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Oct 29, 2015 By Olga Oliker - csis.org/publication/russia-syria
Q: What is Russia trying to accomplish with its military operation in Syria?
A: Russia’s primary goal in Syria is to support the Assad government and help it to stay in power. To do this, Russia, working with Syria and Iran, is targeting groups opposed to Assad. Russia is doing this for several reasons. First, Assad is a long-term friend of Moscow’s. Second, Russia’s position has long been that governments have a right to do what they want within their borders, without foreign interference, including (perhaps especially) putting down opposition movements. Third, Russia truly believes that Assad is Syria’s best hope for stability, and does not see a plausible likelihood of a moderate opposition taking power.
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7 septembre 2015
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06/09/2015 Par Judith Duportail – LeFigaro.fr
Pour le général Jean-Bernard Pinatel, la France ne doit pas intervenir au sol en Syrie mais devrait aider financièrement et logistiquement l'Iran, l'Irak et l'armée d'Assad pour combattre au mieux Daech.
Le Figaro. - Selon Le Monde, François Hollande réfléchirait à frapper Daech en Syrie, et selon un sondage Odoxa pour Le Parisien, 61% des Français sont favorable à une intervention de nos troupes au sol. La France doit-elle intervenir militairement en Syrie?
Jean-Bernard Pinatel* - La France ne doit pas intervenir au sol en Syrie. Nous devons en revanche fournir un appui logistique, technique et financier à ceux qui combattent déjà Daech sur le terrain, comme le font les Russes. Il faut aider les trois pays en première ligne: l'armée syrienne loyaliste, l'Iran et l'Irak. Oui, il s'agit de dictateurs ou de milices mais ils représentent un moindre mal par rapport au mal absolu qu'incarne Daech. D'ailleurs, en laissant entendre qu'il veut combattre Daech en Syrie, c'est le revirement politique auquel Hollande s'est résolu.
Jusqu'alors la France avait choisi de déstabiliser Assad tout en combattant Daech via des frappes aériennes en Irak. Or on ne peut pas jouer sur ces deux tableaux. Il est temps d'abandonner le rêve du Printemps arabe, le rêve d'imposer la démocratie par les armes en faisant tomber Assad. Il doit être notre ami provisoire car il est aussi l'ennemi de notre ennemi absolu. Sur le terrain, les militaires connaissent leur travail. La France doit aider les Etats syriens et irakiens en leur fournissant les systèmes d'armes, le renseignement, la logistique et la formation dont ils ont besoin. Il faut également améliorer l'efficacité des frappes aèriennes en envoyant en première ligne des forces spéciales pour guider les tirs et éviter autant que faire se peut de tuer les civils dont Daech se sert comme bouclier. Evidemment cette action doit être coordonnée avec tous les acteurs intervenant sur ce théatre d'opérations y compris l'Iran et la Russie. De plus, il faut empêcher Daech de renouveler ses ressources.
Suite de l'entretien
19 septembre 2013
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Syria CW sept 2013 source lexpress
WASHINGTON, 19 septembre - RIA Novosti
La Syrie est prête à remettre ses armes chimiques à tout pays qui accepterait de les accueillir, a déclaré le président syrien Bachar el-Assad dans une interview à la chaîne de télévision Fox News.
"Nous sommes prêts à livrer nos armes [chimiques] à tout pays prêt à les accueillir", a souligné M.Assad.
Les chefs de la diplomatie russe et américaine, Sergueï Lavrov et John Kerry, se sont entendus samedi 14 septembre sur la destruction complète des stocks d'armes chimiques de Damas d'ici le milieu de l'année 2014. Cette entente devrait servir de base pour l'adoption d'une résolution du Conseil de sécurité de l'Onu.
L'initiative visant à placer les arsenaux d'armes non conventionnelles de la Syrie sous contrôle de la communauté internationale a été formulée par à Moscou. Son but est d'éviter une intervention armée occidentale dans ce pays proche-oriental.
Le 14 septembre, le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, a reçu l'engagement de Damas de rejoindre la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques. Le 14 octobre prochain, la Syrie deviendra le 190e membre de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques.