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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 16:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

01/10/2015 CFA – Armée de l’Air

 

La communauté des parachutistes militaires de l’armée de l’air a célébré son 80e anniversaire, vendredi 25 septembre 2015, au centre de préparation opérationnelle du combattant de l’armée de l’air (CPOCAA), sur la base aérienne 115 d’Orange.

 

«A quelques jours de la Saint-Michel, je sais le lien fort qui unit les parachutistes militaires: du militaire du rang au général, tous doivent franchir cette même issue généralement située à l’arrière de l’avion.» C’est en ces termes que le général Serge Soulet, commandant les forces aériennes, s’est adressé à la communauté paras de l’armée de l’air lors de cette journée de festivités. Placée sous le signe du recueillement, de la commémoration et de la fraternité, la cérémonie des 80 ans du parachutisme militaire français a débuté par une célébration religieuse, suivie d’une prise d’armes. L’occasion de retracer l’histoire, à la fois riche et douloureuse, de ces unités de chuteurs opérationnels dont l’origine remonte à 1935, grâce à la ténacité du capitaine Fréderic Geille.

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 15:45
[Barkhane] Convoyage des Mirage 2000C à Niamey


30 sept. 2015 par Armée de l'Air

 

Deux Mirage 2000C de la base aérienne 115 d'orange ont été convoyés vers Niamey, au Niger, pour faire évoluer le dispositif de l'armée de l'air mis en place dans le cadre de l'opération Barkhane. Après le départ d'un des trois Mirage 2000D déjà en place, les deux Mirage 2000C évolueront en patrouilles mixtes avec les deux Mirage 2000D.

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 16:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

01/09/2015 Armée de l'air

 

Le 27 août 2015, le centre de préparation opérationnelle du combattant de l’armée de l’air (CPOCAA) a été inauguré sur la base aérienne 115 d’Orange, en présence du général Antoine Creux, major général de l’armée de l’air (MGAA).

 

Né de la fusion de l’escadron de formation des commandos de l’air (EFCA) de Dijon et du centre de formation militaire élémentaire (CFME) de Saintes, le CPOCAA devient le nouveau centre de formation et de préparation du combattant. Inauguré par de nombreuses autorités civiles et militaires, le CPOCAA devrait accueillir près de 4000 stagiaires par an.

 

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7 juin 2015 7 07 /06 /juin /2015 11:55
L’EH 5/67 « Alpilles » fête ses 40 ans


05/06/2015 Alexandra Milhat / stagiaire au Sirpa Air

 

Cette année célèbre le quarantenaire de l’escadron d’hélicoptères (EH) 5/67 « Alpilles ». Une cérémonie s’est tenue sur le site de la base aérienne 115 d’Orange, le 27 mai 2015.

 

Un escadron aux origines historiques

Présidée par le général Serge Soulet, commandant les forces aériennes, la cérémonie a débuté dans la matinée en présence de nombreuses autorités. Au programme : allocutions du général Soulet et du général Hervé Bertrand, commandant la brigade aérienne d’appui et de projection (BAAP), honneurs au drapeau et remise de médailles. Dans son ordre du jour, le général Soulet est revenu sur l’origine du « Drakkar », l’insigne de l'« Alpilles », directement hérité des traditions de l’escadron d’hélicoptères 1/67, dissous en 1966 à Brem Garten. « Le « Drakkar », choisi poursa symbolique du sauvetage et de l’évacuation sanitaire, représente l’esprit offensif et aventureux, a-t-il souligné. Il constitue également l’un des « plus anciens transports de commandos connus ». 

 

L’EH 5/67 « Alpilles » fête ses 40 ans

Des missions variées pour un bilan imposant

Plus de 83 000 heures de vol depuis sa création, dont 38 000 en mission, 1 300 personnes évacuées (inondations ou sauvetages en mer), ou encore 130 blessés secourus. Ces quelques chiffres constituent le bilan de 40 années de missions de l’EH 5/67. Parmi ses missions principales, l’« Alpilles », participe à la posture permanente de sûreté aérienne. 24h/24, 7 jours/7, l’escadron se tient prêt à mettre en œuvre des mesures actives de sûreté aérienne (MASA). « Nous réalisons la surveillance et la protection des points sensibles tels que les centrales nucléaires, les raffineries, les usines de fabrication de missiles », explique le capitaine B., pilote de Fennec. « Des tireurs d’élite complètent alors l’équipage », ajoute-il. En effet, en cas d’intrusion dans l’espace aérien, ces derniers peuvent être amenés à réaliser menaces coercitives. «Nous réalisons également des missions de recherche et sauvetage (SAR - Search & Rescue), qui consistent à porter assistance à un aéronef perdu ou en difficulté, en collaboration avec la gendarmerie ou la sécurité civile », poursuit le capitaine. Dans ce cas de figure, pilotes, médecin et treuilliste se trouvent à bord.
L’une des missions les plus marquantes fut le sauvetage d’un avion de tourisme, le 30 mars 2006. Le crash au-dessus de Barcelonnette avait fait un mort et un blessé, secouru par l’escadron. « Ce fut un moment incroyable pour l’équipage, précise le pilote, car il est très rare de retrouver des survivants. » (Retrouvez le témoignage du survivant dans la plaquette de l’escadron).

 

Une unité engagée en opérations extérieures

Depuis 2009, l’EH 5/67 assure le détachement hélicoptère de Libreville, mettant ses capacités au service des éléments français au Gabon. L’escadron est également intervenu lors de l’opération Sangaris, en République centrafricaine. Les Fennec assurent de l’appui feu et de l’appui renseignement au profit des troupes au sol. « En Centrafrique, nos actions ont permis de constater si certains groupes étaient armés. On pouvait également observer si des convois, repérés à des endroits précis, avaient du matériel, ou encore si l’itinéraire emprunté par les forces alliées était libre », détaille le capitaine. Le décollage d’un Fennec sous le feu de l’ennemi, à Bangui, capitale de la République centrafricaine, a été vécu comme un grand moment de tension. 

 

Livret EH 40 ans (format pdf, 5 MB).

L’EH 5/67 « Alpilles » fête ses 40 ans
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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 07:55
La compagnie d’intervention « Églantine » s’est entraînée photo T. Champetier - Armée de l'air.jpg

La compagnie d’intervention « Églantine » s’est entraînée photo T. Champetier - Armée de l'air.jpg

 

10/04/2015 Armée de l'air

 

Du 6 au 10 avril 2015, toutes les bases aériennes vivent au rythme de l’exercice Basex.

 

Un entraînement grandeur nature

Réalisé deux fois par an, cet entraînement grandeur nature, dirigé par le commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA), vise à éprouver les aviateurs en condition opérationnelle. Il s’agit de les entraîner à mettre en œuvre, dans des délais très brefs, un ensemble de mesures afin de faire face à un éventail de situations de crise, de menaces ou d’agressions.

Les aviateurs s’exercent individuellement, en pratiquant des exercices de tir, de secourisme, ou en s’entraînant aux techniques d’autodéfense. Ils ont aussi été mobilisés collectivement lors d’incidents injectés à la fois par le CDAOA et par les bases.

 

La base aérienne 115 d’Orange en mode Basex

La base aérienne 115 d’Orange a mis en œuvre divers exercices. Au programme : exercice hydrazine (tester les procédures en cas d’accident ou incident à l’hydrazine en cas d’accueil de F16 par exemple), exercice perte d’objet en vol, ou encore entraînement au tir ISTC (instruction au tir au combat).

L’entraînement Basex est l’occasion de tester la réactivité des aviateurs face à des situations diverses, telles que des intrusions sur piste, des tentatives d’entrée extérieure au sein de la base, ou des déclenchements soudains de l’alarme incendie. Assistée par la gendarmerie mobile d’Orange, la compagnie d’intervention « Églantine » s’est entraînée à réagir rapidement face à une manifestation fictive à l’entrée de la base.

Enfin, la base aérienne 115 d’Orange a été choisie comme support d’un entraînement NRBC (nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique). Les aviateurs devaient réagir à diverses attaques et mettre en œuvre tous les moyens de protection et de secours appropriés.

photos T. Champetier - Armée de l'airphotos T. Champetier - Armée de l'airphotos T. Champetier - Armée de l'air
photos T. Champetier - Armée de l'airphotos T. Champetier - Armée de l'air

photos T. Champetier - Armée de l'air

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 08:55
Visite du CEMA sur la base aérienne d’Orange

 

20/02/2015 Armée de l'air

 

Jeudi 19 février, la base aérienne 115 d’Orange a reçu la visite du chef d’état-major des armées (CEMA) accompagné du chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA).

 

Les généraux Pierre de Villiers (CEMA) et Denis Mercier (CEMAA) se sont rendus sur la base aérienne d’Orange pour découvrir les moyens de mise en œuvre de la posture permanente de sûreté (PPS) aérienne.

 

À cette occasion, ils ont pu visiter la permanence opérationnelle (PO), armée par les Fennec, ainsi que les locaux du futur centre de préparation opérationnelle du combattant de l’armée de l’air (CPOCAA).

 

Lors de cette visite, les deux autorités ont pu également aller à la rencontre des aviateurs présents sur la base aérienne.

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7 février 2015 6 07 /02 /février /2015 12:55
Les tireurs embarqués en campagne de tir MASA dans le Sud-Ouest

 

06/02/2015 Sources : Armée de l'air

 

Embarqués à bord d’hélicoptères Fennec, ils assurent la protection aérienne du territoire français, contribuant à la posture permanente de sûreté (PPS).

 

Du 2 au 4 février 2015, une campagne de tir air-sol organisée au profit des équipes « mesures actives de sûreté aérienne » (MASA) s’est déroulée sur le champ de tir de Captieux (33).

 

Des spécialistes des escadrons de protection des bases aériennes 115 d’Orange et 107 de Villacoublay et du commando parachutiste de l’air n°30 (CPA 30) de Bordeaux participaient à cet exercice, tout comme l’équipage d’un Fennec de l’escadron d’hélicoptère 5/67 « Alpilles ».

 

Cette campagne de tir a permis la reconduction des licences opérationnelles délivrées à une vingtaine de chefs d’équipe et de tireurs embarqués. Chaque équipe MASA a réalisé deux séances de jour, ainsi qu’un tir de nuit, délivrant plusieurs types de munitions (calibre 7,62 mm de fusil HK 417, calibre 12 de fusil à pompe TPS, fusées éclairantes, etc.).

 

365 jours par an, 24 heures sur 24, l’armée de l’air est responsable en toutes circonstances de la défense aérienne du territoire national. S’appuyant sur un dispositif permanent interarmées et interministériel travaillant en réseau (radars, centre national des opérations aériennes), des hélicoptères et des avions de chasse de la permanence opérationnelle (PO) répartis sur l’ensemble de l’Hexagone, se tiennent prêts à décoller à tout moment pour effectuer des missions MASA.

 

Tireurs embarqués lors de la campagne de tir air-sol

Tireurs embarqués lors de la campagne de tir air-sol

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 07:55
Campagne de tir air-sol à Cazaux

 

04/12/2014 Armée de l'air

 

Du 2 au 5 décembre 2014, la base aérienne 120 de Cazaux accueille l’escadron de chasse 2/5 « Île-de-France » d’Orange pour une campagne de tir sur le champ de tir de Captieux.

 

 

Évoluant le plus souvent en patrouille de deux aéronefs, les avions sont prêts à délivrer un panel diversifié d’armements. Avec plus de quatre créneaux de vol par jour, ces missions permettent aux pilotes de se perfectionner au tir air-sol, d’obtenir des qualifications de tireurs et de délivrer de l’armement réel. Reconnaître les cibles, accomplir des passes de tir pour délivrer l’armement, tout en respectant des paramètres très précis de désignation, de pente, de vitesse, le tir air-sol réunit une multitude de phases complexes. « Ces entraînements nous permettent d’emporter un panel d’armements adaptés aux conflits actuels », témoigne un pilote de l’escadron présent lors de cette campagne.

 

Une vingtaine de mécaniciens de l'ESTA « Baronnies » de la base aérienne 115 d’Orange sont également présents pour assurer la mise en œuvre des aéronefs.

 

L’« Île-de-France » assure principalement la formation des pilotes affectés sur Mirage 2000 et participe à la mission permanente de défense aérienne du territoire.

Campagne de tir air-sol à Cazaux
Campagne de tir air-sol à CazauxCampagne de tir air-sol à Cazaux
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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 16:55
Le CEMAA vole sur Mirage 2000B

 

29/07/2014 Armée de l'air

 

Le 17 juillet 2014, le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), a effectué un vol à bord d'un Mirage 2000B de la base aérienne 115 d’Orange.

 

Accueilli par le lieutenant-colonel Gauthier Dewas, commandant l’escadron de chasse 2/5 «Île de France», le général Denis Mercier a réalisé une mission d'entraînement de défense aérienne. Pour préparer ce vol, il a pu bénéficier des compétences des pilotes de l'escadron lors d'une séance de simulateur.

Loin des yeux mais près du cœur, la base aérienne 115 d’Orange est une base familière pour le CEMAA. En effet, entré à l’École de l’air en 1979, il est affecté à l’escadron de chasse 1/5 «Vendée» sur Mirage F1C en 1983. Après un passage par Dijon, il y revient en 1988 au sein de l'escadron de chasse 2/5 «Île de France» sur Mirage 2000 RDI.

 

Plus d’informations sur les missions de l'escadron de chasse 2/5 «Île de France»

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 16:11
Crash d'un Mirage 2000 B


04/08/2014 Armée de l'Air

 

Lundi 4 août 2014, aux environs de 10h00, suite à un problème technique, deux pilotes d’un avion de chasse Mirage 2000 B de l’escadron 2/5  «Ile-de-France» de la base aérienne 115 d’Orange ont été contraints à l’éjection dans la région de Saint-Christol, près de la commune de Viens (84) à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Manosque.

 

Les deux pilotes ont été récupérés et sont indemnes. L’appareil, qui s’est écrasé dans une zone inhabitée, effectuait un vol d’entraînement et n’était pas armé.

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26 mai 2014 1 26 /05 /mai /2014 11:54
Coup de projecteur : moniteur simulateur au CIEH

 

 

22/05/2014 Capitaine Marianne Jeune - Armée de l'air  

 

Le centre d’instruction des équipages d’hélicoptères (CIEH) situé sur la base aérienne 115 d’Orange compte quatre moniteurs sur simulateur. Découverte de ce métier de l’ombre avec un jeune sergent passionné.

 

Il ne porte pas le macaron ailé. Pourtant, il maîtrise les commandes d’un simulateur Fennec comme le ferait un pilote aguerri. À 25 ans à peine, le sergent Kevin Martin est l’un des quatre moniteurs à former et sanctionner la formation des élèves pilotes du CIEH. « Outre quelques cours dispensés au sol, chaque module débute par des séances de simulateur, explique le jeune sergent. Nous sommes alors sollicités, soit en place avant de l’appareil, à côté du stagiaire, soit au pupitre lors de séances plus complexes menées par les instructeurs du centre. Dans chacun des cas, nous sommes amenés à enfiler plusieurs casquettes. » Au CIEH, le petit groupe de moniteur s’amuse d’ailleurs à se comparer à des décathloniens. « Il faut savoir tout maîtriser, mais on ne peut pas être expert en tout ! »

 

Lorsqu’il est au pupitre, le moniteur est le garant de l’interface homme-machine pour le réalisme des missions proposées. Il est le spécialiste de la programmation du simulateur tout en jouant le rôle de différents acteurs avec qui le stagiaire peut être amené à interagir pendant sa mission : de l’hélicoptère leader d’un vol en formation au contrôleur aérien d’un centre de détection et de contrôle, en passant par un avion intercepté lors des mesures actives de sûreté aérienne. « Et nous jouons parfois tous ces acteurs durant une même séance », lance le moniteur. Et d’ajouter : « J’essaie également d’être force de proposition. L’instructeur pilote élabore ses missions conformément au programme de formation, mais on peut proposer des scénarios spécifiques ou ajouter une météo particulière. C’est un travail collaboratif qui fonctionne très bien. »

 

Lors des séances en équipage, le moniteur simulateur est assis en place avant à côté de l’élève. Il faut alors tenir le rôle de copilote tout en menant l’instruction et en vérifiant le travail du stagiaire. Malgré son jeune âge et sa courte expérience, le sergent Martin ne manque pourtant pas de légitimité aux yeux des stagiaires. « La fonction prime sur le grade, explique-t-il. Tout le monde en est conscient. C’est sûr qu’au début ça n’a pas été évident. Mais avec des bases solides et en travaillant bien la documentation, on devient plus à l’aise. »

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 12:55
L'A400M "Ville d’Orléans" survole les Fêtes johanniques

 

15/05/2014 Armée de l'air

 

Jeudi 8 mai 2014, l’A400M Atlas, nouvel avion de transport de l’armée de l’air, a pour la première effectué un survol d’Orléans, à l’occasion des Fêtes johanniques, célébrations annuelles marquant la délivrance de la ville, le 8 mai 1429, par l’armée de Jeanne d’Arc.

 

Au cours de son défilé aérien, l’Atlas baptisé « Ville d’Orléans» était accompagné d’un C130 Hercules de la base aérienne 123 d’Orléans et de deux Mirage 2000C de l’escadrille «Jeanne d’Arc» stationnée sur la base aérienne 115 d’Orange.

 

Au même moment, le colonel Lionel Poirot, commandant en second la base aérienne orléanaise, emmenait plus de 500 militaires de toutes les armées à travers les rues de la ville, dans un défilé à pied, à cheval et à moteur.

 

Officiellement réceptionné par l’armée de l’air en 2013, l’A400M Atlas est actuellement en phase d’expérimentation sur la base aérienne 123 d’Orléans. Deux appareils, baptisés «Ville de Toulouse» et «Ville d’Orléans», équipent à ce jour les forces.

L'A400M "Ville d’Orléans" survole les Fêtes johanniques
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