Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 07:55
Exercice de destruction d’un Engin Explosif Improvisé avec un canon à eau - photo Marine nationale

Exercice de destruction d’un Engin Explosif Improvisé avec un canon à eau - photo Marine nationale

 

1 avril 2015 par FDA Chevalier Paul

 

Une équipe de quatre plongeurs démineurs a embarqué dans la mission « Arromanches 2015 » et forme le détachement GRIP (Groupe d’Intervention Plongeur). Sa mission est d’assurer l’alerte NEDEX (neutralisation et destruction d’engins explosifs) pour l’ensemble des bâtiments du Groupe Aéronaval (GAN), aussi bien sur des munitions conventionnelles non explosées que sur des engins explosifs improvisés. Cette alerte prend tout son sens notamment lors des escales, mais également en mer, au cours des passages resserrés à risques comme le Canal de Suez ou les détroits d’Ormuz et de Bab El Mandeb. C’est d’ailleurs l’un des retours d’expérience de l’opération Harmattan de 2011 au cours de laquelle les bâtiments du GAN s’étaient ponctuellement retrouvés confrontés à des engins explosifs improvisés flottants.

 

Les plongeurs démineurs se sont également employés à la surveillance du champ de tir de Koron à Djibouti lors d’une campagne de tirs au profit des avions du GAé (Groupe Aérien Embarqué). Et avant chaque escale, le détachement apporte son expertise pour sa préparation sécuritaire.

 

Présentation du matériel aux stagiaires EOR

Présentation du matériel aux stagiaires EOR

 

Ces plongeurs démineurs, tous brevetés supérieur et titulaire du certificat IEEI (Intervention sur Engin Explosif Improvisé), sont issus des trois Groupe de plongeurs démineurs de la marine (Cherbourg, Brest et Toulon). Au cours de la mission, ils mettent à profit leurs compétences pour dispenser des cours de formation EOR (Explosive Ordonance Reconnaissance) à bord des bâtiments de la Task Force 473. Ces formations sont primordiales pour ces unités, qui disposent alors de personnels compétents pour agir au plus vite sur des engins explosifs trouvés à bord, et ainsi faciliter le travail des unités spécialisées qui prennent le relai une fois arrivées sur place.

 

Ils ont ainsi formé « reconedex » 14 membres d’équipage de la FDA Chevalier Paul entre le 22 février et le 25 mars.

 

Le détachement GRIP est maintenant de retour sur le Charles de Gaule. Entre alertes, formations et plongées, l’activité ne manque pas pour les plongeurs démineurs impliqués dans la mission « Arromanches ».

Partager cet article
Repost0
10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 07:50
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

8 avril 2015 par FASM Primauguet

 

C’est par un bel après-midi ensoleillé que les amarres du Primauguet ont été larguées. Après avoir quitté le port et le goulet, le navire s’est dirigé vers le Nord, direction l’Ecosse où nous participerons à un exercice d’envergure internationale avec une cinquantaine de navires de nations membres de l’OTAN. Ce grand exercice permettra à toutes les nations participantes dont la France, de démontrer leurs savoir-faire et leurs capacités opérationnelles dans un environnement interallié.

 

Lutte anti-sousmarine, défense antiaérienne. guerre électronique., visite de navires soupconnés d’activités illicites .. Le Primauguet va vivre 3 semaines intensives dans un cadre exceptionnel : la majeure partie des approches maritimes et des côtes écossaises seront mises à profit pour conduire les opérations aéronavales et les opérations amphibies de débarquement de troupes !

 

Le transit s’est effectué par une mer calme et le Primauguet en a profité pour conduire des exercices avec le navire militaire espagnol Mendez Nunez. L’équipage du Lynx nous a par ailleurs rejoints. Il restera avec nous tout au long de la mission pour augmenter notre potentiel de détection, de lutte anti-sous-marine mais aussi de transport de personnels ou de matériels.

photo Marine Nationalephoto Marine Nationale

photo Marine Nationale

Partager cet article
Repost0
10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 07:45
photo Sangaris

photo Sangaris

 

09/04/2015 Sources : État-major des armées

 

En République centrafricaine, la situation est principalement tournée vers la préparation du forum de Bangui, qui marquera l’entrée du pays dans un temps politique.

 

Le 4 avril, le commandant de la force Sangaris s’est rendu à Bria auprès des autorités militaires et civiles locales, où il a pu observer une situation calme et des actions de développement en cours de réalisation, appuyées par la MINUSCA.

 

Le 10 février dernier, Bria avait été le théâtre d’une opération de la MINUSCA contre des membres du FPRC, visant à déloger les miliciens qui occupaient illégalement les édifices publics. Cette opération a eu un effet d’entraînement dans l’aide à la restauration de l’autorité de l’Etat centrafricain. Le 8 avril, la force Sangaris a procédé à la destruction de 8 tonnes de munitions confisquée depuis le mois de janvier 2015.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo Sangaris

photo Sangaris

Partager cet article
Repost0
10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 07:45
Conférence d’ouverture de l’exercice “Obangame Express 2015″

Conférence d’ouverture de l’exercice “Obangame Express 2015″

 

7 avril 2015 par Aviso CDT Bouan

 

Dans le cadre de la mission Corymbe, l’aviso « Commandant Bouan » a participé du 20 au 26 mars 2015 à l’exercice multinational « OBANGAME EXPRESS 2015 ». Planifié par les forces navales américaines, cet exercice dont l’objectif est de renforcer la sauvegarde maritime dans le Golfe de Guinée a rassemblé treize pays de l’Afrique de l’Ouest, les États-Unis, le Brésil et six états de l’Union Européenne dont la France.

 

Articulé autour de différents scénarios, « OBANGAME EXPRESS 2015 » a été l’occasion pour tous les participants d’échanger sur leur méthodes de travail et d’augmenter le niveau d’interopérabilité dans la lutte contre les trafics illicites (pêche, piraterie, narcotrafic, etc.).

 

Dans ce cadre l’aviso « Commandant Bouan » a plus particulièrement coopéré avec les forces armées de Sao Tomé et Principe et les forces navales gabonaises. En effet trois officiers mariniers des gardes côtes de Sao Tomé et Principe ont embarqué pendant 36 heures à bord du « Bouan » pour y découvrir le concept français d’action de l’Etat en mer, puis, au large de Port Gentil, le « Bouan » a mené un exercice d’opération de visite croisée avec l’équipage du patrouilleur gabonais « OMBOUE ».

 

Par ailleurs, le « Commandant Bouan » a mis à profit cette période pour partager ses connaissances de la zone avec les frégates belge « Leopold I », allemande « Brandenburg » et espagnole « Vencedora » et mener différents exercices de tir et de manœuvre.

Exercice de visite au profit des garde-côtes de Sao Tomé et Principe

Exercice de visite au profit des garde-côtes de Sao Tomé et Principe

Exercice avec la frégate belge « Leopold I »

Exercice avec la frégate belge « Leopold I »

Exercice de transfert de courrier avec la frégate espagnole « Vencedora »

Exercice de transfert de courrier avec la frégate espagnole « Vencedora »

Partager cet article
Repost0
9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 17:50
photo  European Parliament

photo European Parliament

 

08 avril 2015 par Stéphanie Heng*, chercheuse – L’Echo.be

 

D’un monde bipolaire à la fin de la Guerre froide, nous sommes aujourd’hui dans un monde multipolaire, marqué par l’arrivée de nouvelles puissances telles que la Chine ou l’Inde. Quelle place pour l’Europe dans la nouvelle configuration et les rapports de force entre les pays? Et, face à la multiplicité des crises, dans un monde globalisé où prospérité rime avec sécurité, la politique extérieure n’est aujourd’hui guère un choix. Elle est une nécessité.

 

La Politique européenne et de sécurité commune est devenue une réalité dès 1992 avec le traité de Maastricht. Javier Solana, Haut Représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune de l’Union européenne, envisageait déjà, voilà plus de dix ans, la mise en œuvre d’une stratégie de sécurité européenne. Qu’en est-il réellement?

Force est de constater que nous en sommes aujourd’hui encore très loin, malgré quelques avancées certes concrètes. L’Union européenne jouit d’un poids relativement faible sur la scène internationale, notamment car nombre de décisions doivent être prises à l’unanimité des États membres.

 

Les premiers pas

Une politique européenne et de sécurité commune nécessite le volet défense. La crédibilité du projet européen est en jeu. Des développements et des évolutions concrètes ont vu le jour en la matière au début des années nonante.

Ainsi, lors de la déclaration de Petersberg en juin 1992, les États membres de l’Union européenne ont décidé de mettre en place des forces de défense pacificatrices via, entre autres, l’organisation de missions humanitaires, de missions de prévention des conflits et de maintien de la paix, de missions de forces de combat pour la gestion des crises, d’opérations de rétablissement de la paix ou encore d’actions conjointes en matière de désarmement. Il s’agit d’un premier pas vers une Europe de la défense.

Autre initiative intéressante: la création de l’Eurocorps en 1992, regroupant des contingents de cinq pays, la France et l’Allemagne initialement, auxquels se sont rajoutés la Belgique, l’Espagne et le Luxembourg.

 

Le tournant de 1998

En 1998, les Britanniques et les Français décident, à Saint-Malo, de la nécessité de doter l’Union européenne d’une capacité d’action autonome, y compris vis-à-vis de l’OTAN.

L’ambition de l’Union en matière de sécurité et de défense s’est renforcée en 1999 lors du sommet d’Helsinki avec la constitution d’une force de réaction rapide, puis la création de structures permanentes avec le traité de Nice (le Comité politique et de sécurité, le Comité militaire de l’Union européenne et l’État-major de l’Union européenne). Ces développements ont annoncé la mise en place de la Politique européenne de sécurité et de défense, puis de la Politique de sécurité et de défense commune dix ans plus tard.

 

Pour ou contre une armée européenne?

L’Union européenne demeure cependant peu cohérente sur la scène internationale, surtout sur le plan militaire. L’intervention en Libye en 2011 offre un exemple intéressant: certains États membres de l’Union, comme la France et le Royaume-Uni, sont intervenus durant la crise libyenne, mais il n’y a pas eu de réponse ou d’action commune du bloc européen. En découle un poids évidemment moindre de l’Union sur les questions et conflits internationaux.

Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, s’est récemment exprimé sur l’idée de créer une armée européenne comme objectif à long terme. Ses propos ont fait couler beaucoup d’encre. L’ensemble des États membres de l’Union européenne ne s’accordent en effet nullement sur cette question. Pour certains pays, l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) serait suffisante. N’oublions cependant pas que tous les États membres de l’Union ne sont pas membres de l’OTAN.

 

Bastion de souveraineté

La création d’une armée européenne homogène permettrait de renforcer le poids de l’Union sur le plan international. Signal fort sur la scène mondiale, il apporterait par ailleurs une réponse crédible en cas de menaces et risques pour la paix, non seulement dans les États membres mais aussi aux frontières de l’Union.

Mais cette idée est-elle capable de se matérialiser? Une telle armée, qui ne serait pas une simple juxtaposition de soldats des différents États membres, pourrait-elle voir le jour? La défense reste en effet aujourd’hui un important bastion de souveraineté nationale…

 

* Stéphanie Heng, chercheuse franco-belge en sciences sociales, ex-directrice de la communication du Groupe Herstal, Commandant (réserve citoyenne, Armée de Terre française).

Partager cet article
Repost0
9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 16:55
[Entretien] Des pales et du courage

 

09/04/2015 par Samantha Lille

 

Certaines histoires d’hommes vous captivent. « Envoyez les hélicos » fait partie de celles-là. A travers les 228 pages de ses carnets de guerre, le colonel Pierre Verborg* relate avec un style percutant et efficace des nuits de combats redoutables, où les équipages de l’aviation légère de l’armée de Terre (Alat) s’illustrent avec succès. Mais bien au-delà de la mise en exergue de l’aérocombat, cet officier au charisme indiscutable livre un hommage touchant aux soldats qu’il a commandés. Le « grizzly »** sort de sa tanière et cela vaut le détour.

 

« Envoyez les hélicos » cet ordre de l’Elysée tombe le 13 mai 2011. A ce moment-là, la France est engagée en Libye depuis plusieurs semaines et pour vous c’est le début d’une aventure sans précédent…

Chaque fois que l’on part au combat, on s’apprête à vivre quelque chose d’hors norme ! Cependant, pour l’opération Harmattan, on s’est rapidement rendu compte que le mode opératoire et le moment choisi pour intervenir allaient être décisifs à très haut niveau. Faire décoller de nuit, une dizaine d’hélicoptères d’un bâtiment de la Marine, voler tous feux éteints, au ras des flots pour aller au contact de l’ennemi, le pari était risqué mais nous étions formés et préparés pour cela. Il fallait créer une rupture sur le terrain, il fallait un électrochoc pour débloquer la situation. Les hélicos ont su le faire.

 

Vous êtes à l’époque, chef du groupement aéromobile sur le bâtiment de projection et de commandement Tonnerre et vous devez trouver vos marques…
La coopération interarmées sur le terrain n’est pas un problème, elle se fait avec une grande intelligence pour le succès des armes et tout simplement pour notre efficacité qui et notre survie.  Mais il est évident qu’au début nous nous sommes confrontés à un choc des cultures, un choc qui était sain à mon avis. La force des armées, c’est aussi leur diversité. Nous nous sommes donc adaptés au fonctionnement de la Marine et la Marine s’est adaptée à nos impératifs opérationnels. Au final, on est passé, si je puis dire, du pacs à un mariage en bonne et due forme concrétisé désormais par une doctrine qui évoluera encore, c’est certain.

 

D’ailleurs, au fil des chapitres, l’Alat apparait comme un monde un peu à part…
C’est une arme jeune, méconnue qui a parfois été incomprise ; pourtant elle a toute sa place au sein de l’armée de Terre et des armées en générale. J’espère que ce livre montrera que c’est une arme qui a une âme, une identité et permettez-moi, une gueule ! On vit et on se bat à la vitesse de 240 km/h dans trois espaces différents (terre/air/mer). Dans un laps de temps très court, nous pouvons récupérer des commandos à partir d’un sous-marin, délivrer des rations  dans le cadre d’une mission humanitaire, évacuer des ressortissants et aller combattre. Et ce sont les mêmes hélicoptères et les mêmes équipages qui vont vivre ces multiples missions. L’aérocombat bouleverse profondément la manière de se battre et à façonner un système d’hommes effectivement très particulier.

 

Ce livre, n’est-il pas aussi le récit de l’expérience du commandement ?

En effet, il m’a semblé utile de partager ce qu’est la réalité du commandement lorsque l’on sert sous les armes. J’ai eu la chance de pouvoir participer de très nombreuses fois, et aux différents niveaux de responsabilités du domaine des hélicoptères qui ont été les miens, à des missions de guerre dans des situations qui imposaient un engagement total. Je crois qu’il est intéressant de partager et d’expliquer que le commandement n’est pas un bloc monolithique mais un art subtil, à la fois prédictible et plein d’incertitudes. Nous n’avons pas le monopole du commandement. On pourrait penser que dans un système militaire, commander peut être une pression et une contrainte, en ce qui me concerne, cela fait 27 ans que j’exerce au quotidien des responsabilités que le commandement bien voulu me confier et je me sens un homme et un officier libre dans un cadre bien normé. Oui, commander, c’est être libre. Etre libre, c’est choisir et choisir, c’est parfois renoncer et être surpris. Je tenais à faire découvrir toute cette diversité du commandement. D’autres pourraient tout autant témoigner pour enrichir chacun de ses expériences. Personnellement, c’est en lisant et en écoutant de témoignages que j’ai appris et pu enrichir ma posture de commandement. C’est un travail intellectuel qui est nécessaire. Dans l’action, il est trop tard pour se poser des questions vous devez seulement amener de bonnes réponses et vite.

 

Justement, qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ? 
Je ne vous cache pas qu’il a été difficile de prendre la plume sans me départir de l’épée.  Toutefois, pour moi, ce témoignage s’est imposé, à la demande aussi de mes chefs, comme un devoir pour trois raisons. Tout d’abord,  pour sa dimension historique, au sens de témoignage, de cet aspect de la guerre et du système d’hommes décisifs qu’est l’aérocombat dans la conduite et la réussite des opérations ; ensuite pour sa dimension humaine collective d’une équipe qui s’inscrit dans un dynamique de réussite avec une méthode et une volonté maitrisée où les ressorts et les liens  qui lient le chef  à ses subordonnés sont déterminants, et enfin, la nécessité de transmettre un témoignage vécu, de l’intérieur, non pas d’un combat mais de nombreuses expériences de guerre, à une période où d’importants choix capacitaires se font dans les armées et qui ont des répercussions très concrètes pour nous lorsqu’il est décidé de nous engager au service de notre pays. .

 

Envoyez les hélicos
Carnets de guerre – Côte d’Ivoire – Libye - Mali
Pierre Verborg
18€90 – Editions du Rocher

[Entretien] Des pales et du courage

* Le colonel Pierre Verborg est officier de carrière dans l’aviation légère de l’armée de Terre et totalise plus de 3 300 heures de vol. Il a participé à de très nombreuses opérations en métropole et à l’étranger (Kosovo, Côte d’Ivoire, Libye, Mali) et a commandé le bataillon d’hélicoptères et d’assaut du 5e régiment d’hélicoptères de combat. Aujourd’hui, il officie en tant que chef du bureau « engagement opérationnel aéromobilité » au sein du commandement des forces terrestres à Lille.

 

** pseudo de l’auteur

Partager cet article
Repost0
9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 12:20
Le major général de l’armée de l’air rencontre son homologue américain

 

08/04/2015 Armée de l'air

 

Les 30 et 31 mars 2015 l’état-major de l’armée de l’air a organisé les Operator Engagement Talks à Paris.

 

Cette réunion d’état-major entre la France et les États-Unis avait pour objectif de tracer les grandes lignes de la coopération bilatérale entre les deux nations. Le partage des visions stratégiques, les systèmes de combat futur, la cyber défense, les engagements conjoints sur les théâtres d’opérations (au Levant et en Afrique), ainsi que les travaux sur les drones Reaper étaient notamment au centre de discussions riches.

 

Le général de corps aérien Antoine Creux a ainsi accueilli la délégation américaine en provenance de Washington DC et de Ramstein, emmenée par le Lieutenant général Wolters, Deputy chief of staff for operations à l’United States Air Force et le Lieutenant général Roberson, commandant la troisième Air Force, lors de deux journées dont l’objectif était également d’entretenir les liens qui unissent la France et les États-Unis.

Le major général de l’armée de l’air rencontre son homologue américain
Partager cet article
Repost0
8 avril 2015 3 08 /04 /avril /2015 16:55
FULL 15 - Entrainement Artillerie de la FASM Primauguet


01.04.2015 par Marine nationale

La frégate ASM Primauguet s'entraine au tir.

Partager cet article
Repost0
8 avril 2015 3 08 /04 /avril /2015 12:55
GCP 2e REP - photo Insider

GCP 2e REP - photo Insider

 

source Légion Etrangère



Vendredi 10 avril à 20h45, rendez-vous devant votre téléviseur et la chaîne Planète+ A&E pour visionner avec nous un documentaire filmé en immersion au cœur des meilleures unités spéciales de la planète.

Alain Figlarz est l’Insider, il a plongé en immersion au cœur de la Légion étrangère : de la formation du légionnaire au 4e régiment étranger jusqu’au 2e régiment étranger de parachutistes au sein du groupement de commandos parachutistes.

Suivez le à la rencontre de nos incroyables légionnaires venus des 4 coins du monde : au sein du 4e régiment étranger et au 2e régiment étranger de parachutistes.

Pour un aperçu et quelques bonus, c’est sur : http://www.linsider.tv/episode_2rep.php#2rep

Partager cet article
Repost0
8 avril 2015 3 08 /04 /avril /2015 11:55
Loi renseignement - Urvoas : "Des garanties réelles ont été mises en place"

 

07/04/2015 Propos recueillis par Jean Guisnel - Défense ouverte / Le Point.fr

 

Le président de la commission des Lois de l'Assemblée nationale revient sur les évolutions du texte controversé qui sera discuté la semaine prochaine.

 

L'Assemblée nationale examinera le projet de loi relatif au renseignement en séance publique à partir du 13 avril. Mais elle n'a pas fini, malgré les 172 amendements déposés en commission des Lois, de susciter débats et polémiques. La discussion parlementaire de ce projet de loi, dont on trouvera ici l'exposé des motifs, est le dernier épisode en date de la lutte sempiternelle, dans un État de droit, entre la défense des libertés individuelles et collectives et les impératifs de la sécurité publique

 

Le Point.fr : L'examen de la loi sur le renseignement en commission des Lois est terminé. Quel bilan tirez-vous de cette première étape parlementaire ?

 

Jean-Jacques Urvoas : Présenté en conseil des ministres le 19 mars et inscrit à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale en procédure accélérée, le texte a été étudié en commission des Lois le 1er avril dernier. Entre-temps, j'ai procédé à trente-sept auditions d'associations, comme la Ligue des droits de l'homme, de syndicats de magistrats administratifs et judiciaires, d'autorités constitutionnelles comme le défenseur des Droits, d'autorités administratives indépendantes comme la CNCIS ou l'Arcep. Lors de l'examen en commission, nous avons adopté 172 amendements, venant de tous les groupes qui en avaient déposé. Le texte a ainsi connu des changements d'importance et il est maintenant prêt à être discuté en séance publique, ce qui se fera à partir du 13 avril jusqu'à la fin de la semaine. Puis il partira au Sénat où il sera discuté vers la fin mai.

 

Suite de l’entretien

Partager cet article
Repost0
8 avril 2015 3 08 /04 /avril /2015 11:50
Photos : Malek Azoug, Jérusalem Piérard –MIL.be

Photos : Malek Azoug, Jérusalem Piérard –MIL.be

 

07/04/2015 Liesbeth Bardyn –MIL.be

 

Depuis la Seconde Guerre mondiale, 252 militaires belges sont décédés dans le cadre d’opérations à l’étranger. Les familles et les principaux responsables de la Défense leur ont rendu hommage ce 7 avril au monument du Soldat Inconnu à Bruxelles.

 

« Que tous les militaires décédés, soient un exemple pour nos militaires actuels », dit un orateur dans son micro. Face à lui, la place du Congrès est remplie de vétérans de guerre, de soldats et de familles de militaires décédés. Près de la tombe du Soldat Inconnu se tient un peloton de chaque composante. Ils sont ici pour commémorer les 252 soldats tombés depuis 1945. Parmi les anciens, le vétéran Lucien Puttemans.

 

« J’ai encore servi en tant que commando au Congo et au Rwanda », raconte Lucien. « Je considère qu’il est de mon devoir d’être ici. J’espère qu’avec cette cérémonie rappelant les opérations que nous avons menées, ils ne seront pas morts pour rien. »

 

Photos : Malek Azoug, Jérusalem Piérard –MIL.bePhotos : Malek Azoug, Jérusalem Piérard –MIL.bePhotos : Malek Azoug, Jérusalem Piérard –MIL.be
Photos : Malek Azoug, Jérusalem Piérard –MIL.be

Photos : Malek Azoug, Jérusalem Piérard –MIL.be

L’une après l’autre, les autorités civiles et militaires déposent des couronnes de fleurs au pied du monument. Monique Muylle dépose également un bouquet, avec en son centre, une photo de son fils. « Mon fils Stefaan a été tué il y a 7 ans par une bombe à fragmentation lors d'une mission de déminage au Liban » explique-t-elle. « Nous nous rendons ici chaque année avec la famille en sa mémoire. »

 

Lea Theunis a aussi perdu son fils durant une opération militaire. « Il y a maintenant 22 ans que mon fils Stef est décédé lors d'un incident en Somalie », dit-elle. « Il était le premier militaire belge à être tué. Chaque année, je viens ici parce que c’est la seule chose que je puisse encore faire pour lui. »

 

L’année dernière, 2 700 militaires belges sont partis en mission à l’étranger. Heureusement, ils sont tous revenus sains et saufs. Ce n’est pas un hasard si la date de la cérémonie coïncide avec le jour du décès, en 1994, de dix para-commandos au Rwanda. La commémoration du 7 avril est également un rappel des dangers que peuvent rencontrer les militaires.

 

Vidéo : Clint Soete - MIL.be

Partager cet article
Repost0
8 avril 2015 3 08 /04 /avril /2015 11:45
Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

 

02/04/2015 Liesbeth Bardyn –MIL.be

 

La frégate Léopold I prenait part à l’initiative américaine Obangame Express 15 du 17 au 28 mars dernier dans le Golfe de Guinée. Les 150 membres d’équipage formaient les marines locales à lutter contre les pratiques illégales dans la région.  

 

 

 

Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.bePhotos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

Vidéo : Clint Soete

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 16:55
La Maison des blessés et des familles


7 avr. 2015 Ministère de la Défense

 

La Maison des blessés et des familles de l’Hôpital d’instruction des armées Percy offre un nouveau souffle aux militaires blessés en opération et à leurs proches.
Composée de 11 appartements, répondant tous aux normes handicapés, cette maison offre la garantie d’une meilleure prise en charge pour les soldats et leurs proches dans le chemin de la reconstruction.

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 16:50
Häuserkampf in Lehnin


7 avr. 2015 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 04/2015 15E15501

 

Zwei Wochen lang trainiert das komplette I. Bataillon des Objektschutzregimentes „Friesland“ im brandenburgischen Lehnin. Die Objektschützer sind die Kampftruppe der Luftwaffe, d.h. sie müssen regelmäßig sämtliche Arten des infanteristischen Gefechts üben. Dazu gehört auch der Häuserkampf. Auf dem Truppenübungsplatz in Lehnin haben die Objektschützer ideale Bedingungen, um ihre Ausbildungsvorhaben durchzuführen.

 

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 16:45
photo Ministère de la Défense

photo Ministère de la Défense


07.04.2015 europe1.fr
 

Le général Grégoire de Saint-Quentin, chef du commandement des opérations spéciales, est revenu sur l'opération de l'armée française qui a conduit à la libération de l'otage néerlandais lundi au Mali.

 

Rare dans les médias, le chef du commandement des opérations spéciales (COS), Grégoire de Saint-Quentin, a raconté au micro d'Europe 1 les coulisses de l'opération ayant abouti à la libération de l'otage néerlandais, Sjaak Rijke, lundi dans le nord du Mali.

 

Comment s'est préparée l’opération ? "C'est une grande fierté et une grande satisfaction. L'opération, qui a eu lieu cette nuit, a été précédée d'une phase de renseignement. Il faut savoir que localiser le campement sur lequel l'otage était détenu a été extrêmement long. Ce sont des opérations qui nécessitent énormément de moyens et qui mobilisent notamment la direction du renseignement militaire et de la DGSE. Une fois que nous avons eu une bonne vision de la zone, nous avons déclenché l'action."

 

Comment s'est-elle déroulée ? "Cet otage était détenu dans un endroit extrêmement reculé, loin de tout, au milieu d'une zone désertique. C'est donc une manœuvre extrêmement complexe d'y amener des moyens et des capacités militaires, car il faut rester discret jusqu'à la fin pour avoir la meilleure finesse possible dans l'action. Ceci a donc nécessité un certain nombre de moyens d'infiltration sophistiqués pour amener l'équipe d'assaut au plus près, sans qu'elle soit dévoilée par les preneurs d'otage, qui sont extrêmement déterminés dès lors qu'ils sont menacés."

 

Combien d'hommes mobilisés ? "Une vingtaine d'hommes a été mobilisée pour donner l'opération. Dans cette situation, on cherche à encadrer l'objectif en s'infiltrant le plus discrètement possible sans être dévoilé. C'est ce qu'il s'est passé, même si dans les dernières dizaines de mètres, une équipe de sentinelles des preneurs d'otage a ouvert le feu sur nos hommes, engageant une riposte. Nos hommes ont tué deux preneurs d'otage, deux autres se sont rendus, et l'otage a été libéré. Tout cela s'est passé en quelques secondes.

Il faut leur rendre hommage, car ce sont des opérations très complexes qui mettent en oeuvre énormément de moyens. Il ne s'agit d'ailleurs pas que des moyens des forces spéciales, mais aussi des armées. Il y a finalement peu de pays capables de conduire de telles actions, je crois que nous pouvons en être fiers."

 

Quelle a été la réaction de l'otage ? "L'otage nous est tombé dans les bras, il nous paraît en bonne santé mentale et physique. Il a réussi à garder le cap, malgré 1.224 jours de détention. Il était placé à l'isolement, et n'avait que ses geôliers avec qui dialoguer. Il a un temps été détenu avec le Français Serge Lazarevic."

 

Que sait-on de sa détention ? "Pour l'instant, nous savons encore peu de chose. Mais il nous a dit assez spontanément que ce qui l'avait aidé à tenir, c'est d'avoir tous les jours imaginé refaire sa maison, pierre par pierre et brique par brique. Voire même, quand il le pouvait et avec les matériaux qu'il trouvait dans le désert avec le peu de liberté de mouvement qu'il avait, d'en faire la maquette dans le sable pour se concentrer sur ce qui lui était cher. Il refaisait comme ça sa maison et son jardin, tous les jours, jour après jour."

 

Ces opérations sont-elles dangereuses ? "C'est toujours dangereux. Encore une fois, nous cherchons à protéger la vie de l'otage jusqu'au dernier moment. Nous concevons le risque, et sommes donc conscients d'être exposés à une réaction de l'ennemi."

 

Que sait-on des preneurs d'otage ? "Nous ne savons pas à quel groupe ils appartiennent. Je pense que les différents débriefing, et notamment celui de l'otage, apporteront davantage d'informations. Ils étaient puissamment armés, ils avaient un véhicule pour transporter leur otage et étaient discrètement installés.

D'où l'importance des moyens de renseignement pour pouvoir les trouver. Il faut imaginer que le Nord du Mali fait la taille de la France : cela revient à chercher une aiguille dans une botte de foin si les moyens de renseignement ne sont pas suffisamment étoffés."

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 16:30
75e anniversaire de la création de la 13e DBLE

 

07-04-2015 par 13e DBLE Réf : 475 | 433

 

Le 27 février 1940, le lieutenant-colonel Magrin-Vernerey, recevait le commandement de la 13e DBLE qui venait d’être créée.

 

À cette occasion il prononçait l’ordre du jour suivant : “Officiers, sous-officier, caporaux et légionnaires du groupement de montagne, Appelés à représenter la Légion hors d’Afrique, sous les yeux de troupes d’élite, et à combattre pour la plus belle des causes, nous élèverons nos coeurs à la hauteur de cet immense honneur. Devant des soldats, des chefs et des peuples qui ne nous connaissent pas, ou peu, et jugeront d’après vous la Légion et l’armée d’Afrique, vous prouverez l’esprit de corps, l’exacte discipline et l’union étroite qui cimentent la solidarité légionnaire. En votre nom, j’adresse l’hommage du régiment cadet de la Légion à tous les chefs illustres et aux glorieux régiments qui ont conquis la célébrité de l’Arme. Dépositaire de leur gloire, par tous les détachements qui vous ont constitués, confiants dans la supériorité de notre tradition, vous obéirez, vous attaquerez, vous tiendrez, suivant la devise du groupement “More majorum”, à la manière de nos anciens”.

 

Le caractère prophétique de cet ordre illustre bien ce qu’ont été les 75 ans de la 13e DBLE au service de la France. Pour commémorer cet anniversaire, et à l’issue d’une marche de nuit régimentaire sur la crête des dunes environnant le quartier lieutenant-colonel Brunet de Sairigné, le régiment se recueillait au cours d’une prise d’armes. Le colonel Heuze, rappelait à tous que “si la 13 d’aujourd’hui n’a plus grand chose à voir avec celle qui quittait Sidi-Bel Abbes il y a 75 ans, la flamme et l’esprit qui avaient prévalu à sa création étaient toujours présents à travers ces deux vertus si légionnaires, de soldats et de bâtisseurs avec l’entrain de relever les défis, même les plus audacieux”..

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 16:20
DARPA Close Air Support Success


7 avr. 2015 by DARPA

 

Close air support (CAS)—delivery of airborne munitions to support ground forces—is difficult and dangerous because it requires intricate coordination between combat aircrews and dismounted ground agents. DARPA’s Persistent Close Air Support (PCAS) program focuses on technologies to enable sharing of real-time situational awareness and weapons systems data through approaches designed to work with almost any aircraft. PCAS envisions more precise, prompt and easy air-ground coordination for CAS and other missions under stressful operational conditions, and seeks to minimize the risk of friendly fire and collateral damage by enabling the use of smaller munitions to hit smaller, multiple or moving targets.

On March 27, DARPA successfully tested the full PCAS prototype system for the first time as part of a U.S. Marine Corps infantry/aviation training exercise conducted in partnership with the Marine Aviation Weapons and Tactics Squadron One, stationed in Yuma, Arizona. The demonstration marked the first successful integration of automated, digital, real-time coordination capability into a military aircraft system, including rail-launched munitions, digital data links and advanced software.

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 11:55
photo EMA

photo EMA

 

03/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Sur la base de défense (BdD) de Rennes, la distribution des colis individuels d’habillement est désormais assurée au plus près du militaire.

 

Après avoir commandé ses effets via le site de distribution par correspondance (DPC) du service du commissariat des armées (SCA), le militaire devaient auparavant récupérer son colis au magasin du corps, ce qui générait des contraintes pour les unités soutenues. Il fallait en effet consulter le site à plusieurs reprises, choisir le moment opportun pour se rendre au magasin et trouver un véhicule.

 

Le service de soutien commun (SSC) du GSBdD de Rennes a donc décidé d’améliorer le service rendu. Sa démarche a reçu l’appui de la direction interarmées des réseaux d’infrastructures et des systèmes d’information (DIRISI). Cela s’est traduit dans un premier temps par le développement d’un nouveau logiciel de suivi des commandes, puis par la mise en œuvre d’un système de livraison efficient.

 

Si les commandes s’effectuent toujours en ligne, le soutenu précise désormais quand et où, sur le site, il souhaite être livré. L’application développée se charge ensuite de confirmer par mail ces informations puis d’assurer le suivi de la commande. Le militaire reçoit des mails à chaque étape de sa commande. Le vaguemestre prend en compte dans sa tournée quotidienne de distribution du courrier, la livraison de ces colis. Grâce à l’application, il peut adapter son véhicule en fonction du nombre de colis à distribuer, selon la date de livraison souhaitée par le soutenu.

 

Après plusieurs mois de fonctionnement, le nouveau processus donne entière satisfaction. S’il facilite la vie des administrés, il permet de surcroît aux personnels du magasin de mieux gérer leurs stocks et de connaître avec précision les différents délais de traitement et d’acheminement de l’ensemble des colis.

 

S’inscrivant également dans une démarche d’éco-mobilité, cette pratique permet une diminution des coûts de transport et aussi de limiter l’absence des personnels à leur poste de travail. Des gains non négligeables pour la BdD et les unités.

 

Soucieux de répondre aux objectifs fixés par le SCA dans le cadre de son plan de transformation, le GSBdD de Rennes a prouvé son attachement à la qualité du service rendu et à la préservation de la proximité du soutien.

 

Un bel exemple pour être « opérationnels, autrement » !

crédits : EMA

crédits : EMA

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 11:50
photo EMA

photo EMA

 

03/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 31 mars au 2 avril 2015, le général d’armée Pierre de Villiers a reçu à Paris son homologue finlandais, le général Jarmo Lindberg qui effectuait sa première visite officielle en France.

 

Après avoir rendu les honneurs à l’Ecole militaire, les deux CEMA ont tenu une réunion de travail au centre de planification et de conduite des opérations (CPCO). A cette occasion, le général de Villiers a fait le point sur les nombreux engagements de nos forces armées (Sentinelle, Barkhane, Sangaris et Chammal notamment). De son côté, le général Lindberg est revenu sur ceux de la Finlande dans des cadres multinationaux, notamment au Liban (FINUL), en Afrique (EUTM Mali, EUFOR RCA) et en Afghanistan (Resolute Support). Tous deux ont ensuite partagé leur appréciation de l’environnement stratégique finlandais dans l’espace baltique et dans le contexte de la crise en Ukraine.

 

Ancien pilote de chasse, le général Jarmo Lindberg s’est ensuite rendu sur la base aérienne 113 à Saint-Dizier, le jeudi 2 avril où il a effectué un vol en Rafale. Cette rencontre avec l’armée de l’Air lui a permis de prendre la mesure de son engagement sur les différents théâtres d’opérations extérieurs de la France.

photo EMA

photo EMA

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 11:45
Juan de Nova, 45 jours d’autarcie

 

05/04/2015 SCH Beltran  - armée de Terre

 

Surveiller pendant 45 jours l’île déserte de Juan de Nova. Il ne s’agit pas d’un nouveau programme de téléréalité, mais bien d’une mission confiée aux soldats de l’armée de Terre.

 

Les militaires du 2e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (2e RPIMa) ont la charge d’assurer la souveraineté française de ce petit territoire situé dans le canal du Mozambique. Coupés du monde, les parachutistes amorcent leur mission par une relève minutieuse et détaillée. S’en suivent 45 jours d’autonomie pendant lesquels les militaires participent à l’entretien des infrastructures et au soutien des programmes scientifiques.

 

Aperçu de la mission en images.

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 11:45
photo EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

 

07/04/2015 Sources : État-major des armées

 

Après avoir participé avec le BPC Dixmude et la FLF Aconit à l’évacuation d’une centaine de ressortissants de plusieurs nationalités des villes d’Aden et Balhaf, au Yémen, le patrouilleur hauturier L’Adroit a repris sa mission d’escorte au profit des réfugiés djiboutiens. Placé sous le contrôle opérationnel du commandant des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj), le bâtiment de la Marine nationale a repéré dimanche 5 avril dans la soirée, à l’est d’O’Bock, un boutre se dirigeant vers Djibouti.

 

Ce navire naviguait avec à son bord 92 Djiboutiens, mais également 27 Yéménites, 13 Saoudiens, 4 Kenyans, un Ethiopien, un Somalien et une Française. Tout en escortant ce boutre, L’Adroit a contacté les autorités djiboutiennes qui ont affrété un de leurs patrouilleurs pour prendre le relai jusqu’au port de Djibouti.

 

Lundi 6 avril, en début de matinée, c’est un autre boutre, parti la veille du port yéménite al-Moka avec 156 personnes à son bord, dont deux Français, qui a été escorté par le patrouilleur de la Marine nationale, en collaboration avec la Marine djiboutienne. L’Adroit y a transféré son équipe médicale en milieu de matinée afin de prendre en charge des passagers malades. Les réfugiés ayant quitté le Yémen sont arrivés à Djibouti en début d’après-midi.

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 11:45
Centre d’aguerrissement tropical de la Réunion

 

05/04/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

Le centre d’aguerrissement tropical de la Réunion (CATR) offre aux militaires de l’armée de Terre les moyens d’entretenir et de développer leurs capacités opérationnelles.

 

Placé sous l’autorité du 2e régiment de parachutistes d’infanterie de marine, le centre forme les unités tournantes déployées sur l’île de la Réunion. Les stages, intenses et pédagogiques, durent 3 semaines et renforcent la cohésion des soldats.

 

Description.

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 10:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

07/04/2015 armée de Terre

 

Le général d’armée Jean-Pierre BOSSER, chef d’Etat-major de l’armée de Terre (CEMAT) s’est rendu  aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan afin de présenter le nouveau modèle de l’armée de Terre aux élèves officiers et cadres des écoles. Sa rencontre en images.

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 07:55
Livre historique : Le 7e bataillon de chasseurs alpins

 

03/04/2015  Camille Pégol - armée de Terre

 

Sous la direction du colonel Lionel Catar, les éditions Pierre De Taillac publieront dès le 15 juillet 2015 l’ouvrage historique Le 7e Bataillon de chasseurs alpins, de Saint-Omer à l’Isère.

 

Ce nouvel ouvrage tend à donner une part plus importante à l’histoire contemporaine du 7e BCA, déjà retracée en 1953 et 1994 et qui, depuis 175 ans, écrit de belles pages de l’histoire militaire française, fidèle à sa devise : « De fer et d’acier ». Des « tranches de vie » du 7e BCA sont proposées dans cette œuvre collective, réalisée grâce aux éditions précitées ainsi qu’à des recherches documentaires et de nombreux témoignages d’anciens du bataillon.

 

Pour les plus pressés de voyager de Saint-Omer à l’Isère avec « les diables bleus du 7 », il est d’ores et déjà possible de réserver le livre et de bénéficier d’un tarif préférentiel. Pour cela il suffit de remplir le bulletin de souscription et de le retourner rempli à :
Cellule communication du 7e BCA
Quartier De Reyniès
BP 08 38761 VARCES Cedex

 

Télécharger le bulletin de souscription :Bon de souscription (1 MB).

Partager cet article
Repost0
7 avril 2015 2 07 /04 /avril /2015 07:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

03/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 31 mars 2015, le nouveau commandant (COMANFOR) de la force Sangaris, le général Pierre Gillet, a rendu visite aux soldats du groupe tactique interarmes (GTIA) Turco, déployés sur la base opérationnelle de Bambari en république Centrafricaine.

 

Pour ce premier passage dans la ville de Bambari, le nouveau COMANFOR de la force Sangaris a rencontré les acteurs principaux de la ville, dont le maire de Bambari, monsieur Matchipata, le responsable du bureau de la MINUSCA politique, Monsieur Mayoyo et la responsable des droits de l’homme de l’ONU, madame Hoffman. Ces entretiens ont permis d’évoquer la préparation du forum de Bangui et la tenue des prochaines élections présidentielles.

 

Lors de cette visite, le général Gillet a bénéficié d’un point de situation sur l’environnement sécuritaire dans la ville de Bambari. Il s’est en effet entretenu avec le colonel Espitallier, commandant le GTIA Turco, sur les capacités opérationnelles de la force Sangarisdans cette région et les missions qui lui sont confiées, dont l’appui à la MINUSCA, la sécurité de la population et le contrôle de zone sensibles.

 

Avant de quitter la base opérationnelle, le général a visité les différentes installations de la force française et a rencontré l’ensemble du personnel militaire engagé sur Bambari.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération SANGARIS, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération SANGARIS vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories