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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 11:50
Char français Somua. (Collection Musée de Jandrain)

Char français Somua. (Collection Musée de Jandrain)

 

source JFP - Chronique Culturelle

 

Le corps de cavalerie commandé par le général français Prioux (239 chars Hotchkis et SOMUA 35) donne un coup d'arrêt puis freine le 16e corps de Panzer du général Hoepner (674 Panzer I, II, III et IV). Cette bataille démontre la supériorité technique du char français sur les chars allemands (I, II et III) et la bonne connaissance des nouvelles tactiques d'utilisation des blindés en campagne par le général Prioux. Ce premier succès ne peut cependant pas être exploité faute de munitions suffisantes, de coordination avec l'infanterie et de l'ordre de replis donné afin d'éviter l'encerclement. L'action des Stukas sur l'artillerie française prive aussi les blindés de précieux appuis.


Les Allemands perdent 164 chars, les Français 105. Il ne manquait au SOMUA 35 que la radio et une autonomie suffisante pour être le char parfait du moment.

Char français Hotchkiss. (Collection Musée de Jandrain)

Char français Hotchkiss. (Collection Musée de Jandrain)

Note RP Defense : voir également les sites ci-dessous

 

La première bataille de chars de la deuxième guerre mondiale

 

La bataille de Hannut

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8 mai 2014 4 08 /05 /mai /2014 07:55
Changer, pour repousser les limites

12e RC Crédits : ADJ Fabien Marmillod

 

07/05/2014  J.SEVERIN - Armée de Terre

 

Le 2e escadron de combat blindé du 12e régiment de cuirassiers, a effectué un stage à Autrans, au cœur du Massif du Vercors, du 7 au 18 avril 2014.

 

Dans un environnement inhabituel, les cavaliers ont suivi un entraînement physique différent, découvert de nouvelles techniques et repoussé leurs limites pour venir à bout des épreuves. Tels étaient les objectifs du stage.

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7 mai 2014 3 07 /05 /mai /2014 07:40
Biathlon en chars d'assaut en Russie: 1ère participation pour la Crimée

 

MOSCOU, 5 mai - RIA Novosti

 

Des équipages des chars de Crimée participeront pour la première fois aux compétitions de biathlon en chars d'assaut qui se dérouleront le 13 mai sur le polygone de Proudboï, dans la région russe de Volgograd, a fait savoir lundi le service de presse du District militaire du Sud. 

 

"Les représentants des unités de chars déployées en Crimée disputeront pour la première fois le titre de plus fort en biathlon en chars d'assaut [en Russie]. Trois équipages composés d'anciens militaires ukrainiens qui se sont fait naturaliser Russes sont arrivés de Crimée dans la région de Volgograd pour participer aux compétitions qui se tiendront dans le District militaire du Sud", a infirmé la source. 

 

Au total, 15 équipages de chars prendront part aux tournois. Les vainqueurs obtiendront le droit de représenter le District militaire du Sud aux compétions interarmées prévues en juin prochain à Alabino, dans la région de Moscou. 

 

La compétition de biathlon en chars d'assaut se déroule comme une course de relais en ski. Les chars doivent parcourir une piste de 20 kilomètres parsemée d'obstacles et participer à trois séances de tir - en utilisant un missile, une mitrailleuse antiaérienne et trois obus d'artillerie. A la différence du biathlon classique, les équipages des chars doivent détruire des cibles imitant des chars et des hélicoptères volant à une basse altitude à une distance de 0,9 km à 2,2 km. Chaque cible manquée ajoute 500 mètres supplémentaires à parcourir.

 

En juillet-août prochain, la Russie accueillera sur son territoire le deuxième championnat international de biathlon en chars d'assaut. Selon le ministère russe de la Défense, treize pays dont la Chine et le Koweït ont déjà confirmé leur intention de participer aux compétitions.

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6 mai 2014 2 06 /05 /mai /2014 11:55
Forces spéciales : les futurs experts se forment…

 

05/05/2014 Armée de Terre

 

Résistance physique, assimilation rapide, capacité d’autonomie sont quelques-unes des qualités demandées à ceux qui veulent faire partie des forces spéciales. Le 13e régiment de dragons parachutistes (13e RDP) dispense aux jeunes engagés (initiaux ou ultérieurs) une formation de près d’un an et demi avant de débuter leurs parcours dans la spécialité du 13, la recherche aéroportée.

 

reportage photos

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2 mai 2014 5 02 /05 /mai /2014 16:55
Crédit : 4e RD/LTN Ledoux

Crédit : 4e RD/LTN Ledoux

 

23/04/2014 Armée de Terre

 

Les Loups du 4e escadron du 4e régiment de dragons se sont rendus à MAILLY LE CAMP le 3 mars dernier, pour effectuer leur dernière rotation au CENTAC (Centre d’Entraînement au Combat) avant dissolution du régiment à l’été.

 

En manière d’échauffement, et dans le cadre de l’EEB (espace d’entraînement de brigade) de la 7e brigade blindée, les dragons du 4 ont tout d’abord participé à un exercice de franchissement sur Engins de Franchissement de l’Avant (EFA) mené par le 19e régiment du génie. Ce fut une première, pour l’immense majorité des soldats, que de participer à une telle manœuvre interarmes.

 

La semaine suivante a été marquée par des exercices de  simulation, des séances tactiques sur logiciel de simulation OPOSIA, ou encore de la préparation des matériels.

 

Après une première journée et demie « d’ajustement » marquée par un tableau de chasse favorable à l’ennemi,  l’unité a pris sa vitesse de croisière pour terminer par une phase de 36 heures qui, de l’aveu unanime des observateurs, a été de qualité et a permis au Sous Groupement

 

Tactique Interarmes BRAVO de stopper les hordes foradiennes avec un emploi remarqué de l’interarmes, sans doute grande gagnante de cette rotation. Les mines factices de la section du génie et les tirs d’une grande précision de l’artillerie resteront comme un bien douloureux souvenir pour le camp adverse!

 

A quelques semaines de leur mutation dans divers autres régiments de la cavalerie et formations de l’armée de Terre, les dragons du 4 ont conforté leur haut niveau de capacité opérationnelle. La plupart d’entre eux seront en engagés en opération extérieure ou en mission de courte durée dans les prochains mois.

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 06:55
Le 4 e RCh est arrivé à Gap en 1983. - photo 4e RCH

Le 4 e RCh est arrivé à Gap en 1983. - photo 4e RCH

 

12/04/2014 Par J.-X.P. -  .ledauphine.com

 

Le 4e Régiment de chasseurs de Gap s’apprête à vivre, lundi 14 et mardi 15 avril, deux jours de cérémonies et de festivités en l’honneur du 60e anniversaire de sa recréation. Des festivités qui seront couplées avec la Saint-Georges, patron de la cavalerie, qui sera pour l’occasion avancée de quelques jours.

 

Le “4” a été reconstitué en 1954 pour partir en Indochine. Le conflit s’arrêtant, il fut envoyé en Tunisie puis en Algérie. Il rentra en France en 1963, rejoignant la garnison de La Valbonne, près de Lyon. Il est arrivé à Gap en 1983.

 

Ces festivités, qui célébreront également les 160 ans de la bataille de Balaklava (Guerre de Crimée) et les 100 ans de la Grande Guerre, seront notamment marquées lundi par le baptême du complexe sportif du 4e , du nom de Le Bailly de la Falaise. Ce dernier fut capitaine du régiment et triple champion olympique d’escrime au début du XXe siècle. Pour cette occasion, deux athlètes, Jonathan Bonnaire et Vanessa Galantine qui font partie des meilleurs de leur discipline, seront présents. Les licenciés du Gap-escrime ont été invités à se mesurer à eux. Le soir se déroulera le concert de la fanfare du 27e BCA dont une partie des recettes sera reversée aux blessés de l’armée de terre.

 

Mardi, les nouveaux insignes du régiment seront remis et la place d’Armes sera baptisée du nom du Général Alain de Boissieu, entre autres, compagnon de la Libération et capitaine, en Algérie, du “4” de 1956 à 1958.

 

À noter qu’il s’agira également du 30e anniversaire de l’inauguration de la caserne Guillaume du nom du général Augustin Guillaume né en 1895 à Guillestre - commune dont il fut maire - et mort quelques jours avant, en mars 1983.

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6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 07:35
Des obus russes pour les chars indiens

05.04.2014 Olga Ivascina - La Voix de la Russie

 

Les chars indiens seront bientôt équipés d’obus perforants sous-calibrés Mango, fabriqués en Russie. En tout 66.000 obus antichar de ce type seront livrés en Inde dans le cadre de l’accord russo-indien signé à la fin du mois de mars.

 

Le nouveau contrat d’armement signé avec la Russie est crucial pour l’Inde. Selon un document confidentiel, destiné au premier ministre indien Manmohan Singh, publié dans les médias en 2012, le chef d’état-major de l’armée indienne de l’époque, Vijay Kumar Singh, évoquait une pénurie catastrophique des munitions au sein des forces armées. Le ministre de la Défense indien Arackaparambil Kurian Antony s’est dépêché de rassurer le chef du gouvernement que l’armée indienne dispose d’une quantité suffisante de munitions pour que l’armée soit apte au combat. Mais les fonctionnaires indiens restent inquiets. Les experts militaires ont indiqué dans un entretien accordé au journal The Times of India que la quantité des munitions dont dispose l’armée de l’Inde à l’heure actuelle, permettrait de mener des actions de combat pendant 20 jours. Alors que les normes internationales exigent qu’un pays puisse posséder une quantité de munitions qui suffirait pour 40 jours.

 

Les analystes militaires indiens soulignent que la situation ne fera que s’aggraver avec le déploiement du nouveau XVIIe Mountain Strike Corps basé en montagne. Il est composé de 32 bataillons de chasseurs, sans parler des régiments de chars, d’artillerie, des divisions antiaériennes et aériennes. Car les obus et les cartouches sont nécessaires non seulement pour les combats, mais aussi pour les exercices militaires et les formations des unités de combat.

 

La situation s’est sensiblement compliquée en ce qui concerne les obus de chars, lorsqu’en mars de cette année, la Haute Cour de Dehli a décidé de mettre sur la « liste noire » et interdire la collaboration des structures publiques indiennes avec la société israélienne IMI (Israel Military Industries), à cause d’un scandale de corruption.

 

Dans la situation actuelle, les livraisons d’obus antichar russes pourraient changer radicalement la situation avec l’approvisionnement de l’armée indienne en munitions. Les obus russes Mango sont à la pointe de technologie. Ces obus performants sous-calibrés pour chars d’un calibre de 125 mm sont capables de percer l’acier d’un demi-mètre d’épaisseur à une distance de 2 kilomètres. La dernière modification de l’obus russe a été conçue spécialement pour lutter contre les chars, équipés d’une armure sophistiquée et d’un blindage actif.

 

En signant ce contrat, la Russie était guidée par la volonté de continuer à développer les relations stratégiques d’un partenariat privilégié avec l’Inde. L'accord prévoit non seulement l’achat d’obus pour chars, mais aussi le transfert des technologies de leur fabrication. Selon le journal The Indian Express, le ministère de la Défense de l'Inde a pris la décision de créer une coentreprise russo-indienne spécialisée dans la production des obus pour chars spécialisés. Une coentreprise similaire a été déjà créée en Inde pour la production des missiles pour lance-roquettes multiples Smertch.

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 07:40
Biathlon en chars d'assaut en Russie: 13 pays répondent présent

 

MOSCOU, 3 avril - RIA Novosti


Treize pays dont la Chine et le Koweït ont confirmé leur intention de participer au deuxième championnat de biathlon en chars d'assaut en Russie en juillet-août 2014, a annoncé jeudi à Moscou Iouri Petrov, responsable du ministère russe de la Défense. 

"Nous avons reçu des confirmations de 13 pays souhaitant participer au tournoi "Biathlon en chars 2014". Onze pays comptent utiliser des blindés russes pendant les compétitions. Les équipages de six Etats entendent en outre suivre un cours d'entraînement de six jours à la base de la 4e division blindée", a indiqué le général Petrov.

Les équipages chinois et koweïtien utiliseront les chars de fabrication nationale.

Selon le général, 11 autres pays enverront leurs observateurs au championnat de biathlon en chars.

Le deuxième championnat de biathlon en chars aura lieu du 4 au 16 août. Les compétiteurs et observateurs étrangers arriveront en Russie à partir du 17 juillet.

La compétition de biathlon en chars d'assaut se déroule comme une course de relais en ski. Les chars doivent parcourir une piste de 20 kilomètres parsemée d'obstacles et participer à trois séances de tir - en utilisant un missile, une mitrailleuse antiaérienne et trois obus d'artillerie. A la différence du biathlon classique, les équipages des chars doivent détruire des cibles imitant des chars et des hélicoptères volant à une basse altitude à une distance de 0,9 km à 2,2 km. Chaque cible manquée ajoute 500 mètres supplémentaires à parcourir.

Les premières compétitions internationales du biathlon en chars se sont déroulées en août 2013 à Alabino, dans la région de Moscou.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 16:20
Lighting Up The Night

 

 

3/21/2014 Strategy Page

 

Marines with tank platoon, Battalion Landing Team 2nd Battalion, 1st Marines (BLT 2/1), 11th Marine Expeditionary Unit, fire the M256 smoothbore gun of an M1A1 Abrams tank on static targets during Realistic Urban Training Marine Expeditionary Unit Exercise 14-1 (RUTMEUEX) at Camp Roberts, Calif., March 20, 2014. RUTMEUEX will prepare the 11th MEU Marines for their upcoming deployment, enhancing Marines' combat skills in environments similar to those they may find in future missions. (U.S. Marine Corps photo by Gunnery Sgt. Rome M. Lazarus)

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 20:50
Now even neutral Switzerland has more tanks than Britain

 

31 March 2014 By William Turvill dailymail.co.uk

 

Now even neutral Switzerland has more tanks than Britain even though it has not fought in a war for more than 150 years

 

    Switzerland has kept 380 Leopard 2 Tanks, while Britain has 227 active Challenger 2 tanks

    The number of British tanks reduced by 40 per cent in a 2010 spending review, while overall military spending was cut by 5 per cent in 2013

    Meanwhile, regular army numbers are to be reduced from 102,000 to 82,000

 


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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 07:55
Les 100 ans du 1er spahis

 

29 mars 2014 par Henri Weill Ainsi va le monde !

 

Et Mohamed VI entend commémorer au Maroc, le 23 avril, le centenaire de cette unité héritière du régiment de marche de spahis marocains, créé en 1914 par le général Lyautey.

 

Le 1er spahis, aujourd'hui stationné à Valence dans la Drôme, est l'un des dix sept régiments Compagnon de la Libération. Le grand-père de l'actuel souverain chérifien, Mohamed V est également l'un des 1038 Compagnons. Il se vit, en effet, décerner par le général de Gaulle, en 1945, la Croix de la Libération.

Les 100 ans du 1er spahis
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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 16:20
12e Régiment Blindé du Canada Conducts Exchange With French Army’s 4e Régiment de Chasseurs

 

March 26, 2014. David Pugliese - Defence Watch

 

By Sébastian Lacasse, Battle Captain, D Squadron, and Samantha Bayard, Canadian Army Public Affairs

 

Gap, Hautes-Alpes, FRA — A new association between the 4e Régiment de Chasseurs (4ème RCh) of the French Army and D Squadron of the 12e Régiment Blindé du Canada (12 RBC) took shape during an exchange of units named Exercise CHEVALIER TRICOLORE from March 10 to 25.

 

Fifty lucky members of D Squadron (D Sqn) were the very first to be able to take advantage of the exchange. They had the opportunity to go to France to meet their counterparts in the 4ème RCh, stationed in the town of Gap in the Hautes-Alpes region of France. A town of 40,000 inhabitants, Gap is located 750 m above sea level. Its ideal geographical position makes it a crossroads of the major tourist routes in the Alps. The 4ème RCh is a reconnaissance regiment of the 27ème Brigade d’Infanterie de Montagne. It is made up of three armoured squadrons, one reconnaissance and anti-tank squadron, one headquarters and logistics squadron and one reserve squadron.

 

“The purpose of the exchange is to create a ‘contact area’ to get to know each other and share know-how. The idea is not to plan additional activities, but to choose exercises in the regiment’s training program that would be of mutual interest and to add foreign participation. That makes training more exciting for units but does not require a large additional investment. It’s a win-win proposition,” says Lieutenant-Colonel Nicolas Lallemand de Driésen. LCol Lallemand de Driésen is the French Army’s liaison officer to the Canadian Army. He has been at Army HQ in Ottawa since August 2012 on a three-year posting. He also looks after training for foreign forces in Canada.

 

The splendour of the alpine vistas left D Sqn members in awe. They received a warm welcome—facilitated by a common language—from their French counterparts at Quartier Général Guillaume, the home of the 4e Régiment de Chasseurs. Strong cohesion quickly grew between the members of D Sqn and those of the 4e Régiment de chasseurs, thanks in part to a sports match that allowed everyone to demonstrate their abilities. Once the introductions were over, training began.

 

The first thing our French brothers in arms had planned for their Quebecois cousins was a demonstration of their duty weapons (FAMAS and PAMAS) and a firing drill so that we could try them out. D Sqn members took the opportunity to familiarize themselves with the weapons and also to demonstrate their firing skills. That was followed by a variety of presentations on the history of the regiment, stands to display their new weapon, a demonstration of their fire simulator and a practical gunnery workshop using it. D Sqn members also had a chance to operate French armoured vehicles, including their Light Armoured Vehicle (LAV) and the Engin de Reconnaissance Canon de 90 mm (ERC 90), a six-wheeled all-terrain vehicle.

 

At the end of the first week, D Sqn was able to attend lessons on more specific mountain methods and techniques, which were quickly put into practice during mountain training.

The second week started with a trip to the mountain military post followed by a ski evaluation, but not just any ski evaluation—one on a ski trail in the Alps. Once the initiation was over, there were lessons for refining skiing techniques.
 

The first cross-country skiing outing proved to be a tough physical challenge for D Sqn members. The approximately 10-km course, with a 500-metre difference in altitude, was a real shock for some participants, who were used to flatter terrain. A number of mountain excursions, of varying difficulty, were organized over the following days. The cross-country ski climbs, sometimes steep, sometimes over more hilly terrain, were always a stiff challenge for the members of D Sqn. Exercise CHEVALIER TRICOLORE came to an end on a note of camaraderie between the Canadians and French, who exchanged gifts, ranks and berets as souvenirs of their shared adventures.

 

The Franco-Canadian military relationship remains strong.

“The Franco-Canadian military relationship has a long history. It used to be facilitated by the fact that our forces were located close to each other in Germany and by the many contacts that were established between the Canadian and French regiments. The structural reorganizations that took place after the Cold War and the intense operational tempo related to operations in Afghanistan led to a gradual reduction in joint activities,” explained LCol Lallemand de Driésen.

 

“However, in 2010, General Natynczyck and Admiral Guillaud decided to strengthen the military relationship, and in 2013, French Prime Minister Jean-Marc Ayrault and Prime Minister Stephan Harper gave it further impetus when they signed an interdepartmental bilateral agreement, which includes defence matters.”

 

The D Sqn members returned from France with new and enhanced skills and memories that will last a lifetime. They have already begun making preparations to welcome members of 4ème RCh to Valcartier next winter.

Les Canadiens sur les pistes Crédtis CAL Lampla G

Les Canadiens sur les pistes Crédtis CAL Lampla G

Exercice CHEVALIER TRICOLORE : soldats canadiens dans les Alpes françaises

Gap, Hautes-Alpes, FRA — Une nouvelle association s’est concrétisée entre le 4e Régiment de Chasseurs (4ème RCh) de l’armée de Terre française  et L’Escadron D du 12e Régiment Blindé du Canada (12 RBC) lors d’un échange d’unité baptisé Exercice CHEVALIER TRICOLORE, du  10 au 25 mars.  

 

Cinquante membres de l’Escadron D (Esc D) ont eu la chance d’être les tous premiers à bénéficier  de cet échange.  En effet, ils ont eu l’occasion  de se rendre  en France pour rencontrer leurs homologues du 4ème RCh, stationné dans  la ville de Gap,  dans le département  des Hautes-Alpes françaises. Ville de 40 000 habitants, Gap se situe à 750m d’altitude. Sa position géographique idéale la place au carrefour des grandes routes touristiques des Alpes. Le 4ème RCh est le régiment de reconnaissance de la 27ème Brigade d’Infanterie de Montagne. Il compte 3 escadrons de combat blindé, 1 escadron de reconnaissance et d’intervention antichars, 1 escadron de commandement et de logistique et 1 escadron de réserve.

 

 « L’objectif de cet échange est  de créer une ‘surface’ de contact, permettant de développer la connaissance réciproque et d’échanger des savoir-faire. Il ne s’agit pas de créer des activités supplémentaires, mais de sélectionner dans le programme d’entraînement du régiment, les exercices qui peuvent offrir un intérêt mutuel et d’y  additionner une participation étrangère. Cela rend l’entraînement des unités plus excitant sans nécessiter un gros investissement budgétaire supplémentaire ; C’est une formule  gagnant, gagnant, »  dit le Lieutenant-colonel Nicolas Lallemand de Driésen. Le Lcol Lallemand de Driésen est l’officier de liaison de l’armée de Terre française auprès de l’Armée canadienn. Inséré Au QG de l’ Armée,  à Ottawa, depuis août  2012, pour un séjour de  trois ans,il s’occupe également de l’entraînement  des forces étrangères au Canada.

 

La splendeur des paysages alpins a immédiatement  laissé les participants de l’escadron D bouche bée. A leur arrivée au Quartier Général Guillaume où est implanté le  4e Régiment de Chasseurs, ils ont été très chaleureusement accueillis par leurs homologues  français et ce contact initial a été facilité par la langue commune. Une forte cohésion s’est ensuite rapidement développée entre les membres de l’Esc D et ceux du 4e Régiment de chasseurs, notamment au cours d’un challenge sportif qui a permis à chacun de faire la preuve de ses capacités. Une fois les présentations terminées, l’entraînement a débuté. 

 

Ce que nos confrères français avaient planifié pour leurs cousins québécois débuta par la présentation de leurs armes de service (FAMAS et PAMAS) suivi d’une séance de  tir afin d’en faire l’essai.  À cette occasion, les membres de l’Esc D ont pu en profiter pour se familiariser avec cette arme tout en démontrant leurs talents de tireurs.  Par la suite, nos confrères français enchaînèrent avec la conduite d’une variété de présentations portant sur l’histoire régimentaire, de kiosques portant sur leur nouvelle arme, de démonstration de leur simulateur de tir ainsi que de d’un atelier pratique de canonnerie sur celui-ci.  De plus, les membres de l’Esc D ont eu l’opportunité de conduire les véhicules blindés français, dont leur Véhicule Blindé Léger (VBL) ainsi que l’Engin de Reconnaissance Roues -  Canon de 90mm (ERC 90).

 

En fin de la première semaine, l’Esc D à pu assister à des leçons plus spécifiques sur les méthodes et techniques employées en montagne, qui ont été rapidement mises en pratique lors de la portion d’entraînement en montagne.

 

Le début de la deuxième semaine débuta avec le déplacement vers le Poste Militaire de Montagne suivi d’une évaluation en ski, mais pas à n’importe quel endroit, mais bien sur une piste de ski d’une station des Alpes.  Une fois l’initiation complétée, des leçons de perfectionnement sur les techniques de ski furent dispensées.

 

La première sortie en ski de fond s’est avérée être une épreuve physique de haute intensité pour les membres de l’Esc D. Le  parcours d’environ  10 km avec  une dénivelée de 500 mètres a été un véritable  choc pour certains  participants, habitués à un relief moins prononcé. Des sorties en montagne, de difficulté variée, se sont enchaînées les jours suivants.  Les montées en ski de fond sur différents terrains, parfois très abrupts, parfois plus vallonnés, ont chaque fois offert  un défi de taille aux membres de l’Esc D. L’exercice CHEVALIER TRICOLORE s’est achevé  sur  un dernier moment de camaraderie entre Canadiens et Français : un échange de cadeaux, de grades, de bérets en guise de souvenirs de leur rencontre et de leur aventure. 

 

La relation militaire franco-canadienne demeure vivace .

«  La relation militaire franco-canadienne est ancienne. Elle était autrefois facilitée par la proximité de nos forces en Allemagne et par les nombreux contacts  qui avaient été développés entre régiments canadiens et français. Les réorganisations structurelles post-Guerre froide, puis le tempo opérationnel intense lié aux opérations en Afghanistan, ont causé l’amenuisement progressif de nos activités communes, »  explique Lcol Lallemand de Driésen.

« Toutefois, en  2010 le Général Natynczyck et l’Amiral Guillaud ont décidé de renforcer les relations militaires et,  en 2013, le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault et le Premier ministre Stephan Harper ont  donné une impulsion supplémentaire à la relation commune en signant un  accord bilatéral interministériel qui se décline aussi dans le domaine de la Défense. » 

 

Finalement, c’est sans aucun doute que l’on peut affirmer que les militaires de l’Esc D sont sortis grandis de cette expérience nouvelle et qu’ils en conserveront  de magnifiques souvenirs  pour le reste de leur vie. Ils se préparent désormais à accueillir à leur tour leurs camarades du 4ème RCh l’hiver prochain à Valcartier.

 

 

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:55
À vos marques, prêts… tirez ! Crédits 1er RCh

À vos marques, prêts… tirez ! Crédits 1er RCh

 

 

25/03/2014 J. SEVERIN - Armée de Terre

 

Du 10 au 22 mars, huit équipages du 1er régiment de chasseurs étaient à Canjuers, pour un exercice de tir à partir de blindés ERC 90 Sagaie. Un premier rendez-vous opérationnel pour les chasseurs de Conti Cavalerie, habituellement sur chars Leclerc, avant la projection d’un escadron en Côte d’Ivoire, en octobre 2014, sur ces blindés légers.

 

L’objectif fixé par le commandant du 2e escadron était d’évaluer ses hommes après 2 mois de formation sur Sagaie. Pour le BCH Yohann Beal, occupant depuis 9 ans le poste de tireur au sein d’un équipage et déjà projeté sur ce blindé au Tchad, au Sénégal et en Côte d’Ivoire : « L’ERC 90 Sagaie fait plus appel aux fondamentaux du tir et sa prise en main est beaucoup plus manuelle que le Leclerc. Pour moi, la préparation du tir en amont est nécessaire car ce blindé n’est pas équipé de capteurs. Mais s’y adapter n’est pas très difficile pour les équipages Leclerc et nous retirons autant de satisfactions. »

 

Au total, 100 obus de 90mm et plus 4 000 cartouches de 7,62 et de 12,7 mm ont été tirés par les chasseurs sur le pas de tir des Amandiers et sur le parcours de tirs de Lagne, de jour comme de nuit.

À vos marques, prêts… tirez !
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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:50
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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 11:55
Le cinquième escadron du 1er REC dissous

 

22/03/2014 ledauphine.com

 

Le 1er Régiment Etranger de Cavalerie était réuni pour saluer une dernière fois le fanion du 5e Escadron, dissous. La plupart des 70 légionnaires qui le composaient basculeront dans le 4e Escadron, qui sera alors réorganisé en « escadron de reconnaissance et d’intervention ». Les autres renforceront les 2e et 3e Escadrons. Quant au Capitaine Brulais, il est muté à Paris au Centre de doctrine d’emploi des forces de l’armée de terre. Cette dissolution est le premier acte des restructurations des unités, encadrées par la loi de programmation militaire 2014-2019. Plus d’informations dans l’édition Vaucluse-matin du 23 Mars.

5e escadron (EAE).

5e escadron (EAE).

source 1e REC

 

Tête de légionnaire romain coiffé d'un casque à boule à l'intérieur d'un cercle plat d'argent marqué 5/1REC. Le légionnaire romain rend hommage aux troupes romaines qui ont précédé la Légion sur le sol africain. Cet insigne est le plus vieux du régiment encore porté et l'un des plus anciens de l'armée française, il fut créé en 1935 par le capitaine Marion.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 20:55
Hors-série prometteur - La cavalerie au combat : récits et témoignages

13.03.2014 F de St V. - Mars Attaque

 
Les éditions Caraktère sortent d'ici quelques jours un hors-série exceptionnel sur la cavalerie française au combat. En effet, le HS n°24 de Batailles et blindés sera entièrement consacré à l'engagement des différentes unités de l'arme blindé cavalerie (lourde, légère, renseignement, etc.).
 
En plus de la présentation de la cavalerie aujourd'hui (doctrine, organisation, etc.), et avec la qualité que nous connaissons aux publications de cette maison d'édition, ce numéro fera la part belle aux témoignages des acteurs engagés au Mali, en Afghanistan, en Côte-d'Ivoire, au Tchad, etc.
 
 
Plus de 200 illustrations (dont un certain nombre sont inédites) viendront compléter les 150 pages de ce magazine, entièrement rédigé par des cavaliers (officiers, sous-officiers, militaires du rang), avec 15 pages d'infographies présentant les principaux matériels en 3D (Leclerc, VB2L, AMX-10RCR).
 
 
A mettre dans toutes les mains pour découvrir ou mieux comprendre en quoi la cavalerie via toutes ses composantes a été et sera au cœur de la mêlée et du combat interarmes d'hier et de demain.
 
C'est en plus un bel hommage rendu à tous ces cavaliers engagés aujourd'hui quotidiennement en opérations et dans quasiment toutes les dernières opérations menées par les armées françaises.

Très bientôt dans les kiosques.

A NOTER : les bénéfices des ventes de ce numéro seront intégralement reversés à l'association "Terre Fraternité" qui accompagne les blessés de l'armée de Terre, et leurs proches.
 
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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:40
La Russie organise des JO d’été pour les blindés !

 

28 février, 2014 Guillaume Belan



La réussite des jeux olympiques d’hiver, qui viennent de s’achever à Sotchi, semble faire des émules chez les militaires russes ! Car c’est très sérieusement que les autorités militaires russes vont organiser du 26 juillet au 9 août prochain, des Jeux Olympiques pour véhicules blindés !

 

Baptisée Tank Biathlon, l’épreuve se déroulera sur le polygone d’Alabino, près de Moscou. Il s’agit de la seconde édition de ces biathlons pour blindés, qui avaient mobilisé quatre pays (Russie ; Kazakhstan ; Biélorussie et Arménie) l’année précédente. Cette année, c’est pas moins de 20 pays qui sont attendus et 5000 spectateurs ! Sont attendus bon nombre d ’équipages de blindés provenant des anciennes républiques de l’URSS (Tadjikistan,  T-72 modernisés tchèques…) mais également des équipages occidentaux : une délégations allemande sur Léopard 2A7, des américains sur chars Abrams M1A2 SE, des grecs, des chinois sur chars Type 99 ou encore des italiens sur Ariete C1. Malheureusement, pas de précision sur une éventuelle participation de l’armée de terre avec ses Leclerc…

 

Carte des épreuves du Tank Biathlon (crédits: Izvestia)

Carte des épreuves du Tank Biathlon
(crédits: Izvestia)

 

Pour cette édition 2014, vu la forte augmentation des participants, Moscou n’a pas hésité à dépenser plus de 20 millions d’euros pour moderniser et élargir les infrastructures du polygone d’Alabino. Les règles s’assouplissent pour accepter la participation des BMP avec des parcours dédiés; les pistes et obstacles sont améliorés, élargis et allongés, avec pour cette édition, du tir sur cible mobiles radiocommandées terrestres et aériennes. Mais également franchissements d’obstacles, parcours amphibie, une grande place pour la remise des médailles aux équipages et leurs montures, une partie exposition statique, des emplacements pour du tirs en mouvement, un PC modernisé et une tribune de 5000 places. Rien que ça! Les autorités militaires russes précisent néanmoins que ces parcours serviront également durant l’année à l’instruction des équipages de blindés russes. A vos pronostics!

 

Pour les curieux, à voir ce petit film Youtube sur le Tank Biathlon de l’année dernière, qui ne comptait la participation que de T-72

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 07:45
Le Mali remet son armée à niveau

 

 

10-03-2014 par RFI

 

Outre la formation des hommes de troupe actuellement assurée par les instructeurs de pays de l'Union européenne, le ministère malien de la Défense vient de lancer une formation en interne de quelques milliers de militaires.

 

La formation professionnelle en interne fait partie des fondamentaux d’une armée régulière. Or depuis 2008, les militaires maliens n’ont pas subi ces cycles de formation. Celles-ci se déroulent actuellement dans au moins six localités du Mali et dans plusieurs domaines : les transmissions, l’infanterie, les blindés. À cause de la situation dans le nord du pays, un des cycles de formation est intitulé : « face au risque terroriste ».

 

Jusqu’au mois de janvier 2015, 8 000 militaires, tous corps confondus, sont donc concernés par cette véritable remise à niveau qui doit déboucher sur l’élaboration d’un plan de carrière dans l’armée malienne. On ne devrait donc plus voir des capitaines mystérieusement bombardés généraux sans avoir mis les pieds dans une école de guerre, ou des sous-officiers porter du jour au lendemain des galons d’officiers. Malgré la crise économique, c’est le budget national qui prend en charge le coût financier de l’opération : environ 2 milliards de FCFA.

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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 13:45
Djibouti : les FFDj accueillent 140 élèves officiers

 

19/02/2014 Sources : EMA

 

Du 11 au 25 janvier 2014, dans le cadre d’un partenariat de formation, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont accueilli près de 140 officiers des écoles d’infanterie et de cavalerie pour un stage opérationnel, essentiel à leur cursus de formation.

 

Le 5e régiment interarmées d’Outre-mer (RIAOM) a mis à disposition des AMX 10 RC et des véhicule de l’avant-blindé (VAB), les hélicoptères Puma et Gazelle du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT), des troupes de manœuvre et des instructeurs pour offrir aux 106 stagiaires de l’école d’infanterie de Draguignan et aux 26 stagiaires de l’école de cavalerie de Saumur une formation de très haut niveau.

 

Le stage était différent selon la spécialisation. Les officiers d’infanterie se sont rendus au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD) où ils se sont entraînés à la survie et au combat en milieu désertique. Ils ont aussi découvert le parcours nautique et suivi une instruction au combat de contre insurrection. Les stagiaires ont ensuite profité des reliefs et des zones d’entraînement des FFDj pour des séances de tir du niveau du détachement interarmes (DIA) ainsi que des exercices de combat, dont l’exercice de synthèse « jeunes chefs » du niveau SGTIA infanterie. Les officiers de cavalerie étaient là quant à eux pour utiliser le matériel, piloter les AMX10 RC et manœuvrer en conditions réelles avec eux. Ils ont ainsi pu exploiter au maximum les possibilités de manœuvre offertes par les terrains d’entraînement de Djibouti, notamment lors d’un exercice du niveau sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) à dominante blindé.

 

Le général Wattecamps, commandant les écoles de Draguignan et le général Sainte-Claire Deville, commandant les écoles de Saumur ont également participé à ces manœuvres sur le territoire djiboutien en compagnie de leurs stagiaires.

 

Les FFDj accueillent tout au long de l’année des unités des trois armées qui trouvent à Djibouti des conditions d’entraînement difficiles les préparant parfaitement au contexte des engagements actuels de l’armée française.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante (soutien des bâtiments de guerre et des actions de patrouille maritime,soutien santé). Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente,avec le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

Djibouti : les FFDj accueillent 140 élèves officiersDjibouti : les FFDj accueillent 140 élèves officiers
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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 12:54
Décès du Général de division (2S) Raymond Le Corre

 

23.01.2014 legionetrangere.fr

 

Commandant la Légion étrangère entre 1988 et 1992, le général Raymond le Corre est décédé le 23 janvier 2014 à Roquefort-la-Bedoule (Bouches-du-Rhône) à l'âge de 80 ans.

 

Né le 31 octobre 1933 à Saint Etienne dans la Loire, admis à l’école spéciale militaire interarmes en octobre 1953, en qualité de Saint-Cyrien, il est nommé sous-lieutenant le 1er octobre 1955.

 

Après l’école d’application de l’Arme blindée et cavalerie, il est affecté au 2ème régiment de spahis au Maroc avec le grade de lieutenant, pour compter du 1er octobre 1957. Il prend les fonctions de chef de peloton jusqu’en août 1959.

 

Désigné le 1er janvier 1960 pour servir en Algérie, il rejoint le 1er régiment étranger de cavalerie comme chef de peloton jusqu’en septembre 1962.

 

A l’issue, il rejoint l’enseignement militaire supérieur scientifique et technique en qualité de stagiaire jusqu’en mai 1966. Il y est promu au grade de capitaine, le 1er janvier 1963.

 

De juillet 1966 à juin 1968, il commande le 3ème escadron du 1er REC.

 

Officier expérimentateur à la section technique de l’armée jusqu’en août 1971, il y est promu au grade de chef d’escadrons le 1er juillet 1970. Il est désigné stagiaire de la 85ème promotion à l’école supérieure de guerre.

 

Du 1er août 1973 au 1er août 1975, il est affecté à l’état-major du 1er corps d’armée en qualité de chef de la section “Plans-Etudes”.

 

En août 1975, il est muté au 6ème régiment de cuirassiers à Laon-Couvron, comme commandant en second.

 

Il est promu au grade de lieutenant-colonel le 1er juin 1976.

 

De septembre 1977 à septembre 1979, il commande le 1er REC à Orange. Après quoi, il rejoint l’état-major de l’Armée en qualité de rédacteur à la section “Plans”. Dès son arrivée, il est promu au grade de colonel, le 1er octobre.

 

Le 10 juillet 1981, il rejoint le groupement de Légion étrangère et la 31ème Brigade en qualité d’adjoint au général. En juillet 1984, le GLE devient COMLE.

 

En novembre 1985, il est affecté à l’état-major de la 10ème division blindée à Châlons-sur-Marne.

 

Il est alors admis en section des officiers généraux le 1er janvier 1986.

 

Le 1er juillet 1988, il prend le commandement de la Légion étrangère à Aubagne, il est promu au grade de général de division le 1er septembre 1990.

 

Officier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, il est titulaire de trois citations avec croix de la valeur militaire.

 

“La richesse de sa personnalité, ses brillantes qualités intellectuelles, humaines et militaires, son passé d’officier de Légion lui ont permis d’exercer, depuis quatre ans, le commandement de la Légion étrangère dont il a su préserver les nobles traditions tout en accompagnant l’évolution de l’armée de terre.

Homme de terrain et de contact autant que de pensée, ingénieur et tacticien, il est un chef militaire de valeur dont la personnalité a marqué la Légion étrangère et l’armée de terre”.

A Paris le 31 août 1992 - Général d’armée Montchal, Chef d’état-major de l’armée de terre.

 

Le général Le Corre, président du conseil d’administration de la “Maison du légionnaire” à Auriol aimait raconter le compliment fait à son encontre par un sous-officier au moment où il quittait le commandement du 1er Etranger:

“Mon colonel, il y a des officiers que nous respectons, vous êtes de ceux que nous estimons.”

 

Une cérémonie religieuse s'est déroulée le 27 janvier à l'église Saint-Florent à Orange (Vaucluse) devant laquelle lui ont été rendus les honneurs militaires. Le général Le Corre est inhumé au carré Légion du cimetière du Coudoulet. (source Henri Weill)

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26 janvier 2014 7 26 /01 /janvier /2014 12:55
Lancement des 250 ans d’Esterhazy Houzards

 

21/01/2014 ASP M. FOUQUET - Armée de Terre

 

« L’identité du hussard du XVIIIe siècle et l’identité du hussard du XXIe siècle sont les mêmes : bien faire son devoir, driller son unité, s’entraîner avec une inaltérable motivation et être pleinement efficace en opération. C’est ce que nous manifestons lorsque nous disons, haut et fort : Esterhazy, je suis ! » déclare le colonel Bourdeau de Fontenay chef de corps du 3e RH, lors des activités commémorant le 250e anniversaire de son régiment. Créé le 10 février 1764 à Phalsbourg, par le comte Valentin Ladislas Esterhazy, cette unité a rendu hommage à son fondateur avec l’exercice « Valentin », qui s’est déroulé à Metz, le 16 janvier dernier.

 

Au programme de la journée : cohésion et aguerrissement. Des activités de dépassement de soi chères à toutes ces générations de hussards. La journée a débuté par une marche d’environ 15 km jusqu’au Fort de Queuleu, suivie d’un parcours rustique, constitué d’ateliers divers tels que le franchissement de mur vertical, la tyrolienne simple ou le ramper sous filer.

 

L’exercice Valentin s’est terminé par la traversée de la ville de Metz jusqu’à la caserne Séré de Rivières, où le 3e RH a pris ses quartiers en juillet 2011.

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 11:55
Le général Pierre de Villiers prend la tête de l'état-major des armées

Pierre de Villiers, 57 ans, était le major général des armées depuis trois ans.

 

15.01.2014 Par Nathalie Guibert - Le Monde.fr

 

L'armée française change de tête. Atteint par la limite d'âge, l'amiral Edouard Guillaud cède sa place de chef d'état-major des armées à son numéro deux, un « terrien », le général Pierre de Villiers, 57 ans. Ce cavalier, qui a commandé le régiment de chars de combat de Mourmelon, était le major général des armées depuis trois ans.

 

La décision a été inscrite à l'ordre du jour du conseil des ministres de mercredi 15 janvier. L'amiral Guillaud doit pour sa part poursuivre sa carrière à la tête de l'ODAS, la société chargée des ventes d'armement entre la France et l'Arabie saoudite, où il remplacera un autre amiral.

 

La continuité est donc de mise, du moins dans l'affichage. Le président de la République — qui est le chef des armées selon la Constitution — a fait un choix de compétence, disent les spécialistes de la défense. Le général de Villiers, né en Vendée comme son frère cadet, l'homme politique souverainiste Philippe de Villiers, est un planificateur et un analyste des moyens : il a accompagné toute la préparation de la loi de programmation militaire 2014-2019 auprès du chef d'état-major et saura répondre au pouvoir politique au moment où les trois armées encaissent les chocs des réductions d'effectif. François Hollande avait déjà choisi de maintenir l'amiral Guillaud, qui venait de l'Elysée et avait été nommé par Nicolas Sarkozy.

 

DROITE CATHOLIQUE TRADITIONNELLE

 

Ancien chef de cabinet militaire du premier ministre François Fillon, le général de Villiers avait été donné gagnant pour le poste de chef d'état-major particulier du président de la République en mars 2010. Il s'était vu in extremis souffler la place par le général Benoit Puga, un légionnaire au profil très opérationnel, à qui M. Sarkozy avait trouvé l'avantage d'avoir été successivement le patron des opérations spéciales et du renseignement militaire.

 

Les deux plus hauts gradés français choisis par François Hollande sont aujourd'hui des figures assez similaires d'officiers généraux de l'armée de terre, dont la culture familiale est celle de la droite catholique traditionnelle. Le père du général Puga, Hubert Puga, avait engagé son régiment de chars, le 27e Dragons, dans le pustch d'Alger de 1961, et avait ensuite rejoint l'OAS. Le général de Villiers est lui aussi fils d'officier ; Jacques de Villiers, médaillé de la Résistance, a été incarcéré après la guerre d'Algérie pour son implication dans les activités de l'OAS dans l'ouest de la France.

 

GUILLAUD QUITTE UNE INSTITUTION « FRAGILISÉE »

 

« Ce sont des officiers généraux très compétents à n'en pas douter. Mais les équilibres choisis par Hollande ont un côté “Mitterrand et l'OAS” », commente un expert de la défense classé à gauche. « On peut caricaturer en disant que l'on a les francs-maçons au cabinet du ministre et les cathos dans la haute hiérarchie militaire. »

 

L'amiral Guillaud quitte une institution qu'il a lui-même décrite comme « fragilisée » par le trop-plein des réformes engagées depuis 2009. Il se voit accorder d'avoir bien préparé les dernières opérations militaires françaises, Libye, retrait d'Afghanistan, Mali. Mais si les politiques saluent sa souplesse, les militaires l'accusent de faiblesse… pour avoir accepté de trop grandes réductions de moyens et d'effectifs (suppression de quatre-vingt mille emplois prévue entre 2009 et 2019).

 

En outre, les prérogatives du chef d'état-major des armées viennent, au nom d'une meilleure performance du ministère de la défense, d'être rognées au profit des grands adjoints civils du ministre – le secrétaire général pour l'administration, le délégué général pour l'armement et le directeur aux affaires stratégiques. Son successeur arrive à l'heure de la mise en œuvre de ces réformes difficiles.

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12 janvier 2014 7 12 /01 /janvier /2014 12:50
Kosovo : déploiement de l’EEI sur Camp Cabra, au Nord du Kosovo

 

10/01/2014 Sources : EMA

 

Le 7 janvier 2014, l’escadron d’éclairage et d’investigation (EEI) français engagé au sein de la KFOR au Kosovo s’est déployé à Camp Cabra pour relever le contingent marocain.

 

L’EEI, armé par le 12e RC d’Olivet, est déployé à Camp Cabra jusqu’au 2 février. A partir de ce camp, les militaires français conduiront des patrouilles de reconnaissance ou de surveillance du trafic routier à la frontière entre le Kosovo et la Serbie. Ils arment par ailleurs une QRF (Quick Reaction Force) au profit de la KFOR.

 

L’EEI, dans le cadre de son mandat de la KFOR, participe au maintien d’un environnement sûr et sécurisé au profit de l’ensemble de la population du Kosovo, en coopération avec la Mission des Nations unies au Kosovo (MINUK) et la mission de l’Union européenne (EULEX). Environ 320 militaires français sont engagés dans l’opération TRIDENT, nom de la participation française à la KFOR, avec une unité de manœuvre (l’EEI) et un élément de soutien national (ESN).

Kosovo : déploiement de l’EEI sur Camp Cabra, au Nord du KosovoKosovo : déploiement de l’EEI sur Camp Cabra, au Nord du Kosovo
Kosovo : déploiement de l’EEI sur Camp Cabra, au Nord du Kosovo
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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 19:55
S’aguerrir pour mieux combattre

Une section du régiment de marche du Tchad durant le parcours d'aguerrissement au 12e Régiment de cuirassiers à Olivet pour la MCP Tchad. Crédit : JB.Tabone/SIRPATerre

 

23/12/2013 Armée de Terre

 

Sous le signe du 12, du 9 au 13 décembre 2013, le 12é régiment de cuirassiers (12e RC)  a organisé un rallye aguerrissement. 12 sections, 12 ateliers, 12 heures d’épreuves non-stop, pour la mise en condition de 350 soldats avant leur projection au Tchad.

 

Force, rusticité, dépassement de soi, gestion du stress, savoir-faire du combat, du secourisme et de la lutte contre-IED, constituaient les objectifs de ce stage intensif. Des épreuves qui ont favorisé le renforcement de la cohésion, l’aguerrissement du groupement Epervier, le travail en commun. Un exercice qui permet aussi de commander et de gérer ses hommes en situation de stress et de fatigue. Une mise en condition indispensable pour être opérationnels en février 2014, sur le terrain.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 17:45
FFG : DIO au profit des forces gabonaises

 

 

02/12/2013 Sources : EMA

 

Du 21 au 31 octobre 2013, les forces françaises au Gabon (FFG) ont conduit un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) au profit des forces gabonaises. Elles seront engagées au sein d’une force multinationale en République Centrafricaine.

 

Les militaires français du peloton blindé du 6e bataillon d’infanterie de Marine (6e BIMa) ont ainsi donné des enseignements techniques et tactiques à des éléments de la garde républicaine gabonaise (GR) et au 2e escadron du bataillon de reconnaissance et de combat (2e ERC). L’apprentissage du combat blindé aux différents niveaux (engin, escouade, peloton) a été complété par la révision des savoir-faire fondamentaux d’instruction sur le tir de combat (ISTC), le sauvetage au combat ou encore les techniques d’intervention opérationnelle rapprochée (TIOR). L’exercice de synthèse s’est déroulé les 29 et 30 octobre au Cap Santa-Clara, à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Libreville.

 

Depuis le début de l’année 2013, le 6èmeBIMa a conduit une dizaine de DIO au profit de l’armée gabonaise et d’armées étrangères. Près de 2600 stagiaires ont été formé par les FFG, dont un millier sont actuellement déployés en opération.

 

Les détachements d’instruction réalisés par les FFG au profit des forces armées des pays de la CEEAC s’inscrivent dans le cadre de la coopération militaire régionale française en Afrique. Mise en œuvre par les forces prépositionnées, cette coopération opérationnelle a pour objectif de soutenir nos partenaires africains dans le renforcement de leur capacité militaires et de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix.

 

Avec 940 militaires déployés au Gabon, les FFG constituent la 4ème base militaire permanente prépositionnée en Afrique, après Dakar, Djibouti et la Réunion. Elles constituent un réservoir de forces à dominante aéroterrestre, ayant des capacités aéroportée et amphibie. Les FFG sont projetables dans la sous-région dans le cadre des opérations. Si nécessaire, elles sont également en mesure d’assurer la sécurité des ressortissants français. Ainsi, les FFG arment un détachement permanent basé à Bangui, dans le cadre de l’opération Boali. Par ailleurs et conformément à l’accord de partenariat de défense signé en 2010 avec le Gabon, les FFG assurent des missions de coopération bilatérale avec les forces armées gabonaises.

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