Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 11:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

17 février 2015 par Jean-Dominique Merchet

 

Le contre-amiral Laurent Isnard fait partie des favoris pour prendre, à l'été prochain, le poste de G-COS, c'est-à-dire la tête du Commandement des opérations spéciales (COS). Il y succèderait au général Grégoire de Saint-Quentin, nommé en 2013.

 

Laurent Isnard est actuellement dans le coeur nucléaire des opérations, à son poste  de "Chef conduite des opérations" au Centre de planification et de conduite des Opérations (CPCO) de l’État-major des armées.

 

Issu de l'Ecole navale, Laurent Isnard, né en 1962, est commando-marine, nageur de combat, ancien pacha du commando Hubert et du TCD L'Orage.

Partager cet article
Repost0
6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 19:55
photo Lisa Bessodes - Marine Nationale

photo Lisa Bessodes - Marine Nationale

 

6 Août 2014 Marine Nationale

 

Retrouvez en exclusivité l’entretien complet du contre-amiral ISNARD à l’occasion de la remise du brevet aux hippocampes ailés au 1000ème nageur de combat.

 

Aujourd’hui 23 juillet 2014 est une date forte pour les nageurs de combat ! Cette unité spéciale reçoit son 1000ème nageur breveté. Les années qui suivront sa certification seront pour le jeune nageur de combat une succession de périodes de stages, d’entraînements et d’opérations sur toutes les mers du globe. Il pourra être amené à opérer dans des zones montagneuses, désertiques, urbaines ou rurales ou encore dans toutes les jungles où l’armée française est déployée. Il y interviendra parfois seul en toute discrétion, parfois aux côtés de ses camarades des forces conventionnelles.

 

photo Lisa Bessodes - Marine Nationale

photo Lisa Bessodes - Marine Nationale

 

Pour nous parler de ce métier, rien de mieux que de rencontrer le contre-amiral Laurent Isnard. Breveté successivement commando marine, nageur de combat et instructeur de chute libre, voici un homme qui a pris part à plusieurs opérations spéciales notamment au sein du non moins célèbre commando Hubert. L’amiral Isnard exerce aujourd’hui la responsabilité de Chef conduite des opérations au Centre de planification et de conduite des Opérations (CPCO) de l’État-major des armées.

Partager cet article
Repost0
7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 07:56
Au cœur du commando Hubert, le plus secret de l’armée française

 

7 juillet 2014 Portail des Sous-Marins

 

Le commando Hubert qui fait partie des forces spéciales est l’une des unités les plus secrètes de l’armée française. Ces nageurs de combat sont spécialisés dans la lutte sous-marine, le saut en parachute sous oxygène à plus de 4000 mètres et dans la lutte anti-terroristes.

 

Référence : Tf1

Partager cet article
Repost0
19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 05:42
photos Jean-philippe Pons - Marine Nationale

photos Jean-philippe Pons - Marine Nationale

 

18 Juin 2014 Marine nationale

 

L’amiral Bernard Rogel s’est rendu mercredi 18 juin en terre lorientaise pour décorer les six unités de commandos marine au titre de leurs engagements dans les opérations extérieures lors des dix dernières années.

 

Fourragère de la Croix de la Valeur Militaire pour les commandos Hubert et Trépel

 

Les commandos Hubert, Trépel et Kieffer se sont vus remettre une Croix de la Valeur Militaire (CVM) à titre collectif pour les nombreuses opérations auxquelles ils ont participé en Afghanistan. Les commandos Hubert et Trépel sont titulaires de deux citations à l’ordre de la Marine nationale comportant l’attribution de la CVM pour les missions accomplies en Afghanistan. A ce titre, ils se sont vus remettre la fourragère aux couleurs du ruban de la CVM.

 

Les six unités de commandos marine se sont également vu remettre une CVM dans le cadre de l’opération Serval.

Remise de décorations pour les unités de commandos marine
Partager cet article
Repost0
12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 12:55
Nageurs de combat - L’école du silence

11/10/2013 LTN E. Barnier / SIRPA Terre

 

Fin mai 2013, après cinq mois passés à l’école de plongée de Saint-Mandrier-sur-Mer, près de Toulon, 11 stagiaires terriens et marins sont encore en lice pour le prestigieux certificat de nageur de combat. Il leur reste deux mois d’efforts avant d’obtenir le précieux sésame qui leur permettra de rejoindre entre autres les rangs de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Immersion en eaux sombres.

 

Lundi de Pentecôte, jour chômé pour certains, 8h. En salle d’instruction, 11 stagiaires terriens du cours des nageurs de combat écoutent attentivement les consignes. Le rythme est donné : une semaine compte 7 jours, une journée dure 24 heures. Le stage est dense. « Messieurs, votre mission : dans la nuit du 20 au 21, neutraliser en discrétion et sans signature les objectifs à haute valeur ajoutée », annonce le premier maître (PM) S.T. Les élèves sont jeunes, 26 ans en moyenne. Ils sont marins ou terriens et viennent d’unités commandos marine ou de différents régiments de l’armée de Terre. Mais ils suivent ensemble, à Saint-Mandrier, la même formation : celle de nageur de combat. Exigeant, fatigant, ce stage est la promesse d’un sésame ouvrant les portes, pour les uns, du commando Hubert, pour les autres, du service Action de la DGSE.

 

Réputation surévaluée

 

L’appellation « centre parachutiste d’entraînement aux opérations maritimes » (CPEOM) cache, en réalité, un des centres du service Action de la DGSE. Les agents affectés au CPEOM sont tous spécialistes des opérations maritimes. Unité clandestine, discrète et mystérieuse, elle est la promesse de missions singulières et d’entraînements hors normes. Pour rejoindre ce « club fermé », la formation est longue et éprouvante. Le cours nageur souffre cependant d’une réputation d’inaccessibilité surévaluée. « Beaucoup de candidats se mettent une barrière et c’est dommage, regrettent les instructeurs. Sans tomber dans l’excès inverse et être surpris que ce soit dur, il faut juste savoir que c’est possible. » En pratique, le taux de sélection est comparable à n’importe quelle unité des forces spéciales. « Il faut mettre le chauffe-eau sur marche forcée pendant quelque temps, plaisante le PM R.D., avant d’ajouter plus sérieusement, et, surtout, il faut avoir la volonté d’aller au bout. »

« C’est une parenthèse de vie », explique le second maître J.T., un des stagiaires. « C’est un investissement personnel dans la durée, on se coupe de tout, on n’a le temps pour personne. C’est une vie de moine pendant la formation, avec le risque de ne pas terminer, mais ça vaut le coup. »

 

>>> Lire la suite dans le TIM n°248

Nageurs de combat - L’école du silence
Nageurs de combat - L’école du silence
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories