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20 janvier 2016 3 20 /01 /janvier /2016 17:55
La BA 118 de Mont-de-Marsan a accueilli l’ensemble des staffs des équipes masculines et féminines de jeunes de rugby à VII et à XV le jeudi 14 janvier. - photo Armée de l'air

La BA 118 de Mont-de-Marsan a accueilli l’ensemble des staffs des équipes masculines et féminines de jeunes de rugby à VII et à XV le jeudi 14 janvier. - photo Armée de l'air

 

1 9/01/2016 Armée de l'air

 

À l'invitation du comité départemental de rugby des Landes, la direction technique nationale de la fédération française de rugby (FFR) a organisé du 12 au 15 janvier 2016 sur la base aérienne (BA) 118 de Mont-de Marsan un séminaire de travail.

 

La BA 118 de Mont-de Marsan, sur laquelle avait eu lieu le dernier stage de préparation du XV de France militaire  avant la coupe du monde militaire de rugby en septembre dernier, a accueilli l’ensemble des staffs des équipes masculines et féminines de jeunes de rugby à VII et à XV le jeudi 14 janvier. Mené par Didier Retière, directeur technique national, le séminaire de travail avait pour objet le renouvellement des projets de jeu des équipes de France de rugby.

 

Ces séances de réflexion ont été suivies d’une conférence du colonel Daniel, pilote de chasse et rugbyman, qui a comparé les exigences du métier de pilote de chasse à celles du métier de joueur de rugby de haut niveau.

 

Enfin, le régiment de chasse 2/30 « Normandie-Niémen » et l’escadron de soutien technique aéronautique 15.030 « Chalosse » avaient préparé la visite d’un Rafale, qui a ravi l’assistance.

Conférence du colonel Daniel, qui compare les exigences du métier de pilote de chasse, à celles du métier de joueur de rugby de haut niveau - photo Armée de l'air

Conférence du colonel Daniel, qui compare les exigences du métier de pilote de chasse, à celles du métier de joueur de rugby de haut niveau - photo Armée de l'air

Didier Retière, directeur technique national de rugby.- photo Armée de l'air

Didier Retière, directeur technique national de rugby.- photo Armée de l'air

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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 17:50
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

06/01/2016 Armée de l'air

 

Du 30 novembre au 11 décembre 2015, la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan a accueilli cinq F16 belges de Florennes.

 

En collaboration avec les Rafale du régiment de chasse 2/30 « Normandie-Niémen » et de l’escadron de chasse et d’expérimentation 5/330 « Côte d’argent », les F16 belges ont participé à des missions aériennes et d’entraînement au CAS (Close Air Support : appui aérien rapproché) dans les zones de combat de Mont-de-Marsan.

 

Ces missions ont été réalisées dans le cadre d’« Eurofight », accord signé entre nations alliées (Belgique, Espagne, Italie, et Allemagne).

photo Armée de l'Air
photo Armée de l'Air

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 17:55
photo Baudouin Frippiat - MIL.be

photo Baudouin Frippiat - MIL.be

 

13/12/2015 Texte : Vincent Maniet – MIL.be

 

Un détachement comprenant cinq F-16 et une cinquantaine de personnes du 2 Wing Tactique de Florennes se déployait sur la Base Aérienne 118 (BA 118) de Mont-de-Marsan du 30 novembre au 11 décembre 2015.

 

Ce déploiement planifié dans un délai très court répond à une opportunité d'entraînement mutuel dans le cadre de l'European Air Group (EAG). Ce groupe, dont l'état-major restreint est basé à High Wycombe au Royaume-Uni, ne possède pas de forces préaffectées et ne constitue donc pas une force multinationale à proprement parler. Il favorise par ailleurs la coopération, la standardisation et l'entraînement entre les forces aériennes des pays membres qui le constitue. L'EAG comprend le Royaume-Uni, la France, l'Italie, l'Allemagne, les Pays-Bas, l'Espagne et la Belgique.

photo Baudouin Frippiat - MIL.be

photo Baudouin Frippiat - MIL.be

L'EAG a élaboré un Technical Arrangement (TA) EUROFIGHT en 2000, ratifié depuis par tous ses Etats membres et qui permet à ceux-ci de s'entraîner mutuellement. Ceci, en particulier dans le domaine Air-to-Air, de façon flexible et en déployant des avions pour une période définie sur l'une des bases aériennes des pays membres. Dans ce contexte, les cinq F-16 du 2 Wing Tactique déployés sur la base de Mont-de-Marsan s'entraînent à des missions aux profils divers et variés (Dissimilar Air Combat Training (DACT), Mixed Force Fighter Operations (MFFO), etc.) avec les Rafales de l' Escadron (Régiment) de chasse 2/30 Normandie-Niemen ainsi qu'avec les avions de l'Escadron de chasse et d'expérimentation 5/330 Côte d'Argent stationnés sur la Base BA 118.

 

Par ailleurs, des Mirage 2000D de la base de Nancy (BA 133), des Mirage 2000-5 de la base de Luxeuil (BA 116) ainsi que des Alpha-Jet de la base de Cazaux (BA 120) participent également aux missions qui se déroulent dans les zones de travail de l'Armée de l'Air française. La compatibilité et la mise en commun des données de restitution après vol, développées en outre par l'EAG, permettent d'optimaliser au maximum les débriefings entre les équipages et de mieux exercer l'interopérabilité entre nos deux forces aériennes. Cette mission n'est pas sans rappeler la même qualité d'entraînement que lors des nombreuses périodes ACMI (Air Combat Maneuvering Instrumentation) de la Composante Air sur la base RAF Waddington au Royaume-Uni dans les années 1990 et 2000.

 

Malgré les délais de préavis très courts avant le déploiement, la qualité de l'accueil et du soutien de la base de Mont-de-Marsan sont à mettre à l'honneur car ils ont grandement contribué au succès de cette mission.

photo Baudouin Frippiat - MIL.be

photo Baudouin Frippiat - MIL.be

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 17:35
Des parachutistes médaillées aux JMME 2015 en Corée du Sud

 

21/10/2015 Armée de l'air

 

Le capitaine Estelle Chavary de la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan (CEAM) a été récompensée d’une belle médaille de bronze en combiné des nations par équipe lors des 6e Jeux mondiaux militaires organisés en Corée du Sud du 2 au 11 octobre 2015.

 

Ambassadrice de choix, engagée au sein de l’équipe de France féminine militaire de parachutisme, elle concourait en précision d’atterrissage. Ses quatre marques à 0 centimètres, appelées « carreaux » dans le jargon parachutiste, ont largement contribué à la réussite de son équipe qui termine sur la troisième marche du podium derrière les équipes chinoises et les russes.

 

Ce titre vient s’ajouter à ceux déjà obtenus par l’équipe parachutiste de présentation et de compétition de l’armée de l’air (EPPCAA) au cours de cette année 2015.

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13 octobre 2015 2 13 /10 /octobre /2015 07:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

12/10/2015 Armée de l'air

 

Le 8 octobre 2015, le général André Lanata, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA) a réalisé sa première visite officielle sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan.

 

Le chef d’état-major de l’armée de l’air l’avait annoncé : « J’irai à la rencontre du personnel de l’armée de l’air ». Deux semaines après sa prise de fonction officielle, c’est chose faite. Le général Lanata a commencé son parcours des bases aériennes. Sur la plateforme landaise, le CEMAA est allé au contact des aviateurs de la 30e escadre, du régiment de chasse 2/30 « Normandie-Niemen » et du centre d’expertise aérienne militaire. Sans oublier les unités « protection défense », avec l’escadron de protection et la brigade de la gendarmerie de l’air. « La protection de la base est l’affaire de tous », a-t-il souligné.

 

Dans un deuxième temps, le général Lanata a souhaité s’entretenir avec l’ensemble des acteurs de la condition du personnel convié à une table ronde. À cette occasion, le nouveau CEMAA a confirmé son intention de poursuivre le plan « Unis pour Faire Face » initié par son prédécesseur, le général Denis Mercier.

photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 21:55
Monsieur Jean-François Lamour, député de Paris

Monsieur Jean-François Lamour, député de Paris

 

05/10/2015 Sources : Commandement des forces aériennes - Armée de l'air

 

À l’occasion d’une journée consacrée au niveau de soutien opérationnel (NSO), la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan a accueilli une délégation d’experts et d’ambassadeurs de la Défense au sein de la 30e escadre de chasse. Focus sur une journée riche en enseignements et en émotions.

 

Jeudi 1er octobre, le régiment de chasse 2/30 « Normandie-Niemen » et l’escadron de soutien technique aéronautique 2E.118 « Chalosse » ont reçu M. Jean-François Lamour, député de Paris, et Mme Marie Récalde, député de Gironde, dans le cadre de leurs travaux sur la Défense. Accompagnés d’une délégation du réseau ADER, les participants ont assisté à une présentation du fonctionnement du NSO par le général Patrice Boisjot, commandant la brigade aérienne des systèmes d’armes et de la logistique du commandement des forces aériennes.

 

La journée a ensuite permis à chacun de découvrir les compétences spécifiques des mécaniciens aéronautiques de l’armée de l’air : dépose moteur, changement de configuration d’armement, tests hydrauliques, intervention sur siège éjectable, travaux sur cellule avion... Les démonstrations des savoir-faire en matière de soutien opérationnel de divers niveaux (NTI1 et NTI2) ont suscité de nombreux échanges et ainsi valorisé le travail précieux des mécaniciens de l’armée de l’air. À l’occasion d’un départ d’une patrouille de Rafale, les deux députés ont également pu partager le quotidien des « pistards » et prendre la mesure de la responsabilité qui leur incombe. Par ailleurs, cet exercice a mis en exergue la synergie équipage/mécanicien, concrétisée au travers des escadres nouvellement créées.

 

Madame Marie Récalde, député de Gironde

Madame Marie Récalde, député de Gironde

Le NSO, kezako ?

La maîtrise d’œuvre du maintien en condition opérationnelle est regroupée en deux volets : le niveau de soutien opérationnel (NSO), assuré par les forces aériennes, et le niveau de soutien industriel (NSI), confié aux industriels privés ou étatiques. Le NSO comprend la mise en œuvre des équipements aéronautiques, ainsi que quelques opérations légères de régénération de potentiel. Ce niveau de soutien est assuré quotidiennement, notamment sur les théâtres d’opérations extérieures, par le personnel mécanicien de l’armée de l’air.

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28 septembre 2015 1 28 /09 /septembre /2015 17:55
Le CEAM présente l'ESTA (Escadron de Soutien Technique Aéronautique)


28 sept. 2015 par CEAM

 

Clip de présentation de l'Escadron de Soutien Technique Aéronautique de la base aérienne 118 de Mont de Marsan

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 16:55
Création du centre d’expertise aérienne militaire

 

03/09/2015 Armée de l'air

 

Le 1er septembre 2015, le CEAM est officiellement devenu le centre d’expertise aérienne militaire (anciennement appelé le centre d’expériences aériennes militaires), sous la présidence du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA).

 

Cette nouvelle appellation s’inscrit dans la volonté de l’armée de l’air de développer un centre de guerre aérienne (Air Warfare Center) et de concentrer ses experts autour des trois piliers constitutifs d’une capacité opérationnelle de première ligne : la doctrine, les équipements et l’expertise tactique du combattant.

 

Composé de 25 unités et de 700 experts, le CEAM rassemble tous les métiers de l’armée de l’air sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Il dispose également d’expertises technico-opérationnelles très élevées. En devenant le centre d’expertise aérienne, le CEAM devient le centre d’innovation de l’armée de l’air, où se construiront les capacités opérationnelles futures de l’institution.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 16:55
Il y a dix ans : dernier vol du Mirage IV

 

29/06/2015 Armée de l'air

 

Le 23 juin 2005, le Mirage IV P n°59 de l’escadron de renseignement stratégique (ERS) 1/91 « Gascogne », se posait pour la dernière fois sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan, pour son retrait de service.

 

Lancé le 28 novembre 1956 par la société Dassault, le programme Mirage IV s’est concrétisé par le vol d’un premier prototype de chasseur bombardier bimoteur baptisé Mirage IV 01, le 17 juin 1969.

Deux ans plus tard, le 12 octobre 1961, le premier Mirage IV A prenait les airs, ouvrant une lignée de 4 prototypes et de 62 appareils de série.

En 1995, il fait partie des cinq avions maintenus en état de vol pour effectuer des missions de reconnaissance à longue distance et de guerre électronique. L’appareil, de 33 tonnes au décollage, vole à deux fois la vitesse du son à 18 000 mètres d’altitude, la capacité de ravitaillement en vol l’amenant à la portée de tous ses objectifs.

 

Le commandant Eric Pintat, aux commandes de l’appareil et chef des opérations de l’escadron « Gascogne »,  le lieutenant-colonel René Dupré, commandant en second de l’unité, et tout l’équipage, comptaient plus de 5500 heures de vol sur cet appareil.

Désormais exposé sur la base aérienne 110 de Creil, le Mirage IV P n°59 rappelle à tous les aviateurs son rôle essentiel dans la transfiguration de l’armée de l’air dans les années 1960. Fruit de la volonté affirmée des plus hautes instances de l’Etat, il marque l’accession de la France au rang de puissance nucléaire. 

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 14:50
Échange entre des militaires français et des inspecteurs de l'OSCE - Adc A. Gazzano / UFV

Échange entre des militaires français et des inspecteurs de l'OSCE - Adc A. Gazzano / UFV

 

17/04/2015 Domenico Morano  - Direction :  DICOD

 

Du 13 au 17 avril 2015, 33 délégués de 21 pays membres de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) se sont donné rendez-vous sur les emprises militaires de Mont-de-Marsan et de Tarbes.

 

Organisée par les ministères de la Défense et des Affaires étrangères et du développement international, une visite d’inspection, réalisée par 33 délégués de 21 pays membres de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), a eu lieu sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan et au 1er régiment de hussards parachutistes, à Tarbes, du 13 au 17 avril.

 

Cette visite s’effectue conformément au document de Vienne de 2011 de l’OSCE, qui a pour but de mettre en œuvre des mesures de confiance et de sécurité entre les pays participants. Les délégués ont ainsi pu observer les militaires français dans leurs activités quotidiennes, ainsi que tous les types de matériel présents sur les sites, dont l’avion Rafale, le Véhicule haute mobilité (sur le camp de Ger) et les différents moyens d’entraînement.

 

Cette inspection souligne l’intérêt que la France accorde au maintien d’un système qui contribue à la sécurité et à la stabilité du continent. Elle a aussi permis de constater le rôle de l’Hexagone dans la maîtrise des armements conventionnels, ainsi que sa volonté de faire preuve d’une totale transparence dans l’application des accords internationaux en la matière.

 

Dans le cadre du document de Vienne, chaque État participant doté d’unités aériennes de combat doit organiser au moins une visite de base et une autre d’installation militaire par période de cinq ans. De plus, chaque État participant qui déploie un nouveau type de système d’armes et d’équipement d’importance majeure doit organiser une démonstration de ce matériel.

Présentation du Rafale aux représentants de l'OSCE - Adc A. Gazzano / UFV

Présentation du Rafale aux représentants de l'OSCE - Adc A. Gazzano / UFV

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 11:55
Les généraux Pierre de Villiers et Denis Mercier - photo B. hennequin / Armée de l'Air

Les généraux Pierre de Villiers et Denis Mercier - photo B. hennequin / Armée de l'Air

 

03/04/2015  Actus Air

 

Mardi 31 mars 2015, le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, s’est rendu pour la première fois, sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Accompagné du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, il a découvert cette plateforme aéronautique unique, qui abrite des unités phares de l’armée de l’air. Parmi ces entités : le centre d’expériences aériennes militaires (CEAM), l'escadron de défense sol-air, le régiment de chasse 2/30 « Normandie-Niemen » ou encore l'escadron de soutien technique aéronautique « Chalosse »

 

Présentation du nouveau CEAM…

En cours de refonte, le CEAM s’apprête à fusionner avec le centre tactique air (CENTAC air) sous un commandement unique, pour devenir le centre d’expertise aérienne militaire. Ce nouveau centre aura pour objectif de fédérer l’ensemble des expertises rares de l’armée de l’air, de cultiver l’esprit d’innovation, de favoriser une meilleure prise en compte du retour d’expérience et de contribuer aux doctrines de niveau interarmées. Le chef d’état-major des armées s’est vu présenter ce futur centre de guerre aérienne, et a estimé que « sa montée en puissance constitue une illustration de sa volonté d’appréhender les réformes en cours. »

 

 

photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

… et de certaines de ses unités

L’innovation était au cœur de la visite. Ainsi, le lieutenant-colonel Damien Gadiou, commandant l’escadron de chasse et d’expérimentation 5/330 « Côte d’argent » a présenté la salle de formation « jumelles de vision nocturne », et le commandant Emmanuel Canu, commandant le centre d’expertise et d’instruction des liaisons de données tactiques (CEILDT) a mis en avant les outils connectés d’aide à la décision et à la définition (OCAD 2). À cette occasion, le général Mercier a rappelé que « les liaisons de données tactiques sont une révolution technologique. Le CEILDT est donc une pépite pour l’armée de l’air. »

 

Rencontre avec les aviateurs de la base aérienne 118

 

Le général de Villiers et le général Mercier ont également rencontré des aviateurs et civils de la défense de la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Ils ont visité l’escadron de soutien technique aéronautique « Chalosse », le régiment de chasse 2/30 « Normandie-Niemen », le centre d’instruction du contrôle et de la défense aérienne 00/910 et l’escadron de défense sol-air 12/950 « Tursan ». « Je suis heureux de me rendre sur le terrain, d’observer comment cela se passe et d’en connaître les difficultés, leur a confié le chef d’état-major des armées. Comme je le dis à chaque fois, on ne fera pas mieux avec moins, mais je sais que la vraie richesse de nos armées c’est vous. »

photo B. hennequin / Armée de l'Airphoto B. hennequin / Armée de l'Air

photo B. hennequin / Armée de l'Air

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 20:55
Les hélicoptères du 5e RHC en action

 

18/01/2015 Armée de Terre

 

Du 13 au 16 janvier, lors d’un entraînement interarmes baptisé AFRICAN TIGER, le 5e régiment d’hélicoptère de combat (5e RHC) s’est exercé avec la 11e brigade parachutiste, la base aérienne 118 et la base aéronautique de Lann-Bihoué.

 

Il s’inscrivait dans une préparation opérationnelle en vue d'un déploiement des équipages Tigre dans la bande sahélo-saharienne. Organisé dans les zones d’entraînement du 5e RHC, il a permis de réaliser des missions élaborées sur le retour d’expérience des pilotes des escadrilles d’hélicoptères d’appui-protection (EHAP) de l’opération BARKHANE.

 

Outre la qualité des scénarios ultra-réalistes, « AFRICAN TIGER » permet de confronter des cultures différentes, où chaque protagoniste apporte son vécu opérationnel notamment lors des briefings et débriefings. Ce type d’exercice a vu le jour avant la première projection en Afghanistan du TIGRE en juillet 2007. Il est aujourd’hui devenu incontournable pour éprouver les équipages lors de leur mise en condition avant projection (MCP). L’entraînement dure une semaine et est reconduit avant chaque départ des équipages des EHAP qui sont en auto-relève sur le théâtre malien.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 16:55
L’exercice « Serpentex » bat son plein à Mont-de-Marsan

 

30 sept. 2014 Armée de l'Air

 

Référence dans le domaine de l’appui aérien, l’exercice « Serpentex » s’est délocalisé cette année sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Du 15 septembre au 3 octobre 2014, les contrôleurs aériens avancés (FAC - Forward Air Controller) et les équipages s'exercent sur un nouveau terrain. Présentation de leurs missions par le lieutenant-colonel Olivier Aribaud, directeur de l’exercice

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27 septembre 2014 6 27 /09 /septembre /2014 13:50
Un Rafale pendant l'exercice "Mace" en Slovaquie

Un Rafale pendant l'exercice "Mace" en Slovaquie

 

26/09/2014 Sources : CEAM

 

Du mercredi 24 au mardi 30 septembre 2014, des aviateurs de la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan participent à la campagne d’expérimentation « Mace XVI », en Slovaquie.

 

Ces spécialistes proviennent de l’escadron de chasse et d’expérimentation (ECE) 5/330 « Côte d’Argent » et de l’escadron de programmation et d’instruction de guerre électronique (EPIGE) 7/330.

 

Un laboratoire grandeur nature

 

Organisée par l’OTAN, « Mace » est une campagne de guerre électronique centrée sur le spectre électromagnétique. Grâce à la mise en place d’un « laboratoire » aérien, cet événement permet d’améliorer l’autoprotection des aéronefs de l’Alliance, ainsi que les techniques offensives face à une défense sol-air ennemie. Après l’analyse de la menace et des résultats en vol, tous les acteurs profitent de recommandations, diffusées par l’OTAN, sur les mécanismes d’évitement des conduites de tir.

 

« Humble together »

 

À cette occasion, l’ECE retrouve le 1st Fighter Squadron de l’armée de l’air slovaque, membre comme le « Côte d’Argent » de la Nato Tiger Association. Les aviateurs français sont également amenés à évoluer aux côtés de l’US Navy, de l’armée de l’air espagnole et de l’armée de l’air suédoise. Ensemble, les chasseurs font face à des systèmes de défense sol-air SA-10 B Grumble, SA-6 Gainful et SA-18 Grouse de fabrication russe.

 

Un enjeu stratégique

 

Au-delà des expérimentations, « Mace XVI » permet à l’armée de l’air d’entretenir sa capacité à pénétrer en premier dans un environnement aérien non-permissif, au-dessus d’un théâtre d’opérations fortement défendu. L’apport technico-opérationnel du centre d’expériences aériennes militaire (CEAM) participe à l’élaboration des dernières tactiques employées par les forces. Deux types de fiche de vol servent de base de travail aux expérimentateurs. Les premières concernent les vols de calibration, servant de référence aux analystes. Elles ont été élaborées par les spécialistes de l’EPIGE, en fonction des caractéristiques des systèmes français. Les secondes concernent l’expérimentation et la validation de tactiques nouvelles ou affinées.

 

L’environnement réaliste de cette campagne convient particulièrement à la mise au point opérationnelle, par les équipes du CEAM, des matériels et équipements dont sont dotées les forces.

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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 16:55
Top départ de l’exercice Serpentex 2014


15/09/2014 Armée de l'Air

 

Du 15 septembre au 3 octobre 2014, l’exercice « Serpentex » est organisé depuis la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Historiquement réalisé depuis la base aérienne 126 de Solenzara, il est pour la première fois mené à partir de la plateforme landaise.

 

Une évolution dans l’emploi

« Serpentex » était à l’origine une activité dédiée à la mise en condition du personnel projeté sur le théâtre afghan. Il s’est imposé au fil du temps comme une référence en Europe dans le domaine de l’appui aérien. Depuis 2013, l’exercice a même évolué prenant en compte les enseignements des dernières opérations (Harmattan, Serval) afin de mettre en œuvre de nouveaux modes d’action.

Une implantation stratégique

« Serpentex » va bénéficier, grâce à sa délocalisation à Mont-de-Marsan, d’un environnement plus riche. En effet, les forces aériennes déployées pourront profiter du soutien des unités du centre d’expériences aériennes militaires (CEAM), et s’entraîner sur le champ de tir de Captieux. L’exercice pourra également s’exprimer dans un contexte interarmées grâce à l’implantation voisine de plusieurs garnisons.

Une activité intense

Le volet aérien verra la participation de quatre nations : les Anglais, les Italiens, les Espagnols et les Français. Sous la cocarde bleu-blanc-rouge seront mobilisés Rafale, Mirage 2000D, Mirage 2000N, Transall, Casa, Puma, Caracal, Fennec, Atlantic 2 ainsi qu’un E-3F et le drone Harfang depuis leurs bases respectives (Avord et Cognac). Du côté du contrôle aérien avancé (FAC – Forward Air Controller), l’exercice « Serpentex » regroupera pas moins de neuf nations.

Top départ de l’exercice Serpentex 2014
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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 11:17
Le Mirage F1 passe le relais à Mont-de-Marsan

 

17/06/2014 CNE Karim Djemai - Armée de l'air

 

Après 40 ans de bons et loyaux services passés dans l’armée de l’air, le Mirage F1 a tiré sa révérence, vendredi 13 juin 2014, sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan.

 

Les aviateurs - pilotes, mécaniciens, personnel de soutien - ayant servi sur cet avion de chasse mythique étaient conviés sur la base montoise, en présence également de leurs proches. « Ce fut un grand honneur d’accueillir les membres de la famille du Mirage F1, estime le lieutenant-colonel Benjamin Souberbielle, commandant l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie », dernière unité évoluant à bord de Mirage F1. Le fait qu’autant d’Anciens du F1 se soient déplacés suscite aussi beaucoup de fierté. C’est un avion unique qui a profondément marqué plusieurs générations d’aviateurs. »

 

Tout au long de la journée, la grande famille du Mirage F1 a pris beaucoup de joie à se retrouver. Les accolades entre figures familières se sont succédé, tout comme les récits d’anecdotes et de souvenirs partagés.

 

Cette journée riche en émotions a débuté par une cérémonie militaire présidée par le général Antoine Creux, major-général de l’armée de l’air, également ancien pilote de Mirage F1. Pour saluer l’action décisive de l’escadron 2/33 « Savoie » dans les premières heures de l’opération Serval au Mali, le général Creux a décoré son fanion de la Croix de la Valeur militaire avec étoile d’argent, avec citation à l’ordre de la division aérienne. « De l’opération Manta à Serval au Mali, de l’Afghanistan à l’ex-Yougoslavie : l’escadron 2/33 « Savoie » s’est distingué sur tous les fronts », a également déclaré le major-général.

 

Plus tard dans l’après-midi, les principales formations acrobatiques de l’armée de l’air ont ponctué cet événement de démonstrations aériennes. Pour l’occasion, une patrouille de deux Mirage F1 était associée au programme. Les Carol Hotel, nom donné à cette patrouille éphémère, ont réalisé une présentation tactique de l’appareil.

 

Dans le même temps, un espace dédié aux traditions était installé dans un hangar de maintenance de la base aérienne montoise. De nombreuses pièces rares (photos, cahiers de marches, fanions, écussons) étaient regroupées, revenant sur les 40 ans du Mirage F1 et plus largement, sur les 100 ans de la mission de reconnaissance aérienne. Une exposition photographique réunissant une centaine de clichés d’époque avait également été installée pour l’occasion.

 

En clôture de cette journée exceptionnelle, une dernière soirée réunissant les Anciens du Mirage F1 était organisée en présence du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air. « Plutôt qu’un discours officiel, je voudrais vous livrer quelques impressions qui ont émaillé ma carrière sur ce fabuleux avion qu’est le Mirage F1, a confié le général Mercier à une assistance émue. J’ai un excellent souvenir de mon premier vol sur F1 C à l’escadron de chasse 1/5 « Vendée ». À l’époque, empli de fierté, je m’étais dit : « çà y est, j’y suis arrivé » (…). Aujourd’hui, avec la modernisation de la flotte des avions de combat, le temps est venu pour le Mirage F1 de passer le relais. »

 

La polyvalence des équipages de Mirage F1, ayant pris part à tous les conflits majeurs de ces 40 dernières années, a également été une dernière fois saluée.

 

Après deux dernières représentations de la Patrouille Carol Hotel ( Cazaux les 21 et 22 juin, puis Nancy, les 5 et 6 juillet), le Mirage F1 effectuera un dernier survol de Paris, à l’occasion du défilé aérien du 14 juillet.

 

Ce sera l’ultime occasion d’admirer, en vol, la ligne en flèche de cet avion de chasse racé.

Le Mirage F1 passe le relais à Mont-de-MarsanLe Mirage F1 passe le relais à Mont-de-Marsan
Le Mirage F1 passe le relais à Mont-de-Marsan
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5 mai 2014 1 05 /05 /mai /2014 05:55
Un Rafale porte assistance à un avion de ligne en panne de radio

Rafale F3 aux couleurs de l'escadron de chasse EC 2/30 «Normandie-Niemen» - photo Alexandre Paringaux

 

4 mai 2014 45e Nord.ca (AFP)

 

Un Rafale a porté assistance dimanche après-midi à un avion de ligne en panne de radio, le passage en mode supersonique de l’avion de chasse déclenchant une forte détonation entendue de la région bordelaise jusqu’à La Rochelle, a-t-on appris de sources concordantes.

 

Le Rafale a décollé de la base aérienne BA-118 de Mont-de-Marsan (Landes), car le contact radio était perdu avec un Boeing qui s’écartait légèrement de sa trajectoire, selon la BA-118 et le Service d’information de l’armée de l’Air (Sirpa-Air).

 

Il s’agirait d’un avion de la compagnie américaine United Airlines. Selon le Sirpa-Air, l’appareil effectuait un vol entre Rome et Washington.

 

Afin de rejoindre le plus vite possible l’avion de ligne, le Rafale est passé en mode supersonique, précise-t-on à la BA-118. Selon le Sirpa-Air, l’avion de chasse se trouvait à une altitude de 35.000 pieds (environ 10.000 mètres) et à une centaine de km au sud de Bordeaux lorsque le mur du son a été franchi.

 

Selon les pompiers de Gironde et de Charente-Maritime, la forte détonation a suscité de multiples appels de particuliers inquiets.

 

Le Rafale a rejoint l’avion de ligne entre La Roche-sur-Yon (Vendée) et Nantes (Loire-Atlantique) où le contact radio a été rétabli. L’appareil a alors repris sa trajectoire.

 

Lors de ce type de procédure, le chasseur se positionne au plus près de l’avion de ligne, à sa gauche car c’est là que se situe le commandant de bord. Un dialogue s’engage alors avec un système international de signes pour identifier le problème, selon une source militaire.

 

C’est une intervention normale qui a été menée dimanche, comme nous en faisons plusieurs dizaines par an, a précisé le Sirpa-Air. L’armée de l’air en a effectué environ 70 en 2013.

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