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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 11:50
Défense: une armée rajeunie, modernisée, au budget intact (Belgique)

 

10 octobre 2014, Alain Lallemand - LeSoir.be

 

Le gouvernement « tient à une armée déployable, efficace, rationalisée, moderne, bien entraînée et jeune ». Le texte reconnaît les efforts budgétaires déjà engrangés par l’armée et le gouvernement ne souhaite pas d’autre effort : il s’engage même à «   œuvrer à la conclusion d’un accord » Otan et européen par lequel les pays s’engagent à ne plus réduire leurs budgets de Défense. Objectif : une Europe de défense «   solide et bien intégrée » logée dans « une alliance avec l’Otan ». C’est la touche De Crem. La touche Ducarme ? Dans le même temps, «   le gouvernement cherchera à réaliser les recommandations du groupe de travail parlementaire sur l’équilibre linguistique dans l’armée ».

 

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 16:50
Rafale

Rafale

 

15 juillet 2014 RTBF.be (Belga)

 

    L'industrie aéronautique belge fonde de grands espoirs dans un important - mais coûteux - contrat militaire que pourrait passer le prochain gouvernement, l'achat d'un nouvel avion de combat pour remplacer à partir de 2023 les F-16 vieillissants, tout en regrettant à demi-mots que le ministère de la Défense ne se montre pas plus exigeant sur le volet des retombées économiques.

 

    Ils se sont ainsi réjouis de la visite que leur a rendue le ministre sortant de la Défense, Pieter De Crem, au deuxième jour du salon aéronautique de Farnborough (sud-ouest de Londres), l'un des plus importants au monde, avec celui du Bourget qui se tient pour sa part les années impaires près de Paris.

 

    Pieter De Crem est allé à la rencontre de la vingtaine d'exposants belges présents à Farnborough, dont les "grands" du secteur, comme Sabca, Sonaca, Techspace Aéro, Asco et Barco. Mais il s'est refusé à toute déclaration à la presse.

 

    La Défense a adressé début juin à cinq agences étatiques, deux américaines et trois européennes, une demande d'information (en anglais "Request for Information", RFI) concernant cinq avions de combat susceptibles de succéder aux F-16.

 

    Il s'agit de la première étape, non contraignante, d'un - long - processus - qui devrait déboucher vers 2018 sur l'acquisition d'un nouveau chasseur avant la fin de vie prévue des F-16 à partir de 2023, pour autant que le prochain gouvernement s'accorde sur le maintien d'une capacité d'avions de combat.

 

    Relance

 

    L'industrie estime en effet qu'elle pourrait raisonnablement obtenir des retombées économiques équivalentes à la valeur du contrat - de l'ordre de quatre milliards d'euros.

 

    "Un vrai plan de relance", a souligné un responsable d'une entreprise sous le couvert de l'anonymat. "Dans un secteur de haute technologie et en croissance", a renchéri un de ses collègues en rappelant que l'achat des F-16, qualifié en 1975 de "contrat du siècle", avait généré de retombées économiques de trois à quatre fois supérieures à la valeur du marché initial.

 

    Les industriels regrettent ainsi que la Défense n'ait, dans la version finale du RFI (ou "survey") adressé début juin aux Etats-Unis, à la France, au Royaume-unie et à la Suède, plus fait mention de compensations économiques.

 

    "Mais nous ne pouvons plus le faire" en vertu de la législation européenne, ont répondu en choeur l'entourage de Pieter De Crem et l'état-major de la Défense.

 

    Eurofighter

 

    Les cinq agences étatiques auxquelles le RFI a été adressé sont le Joint Program Office (JPO), qui pilote le programme de chasseur F-35 Lightning II construit par le groupe Lockheed Martin, le Navy Integrated Program Office (Nipo) pour le F/A-18E/F Super Hornet de Boeing, la Direction générale de l'Armement (DGA) du ministère français de la Défense pour le Rafale du consortium Rafale International (regroupant l'avionneur français Dassault Aviation et ses partenaires Safran et Thales), la Swedish Defence and Security Export Agency (FXM) pour le JAS-39 de Saab et le ministère britannique de la Défense pour l'Eurofighter du consortium éponyme.

 

    Le ministère souhaite en effet conclure un achat "d'Etat à Etat" - et non directement auprès d'un constructeur, selon plusieurs sources.

 

    Mais tous les contructeurs savent qu'ils doivent envisager l'octroi de retours à l'industrie belge, estime la Défense en se défendant de se montrer "plus catholique que le pape" face à la législation européenne qui interdit désormais explicitement de réclamer des compensations économiques lors des marchés publics.

 

    Pieter De Crem s'était déclaré en décembre dernier clairement partisan de l'achat d'une quarantaine de nouveaux avions de combat lors de la législature à venir si la Belgique souhaitait rester un "partenaire fiable" au sein de l'Otan et de l'Union européenne.

 

    Idéalement, selon la composante Air de l'armée, la décision d'achat devrait intervenir en 2016 au plus tard pour lui donner le temps de préparer son entrée en service avant le retrait des F-16, irrévocablement programmé entre 2023 et 2025. L'avion de Lockheed Martin (anciennement General Dynamics) est en service en Belgique depuis 1979, même si les appareils les plus récents datent de 1991. Les 54 avions survivants, sur les 160 achetés, ont tous subi une modernisation à mi-vie ("Mid-Life Update", MLU) qui se poursuit par des évolutions logicielles et structurelles.

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 07:50
L'honneur de la Belgique à Londres

 

12.07.2014 Belgian Defense

 

Le prince Laurent, accompagné du vice-premier et ministre de la Défense Pieter De Crem, a assisté à la 80e cérémonie militaire belge traditionnellement organisée au pied du Cénotaphe de Londres.

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10 juillet 2014 4 10 /07 /juillet /2014 16:50
La reine baptise le patrouilleur P901 Castor

 

10.07.20174 Belgian Defense

 

Ce 10 juillet, la reine Mathilde a inauguré le patrouilleur P901 Castor. Elle en devient ainsi la marraine. Le ministre et le chef de la Défense ainsi que le commandant de la Composante Marine ont assisté à la cérémonie.

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 11:50
LMV - photo Composante Terre

LMV - photo Composante Terre

 

8/04/14 – 7 sur 7.be (Belga)

 

Le ministre de la Défense, Pieter De Crem, est contrarié car il ne peut pas acheter de nouvelles jeeps blindées en raison des mesures d'économies imposées à l'armée. La décision pour cet achat important a été reportée à la prochaine législature, rapportent mardi Het Belang van Limburg et la Gazet van Antwerpen.

 

Sur la période 2012-2014, la Défense doit économiser un total de 382 millions d'euros.

 

Le ministre souhaitait acheter 97 jeeps blindées pour un montant de 30 millions d'euros avant la fin de cette législature, mais les restrictions budgétaires ne le permettront pas. Ces véhicules sont toutefois nécessaires afin de remplacer les jeeps Iltis qui datent de 1982 et ne sont pas blindées.

 

L'armée va par ailleurs devoir diminuer de 8% ses dépenses destinées aux programmes d'entraînement de ses différentes composantes.

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3 avril 2014 4 03 /04 /avril /2014 11:50
L'armée belge n'a jamais mené de cyberriposte

 

2/04/14 – 7sur7.be (Belga)

 

Le Service général du renseignement et de la sécurité (SGRS) de l'armée belge dispose d'une capacité offensive de riposte en cas de cyberattaque mais n'en a jamais fait usage, a affirmé mercredi le ministre de la Défense, Pieter De Crem.

 

"Vous savez que le SGRS n'a pas encore fait usage de cette possibilité légale", a-t-il indiqué en commission de la défense de la Chambre.

 

En vertu d'une loi du 30 novembre 1998, complétée par une autre datant du 4 février 2010, le SGRS a le droit "dans le cadre de cyberattaques contre les systèmes informatiques et connectiques militaires ou contre les systèmes que contrôle le ministre de la Défense territoriale, de neutraliser ces attaques et d'en identifier les auteurs, sans préjudice du droit de réagir immédiatement par une cyber-attaque propre conformément aux dispositions du droit des conflits armés".

 

Le service de renseignement de l'armée est désormais doté d'une cellule de "gestion de la cyberdéfense".

 

Le SGRS (alias département d'état-major renseignement et sécurité, ou Acos IS) a aussi entamé le recrutement de 10 spécialistes, a indiqué mercredi M. De Crem (CD&V), en réponse à une question de la députée Karolien Grosemans (N-VA).

 

Ces 10 personnes s'inscrivent dans le cadre de l'opérationnalisation de la stratégie de la Défense en matière de "Cyber Defence", et ne feront pas partie du centre belge de cybersécurité (CCB), dont le Premier ministre Elio Di Rupo a annoncé la création en février dernier.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 12:20
F-16 - photo Composante Air

F-16 - photo Composante Air

 

24/03/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le ministre de la Défense belge, qui est à Paris ce lundi, privilégie l'acquisition de l'avion de combat de Lockheed Martin. Un choix plus ou moins conditionné à son avenir, Pieter de Crem étant candidat au poste de secrétaire général de l'OTAN.

 

Le vice-Premier ministre et ministre de la Défense du Royaume de Belgique, Pieter de Crem, qui est à Paris ce lundi, souhaite toujours autant équiper l'armée de l'air belge avec l'avion de combat américain, le F-35 de Lockheed Martin en dépit de l'inflation du prix de cet appareil qui cumule également les déboires techniques et technologiques. Mais pourquoi ce choix alors qu'il existe pourtant trois avions de combat européens - Eurofighter (BAE Systems, Airbus Group et Finmeccanica), Gripen (Saab) et Rafale (Dassault Aviation) ?

Parce que Pieter de Crem, atlantiste convaincu, est candidat au poste de secrétaire général de l'OTAN, qui doit se libérer cet été, qu'il n'est qu'un outsider et qu'il a donc besoin de donner des gages aux Etats-Unis, explique-t-on à Paris. D'où le choix outre-Atlantique… Le ministre de la Défense blege mène donc depuis de longs mois une campagne relativement discrète entre Washington et Bruxelles. "La Belgique ne peut être otage d'une priorité de campagne du candidat De Crem à l'OTAN", affirme la députée verte belge, Juliette Boulet.

 

60 F-16 à remplacer

La flotte des F-16 compte actuellement 60 appareils, dont 48 sont affectés à l'OTAN. Ces avions, capables d'effectuer des missions défensives et des tâches offensives et de reconnaissance, sont stationnés sur deux bases, Kleine Brogel et Florennes. Grâce au programme de modernisation Mid Life Update (MLU), le F-16 restera apte à effectuer toutes les missions opérationnelles au-delà de l'an 2015. C'est dans ce cadre que la Belgique envisagerait d'acquérir de 35 à 55 avions de combat.

"Nos décisions se baseront sur le niveau d'ambition déterminé dans le cadre des stratégies politiques et militaires et intégreront le pooling and sharing", a récemment expliqué Pieter de Crem, qui a évoqué le besoin d'une quarantaine d'appareils pour l'armée de l'air belge. Un propos qui pousse la Belgique à se rallier au choix des Pays-Bas, de la Norvège et du Danemark, qui ont déjà choisi le F-35. "La décision sera prise sous la prochaine législature (soit après mai 2014, ndlr), dans le respect de la politique de burden and risk sharing (facture et risque partagés, ndlr) développée avec l'OTAN et l'Union européenne", avait-il précisé.

 

Et le Rafale ?

Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

 

Si la Belgique choisit le Rafale, Paris est prêt à proposer à la Belgique une coopération très large sur le Rafale. Notamment des retours industriels significatifs au travers entre autre de la société belge SABCA (filiale de Dassault Aviation), qui a assemblé dans ses ateliers les Mirage 5, puis les Alpha Jet, et enfin les F-16A/B de l'armée de l'air belge.

Paris proposera un aménagement du plan de paiement pour le ministère de la Défense belge, qui dispose d'un petit budget (2,7 milliards d'euros en 2013. En outre, si les Belges le demandent, la France est même prête à équiper l'armée de l'air belge avec des avions cédés en leasing, assure-t-on au sein du ministère de la Défense.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 13:50
De nouveaux généraux au sein de l'armée belge

 

5/03/14 - 7sur7.be (Belga)

 

Le ministère de la Défense a fini par annoncer mardi la désignation et l'affectation d'une demi-douzaine de généraux, mettant fin aux spéculations qui circulaient en interne depuis des semaines. Il a également confirmé la nomination - en fait le "commissionnement" pour la durée d'un mandat - de deux généraux de brigade ("à une étoile") francophones, dont une femme, qualifiés de "généraux en chocolat" par le député Denis Ducarme.

 

Le commandant militaire du Palais de la Nation (le bâtiment qui abrite le parlement fédéral), le lieutenant-général Jean-Marie Jockin, quitte le service actif le 1er avril prochain et sera bien remplacé par le général-major Harry Vindevogel, a indiqué le ministère sur son site internet.

 

Cet officier, qui commande l'Ecole royale militaire (ERM) de Bruxelles, cèdera sa place dès le 25 mars au général-major Henk Robberecht, actuellement "adjoint du sous-chef d'état-major Opérations du département d'état-major Opérations et Entraînement", précise la Défense.

 

Son successeur à cette fonction sera le colonel Frederik Vansina, actuel chef d'état-major - et donc "numéro deux" de la composante Air. Il sera nommé général-major ("deux étoiles") le 26 mars, tout comme le colonel Jean-Paul Claeys. Chef du Secrétariat administratif et technique (SAT) du département de la Défense, accolé au cabinet du ministre, il conservera cette fonction.

 

Ces deux nominations contribueront à redresser - très légèrement - le déséquilibre linguistique qui prévaut au sein de la haute hiérarchie militaire, en faveur des néerlandophones.

 

A moyen terme, le chef de la composante Terre, le général-major néerlandophone Hubert De Vos, quittera le service actif le 1er octobre 2014 et sera remplacé par le général-major francophone Jean-Paul Deconinck.

 

Deux généraux de brigade francohones seront enfin commissionnés: le colonel Pascal Laureys et une de ses collègues féminines, Corinne Faut. Lui qui commande depuis un an et demi la brigade légère, dont l'état-major est installé à Marche-en-Famenne, ira au Joint Force Command (JFC), un quartier général de l'Otan installé à Brunssum, dans le sud-ouest des Pays-Bas. Il devrait y remplacer en tant qu'assistant du chef d'état-major logistique (alias ACOS J4) un autre "brigadier" francophone, Patrice Laurent, qui partira à la retraite cet été. La générale Corinne Faut prendra pour sa part la tête du service de communication de la Défense, la DG-Com, vacante depuis le mois d'octobre.

 

Mais ces promotions ne satisfont guère le député Denis Ducarme (MR), qui n'a de cesse de réclamer un rééquilibrage linguistique dans la haute hiérarchie militaire.

 

"Les francophones mis en place par (le ministre de la Défense, Pieter) De Crem sont des généraux de brigade, des 'une étoile', des généraux en chocolat parce qu'ils n'ont pas le pouvoir des autres", déclarait-il par avance vendredi dernier aux journaux du groupe L'Avenir.

 

En date du 10 janvier, l'armée comptait 42 généraux (à une, deux, trois ou quatre étoiles), dont 27 néerlandophones et quinze francophones, dont une femme. Mais les deux seuls "quatre étoiles" sont néerlandophones: le chef de la Défense (Chod), le général Van Caelenberge, et le chef de la Maison militaire du roi, le général Jef Van den Put.

 

La déclaration gouvernementale régissant l'action de l'équipe Di Rupo 1er contient toutefois une volonté de rééquilibrage et stipule que "le respect de l'équilibre linguistique au sein de l'armée sera un souci permanent du gouvernement". Elle fait suite à l'"affaire Gennart" - du nom de l'ancien commandant de la base aérienne de Florennes, le colonel Luc Gennart, qui avait dénoncé publiquement en octobre 2010 la "flamandisation" de l'armée -, ce qui avait conduit à la mise sur pied d'un groupe de travail à la Chambre. Celui-ci a recommandé de "tendre vers l'équilibre" entre les officiers francophones et néerlandophones pour les plus hautes fonctions de la hiérarchie militaire et suggéré une série de mesures pour y parvenir.

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 17:50
La Défense Belge lance ses commémorations de 14-18

17 févr. 2014 Belgian Defense

 

Le fort de Liezele (Puurs) est plongé dans une ambiance « début vingtième », ce 14 février 2014. Et pour cause, la Défense a lancé ses activités de commémoration à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Le ministre de la Défense et vice-Premier ministre Pieter De Crem a dévoilé le programme qui aura cours jusqu'en 2019.

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 12:50
source http://www.puurs.be

source http://www.puurs.be

 

14/02/14 - 7sur7.be (Belga)

 

Le ministère de la Défense a donné vendredi le coup d'envoi des commémorations "spécifiquement militaires" qu'il organise pour le centenaire de la Première Guerre mondiale et qui s'inscrivent dans le cadre plus large des activités prévues par le gouvernement fédéral.

 

Les différents organismes placés sous la tutelle de la Défense ainsi que son pôle historique ont uni leurs efforts pour réaliser ce programme de commémorations "au rayonnement national centré sur l'aspect militaire" sur le thème "La mémoire garantit la paix".

 

Ce programme a été présenté au Fort Liezele à Puurs (province d'Anvers) en présence du ministre de la Défense, Pieter De Crem.

 

Ce programme est complémentaire au programme fédéral, dont il partage les objectifs: la mémoire collective, les efforts collectifs pour un avenir de paix, la solidarité et le partenariat. Il a été tenu compte des initiatives prises par des partenaires internationaux, des entités fédérées, des provinces et des communes à la même période, a en substance expliqué le "patron" du service de communication de l'armée, le colonel Koen Hillewaert.

 

Dès samedi, le public pourra consulter le site web interdépartemental pour obtenir plus d'informations sur l'ensemble des activités prévues. Une brochure et une campagne de marketing ayant comme groupe cible principal les plus jeunes doivent aussi renforcer le programme de commémorations.

 

Avec le comité d'organisation fédéral 2014-2018, la Défense participera ainsi en 2014 à toute une série de manifestations. Les plus marquantes seront les journées commémoratives nationales de portée internationale: le 4 août au monument interallié de Cointe, près de Liège, pour le centenaire du 100e anniversaire de l'invasion de la Belgique par l'Allemagne et la violation de la neutralité belge, et le 28 octobre à Nieuport et à Ypres pour mettre en exergue "le refus de la soumission, l'inondation de la plaine de l'Yser et la personnalité du roi Albert 1er".

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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 18:50
source NATO

source NATO

 

January 20, 2014  By Fidelius Schmid and Christoph Schult – Spiegel.de

 

NATO is building a new headquarters for one billion euros. But the construction consortium is in financial difficulties and the project is at risk of being halted. It's an embarrassment for outgoing NATO chief Anders Fogh Rasmussen.

 

Anders Fogh Rasmussen is a man who attaches a lot of importance to his public image. The Danish secretary general of NATO likes to be filmed while out jogging with his bodyguards in the morning, and he's always bronzed and impeccably dressed.

 

His term ends in the summer and he is reported to have already compiled a list of achievements in the "Rasmussen era" for presentation to the NATO summit in September. The message will be that Rasmussen has prepared the Western defense alliance for the challenges of the future with a structural reform and a new strategic concept.

 

Rasmussen wants this modernization to be symbolized by the move into a new headquarters -- away from the aging, Cold War-era concrete complex and into a gigantic palace of steel and glass on the other side of the street in the Brussels suburb of Evere.

 

But Rasmussen has a problem: The construction project has run into serious financial difficulties, according to documents seen by SPIEGEL. The consortium of firms building it is at risk of insolvency. Rasmussen is aware of the problem but hasn't seen fit yet to inform the public about it, meaning the taxpayers of the 28 NATO member states. At a meeting of NATO's Deputies Committee on December 19, Rasmussen's staff asked that the issue be dealt with "confidentially."

 

The Committee consists of representatives of all 28 NATO member states. Rasmussen's staff told it that the consortium leader, BAM Alliance, was in serious financial difficulty "resulting from miscalculation and high claims from subcontractors," according to a Dec. 20, 2013 report by Germany's NATO representative office in Brussels. The conclusion was that the project would not be able to stick to the budgeted upper limit of €1.05 billion. Without a fresh injection of capital, construction would come to a halt.

 

The mood was frosty. Member states had already been skeptical when the consortium won the contract for €460 million in 2010 -- the offer was €210 million below the costs estimated by NATO.

 

Risk to Reputation

 

It quickly became clear in the Dec. 19 meeting that there was no question of the project being halted. Many delegates, including the Germans, said they favored providing additional funds. "We pointed to the disastrous effect on the image of the alliance if construction were to stop and if NATO appeared to be incapable of punctually completing a construction project that was decided at the NATO summit of government leaders in April 1999 in Washington," the German ambassador, Martin Erdmann, told Berlin in a confidential cable.

 

A short-term financial injection of €20 million was regarded as acceptable at the meeting, but it seemed doubtful whether that would be enough. "The risk of a further cost increase is already palpable," Erdmann warned. But these additional costs were the lesser evil, he added. He warned of the costs that would result from a halt to construction given the possible weather damage to the unfinished building, parts of which hadn't been fitted with windows yet.

 

The committee met again on Jan. 10. NATO project manager Tony Carruth told delegates that the consortium wanted €245 million in additional funding and that completion would probably be delayed by nine-and-a-half months.

 

"These figures must be approached with caution," NATO staff said in a 13-page report prepared for the meeting.

 

The ambassadors vented their anger. Germany made clear, the Jan. 13 cable showed, that the additional costs could only be approved if they "don't spell the beginning of further demands on the part of BAM."

 

The consortium's spokesman told SPIEGEL: ""Several unforeseen circumstances including significantly increased security requirements" by NATO had led to the construction exceeding the initially agreed sum. The spokesman declined to comment on the looming insolvency.

 

The matter isn't just a problem for Rasmussen, but for Belgian Defense Minister Pieter De Crem as well. With NATO headquarters situated in Belgium, the country's Defense Ministry manages the project. De Crem has aspirations of succeeding Rasmussen. But the problems besetting the new headquarters are unlikely to improve his chances of getting the job.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 21:45
Envoi de 150 soldats belges en Centrafrique: «prématuré» selon la défense [belge]

 

17.12.2013 G.My avec agences - lesoir.be

 

L’information selon laquelle des militaires belges effectueront une « mission de protection » des aéroports en Centrafrique a été démentie par la Défense et par l’état-major de l’armée. L’armée n’en est qu’à « examiner » la demande française pour ce qui va au-delà du transport aérien a affirmé une source militaire.

 

Tant le cabinet du ministre de la Défense que l’état-major de l’armée ont indiqué mardi tout ignorer du projet d’envoyer quelque 150 militaires belges en Centrafrique pour assurer une « mission de protection » des aéroports du pays. C’est l’Agence France presse qui avait évoqué un peu plus tôt cette option.

 

Le conseil des ministres restreint a donné vendredi dernier son feu vert à la mise à disposition de l’opération française Sangaris en République centrafricaine (RCA) d’un avion de transport gros-porteur Airbus A330 et d’un avion de transport tactique C-130H « Hercules » mais écarté l’envoi de troupes terrestres, comme demandé «  informellement  » par Paris, ont rappelé des porte-parole du ministre de la Défense, Pieter De Crem, et de l’état-major.

 

Alors que l’envoi de troupes avait jusqu’ici été écarté, l’Agence France Presse annonçait avoir appris ce mardi de source militaire que la Belgique envisageait d’envoyer 150 soldats en Centrafrique pour une «  mission de protection  » des aéroports. Une décision qui autait été prise à la demande de la France.

 

 

photo Composante Air

photo Composante Air

Le gouvernement belge, qui a déjà donné son feu vert à la mise à disposition de l’opération Sangaris d’un avion de transport gros-porteur Airbus A330 et d’un avion de transport tactique C-130 Hercules, étudierait la «  faisabilité  » d’aller plus loin, à la suite d’une demande «  informelle  » de Paris.

 

«  C’est totalement prématuré  », a réagi une source militaire informée, expliquant que l’armée n’en était qu’à «  examiner  » la demande française pour ce qui va au delà du transport aérien.

 

Des soldats de pays européens « bientôt » déployés

 

Laurent Fabius, chef de la diplomatie française, a de son côté annoncé que des soldats d’autres pays européens seraient bientôt déployés en Centrafrique où intervient déjà l’armée française. «  Je tiens à le souligner car c’est l’une des premières fois que cela se produit  », a déclaré Laurent Fabius à l’Assemblée nationale. Aucune précision n’a pu être obtenue au ministère sur le nombre de pays et leur identité.

 

L’opération française Sangaris en Centrafrique a officiellement commencé le 5 décembre. Quelque 1.600 soldats français interviennent en soutien des troupes africaines (3.200 hommes à ce jour) de la force Misca pour rétablir l’ordre et la sécurité et désarmer les milices dans ce pays où les violences ont pris un tour confessionnel entre chrétiens (80 % des 4,5 millions d’habitants) et musulmans.

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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 11:35
L'armée belge restera présente en Afghanistan jusque fin 2014

 

14 décembre 2013 RTBF.be

 

L'armée belge restera présente en Afghanistan tout au long de l'année 2014, jusqu'à la fin du mandat de la force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf, dirigée par l'Otan), et affectera au second semestre une frégate à l'opération anti-piraterie Atalanta de l'Union européenne autour de la Corne de l'Afrique, selon le projet d'"engagements opérationnels" approuvé par le Conseil des ministres.Actuellement, 215 militaires belges sont déployés dans ce pays.

 

    "La Belgique maintiendra la plupart de ses contributions actuelles dans les opérations en cours de l'Otan, de l'UE et de l'ONU en 2014", a expliqué samedi le cabinet du ministre de la Défense, Pieter De Crem, dans un communiqué.

 

    En ce qui concerne l'Isaf, la Belgique restera principalement présente sur deux sous-théâtres. Dans le nord de l'Afghanistan, l'armée continuera à participer à la formation de l'armée nationale afghane (ANA) en fournissant des instructeurs dans les centres d'instruction et en soutenant les efforts allemands dans la base de Mazar-i-Sharif. Dans le sud, à Kandahar, où est déployé un détachement d'une centaine d'hommes, six chasseurs-bombardiers F-16 continueront à fournir un soutien aérien aux troupes terrestres de l'Isaf.

 

    La mission de combat des troupes de l'Otan doit prendre fin le 31 décembre 2014. Mais l'Alliance atlantique prépare toutefois depuis des mois une opération "d'entraînement, de conseil et d'assistance" des forces de sécurité afghanes (ANSF), qui doit succéder à l'Isaf sous le nom de "Resolute Support", avec des effectifs allant de 8.000 à 12.000 personnes. Son déploiement effectif nécessite toutefois encore l'aval définitif de Kaboul et la conclusion d'un Sofa ("Status of Forces Agreement", accord régissant le stationnement de troupes), avec une "invitation claire" de la part des autorités afghanes,

 

    Le communiqué de M. De Crem - favorable à titre personnel au maintien d'une présence militaire belge en Afghanistan après 2014, une position qui ne fait pas l'unanimité au sein du gouvernement - ne mentionne aucun préparatif préalable à une participation à "Resolute Support".

 

    En 2014, la Défense poursuivra par ailleurs sa mission de déminage au Liban dans le cadre de la Force intérimaire des Nations unies au Sud-Liban (Finul) et fournira "une capacité limitée de génie de construction", poursuit le communiqué.

 

    Depuis la mi-2009, les Casques bleus belges de la Finul se concentrent sur des tâches de déminage, principalement le long de la "Blue Line", la démarcation tracée par l'ONU après le retrait israélien unilatéral du Liban sud en 2000 pour fixer la frontière libano-israélienne.

 

    Dans le cadre des opérations de l'UE, la Belgique continuera à contribuer à la mission d'entraînement des forces armées maliennes (EUTM-Mali) avec un détachement de "Force Protection" chargé d'assurer la sécurité des instructeurs européens, "éventuellement sous une forme adaptée à partir de mai 2014", selon le cabinet de M. De Crem.

 

    Actuellement, quelque 75 militaires sont déployés au Mali, principalement sur le site de l'académie militaire de Koulikoro, à une soixantaine de kilomètres au nord-est de la capitale, Bamako, et lieu principal de la formation dispensée aux soldats maliens par les instructeurs européens.

 

    Au second semestre, la frégate "Léopold I" participera à l'opération Atalanta de lutte contre la piraterie somalienne autour de la Corne de l'Afrique, indique encore la Défense. Ce sera sa première mission depuis sa modernisation. Le bâtiment a déjà participé à deux reprises, en 2008 et 2009, au volet naval de la Finul en Méditerranée orientale.

 

    Durant tout le second semestre 2014, la Belgique assurera le commandement d'un groupement tactique (GT) européen - en anglais "EU Battle Group" (EUBG). Au total, 1.800 militaires belges qui seront concernés sur un effectif global de quelque 3.000, fournis par les Pays-Bas, l'Allemagne, le Luxembourg, l'Espagne et la Macédoine.

 

    Dans le cadre du Programme de partenariat militaire (PPM) belgo-congolais, la Défense "continuera à suivre" le bataillon de réaction rapide des Forces armées de la RDC (FARDC) qu'elle a entrainé en 2013 à Kindu, le chef-lieu de la province du Maniema (est de la République démocratique du Congo), conclut le communiqué.

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 08:50
La Défense reste importante (De Crem)

 

12/12/13  Stijn Verboven – MIL.be

 

« Defensie blijft belangrijk, La Défense restera importante, Defence truly matters ».  Le message est tellement important que le vice-Premier ministre et ministre de la Défense Pieter De Crem l'a prononcé en trois langues. Il l'a annoncé ce 11 décembre 2013 lors d'une conférence à l'École Royale Militaire.

 

Photos Malek Azoug  >>

 

C'est devant une salle comble que De Crem a dévoilé son point de vue sur différents sujets relatifs à la Défense, comme le concept Pooling and Sharing. « La Belgique a déjà démontré à plusieurs reprises qu'une collaboration étroite avec les pays voisins porte ses fruits. Mon intention est de continuer à renforcer cette collaboration dans les années qui viennent. »

 

« La collaboration avec les pays limitrophes est bonne, mais nous ne devons pas oublier le vaste contexte international », estime le ministre De Crem. Selon lui, l'inscription, pour la première fois en huit ans, du thème Défense dans les priorités de l'agenda européen est également un développement positif.

 

Un deuxième acteur important en matière de défense internationale, à côté de l'EU, est l'OTAN. « L'OTAN est la meilleure et la plus solide garantie de préserver la paix sur notre propre territoire », précise De Crem. « Les deux institutions sont complémentaires. »

 

Qu'en sera-t-il des opérations militaires belges dans le futur ? Le ministre De Crem entrevoit deux pistes importantes : « Nous devons préalablement nous concentrer sur des interventions relativement courtes et des moyens efficaces avec lesquels nous pouvons éliminer une source de chaos. Il nous faut ensuite former les forces combattantes étrangères afin qu'elles deviennent des armées professionnelles et démocratiques. »

 

Afin de développer ces deux pistes et remplir nos obligations internationales, des investissements sont nécessaires. L'exemple le plus frappant du ministre concerne l'achat du successeur du F-16 : « Sans capacité aérienne de chasse, la Défense n'a pas de sens. Le F-16 aura un successeur. »

 

La conférence du ministre De Crem a fait couler beaucoup d'encre, un signe que la Défense, comme il l'a formulé, reste importante.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 17:50
La Défense en passe de remplacer son Airbus A330 par un A321, aux performances moindres

 

10 Décembre 2013 sudinfo.be (Belga)

 

Le ministère de la Défense s’apprête à passer un nouveau contrat de location pour un avion de transport, un Airbus A321, un appareil plus petit et aux performances moindres que l’actuel A330 utilisé par l’armée et le gouvernement pour des vols à longue distance, a-t-on appris de sources concordantes.

 

Le ministre de la Défense, Pieter De Crem, a sélectionné ce type d’avion, qui transporte typiquement de 176 à 200 passagers selon les aménagements intérieurs, à la suite d’un appel d’offres lancé en avril dernier pour un appareil monocouloir. Son choix devrait être avalisé vendredi par le Conseil des ministres.

 

La location de l’actuel A330 – le seul appareil de transport stratégique de l’armée belge, qui a emmené la délégation conduite par le roi Philippe en Afrique du Sud pour l’hommage rendu mardi à l’ancien président sud-africain Nelson Mandela – à une compagnie portugaise expire en effet d’ici la fin de l’année.

 

L’armée belge avait mis en service en novembre 2009 cet Airbus A330 pour assurer le transport aérien à longue distance et remplacer deux Airbus A310 vieillissants. La Défense avait eu recours à une formule innovante, qui consistait à louer cet Airbus à une compagnie civile, la portugaise Hi Fly, par l’intermédiaire d’un courtier français, Avico, tout en conservant ses propres équipages, pour effectuer quelque 2.000 heures de vol par an pour un montant de douze millions d’euros maximum par an.

 

Mais jugé trop gros pour les besoins de l’armée par nombre d’aviateurs, il n’a effectué que 1.165 heures en 2010 et 1.114 heures en 2011, pour un coût de 11,6 millions d’euros pour chacune de ces années.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
Le ministre De Crem en visite au Congo

 

03/12/13 Stephan Boonen – MIL.be

 

Le vice-Premier et ministre de la Défense Pieter De Crem a rendu visite, du 26 au 28 novembre 2013, aux militaires belges détachés au Congo. Au programme : rencontres avec la MONUSCO, l'EUSEC (programme européen qui montre la voie pour une transformation de la Défense congolaise) et entretien avec l'envoyée spéciale des Nations Unies, Madame Mary Robinson. Le ministre a ensuite pris la direction de Kindu où les paras belges ont remis le brevet commando au 323e Bataillon de « l'Unité de Réaction Rapide », marquant, de la sorte, le début des festivités.

 

photos Malek Azoug >>

 

Environ 700 militaires congolais ont réussi la formation éprouvante qui était dispensée par 107 paras du 3 Para de Tielen. L'un des instructeurs, le lieutenant Edmond de Frabribeckers explique : « La motivation des Congolais est frappante. Vous devez faire preuve d'énormément de patience et beaucoup répéter, mais cela en vaut la peine. Aujourd'hui, c'est comme si c'était le jour le plus important de leur vie. »

 

À la fin de la parade, les nouveaux commandos congolais défilent devant leur famille. Celles-ci les arrosent de farine. Pour agrémenter le spectacle, un C-130 largue deux parachutistes arborant les drapeaux belge et congolais.

 

Le colonel Luc Leclerq est le chef de corps du 3 Para. Il a mené ses hommes tout au long de la mission. Pour lui, il était important « que nous réussissions malgré et grâce aux difficultés rencontrées au début. Pourtant, nous avons finalement livré un produit plus qu'acceptable. » Pour le 3 Para, il s'agissait d'une expérience que l'on ne vit qu'une seule fois dans sa vie. Le colonel Leclerq poursuit : « Pour le 3 Para, c'est un sérieux coup de pouce à l'expérience africaine. Nous dispensons des formations en Afrique depuis 2002. Au début, c'était au Bénin. Actuellement, 306 paras ont travaillé près de deux mois. Pour l'exercice synthèse, 260 Belges étaient présents. Il s'agissait donc du plus grand détachement en opération. »

 

Après la parade, les militaires congolais se tombent dans les bras. Les para-commandos belges rentrent progressivement en Belgique. Le colonel Leclerq résume : « Cette mission est plus que réussie. Elle dépasse tout sur les plans personnel et multiculturel. Ce bataillon est prêt et équivaut certainement aux autres. »

 

Vidéo : Wim Cochet

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 12:50
Destruction/armes chimiques: pas en Belgique

 

18/11/2013 Par Le Figaro.fr (AFP)

 

Le ministre belge de la Défense, Pieter De Crem, a déclaré aujourd'hui qu'il n'était pas favorable à la destruction d'une partie des armes chimiques syriennes en Belgique.

 

La Belgique avait été l'un des pays, avec notamment la France, à avoir été approchés par les États-Unis afin de participer à l'élimination de l'arsenal chimique syrien.

 

"Je veux bien faire un effort pour y contribuer, mais faire cela chez nous, à première vue et sur le long terme, je n'y suis pas favorable", a déclaré Pieter De Crem à la radio flamande VRT. Il a précisé que la Belgique était prête à contribuer à l'inventaire des armes chimiques. "Nous pouvons proposer notre aide pour les neutraliser", mais "je pense que cela devrait plutôt se dérouler dans les environs au sens large du territoire syrien", a ajouté le ministre, cité par l'agence Belga. "Le déplacement de ces armes est en soit une mission difficile".

 

L'Albanie, également approchée par Washington, avait déjà exclu vendredi qu'une partie de la destruction puisse se dérouler sur son territoire.

 

L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a approuvé vendredi le plan de destruction de l'arsenal chimique syrien d'ici à la mi-2014. Il prévoit que les armes soient transportées hors du pays, afin d'assurer leur destruction de la manière "la plus sûre et plus rapide" possible.

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 12:50
Belgique : Soldats pendant 8 ans, payés pendant 9 ans

 

16 novembre 2013 dhnet.be (Belga)

 

BRUXELLES - La Défense souhaite se rajeunir et compte dès lors engager l'an prochain 1.400 jeunes militaires, confirment samedi plusieurs sources militaires dans Het Nieuwsblad et De Standaard. La majeure partie des futurs soldats acceptent de rejoindre la Défense à la condition de pouvoir quitter l'armée après 8 ans. En échange de leur engagement, ils recevront un parachute doré équivalent à un an de salaire.Le ministre de la Défense Pieter De Crem devrait officialiser ces projets lundi, selon les journaux. La plupart des nouvelles recrues rejoindront la marine, où de nombreux postes sont vacants. Plusieurs centaines de jeunes candidats seront recrutés sous le nouveau statut de carrière à "durée limitée" qui a été approuvé l'été dernier. Sous ce statut, les soldats s'engageront pour une durée maximale de 8 ans. Ensuite, lorsqu'ils auront atteint l'âge de 32 ou 34 selon leurs niveaux, il devront pour la majorité être reclassés. Ils recevront alors la prime de reclassement. "Ce parachute doré leur donne du temps pour trouver un autre emploi, même s'ils auront lors de leur dernière année de leur engagement à 'durée limitée' le temps nécessaire pour postuler ou suivre des formations", explique-t-on. Mais "si la Défense est satisfaite du militaire, si il y un poste vacant et si le militaire le souhaite aussi, il est possible qu'il reste actif au sein de la Défense."

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:50
SHAPE photo Nato

SHAPE photo Nato

 

14 novembre 2013 Caroline Tichon - dhnet.be

 

Mons-Centre -  La menace atomique qui pèse sur les quelque 270 travailleurs civils du quartier général des forces alliées semble s’apaiser mais jusqu’à quand ?

 

Hier, en commission de la Défense à la Chambre, la député-bourgmestre Jacqueline Galant (MR) a, à nouveau, interpellé le ministre de la Défense, Pieter De Crem, quant à la situation des travailleurs civils du Shape, le quartier général des forces alliées situé à Casteau.

 

Dans deux mois, l’échéance fixée par le Traité de Lisbonne de 2011 touche à son terme. Cette interpellation de Jacqueline Galant tombe à pic et fait suite à une série d’interpellations sur le sujet.

 

Au 1er janvier 2014, l’État belge, dans le cadre du Traité de Lisbonne, doit prendre en charge financièrement le personnel local travaillant au sein de la base. Ces travailleurs sont entre autres chargés de la maintenance et de la logistique au sein du Shape.

 

À de nombreuses reprises, les travailleurs civils sont montés au créneau en réclamant des garanties quant à leur sort tantôt auprès du ministre de la Défense tantôt auprès du Premier ministre, Elio Di Rupo. Plusieurs actions de grève avaient mobilisé le personnel ces derniers mois. Elles étaient montées d’un cran, bloquant toute la circulation à la fin du mois juin dernier.

 

Ce mercredi, le ministre a affirmé que la "situation du personnel civil du Shape ne changerait pas au 1er janvier 2014". Le ministre a par ailleurs confirmé en commission que le personnel civil resterait pris en charge par le Shape après la date butoir.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:35
De Crem n'exclut pas une autre participation en Afghanistan après 2014

 

13 novembre 2013 lalibre.be (Belga)

 

Le député socialiste flamand Dirk Van der Maelen a quant à lui appelé "à reconnaître que cette opération en Afghanistan est un désastre".

 

Le ministre de la Défense, Pieter De Crem, n'a pas totalement fermé la porte, mercredi en commission Défense de la Chambre, à une participation militaire belge en Afghanistan après 2014, alors que l'accord de gouvernement prévoit un retrait belge à partir de cette année. Il a été évalué qu'une capacité de 8.000 à 12.000 hommes serait nécessaire en Afghanistan après 2014, a souligné le ministre. Sa récente visite aux Etats-Unis lui a permis d'en discuter avec Chuck Hagel, le secrétaire à la Défense des Etats-Unis, a-t-il précisé.

 

Si l'accord de gouvernement prévoit un retrait des troupes d'Afghanistan en 2014, la mise en oeuvre des décisions du sommet de Lisbonne de 2010 n'exclut pas une présence sur le terrain, a-t-il poursuivi.

 

Le député PS Vincent Sampaoli a rappelé que l'aide à l'Afghanistan planifiée par la Belgique pour ces prochaines années passera par la coopération au développement et pas par la Défense.

 

Il s'est dit "inquiet" d'entendre que quelques centaines de soldats belge pourraient rester au milieu de 12.000 à 13.000 hommes au-delà de 2014.

 

Le député socialiste flamand Dirk Van der Maelen a quant à lui appelé "à reconnaître que cette opération en Afghanistan est un désastre".

 

Denis Ducarme (MR) s'est pour sa part réjoui que le ministre de la Défense n'exclue pas une présence belge en Afghanistan après 2014.

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 12:50
Le ministre De Crem en visite à Paris

 

21/10/13 Sources : Cabinet du ministre de la Défense

 

Le jeudi 17 octobre 2013, le vice-Premier et ministre de la Défense Pieter De Crem effectuait une visite de travail à Paris. Il prenait part à quelques activités relatives à la Première Guerre mondiale et aux efforts dans le cadre de la Défense européenne.

 

Photos Malek Azoug  >>

 

La réunion préparatoire aux commémorations du début de la Première Guerre mondiale, était présidée par Kader Arif, ministre délégué aux Anciens Combattants du ministère français de la Défense.

 

Le ministre De Crem a ensuite rencontré son homologue français Jean-Yves Le Drian. L'entretien portait sur les préparatifs de l'EU-top de décembre où la Défense européenne est consignée à l'agenda.

 

De Crem a ensuite assisté à une cérémonie du souvenir organisée sous l'Arc de Triomphe en hommage à la Première Guerre mondiale. Au nom de la Belgique et du gouvernement fédéral, il a déposé une couronne de fleurs au pied du monument.

 

Il a également remis des distinctions honorifiques aux anciens ministres de la Défense Hervé Morin et Gérard Longuet. Ces décorations sont le témoignage de notre pays à une excellente coopération en matière de Défense, tant bilatérale qu'au sein de l'OTAN et de l'Union européenne.

 

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 11:30
Les démineurs belges se préparent pour la Syrie

 

10 octobre 2013 dhnet.be (Belga)

 

La Défense "anticipe" une éventuelle demande, a indiqué le ministre de la Défense Pieter De Crem.

 

Les démineurs belges suivent des préparations pour désamorcer des armes chimiques en Syrie au cas où une demande internationale en ce sens arriverait, rapportent jeudi Het Nieuwsblad et De Standaard.

 

Des dizaines de militaires, essentiellement du SeDEE, le service de déminage des engins explosifs, ont mis en règle ces derniers jours leurs documents de voyage dans l'hypothèse d'une mission en Syrie, selon des sources internes de la Défense.

 

La destruction de l'arsenal chimique syrien sous l'égide des inspecteurs de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a débuté il y a quelques jours en Syrie. Une demande d'assistance émanant du conseil de sécurité de l'ONU est envisageable à court terme. Les militaires de Poelkapelle pourraient ainsi réagir dans les quinze jours.

 

La Défense "anticipe" une éventuelle demande, a indiqué le ministre de la Défense Pieter De Crem (CD&V). La décision ultime réside dans les mains du gouvernement.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:50
Belgique : Un nouveau chef ad interim à la tête de la communication de la Défense

01 octobre 2013 Le Vif (Belga)

 

 Le colonel Koen Hillewaert est devenu lundi le "patron" ad interim du service de communication de l'armée belge après le départ le 30 septembre - mais dans les faits vendredi dernier - à la retraite du lieutenant-général Michel Singelé, a-t-on appris de sources militaires.

 

Le colonel Hillewaert, au départ un pilote d'hélicoptère, était jusqu'ici chef d'état-major (c'est à dire "numéro deux") de la Direction générale de la communication (DG-Com) du ministère de la Défense. En l'absence de désignation d'un successeur par le ministre de la Défense, Pieter De Crem, qui n'a pas convoqué cette année de comité d'avancement pour les généraux, c'est lui qui assurera la direction de ce service. Il succède au général Singelé, un ex-pilote de chasse ensuite passé au transport, qui dirigeait la DG-COM depuis mars 2008. C'est sous son égide que le nom du service a été modifié, après s'être appelé jusqu'en avril 2010 Direction générale Image et Relations publiques (DG-IPR), et qu'à été lancé un nouveau bimensuel à usage uniquement interne, portant le nom de 'dbriefing' pour remplacer les anciens 'Vox' et autres 'Direct' militaires. La DG-COM compte actuellement 159 personnes, rassemblées au sein de différents services, comme sa division création (englobant notamment la chaîne de télévision Télévox, visible sur internet), son service de presse, ses deux porte-parole. Elle s'occupe aussi des campagnes publicitaires de la Défense, principalement en matière de recrutement, et chapeaute les trois musiques militaires.

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 07:50
SEDE welcomes Belgian Defence Minister
19.09.2013 SEDE
 
The SEDE subcommittee will hold an exchange of views with Pieter de Crem, Minister of Defence of Belgium, in view of the December defence summit.
 
When: 26 September 2013, 9:30-11:00

 

Further information
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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 17:50
Le ministre de la Défense belge se rend à Avord

18/09/2013 Armée de l'air

 

Lundi 16 septembre 2013, monsieur Pieter De Crem, vice-premier ministre et ministre de la Défense belge, s’est rendu sur la base aérienne 702 d’Avord pour visiter l’école qui forme des pilotes de transport belges.

 

Accueilli par le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, le ministre de la Défense a rencontré le personnel militaire belge affecté à l’école de l’aviation de transport (EAT) située à Avord. Depuis plusieurs années, l’armée de l’air française forme des pilotes belges au sein de ses écoles. À Avord, c’est en avril 2005 qu’ils ont commencé leur instruction. Depuis, huit aviateurs belges en moyenne passent dans les murs de l’EAT chaque année et 64 d’entre eux ont reçu leur macaron depuis 2005.

 

Au cours de sa visite, monsieur Pieter De Crem a également rencontré les cadres de l’école et notamment le commandant Philippe Hadad, chef du détachement belge à l’EAT, pour participer à une mission à bord d’un simulateur de vol.

 

Le ministre de la Défense s’est ensuite dirigé vers la base aérienne 120 de Cazaux, base phare dans le domaine de l’instruction des pilotes de chasse français et belges avec l’école de transition opérationnelle (ETO).

Le ministre de la Défense belge se rend à Avord
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