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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 06:30
Carte des pays pour ou contre des frappes en Syrie (Infographie Ide avec Libération) - 09.09.2013

Carte des pays pour ou contre des frappes en Syrie (Infographie Ide avec Libération) - 09.09.2013

WASHINGTON, 10 septembre - RIA Novosti

 

La diplomatie demeure la priorité de la Maison Blanche pour résoudre le problème syrien malgré la discussion en cours sur une opération militaire, a affirmé mardi le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel.

 

"La diplomatie a été et reste la priorité du président Obama dans ce dossier", a déclaré le chef du Pentagone lors d'une audition devant la commission de la Défense de la Chambre des représentants.

 

Il a toutefois indiqué que ces derniers temps, des obstacles avaient surgi sur la voie de résolution diplomatique, notamment en raison du blocage par la Russie des résolutions au Conseil de sécurité des Nations unies.

 

Le régime de Bachar el-Assad est accusé par les pays occidentaux d'avoir perpétré près de Damas le 21 août dernier un massacre à l'arme chimique de plusieurs centaines de personnes. Washington et Paris proposent d'y répondre par des frappes militaires. Les autorités syriennes démentent formellement avoir perpétré cette attaque.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 22:40
Chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov

Chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov

MOSCOU, 10 septembre - RIA Novosti

 

La Russie présentera prochainement un plan destiné à réaliser son initiative visant à placer les armes chimiques en Syrie sous contrôle international, a déclaré mardi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.

 

"La Russie prépare actuellement un plan réel, concret et détaillé, tout en restant en contact permanent avec la partie syrienne. Nous envisageons de présenter ce plan très prochainement, et sommes prêts à le modifier et à en discuter avec le secrétaire général de l'Onu, les membres du Conseil de sécurité de l'Onu et les organisations chargées de contrôler le non-recours à l'arme chimique", a indiqué le ministre russe des Affaires étrangères lors d'une conférence de presse à l'issue d'un entretien avec son homologue libyen.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 22:30
photo MAE F de La Mure

photo MAE F de La Mure

WASHINGTON, 10 septembre - RIA Novosti

 

Placer les arsenaux chimiques sous contrôle international pourrait régler le problème de ces armes en Syrie, mais cette proposition est difficile à réaliser, et Washington ne peut pas attendre longtemps, a déclaré mardi le secrétaire d'Etat américain John Kerry lors de débats à la Chambre des représentants du Congrès.

 

"Une telle mesure apporterait une solution définitive au problème des armes chimiques syriennes, mais elle serait extrêmement difficile à mettre en œuvre", a indiqué M. Kerry.

 

Selon lui, Moscou et Damas doivent démontrer dans les plus brefs délais le sérieux de leurs intentions.

 

"Nous ne pouvons pas attendre longtemps", a souligné le secrétaire d'Etat.

 

D'après le chef de la diplomatie américaine, si la Russie a proposé d'établir un contrôle international sur les armes chimiques syriennes, c'est parce que les Etats-Unis ont menacé de recourir à la force.

 

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a appelé lundi Damas à placer les arsenaux chimiques syriens sous contrôle international pour ensuite les détruire. Il a également invité la Syrie à rejoindre pleinement l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques.

 

Selon le président américain Barack Obama, cette initiative "pourrait constituer une percée importante".

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 19:30
Syrie: la proposition russe met l’éventuelle intervention militaire entre parenthèses

10/09/2013 par Gaëtan Barralon – 45eNord.ca

 

Au lendemain de la proposition formulée par Moscou, la communauté internationale a accueilli d’un œil bienveillant mais méfiant cette éventuelle mise sous contrôle international de l’arsenal chimique syrien.

 

Un véritable contre-pied. En proposant de placer le stock d’armes chimiques du régime syrien sous contrôle international, Vladimir Poutine a pris à revers l’ensemble des acteurs diplomatiques. Principal allié de Bachar al-Assad, le président russe tente ainsi d’empêcher toute frappe militaire sur le territoire syrien.

 

Une manœuvre qui semble porter ses fruits puisque les États-Unis comme la France ont assuré qu’ils allaient considérer cette proposition. Les deux principaux défenseurs d’une intervention militaire pourraient bel et bien reculer devant ce renversement de situation.

 

Prévu mercredi, le vote de procédure au Sénat américain sur un éventuel recours à la force en Syrie a été reporté à une date indéterminée. «Je ne pense pas que nous ayons besoin» de voter rapidement, a annoncé le chef de la majorité démocrate du Sénat, Harry Reid.

 

Barack Obama a, de son côté, déclaré que cette proposition russe pourrait constituer une «percée importante» dans la résolution du conflit. Si les dirigeants américains restent méfiants quant au bien-fondé de cette volonté de Moscou, ils ont néanmoins pu profiter de celle-ci pour s’offrir un certain répit au cœur de cette tourmente diplomatique sans trêve.

 

La France va déposer un projet de résolution aux Nations unies

 

Du côté de Paris, en revanche, pas question d’abandonner la perspective d’une intervention militaire mise en avant par le président François Hollande. Lundi, le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a poursuivi sur la ligne offensive de son chef d’État. La proposition russe est «recevable à au moins trois conditions», a déclaré Laurent Fabius, réclamant «des engagements précis, rapides et vérifiables de la part du régime syrien».

 

Bachar el-Assad «doit s’engager sans délai à mettre sous contrôle international et à laisser détruire l’ensemble de son arsenal chimique», et «cette opération doit se faire sur la base d’une résolution contraignante du Conseil de sécurité, avec un calendrier court et des conséquences fermes s’il ne respectait pas ses engagements», a-t-il ajouté.

 

La France n’entend plus perdre de temps. Paris va ainsi déposer, ce mardi, un projet de résolution au Conseil de sécurité de l’ONU. La diplomatie française entend ainsi autoriser un recours à la force en cas de manquement aux obligations.

 

Ce projet vise à «exiger de ce régime qu’il fasse sans délai toute la lumière sur son programme d’armes chimiques, qu’il le place sous contrôle international et qu’il soit démantelé», a déclaré Laurent Fabius devant la presse.

 

Ce dernier a ajouté que la résolution aurait également pour but de «mettre en place un dispositif complet d’inspection et de contrôle de ses obligations sous l’égide de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC)».

 

Suite de l’article

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 18:30
EU HR Ashton welcomes proposal to place Syria's chemical weapons under international control

10/9/2013 EU source: European Union - Ref: EU13-500EN

 

Summary: 10 September 2013, Brussels - Catherine Ashton, High Representative of the Union for Foreign Affairs and Security Policy, made today the following statement on the proposal to place Syria's chemical weapons under international control:

 

"I welcome the proposal for the Syrian regime to hand over its chemical weapons and to place them under international control. This now needs to be fully worked up as quickly as possible including the details of its implications in terms of safe storage, verification and destruction. The EU stands ready to fully support any proposal and its implementation.

 

The EU is working closely with our international partners on this issue and I welcome the statement by UN Secretary General Ban Ki-moon and the intention of France to introduce a Resolution in the UN Security Council to give effect to the proposal.

 

The EU calls on Syria to accede to the Chemical Weapons Convention and to ratify the Biological Weapons Convention as a matter of urgency. We look to the Syrian authorities to take full responsibility for ensuring that their chemical weapons are stored securely pending independently verified destruction and are not permitted to fall into the hands of any other State or non-state actor.

 

I hope that these developments will facilitate the resumption of efforts towards a political solution to the Syrian conflict. I urge all partners in the international community to seize this momentum to reinvigorate the process leading to the swift holding of a peace conference on Syria as proposed in the US-Russia initiative."

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 18:30
Olivier Lepick : «Une dizaine d'années pour détruire les armes chimiques syriennes»

10/09/2013 Par Thierry Portes – LeFigaro.fr

 

INTERVIEW - Recenser puis détruire en Syrie des agents chimiques nécessitera beaucoup de temps et d'investissements de la communauté internationale, explique au Figaro Olivier Lepick, chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique, spécialiste de ce domaine.

 

LE FIGARO - La proposition russe de placer sous contrôle international l'arsenal d'armes chimiques syrien est-elle réaliste?

 

Olivier LEPICK - Elle est particulièrement habile, et même diabolique, car elle a l'apparence du bon sens et de la bienveillance. La personne qui ne connaît pas le dossier peut penser que ce processus de destruction va être immédiat et qu'il est facile à mettre en œuvre. Rien n'est moins vrai: il est certes techniquement possible de contrôler et de détruire des agents chimiques, mais il faut au minimum une bonne dizaine d'années pour conduire un tel programme.

 

Suite de l'interview

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:30
Syrie : la France va déposer un projet de résolution à l'ONU

10.09.2013 Le Monde.fr (AFP)

 

Laurent Fabius a répondu à la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous contrôle international en annonçant mardi 10 septembre le dépôt "dans la journée" d'un projet de résolution française auprès du Conseil de sécurité de l'ONU visant à "condamner le massacre du 21 août commis par le régime" et "exiger la lumière" sur le programme syrien d'armes chimiques.

 

Suite de l'article

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 06:30
Syrie : Obama prêt à saisir au bon la proposition russe de sortie de crise

 

10/09/2013 Par Laure Mandeville Correspondante à Washington – LeFigaro.fr

 

Tout en restant prudent, le président américain estime que le coup de théâtre spectaculaire orchestré par Moscou, qui propose de mettre l'arsenal chimique syrien sous contrôle de l'ONU, est un développement «positif» qui, s'il s'avérait, serait l'option qu'il préfèrerait.

 

Le pouvoir russe volant au secours d'Obama, au moment où il risque un camouflet au Congrès sur son plan d'action militaire en Syrie? Le scénario paraît trop beau pour être vrai, vu l'état des relations bilatérales et la manière dont la Russie de Poutine a jusqu'ici enterré systématiquement toute chance de solution diplomatique de la crise syrienne au Conseil de sécurité de l'ONU. Et pourtant, dans un coup de théâtre spectaculaire, qui pourrait redorer leur blason diplomatique et leur conférer un rôle de médiateur indispensable, les Russes ont proposé lundi, par la voix de leur ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, que les Syriens mettent leur arsenal chimique sous contrôle de l'ONU, dans le but de le détruire, et qu'ils échappent ainsi à une attaque militaire américaine. Ils ont précisé avoir évoqué avec Damas cette éventualité et se sont dit prêts à «avancer avec la Syrie», sur un tel scénario, qui contraindrait Damas à rejoindre la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques. Le régime d'Assad a accueilli favorablement les assertions russes.

 

Le président Obama a immédiatement saisi la balle au bond, jugeant ce lundi dans une série d'interviews à des chaînes de télévision américaines, qu'il allait examiner «sérieusement» la soudaine proposition russe. «Si elle est vraie»… «c'est un développement positif» et «possible», a confié le président américain au journaliste Wolf Blitzer sur CNN. «Si nous pouvons accomplir le but limité de sécuriser et détruire les armes chimiques syriennes», cela serait le meilleur scénario, a-t-il ajouté, disant espérer une vraie ouverture de Moscou. «Cela ne résoudrait évidemment pas le problème plus large de la guerre civile syrienne, mais cela pourrait être une manière d'atteindre le but que nous recherchons, c'est à dire empêcher une nouvelle utilisation des armes chimiques par le régime» (puisqu'elles seraient même détruites dans le scénario évoqué par les Russes), a dit le président.

 

Obama s'est empressé de souligner qu'un tel développement ne serait pas à l'ordre du jour «s'il n'y avait la menace crédible d'une action militaire américaine». Une manière de dire clairement à ses détracteurs que la fermeté dont il avait fait preuve allait peut-être payer. «Cette pression doit être maintenue», a-t-il dit, affirmant rechercher toujours un vote au Congrès. Quelques heures plus tôt, son ancienne secrétaire d'Etat Hillary Clinton avait apporté son soutien au plan d'action d'Obama, tout en qualifiant la proposition russe de «pas important».

 

La Maison-Blanche prise par surprise

L'administration Obama reste néanmoins circonspecte sur les intentions russes. Le conseiller présidentiel Ben Rhodes a dit rester «prudent», vu le comportement passé de Moscou, et son alliance jusqu'ici indéfectible avec le régime d'Assad. «Nous ne voulons pas avoir un nouvel embourbement avec les Syriens qui ne rempliraient pas leurs promesses», a-t-il précisé. Mais l'enthousiasme exprimé plus tard dans la journée par Obama pourrait indiquer qu'une négociation s'est peut être déjà engagée en coulisses. John Kerry avait plusieurs fois mis le sujet d'une mise sous contrôle de l'ONU de l'arsenal chimique syrien sur le tapis dans ses discussions avec les Russes, sans jamais rencontrer de succès. Obama a précisé dans ses interviews lundi soir qu'il avait évoqué le sujet lors du G20 avec Poutine. Mais rien n'avait laissé prévoir un revirement du chef d'Etat russe jeudi et vendredi dernier. La rencontre entre les deux s'était soldée par un froid constat de désaccord, qui était apparu au grand jour lors d'un dîner donné par Poutine, au cours duquel les deux présidents s'étaient heurtés frontalement. Anthony Blinken, l'un des conseillers à la sécurité nationale d'Obama, a reconnu ce lundi que la Maison-Blanche avait été prise par surprise par la proposition russe.

 

Vladimir Poutine a-t-il décidé qu'il était temps de faire un geste parce qu'il a pris au sérieux le projet de frappes d'Obama, comme l'ont suggéré Barack Obama et Hillary Clinton? A-t-il vu dans une éventuelle opération militaire américaine une menace existentielle pour le régime d'Assad et décidé de convaincre ce dernier de lâcher sur le chimique pour survivre politiquement? A-t-il décidé qu'il ne pouvait rester complètement aligné avec le régime syrien vu la réprobation qu'a suscitée jusqu'en Iran l'utilisation d'armes chimiques à grande échelle? S'est-il dit dit qu'il pouvait tirer un grand profit diplomatique en devenant l'homme qui trouve la sortie de crise? Ou est-il simplement, option beaucoup moins enthousiasmante - en train de brouiller les cartes, pour semer la zizanie au Congrès américain? «Je ne sais pas ce qui se passe. Ce serait formidable si les Russes pouvaient convaincre Assad de rendre ses armes chimiques à la communauté internationale. Ce serait une issue excellente. Mais je suis très soupçonneux et sceptique», a dit Lindsay Graham, sénateur de Caroline du sud, et l'un des faucons républicains sur la Syrie, aux côtés de John McCain. Ce lundi soir, plusieurs responsables de l'administration devaient briefer un groupe d'élus sur les derniers évènements.

 

Si la proposition russe s'avérait solide, elle viendrait arranger miraculeusement les affaires d'Obama, lui évitant un affrontement à haut risque avec le Congrès. Ce lundi, l'opposition à toute intervention semblait en effet gagner au Sénat et à la Chambre. Le chef de la majorité démocrate a d'ailleurs décidé d'annuler le vote de procédure réclamé par Obama, prévu mercredi sur l'autorisation d'utilisation de la force en Syrie. Invoquant la nécessité pour les élus de «percoler» et de prendre la mesure du coup de théâtre russe.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 18:30
Moscou et Damas évoquent une mise sous contrôle de l'arsenal chimique syrien

09.09.2013 à 19h06 Le Monde.fr (AFP)

 

La Russie a appelé la Syrie à mettre sous contrôle international ses armes chimiques et à les détruire, a annoncé, lundi 9 septembre, le ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, quelques heures après avoir rencontré à Moscou le chef de la diplomatie syrienne, Walid Mouallem. Moscou espère que cette mesure empêchera des frappes militaires occidentales.

"Nous appelons les dirigeants syriens à non seulement accepter de placer sous contrôle international leur stock d'armes chimiques, et ensuite à le détruire, mais aussi à rejoindre pleinement l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques", a déclaré le chef de la diplomatie russe, disant espérer une réponse "rapide et positive" de Damas.

 

UNE PROPOSITION ACCUEILLIE FAVORABLEMENT PAR DAMAS

Sergueï Lavrov s'exprimait alors que son homologue américain, le secrétaire d'Etat John Kerry, avait déclaré un peu plus tôt à Londres que le président Assad pourrait éviter des frappes en mettant sous contrôle son arsenal chimique. Une remarque avant tout "rhétorique", selon sa porte-parole, Jen Psaki, qui a également précisé qu'elle ne saurait être interprétée comme un ultimatum ou une offre de négociation à l'adresse d'un "dictateur brutal" indigne de confiance.

La proposition russe a été accueillie favorablement par Damas, a déclaré lundi le chef de la diplomatie syrienne, Walid Mouallem, à Moscou. "La Syrie salue l'initiative russe, fondée sur les inquiétudes des dirigeants russes concernant la vie de nos citoyens et la sécurité de notre pays", a-t-il déclaré, cité par les agences de presse russes.

 

"UN GRAND PAS" SELON DAVID CAMERON

Le premier ministre britannique, David Cameron, a quant à lui estimé devant les députés britanniques que la mise sous contrôle international de l'arsenal chimique syrien "serait un grand pas", tout soulignant qu'il fallait s'assurer qu'"il ne s'agit pas d'une manœuvre de diversion".

Ban Ki-moon, le secrétaire général de l'ONU, a appelé à la destruction de cet arsenal sous la supervision des Nations unies. Ce dernier pourrait proposer la création de ces zones au Conseil de sécurité si les enquêteurs onusiens confirment l'utilisation d'armes prohibées dans le conflit syrien, afin de surmonter "l'embarrassante paralysie" du Conseil sur la Syrie, a-t-il déclaré à des journalistes.

 

Lire : "Au Conseil de sécurité de l'ONU, une longue histoire de blocages"

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 06:30
Syrie et armes chimiques: à consulter Brown Moses Blog pour une approche documentée

08.09.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

A tous ceux que la crise syrienne et la question de l'emploi des armes chimiques intéressent, je conseille de consulter Brown Moses Blog (cliquer ici pour y accéder). C'est le travail extrêmement documenté d'un néophyte éclairant, dont la réputation grandit depuis un an et qui constitue une source de vidéos, photos et analyses assez unique et à laquelle bon nombre de médias et d'ONG font confiance.

Pour en savoir plus sur le rédacteur de ce blog, Eliot Higgins, cliquer ici et ici.

Pour le suivre sur twitter, aller ici.

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 16:30
After the chemical attacks in Syria - now what?

06 September 2013 Jean Pascal Zanders

 

In the wake of the chemical attacks that occurred on 21 August in Syria, and the ensuing international outcry, this alert highlights the dangers of instrumentalising chemical warfare allegations in pursuit of other policy goals. It concludes that rather than rushing to action, waiting for the results of the UN investigative team tasked with analysing the evidence may be the wisest option for all.

 

Download document

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 06:30
75,000 troops needed to secure chemical weapons if Damascus falls

September 05, 2013 RT.com

 

The potential of strategic US strikes in Syria has sparked fears Damascus’ chemical weapons could fall into the wrong hands if the government is toppled. A recent congressional report says 75,000 troops would be needed to safeguard the WMD caches.

 

The Congressional Research Center (CRS) report, issued just one day before the alleged August 21 chemical weapons attack in a Damascus suburb, was compiled with the aim of “responding to possible scenarios involving the use, change of hands, or loss of control of Syrian chemical weapons.”

 

It states that Syria’s chemical weapon stockpiles, which a French intelligence report recently estimated at over 1,000 tons, have been secured by Syrian special forces.

 

“Due to the urgency of preventing access to these weapons by unauthorized groups, including terrorists, the United States government has been preparing for scenarios to secure the weapons in the event of the Assad regime’s loss of control,” the document reads

 

Testifying before the Senate Armed Services Committee on March 7, 2012, then-Secretary of Defense Leon Panetta warned the ouster of Assad would present a scenario “100 times worse than what we dealt with in Libya.”

 

In order to secure the 50 chemical weapon and production sites spread across Syria, in addition to storage and research facilities, “The Pentagon has estimated that it would take over 75,000 troops to neutralize the chemical weapons,” the document continues, citing a February 2012 CNN report.

 

Meanwhile, a resolution backing the use of force against President Bashar Assad's government cleared the Senate Foreign Relations Committee on a 10-7 vote on Wednesday, although section 3 of the draft ostensibly ruled out US combat operations on the ground.

 

The wording of the text, however, could potentially allow for troops on the ground for the sake of non-offensive operations, including securing chemical weapons stockpiles and production facilities.

 

While the Senate committee initially opted to limit US military involvement in the country to 90 days with no potential of ground operations, Republican Senator John McCain joined forces with Democratic Senator Chris Coons to add a provision calling for "decisive changes to the present military balance of power on the ground in Syria."

 

The Obama administration’s vacillations on Syria were perhaps best exemplified by Secretary of State John Kerry. Speaking before the Senate Foreign Relations Committee on Tuesday, Kerry suggested it would be preferable to give the White House the power to send in ground forces in the event that Syria “imploded” or if chemical weapons were at risk of being obtained by extremists.

 

"I don't want to take off the table an option that might or might not be available to a president of the United States to secure our country," he told the committee in the run up to the vote.

 

After being told by Senator Bob Corker –  the top Republican on the committee –  his sentiments regarding boots on the ground were not “a very appropriate response,” Kerry quickly backtracked.

 

"Let's shut the door now," Kerry said. "The answer is, whatever prohibition clarifies it to Congress or the American people, there will not be American boots on the ground with respect to the civil war."

 

Having cleared committee, the measure authorizing force in Syria is expected to reach the Senate floor next week. Senator Rand Paul, a republican with strong ties to the Tea Party movement, has threatened a filibuster.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 17:30
Syrie: aucune livraison d'armes chimiques russes (Moscou)

MOSCOU, 5 septembre - RIA Novosti

 

Les affirmations selon lesquelles la Russie a livré à la Syrie des armes chimiques et des technologies pour leur production ne correspondent pas à la réalité et visent à créer un prétexte supplémentaire pour agresser un Etat souverain, a déclaré jeudi aux journalistes le vice-ministre russe de la Défense Anatoli Antonov.

 

"La Russie a toujours été et restera un partenaire et un allié responsable et prévisible dans la lutte contre la prolifération des armes de destruction massive. Nous avons toujours rempli strictement nos engagements en matière de non-prolifération nucléaire, nous sommes un dépositaire du Traité de non-prolifération des armes nucléaires et nous honorons nos engagements contractés dans le cadre des conventions sur l'interdiction des armes chimiques et des armes biologiques et à toxines", a indiqué le vice-ministre.

 

Il s'est dit étonné par les "tentatives de certains Etats de rejeter leur faute sur autrui". Le vice-ministre a rappelé à cette occasion la tendance à accuser la Russie d'avoir aidé la Syrie à créer son potentiel chimique militaire.

 

"On est allé même jusqu'à affirmer que la Russie livrait des armes chimiques au régime d'Assad", a déclaré M. Antonov.

 

"J'ai l'impression que ces insinuations antirusses visent à créer un prétexte supplémentaire pour effectuer une agression contre un Etat souverain", a conclu le vice-ministre de la Défense.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 12:30
Synthèse nationale de renseignement déclassifié

02.09.2013 gouvernement.fr

Programme chimique syrien - Cas d’emploi passés d’agents chimiques par le régime - Attaque chimique conduite par le régime le 21 août 2013.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 11:20
DoD Developing Mobile Units to Neutralize Chemical Weapons Materials

Tim Blades, director of operations for the Chemical Biological Application and Risk Reduction Business Unit, talks at a June 27 demonstration of the Field Deployable Hydrolysis System at the Aberdeen Proving Ground. (Army)

 

Sep. 4, 2013 - by MARCUS WEISGERBER   - Defense News

 

WASHINGTON — Should the Pentagon need to destroy stockpiles of chemical weapons, it can do so with new mobile systems that can neutralize and destroy the materials, according to defense officials.

 

The Field Deployable Hydrolysis System (FDHS) is designed to destroy chemical warfare agents in bulk and can be up and running within 10 days of arriving on site.

 

“We are acquiring some ability to deal with chemical materials should we be in a position where we have to do that,” Frank Kendall, the Defense Department’s undersecretary for acquisition, technology and logistics, said Wednesday during a presentation at the IDEEA-sponsored COMDEF conference in Washington.

 

Syria’s alleged use of chemical weapons against civilians has dominated the debate of whether the US should conduct a punitive strike. While there has been talk of conducting targeted strikes, the Obama administration has said it does not intend to use ground forces.

 

The Pentagon has been overseeing the destruction of US chemical weapons since the late 1990s. DoD destroys stockpiles of chemical materials such as mustard gas at several facilities in the US. But the new system can eradicate chemical weapon materials on site.

 

“The Department of Defense recently developed a transportable chemical weapons destruction system designed to fill a gap in the national capability to destroy U.S. bulk chemical agents, wherever they are found,” Jennifer Elzea, a DoD spokeswoman, wrote in an email Wednesday.

 

The new system was built at the U.S. Army’s Edgewood Chemical and Biological Center in Maryland. The center oversees the handling and processing of recovered munitions in the US and overseas.

 

The system is “designed to convert chemical agents into compounds not usable as weapons,” Elzea wrote. “Neutralization is achieved by mixing the agent with water and other chemicals and heating it.”

 

A crew of 15 people is needed to operate the system at any given time, according to the Army. The system can neutralize between five and 25 metric tons of chemicals per day, depending on the material.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 07:30
Syrie: l'obus chimique d'Alep est de fabrication artisanale (experts russes)

MOSCOU, 4 septembre - RIA Novosti

 

L'obus chimique utilisé dans la ville syrienne d'Alep le 19 mars n'est pas une munition régulière de l'armée syrienne, mais un engin de fabrication artisanale, a annoncé mercredi le ministère russe des Affaires étrangères se référant aux experts russes.

"L'obus utilisé à Alep n'est pas une munition régulière de l'armée syrienne, mais un engin de fabrication artisanale dont le type et les paramètres ressemblent à deux des roquettes non guidées fabriquées par la brigade Bashayer Al Nasr dans le nord de la Syrie", a indiqué le ministère.

Début juillet, le représentant permanent de la Russie auprès de l'ONU Vitali Tchourkine a annoncé que l'obus utilisé par les rebelles syriens le 19 mars près d'Alep contenait du gaz sarin. Les résultats d'analyse effectuée par les experts de laboratoires russes certifiés par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) ont été transmis au secrétaire général de l'organisation, Ban Ki-moon.  

Le 26 août dernier, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré que l'obus qui a explosé le 21 août dans une banlieue de Damas et renfermant probablement des substances chimiques de combat ressemblait à celui qui avait explosé en mars dernier près d'Alep.

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 07:30
Syrie: une frappe militaire présente un risque nucléaire (Moscou)

MOSCOU, 3 septembre - RIA Novosti

 

Une intervention militaire occidentale en Syrie constitue une menace pour la sécurité nucléaire de la région, a déclaré mercredi à Moscou le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Alexandre Loukachevitch.

"Une opération militaire contre ce pays peut toucher des sites sensibles du point de vue de la sûreté nucléaire et de la non-prolifération nucléaire", a indiqué M.Loukachevitch.

"Si un engin frappe, exprès ou par hasard, le Réacteur miniature source de neutrons (MNSR) qui se trouve à Damas, cela peut avoir des conséquences catastrophiques, à savoir provoquer une pollution des territoires voisins à l'uranium hautement enrichi et aux produits de fission et rendre impossible le contrôle et la préservation des matières fissiles stockées dans ce site", a conclu le diplomate.

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 07:50
Syrie/attaque chimique: le renseignement allemand accuse Damas

MOSCOU, 3 septembre - RIA Novosti

 

Le Service fédéral de renseignement allemand (BND) estime que l'attaque chimique perpétrée le 21 août dans une banlieue de Damas aurait été organisée par les autorités syriennes, rapporte mardi le Spiegel citant le chef du BND Gerhard Schindler.

 

Selon ce dernier, le renseignement allemand ne dispose pas de preuves irréfutables confirmant la responsabilité des forces gouvernementales dans l'attaque en question mais considère cette version comme la plus plausible.

 

Lundi, les médias occidentaux citant un rapport du renseignement français ont annoncé que des images satellitaires pris le 21 août démontraient que l'attaque chimique de Damas avaient été menée depuis une zone contrôlée par les forces pro-Assad.

 

Samedi 31 août, le président américain Barack Obama a demandé au Congrès de donner le feu vert à une opération militaire contre le régime de Bachar el-Assad en réponse à l'attaque chimique du 21 août. D'après un rapport du renseignement US, l'attaque a fait au moins 1.429 morts, dont 426 enfants. Les autorités syriennes affirment pour leur part n'avoir jamais utilisé de gaz de combat contre les civils.

 

La chancelière allemande Angela Merkel a pour sa part déclaré que Berlin ne participerait pas à une éventuelle frappe contre la Syrie sans aval de l'Otan, de l'Onu ou de l'Union européenne.

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 07:30
source Ministère de la Défense - France

source Ministère de la Défense - France

BRUXELLES, 2 septembre - RIA Novosti

 

Il faut riposter sévèrement à l'attaque chimique en Syrie pour dissuader d'autres dictateurs, a déclaré lundi à Bruxelles, le secrétaire général de l'OTAN Anders Fogh Rasmussen.

"Il faut que la réaction de la communauté internationale permette d'éviter une nouvelle attaque chimique à l'avenir, qu'elle soit un signal dangereux pour les dictateurs du monde entier", a indiqué M.Rasmussen lors d'une conférence de presse.

Commentant l'éventuelle intervention militaire en Syrie, le secrétaire général a souhaité que cette opération soit courte et ciblée.

Le secrétaire général a par ailleurs de nouveau appelé à régler la situation en Syrie par la voie politique. Il s'est dit persuadé que les autorités syriennes étaient responsables de l'emploi d'armes chimiques dans le pays.

A la question de savoir pourquoi l'Alliance ne considérait pas le règlement de la situation en Syrie comme une mission prioritaire, M.Rasmussen a noté que l'OTAN n'avait pas de rôle en Syrie. Selon lui, le rôle de l'Alliance consiste à protéger la Turquie contre une attaque de la part de Syrie. "Si la Turquie est attaquée, ses alliés de l'OTAN discuteront de la position à adopter", a ajouté M.Rasmussen. Toutefois, il n'a pas jugé nécessaire de prendre des mesures de protection supplémentaires pour protéger la Turquie.

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 07:30
Les preuves de la France sur l'«usage massif» d'armes chimiques par Bachar el-Assad

02 septembre 2013 à 19:33 Par RFI

 

« Le régime syrien a lancé une attaque sur certains quartiers de la banlieue de Damas (…) associant moyens conventionnels et usage massif d’agents chimiques », peut-on lire dans la note des services de renseignements français, rendue publique ce lundi 2 septembre. Une note qui s’appuie sur un argumentaire en cinq points pour légitimer la volonté du gouvernement français d’intervenir militairement en Syrie.

 

Pour le gouvernement français, l'attaque du 21 août a bien été perpétrée par le régime syrien. Pour étayer ses affirmations, les services de renseignements français ont publié une note de synthèse, ce lundi 2 septembre.

 

Le gouvernement s'appuie sur cinq éléments, recueillis par les services de renseignements français, la DGSE, le service d’espionnage, la DRM, la Direction du renseignement militaire.

 

Suite de l’article

Le centre d'études et de recherches scientifiques de Barzah, laboratoire central de l'arsenal chimique. (Renseignement national français)

Le centre d'études et de recherches scientifiques de Barzah, laboratoire central de l'arsenal chimique. (Renseignement national français)

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2 septembre 2013 1 02 /09 /septembre /2013 18:57
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2 septembre 2013 1 02 /09 /septembre /2013 06:30
Les États-Unis ont des échantillons prouvant l’usage de gaz sarin en Syrie

Le secrétaire d’État américain John Kerry a déclaré dimanche que les États-Unis avaient testé des échantillons provenant de l’attaque du 21 août dernier et qu’ils se sont révélés positifs au gaz sarin. (Photo: Archives/Depatment of State)

 

01/09/2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Le secrétaire d’État américain John Kerry a déclaré dimanche que les États-Unis avaient testé des échantillons provenant de l’attaque du 21 août dernier et qu’ils se sont révélés positifs au gaz sarin.

En interview à NBC News, John Kerry a déclaré que ce sont des échantillons de cheveux et du sang qui ont été testés. Il a également évoqué «un développement très important dont nous avons pris connaissance dans les dernières 24 heures, grâce à des échantillons des premiers secours dans l’est de Damas fournis aux États-Unis et qui ont désormais été testés».

Il n’est pas clair si les échantillons proviennent du personnel de premier secours ou si c’est eux qui les ont fournis.

Sur CNN, il a précisé que ces éléments étaient «indépendants» de ceux collectés en Syrie par les enquêteurs de l’ONU.

Évoquant la décision de Barack Obama de demander au Congrès son autorisation pour lancer des frappes sur la Syrie il s’est également dit persuadé que le Congrès américain «fera ce qui est juste».

«Nous savons d’où est venue cette attaque. Nous savons exactement où elle s’est produit. Nous savons exactement ce qu’il s’est passé après», a-t-il également répété, autant d’éléments qui étaient déjà dans le rapport du renseignement américain rendu public jeudi. L’attaque a fait selon ce rapport au moins 1.429 morts, dont 426 enfants.

Après dix jours de réflexion, le président américain Barack Obama a pris le monde par surprise samedi en annonçant sa décision de principe de frappes contre la Syrie, mais pas avant un feu vert du Congrès, écartant ainsi une action militaire à court terme.

Les parlementaires ne seront toutefois par rappelé avant leur date officielle de rentrée, soit le 9 septembre, et l’issue du vote reste incertaine.

Enquête de l’ONU

On apprenait, hier, qu’au terme de cinq jours d’enquête, les inspecteurs de l’ONU chargés de déterminer si des armes chimiques ont été employées en Syrie sont rentrés aux Pays-Bas afin de préparer les échantillons prélevés sur le site de l’attaque en vue de leur analyse.

Ban Ki-moon a été informé samedi matin par la Haute Représentante des Nations Unies pour les affaires de désarmement, Angela Kane, de l’état actuel de l’enquête, qui vient d’achever sa première phase.

«Les inspecteurs remettront les échantillons à deux laboratoires. Pour que l’équipe puisse rendre ses conclusions, il faudra laisser le temps à ces laboratoires d’effectuer les analyses», a déclaré porte-parole du Secrétaire général, Martin Nesirky, sans préciser de date-butoir.

Par ailleurs, les inspecteurs ont commencé à travailler dès hier sur les autres éléments qu’ils ont été en mesure de réunir, notamment les témoignages avec les personnes interrogées sur place: «Outre les résultats des analyses, les entretiens doivent être traduits et regroupés pour figurer dans un rapport qui sera remis au Secrétaire général.»

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 18:48
Syrie : les experts de l'ONU ont fini d'enquêter

30/08/2013 - 19:02 JDD

 

Les experts de l'ONU ont terminé leur travail en Syrie et vont désormais "rapidement" faire un rapport sur l'usage éventuel d'armes chimiques dans le conflit syrien, a déclaré vendredi le porte-parole des Nations unies.

 

"L'équipe a terminé de récolter des échantillons et des élements", a déclaré Martin Nesirky à des journalistes. "Ils préparent maintenant leur départ et quitteront Damas, puis la Syrie demain" samedi, a-t-il ajouté.

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 16:30
Turkey on Alert for Possible Syrian Chemical Attack

Aug. 30, 2013 By BURAK EGE BEKDIL  - Defense News

 

ANKARA — Turkish Prime Minister Recep Tayyip Erdogan held critical meetings Thursday with top security officials to discuss measures to counter a possible chemical weapons attack from neighboring Syria, officials said.

 

Chief of General Staff Necdet Ozel, Foreign Minister Ahmet Davutoglu, Interior Minister Muammer Guler, Defense Minister Ismet Yilmaz and Intelligence Chief Hakan Fidan were among those at the three-hour meeting, the officials said.

 

The meeting came as the United States, Britain and France take steps for military action against Syria.

 

The Turkish military has also issued an alert warning about possible chemical attacks from Syria, military officials said.

 

A U.N. inspection team is continuing its investigation into a reported chemical attack on the outskirts of Damascus, which could be the turning point in the two-and-a-half-year conflict. The team is expected to complete its report Saturday.

 

Meanwhile in Washington, White House spokesman Josh Earnest said the U.S. is committed to Turkey’s defense against any possible Syrian attack.

 

Asked by journalists about Washington’s response in the event of a Syrian chemical weapons attack against Turkey, Jordan or Israel, Earnest said the U.S.’s priority was the protection of international norms, Turkish and international news services reported.

 

“We have a defense agreement with Turkey. We have a commitment to protect our ally Turkey,” he said.

 

He also added that the U.S. has a similar commitment with Israel. “Our relations with Jordan are a little different, but it’s a critical partner in the region,” Earnest said.

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 17:30
Syrie/attaque chimique: "pas 100% de certitude" (Cameron)

MOSCOU, 29 août - RIA Novosti

 

Le premier ministre britannique David Cameron a reconnu jeudi devant les députés ne pas avoir 100% de certitude quant à la responsabilité ou non du régime syrien dans l'usage d'armes chimiques dans une banlieue de Damas.

 

"Il n'y a pas, effectivement, 100% de certitude quant aux responsables de l'attaque chimique (près de Damas). Nous n'avons pas de preuves attestant l'absence d'armes chimiques chez l'opposition et la possession de telles armes par le régime (…). Cela ne suffit pas pour affirmer que le régime en est responsable et en répondra", a déclaré le chef du gouvernement.

 

M.Cameron a été contraint par l'opposition travailliste d'attendre le rapport des inspecteurs de l'Onu avant toute décision sur une intervention militaire en Syrie. Les travaillistes lui ont demandé des "preuves convaincantes" de la responsabilité du régime de Bachar el-Assad.   

 

Ainsi, le premier ministre, dont le gouvernement avait lancé les préparatifs militaires en début de semaine, a dû revenir sur son intention de soutenir une intervention militaire immédiate, notamment en raison des réticences de l'opposition travailliste et de parlementaires de son propre parti.

 

Certains pays occidentaux étudient la possibilité d'une opération militaire contre la Syrie en réponse à l'utilisation présumée d'armes chimiques par les troupes gouvernementales dans la région de Damas.

Participants possibles à une intervention militaire en Syrie - source Ria Novisti

Participants possibles à une intervention militaire en Syrie - source Ria Novisti

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