent sur l’épreuve de 50 mètres brasse dans la catégorie déficience d’un membre supérieur. Plus que des médailles, nos 10 blessés auront surtout vécu une expérience humaine incroyable dans un cadre d’exception.

 

Pour continuer à suivre leurs actualités, rendez-vous tout au long de l’année sur les sites internet et pages Facebook de la cellule d’aide aux blessés de l’armée de Terre (CABAT) et de l’association Terre-Fraternité.

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 13:45
Sangaris : transfert du poste de contrôle PK 12 aux FSI

 

17/03/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 13 mars 2015, a eu lieu la cérémonie de transfert du contrôle du « point kilometrique 12 » (PK 12), situé au nord de Bangui en Centrafrique, entre la force française Sangaris et les forces de sécurité intérieures centrafricaines. Elle était présidée par le général Bellot des Minières, commandant la force Sangaris, en présence du lieutenant-colonel Damengo, directeur général de la gendarmerie nationale de Centrafrique, et de madame Odette Dombolo, maire de Bégoua. 

 

La force Sangaris, qui contrôlait PK12, a transféré l’autorité du site aux forces de sécurité intérieures (FSI) centrafricaines. Situé au nord de la capitale centrafricaine, sur la commune de Bégoua, PK12 est un point stratégique pour l’approvisionnement des commerces de Bangui. Etant un passage obligatoire d’entrée ou de sortie de la capitale, de nombreuses tensions y sont concentrées.  Dès le déploiement de la force Sangaris en Centrafrique, un poste de contrôle fixe y a été installé, afin de contribuer à rétablir la libre circulation de la population et des biens.

 

Ce transfert s’est réalisé progressivement. Les FSI ont d’abord été mises en place, regroupant police et gendarmerie, et en février s’est tenue une réunion tripartite décisive entre les FSI, la Minusca et la force SANGARIS. Les forces de sécurité ont alors repris le contrôle du site, mais des patrouilles conjointes de la Minusca et de la force Sangaris continuent cependant à être assurées afin d’appuyer les FSI, quand elles en expriment le besoin, a précisé le COMANFOR.

 

Le transfert qui s’est opéré au profit des forces de sécurité intérieures (FSI) est révélateur de la montée en puissance de la force armée centrafricaine, car il s’agit d’assurer le contrôle d’un site de sécurité majeur. Le général Bellot des Miniéres a déclaré lors de la cérémonie de rétrocession que « le départ des militaires français marque surtout le retour des forces de sécurité intérieures, formées, aguerries et expérimentées dont la population a besoin pour poursuivre sa marche vers la paix et la réconciliation ».

 

Environ  1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangarisvise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Sangaris : transfert du poste de contrôle PK 12 aux FSI
Sangaris : transfert du poste de contrôle PK 12 aux FSI
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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 12:55
Le baume de la Foi



6/03/2015 Cne Laetitia Perier  - DICOD

 

Le père Danel exerce son activité d’aumônier au sein de l’armée française depuis 2008. Lors de ses séjours sur les théâtres d’opérations, ses capacités d’écoute et d’empathie sont des réconforts essentiels pour les soldats troublés par les épreuves de la guerre.

 

Né un 11 novembre dans un petit village du nord de la France, le père Jean-Jacques Danel pouvait-il échapper à l'univers de la guerre ? Ce qui est sûr, c’est que ses origines familiales le prédisposaient à devenir aumônier militaire. Du côté paternel, des soldats et des pompiers ; du côté maternel, des tantes et des oncles religieux. Pourtant, sa rencontre avec l’armée se fait tardivement, comme son entrée en religion. Il exerce d'abord le métier d'assistant social durant quatre ans. Puis, alors que sa foi s’affirme, il décide d’entrer à 27 ans au séminaire, toujours avec cette volonté d’être au service des autres.

C’est à ce moment que, parallèlement à ses études pour devenir prêtre, il se découvre une passion : l’histoire de l’art. « Je me suis rendu compte que passer par une image était parfois plus simple pour parler de spiritualité qu’un long discours, car l’image parle d’elle-même », explique-t-il. En complément des cours du séminaire, il décide donc de suivre des études dans cette discipline et se spécialise dans le lien entre peinture et spiritualité. Deux sujets en particulier attirent son attention : la peinture de Claude François, plus connu sous le nom de frère Luc, un franciscain du xviie siècle, et les vitraux patriotiques. « Après la Première Guerre mondiale, de nombreux vitraux représentant le Christ, la Vierge ou les saints consolant les blessés sur les champs de bataille ou emmenant les âmes des soldats morts ont été posés dans les églises. Ces représentations sont intéressantes,car elles mêlent mondes militaire et religieux. Derrière chacune d’entre elles, j’ai pu découvrir des histoires familiales touchantes. Un peu comme un gendarme, je mène une enquête pour trouver la petite histoire derrière la grande. »

 

L’aumônier militaire est une des personnes à qui l'on peut se confier, comme le psychologue ou l'assistant social

 

Le baume de la Foi

 

Devenu franciscain après avoir été -ordonné prêtre en 1992, c’est justement dans la gendarmerie que le père Danel prend ses fonctions d’aumônier militaire en 2008. Un souhait qu’il réalise par fidélité à la mémoire de son père, après la mort de ce dernier. « à l’âge de 17 ans, il avait rejoint la France libre et combattu au sein du 4e régiment des tirailleurs tunisiens. Il en était resté profondément militaire. C’était donc une évidence pour moi de reprendre d’une certaine manière le flambeau. » Dans la caserne de Villeneuve-d’Ascq, il découvre son nouveau rôle : « L’aumônier tient une place très particulière dans le monde militaire, il porte un uniforme, mais n’a pas de place dans la hiérarchie, il a un grade, mais, en même temps, il a le grade de celui à qui il parle. C’est une des personnes à qui l'on peut se confier, comme le psychologue ou l’assistant social. On n’est jamais trop nombreux à s’occuper des gens. »

Changement de décor en 2010, direction l’Afghanistan. Sa première opération extérieure est « un choc ». Basé à Kaboul, il se déplace avec casque lourd et gilet pare-balles sur tous les camps où se trouvent des militaires français, découvre une autre armée, officie pour les célébrations religieuses lors des huit décès qui surviennent pendant ses six mois de présence là-bas.

En 2013, il part pour le Mali : l’opération Serval vient d'être déclenchée. Il se partage entre Bamako et Gao. Puis il arrive à Tessalit, où le général Barrera, commandant la composante terrestre de Serval, le demande auprès de ses hommes. « Je n’ai jamais autant ressenti d’attente de la part des militaires, se souvient le père Danel. Très marqués par les combats, ils avaient besoin de parler de ces camarades qu’ils avaient vu mourir ou de ces enfants soldats qu’ils avaient trouvés en face d’eux. Ils se posaient des questions sur le sens de la vie. “Pourquoi suis-je vivant, padre ?”, “Pourquoi moi et pas mon camarade ?”, “Est-ce Dieu qui m’a protégé ?” Là, il faut savoir être à l’écoute et soutenir. » Le général Barrera confirme : « Par sa simplicité, sa foi profonde et sereine et son œil bienveillant, il nous a aidés à surmonter les horreurs de la guerre. Avant les départs au combat, les gars venaient prendre les médailles ou les croix qu’il distribuait volontiers. Ils ressentaient le besoin d’avoir un lien spirituel face à la mort… »Aujourd’hui, le père Danel s’apprête à repartir, en Côte d’Ivoire cette fois-ci. Il y poursuivra sa mission qu’il résume ainsi : « Être aumônier militaire, c'est avant tout être avec. »

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 12:45
Operation BARKHANE, at the heart of the cooperation


17 mars 2015 Journal de la Défense (#JDef)

 

Destination Africa. This month, Le Journal de la Défense (#JDef) takes you deep into the desert, to the heart of Operation Barkhane.
We'll begin in N’Djamena, from where every action is planned. We'll see the important role played by logistics and communications in accomplishing the many missions assigned to the forces of Operation Barkhane. They include the air force detachment based at Kossei, with its squadron of Rafales. Then we'll move on to Niger, to see the drones in action. They are vital to allow the forces to manage such a vast zone of operations. Finally, we'll travel to Mali to see Operation Piana at work on the ground, a symbol of cooperation with the Malian armed forces. In the heat and the dust, we will share the day-to-day lives of the men.

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