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19 décembre 2015 6 19 /12 /décembre /2015 12:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

18 décembre 2015 Par Ludovic Dupin - L'Usine de l'Energie

 

L'Etat réflechit depuis plus de deux ans à l'avenir d'Areva TA, acteur clé de la disuasion nucléaire française. La Défense souhaite reprendre le contrôle sur cette filiale qui était jugée mal pilotée au sein d'Areva et mise en danger par le chantier RJH.

 

Fin 2016, quand Areva NP (en charge de la construction des réacteurs) quittera Areva pour rejoindre le giron d’EDF, Areva TA (en charge de la propulsion nucléaire pour la marine) prendra son autonomie pour passer sous le contrôle direct de l’Etat. Ce dernier en deviendra actionnaire majoritaire à 51 %, à travers l'Agence des Participations de l'Etat (APE). Le reste revenant à DCNS pour 20 %, le CEA pour 20 % et Areva pour 9%.

En réalité, le ministère de la Défense s’inquiétait depuis plusieurs années du devenir de la filiale TA dont dépend une large partie de la dissuasion nucléaire française. Cette dernière conçoit, construit et installe les chaudières nucléaires des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, des sous-marins d’attaque et du porte-avions Charles de Gaulle.

 

Un sujet depuis deux ans

Il y a déjà deux ans que le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a alerté sur l’importance que la Défense reprenne la main sur Areva TA. Selon l’entourage du ministre, il était estimé, d’une part, que son pilotage, à travers les multiples comités d’Areva, était loin d’être optimal. D’autre part, "la diversification des activités de TA dans les réacteurs de recherches n’a pas été toujours heureuse", explique-t-on du côté de l’Hôtel de Brienne.

Force est de constater qu’Areva TA a connu de difficiles revers avec le réacteur Jules Horowitz (RJH) en construction pour le compte du CEA. RJH, censé remplacer l’ancien réacteur Osiris en cours d’arrêt, doit servir d’outil de recherche et produire des éléments radioactifs pour la médecine.

 

Le poids de RJH

Mais le chantier a pris du retard - il devrait démarrer en 2019 au lieu de 2014 - et son devis initial de 600 millions d’euros a, au minimum, doublé. D’aucuns parlent même d’une facture finale de 1,5 milliard d’euros. Ce chantier a déjà forcé Areva et DCNS à passer  de lourdes provisions.

"Il ne faudrait pas que l’activité réacteurs de recherche mette en danger l’activité de propulsion nucléaire", s’inquiète-t-on dans l’entourage du ministre. Aussi à l’occasion de la refonte du paysage nucléaire français, Jean-Yves le Drian a lancé en mai 2015 un groupe de travail qui réunissait EDF, Areva, le CEA, DCNS, l’Elysée, Matignon, Bercy, le ministère de la Défense et l’APE.

De mai à juillet, ce groupe a réfléchi à tous les scénarios possibles. Un TA chez Areva, chez EDF ou chez DCNS, et même un retour au CEA comme par le passé… Aucune de ces solutions n’est apparue satisfaisante aux intéressés. L’Etat a choisi un scénario médian avec cette "nationalisation" de TA ; même si dans les faits TA était déjà propriété de l’Etat, actionnaire à plus de 85% d’Areva.

Si le principe a été accepté par tout le monde. Le plus dur restait à venir. Mandat a été donné au Secrétariat Général de la Défense et de la Sécurité Nationale (SGDSN) pour rentrer dans le détail de la valorisation, de l’actionnariat, du conseil d’administration… L'Etat engage désormais le processus d'information auprès des organisations syndicales. Pour le rôle de PDG, la Defense propose de maintenir à sa place l’actuelle occupante du poste, Carole Foissaud.

 

Une activité militaire à très long terme

Malgré ses craintes, l’Etat n’entend pas pour autant mettre fin à l’activité de réacteurs de recherche de TA  qui compte pour 150 des 350 millions d’euros de chiffres d’affaires de la filiale. Déjà, cela poserait un problème de ressources humaines, puisque, sur les 1500 salariés du groupe, 500 sont à la fois sur l’activité civile et militaire. Par ailleurs, cela permet de conserver des compétences chez Areva TA pour s’ouvrir vers de nouveaux marchés comme les petits réacteurs civils, type SMR (Small Modular Reactor), imagine-t-on au ministère.

Pour ce qui est de l’activité de propulsion nucléaire pour la marine nationale, aucun souci de carnet de commandes pour Areva TA. Le premier sous-marin Barracuda sera mis à l’eau en 2018. Ce sera le premier d’une série de 6 qui fournira du travail à TA jusqu’en 2028. Ensuite, il faudra remplacer les quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins français (le Triomphant, le Téméraire, le Vigilant et le Terrible) par la nouvelle génération de submersibles. Ce qui donne une visibilité à TA jusqu’en 2040. 

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26 novembre 2014 3 26 /11 /novembre /2014 08:56
Rencontre autour de « 50 ans de dissuasion nucléaire : exigences et pertinence au 21ème siècle


24/11/2014  Armée de l'Air

 

Jeudi 20 novembre 2014, l’armée de l’air et le commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives ont organisé un colloque à l’École militaire intitulé « 50 ans de dissuasion nucléaire : exigences et pertinence au 21ème siècle ».

 

Placé sous le haut patronage de monsieur Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense cette rencontre constituait le second volet du 50eanniversaire des forces aériennes stratégiques (FAS) qui assurent, de manière ininterrompue depuis 1964, la permanence opérationnelle de la composante aéroportée de la dissuasion nucléaire française. Le colloque ouvert par le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), réunissait autour de trois tables rondes, un panel de spécialistes du nucléaire militaire.

 

La première rencontre orientée sur « les exigences de la dissuasion au quotidien » était animée par le vice-amiral d’escadre Louis-Michel Guillaume, commandant les forces sous-marines et la force océanique stratégique et le général Philippe Steininger, commandant les forces aériennes stratégiques (CFAS). La participation du lieutenant-general Stephen Wilson, commandant l’US Air Force Global Strike Command à cet échange, a apporté un éclairage international sur le sujet. Les propos étaient principalement basés sur des éléments du quotidien des hommes et des femmes de la dissuasion nucléaire. De la permanence opérationnelle, en passant par les explications des procédures et des entraînements, les intervenants ont démontré que cet univers ne laisse aucune place à l’improvisation.

 

S’en est suivi un échange sur les retombées de la dissuasion nucléaire. Un second débat ouvert par le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, qui a rappelé : « Depuis le 8 octobre 1964, date de la première prise d’alerte de dissuasion, en permanence, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, cette mission d’excellence se poursuit à un niveau opérationnel très élevé, permettant à la plus haute autorité de l’État de garantir en toutes circonstances la protection des intérêts vitaux de la France et conférant ainsi à notre pays un réel poids sur la scène internationale ». Animée par de grands spécialistes, cette table ronde a exposé quels étaient « les effets de levier de la dissuasion dans les domaines opérationnel, technique et scientifique ».

 

Ces allocutions ont été suivies d’un troisième éclairage consacré au thème « En quoi la dissuasion française reste-t-elle pertinente au 21ème siècle ? ». Plusieurs professeurs et chercheurs français et américain se sont exprimés à tour de rôle : Bradley H. Roberts, professeur consultant au centre pour la coopération et la sécurité internationale à l’université de Stanford, Philippe Errera, directeur de la délégation aux affaires stratégiques du ministère de la défense et Bruno Tertrais, maître de recherche à la fondation pour la recherche stratégique.

 

12 MRTT « Phénix » pour la France

 

En guise de conclusion, le ministre de la Défense a souligné la pertinence de l’arme nucléaire et a confirmé les efforts de modernisation apportés à ses composantes aéroportée et embarquée à bord de sous-marin, « la dissuasion nucléaire française me paraît plus que jamais pertinente » a-t-il ajouté. Il a également annoncé l’acquisition de nouveaux aéronefs : « notre volonté de moderniser la composante aéroportée de la dissuasion se concrétise avec un contrat d’acquisition de 12 avions MRTT (multi-rôles de ravitaillement en vol et de transport) ». La livraison du premier appareil, d’ores et déjà baptisé « Phénix » est prévue pour 2018. Les MRTT permettront de remplacer les ravitailleurs Boeing C-135, utilisés depuis les années 1960 par les forces aériennes stratégiques.

 

Retrouvez en ligne les discours du ministre de la Défense et du chef d'état-major des armées.

Rencontre autour de « 50 ans de dissuasion nucléaire : exigences et pertinence au 21ème siècleRencontre autour de « 50 ans de dissuasion nucléaire : exigences et pertinence au 21ème siècleRencontre autour de « 50 ans de dissuasion nucléaire : exigences et pertinence au 21ème siècle
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25 octobre 2014 6 25 /10 /octobre /2014 11:55
Le CEMA à l’inauguration du Laser Mégajoule

 

 

24/10/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Le 23 octobre 2014, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA) a accompagné monsieur Manuel Valls, Premier ministre, à l’inauguration du Laser Mégajoule (LMJ) sur le site du commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) situé sur la commune de Barp près de Bordeaux.

 

Avec la mise en service du LMJ, la France devient le premier pays au monde doté d’un programme de simulation de ce niveau. Cet outil technologique de très haute performance, permet d’assurer la modernisation de la dissuasion, tout en respectant l’engagement de notre pays lié à l’interdiction des essais nucléaires.

 

« La réalisation du Laser Mégajoule est une formidable vitrine technologique pour notre pays et un facteur de puissance industrielle, économique, diplomatique et militaire », a rappelé le Premier ministre. Ce dispositif constitue un élément essentiel dans le domaine de la dissuasion, axe stratégique majeur du Livre blanc de la défense et de la sécurité nationale. Le CEMA, lors de son audition à l’Assemblée nationale, le 6 mai dernier, avait déjà souligné le niveau d’excellence que nous confère la dissuasion nucléaire, qui « nous positionne au « top niveau » sur la scène internationale ».

 

Ce projet d’envergure est aussi un symbole de la coopération scientifique entre civils et militaires. Au-delà de la seule sphère de la défense, la mise en service du LMJ profite à de nombreux chercheurs civils. Il signe ainsi l’excellence scientifique française. 

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 12:35
Photos J.Bellenand- Marine Nationale

Photos J.Bellenand- Marine Nationale

 

11/07/2014 Sources : EMA

 

Le 7 juillet 2014, à la demande du président de l’Assemblée polynésienne, le contre-amiral Anne Cullerre est venu présenter aux élus le programme de rénovation des équipements de surveillance géomécanique TELSITE 2 situés à Mururoa.

 

TELSITE est un système de surveillance des déformations naturelles de l’atoll. Mis en place dans les années 1980, il est constitué d’un ensemble de capteurs situés sur l’atoll et dans ses sous-sols. Après plus de trente ans de fonctionnement, il nécessite d’être modernisé.

 

A Papeete, le contre-amiral Cullerre s’est exprimé devant une trentaine de parlementaires de l’Assemblée polynésienne  sur la nécessité et les modalités de la transformation de ce système. Le directeur du centre d’expérimentations nucléaires en Polynésie (CEP), le capitaine de frégate Rondy, a ensuite effectué une présentation technique du système TELSITE 2.

 

Les préoccupations des élus ont porté sur le devenir de l’atoll de Mururoa et son environnement radiologique. Cette réunion leur a permis d’éclaircir certains sujets et d’avoir une vue d’ensemble sur ce projet phare pour la Polynésie. La volonté manifeste de transparence a d’ailleurs été saluée.

 

La rénovation du système TELSITE sera longue et complexe et va nécessiter d’importants moyens. Les travaux, qui se dérouleront au moins jusqu’en 2016, seront effectués par plusieurs entreprises sélectionnées au terme de procédures d’appels d’offres. Ce projet pourra constituer une réelle opportunité pour le tissu économique local en permettant de mobiliser des entreprises polynésiennes.

 

Les FAPF contribueront directement à ce chantier en apportant un soutien aux différents acteurs concernés (organismes militaires, Commissariat à l’énergie atomique et entreprises civiles) tout en continuant à assurer la surveillance et la sécurité de l’atoll.

 

En coordination avec les Forces armées de la Nouvelle-Calédonie (FANC), les FAPF constituent un dispositif aéromaritime de premier plan sur le théâtre « Pacifique ». Cette importance stratégique du dispositif des forces prépositionnées est confirmée par le nouveau Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale

Polynésie française : présentation du chantier TELSITE 2 devant l’assemblée
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29 juin 2014 7 29 /06 /juin /2014 11:50
NanoSD conference in Avila, Spain (September 23-26, 2014)

 

source nanosdconf.com


NanoSD 2014 will provide an opportunity to discuss general issues and important impacts of nanotechnology in the development of security and defense. A broad range of defense and security technologies and applications, such as nanostructures, nanosensors, nano energy sources, and nanoelectronics which are influencing these days will be discussed.

It is evident that nanotechnology can bring many innovations into the defense world such as new innovate products, materials and power sources. Therefore, NanoSD 2014 will present current developments, research findings and relevant information on nanotechnology that will impact the security and defense.

 

KEYNOTE SPEAKERS

Paolo Bondavalli (THALES Research and Technology, France)

Jérôme Bourderionnet (Thales Research and Technology, France)

Fernando Briones (IMM-CSIC, Spain)

Elvira Fortunato (CENIMAT, Portugal)

Raquel Gonzalez-Arrabal (IFN-ETSII, Spain)

Antonio Hernando (IMA-UCM, Spain)

Margaret E. Kosal (Georgia Tech, USA)

Meyya Meyyappan (NASA, USA)

Fabrice Pardo (LPN/CNRS, France)

María Pilar Pina Iritia (INA, Spain)

Jean-Pierre Simonato (CEA-Grenoble, France)

Denis Spitzer (ISL-CNRS-UdS, France)

Nava Swersky Sofer (International Commercialisation Alliance, Israel)


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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 11:55
photos Armée de l'Air - Marine Nationale

photos Armée de l'Air - Marine Nationale

 

14/04/2014 par Guillaume Steuer – Air & Cosmos



Ouvrant un cycle d'auditions menées par la commission de défense de l'Assemblée nationale afin d'alimenter le débat public sur l'avenir de la dissuasion nucléaire française, le général Henri Bentégeat, ancien chef d'état-major des armées (2002-2006), a livré quelques réflexions intéressantes le 9 avril dernier devant les députés, avançant que la seule piste d'économies à court terme dans le budget de la dissuasion passerait par un ralentissement du programme Simulation, mené par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA).

Le militaire a ainsi reconnu que "plusieurs options sont envisageables pour contenir le coût de la dissuasion". Aujourd'hui, celle-ci représente "21 à 22 %" des budgets d'investissement, selon le général Bentégeat, et devrait atteindre "27 à 28 %" à l'issue de l'actuelle loi de programmation militaire, en 2019. "Et encore, cela suppose que les hypothèses budgétaires de la loi de programmation militaire soient respectées", ajoute l'ancien CEMA. "Si les crédits devaient baisser, la part relative de la dissuasion en leur sein augmenterait mécaniquement".

Evoquant la suppression de la composante aéroportée, mise en oeuvre par les Forces aériennes stratégiques (FAS) avec le missile de croisière ASMP-A, le général Bentégeat précise que l'idée soulève "plusieurs problèmes". Le plus significatif étant que la composante aérienne "est la seule qui puisse opérer des frappes ciblées sur les centres de pouvoir de puissances régionales menaçantes", dans le cadre d'une doctrine de dissuasion dite "du fort au faible" qui devrait donc être abandonnée.

Même s'il ne le précise pas, le militaire souligne par ces propos que la précision terminale de l'ASMP-A est bien supérieure à celle du missile balistique mer-sol stratégique M51, mis en oeuvre par les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) français. A ce sujet, le général Bentégeat rappelle qu'une idée souvent avancée consiste à renoncer à la permanence à la mer des SNLE. Une décision qui aurait "un coût symbolique fort et affecterait certainement la motivation et l'entraînement des équipages". Par ailleurs, le général souligne que le futur M51.3 "améliorera certes la portée mais surtout garantira la pénétration de défenses adverses de plus en plus perfectionnées".

Une autre option consisterait à revoir à la baisse le nombre d'armes nucléaires en inventaire dans les forces françaises. La "stricte suffisance" française est aujourd'hui évaluée à "environ 300 têtes nucléaires", dont une cinquantaine pour les FAS. Le général Bentégeat rappelle que Londres évalue aujourd'hui ce niveau à "140 têtes seulement", nuançant l'analyse en rappelant que "l'outil de dissuasion britannique est lié aux Etats-Unis et aux plans de l'Otan", contrairement à celui de la France.

Selon le général, l'option la plus crédible pour réaliser des économies à court terme, et que "personne n'ose avancer", consisterait donc à un "ralentissement du programme de simulation" aujourd'hui mené par la Direction des applications militaires du CEA, ou CEA-DAM. "Seule la simulation permettrait des économies immédiates, avec toutefois le risque de fragiliser la coopération franco-britannique et de mettre en péril les programmes civils liés à la simulation", précise ainsi Henri Bentégeat.

Depuis l'arrêt des essais nucléaires français, c'est en effet le programme Simulation qui est censé garantir le fonctionnement des armes nucléaires françaises et permettre éventuellement d'en développer de nouvelles. Comme le rappelle lors de l'audition Alain Rousset, président de la région Aquitaine, "les premiers tirs du programme de simulation sont en voie de réalisation". Ceux-ci permettent la mise au point de nouvelles "formules" qui pourraient servir de base aux armes nucléaires de demain. Le général Bentégeat reconnaît qu'il faudrait "pouvoir évaluer de façon prosaïque quel serait l'impact sur la crédibilité de notre dissuasion du report d'un an ou de plusieurs années de tirs envisagés".

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26 février 2014 3 26 /02 /février /2014 12:55
Le 1er Tirailleurs et le 8ème RPIMa vont expérimenter la nouvelle organisation des régiments d'infanterieLe 1er Tirailleurs et le 8ème RPIMa vont expérimenter la nouvelle organisation des régiments d'infanterie

24.02.2014 Jean-Dominique Merchet
 

Comme nous l'indiquions dans un post récent, un expérimentation va être conduite dans l'infanterie, pour tester une nouvelle organisation des régiments, avec ou sans  Compagnies d'éclairages et d'appui (CEA) : soit la suppression des CEA dont une partie des moyens et des missions seraient confiées aux quatre compagnies de combat (à quatre sections), soit le maintien d'une CEA dans chaque régiment, mais la réduction du format des compagnies de combat qui passeraient alors de quatre à trois sections. 

 

Selon nos informations, les deux régiments choisis sont le 1er régiment de tirailleurs d'Epinal et le 8ème régiment parachutiste d'infanterie de marine de Castres. 

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