Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
7 septembre 2016 3 07 /09 /septembre /2016 12:55
H145M, Tiger & H225M Caracal in action

7 sept. 2016 by Airbus HC

 

H145M, Tiger & H225M Caracal in action

The H225M Caracal is a heavy, modern and combat-proven platform able to perform the widest range of missions from special operations to combat search and rescue, tactical transport, medical evacuation as well as a large spectrum of maritime missions.

The Tiger is designed to perform armed reconnaissance, air or ground escort, air-to-air combat, ground firing support, destruction and anti-tank warfare, day or night and in adverse conditions.

Certified in 2015, the H145M is the latest member of the Airbus Helicopters 4-ton-class twin-engine rotorcraft product range – with built-in mission capability and flexibility, especially in high-and-hot operating conditions. In its military version, this economical and versatile helicopter covers the entire spectrum of military missions, from light utility to light attack.

Partager cet article
Repost0
6 décembre 2015 7 06 /12 /décembre /2015 19:55
photo Marine nationale

photo Marine nationale

 

04/12/2015 Sources : Marine nationale

 

Dans le cadre de sa remontée en puissance, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre retrouve sa fonction de porte-hélicoptères d’assaut, au cours d’une intense campagne d’appontages. Du 30 novembre au 4 décembre 2015, cette campagne se déroule au bénéfice des pilotes du 3ème Régiment d’Hélicoptères de Combat (3ème RHC) d’Etain et du 4ème Régiment d’Hélicoptères des Forces Spéciales (4ème RHFS) de Pau, mais également au profit des équipes aviation du bord, pleinement mobilisées.

 

«Ces exercices à bord du BPC nous permettent d’effectuer des posés délicats. L’atmosphère maritime fournit moins de repères pour les pilotes, notamment la nuit où ils peuvent être soumis à des illusions sensorielles» explique le chef de détachement du 4ème RHFS. « Nous devons être en mesure de projeter des pilotes opérationnels tout au long de l’année» confie un capitaine du 4ème RHFS.

 

De jour comme de nuit, les marins du bord et les pilotes travaillent conjointement pour permettre aux pilotes de se qualifier sur des hélicoptères de manœuvre et d’assaut de type Puma, de reconnaissance et d’attaque de type Gazelle, d’attaque de type Tigre, et les Caracal des forces spéciales.

 

Touch and go (TAG), ship control approach (SCA), depuis le contrôle aérien assuré par le CTAC (contrôleur tactique) jusqu’au dialogue entre les pilotes et la cabine aviation dans le circuit, c’est une organisation bien rodée qui se met en œuvre. Compte tenu des spécificités de l’aéronautique, la vigilance et la maîtrise des risques sont rappelées à chaque instant : un entraînement réussi est un entraînement conduit en sécurité.

 

Comme toute plate-forme navale, celle du BPC comporte ses contraintes, notamment les risques liés aux coactivités et à la sécurité aéronautique qui sont particulièrement sensibles sur une plate-forme avec six spots de mise en œuvre.

 

Le professionnalisme des équipes du pont ( chiens jaunes», «PONEV» et «SECU») du Tonnerre passe aussi par la tradition d’accueil à bord: la bonne connaissance mutuelle, le partage et l’ouverture d’esprit font partie des conditions à réunir pour la pleine réussite de la mission.

Cette semaine de préparation opérationnelle vise à renforcer l’interopérabilité des forces, et à familiariser les pilotes avec l’environnement maritime.

 

Pour le chef de détachement du 4ème RHFS  les objectifs sont atteints à 100%.»

photo Marine nationale

photo Marine nationale

Partager cet article
Repost0
8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 18:45
Opération Barkhane: First Operational Helicopter Refueling

The French air force has carried out its first operational in-flight refueling of a helicopter when a US Marine Corps KC-130 tanker refueled a French AF Caracal in Africa. France currently lacks suitable tankers of its own. (French AF photo)

 

Nov 8, 2015 defense-aerospace.com

(Source: French air force; issued Nov 6, 2015)

 

In late October, a Caracal helicopter belonging to the 1/67 "Pyrénées" squadron detached to N'Djamena (Chad) was refueled in flight by an American C-130 Hercules.

The vastness of the Sahel desert, and the long distances involved, are a major logistical challenge for the airmobile force that is continuously supporting the troops deployed on combat operations on the ground. In-flight refueling of helicopters overcomes much of this constraint.

Operated to transport supplies and maintenance personnel, Caracal now offers the airmobile component the benefit of a longer operational range. This in-flight refueling by an American C-130 opens up new possibilities in terms of planning and conducting operations.

The airmobile component of the Barkhane Force has 17 helicopters, spread over bases in Gao, N'Djamena and Madama. Over 5,000 flight hours have been logged on missions to support and assist the deployment of combat forces throughout the Sahel-Saharan strip.

photo Armée de f'AIr

photo Armée de f'AIr

Partager cet article
Repost0
5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 20:45
photo EMA

photo EMA

 

05/11/2015 Sources : État-major des armées

 

À la fin du mois d’octobre 2015, l’escadron d’hélicoptères 01.067 « Pyrénées » qui arme le détachement de N’Djamena a effectué un ravitaillement en vol d’un Caracal par un C130 Hercules américain. Ce premier ravitaillement en vol réalisé en opération extérieure ouvre ainsi les portes à de nouvelles possibilités en termes de planification et conduite des opérations.

 

En effet, dans l’immensité du désert du Sahel, les élongations constituent un défi majeur logistique pour la force aéromobile qui vient sans discontinuer appuyer les troupes engagées au sol. Le ravitaillement en vol des hélicoptères permet de s’affranchir de cette contrainte.

Le déplacement des hélicoptères et le soutien logistique apporté constituent une manœuvre complexe dans une zone aussi grande à couvrir. Le ravitaillement en vol, conjugué au transport de fret et des mécaniciens, offre désormais à la composante aéromobile une allonge beaucoup plus importante. Le domaine d’intervention des hélicoptères est alors démultiplié et ne rencontre plus d’autres limites que les capacités physiologiques de l’équipage et les contraintes météorologiques.

La composante aéromobile de la force Barkhane dispose de 17 hélicoptères répartis sur les bases de Gao, N’Djaména et Madama. 5 000 heures de vol ont été effectuées permettant d’appuyer et de compléter l’engagement de la force sur l’ensemble de la bande sahélo-saharienne.

L’opération Barkhane regroupe 3 500 militaires dont la mission, avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA

photo EMA

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 07:50
Le Caracal sur le stand Airbus à MSPO 2015 photo Airbus HC

Le Caracal sur le stand Airbus à MSPO 2015 photo Airbus HC

 

29/09/15 lesechos.fr ( Reuters)

 

GLIWICE, Pologne - La Pologne ne signera probablement pas avant les élections législatives du 25 octobre un contrat de trois milliards de dollars (2,7 milliards d'euros) avec Airbus Helicopters sur la fourniture de 50 hélicoptères à l'armée polonaise, a déclaré mardi le vice-Premier ministre, Janusz Piechocinski.

 

Favori du scrutin, le parti d'opposition Droit et Justice (PiS) a prévenu lundi qu'il bloquerait la signature de ce contrat s'il parvenait au pouvoir.

 

Antoni Macierewicz, vice-président du PiS, juge l'hélicoptère H225M Caracal d'Airbus dépassé et il ajoute que l'industrie de la défense polonaise ne tirera aucun profit de ce marché parce qu'elle en perdra des emplois.

 

"De mon point de vue, il est impossible que ce contrat (..) soit préparé dans le mois qui nous sépare des élections", a dit à Reuters Janusz Piechocinski, qui est également ministre de l'Economie, faisant référence à la partie du marché qui est négociée par son ministère.

 

PiS a dit à plusieurs reprises qu'il souhaiterait voir le contrat attribué à des sociétés qui produisent localement.

 

Le ministère polonais de la Défense avait choisi en avril de négocier avec la filiale d'Airbus Group pour ce contrat, au détriment de l'américain Sikorsky et de l'italien AgustaWestland.

 

Ces derniers ont implanté des sites en Pologne.

 

Airbus Helicopters avait dit en avril qu'il comptait embaucher directement 1.250 personnes en Pologne d'ici 2020 et créer en outre 2.000 emplois dans le secteur en lien avec ce marché.

 

Airbus n'a pas répond aux sollicitations de commentaires dans l'immédiat.

 

Le gouvernement polonais, dominé par le parti Plateforme civique (PO) depuis 2007, s'est lancé dans un vaste programme de modernisation de l'armée nationale.

 

A partir de 2016, la première économie d'Europe de l'est, veut porter le budget de la Défense à 2% du PIB contre 1,95% garanti actuellement.

Partager cet article
Repost0
27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 16:50
Airbus HC joue une partie très, très serrée en Pologne

Airbus Helicopters compte équiper l'armée polonaise avec des Caracal (H225) (Crédits : Airbus Helicopters/Anthony Pecchi)

 

27/08/2015 Par Michel Cabirol  - LaTribune.fr

 

Sélectionné par Varsovie pour l'acquisition de 50 hélicoptères de transport militaire de type Caracal, Airbus Helicopters est sous la menace d'un changement de majorité faute d'avoir conclu les négociations plus tôt. Les élections législatives polonaises sont prévues fin octobre.

 

En Pologne, la partie s'annonce de plus en plus serrée pour Airbus Helicopters. Après avoir été sélectionné en avril par Varsovie, qui veut acquérir 50 hélicoptères de transport militaire, le constructeur de Marignane, qui propose le Caracal, est plus que jamais sous la menace d'un changement de majorité en Pologne à l'issue des élections législatives prévues le 25 octobre.

En avril, le ministère polonais de la Défense avait choisi d'entrer en négociations exclusives avec la division hélicoptères d'Airbus Group pour ce contrat de 50 hélicoptères H225M de type Caracal, évalué à 3 milliards de dollars (2,6 milliards d'euros), au détriment de l'américain Sikorsky et de l'italien AugustaWestland.

 

Le PiS hostile à Airbus Helicopters

En mai dernier, les Polonais, à la surprise générale, avaient déjà élu à la présidence le député européen du parti conservateur et populiste Droit et Justice (PiS), Andrzej Duda, avec 51,55% des voix. Et, début août, les sondages donnaient le PiS, parti qui s'affiche sur une ligne atlantiste et pas franchement francophile, largement en tête des élections législatives face au parti libéral, actuellement au pouvoir. Les très nombreuses déclarations des responsables du PiS hostiles à Airbus Helicopters ne sont pas de nature à rassurer le patron du constructeur de Marignane, Guillaume Faury.

"Il y avait trois offres, dont deux étaient excellentes (avec des machines) produites en Pologne. Et une troisième. Pour l'instant, il n'y a pas de décisions finales, attendons donc de voir. Cet appel d'offres soulève beaucoup de doutes et des questions se posent", a déclaré lors d'un point de presse la candidate du PiS, Beata Szydlo, qui pourrait devenir Premier ministre. "Laissons au gouvernement actuel la responsabilité de l'appel d'offres", a-t-elle ajouté, en réponse à une question sur une éventuelle remise en cause de l'appel d'offres par son gouvernement. Elle s'exprimait dans une usine d'AgustaWestland à Swidnik, dans l'est de la Pologne.

Une déclaration ferme qui est pourtant interprétée par le camp français comme des propos moins négatifs que ceux tenus régulièrement par Andrzej Duda. Durant sa campagne, il a très souvent attaqué le contrat passé avec Airbus Helicopters pour l'achat de 50 hélicoptères par l'armée polonaise. Le PiS estime que cela se fait au détriment d'entreprises basées en Pologne.

 

Les négociations ont traîné en longueur

Certains observateurs, à la fin du printemps, estimaient  probable une signature du contrat fin août, début septembre. Ce n'est plus aujourd'hui le cas. Il n'y aura donc ni annonce ni cérémonie de signature au moment du MSPO, le salon de l'armement de Kielce, qui ouvre ses portes le 1er septembre. La faute aux négociations entre le ministère de la Défense polonais et Airbus Helicopters qui ont traîné en longueur et qui "avancent doucement". Elle butent d'ailleurs encore sur deux, trois points, dont notamment le prix unitaire par appareil. Un classique... Mais rien qui inquiète les négociateurs.

Une fois la négociation conclue avec le ministère de la Défense, Airbus Helicopters n'en a toutefois pas encore terminé. Le constructeur de Marignane devra aussi négocier avec le ministère de l'Economie les offsets prévus dans le cadre de l'appel d'offres. Du coup, "la longueur des négociations a repoussé les échéances", constate un proche du dossier. Il reste encore du travail pour parvenir à la signature de ce contrat très important pour Airbus Helicopters, qui a un besoin urgent de remplir son carnet de commandes de gros appareils militaires.

 

Une signature avant ou après les élections législatives ?

Quand sera signé le contrat? Avant ou après les élections? A vrai dire, personne ne peut le prévoir. A priori, le contrat sera prêt après les élections, estime-t-on. Mais certains tablent sur une signature en deux temps - avant et après les élections - de façon à responsabiliser la nouvelle majorité à un contrat très important sur le plan opérationnel pour l'armée polonaise qui a besoin de ces appareils. Soit le contrat pour les 50 hélicoptères puis celui sur le volet logistique, centre de maintenance technique à Lodz, formation.

Dans un entretien accordé récemment au journal "Dziennik-Gazeta Prawna", le vice-ministre de la Défense Czeslaw Mroczek espère que les négociations aboutiront fin août et que le contrat sera signé en octobre, selon les prévisions les plus optimistes, au plus tard en décembre 2015. Les responsables politiques -qu'ils appartiennent au Parti libéral ou au PiS- doivent prendre en considération en premier lieu les besoins de l'armée  polonaise, a-t-il estimé.

"On ne peut pas annuler cet appel d'offres purement et simplement. Il faut présenter des motifs juridiques valables d'une telle décision. Il faut aussi prendre en considération le fait qu'à la suite de l'annulation du contrat, l'armée ne disposera pas du matériel dont elle a réellement besoin", selon le vice-ministre de la Défense.

 

Le Caracal et le Tigre présentés à MSPO

En attendant une signature, Airbus Helicopters sera très présent à MSPO. Le constructeur, qui va faire des démonstrations du Tigre et du Caracal à la presse polonaise dès jeudi à Varsovie , présente les deux appareils au salon de Kielce. Ce dernier participera à la compétition baptisée Kruk (corbeau en polonais), qui porte sur l'acquisition de 32 hélicoptères de combat. Un appel d'offre doit être prochainement lancée par Varsovie. Une demande d'information (RFI) a déjà été envoyée à la plupart des constructeurs. "La compétition va être féroce", estime un observateur.

Fin avril, le Pdg du constructeur d'hélicoptères, Guillaume Faury, avait déclaré prévoir 1.250 embauches directes et la création de 2.000 emplois supplémentaires en Pologne d'ici à 2020 dans le cadre du contrat. Airbus Helicopters a proposé de fabriquer les 19 premiers hélicoptères du contrat en France et de les livrer à la Pologne à partir de 2017 pour tenir le calendrier de livraison exigé par l'appel d'offre. Les 31 suivants seront assemblés en Pologne à partir de 2018. Enfin, conformément à son engagement de fabriquer 50 Caracal en Pologne, Airbus Helicopters assemblera 19 appareils gagnés à l'export.

Fin mai, le Caracal, utilisé par les forces spéciales françaises, a passé avec succès des tests militaires en Pologne, en préalable à l'ouverture de négociations officielles prévues pour durer trois mois.

Partager cet article
Repost0
6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 06:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

04/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 16 et 17 juin 2015 le détachement d’hélicoptères de la base de N’Djamena, constitué de deux appareils de type EC 725 Caracal, a mis à profit deux vols au-dessus du Tchad pour conduire un exercice de maintien en condition opérationnelle des équipages de search and rescue (SAR) dans le cadre de ses missions de soutien et d’appui à la force Barkhane.

 

Doté d’une équipe de 6 commandos de l’Air issus du CPA (commando parachutiste de l’Air) 20, le détachement Caracal basé à N’Djamena assure les alertes de récupération de personnel isolé et d’évacuation sanitaire au profit de la force Barkhane au Tchad.

 

De leur côté, 36 militaires œuvrent à l’emploi et l’entretien des deux hélicoptères, de jour comme de nuit, prêtant une attention toute particulière au maintien en condition opérationnelle des machines et des capacités du détachement : les manœuvres sont répétées, les réactions coordonnées et les gestes maîtrisés.

 

Une dépose de commandos en zone hostile, un largage de colis ou encore la récupération d’un personnel isolé sur le théâtre d’opérations sont autant de missions auxquelles le détachement Caracal doit pouvoir faire face sur court préavis.

 

Les capacités d’appui feu, de ravitaillement, de transport de troupes et de fret, mais également de renseignement, font du Caracal un outil incontournable de la force Barkhane.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
13 juin 2015 6 13 /06 /juin /2015 11:30
photo  Airbus HC  Anthony Pecchi

photo Airbus HC Anthony Pecchi


11.06.2015 par Aerobuzz.fr
 

Le Président de la République française s’est entretenu le 10 juin avec l’Emir du Koweït qui « a exprimé le souhait du gouvernement koweïtien d’équiper les forces aériennes de son pays de 24 hélicoptères lourds de type Caracal  » produits par Airbus Helicopters. « Le contrat sera signé dans les meilleurs délais en présence du ministre de la Défense français, M. Jean-Yves le Drian, et de son homologue Cheikh Khaled Al Jarrah Al Sabah », a précisé l’Elysée. Cette annonce de la présidence de la République fait suite au voyage à Koweit City du ministre français de la Défense, le week-end dernier.

Après la Pologne en début d’année (70 H225M Caracal), c’est un nouveau contrat important pour Airbus Helicopters pour qui 2015 s’annonce comme une année record. D’autant que le constructeur européen est toujours dans l’attente de la concrétisation de l’intention d’achat de 22 NH90 par le Qatar.

Partager cet article
Repost0
28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 10:55
Groupe du CPA 20 prêt à embarquer en Caracal

Groupe du CPA 20 prêt à embarquer en Caracal

 

27/02/2015 Armée de l'air

 

Du 23 au 27 février 2015, le commando parachutiste de l'air n°20 (CPA 20) et l’escadron d’hélicoptères 1/67 « Pyrénées » se sont retrouvés sur la base aérienne 120 de Cazaux et sa région pour un entraînement commun, baptisé « Brume d’hiver 2015 ».

 

Le but de cet exercice conjoint était de renforcer la synergie entre les différentes unités, de mettre en œuvre les savoir-faire Quick Response Force (QRF), de s’entraîner à la survie en zone hostile, au tir ou encore au largage de petits colis.

 

Au programme de cette semaine : des séances de tir, de l’aérocordage, de jour et de nuit, des exercices de combat adaptés, des exercices de combat urbain, des exercices de personnel recovery et des opérations de largage de petits colis à partir d’hélicoptère Caracal.

 

Caracal de l'EH Pyrénées

Caracal de l'EH Pyrénées

Extraction par grappe en zone encombrée

Extraction par grappe en zone encombrée

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 11:55
Hélicoptères Caracal lors d'un entraînement interarmées de recherche et de sauvetage au combat

Hélicoptères Caracal lors d'un entraînement interarmées de recherche et de sauvetage au combat

 

29/09/2014 Armée de l'air

 

Depuis le 22 septembre 2014, la base aérienne (BA) 126 de Ventiseri-Solenzara voit ses activités opérationnelles s’intensifier. Mirage 2000-5, Alphajet, Fennec et Caracal se succéderont au fil des semaines pour effectuer des campagnes de tir air-air et air-sol sur la base aérienne corse.

 

La BA 126 accueille jusqu’au 3 octobre 2014, les Mirage 2000-5 de l’escadron de chasse 1/2 « Cigognes » de la base aérienne 116 de Luxeuil qui effectueront des tirs air-air sur des cibles tractées au-dessus de la mer par les Alphajet de l’escadron d’entraînement 2/2 « Côte d’Or » implanté sur la base aérienne 120 de Cazaux.

 

Du 6 au 17 octobre 2014, ce sont les Fennec de l’escadron d’hélicoptères 3/67 « Parisis » de la base aérienne 107 de Villacoublay et ceux de l’escadron d’hélicoptères 5/67 « Alpilles » stationné sur la base aérienne 115 d’Orange qui opéreront sur l’Île de Beauté. Les tireurs d’élites s’exerceront spécifiquement sur la mesure active de sûreté aérienne (MASA). Ce savoir-faire est essentiel pour la protection de l’espace aérien national contre des menaces aériennes évoluant à basse vitesse.

 

Dans le même temps s’effectuera la campagne de parachutage par haute altitude, activité menée conjointement par l’armée de l’air et l’armée de terre, suivie immédiatement de la mise en place d’hélicoptères Caracal pour des entraînements interarmées de recherche et de sauvetage au combat.

 

Les Fennec en exercice sur la BA 126

Les Fennec en exercice sur la BA 126

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2014 7 07 /09 /septembre /2014 18:55
EC725 Caracal and Tiger : Hostage rescue mission


5 sept. 2014 Airbus HC

 

French Army demonstration

EC725 Caracal & Tiger in tandem

Partager cet article
Repost0
9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 11:55
Salamandre en action sur la base de Nancy

 

09/07/2014 Armée de l'air

 

Du 30 juin au 4 juillet 2014, la base aérienne 133 de Nancy-Ochey a accueilli l’exercice «Salamandre», entraînement mobilisant les escadrons de chasse de Nancy, Saint-Dizier et Luxeuil. Deux hélicoptères Caracal complétaient le dispositif aérien. Des spécialistes des commandos parachutistes de l’air n°20 (CPA 20) et n°30 (CPA 30) étaient aussi déployés.

 

La semaine a débuté par des missions de type CAS (Close Air Support - appui aérien rapproché) menées entre les équipages chasse en vol et les groupe FAC au sol (Forward Air Controller– contrôleur aérien avancé).

 

Le scénario a également permis aux aviateurs de répéter les procédures CSAR (Combat Search and Rescue – capacité de recherche et sauvetage au combat) sur le terrain militaire de Mailly-le-Camp. Les Caracal ont réalisé des vol de nuit en configuration de guerre électronique et de l'aérocordage (corde lisse/grappe).

 

La partie tactique de l’exercice s’est achevée par une mission menée par un groupe spécialisé du CPA 20, de type ALI (Air Land Integration – intégration air-sol). Il s’agissait de mettre en synergie des forces aériennes et des forces terrestres grâce à l’utilisation des systèmes d’information et de communication performants. Un groupe spécialisé du CPA 20 a procédé à une mission d’exfiltration de deux pilotes réalisée de nuit. Ce type de mission repose sur le savoir-faire développé récemment par les forces spéciales de l’armée de l’air.

Deux Caracal de l'escadron 1/67 "Pyrénées"

Deux Caracal de l'escadron 1/67 "Pyrénées"

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 16:56
Un Caracal de la Force Epervier dans le désert tchadien



01/07/2014 Photographe : Adj Patrick Le Minoux - EMA / armée de l'Air

 

Le 21 juin 2014, à 17h03, dans le désert tchadien à 20 km au nord de la base aérienne de N’Djamena, un hélicoptère Caracal effectue son premier vol destiné à valider sa mise en condition opérationnelle quelques jours après son arrivée sur le théâtre tchadien. Les premiers entrainements au « poser poussière » commencent malgré la chaleur et le manque de visibilité.

Au côté d’un autre Caracal et d’un Puma, cet hélicoptère a été acheminé sur le théâtre tchadien par gros porteur Antonov 124, le 18 juin dernier. Ces hélicoptères appartiennent à l’escadron 1/67 (EH 167) « Pyrénées » de la base aérienne 120 de Cazaux. Dans le cadre des relèves, ils sont déployés pour un mandat de 4 mois au sein de la Force Epervier. Un deuxième hélicoptère Puma, complètera prochainement ce dispositif.

 

 

Suite de l'article

 

 

Partager cet article
Repost0
26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 15:45
Vol d'un EC725 Caracal photo J.Fechter - Armée de l'air

Vol d'un EC725 Caracal photo J.Fechter - Armée de l'air

Armement - Les turbines du Caracal souffrent des conditions extrêmes au Mali

 

26/06/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Très utilisé par l'armée de terre et les forces spéciales sur le théâtre malien, l'hélicoptère de transport (EC725) rencontre des difficultés inédites. Les turbines des Caracal s'usent prématurément en raison des caractéristiques particulières du sable malien.

 

Au Mali, quand les hélicoptères de transport Caracal (Airbus Helciopters) ne sont pas cloués au sol moteurs cassés, ils ne peuvent voler à leurs performances maximales. "Il ne peut emporter que dix commandos à deux cents kilomètres à une température de 30°C et voit ses performances très dégradées lorsque la température excède 40°C", expliquent les sénateurs Daniel Reiner (PS), Jacques Gautier (UMP) et Gérard Larcher (UMP) dans un rapport consacré aux forces spéciales françaises. Selon la DGA (direction générale de l'armement), la capacité de transport maximum de cet appareil est de 28 commandos.

Ce qui rend furieuse l'armée de terre, très, très agacée par ces pannes à répétition du Caracal et des Cougar rénovés sur un théâtre d'opération il est vrai très exigeant. "Ce n'est pas normal", fulmine-t-on au sein de l'armée de terre. "Des problèmes majeurs de moteur sont constatés et des changements sont nécessaires entre 60 heures et 100 heures alors que la limite d'envoi en révision générale annoncée par le constructeur est de 3.000 heures", précisent les trois sénateurs.

 

Les Caracal victimes de la silice malienne

Ce ne sont même pas les djihadistes qui les mettent hors d'état de nuire mais... la silice malienne, un mélange de poussière très fine et de grains de sables grossiers qui use prématurément les turbines des Caracal (Makila 2). Des moteurs qui finissent par mordre un à un la poussière, contrairement au Tigre par exemple, qui n'en souffre pas. "Seulement deux hélicoptères de manœuvre (Caracal et Cougar) sur cinq sont disponibles simultanément", constatent les sénateurs. Pourquoi ? Parce que le Caracal, un hélicoptère lourd doté de cinq pales qui brassent beaucoup d'air et forment des nuages de sable, n'a pas le bon système de filtration pour protéger son moteur.

Problème, cet ennemi insidieux est omniprésent au Mali et pénètre trop facilement dans les turbines du Caracal, pourtant irréprochable lors des opérations en Afghanistan, Libye ainsi qu'à Djibouti. C'est le système de filtration, sous la responsabilité d'Airbus Helicopters, qui est mis en cause. "La granularité particulière du sable malien crée une érosion rapide des moteurs", confirme-t-on chez le constructeur. Il rappelle qu'initialement le Caracal était conçu pour des missions de récupération d'aviateurs dont l'appareil a été abattu en territoire ennemi. Un appareil développé pour l'armée de l'air après la guerre en Serbie.

Chez Airbus Helicopters, on met l'accent également sur les conditions d'emploi extrêmes des hélicoptères au Mali avec des missions très longues, de plus de douze heures. "Les pistes d'atterrissages et de décollages des hélicoptères ne sont pas préparées, les appareils bouffent beaucoup du sable. Et la façon, dont ils sont opérés, génère une usure plus rapide".

 

Une panne qui revient très chère

Un dysfonctionnement qui coûte cher à l'armée, les sénateurs dénonçant "le coût de l'heure de vol excessif". "Depuis janvier 2013, 22 moteurs ont été changés, précisent les auteurs du rapport. Enfin le coût du maintien en condition opérationnelle est lui aussi prohibitif. Le coût de réparation d'un moteur est de l'ordre de 300.000 à 600.000 euros hors taxe. Cette situation est inacceptable. Des mesures correctrices des industriels concernés s'imposent". Notamment le service après-vente qui "n'est pas à la hauteur de ce que l'Etat est en droit d'attendre"."Cela nous coûte trop cher", laisse entendre de son côté l'armée de l'air.

Airbus Helicopters en coopération avec le motoriste Turbomeca a trouvé une solution. Le constructeur a dans un premier temps proposé de mettre à disposition via son réseau mondial de son client militaire des lots de moteurs de rechange civils (EC225) pour assurer la disponibilité des Caracal au Mali, précise-t-on à La Tribune. Des lots de rechanges qui sont sous la responsabilité des militaires.

A qui la faute ? A personne. En accord avec le client, Airbus Helicopters a conservé pour le Caracal le même système de filtration que celui du Cougar, un hélicoptère pourtant développé dans les années 80 et doté d'un moteur moins puissant (Makila 1A1). Certains estiment qu'à l'époque le ministère avait voulu déjà faire des économies et éviter de payer des équipements plus solides et donc plus chers.

 

Pas d'impact à l'export ?

Pour autant, au-delà de l'amélioration des flux logistiques des moteurs, l'armée de terre et de l'air réclament un nouveau filtre à sable pour leurs hélicoptères. La DGA étudie la possibilité de développer un nouveau système de filtration à l'épreuve du sable malien. Turbomeca y travaille déjà. Le motoriste "développe des solutions de modifications plus robuste", assure-t-on à la Tribune.

Un dysfonctionnement qui peut être in fine facilement traité et n'impactera pas Airbus Helicopters dans ses campagnes export, notamment en Pologne. Par exemple, le Tigre possède déjà ce type de filtre à sable.

Partager cet article
Repost0
21 juin 2014 6 21 /06 /juin /2014 11:45
Tchad : déploiement d’hélicoptères de l’armée de l’Air

 

19/06/2014 Sources : EMA

 

Le 18 juin 2014, deux hélicoptères Caracal et un hélicoptère Puma de l’armée de l’air ont été acheminés sur la base aérienne de N’Djamena par gros porteur Antonov 124. Ces hélicoptères appartiennent à l’escadron 1/67 (EH 167) « Pyrénées » de la base aérienne 120 de Cazaux. Dans le cadre des relèves, ils sont déployés pour un mandat de 4 mois au sein de la Force Epervier. Un deuxième hélicoptère Puma, complètera prochainement ce dispositif.

 

Une cinquantaine d’aviateurs sont dès à présent sur le territoire tchadien pour relever les équipages du 3erégiment d’hélicoptères de combat (3e RHC) qui sont arrivés au terme de leur mandat. Ils armeront deux hélicoptères Caracal et deux hélicoptères Puma « pirates » –équipés de canons de 20 mm.

 

Intégrés au groupement Air de la force Epervier, les équipages et les machines du ‘Pyrénées’, ils reprendront les missions d’évacuation sanitaire (EVASAN), de sauvetage aéroterrestre (SATER) et de soutien et d’appui aux forces déployées sur le théâtre. Ils participeront également aux deux missions permanentes du dispositif Epervier: la protection des intérêts français (tout particulièrement la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad), et conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad, le soutien logistique (ravitaillement, carburant, transport, formation) aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes.

Partager cet article
Repost0
27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 11:20
Exercice Angel Thunder: l’armée de l’air en action aux Etats-Unis

 

 

16/05/2014 CNE Marianne Jeune - Armée de l'air  

 

Du 5 au 16 mai 2014, l’armée de l’air participe pour la première fois à l’exercice de Personnel Recovery (PR - récupération de personnel) Angel Thunder sur la base aérienne de Davis Monthan, en Arizona (États-Unis). Deux Caracal de l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/67 « Pyrénées » et deux équipes du commando parachutiste de l’air n°30 (CPA 30) évoluent aux côtés de leurs homologues américains et d’une dizaine d’autres nations.

 

Une soixantaine d’aviateurs français est déployé depuis le 1er mai 2014 dans le sud-ouest des États-Unis pour cet exercice américain visant à conduire des missions d’entraînement interarmées et interalliés dans le domaine de la PR.

 

Un enseignement américain, une expertise française

 

Cette participation à Angel Thunder constitue un véritable retour aux sources pour les aviateurs français. En effet, c’est par des commandos américains que les premières unités de l’armée de l’air (CPA 10 et CPA 40) ont été formées en 1994 aux techniques de dépose, de récupération et de sauvetage de pilotes au combat, durant le conflit en ex-Yougoslavie. Aujourd’hui, la France est en pointe dans le domaine de la CSAR (Combat Search and Rescue - recherche et sauvetage au combat) sur la scène internationale. Et ce sont les aviateurs du CPA 30 et de l’EH 1/67 « Pyrénées » qui ont hérité de ce savoir-faire spécifique. « Cela fait trois ans que la France souhaite participer à cet exercice de grande ampleur, déclare le lieutenant-colonel Meyer, officier projet et directeur de l’exercice. Jusqu’à maintenant, notre forte activité opérationnelle ne nous l’avait pas permis. Nous sommes ravis d’avoir pu enfin répondre à l’invitation de l’US Air Force, d’autant que nous sommes l’une des rares nations étrangères à déployer des moyens aériens. »

 

Un entraînement varié pour les deux unités françaises

 

Deux hélicoptères Caracal et leurs quatre équipages de la base aérienne 120 de Cazaux réalisent des vols quotidiens dans tous les domaines d’action que recouvrent la complexité de la mission CSAR (ravitaillements en vol, évacuations médicales, vols de nuit…). Depuis le 10 mai, de véritables COMAO (Composite Air Operations - dispositif complexe d'aéronefs réalisant simultanément plusieurs missions) sont préparées et réalisées, notamment aux côtés de ravitailleurs C130, d’hélicoptères Apache et Pavehawk, d’un avion-radar Awacs, de chasseurs de type F16 et A10 Thunderbolt II américains. Ces avions d’attaque au sol dédiés au Close Air Support (CAS – appui aérien rapproché) accompagnent et protègent les hélicoptères et les équipes du CPA 30 de la base aérienne de Bordeaux déployés sur le terrain.

 

À quelques jours de la fin de l’exercice, la French Air Force comptabilise déjà une soixantaine d’heures de vol et plus de 7 heures de ravitaillement en vol.

Exercice Angel Thunder: l’armée de l’air en action aux Etats-Unis
Exercice Angel Thunder: l’armée de l’air en action aux Etats-Unis
Exercice Angel Thunder: l’armée de l’air en action aux Etats-Unis
Partager cet article
Repost0
11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 10:50
Ravitaillement en vol de 2 Caracal par C130J italien

Ravitaillement en vol de 2 Caracal par C130J italien

 

11/04/2014 Armée de l'air

 

Du 7 avril au 11 avril 2014, l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/67 «Pyrénées» réalise la quatrième campagne de ravitaillement en vol d’hélicoptères EC725 Caracal conjointement avec la 46e brigade de transport aérien italien évoluant sur KC 130J Hercules.

 

Cette campagne se réalise pour la deuxième fois avec des vols en formation et pour la première fois au-dessus des terres. L’EH 1/67 engage deux Caracal à chaque ravitaillement sur les six qu’il possède.

 

Deux Caracal ravitaillés par un C130 J italien

Deux Caracal ravitaillés par un C130 J italien

Un tel entraînement permet de qualifier ou maintenir la qualification de pilotes de l’unité. Aujourd’hui quinze aviateurs de l’escadron sur dix-huit sont qualifiés au ravitaillement en vol (dont neuf en tant que moniteurs).

Vol d'un EC725 Caracal

Vol d'un EC725 Caracal

C’est aussi l’occasion d’entraîner l’unité avant leur participation, en mai, à l’exercice Angel Thunder dédié à la Personnel Recovery (récupération de personnel), aux Etats-Unis. Rare nation au monde à disposer d'une capacité de recherche et sauvetage au combat, la France est la seule en Europe à posséder un hélicoptère ravitaillable en vol.

 

Partager cet article
Repost0
1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 11:55
Vols en montagne pour les hélicoptères du «Pyrénées»

EH Pyrénées en montagne

 

28/02/2014 Capitaine Nicolas Salbégo - EH Actus Air

 

Les équipages d’un Caracal et de deux Puma de l’escadron d’hélicoptères 1/67 «Pyrénées» de Cazaux se sont rendus dans les Pyrénées-Orientales pour un stage de vol en montagne du 10 au 14 février 2014.

 

Au cours de la semaine les équipages se sont entraînés à différentes thématiques aéronautiques : l’altitude, les reliefs marqués, l’aérologie particulière ou encore les difficultés du poser «neige». La quarantaine d’aviateurs du détachement a pu profiter des installations du centre de vol en montagne (CVM), situé sur la commune de Sainte Léocadie (66). Un site qui offre de belles opportunités d’entraînement dans ce milieu particulier qu’est la montagne.

 

Au total, avec des conditions météo favorables, près de 50 heures de vol ont été effectuées, de jour comme de nuit, par l’ensemble des équipages.

Partager cet article
Repost0
19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 13:45
Des commandos du CPA 30 à Djibouti

Des commandos du CPA 30 à Djibouti

 

 

19/02/2014 Armée de l'air

 

Du 5 au 8 février 2014, deux EC 725 Caracal de l'escadron d'hélicoptères 1/67 «Pyrénées», avec à leur bord six membres du commando parachutiste de l’air n°30 (CPA 30), ont fait escale sur la base aérienne 188 de Djibouti.

 

Embarqués sur le porte-avions Charles de Gaulle dans le cadre de l'opération «Bois Belleau», les aviateurs ont pu bénéficier des vastes possibilités d'entraînement offertes par le territoire djiboutien.

 

Les deux Caracal ont enchaîné les phases de mises à terre sous appui de commandos, éprouvant ainsi certaines procédures mises au point avec le CPA 30. Rejoints par un Puma de l’escadron de transport 88 «Larzac» stationné à Djibouti, les hélicoptères de Cazaux ont ensuite réalisé des vols de formation à trois appareils au-dessus du terrain du Grand Bara.

 

Des vols de coopération interalliée avec les forces américaines stationnées à Djibouti sont venus clore cet entraînement. Les aviateurs français ont réalisé une mission de récupération en mer de commandos américains, ainsi que des phases de ravitaillement en vol à partir d’un C130 de l'US Air Force.

 

Au final, le détachement Caracal a effectué plus de 15 heures de vol en moins de trois jours d'entraînement.

 

 

 

Ravitaillement en vol d'un EC725 sur un C130 Hercules

Ravitaillement en vol d'un EC725 sur un C130 Hercules

Ravitaillement en vol d'un Caracal français depuis un Hercules américain au large de Djibouti

Ravitaillement en vol d'un Caracal français depuis un Hercules américain au large de Djibouti

Partager cet article
Repost0
4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 17:45
François Hollande donnera-t-il un coup de pouce à Airbus Helicopters en Tunisie ?

Le constructeur européen tente depuis plusieurs mois de vendre six EC725 Caracal à Tunis destinés aux forces spéciales pour un montant de 300 millions d'euros environ

 

04/02/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La visite du président français en Tunisie pourrait faire avancer un des dossiers export d'Airbus Helicopters. Le constructeur souhaite vendre six EC725 Caracal aux forces armées tunisiennes.

 

La visite de François Hollande en Tunisie prévue vendredi pourrait faire avancer un des dossiers importants d'Airbus Helicopters. Le constructeur européen tente depuis plusieurs mois de vendre six EC725 Caracal à Tunis destinés aux forces spéciales pour un montant de 300 millions d'euros environ. "Le Figaro" avait révélé l'information en novembre dernier. Selon nos informations, le Caracal est le premier appareil sur la liste des Tunisiens. "Ils en ont besoin", explique-t-on à "La Tribune". Il serviront dans des opérations anti-terroristes.

 

En 2013, Airbus Helicopters a vendu 33 appareils dans la famille de Super Puma/Cougar (EC725/EC225) et 37 en 2012. La filiale d'Airbus Group a enregistré l'année dernière 422 prises de commandes contre 469 en 2012, mais ses livraisons ont progressé de près de 5 %, à 497 unités contre 475 l'année précédente.

 

Un appareil multimissions

 

L'EC725 est un hélicoptère destiné à accomplir des missions de recherche et de sauvetage en zone de combat, de transport de troupes sur longue distance et des missions spéciales. Il intègre des équipements spécifiques pour ce type de missions, tel que le ravitaillement en vol, un système de contre-mesures, une caméra infrarouge ou des instruments de localisation d'un pilote éjecté.

 

Hélicoptère biturbine de la classe des 11 tonnes, l'EC725 est le premier hélicoptère français équipé d'un système d'autoprotection complet, de visualisation par écran LCD et d'un blindage.

Il est aussi capable d'accomplir des missions de sauvetage en mer.

Partager cet article
Repost0
20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 12:35
RESCO avec un  Caracal de l’armée de l’air et un hélicoptère américain MH60

19.01.2014 Crédit : EMA / Marine nationale

 

Le 31 décembre 2013, au nord de l’océan Indien, un hélicoptère Caracal de l’armée de l’air embarqué à bord du porte-avions Charles de Gaulle a effectué un exercice de recherche et de secours au combat (RESCO) en liaison avec un hélicoptère américain MH60 embarqué à bord du porte-avions Harry S. Truman. La RESCO consiste à aller récupérer un équipage d’aéronef qui s’est éjecté en territoire hostile ou en mer.
Le groupe aéronaval constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle a débuté une période de coopération bilatérale avec le groupe aéronaval Harry S. Truman fin décembre 2013 dans le but de développer l’interopérabilité en matière d’opérations aéromaritimes et participer à la sécurisation d’une région stratégique.

 

Reportage photos
 

Partager cet article
Repost0
7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 11:55
Un Caracal est ravitaillé en vol par un Hercules de l’USAF

 

07/01/2014 Armée de l'air

 

Les équipages de Caracal de l’escadron d’hélicoptères 1/67 «Pyrénées» se sont entraînés au ravitaillement en vol au large des côtes djiboutiennes avec un Hercules de l’armée de l’air américaine, lundi 16 décembre 2013.

 

Mi-décembre, le plot de Personnel Recovery (PR - récupération de personnel) déployé sur le porte-avions Charles de Gaulle pour la mission «Bois Belleau» du groupe aéronaval, a profité d’un passage au large des côtes djiboutiennes pour se délocaliser temporairement sur la base aérienne 188. Constitué de deux hélicoptères EC 725 Caracal et d’aviateurs du commando parachutiste de l’air n° 30, le détachement a profité de ce «formidable cadre d’entraînement pour les équipes PR» afin de mener différentes activités d’exercice. «Le relief, très similaire à celui rencontré en Afghanistan, permet de transmettre l’expérience capitalisée durant les six années de présence sur ce théâtre difficile», explique le commandant Alexandre Boyez de l’EH «Pyrénées».

 

Un Caracal est ravitaillé en vol par un Hercules de l’USAF

Outre les entraînements nocturnes du type posé-poussière, tir aérien, mise à terre sous appui de commandos et exercices de Personnel Recovery, les équipages français ont conduit une activité rare et unique en coopération avec un détachement d’Hercules HC 130 P de l’US Air Force : le ravitaillement en vol. «Cela démontre une nouvelle fois la maîtrise d’un savoir-faire particulier, souligne le commandant Boyez. Stratégiquement, doter les hélicoptères EC 725 du «Pyrénées» d’une telle capacité permet à la fois d’assurer l’action dans la profondeur et la permanence en vol, deux facteurs essentiels à la réussite d’une mission de Personnel Recovery.»

Partager cet article
Repost0
4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 08:28
Deux hélicoptères Caracal en phase d'appontage sur un bâtiment de la Marine nationale

Deux hélicoptères Caracal en phase d'appontage sur un bâtiment de la Marine nationale

 

04/12/2013 Armée de l'air

 

Deux hélicoptères Caracal de l’escadron d’hélicoptères 1/67 «Pyrénées» ont embarqué à bord du porte-avions Charles de Gaulle, jeudi 28 novembre 2013, afin de participer à l’entraînement organique du groupe aéronaval.

 

Le détachement «embarqué» de l’armée de l’air se compose d’une trentaine d’aviateurs de l’escadron (équipages et personnel mécanicien), ainsi que d’une dizaine de spécialistes de la Personnel Recovery (récupération de personnel isolé) du commando parachutiste de l’air n°30.

 

Les hélicoptères de l’armée de l’air participent régulièrement à ce type d’entraînement conjoint avec la Marine nationale, afin de se familiariser avec l’ensemble des procédures propres aux bâtiments navals et au survol de milieu maritime.

 

 

Le groupe aéronaval mène actuellement en Méditerranée occidentale une période de dix jours de certification, avant de mettre le cap à l’est pour rejoindre le nord de l’océan Indien et le golfe arabo-persique, dans le cadre de l’opération Bois Belleau.

 

Plus d’informations

Commandos embarqués à bord d'un Caracal

Commandos embarqués à bord d'un Caracal

Partager cet article
Repost0
16 novembre 2013 6 16 /11 /novembre /2013 12:55
Les spécialistes de la récupération de personnel en Corse

 

15/11/2013 Sergent Amandine Marchand / cellule communication BA 126 - Armée de l'air

 

Du 4 au 8 novembre 2013, la base aérienne (BA) 126 de Ventiseri-Solenzara a accueilli l’exercice « Salamandre », organisé par l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/67 « Pyrénées » stationné sur la BA 120 de Cazaux.

 

Les deux Caracal mis en œuvre par 49 aviateurs de l’EH 1/67, étaient accompagnés de neuf commandos du CPA 30 (commando parachutiste de l’air n°30). Le choix pour l’organisation de cet exercice s’est porté sur la BA 126 car la Corse possède une topographie très variée, idéale pour les entraînements aux missions de recherche et sauvetage mais aussi à la récupération de personnel isolé. Les reliefs de l’île de beauté sont particulièrement appréciés pour leur similitude avec les chaînes montagneuses que les commandos et les équipages rencontrent sur les théâtres d’opérations. Pendant toute la durée de l’exercice, les aviateurs ont été déployés de jour comme de nuit, principalement sur le champ de tir de Diane mais aussi en montagne. Le tout dans des conditions climatiques optimales.

 

Depuis quelques années, la France occupe une place prépondérante dans le domaine de la Personnel Recovery (récupération de personnel), unanimement reconnue dans l’environnement otanien, dont l’EH 01.067 « Pyrénées » et le CPA 30 en sont le fleuron. Leurs expériences successives en Afghanistan, en Libye et plus récemment au Mali lors de l’opération Serval, ont permis de mettre en lumière leur efficacité ainsi que leur capacité de recherche et de sauvetage au combat en milieu coercitif.

 

Sur le terrain, les hommes s’appuient sur un appareil des plus modernes. Le Caracal EC 725 dispose en effet d’un grand rayon d’action. Très sophistiqué, il est par exemple doté d’une perche de ravitaillement en vol. C’est également le premier hélicoptère français équipé d’un système de blindage et d’autoprotection comprenant la détection radar des missiles. Il possède en outre une tourelle qui lui donne une capacité d’intervention nocturne par tous les temps. La version recherche et sauvetage au combat (RESCO) est opérationnelle depuis 2006.

Les spécialistes de la récupération de personnel en CorseLes spécialistes de la récupération de personnel en Corse
Les spécialistes de la récupération de personnel en CorseLes spécialistes de la récupération de personnel en CorseLes spécialistes de la récupération de personnel en Corse
Les spécialistes de la récupération de personnel en CorseLes spécialistes de la récupération de personnel en Corse
Partager cet article
Repost0
13 octobre 2013 7 13 /10 /octobre /2013 10:55
Les secrets de l'A400M (4/4) : Atlas/Caracal, futur duo gagnant

11/10/2013 Par François Julian - Air & Cosmos

 

C'est une capacité qui n'existe pour le moment que sur le papier, mais que Airbus Military devrait prochainement tester en vol : la possibilité de ravitailler en vol un hélicoptère avec l'A400M, grâce à sa capacité à voler à de faibles vitesses (195-215 km/h de vitesse air indiquée).

 

Pour mémoire, sur l'A400M le ravitaillement peut être effectué grâce à deux nacelles tuyau/panier sous voilure ou à une unité centrale de ravitaillement FRU (Fuselage Refuelling Unit) installée dans le fuselage.

 

Pour autant, peu d'hélicoptères dans le monde sont capables d'être ravitaillés en vol : on peut citer le HH-60G Pave Hawk, le MH-53H, le V-22 ou le MH-47 Chinook.

 

En France, une seule voilure tournante a cette capacité : l'EC725 Caracal d'Eurocopter, et plus précisément les machines équipant l'escadron 1/67 « Pyrénées » de l'armée de l'Air.

 

Et faute d'un ravitailleur adéquat en France, les aviateurs doivent pour le moment s'entrainer à cette pratique avec leurs homologues italiens qui alignent des KC-130J. A raison d'un entrainement annuel depuis 2008, une dizaine de pilotes français sont actuellement qualifiés à cette pratique.

 

Sur le plan opérationnel, la plus-value est significative pour un hélicoptère de manœuvre : les hommes du « Pyrénées » ont ainsi réalisé sur Caracal des vols de 6 heures (contre trois habituellement) avec deux ravitaillements.

 

En attendant, pour étendre l'allonge des hélicoptères, il faut compter sur des procédures d'avitaillement plus classiques comme les FARP (Forward Arming and Refueling Points), c'est à dire l'installation d'un point de ravitaillement de campagne.

 

A400M ravitaillement

Essai de ravitaillement (sans contact) entre A400M et EC725.

 

Coté Airbus Military, les essais de ravitaillement entre A400M et un hélicoptère ont débuté en mai dernier avec un premier rapprochement entre EC725 (appartenant à Eurocopter) et l'un des avions d'essais (notre photo). Aucun contact n'a encore eu lieu.

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories