Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 17:30
Daech, al-Nosra, Armée de l'Islam : les sept familles du djihad en Syrie

 

04/11/2015 Par Eléonore de Vulpillières – LeFigaro.fr

 

FIGAROVOX/ENTRETIEN - Des vidéos circulent montrant des terroristes syriens utilisant des civils loyalistes du régime comme bouclier humain. Qui sont-ils ? Quelle est leur stratégie ? Alain Rodier fait le point sur les multiples groupes djihadistes en présence.

 

Spécialiste du terrorisme et de la criminalité organisée, ancien officier au sein des services de renseignement français, Alain Rodier est directeur de recherche au Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R).

 

LE FIGARO. - Selon l'ONG Human Rights Watch (HRW), des groupes de rebelles syriens auraient utilisé des otages civils (alaouites loyalistes au régime) dans la région de la Ghouta, près de Damas, comme boucliers humains en vue de dissuader le régime d'effectuer des raids aériens. Ils n'appartiendraient ni à Daech ni à al-Nosra, mais à l'Armée de l'Islam («Jaich al-Islam»). Quelle est l'importance de cette organisation?

 

Alain RODIER. - Jaich al-Islam (l'Armée de l'islam) est un mouvement salafiste nationaliste, c'est-à-dire qu'il inscrit son combat dans une perspective syrienne et pas internationaliste comme Al-Qaida «canal historique» ou Daech. Il est dirigé par Mohammad Zahran Allouche qui, un temps, dépendait de l'Armée Syrienne Libre (ASL). C'est le groupe rebelle le plus important dans la banlieue de Damas et en particulier dans le quartier de la Ghouta. Le nombre de ses combattants est estimé à 10 000, un certain nombre ayant été libérés des geôles syriennes en 2011 quand Bachar el-Assad a tenté une ouverture vers l'opposition. Jaich al-Islam est soutenu par l'Arabie saoudite et le Qatar. Il a refusé de rejoindre une nouvelle coalition qui s'est formée en octobre 2015 à Damas baptisée Jund al Malahim (les Soldats de l'aventure). Elle regroupe le Front al-Nosra, la branche armée d'Al-Qaida «canal historique» en Syrie, le Ahrar al-Sham (les Hommes libres du Levant) et le Ajnad al-Sham (les soldats du Levant). Lors de sa création, la nouvelle coalition a affirmé que la Oumma (la communauté des croyants) a subi une «attaque féroce» au Levant et partout ailleurs. Les «Russes ont rejoint cette attaque mettant les pieds dans les pas des apostats [les chiites], des croisés et de leurs alliés». Le refus de Jaish al-Islam peut s'expliquer par son souhait d'apparaître comme «modéré» en n'entretenant pas de relations avec le Front al-Nosra.

Parallèlement, Jaich al-Islam appartient au Front Islamique (FI) patronné par Riyad qui unit sept mouvements salafistes dont le Ahrar al-Sham qui lui, dépend aussi du Jund al Malahim et qui a donc des relations avec le Front al-Nosra! Allouche est le chef militaire du FI et Hassan Aboud, l'émir d'Ahrar al-Sham le chef politique…

Suite de l’entretien

Partager cet article
Repost0
19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 13:55
Dans la tête des terroristes islamistes - Profils psychologiques et ingrédients de la terreur

 

19.03.2015 Soukaïna BRAHMA, Membre du Comité Moyen-Orient de l’ANAJ-IHEDN

 

L’ANAJ-IHEDN a le plaisir de vous inviter à sa prochaine conférence sur le thème :

 

Dans la tête des terroristes islamistes : profils psychologiques et ingrédients de la terreur

 

Asma GUENIFI*, Psychologue clinicienne à l’Association française des Victimes du Terrorisme. Auteur d’une étude sur les profils psychologique des islamistes radicaux

 

Jeudi 2 avril 2015 19h30 à 21h00

Ecole militaire - Amphithéâtre Desvallières
 

 

Chaque semaine ne passe sans que les mots Jihad, terrorisme, islamiste, salafiste, martyrs, Al Qaïda, Daech ne retentissent dans les médias. Ces mots sont utilisés par tous sans véritablement une analyse et une étude poussée de qu’il s’y trouve comme signification et origines.

Pour comprendre les origines du « terrorisme salafiste », il faut remonter très loin dans l’histoire des communautés chiites. En effet, il s’agit d’une pratique très lointaine qui prend ses sources au sein d’un conflit de pouvoir au temps des califats.

Nous ne les appelons plus « terroristes », « islamistes » ou « intégristes », c’est un vocabulaire obsolète. Pour la grande majorité, ils se présentent eux-mêmes comme salafistes. On ne naît pas salafiste, on le devient. Comment, quand et pourquoi ? La dimension psychoculturelle joue un rôle prédominant et permet de mieux expliquer le profil du salafiste.

Lors de cette conférence, Asma Guénifi reviendra sur les différents profils psychologiques des islamistes radicaux, et particulièrement sur les salafistes.

sinscrire

* Asma GUENIFI naît à Constantine (Algérie) d’un père cinéaste et d’une mère militante, féministe et humaniste. C’est donc tout naturellement qu’Asma commence à militer pour les droits de l’homme auprès de sa mère à l’âge de 16 ans. La vie d’Asma bascule le 6 juin 1994 lorsque son frère, Hichem GUENIFI, ingénieur du son, est assassiné à l’âge de 21 ans en Algérie par les islamistes du Front islamique du Salut (FIS). S’ensuit un exil en France pour fuir la guerre civile de la « décennie noire » où la famille entame un long processus de reconstruction.

Psychologue clinicienne à l’Association française des Victimes du Terrorisme, Asma Guénifi est l’auteur d’une étude sur les profils psychologique des islamistes radicaux. Elle a choisi le suivi psychologique de trois salafistes français repentis pour les besoins de ses travaux. Elle est également l’auteur d’un livre paru le 16 juin 2011 aux éditions Riveneuve, « Je ne pardonne pas aux assassins de mon frère

Diplômée de psychologie clinicienne de l’université Paris VIII. Elle a exercé en tant que psychologue au centre médico-psychologique d’Antony, psychologue & créatrice du pôle psychologique pour les femmes en difficultés au sein de l’association  « Ni Putes Ni Soumises ». Asma a travaillé sur les troubles psychiques consécutifs à des actes terroristes, en contact direct avec des victimes de l’intégrisme islamiste. En 2014, elle pilote le Projet Papillon, le premier séjour thérapeutique pour jeunes victimes du terrorisme en France avant de concevoir le Projet Phoenix, programme similaire destiné à des adultes, prévu pour mai 2015.

Partager cet article
Repost0
10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 07:45
source BBC Africa July 2014

source BBC Africa July 2014

 

8 Octobre 2014 Par : SADEK BELHOCINE - lemidi-dz.com

 

Un groupe criminel, composé de vingt personnes de nationalités étrangères (12 Soudanais et 8 Tchadiens), a été arrêté près de la frontière algéro-nigérienne.

 

Une opération "Tiguentourine bis" était-elle dans la feuille de route de ce groupe ? Il reste que ce groupe "multinational" avait des visées malveillantes. Sa composante et sa logistique sont révélatrices de son projet.

 

Les tentatives d’infiltrations des terroristes à partir du territoire libyen se multiplient. Des groupes armés ou ceux versés dans le trafic en tous genres sont neutralisés par les éléments de l’Armée nationale populaire au niveau des frontières avec ce pays. Les mailles du filet dressé par les services de sécurité le long des frontières avec la Tunisie et la Libye se sont avérés très serrées pour permettre le passage et l’infiltration aux groupes armés ou des narcotrafiquants en territoire algérien.

 

Les groupes armés ou ceux versés dans le trafic et le crime organisé ont jeté leur dévolu sur des points de la frontière situés plus au sud-est de l’Algérie c’est à dire les frontières avec le Niger où la situation sécuritaire était redevenue « calme » après le rapt des employés de Ereva, compagnie française exploitant les mines d’uranium dans ce pays. Une tentative d’infiltration opérée à partir des frontières nigériennes a échoué grâce à la vigilance des éléments de l’ANP stationnés dans cette région.

 

L’armée algérienne annonce, lundi 6 octobre, avoir arrêté « un groupe criminel composé de vingt personnes de nationalités étrangères (12 Soudanais et 8 Tchadiens) dans la zone de Tiririne » près des frontières algéro-nigériennes. Cette opération, qui s’inscrit « dans le cadre de la lutte contre la contrebande et le crime organisé », a « permis de saisir deux véhicules tout-terrains et six motos », précise le communiqué du ministère de la Défense nationale. Quelques jours plus tôt, lundi 28 septembre, le ministère de la Défense avait annoncé l’arrestation de 35 personnes de nationalité algérienne et 7 autres de nationalité malienne à Bordj Badji Mokhtar, près de la frontière malienne.

 

Les groupes d’individus arrêtés ont été qualifiés par l’ANP de groupes « criminels » que l’on peut comprendre des groupes prêts à tout sachant la connexion qui existe entre groupes terroristes et narcotrafiquants quand ce n’est pas un même groupe qui s’autofinance en liant les deux activités criminelles. Est-ce une tentative d’infiltration d’éléments du Daech ? Il est trop tôt pour le dire ! La composante du groupe arrêté dans la zone de Tiririne et la logistique qu’ils ont utilisée pour tenter de passer les frontières du groupe arrêté dans la zone de Tiririne permet de le penser.

 

Comme il est permis de penser que le Niger « abrite » des bases arrières de groupes armés en veille et qui n’ont pas encore prêté allégeance à la nébuleuse Daech qui déploie ses tentacules à travers les pays subsahariens et en Lybie, pays devenu incontrôlable où les institutions sont en faillite et où règnent en maître les milices de divers horizons idéologiques. Il est aussi permis de penser que le groupe projetait de perpétrer des actions malveillantes en territoire algérien, une opération à forte résonance médiatique, type Tiguentourine pour « crédibiliser » l’implantation de ce mouvement en Algérie.

 

Ce qui se passe en Libye le confirme. Selon plusieurs médias libyens, des terroristes des groupes armés basés dans la ville libyenne de Derna, dont Ansar Charia (Tunisie) ont fait, avant-hier lundi, une démonstration de force à travers un défilé militaire couronné par l’allégeance à l’Etat Islamique (EI) ou Daech, rapportent plusieurs médias libyens.

 

Les partisans d’Ansar Charia, ainsi que ceux des autres groupes armés de la nébuleuse terroriste, se sont rassemblés, lundi, à la place Sahaba, à Derna, pour annoncer leur ralliement à Daech. Cette annonce a été faite au terme d’un défilé militaire et d’un cortège de véhicules portant le logo « Police de l’islam », l’objectif étant de montrer la force des milices islamistes armées et d’impressionner les habitants.

 

Selon ces mêmes médias, la ville côtière de Derna compte plusieurs camps d’entraînement des djihadistes, qui sont ensuite envoyés en Irak, Syrie et vers d’autres fronts du djihad. Le Tunisien Seifallah Ben Hassin, alias Abou Iyadh, chef de l’organisation terroriste Ansar Charia, ainsi que d’autres individus recherchés pour des attentats et des assassinats en Tunisie, se trouvent actuellement à Derna.

 

Il faut savoir que selon diverses sources, plus de 3.000 soldats supplémentaires auraient été dépêchés au niveau des frontières avec la Tunisie et la Libye, suite aux informations faisant état de projets d’attaques terroristes contre des cibles stratégiques du pays, notamment les champs pétroliers dans le Grand Sud algérien.

 

Est-ce pour desserrer la pression sur le « front » de la frontière algérotunisienne que ce groupe a tenté de s’infiltrer en territoire algérien ? Est-ce une tentative de diversion à la faveur d’une opération en territoire algérien pour attirer plus de soldats de l’ANP dans la zone frontalière algéro-nigérienne et donner ainsi un répit aux djihadistes dans les monts tunisiens qui longent la frontière algérienne, traqués par l’armée tunisienne ? Toutes les suppositions sont permises à la lumière de la décision du Daech de s’attaquer aux citoyens de tous les pays qui ont formé la coalition internationale mise en place pour combattre le Daech en Irak et en Syrie.

Partager cet article
Repost0
10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 07:30
général Abdelkarim Hachem - photo FAL

général Abdelkarim Hachem - photo FAL

 

09/10/2014 Par Georges Malbrunot – LeFigaro.fr

 

C'est un mini Tora Bora en territoire libanais. Une chaîne de montagnes étirée sur 60 km le long de la frontière syrienne dans laquelle personne n'ose plus s'aventurer. «Il nous faudrait des forces spéciales bien entraînées pour aller y combattre Daech», affirme le général Abdelkarim Hachem à la tête de la 8e brigade de l'armée libanaise, depuis son QG de Laboué à 10 km du repaire djihadiste.

 

Suite de l'article

Partager cet article
Repost0
10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 07:30
Syrie: en assiégeant Kobané, les jihadistes davantage exposés aux frappes

 

10 octobre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Les avions de la coalition internationale conduite par les Etats-Unis ont continué jeudi à pilonner le groupe Etat islamique (EI) près de la ville kurde syrienne de Kobané (nord), assiégée par les jihadistes qui se sont ainsi davantage exposés aux frappes.

 

Les Etats-Unis ont mené neuf frappes aériennes supplémentaires près de Kobané jeudi, qui s'ajoutent aux cinq raids annoncées plus tôt dans la journée, a précisé le commandement américain chargé du Moyen-Orient et de l'Asie centrale (Centcom) dans un communiqué.

 

Les frappes près de cette ville frontalière de la Turquie se sont particulièrement intensifiées depuis mardi, pour atteindre un total de 47 raids depuis le 27 septembre.

 

Nous frappons quand nous les voyons, a expliqué un responsable militaire sous couvert de l'anonymat. Et les occasions (de frappes aériennes) se présentent d'elles-mêmes à Kobané actuellement, selon lui.

 

Pour autant les avions de la coalition ne bénéficient d'aucun contrôleur au sol qui pourrait guider les bombardements ou décider de les accroître, ont précisé ces responsables.

 

Certains experts avaient suggéré que l'armée américaine avait déployé davantage d'avions de surveillance dans la zone pour déterminer des cibles potentielles.

 

Il n'y a pas de changement dans la stratégie mais le groupe EI a exposé ses soldats quand il s'est lancé au nord vers Kobané, fournissant des cibles solides, a expliqué un autre haut-responsable militaire, s'exprimant aussi sous couvert de l'anonymat.

 

Les militaires américains sont certes conscients de la situation humanitaire urgente dans laquelle se trouvent les Kurdes à Kobané, mais ils ne considèrent pas pour autant cette ville comme stratégique, a précisé un responsable.

 

Nous n'allons pas nous laisser entraîner dans une stratégie +ville par ville+, a-t-il expliqué.

 

La priorité pour les généraux américains est de vaincre le groupe EI d'abord en Irak, où il est possible de travailler davantage avec des forces locales en capacité de se battre, selon lui.

 

En Syrie, l'objectif est de simplement couper les lignes d'approvisionnement et de désorganiser les sanctuaires des jihadistes, étant donné qu'il n'y a pas au sol de force rebelle modérée viable, en état de lancer une offensive.

 

Jeudi, les Etats-Unis ont lancé six frappes au sud de Kobané, qui ont détruit deux bâtiments, un char, et une mitrailleuse lourde, et touché des unités de l'EI. Trois autres frappes au nord de Kobané ont touché deux unités du groupe EI et détruit deux bâtiments.

 

Plus tôt jeudi, le Centcom avait assuré que les combattants kurdes continuaient à contrôler la majeure partie de Kobané et que cinq frappes avaient été menées contre différents éléments de l'EI au sud de la ville.

 

Le Centcom ne précise pas combien de combattants ont été tués ou blessés dans ces attaques.

 

Les Etats-Unis et plusieurs alliés arabes mènent depuis le 23 septembre des frappes en Syrie, dont une partie du territoire est contrôlée par l'EI qui y a établi son quartier général.

 

Les Américains ont commencé à bombarder le groupe EI le 8 août en Irak et ont été depuis rejoints par la France, le Royaume-uni et l'Australie notamment.

Partager cet article
Repost0
10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 07:30
Syrie: armer l'opposition n'aidera pas à combattre Daesh (Julien Barnes-Dacey)

 

 

MOSCOU, 9 octobre - RIA Novosti

 

La décision de Washington d'entraîner et d'armer 5.000 combattants de l'opposition syrienne modérée n'aiderait pas à éliminer la menace que constituent les djihadistes du groupe radical Etat islamique (EI), a déclaré jeudi à RIA Novosti Julien Barnes-Dacey, chercheur au Conseil européen des affaires étrangères.

 

"Les Etats-Unis envisagent de former en Arabie saoudite environ 5.000 militaires recrutés parmi les rebelles. L'organisation de l'Etat islamique compte au moins 30.000 militaires déployés sur tout le territoire de la Syrie et de l'Irak. Quant à l'armée gouvernementale syrienne, elle comprend des centaines de milliers de personnes. Il en découle donc que ce que les Etats-Unis envisagent de faire n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan par rapport ce qui doit vraiment être fait", a indiqué l'expert.

 

Le groupe sunnite terroriste Etat islamique, lié à Al-Qaïda, a gagné en force lors des opérations en Syrie où il a combattu contre les troupes gouvernementales. L'EI a la réputation d'être l'une des formations djihadistes les plus cruelles. Il y a quelques mois, cette organisation a intensifié ses activités en Irak.

 

Depuis le 8 août, l'aviation américaine effectue des frappes contre les positions des djihadistes en Irak, et dès le 23 septembre, en Syrie. Washington soutient en Syrie l'opposition modérée qui combat aussi bien contre les troupes gouvernementales que contre les terroristes de l'EI.

 

Les Etats-Unis sont appuyés par l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, Bahreïn et le Qatar.

 

L'US Air Force a de nouveau frappé jeudi les positions de l'EI près de la ville syrienne de Kobane (nord).

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 15:20
photo US Army

photo US Army

 

Oct. 3, 2014 – Defense News

 

Soldiers and their families should be warned the Islamic State is calling on its followers in the United States to use social media sites to “find the addresses of service members, show up [at their homes] and slaughter them,” according to the Army Threat Integration Center.

“ISIL [Islamic State of Iraq and the Levant] has called on lone offenders in the U.S. to use the “yellow pages,” social media sites like Facebook, Linkedin and Twitter to find the addresses,” states the ARTIC special assessment published Sept. 25.

The warning is “based on a law enforcement bulletin citing a jihadist tweet,” ARTIC states.

After U.S. began air strikes in Iraq in August and Syria in late September, IS supporters launched a Twitter campaign threatening to retaliate with violence in the U.S., according to the report.

“A recent audio message from an ISIL spokesman called, for the first time, for lone offender attacks in the Homeland in retaliation for U.S. military operations in Iraq and Syria,” the ARTIC report states. “According to the U.S. Government as many as 300 Americans are fighting with ISIL. ... There is concern that these Americans could return to the U.S. and commit attacks using the skills they learned overseas.”

Even before the U.S. airstrikes began, ARTIC said, Twitter posts showed Islamic State supporters in front of the White House and other spots in the U.S. states with the message “We are in your state, We are in your cities, We are in your streets” and “we are here #america near our #target…sooooooooooooon.”

The attacks may be “small scale” and targeting individuals with little advance planning or advance warning, rather than large-scale terrorist events, the report cautioned.

That means it’s important to watch out for any signs of surveillance or planned attack, and to take precautions online and particularly on social media, according to ARTIC, which advises taking these steps:

 

Social media precautions

■Think before you post and assume everyone in the world will be able to see what you are posting, or tweeting, even if the site limits your posts to your friends and family.

■Limit who can view your social media sites; but do not trust these settings as absolute.

■Avoid posting your home or work address and phone numbers; and any government or military affiliation.

■Avoid providing detailed accounts of your day (e.g., when you leave for or return from work).

■Never allow applications to geolocate your location.

 

At home

■Always lock doors, windows and garages.

■Make sure home entrances are well-lighted, and minimize bushes where intruders can hide before their ambush.

■Use the peephole before opening the door to anyone. Don’t use the chain latch to open the door part-way. Don’t open the door to solicitors or strangers.

■Install solid-core doors, heavy-duty locks and window security systems.

■Establish a safe haven.

■Hold a family meeting to work out home security plans.

 

What to watch for

■Unusual interest in sensitive information about security measures, personnel, entry points, peak days/hours of operation, and access controls such as alarms or locks.

■Someone engaging in overtly suspicious actions to provoke and observe responses by public safety personnel.

■Discreet use of cameras or video recorders, sketching, or note-taking consistent with surveillance.

■Observation of, or questions about facility air conditioning, heating, and ventilation systems.

■Repeated visits by the same subjects, including attempts to disguise appearance from visit to visit.

■Attempted or unauthorized access to rooftops or other sensitive areas.

■Observation of or unusual questions about security measures, such as staffing, barriers, restricted areas, cameras, and intrusion detection systems.

■Multiple false alarms or fictitious emergency calls to the same locations or similar venues.

■Unusual interest in speaking with building maintenance personnel.

■Observation of security reaction drills or procedures.

■Attention to or avoidance of surveillance cameras.

■Garments not appropriate for weather/seasons.

If you notice suspicious activity, report it to the appropriate authorities, ARTIC says. Report criminal threat information and suspicious activity to local law enforcement authorities and your chain of command.

According to ARTIC, its special assessment was a collaborative effort with Army CID Command Intelligence Operation Center (CIOC), and the Army CI Center (ACIC), and “does not represent the coordinated views of the U.S. Army.”

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 13:30
Irak: les troupes kurdes lancent une offensive contre l'EI sur trois fronts

 

30 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Erbil (Irak) - Les forces kurdes ont lancé mardi une offensive sur trois fronts contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) dans le nord de l'Irak, ont annoncé à l'AFP des officiers peshmergas.

 

Les opérations, qui ont débuté avant l'aube, se déroulent au nord de la ville de Mossoul, contrôlée par les jihadistes, au sud de la ville pétrolière de Kirkouk et contre une ville à la frontière syrienne, ont-ils précisé.

 

Un haut gradé a indiqué que des peshmergas, les combattants kurdes, étaient entrés dans la ville de Rabia, à la frontière syrienne, après avoir pris deux villages, As-Saudiyah et Mahmoudiyah.

 

Les soldats sont en train de se battre dans le centre de Rabia, située à une centaine de km au nord de Mossoul, deuxième ville d'Irak, a-t-il précisé.

 

Soutenus par des frappes aériennes, les peshmergas ont également attaqué la ville de Zoumar, à environ 60 km de Mossoul et à proximité du lac du barrage de Mossoul.

 

L'officier, qui s'exprimait sous le couvert de l'anonymat, n'a pas donné de détails sur la nature du soutien aérien.

 

Les appareils de l'armée irakienne effectuent des missions quotidiennes au dessus du pays, tandis que ceux de la coalition, notamment américains et français, mènent des raids ciblés sur des installations de l'EI.

 

Rabia et Zumar sont deux localités dont les forces kurdes avaient pris le contrôle lors de la vaste offensive lancée en juin par l'EI qui avait mis en déroute l'armée irakienne, notamment à Mossoul.

 

Deux mois plus tard, les combattants jihadistes avaient mené une offensive contre les positions des peshmergas qui avaient été contraints de reculer.

 

Plus au sud, les forces kurdes ont repris des villages autour de Daquq qui étaient contrôlés par l'EI depuis juin. Ils ont libéré les villages de Saad et Khaled, et ont pris le contrôle total de la zone après de durs combats, a souligné le général kurde Westa Rasul.

 

Il a précisé que les peshmergas faisaient face à une forte résistance en avançant vers un autre village, Al-Wahda, à une trentaine de km au sud de Kirkouk.

Partager cet article
Repost0
27 septembre 2014 6 27 /09 /septembre /2014 13:30
Opération Chammal : poursuite des missions aériennes (26 sept)

 

26/09/2014 Sources : EMA

 

Une mission de soutien aérien a de nouveau été effectuée aujourd’hui, vendredi 26 septembre, au-dessus de l’Irak.

 

Deux Rafale ont effectué une mission de reconnaissance armée dans le nord-ouest de l’Irak, au cours d’un vol de plus de sept heures qui a nécessité plusieurs ravitaillements par C135-FR.

 

Un Atlantique 2 a quant à lui effectué un vol de onze heures dans la région de Mossoul pour une mission ISR (Intelligence, surveillance and reconnaissance).

 

Ces vols visent à acquérir du renseignement sur les positions les mouvements et les vulnérabilités du groupe terroriste Daech. Les informations recueillies sont ensuite partagées avec nos alliés présents dans la région.

 

Ces missions de soutien aérien vont se poursuivre dans les prochains jours. Elles sont effectuées sous le contrôle opérationnel de l’amiral commandant la zone océan Indien (ALINDIEN) en coordination avec le CAOC américain (coordination air operation center) situé à Al Udeid, au Qatar.

Opération Chammal : poursuite des missions aériennes (26 sept)
Partager cet article
Repost0
27 septembre 2014 6 27 /09 /septembre /2014 12:30
source Defence One

source Defence One

 

26 Septembre 2014 Larbi Amine - lemag.ma

 

Washington : Le site américain, Defense One, édité par le groupe médiatique US Atlantic Media et spécialisé dans les questions de défense et de sécurité nationale américaine, a publié une carte des alliés contribuant à la guerre contre ‘DAECH’ exclusivement en Syrie.

 

Lire l’article

Partager cet article
Repost0
26 septembre 2014 5 26 /09 /septembre /2014 15:30
Aircraft launch in support of missions against ISIL


26 sept. 2014 US Navy

 

ARABIAN GULF (Sept. 25, 2014) F/A-18 Hornets and EA-6B Prowlers launch from the aircraft carrier USS George H.W. Bush (CVN 77) supporting strike, surveillance and reconnaissance missions over Iraq. These missions help increase U.S. capacity to target ISIL, and coordinate the activities of the U.S. military across Iraq and into Syria. (U.S. Navy video/Released)

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 16:30
USS Philippine Sea launches TLAMS against ISIL targets


23 sept. 2014 US Navy

 

ARABIAN GULF (Sept. 23, 2014) The guided-missile cruiser USS Philippine Sea (CG 58) launches Tomahawk Land-Attack Missiles (TLAM) against ISIL targets. U.S. military and partner nation forces are undertaking military action against ISIL terrorists in Syria using a mix of fighter, bomber and Tomahawk Land Attack Missiles. Philippine Sea is deployed as part of the USS George H.W. Bush (CVN 77) Carrier Strike Group supporting maritime security operations and theater security cooperation efforts in the U.S. 5th Fleet area of responsibility. (U.S. Navy video by Mass Communication Specialist 3rd Class Benjamin Kelly/RELEASED)

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 16:30
Syrie: la Turquie n'a pas été utilisée pour les frappes de la coalition

 

24 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Ankara - Ni l'espace aérien de la Turquie ni sa base aérienne d'Incirlik (sud-est) n'ont été utilisés pour les frappes de la coalition dans la nuit de mardi à mercredi contre le groupe Etat Islamique (EI) en Syrie, ont affirmé des sources officielles turques à l'AFP.

 

Notre espace aérien et notre base n'ont pas été utilisés, a précisé l'une de ces sources sous couvert de l'anonymat. L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a pour sa part affirmé que des avions venus de Turquie avaient mené ces raids.

 

Il n'est pas question que la Turquie, son espace aérien ou sa base d'Incirlik aient été utilisés pour des raisons opérationnelles lors des raids de la coalition, a souligné un responsable de l'entourage du Premier ministre Ahmet Davutoglu

 

Ces frappes aériennes ont visé les positions des jihadistes dans les environs de la ville kurde d'Aïn al-Arab (Kobané en kurde), complètement encerclée par le groupe extrémiste, selon l'ODSH.

 

La poussée de l'EI dans cette zone a provoqué un afflux massif de quelque 140.000 civils vers la Turquie depuis la semaine dernière.

 

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré mardi que la Turquie pourrait apporter un soutien militaire aux opérations contre l'EI.

 

Nous apporterons le soutien nécessaire à cette opération. Ce soutien pourrait être militaire et politique, a dit le président turc à New York, où il assiste à l'Assemblée générale des Nations unies.

 

Membre de l'Otan, la Turquie, que Washington souhaite rallier à la coalition mise en place contre les djihadistes présents en Irak et en Syrie, était pour l'heure plutôt réticente à s'engager.

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 16:30
L'Arabie saoudite confirme avoir participé aux frappes en Syrie

 

23 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Ryad - L'Arabie saoudite, chef de file des monarchies du Golfe, a confirmé avoir participé mardi aux frappes menées par les Etats-Unis et leurs alliés arabes contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) en Syrie.

 

Les forces aériennes royales saoudiennes ont pris part aux opérations militaires contre l'EI en Syrie, en soutien à l'opposition syrienne modérée, et cela dans le cadre de la coalition internationale conduite par Washington, a déclaré un porte-parole officiel, cité par l'agence officielle SPA.

 

Cette coalition, a-t-il ajouté, est destinée à éradiquer le terrorisme, une maladie mortelle, et à soutenir le peuple syrien frère afin de rétablir la sécurité, l'unité et le développement dans ce pays sinistré.

 

La Jordanie, puis Bahreïn et les Emirats arabes unis ont tour à tour annoncé avoir mené des frappes contre les jihadistes de l'EI, les premières lancées par les Etats-Unis en Syrie.

 

Le Qatar est le seul des cinq pays arabes, dont la participation a été annoncée par le Pentagone, à ne pas encore s'être exprimé dans la soirée.

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 13:56
Irak: la France déterminée à poursuivre ses frappes contre l'EI

 

PARIS, 24 septembre - RIA Novosti

 

Les avions de combat français poursuivront, dans les jours qui viennent, leurs frappes contre le groupe Etat islamique (EI) en Irak, a annoncé le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian, cité par les médias locaux.

 

"Nous sommes dans la coalition, nous avons été appelés par les autorités irakiennes, en appui aérien à leurs actions militaires au sol menées par les forces irakiennes et du Kurdistan, et donc nous accomplirons notre devoir", a indiqué le ministre, ajoutant que "nous continuerons les frappes dans les jours qui viennent, bien évidemment."

 

Selon le ministre, les avions de combat français poursuivent leurs "missions de surveillance et d'identification" pour "repérer des cibles de nature à empêcher, enrayer, les forces de l'État islamique, et permettre aux forces au sol de reconquérir du terrain".

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 13:50
Syrie/Irak: le nombre de djihadistes européens en hausse (responsable UE)

 

PARIS, 24 septembre - RIA Novosti

 

Le nombre de jihadistes européens partis combattre en Syrie et en Irak a progressé ces derniers mois pour atteindre 3.000 personnes, a annoncé le coordinateur de l'UE pour la lutte contre le terrorisme Gilles de Kerchove cité par les médias occidentaux.

 

Selon le responsable, cette augmentation serait due à l'avancée sur le terrain du groupe extrémiste Etat islamique (EI) et à la proclamation en juin d'un "califat" sur les territoires irakiens et syriens passés sous son contrôle.

 

Ces combattants arrivent pour la plupart de France, de Grande-Bretagne, d'Allemagne, de Belgique, des Pays-Bas, de Suède et du Danemark, mais aussi d'Espagne, d'Italie, d'Irlande et désormais d'Autriche, a fait savoir M.de Kerchove.

 

L'EI, appelé autrefois l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), sévissait au départ principalement en Syrie où il combattait les troupes gouvernementales, s'imposant comme l'une des organisations terroristes les plus cruelles. Il y a quelques mois, l'EI s'est soudainement activé en Irak, s'emparant d'importants territoires. Depuis le 8 août, l'armée américaine porte des frappes aériennes contre les positions des djihadistes de l'EI en Irak.

 

Mardi matin, les Etats-Unis ont lancé des raids contre les combattants de l'Etat islamique, du Front Al-Nosra et de Khorasan en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique.

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 13:30
Jihadistes présumés libérés: Le Drian critique une initiative malencontreuse d'Ankara

 

24 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Paris - Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a critiqué mercredi une initiative malencontreuse d'Ankara, après l'arrivée à l'aéroport de Marseille (France), sans être inquiétés, de trois présumés jihadistes français en principe attendus à Paris.

 

Parlant à la radio France Info de cafouillage, de couac, M. Le Drian assure qu'une solution sera vite trouvée, mais que l'initiative des autorités turques de changer (les jihadistes) d'avion a été malencontreuse.

 

Il a cependant reconnu qu'il y avait eu une défaillance du système de lecture des passeports à Marseille.

 

Il y a manifestement un gros cafouillage mais il est en grande partie dû aux difficultés, à l'absence de très bonne collaboration avec les services turcs. Ce cafouillage montre qu'il faut renforcer les relations, les méthodes et les actions avec les autorités turques, a dit le ministre.

 

Trois présumés jihadistes français de retour de Syrie via la Turquie sont rentrés mardi en France sans être inquiétés, alors que le ministère de l'Intérieur les attendait de pied ferme. Il avait même annoncé leur arrestation à l'aéroport parisien d'Orly, alors qu'ils ont débarqué à Marseille.

 

Parmi les trois hommes, se trouve le mari de Souad Merah, la soeur de Mohamed Merah, un jeune Toulousain, tué par la police en mars 2012 après avoir mené plusieurs expéditions au cours desquelles il avait tué sept personnes, dont plusieurs enfants dans une école juive.

 

Il n'empêche, a noté M. Le Drian, que depuis plusieurs jours, on arrête tous les jours des individus suspectés d'être dans ces filières jihadistes, ils sont arrêtés, mis en garde à vue, judiciarisés.

 

La vigilance est de tous les instants, selon lui.

 

Relancé sur une défaillance technique du système Cheops (Circulation hiérarchisée des enregistrements opérationnels de la police sécurisés), il a acquiescé : Il y a eu une panne à Marseille, je le sais.

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 12:57
source MAE - 22.09.2014

source MAE - 22.09.2014

 

24-09-2014 Par Dominique Desaunay - RFI

 

Les Français résidents ou étant amenés à se déplacer dans certains pays ont été appelés à « la plus grande prudence » par le ministère des Affaires étrangères en raison des menaces proférées par les groupes terroristes de l’Etat islamique sur la toile et l’enlèvement d'Hervé Gourdel en Alégérie alors qu’il effectuait une randonnée dans des montagnes de Kabylie.

 

Llire l’article

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 12:30
Defence Secretary Michael Fallon

Defence Secretary Michael Fallon

 

23 September 2014 Ministry of Defence and The Rt Hon Michael Fallon MP

 

Michael Fallon meets Middle East partners to discuss international response to ISIL.

 

Mr Fallon met with allies in Saudi Arabia yesterday and Bahrain today to discuss regional security and international co-ordination to counter ISIL ahead of this week’s United Nations General Assembly.

He said:

At the Jeddah and Paris conferences there was strong agreement on the need for a co-ordinated response to the ISIL threat. In taking action to degrade and destroy ISIL terrorists it is important that key regional partners continue to play a leading role.

The UK supports the air strikes launched by the US and regional allies last night which run alongside the action the UK has already taken in the form of reconnaissance flights, military equipment and humanitarian aid.

The UK government continues to discuss what further contribution the UK may make to international efforts to tackle the threat we all face from ISIL.

The UK has a long-standing defence relationship with both Saudi Arabia and Bahrain. In Saudi Arabia the UK assists with the delivery and support of Typhoon and Tornado aircraft. Bahrain is also a key location for the UK, with onshore basing and ships located at Mina Salman Port.

While meeting serving Royal Navy personnel in Bahrain Mr Fallon witnessed the structural work being carried out to improve the navy’s facilities.

He added:

The UK already has a long-established presence in the region and in my discussions I have re-emphasised the UK’s continuing commitment and opportunities to strengthen co-operation.

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 10:50
Débat sur la menace posée par l'EIIL pour la sécurité - SEDE

 

24-09-2014 SEDE - REF. : 20140922IPR67207

 

La menace que pose l'État islamique pour la sécurité en Irak, en Syrie et ailleurs dans le monde fera l'objet d'un débat avec le coordinateur européen de la lutte contre le terrorisme, Gilles de Kerchove, lors d'une réunion ce mercredi de la sous-commission sécurité et défense et de la commission des affaires étrangères. Le débat débutera à 15h00.

 

Florence Gaub, analyste en chef à l'Institut d'études de sécurité de l'Union européenne, et John O'Rourke, chef du département de la Péninsule arabique, de l'Iran et de l'Irak au SEAE, participeront également au débat.

 

Le Parlement européen dans son ensemble a débattu de l'évolution de la situation en Irak et en Syrie la semaine dernière et a adopté une résolution à ce sujet le 18 septembre. Les députés ont demandé à l'UE d'aider davantage les autorités nationales et locales en Irak dans leur lutte contre l'EIIL, notamment via une aide militaire appropriée. Ils ont invité la communauté internationale à couper les ressources de l'EIIL et ont appelé les États membres de l'UE à coopérer de manière plus étroite pour vérifier quels ressortissants nationaux ont rejoint l'insurrection de l'EIIL.

 
Partager cet article
Repost0
24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 09:45
L'armée algérienne sur les traces de l'otage

 

24/09/2014 à 06:49 Par Mélanie Matarese

 

Quelque 2000 militaires sont engagés dans une course contre la montre pour retrouver Hervé Gourdel.

 

Quelque 2000 militaires algériens, soutenus par une centaine d'hommes des forces spéciales (parachutistes et GIS), mènent une grande opération de ratissage dans les régions montagneuses de Kabylie, pour tenter de débusquer le groupe armé qui a kidnappé dimanche Hervé Gourdel. «En fait, il s'agit de deux opérations de ratissage organisées en étau, confie un gradé. L'une a démarré de Bouira et la seconde de Tizi Ouzou.»

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 11:30
India’s Blind Spot on ISIS

 

September 21, 2014 By Kabir Taneja - TheDiplomat

 

So far, few Indians have joined the extremists, but gaps in New Delhi’s ability to track them are worrying.

 

The terrorist group Islamic State of Syria and the Levant (ISIS) or, as it likes to call itself, the “Islamic State,” has managed to attract Islamist fighters not just from the Middle East but all across the world.

According to data released by the International Centre for the Study of Radicalisation and Political Violence (ICSR), a London-based think tank, would-be jihadists from countries as far away as Australia and Norway have joined the ranks of the ISIS, which recently announced that the territory it controls, greater than the landmass of the United Kingdom, is now a “caliphate” led by the group’s elusive leader Abu Bakr al-Baghdadi.

According to ICSR, most of the overseas fighters populating the ranks of the ISIS have come from Tunisia (3,000 plus), Saudi Arabia (2,500 plus), and other regional Gulf members. However, the organization also notes that Western countries are also rapidly adding to the ISIS numbers, with France (around 700) and Britain (around 500) leading the pack. Even China has figured prominently, with more than 100 jihadists of Chinese origin thought to have fought with ISIS. According to latest estimates by America’s Central Intelligence Agency (CIA), the terror group may have up to 30,000 personnel under its command across Iraq, Syria, and possibly even beyond that.

 

Read full article

Partager cet article
Repost0
21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 09:50
La Commission européenne parmi les cibles possibles de jihadistes retour de Syrie

 

 

20 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Bruxelles - La Commission européenne figurait parmi les cibles possibles de jihadistes revenus de Syrie, a annoncé samedi la chaîne de radio-télévision néerlandaise publique NOS.

 

Selon NOS, au moins deux des personnes arrêtées par les autorités belges venaient de La Haye.

 

Ils préparaient un attentat. L'une des cibles était le bâtiment de la Commission européenne à Bruxelles, indique NOS, citant des sources anonymes.

 

Les commissaires n'étaient pas visés individuellement. L'action devait ressembler à l'attaque du Musée juif (...) avec pour objectif de tuer un maximum de personnes, a ajouté NOS.

 

Le suspect dans l'attentat du Musée juif de Bruxelles au mois de mai, qui a fait quatre morts, est le Français Mehdi Nemmouche, qui avait passé plus d'un an en Syrie dans les rangs des extrémistes islamistes et qui est actuellement détenu en Belgique sous l'accusation de meurtre lié à une entreprise terroriste.

 

Nous sommes au courant de l'information a déclaré à l'AFP un porte-parole de la Commission. Nous sommes sûrs que les autorités nationales suivent l'affaire de manière appropriée.

 

Les bâtiments de la Commission à Bruxelles abritent plusieurs milliers de fonctionnaires dont les hauts responsables des responsables de la gestion au quotidien de l'Union et de ses 28 pays.

 

Bruxelles abrite également le quartier général de l'Otan et de plusieurs autres compagnies et organisations internationales mais les mesures de sécurité y adoptent un profil bas et sont discrètes.

 

Le journal belge L'Echo a rapporté plus tôt dans la journée que les autorités belges avaient empêché plusieurs attentats de jihadistes revenus au pays après avoir combattu en Syrie et qui sont des sympathisants du groupe État islamique (EI).

 

On estime à quelque 400 le nombre de personnes de nationalité belge qui sont allées se battre en Syrie, dont environ 90 sont rentrées, selon l'Echo.

 

Nous partons du principe que, parmi eux, un sur neuf a l'intention de commettre un attentat. C'est une évaluation conservatrice, quand on tient compte des gens qui peuvent leur venir en aide, a expliqué une source au journal.

 

Selon L'Echo, plusieurs personnes ont été arrêtées, mais les autorités ne veulent pas dévoiler quelles étaient les cibles potentielles, pour ne pas affoler le public.

 

La Belgique, comme d'autres pays européens, s'inquiète du nombre croissant de ses ressortissants qui vont combattre en Syrie et en Irak et risquent de rentrer au pays encore plus endurcis et radicalisés.

 

En juin, un tribunal a ordonné un procès contre 46 personnes soupçonnées d'être membres de Sharia4Belgium, un groupe islamiste radical accusé de recruter de jeunes combattants pour la Syrie.

Partager cet article
Repost0
20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 12:30
Syrie: 18 jihadistes de l'EI tués lors de combats contre les Kurdes

 

20 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Beyrouth - Au moins 18 jihadistes de l'Etat islamique (EI) ont été tués dans la nuit de vendredi à samedi dans des combats avec les forces kurdes près de la ville syrienne d'Aïn al-Arab, à la frontière avec la Turquie, a indiqué une ONG.

 

Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), des affrontements violents étaient toujours en cours samedi dans ce secteur du nord de la Syrie où le groupe ultra-radical a pris le contrôle de 60 villages kurdes en deux jours, dont 40 vendredi.

 

Un Chinois figurerait parmi les 18 jihadistes tués, selon l'OSDH.

 

Cette avancée jihadiste a poussé des milliers de Kurdes à trouver refuge en Turquie, qui a ouvert sa frontière vendredi.

 

La ville d'Aïn al-Arab, dans la province d'Alep, et connue sous le nom de Kobané en langue kurde, est la troisième ville kurde de Syrie. Si les jihadistes s'en emparaient, ils contrôleraient alors une large part de la frontière nord avec la Turquie.

Partager cet article
Repost0
20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 12:30
Quelque 45'000 Kurdes de Syrie réfugiés en Turquie pour fuir l'EI

 

20.09.2014 Romandie.com (ats)

 

Quelque 45'000 Kurdes de Syrie se sont réfugiés en Turquie depuis jeudi pour fuir les combats entre Etat islamique (EI) et combattants kurdes, a annoncé samedi le vice-Premier ministre turc Numan Kurtulmus. Et les 49 Turcs otages des jihadistes en Irak ont pu être rapatriés.

 

"A l'heure où je vous parle, 45'000 Kurdes de Syrie ont franchi la frontière et sont entrés en Turquie en huit points de passage différents", a déclaré M. Kurtulmus à la presse.

 

La Turquie a été contrainte vendredi d'ouvrir sa frontière pour accueillir en urgence quelques milliers de Kurdes de Syrie poussés à l'exode par l'avancée d'EI autour de la ville syrienne d'Aïn al-Arab (Kobané en langue kurde).

 

Après avoir un temps refuser l'entrée de ces réfugiés, les autorités turques ont finalement laissé entrer à la mi-journée une cohorte de plusieurs milliers de personnes qui se pressaient devant la localité turque de Dikmetas, essentiellement des femmes, des enfants et des personnes âgées.

 

Otages turcs libérés

 

Par ailleurs, les 49 Turcs aux mains des jihadistes de l'Etat islamique dans le nord de l'Irak ont pu être rapatriés samedi par les services de renseignement turcs, après plus de trois mois de captivité, lors de ce que le président Recep Tayyip Erdogan a appelé une opération secrète de sauvetage.

 

Les ex-otages, parmi lesquels le consul général de Turquie à Mossoul, des enfants de diplomates ainsi que des militaires, avaient été faits prisonniers au consulat de Mossoul le 11 juin, lors de l'avance éclair des jihadistes de l'Etat islamique. Ils sont arrivés samedi matin à Sanliurfa, dans le sud de la Turquie.

 

Le pape menacé

 

Les menaces de membres supposés de l'Etat islamique hors du Proche-Orient attisent par ailleurs les craintes d'attaques et d'attentats.

 

En Italie, la sécurité a été renforcée place Saint-Pierre, après l'interception par des services de renseignements étrangers d'un message menaçant évoquant une possible attaque au Vatican, selon le quotidien "Il Messaggero" samedi.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories