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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 14:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air



3 oct. 2015 par Armée de l'Air

 

Grâce à sa capacité d'être ravitaillé en vol, l'E-3F est capable de réaliser des missions pouvant atteindre 17 heures de vol. Engagé dans toutes les opérations extérieures majeures, l'AWACS est tout simplement incontournable. Un dossier complet à retrouver dans le prochain numéro d'Air actualités.

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16 mars 2015 1 16 /03 /mars /2015 12:55
Projet MRTT - Plan Unis pour "Faire Face"


13 mars 2015 Armée de l'Air

 

Dans le cadre du plan stratégique Unis pour "Faire Face", le colonel Tantet est chef du projet MRTT. Il évoque l'arrivée dans les forces aériennes françaises de l'Airbus A330, surnommé "Phénix". Il est aussi question de l'impact sur le personnel et les infrastructures qui accueilleront le remplaçant à terme du Boeing C135.

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23 décembre 2014 2 23 /12 /décembre /2014 15:46
Opération Barkhane : mise en place des infrastructures C135 par le GAAO sur le DETAIR de Niamey

 

23/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Depuis début décembre 2014, le groupement aérien d’appui aux opérations (GAAO) œuvre sur le détachement air (DETAIR) de Niamey, dans le cadre de la mise en place du plot C135. Il assure les travaux de réaménagement du DETAIR et notamment l’installation des infrastructures destinées à accueillir le détachement du groupement de ravitaillement en vol.

 

Sur le plan logistique, Niamey se situe au cœur du dispositif routier et aérien de la force Barkhane. Dans le cadre de la montée en puissance du DETAIR de Niamey, qui compte déjà un détachement drones, un détachement chasse et un groupement de transport opérationnel, la plateforme se prépare à accueillir prochainement le Boeing ravitailleur C135. Afin de répondre aux besoins de ce futur détachement, le GAAO a procédé à la mise en place de plusieurs bungalows qui serviront de bureaux au détachement C135, et de deux hangars de stockage.

 

Depuis novembre 2012, un détachement de militaires de la brigade aérienne d’appui à la manœuvre aérienne est déployé à Niamey afin d’assurer l’appui au déploiement opérationnel des unités. Le GAAO a notamment procédé à la mise en place d’infrastructures verticales(protections, clôtures, structures metalo-textiles, hangar avion et bungalows), en coopération avec le groupement aérien des installations aéronautiques, responsable de l’approvisionnement des matériels d’infrastructures spécifiques.

 

La mission principale du GAAO consiste à réaliser les infrastructures opérationnelles initiales, nécessaires au déploiement d’un dispositif aérien sur un théâtre d’opération extérieur. Il est en mesure d’agir en autonomie complète, sur court préavis, avec une capacité d’autoprotection.

 

Expert en matière de projection et d’appui opérationnel, le GAAO s’est illustré dès le début de l’opération, en assurant les capacités de déploiement de la force Barkhane.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

Opération Barkhane : mise en place des infrastructures C135 par le GAAO sur le DETAIR de NiameyOpération Barkhane : mise en place des infrastructures C135 par le GAAO sur le DETAIR de Niamey
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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 12:45
Tchad : Relève des Rafale et Boeing C-135

 

 

28/04/2014 Sources : EMA

 

Le 12 avril 2014, sur la plateforme de N’Djaména, les pilotes et les avions (Rafale) du détachement de chasse en mission depuis deux mois et un C-135 ravitailleur, en mission depuis un mois au Tchad, ont été relevés.

 

Durant quelques heures, les personnels du soutien technique se sont relayés pour configurer les avions. Ce détachement, comme son prédécesseur, participera de jour comme de nuit, à des missions d’appui feu et de renseignement au profit des opérations Serval au Tchad et au Mali, et Sangaris en Centrafrique.

 

Le JFACC AFCO (Joint Force Air Component Command – Afrique Centrale et de l’Ouest) contrôle, depuis la base aérienne 942 à Lyon-Mont-Verdun, tous les moyens aériens français dans la sous-région (Tchad, Sénégal, Mali, Niger, Gabon, RCA), hormis les moyens des détachements de l’aviation légère de l’armée de terre.

Tchad : Relève des Rafale et Boeing C-135
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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 11:55
L’île de la Réunion accueille pour la première fois le Rafale

 

23/04/2014 Armée de l'air

 

Pour la première fois depuis sa mise en service opérationnel, le Rafale a volé dans le ciel réunionnais. En effet, dans le cadre d’un entraînement aux missions à longue élongation des forces aériennes stratégiques (FAS), le détachement air 181 « Lieutenant Roland Garros » de Saint-Denis de la Réunion accueille, du 22 au 25 avril, un C135 du groupe de ravitaillement en vol (GRV) 2/91 « Bretagne », stationné sur la base aérienne (BA)125 d’Istres (13 – Bouches-du-Rhône), et deux Rafale B de l’escadron de chasse (EC) 1/91 « Gascogne », stationné sur la BA 113 de Saint-Dizier (52 – Haute-Marne).

 

L’ensemble du dispositif, qui a décollé d’Istres à 5 heures du matin, s’est posé, mardi 22 avril en milieu d’après-midi, à Saint-Denis après 10 heures 35 de vol pour les Rafale (et cinq ravitaillements) et 11 heures pour le C 135. Une quarantaine de personnes du commandement des forces aériennes stratégiques, de l’EC 1/91 « Gascogne », du GRV 2/91 « Bretagne » et des escadrons de soutien technique aéronautique 15.007 de Saint-Dizier et spécialisé 15.093 d’Istres constituent le détachement.

 

Cette opération a plus précisément pour objectif l’entretien des qualifications des équipages à exécuter des missions de très longue durée. Elle démontre l’aptitude des FAS à intervenir en tout lieu. La fonction ravitaillement en vol, assurée par le C135FR, permet aux avions de combat de l’armée de l’air et alliés, ainsi qu’aux avions radar « Awacs » de réaliser leurs missions à des milliers de kilomètres de leur base. Systématiquement impliqués dans les opérations extérieures, les C135, bien que vieillissants, placent la France en nation leader au sein de l’Europe pour cette capacité indispensable à toute intervention. Ce modèle français du ravitailleur Boeing permet également les missions de transport stratégique de fret comme de passagers. Equipés du module Morphée, ils assurent dans des délais très brefs des missions d’évacuation sanitaire de blessés graves.

 

La présence sur l’île de la Réunion de ces appareils sera l’occasion pour les deux Rafale B de mener, dans l’après-midi du mercredi 23 avril, un exercice interarmées d’appui-feu (dit de Close Air Support) au profit du 2ème régiment parachutiste d’infanterie de marine, stationné à Saint-Pierre, au sud de l’île. En effet, les moyens des FAS ne sont pas uniquement dédiés aux frappes nucléaires et peuvent tout aussi bien être affectés à la réalisation de missions conventionnelles. Ainsi, le Rafale comme le Mirage 2000N peuvent emporter des armements classiques et guidés laser et les équipages s’entraînent au quotidien aux missions conventionnelles sur le territoire national et hors métropole en participant à de nombreux exercices interalliés (Canada, Brésil, Egypte…). En outre, les équipages du « Gascogne » assurent régulièrement la permanence opérationnelle dans le cadre de la posture permanente de sûreté aérienne.

 

Le même jour, dans la matinée, la présence des appareils aura été l’occasion d’une présentation des missions de l’armée de l’air et des forces aériennes stratégiques aux autorités civiles et militaires locales, aux associations, réservistes dans le cadre de la journée nationale du réserviste (JNR) et aux jeunes concernés par la journée défense du citoyen (JDC).

 

À noter que si la piste du détachement air 181 est habituée à l’atterrissage de gros porteurs civils et militaires, elle n’a pas accueilli d’avions de chasse depuis dix ans, les derniers à être venus poser leurs roues sur l’Ile Bourbon étant des Mirage IV des FAS en 2004.

 

Les appareils reprendront leur vol à destination de la métropole dans la nuit du jeudi 24 au vendredi 25 avril.

 

Pour mémoire, les forces aériennes stratégiques assurent depuis 1964 la permanence opérationnelle de la composante aéroportée de la dissuasion nucléaire française. Cette mission, ininterrompue depuis 50 ans, positionne ce commandement comme la première composante permettant au président de la République de garantir en toutes circonstances la liberté d’appréciation, de décision et d’action de la France dans le cadre de ces responsabilités internationales.

L’île de la Réunion accueille pour la première fois le Rafale
L’île de la Réunion accueille pour la première fois le Rafale
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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 12:45
Tchad : Focus sur le ravitaillement en vol depuis un C-135

 

01/04/2014 Sources EMA

 

Le 21 mars 2014, le détachement C-135 présent à N’Djaména a effectué une mission de ravitaillement en vol au profit de deux Rafale engagés en opération au-dessus du territoire tchadien.

 

5h00 : salle des opérations du détachement d’aviation de chasse de la plateforme Épervier. Les quatre membres d’équipage du C-135 terminent le briefing préalable à la mission en rappelant les objectifs, l’itinéraire, la météo, les fréquences radio ou encore les éléments de rejointe avec les chasseurs.

6h45 : après la prise en compte de l’appareil et les vérifications techniques d’usage (système électrique, hydraulique, carburant, réacteur), le pilote, le co-pilote, le navigateur et l’opérateur de ravitaillement en vol (ORV) sont à bord, prêts à décoller. La tour de contrôle autorise le décollage, les moteurs sont mis en route et l’avion commence à rouler pour se positionner en bout de piste.

7h00 : le C-135 décolle. En quelques minutes, il atteint une vitesse de croisière d’environ 280 nœuds, soit plus de 500 km/h. Le contact radio avec les avions à ravitailler est établi. 

7h50 : « Les chasseurs sont à l’approche », annonce l’ORV, plus communément appelé le « Boomer », aux autres membres d’équipage. Deux méthodes de ravitaillement en vol sont alors possibles : la première se fait à partir de la perche centrale qui se situe à l’arrière de l’avion. Cette perche rigide rétractable se termine par un tuyau souple et un « panier entonnoir » dans lequel l’avion ravitaillé vient placer sa propre perche de ravitaillement. L’ORV, depuis sa cabine située sous l’appareil, juste en arrière de la base de la perche, commande l’opération.

La seconde méthode de ravitaillement est effectuée depuis les nacelles situées aux extrémités des ailes de l’avion. Depuis ces deux nacelles, des tuyaux souples, terminés par un « panier » stabilisé aéro-dynamiquement, sont déroulées afin que les avions puissent venir se ravitailler.

Pour cette action, le « Boomer » est en cabine avec le reste de l’équipage. Il effectue le ravitaillement à l’aide de petites caméras implantées dans l’avion qui lui permettent de surveiller la livraison de carburant et de s’assurer de la sécurité des chasseurs. Cette technique est plus aisée pour les avions de chasse et permet surtout de ravitailler deux appareils simultanément. Ce qui était le cas pour ce vol.

7h55 : Le décompte commence : « Cinq mètres, quatre, trois, deux, un contact ! » Les perches de ravitaillement des deux Rafale sont connectées aux paniers de ravitaillement. En quelques minutes, près de dix tonnes de kérosène sont délivrées.

12h30 : Après trois séquences de ravitaillement en vol, l’équipage prend contact avec la tour de contrôle de N’Djamena. L’approche débute et l’avion se pose sur la piste de la base aérienne 172. La mission est terminée.

Un avion de chasse dispose d’une autonomie d’environ deux heures de vol. Cette autonomie peut être étendue grâce au ravitaillement en vol. Les C-135, souvent comparés à des « stations-service volantes », sont indispensables et permettent aux autres aéronefs de pouvoir effectuer des missions avec une élongation plus importante.

Les avions déployés à N’Djamena œuvrent au profit des opérations Serval au Mali, Epervier au Tchad, et Sangaris en RCA. Leurs missions sont coordonnées par le JFACC AFCO.

Le JFACC AFCO (Joint Force Air Component Command – Commandement de la composante air de la force interarmées de l’Afrique centrale et de l’ouest) contrôle tous les moyens aériens dans la sous-région (Tchad, Sénégal, Mali, Niger, Gabon, RCA) hormis les moyens des détachements de l’aviation légère de l’armée de terre (ALAT) ainsi que les aéronefs des forces spéciales. Réorganisé dès le début de l’opération Serval pour faire face à l’accroissement du volume des moyens aériens engagés, le JFACC AFCO est déployé sur deux sites : d’une part, la base aérienne 942 à Lyon-Mont-Verdun, pour le commandement et la planification, d’autre part, la base aérienne 172 de N’Djamena pour la conduite.

Les militaires de la force Épervier assurent deux missions permanentes : ils apportent un soutien aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes, conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad et sont en mesure de garantir, si nécessaire, la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad.

Sources : EMA

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 23:30
Tchad : relève des Mirage 2000 D et Boeing C-135 du JFACC AFCO

 

14/03/2014 Sources : EMA

 

Le 11 mars 2014, le détachement chasse du JFACC AFCO (Joint Force Air Component Command – Commandement de la composante air de la force interarmées – de l’Afrique centrale et de l’ouest) a été relevé.

 

Les pilotes et avions des 3 Mirage 2000 D du détachement de chasse et un Boeing C-135 ravitailleur en mission depuis fin décembre, ont été relevés par des équipages et des aéronefs en provenance de Nancy (Mirage 2000) et Istres (C135).

 

Ce détachement, comme son prédécesseur, participera de jour comme de nuit, à des missions d’appui feu et renseignement au profit des opérations Epervier au Tchad, Sangaris en Centrafrique, et Serval au Mali.

 

Au cours des semaines à venir, les pilotes nouvellement arrivés sur le théâtre africain devront se familiariser avec les différentes plateformes aéroportuaires (PFA) de la région qui sont susceptibles de les accueillir durant leur mission. Ils sont alors considérés comme pleinement opérationnels et aptes à agir sous l’autorité du JFACC AFCO.

 

Le JFACC AFCO contrôle tous les moyens aériens dans la sous-région (Tchad, Sénégal, Mali, Niger, Gabon, RCA) hormis les moyens des détachements de l’aviation légère de l’armée de terre ainsi que les aéronefs des forces spéciales. Réorganisé dès le début de l’opération Serval pour faire face à l’accroissement des moyens aériens engagés, le JFACC AFCO est déployé sur deux sites : d’une part, la base aérienne 942 à Lyon-Mont-Verdun pour le commandement et la planification, d’autre part, la base aérienne 172 de N’Djaména pour la conduite.

Tchad : relève des Mirage 2000 D et Boeing C-135 du JFACC AFCO
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