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26 février 2018 1 26 /02 /février /2018 08:30
photo Thales

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26.02.2018 Thales Group

 

Australia occupies a unique global position in the air traffic management (ATM) domain. The country’s Air Navigation Service Provider, Airservices Australia, manages the largest airspace in the world, totaling over 11% of the globe. Their ambition is to ensure the seamless integration of all civil and military air traffic over an area totaling 53 million square kilometers, approximately equal to the combined surface of North America, Central America, South America and China.

 

Airservices Australia and the Australian Defence Force have chosen to rely on Thales to achieve this ambition by signing an AUS $1.2bn (€777m) contract for the delivery and deployment of the OneSKY programme. OneSKY is the world’s most advanced civil military airspace integration project and calls for the modernization of the Australian and associated oceanic airspace.

 

OneSKY’s objective is to bring benefits for passengers, airlines and the economy whilst maintaining Australian air sovereignty and safety to citizens, and is a critical part of the national infrastructure necessary to underpin the future economic prosperity of Australia.

 

The ambition of this programme is to enable Australia to safely manage and benefit from the rapid increase in air travel over the next 20 years at a time when airspace management is becoming significantly more complex. OneSKY will leverage Thales’s proven track record in Air Traffic Management systems, dual civil/military interoperability and use the latest digital technologies in the fields of connectivity, big data and AI to improve flight co-ordination, safely increase the use of airspace, optimise air traffic flow and improve the way planes approach the runway. Drawing on its cybersecurity expertise, Thales will ensure the integrity of the connectivity that will drive this interoperability.

 

For passengers the programme will reduce travel times and delays. For airlines, OneSKY seeks to maintain safety levels at increased volumes to enable them to increase their routes, whilst reducing fuel burn and CO2 emissions. The Australian Air Force will benefit from safer co-ordination with civilian air movements, thus helping them accomplish their mission of protecting Australia and its citizens more efficiently.

 

The development and delivery of OneSKY will support over 500 highly skilled, high-tech jobs, of which 450 are in Melbourne as well as a further 50 jobs in similar disciplines in France. To this approximately 200 more jobs will be supported across the entire supply chain in Australia It builds on the long term investment by Thales and comprehensive technology transfer that has brought world-leading R&D in ATM systems to Melbourne.

 

About Thales

The people we all rely on to make the world go round – they rely on Thales. Our customers come to us with big ambitions: to make life better, to keep us safer.

Combining a unique diversity of expertise, talents and cultures, our architects design and deliver extraordinary high technology solutions. Solutions that make tomorrow possible, today. From the bottom of the oceans to the depth of space and cyberspace, we help our customers think smarter and act faster - mastering ever greater complexity and every decisive moment along the way.

With 64,000 employees in 56 countries, Thales reported sales of €14.9 billion in 2016

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 16:50
Aviation: accord à l'ONU pour le suivi satellite des vols civils à l'échelle mondiale

 

11 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Genève - Un accord mondial a été trouvé lors d'une réunion à Genève pour le suivi des vols civils par satellite, afin d'éviter la disparition mystérieuse d'avions comme le MH370 de Malaysia Airlines en mars 2014, a annoncé mercredi l'ONU.

 

Cet accord a été trouvé à la Conférence mondiale des radiocommunications, et concerne l'attribution de fréquences radioélectriques pour le suivi des vols à l'échelle mondiale pour l'aviation civile.

 

Il permettra de repérer les avions partout dans le monde dès 2017, alors qu'aujourd'hui 70% de la surface terrestre (océans, déserts, montagnes) ne permet pas cette surveillance.

 

Le fait d'attribuer des fréquences pour que des stations spatiales puissent recevoir des signaux ADS-B provenant d'aéronefs va permettre d'assurer le suivi des vols en temps réel partout dans le monde, a déclaré François Rancy, directeur des radiocommunications à l'UIT, l'institution spécialisée des Nations unies pour les technologies de l'information et de la communication.

 

C'est toutefois l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), une autre agence de l'ONU basée à Montréal, qui devra ensuite mettre en oeuvre la mesure avec les compagnies aériennes.

 

Très concrètement, les experts réunis à Genève ont décidé d'attribuer la bande de fréquences 1 087,7-1 092,3 MHz au service mobile aéronautique par satellite (Terre vers espace) pour la réception par les satellites stations spatiales des émissions de signaux dits ADS-B (surveillance dépendante automatique en mode diffusion) provenant des émetteurs d'aéronefs, a précisé l'UIT dans un communiqué. L'information sera ensuite renvoyée automatiquement aux stations terrestres en charge du contrôle aérien.

 

Actuellement, cette bande de fréquences est utilisée pour les transmissions de signaux ADS?B depuis des aéronefs vers des stations de Terre en visibilité directe.

 

Cette bande est maintenant attribuée dans le sens Terre vers espace pour les émissions d'aéronefs à destination de satellites. La transmission des signaux ADS-B est ainsi étendue au-delà de la visibilité directe, ce qui permettra de repérer la position des aéronefs munis de dispositifs ADS?B partout dans le monde, y compris au-dessus des zones océaniques et polaires et d'autres zones isolées, explique l'UIT.

 

Cet accord intervient à la suite de la disparition et de la perte tragique du vol MH370 de la Malaysian Airlines assurant la liaison Kuala Lumpur-Pékin en mars 2014 avec 239 personnes à bord, qui avait suscité un débat au niveau international sur le suivi des vols à l'échelle mondiale. A ce jour l'épave de l'avion n'a toujours pas été localisée.

 

Le dispositif pourra être mis en oeuvre dès 2017 si les avions sont équipés de façon appropriée.

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 14:30
Une bombe serait bien en cause dans le crash de l'avion russe

 

08.11.2015 Romandie.com (ats)

 

Les enquêteurs qui mènent les investigations sur l'accident d'un Airbus russe le 31 octobre dernier dans le Sinaï sont "sûrs à 90%" qu'un bruit enregistré par les boîtes noires de l'appareil correspond à l'explosion d'une bombe, selon le comité d'enquête.

Samedi lors d'une conférence de presse, le président du comité d'enquête Ayman al Moukaddam avait déclaré qu'un "bruit" pouvait être entendu dans la dernière seconde de l'enregistrement des conversations dans le cockpit.

Mais il avait estimé qu'il était trop tôt pour en tirer des conclusions. La thèse d'un attentat à la bombe est évoquée depuis plusieurs jours par les services secrets américains et britanniques pour expliquer la destruction de l'Airbus, à bord duquel ont péri 224 passagers et membres d'équipage, russes pour la plupart.

 

Revendication de l'EI

"Les analyses effectuées jusqu'ici sur le bruit sur la boîte noire indiquent qu'il s'agit d'une bombe", a déclaré ce membre du comité d'enquête égyptien, qui a souhaité garder l'anonymat. "Nous sommes sûrs à 90% qu'il s'agit d'une bombe."

Prié d'expliquer quelle peut être l'hypothèse justifiant les 10% manquants, il a répondu: "Je ne peux pas en parler pour le moment.

La branche égyptienne de l'organisation Etat islamique a revendiqué la responsabilité de la destruction de l'appareil, en représailles des frappes de l'aviation russe sur le groupe djihadiste en Syrie.

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7 novembre 2015 6 07 /11 /novembre /2015 18:30
GB: un avion de touristes allant à Charm el-Cheikh est passé près d'un missile en août

 

07 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Londres - Un avion Thomson Airways transportant 189 touristes de Londres à la station balnéaire égyptienne de Charm el-Cheikh est passé, en août dernier, à moins de 300 mètres d'un missile peu avant son atterrissage, ont révélé samedi les médias britanniques.

 

Un porte-parole du gouvernement britannique a confirmé cet incident, affirmant, dans un communiqué, qu'il ne s'agissait pas d'une attaque ciblée mais qu'il était lié à un exercice de routine de l'armée égyptienne.

 

Nous avions enquêté sur l'incident à l'époque des faits et avions conclu qu'il ne s'agissait pas d'une attaque ciblée mais que c'était très probablement lié à des exercices de routine menés par l'armée égyptienne dans la région à l'époque, a indiqué ce porte-parole du gouvernement.

 

Selon une source citée par le Daily Mail, à l'origine de l'information, le copilote était aux commandes au moment des faits mais le pilote était dans le cockpit et a vu le missile venir en direction de l'avion.

 

Il a ordonné que l'avion tourne à gauche pour éviter le missile qui se trouvait à environ 1.000 pieds (300 mètres) de distance, ajoute cette source non identifiée.

 

La compagnie aérienne a également confirmé cet événement, ajoutant que l'enquête menée par le ministère britannique des Transports (DfT) avait à l'époque jugé sûr les vols à destination de la station balnéaire égyptienne.

 

Thomson Airways peut confirmer que l'équipage du vol TOM 476 a fait état d'un événement le 23 août, a indiqué un porte-parole de la compagnie.

 

Après avoir atterri à Charm el-Cheikh, une évaluation initiale a été menée et l'événement a été immédiatement signalé au ministère britannique des Transports (DfT) conformément au protocole établi, a-t-il ajouté.

 

Le DfT a mené une enquête complète en liaison avec d'autres experts du gouvernement britannique, selon la même source.

 

Après étude des détails de ce cas, l'enquête a conclu qu'il n'y avait pas de motif de préoccupation et qu'il était sûr de poursuivre les vols à destination de Charm el-Cheikh, conclut-il.

 

Les pilotes ont effectué des mesures d'évitement et sont parvenus à poser en toute sécurité l'avion, précise la presse britannique, ajoutant que les passagers n'ont pas été informés de l'incident.

 

Mercredi, Londres avait suspendu tous les vols au départ de Charm el-Cheikh et à destination du Royaume-Uni, le Premier ministre David Cameron mettant en avant des inquiétudes sur la sécurité de ces vols après des informations des services de renseignement faisant état de la probabilité qu'un engin explosif ait été à l'origine de l'accident.

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13 octobre 2015 2 13 /10 /octobre /2015 16:50
Buk M1 Missiles

Buk M1 Missiles

 

13.10.2015 45eNord.ca (AFP)
 

L’enquête internationale menée par les Pays-Bas a conclu que le vol MH17 avait été abattu par un missile sol-air de type BUK tiré depuis une zone de l’est de l’Ukraine contrôlée par des rebelles prorusses, une version contestée depuis Moscou.

 

Ces conclusions pourraient exacerber les tensions entre l’Occident et Moscou, déjà délétères en raison du conflit dans l’est de l’Ukraine et sur fond de désaccord sur l’implication de la Russie en Syrie.

«C’était un missile BUK qui a touché la partie supérieure gauche du cockpit avec des milliers de fragments», a déclaré Robby Oehlers, un des proches des 298 victimes, après une réunion à La Haye (ouest) lors de laquelle les familles ont été informées, à huis clos, des résultats de l’enquête.

«Ils nous ont montré les fragments qui étaient à l’intérieur de l’avion», a-t-il ajouté, en amont de la présentation officielle à la presse, qui a débuté à partir de 13 h 15 (7 h 15, heure de Montréal) à la base aérienne de Gilze-Rijen.

Quelques heures avant la publication officielle du rapport sur les causes de l’écrasement par le Bureau d’enquête néerlandais pour la sécurité (OVV), le quotidien néerlandais Volkskrant avait lui aussi rapporté la conclusion sur l’utilisation du missile de fabrication russe.

Citant trois sources «ayant contribué à la finalisation du rapport», le Volkskrant assure que ce dernier contient des cartes montrant plusieurs endroits d’où le missile a pu être tiré, tous situés dans une zone contrôlée par les rebelles.

Le Boeing 777 de la Malaysia Airlines avait été abattu le 17 juillet 2014 dans l’est de l’Ukraine alors qu’il reliait Amsterdam à Kuala Lumpur.

«Ils nous ont dit qu’il y avait 0 % de chances que les gens se trouvant à l’intérieur aient eu conscience de ce qui se passait», a précisé M. Oehlers.

«On voyait de la tristesse dans la salle», a-t-il ajouté au sujet de la réaction des proches : «il n’y avait pas un bruit».

 

«Par erreur»

Le rapport doit déterminer les causes de l’écrasement, mais pas qui a «appuyé sur la gâchette», un élément qui relève de l’enquête pénale.

Pourtant, deux des sources citées par le Volkskrant estiment que les éléments contenus dans le rapport vont dans le sens d’une implication russe. «Je soupçonne une aide de la part de militaires russes», a déclaré l’une d’elles.

«Le BUK a de toute façon été développé et produit en Russie, et on peut partir du principe que les rebelles ne savent pas utiliser eux-mêmes un tel appareil», a ajouté la même source.

L’Ukraine et les États-Unis affirment que l’appareil a été abattu par les séparatistes prorusses grâce à un missile sol-air de type BUK fourni par la Russie.

Selon les analystes, les séparatistes auraient abattu le Boeing 777 «par erreur», pensant avoir pris pour cible un avion militaire ukrainien.

Moscou rejette ces accusations et pointe du doigt les forces ukrainiennes.

 

«Choses étranges»

À Moscou, le fabricant des missiles BUK a rejeté, lors d’une conférence de presse mardi, les conclusions de l’OVV, et ce après avoir réalisé «une expérience» consistant à abattre un vieil avion.

Une «expérience en conditions réelles démentait complètement la version des Néerlandais à propos du type de missile utilisé et de l’endroit depuis lequel il a été tiré», a annoncé lors d’une conférence de presse Ian Novikov, le PDG de Almaz-Anteï.

«C’est assez remarquable qu’ils disent ne pas être d’accord avec un rapport qui n’a pas encore été présenté publiquement», a de son côté commenté le directeur de l’OVV Tjibbe Joustra après avoir présenté le rapport, à huis clos donc, aux familles des victimes.

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov avait déjà affirmé lundi qu’il existait de «nombreuses choses étranges» au sujet de l’enquête, dont le fait qu’elle n’ait pas été menée par l’Organisation de l’aviation civile internationale.

Outre les causes de l’écrasement, le rapport abordera également la longue attente des familles avant de recevoir une confirmation du décès de leurs proches et le survol de zones de conflit par les lignes commerciales.

Les familles des victimes espèrent que le rapport permettra de maintenir la pression pour arrêter et juger les responsables. Lors de la présentation du rapport devant la presse, elles ont pu également examiner la reconstruction partielle de l’avant de l’appareil.

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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 11:50
Pirater le système de contrôle d'un avion, c'est possible selon l'Agence européenne de la sécurité aérienne

 

08 octobre 2015 Par Olivier James –Usine Nouvelle

 

Le directeur de l’Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) s’inquiète des failles des avions en matière de cybersécurité. Un hacker a fait la preuve concrète de cette menace auprès des experts de l’agence.

 

La confirmation est maintenant indiscutable. Le hacker qui avait prétendu avoir piraté un avion de ligne en mai dernier avait pourtant provoqué le scepticisme chez nombre d’experts. Le directeur de l’Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA), Patrick Ky, a levé le doute : "l’aviation est vulnérable à la cybercriminalité". Des propos tenus jeudi 8 octobre, lors d’une rencontre avec l’Association des journalistes de la presse aéronautique et spatiale (AJPAE). Pour soutenir ses dires, Patrick Ky a expliqué en détails comment un hacker en avait fait la preuve formelle… au sein même de l’AESA ! "Nous avons organisé il y a quelques mois une cession sur la cybersécurité au sein de l’agence, raconte Patrick Ky. Un groupe de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) nous a alors assuré que le risque cybernétique état faible. Juste après cette présentation, j’ai fait intervenir un hacker, détenant également une licence de pilote d’avion commercial. En moins de cinq minutes, il est arrivé à entrer dans le réseau d’une compagnie aérienne avec un profil d’administrateur. Il s’agissait du réseau ACARS, le réseau de messageries entre l’avion et le sol".

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 12:40
Hélicoptères Mi-28N

Hélicoptères Mi-28N

 

REGION DE VORONEJ, 26 juillet - RIA Novosti

 

L'armée russe créera 10 régiments et 4 brigades d'aviation ces prochaines années, a annoncé samedi le commandant en chef de l'Armée de l'air russe Viktor Bondarev sur le polygone de Pogonovo, dans la région de Voronej.

 

"Il y aura 14 brigades et régiments dont 10 régiments d'aviation. Nos troupes comptent 10 armées interarmes dont chacune sera dotée d'un régiment d'hélicoptères. Nous avons quatre régions militaires dont chacune sera dotée d'une brigade d'aviation. Cela fait un total de 14 brigades et régiments", a indiqué le commandant Bondarev qui assiste au tournoi international de tir en avion et hélicoptère Aviadarts 2014.

 

Les régiments autonomes d'hélicoptères seront équipés d'hélicoptères Ka-52, Mi-28N, Mi-8MTV-5, Mi-8AMTCh et Mi-26. "Chaque régiment disposera de 66 hélicoptères et chaque brigade aura de 84 à 88 hélicoptères", a précisé le général.

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 13:55
Rafale d’innovations

 

26.06.2014 par CNE Yohan Droit - CESA

 

Le Ministre de la Défense a récemment signé avec les industriels concernés le contrat de développement et d’intégration du standard F3R du Rafale, pour une valeur d’environ 1 Md€. Derrière ce terme plus ou moins barbare de standard F3R se profile l’évolution planifiée des équipements et des performances de cet avion de combat. Cette évolution réalisée par paliers successifs renvoie au concept même de polyvalence du Rafale et à son caractère réellement innovant pour les Armées. Encore faut-il rappeler ce qu’est la polyvalence et indiquer en quoi elle est une innovation majeure.

 

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 11:55
Transall C-160 : 50 ans de bons et loyaux services

 

19 juin 2014 par Philippe Chetail – Aerobuzz.fr

 

A travers des témoignages, Gérard Pons et Hervé Bertrand, deux anciens pilotes de Transall C-160, évoquent 50 années d’opérations de cet avion, du Tchad à la Mauritanie, au Zaïre ou plus récemment au Mali. Cet ouvrage à la gloire de cette machine emblématique des ailes françaises, est illustré par des photos de Gilles Bordes-Pages.

 

C’est le 24 septembre 1964, il y a donc tout juste cinquante ans, que les ministres de la défense, allemand et français, signaient les contrats portant sur 160 commandes (110 pour la RFA et 50 pour la France) d’un nouvel avion de transport destiné à remplacer "La Grise" comme on l’appelait dans l’Armée de l’Air, le célèbre N2501 Noratlas vieillissant.

 

Ce nouvel avion, le C-160 "Transall" avait effectué son premier vol un peu plus d’un an auparavant, le 25 février 1963. Il arrivait donc à point nommé pour équiper les deux pays et, grâce à sa polyvalence, se vit rapidement confier les missions les plus variées.

 

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 16:35
Royal Brunei Air Force signs aviation training contract


18 June 2014 baesystems.com
 

Tamworth, NSW — BAE Systems will continue delivering military aviation training to the Royal Brunei Air Force (RBAirF), with the signing of a contract to train six students across three courses during 2014-15.

 

BAE Systems has been training RBAF pilots since 2009, when two students started basic flying training (BFT). The relationship has deepened, with the RBAF putting students through our other training packages, including basic helicopter, multi-engine and instructor training. During the past five years, RBAF students have graduated from 10 different military aviation courses offered at our Flight Training Tamworth academy in NSW.

The contract was signed on behalf of the RBAF by Air Force Deputy Commander Colonel Hamzah Sahat and the Commanding Officer 63 Sqn, Major Azmie Iskandar Ariffin, who visited Flight Training Tamworth, as well as the Company’s Williamtown, NSW, facility.

The RBAF is one of several international Defence force customers for BAE Systems’ military aviation training at Tamworth. The Company also provides air grading for the Republic of Singapore Air Force, CASA qualification training for the Republic of Singapore flying instructors and flight training for Papua New Guinea Defence Force pilots and flying instructors.

BAE Systems has also delivered flight screening and basic flight training services to the Australian Defence Force (ADF) at Flight Training Tamworth since 1992.

Building on this extensive training capability, BAE Systems has teamed with Beechcraft and CAE in a bid to deliver the Air 5428 project – the ADF’s new pilot training system.

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 07:35
 Islanders (BN-21A) surveillance aircraft

Islanders (BN-21A) surveillance aircraft

Aug. 29, 2013 - By VIVEK RAGHUVANSHI – Defense News

 

NEW DELHI — India is on a global hunt to procure nine medium range maritime reconnaissance (MRMR) aircraft equipped with anti-ship missiles.

 

The tender, worth more than $2 billion, was sent to overseas defense majors Alenia of Italy; US-based Boeing and Lockheed Martin; Saab of Sweden; Germany’s EADS, France-based Dassault; Embraer of Brazil and Bombardier of Canada.

 

The latest global tender is a rebid of tender floated in 2008 to buy six MRMR aircraft. That was withdrawn later because none of the vendors could meet the qualitative requirements of the tender.

 

In the latest tender, the nine MRMR aircraft will replace the Indian Navy’s Islanders (BN-21A) surveillance aircraft, which were used for coastal surveillance for many decades. The Islander aircraft, bought in 1976, will be given to the Coast Guard or could even be gifted to foreign countries,said an Indian Defence Ministry source. India has already donated two Islander aircraft to Myanmar.

 

The MRMR should have an endurance of about four hours and a range of about 400 nautical miles. Indian Navy sources said the range was lowered from the earlier planned range of 500 nautical miles and endurance of six hours. No reason for this dilution is known.

 

The current procurement is in addition to the purchase of 12 long-range maritime reconnaissance aircraft purchased from Boeing on a government-to-government basis for more than $3 billion. Eight P-8I Poseidons were contracted in January 2009 for $2.1 billion and another four P-8Is were contracted last month for more than $1 billion.

 

The latest tender requires the MRMR to be equipped with anti-ship missiles, and is not specific on the supply of anti-submarine missiles, which would require bigger aircraft, said an executive of an overseas company who refused to be identified. In addition, the tender requires the supply of spares along with two engines.

 

The MRMR must be able to perform maritime reconnaissance, anti-surface warfare, electronic intelligence, electronic support measures, communication intelligence, search-and-rescue and medical evacuation.

 

The MRMR aircraft needs to be powered by two engines, which the tender says should be of current production generation and have full authority digital engine control system. The overseas defense company executive said the engine requirement is not very clear as the price of an aircraft could vary on the choice of the engine.

 

On weapons capabilities, the MRMR needs to have detection-and-tracking capability against air targets. The aircraft must also carry and launch at least two anti-ship missiles on surface vessels at ranges of at least 100 kilometers.

 

On its surveillance capabilities, the aircraft should be able to track up to 200 surface targets automatically.

 

The MRMR will be used in tropical conditions prevailing in the Indian Ocean region. As such the aircraft and its engines and all other systems should be optimized for prolonged operations over salt-laden seas.

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