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28 décembre 2015 1 28 /12 /décembre /2015 12:30
photo EMA

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25/12/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le général d'armée Pierre de Villiers a passé la veillée de Noël avec les aviateurs de l’opération Chammal sur la base aérienne projetée en Jordanie.

 

Lors de cette dernière étape de son déplacement au cœur des forces à Noël, le CEMA a voulu témoigner de sa fierté pour l'engagement sans faille des aviateurs, que se soit au combat, dans les opérations extérieures, dans leur mission quotidienne de surveillance de l'espace aérien national, ou encore dans les missions d'appui ou d’évacuations conduites au profit des Outre Mer.

 

Par sa présence en Jordanie, il voulait aussi rendre un hommage appuyé au rôle déterminant tenu par les pilotes, les mécaniciens, les logisticiens et tous les spécialistes de l’armée de l’air qui contribuent, sur cette base comme aux Émirats arabes unis, au succès de l'opération Chammal.

 

Bien évidemment, il associait dans cet hommages les pilotes de chasses, de drones, d'avions de transport ou d'hélicoptères qui, dans la bande sahélo-saharienne ou en Centrafrique, tiennent une place tout aussi déterminante dans les engagements opérationnels de l'armée française.

 

Les aviateurs de l’armée de l’air sont présents partout dans le monde où les armées sont engagées. En ce jour de Noël 2015, près de 2 500 d'entre eux sont engagés en opérations ou en posture opérationnelle, assurant directement la protection des Français.

photo EMAphoto EMA

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28 décembre 2015 1 28 /12 /décembre /2015 11:55
photo Armée de Terre

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22/12/2015 Armée de Terre

 

«  En opérations, dans la fonction que j'occupe, j'ai réalisé que certains points étaient perfectibles au niveau des communications ", explique le maréchal-des-logis Phil du 13e régiment de dragons parachutistes.

 

Partant de ce constat, il a proposé à la Direction générale de l'armement, via la «  mission innovation participative ", le projet CERBER qui vise à améliorer les transmissions. En effet, CERBER est l'acronyme de "chasuble d'équipements radio branchés en réseau » ; concrètement, il s'agit d'un boitier électronique connecté facilitant la réception et la transmission de données. Ligne budgétaire ouverte, le MDL Phil voit son projet prendre vie.

 

«  Aujourd'hui il nous reste à intégrer la partie électronique [ .... ] Demain, ce projet sera ouvert à tout utilisateur. »

 

Devenez tous acteurs de la défense de demain en proposant vos projets d’innovation

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 17:00
photo RP Defense

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 16:55
La France s'offre ce qu'il y a de mieux dans les télécoms militaires

Les deux satellites du programme COMSAT NG (communications par satellites de nouvelle génération) remplaceront, à compter de 2021, les satellites Syracuse 3A et 3B (Crédits : Thales Alenia Space)

 

23/12/2015 Par Michel Cabirol - LaTribune.fr

 

Le ministère de la Défense a commandé à Thales Alenia Space et Airbus Defence and Space deux satellites de télécoms militaires COMSAT NG. Le montant de ce programme s'élève à 3,8 milliards d'euros environ sur une période de 17 ans.


Et un dossier de plus bouclé... La direction générale de l'armement (DGA) a notifié mardi à Thales Alenia Space (TAS) et Airbus Defence and Space la réalisation de deux satellites du programme COMSAT NG (communications par satellites de nouvelle génération). Ils remplaceront, à compter de 2021, les satellites Syracuse 3A et Syracuse 3B actuellement en orbite et lancés respectivement en 2005 et 2006. Le marché comprend également la réalisation du segment sol de contrôle de ces nouveaux satellites, la réalisation des antennes principales au sol nécessaires à leur utilisation et le soutien de ces moyens pour une durée de 17 ans à compter de la mise en service du premier satellite. Le lancement des deux satellites sera assuré par Arianespace.

Le programme COMSAT NG doit permettre "le maintien de la permanence des communications sur le territoire national et avec les zones prioritaires d'intérêt, ainsi qu'avec nos bâtiments à la mer, en tout temps (paix, crise ou catastrophe majeure)", a expliqué le ministère de la Défense dans un communiqué publié ce mercredi.

Selon nos informations, le montant du programme s'élève à 3,8 milliards d'euros environ sur une période de 17 ans, dont 1 milliard d'euros pour la première tranche portant sur la construction des deux premiers satellites. La construction du budget 2015 prévoyait une autorisation d'engagement de 817 millions d'euros dès cette année. Pour  2016, 170,30 millions d'euros d'autorisations d'engagement et 69,8 millions d'euros de crédits de paiement sont inscrits au projet de loi de finances au profit de COMSAT NG. Les travaux de levée de risques technologiques ont été lancés en 2013 et la phase d'élaboration en juin 2014.

 

Thales (65%) et Airbus (35%) se partagent le programme

Le ministère de la Défense a confié à Thales Alenia Space (TAS), qui sera mandataire, la maîtrise d'oeuvre du système complet (satellites et segment sol). TAS, qui jusqu'ici était le maître d'oeuvre du système Syracuse, sera également responsable des charges utiles, en incluant la bande X, qui sert à la dissuasion nucléaire, la bande Ka, utilisée pour l'internet par satellite, et l'anti-brouillage, précise-t-on à La Tribune. Ce schéma industriel doit aussi être prolongé à l'exportation. Notamment en Égypte, en Arabie Saoudite et au Qatar, qui souhaitent se doter de satellites de télécoms militaires.

Les deux industriels se partagent la construction des deux satellites. Airbus utilisera sa plateforme électrique Eurostar 3000 tandis que TAS Spacebus Neo, qui a vu le jour grâce au programme européen de l'ESA (Agence spatiale européenne), Neosat. Ce programme permettra une réduction de 30% du coût des satellites par rapport aux concepts actuels. Au total, le ministère de la Défense a confié à TAS environ 65% du programme et 35% à Airbus. Aux côtés du groupement composé de TAS et d'Airbus DS, l'organisation industrielle comprend également les sociétés Thales Communications & Security et Telespazio France, qui sont les sous-traitants principaux.

"Le contrat couvre également un important volet sol avec la réalisation du segment sol de contrôle et de mission, basé principalement sur les solutions Space Ops de Thales Alenia Space, la rénovation des stations métropolitaines et une phase d'exploitation et de maintenance sur 17 années", a expliqué TAS dans un communiqué publié ce mercredi.

Commercialisation des capacités non utilisées

Après avoir longtemps hésité à acheter de la capacité en partenariat public privé (projet Nectar), le ministère de la Défense va finalement acheter de façon très classique COMSAT NG. Mais il y a introduit une nouveauté, une partie du contrat fait l'objet d'un partenariat public privé (PPP) entre l'Etat et les deux industriels. TAS et Airbus pourront revendre des capacités non utilisées par les forces armées françaises. D'ailleurs, l'Etat a profité de cette nouveauté pour mettre la pression sur les deux industriels sur le montant du contrat afin de faire baisser le prix du système COMSAT NG. Cela a joué sur moins de 10% du montant global du contrat, selon nos informations.

Pour l'heure, les deux industriels, via leur filiale services (Telespazio pour Thales et Airbus Defence and Space Services), vont pouvoir commercialiser à leurs comptes les capacités non utilisées par les forces armées françaises, notamment au début de la mise en service de COMSAT NG (2020-2030). Car le programme n'est dimensionné pour l'armée française qu'en fin de vie (2030-2035). L'État, qui a déjà profité du PPP pour faire baisser le montant du contrat, pourrait en outre récupérer une partie du produit de la commercialisation des surcapacités de COMSAT NG si les deux industriels parviennent à vendre au-delà des objectifs fixés par le contrat.

 

Une pierre fondamentale pour la maîtrise de l'information

Les moyens primordiaux pour les télécommunications à longue distance, les systèmes de communication par satellite constituent "une pierre fondamentale pour la maîtrise de l'information, clé de la supériorité de nos forces, a expliqué le ministère. La maîtrise de l'information permet à tous les niveaux d'engagement, du niveau stratégique jusqu'à la plate-forme de combat, d'apprécier la situation et de conduire l'action opérationnelle". Les satellites réalisés, fonctionnant en bandes X et Ka, offriront des performances accrues en termes de capacités de communication, de flexibilité et de résistance au brouillage afin de répondre aux futurs besoins des armées.

Ce programme répond aux besoins des armées en termes de capacités de télécoms par satellites nécessaires à l'engagement des forces françaises et au commandement des militaires déployés, sur le territoire national et lors d'opérations extérieures (OPEX), dont notamment celles sur les zones prioritaires définies par le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2013, étendues de l'Atlantique jusqu'aux Antilles. "Les deux satellites permettront également de répondre aux besoins en débit croissants liés en particulier aux échanges vidéo", a expliqué TAS.

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 16:45
Un millier de soldats français sont toujours déployés au Mali, essentiellement dans le cadre de Barkhane - photo EMA / Armée de Terre

Un millier de soldats français sont toujours déployés au Mali, essentiellement dans le cadre de Barkhane - photo EMA / Armée de Terre

 

23/12/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Les forces françaises de l'opération Barkhane ont mené dans la nuit de samedi à dimanche dernier une opération contre le groupe djihadiste Al Mourabitoune à Ménaka dans le nord du Mali, a annoncé mardi soir le ministère français de la Défense.


Dans la nuit du 19 au 20 décembre, les forces françaises ont conduit une opération dans la région de Ménaka, au Mali, contre un élément du groupe terroriste Al Mourabitoun, responsable de nombreux attentats à l'encontre des populations malienne et nigérienne, des forces armées locales et des forces internationales. Le groupe Al Mourabitoun a notamment revendiqué l'attaque contre l'hôtel Radisson Blu de Bamako qui avait fait 20 morts le 21 novembre dernier dans la capitale malienne.

"Au terme de combats violents qui ont duré près de quatre heures, deux pick-ups et une dizaine de motos ont été saisis. Une dizaine de terroristes ont été neutralisés. Une quantité importante d'armements et d'explosifs a été récupérée".

Al Mourabitoune, groupe djihadiste sahélien dirigé par Mokhtar Belmokhtar et lié à Al Qaïda, a également revendiqué l'attaque d'un restaurant de Bamako où cinq personnes ont été tuées en mars dernier et celui commis en août dans l'hôtel Byblos de Sévaré, dans le centre du Mali, où 17 personnes ont trouvé la mort. De nombreux combattants opèrent dans le vaste désert du nord du Mali, dont certains sont liés à Al Qaïda, ou bien à des organisations laïques de la communauté touarègue, en lutte pour l'indépendance d'une région qu'ils appellent Azawad.

Un millier de soldats français sont toujours déployés au Mali, essentiellement dans le cadre de Barkhane. La mission de l'Onu compte elle près de 10.000 hommes.

 

Etat d'urgence au Mali

Lundi, le gouvernement malien a proclamé l'état d'urgence pour une durée de dix jours, à la suite de ce que des sources proches de la sécurité présentent comme une série de menaces émanant de groupes djihadistes. Après l'attaque contre l'hôtel de luxe Radisson Blu, à Bamako le 20 novembre, le gouvernement avait alors proclamé l'état d'urgence pour une durée de dix jours.

"L'institution de l'état d'urgence vise à donner aux autorités compétentes les moyens de droit leur permettant de mieux circonscrire et combattre tout projet d'atteinte à la sécurité des personnes et de leurs biens et toute tentative de troubles à la quiétude des populations", a estimé le gouvernement dans un communiqué, sans donner davantage de précisions.

Selon deux sources proches des services de sécurité, des menaces lancées par des groupes djihadistes ont précipité lundi l'annonce du rétablissement de l'état d'urgence. L'une de ces sources a indiqué que cela faisait suite à une rencontre de chefs islamistes dans la région de Kidal, la semaine dernière. Des tirs de roquettes ont visé lundi dernier la ville de Gao, dans le nord du Mali, où stationnent des casques bleus et des soldats français.

Gao est une des principales bases de l'armée française dans le cadre de l'opération régionale antiterroriste Barkhane. Cette opération, qui mobilise quelque 3.500 soldats français dans cinq pays de la région, a pris le relais de l'opération Serval lancée au Mali en janvier 2013 pour repousser les groupes armés islamistes qui menaçaient de prendre le contrôle de Bamako.

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 16:40
Le général Pierre de Villiers rencontre son homologue russe

 

23/12/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, rencontre mercredi 23 décembre 2015 à Moscou son homologue de la Fédération de Russie, le général Valéri Guérassimov.

 

Cette visite intervient deux jours après la rencontre à Moscou du ministre de la Défense, M. Jean-Yves Le Drian, avec son homologue, M. Sergueï Choïgou.

 

C’est la première fois que les deux chefs d’état-major des armées français et russe se retrouvent depuis la prise de fonction du général de Villiers, le 15 février 2014.

 

Préalablement à cette rencontre, les deux officiers généraux avaient eu l’occasion de s’entretenir par téléphone, le 19 novembre et le 2 décembre 2015, pour faire un point de la lutte contre Daech en Syrie et aborder les questions liées à la déconfliction des zones de navigation aux larges des côtes syriennes, à l’occasion de l’engagement du porte-avions Charles de Gaulle en Méditerranée orientale.

 

Cette rencontre doit leur permettre d’échanger leur vision de la stratégie de lutte contre Daech.

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 16:30
L'Egypte attendra 2016 pour commander deux satellites "Made in France" (Crédits : Aibus Space)

L'Egypte attendra 2016 pour commander deux satellites "Made in France" (Crédits : Aibus Space)

 

23/12/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La France et l'Egypte n'ont pas pu terminer les négociations sur la vente de deux satellites français, l'un d'observation et l'autre de télécoms militaires. Par ailleurs, le président égyptien a entre ses mains une proposition de Paris pour quatre navires de guerre supplémentaires.

 

En dépit de toute la volonté des équipes de négociations égyptiennes et françaises, le contrat portant sur une commande de deux satellites, l'un d'observation et l'autre de télécoms militaire, n'a pas pu être signé mardi avant le départ de la délégation égyptienne. Rien de grave pour autant. Ce n'est que "partie remise", explique-t-on à Paris. "On partait de trop loin pour finaliser", précise-t-on à La Tribune. Pourtant le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi souhaitait une signature rapide. Pour accélérer les négociations, Il avait envoyé son fidèle ministre de la Production de défense, le général Al-Assar.

Dans le cadre de ces discussions, Le Caire négocie avec Airbus Space Systems et Thales Alenia Space (TAS), qui a été désigné comme mandataire. Le montant du contrat s'élève à environ 1 milliard d'euros pour les deux satellites. Le calendrier était ambitieux mais rien ne semble perdu pour la France.

 

Paris propose quatre nouveaux navires de guerre au Caire

Outre les deux satellites "Made in France", le président égyptien a entre ses mains une proposition très séduisante de DCNS portant sur la vente d'un lot de quatre navires : deux corvettes, l'OPV Adroit qui avait été autofinancé par le groupe naval puis prêté à la marine nationale, et, enfin, un navire plus petit fourni par Piriou. Une offre qui s'élèverait à 580 millions d'euros environ. Si un accord était trouvé avec la France, l'Égypte possèderait à terme 11 navires de guerre français.

Elle a déjà en commande six navires (quatre corvettes Gowind et deux Bâtiments de projection et de commandement de type Mistral). Le Caire dispose en service opérationnel d'une frégate multimissions FREMM "Vive l'Egypte" livrée en juillet 2015. La marine égyptienne aura d'ici à 2020, une flotte de sept navires français de premier rang.

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 16:30
Inherent Resolve – Chammal SITREP 23 Dec – CJTF-OIR

 

December 23, 2015 by CJTF-OIR - Release # 20151223-01

 

Military Strikes Continue Against ISIL Terrorists in Syria and Iraq

 

SOUTHWEST ASIA- On Dec. 22, coalition military forces continued to attack ISIL terrorists in Syria and Iraq. In Syria, coalition military forces conducted eight strikes using attack, fighter, and remotely piloted aircraft. In Iraq, coalition military forces conducted 24 strikes coordinated with and in support of the Government of Iraq using attack, fighter, bomber, and remotely piloted aircraft against ISIL targets.

 

The following is a summary of the strikes conducted against ISIL since the last press release:

 

Syria

• Near Al Hawl, two strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed an ISIL building, an ISIL vehicle, four ISIL fighting positions, and an ISIL rocket system.

• Near Al Hasakah, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL vehicle.

• Near Manbij, two strikes struck an ISIL tactical unit and destroyed three ISIL fighting positions.

• Near Mar’a, two strikes destroyed two ISIL heavy machine guns and two ISIL mortar systems.

• Near Ar Raqqah, one strike struck an ISIL tactical unit.

 

Iraq

• Near Al Huwayjah, one strike struck an ISIL tactical unit.

• Near Habbaniyah, five strikes struck four ISIL staging areas and an ISIL headquarters.

• Near Mosul, eight strikes struck six separate ISIL tactical units and destroyed an ISIL building, an ISIL crane, an ISIL bulldozer, two ISIL excavators, two ISIL vehicles, five ISIL fighting positions, an ISIL heavy machine gun, an ISIL light machine gun, an ISIL checkpoint, and wounded an ISIL fighter.

• Near Ramadi, four strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed an ISIL bunker, 19 ISIL fighting positions, three ISIL sniper positions, an ISIL anti-air artillery piece, four ISIL RPG positions, two ISIL recoilless rifles, two ISIL grenade launcher positions, two ISIL heavy machine gun positions, three ISIL command and control nodes, two ISIL bed down locations, an ISIL staging area, cratered an ISIL-used road, and denied ISIL access to terrain.

• Near Sinjar, one strike struck an ISIL tactical unit.

• Near Sultan Abdallah, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL fighting position.

• Near Fallujah, one strike destroyed an ISIL bunker.

• Near Kisik, two strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed three ISIL fighting positions.

• Near Tal Afar, one strike struck an ISIL tactical unit.

 

Strike assessments are based on initial reports. All aircraft returned to base safely.

 

A strike, as defined in the CJTF releases, means one or more kinetic events that occur in roughly the same geographic location to produce a single, sometimes cumulative effect for that location. So having a single aircraft deliver a single weapon against a lone ISIL vehicle is one strike, but so is multiple aircraft delivering dozens of weapons against a group of buildings and vehicles and weapon systems in a compound, for example, having the cumulative effect of making that facility (or facilities) harder or impossible to use. Accordingly, CJTF-OIR does not report the number or type of aircraft employed in a strike, the number of munitions dropped in each strike, or the number of individual munition impact points against a target.

 

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria, and the wider international community.

 

The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the group's ability to project terror and conduct operations. Coalition nations which have conducted strikes in Iraq include Australia, Belgium, Canada, Denmark, France, Jordan, Netherlands, the United Kingdom, and the United States. Coalition nations which have conducted strikes in Syria include Australia, Bahrain, Canada, France, Jordan, Saudi Arabia, Turkey, United Arab Emirates, the United Kingdom, and the United States.

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 13:55
Des tensions ont eu lieu récemment aux abords de la « jungle » entre migrants et CRS. Photo Jean-Pierre Brunet

Des tensions ont eu lieu récemment aux abords de la « jungle » entre migrants et CRS. Photo Jean-Pierre Brunet

 

22/12/2015 La Voix du Nord

 

Peu de temps après la victoire de sa liste aux élections régionales, Xavier Bertrand, le nouveau président LR de la région Nord – Pas-de-Calais – Picardie, a manifesté son souhait de demander la présence de l’armée à Calais, pour y « ramener la sécurité ». Une idée déjà évoquée par la maire Natacha Bouchart, mais que le ministère de la Défense juge inenvisageable.

Suite de l’article

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 13:55
photo CCH Serpillo Armée de Terre

photo CCH Serpillo Armée de Terre


23.12.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

J'ai un peu traîné à lire "le rapport d'information déposé en application de l’article 145 du Règlement par la commission de la défense nationale et des forces armées en conclusion des travaux d’une mission d’information  sur la filière munitions" (ouf...) et présenté par les députés Nicolas Bays et Nicolas Dhuicq.

Mais les 82 pages valent bien les deux heures de lecture nécessaires pour en venir à bout.

Ce rapport aborde des questions d'actualité:
- l'état des stocks de munitions,
- la sécurité des sites du SIMu, l'organisme qui gère 120 000 tonnes de munitions, dont plus de 20 000 à éliminer, pour une valeur totale de 8,5 milliards d’euros,
- la fin de vie des munitions, (les prix moyens de l’élimination d’une tonne de munitions sont les suivants : 1 388,08€ pour les munitions courantes et 147 310,21€ pour les munitions complexes),
- l’absence d’industrie munitionnaire de petit calibre en France...

Il établit aussi une éclairante cartographie de l'industrie munitionnaire française. C'est, au final, un texte difficilement résumable (mais que l'on peut traiter sous l'angle anecdotique et chiffré, donc révélateur) et qui constitue un bon document de référence.

Le rapport est à consulter ici.

 

Note RP Defense: voir Examen du rapport d’information sur la filière munitions (MM. Nicolas Bays et Nicolas Dhuicq, rapporteurs)

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 11:30
Inherent Resolve – Chammal SITREP 22 Dec – CJTF-OIR

 

December 22, 2015 by CJTF-OIR Release # 20151222-01

 

Military Strikes Continue Against ISIL Terrorists in Syria and Iraq

 

SOUTHWEST ASIA- On Dec. 21, coalition military forces continued to attack ISIL terrorists in Syria and Iraq. In Syria, coalition military forces conducted eight strikes using attack, fighter, and remotely piloted aircraft. In Iraq, coalition military forces conducted 17 strikes coordinated with and in support of the Government of Iraq using attack, fighter, bomber, and remotely piloted aircraft against ISIL targets.

 

The following is a summary of the strikes conducted against ISIL since the last press release:

 

Syria

• Near Al Hasakah, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL building.

• Near Al Hawl, two strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed four ISIL fighting positions.

• Near Ar Raqqah, one strike struck an ISIL excavator.

• Near Mar’a, four strikes struck four separate ISIL tactical units and destroyed an ISIL vehicle, an ISIL fighting position, damaged an ISIL fighting position, and wounded two ISIL fighters.

 

Iraq

• Near Fallujah, two strikes struck an ISIL tactical unit and destroyed an improvised explosive device (IED) facility and wounded two ISIL fighters.

• Near Kisik, one strike suppressed ISIL rocket fire.

• Near Mosul, seven strikes struck six separate ISIL tactical units and destroyed an ISIL building, 12 ISIL fighting positions, an ISIL heavy machine gun, two ISIL vehicles, five ISIL bunkers, and destroyed seven ISIL assembly areas.

• Near Qayyarah, one strike destroyed an ISIL excavator.

• Near Ramadi, six strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed four ISIL command and control nodes, four ISIL weapons caches, two ISIL buildings, an ISIL vehicle borne improvised explosive device (VBIED), wounded two ISIL fighters, and denied ISIL access to terrain.

 

Strike assessments are based on initial reports. All aircraft returned to base safely.

 

A strike, as defined in the CJTF releases, means one or more kinetic events that occur in roughly the same geographic location to produce a single, sometimes cumulative effect for that location. So having a single aircraft deliver a single weapon against a lone ISIL vehicle is one strike, but so is multiple aircraft delivering dozens of weapons against a group of buildings and vehicles and weapon systems in a compound, for example, having the cumulative effect of making that facility (or facilities) harder or impossible to use. Accordingly, CJTF-OIR does not report the number or type of aircraft employed in a strike, the number of munitions dropped in each strike, or the number of individual munition impact points against a target.

 

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria, and the wider international community.

 

The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the group's ability to project terror and conduct operations. Coalition nations which have conducted strikes in Iraq include Australia, Belgium, Canada, Denmark, France, Jordan, Netherlands, the United Kingdom, and the United States. Coalition nations which have conducted strikes in Syria include Australia, Bahrain, Canada, France, Jordan, Saudi Arabia, Turkey, United Arab Emirates, the United Kingdom, and the United States.

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 08:55
Le prix d’économie de la défense 2015

 

22/12/2015 Ministère de la Défense

 

Le prix annuel dit « d’économie de la défense » récompense une thèse, la présentation de travaux scientifiques originaux ou un mémoire universitaire de deuxième ou de troisième cycle pour sa qualité, son originalité et son intérêt vis-à-vis du domaine de l’économie de la défense.

 

Dernier évènement

Le prix d’économie de la Défense 2015 a été remis à Josselin Droff pour sa thèse sur le facteur spatial en économie de la défense.

 

Hugues Bied-Charreton, directeur des affaires financières du ministère de la Défense, a remis, mercredi 16 décembre, le prix d’économie de la défense 2015 à Josselin Droff pour sa thèse intitulée : « Le facteur spatial en économie de la défense : application au maintien en condition opérationnelle des matériels de défense », soutenue à l’Université de Bretagne Occidentale.

Le prix a été remis au cours d’un colloque organisé à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne par la direction des affaires financières du ministère de la Défense et la chaire Économie de défense du Fonds de dotation de l’Institut des hautes études de défense nationale, intitulé « Les industries de défense face aux enjeux internationaux ».

L’apport de la thèse de Josselin Droff réside principalement la prise en compte du facteur spatial dans les choix de défense (localisation des entités, synergies entre organisations). La thèse démontre que la compréhension des choix en matière de production de défense (réalisation des missions militaires, soutien des matériels et des personnels) implique nécessairement une forte dimension spatiale. Les développements proposés par Josselin Droff constituent un cadre de référence pour toute personne qui souhaite comprendre les choix de localisation dans le domaine de la défense. La méthodologie proposée peut s’appliquer non seulement au maintien en condition opérationnelle mais aussi à d’autres dimensions de la défense dans un cadre bilatéral, multinational ou au sein d’une alliance par exemple.

C’est la troisième fois que le prix d’économie de la défense est décerné. En 2005, il a été remis à Martial Foucault pour sa thèse « Biens collectifs et sécurité extérieure : analyse économique de la politique européenne de défense ». En 2009, il a été remis à Jean-Michel Oudot pour sa thèse soutenue à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne intitulée « Choix contractuels et performances : le cas des contrats d’approvisionnement de défense » ainsi qu’à Sylvain Moura pour sa thèse soutenue à l’université Montesquieu de Bordeaux sur le thème : « L’impossible banalisation des industries de défense : l’apport d’une analyse institutionnaliste à la dynamique des industries ».

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 08:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

22/12/2015 Armée de l'air

 

Du lundi 14 décembre au vendredi 18 décembre 2015, la base aérienne 126 de Solenzara a accueilli l’exercice Manoir 2015.

 

Cet entrainement réunissait des légionnaires du 2e régiment étranger de parachutistes (2e REP), des membres du commando parachutiste de l’air n°20 (CPA 20), ainsi que des équipages de l’escadron d’hélicoptères 1/44 «Solenzara».

 

Pendant une semaine, l’ensemble des participants a pu s’exercer, de jour comme de nuit, à un ensemble de procédures tactiques : aérocordage en corde lisse et rappel, saut en parachute, tir tactique, largage de petit colis avec un marquage au sol…

 

Les commandos de l’armée de terre et de l’armée de l’air ont pu s’entraîner au-dessus de zones montagneuses particulièrement techniques grâce aux hélicoptères Puma et Super Puma de l’escadron corse. Légionnaires et CPA ont ainsi pu entretenir leurs savoir-faire communs.

photo Armée de l'Airphoto Armée de l'Air

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 08:55
Livraison du 8e A400M Atlas au ministère de la Défense

 

22/12/2015 DIRECTION GÉNÉRALE DE L’ARMEMENT

 

La Direction générale de l’armement (DGA) a réceptionné mardi 22 décembre 2015 le huitième exemplaire de série de l’avion de transport militaire A400M Atlas destiné à l’armée de l’air. L’appareil porte le numéro de série MSN31. Comme pour l’appareil précédent réceptionné en juin (MSN19), le MSN31 dispose d’une première capacité de largage de parachutistes en chute libre par la rampe arrière et par les portes latérales de l’appareil. C’est par ailleurs le premier appareil français équipé du système de visualisation améliorée infrarouge EVS (Enhanced Visualisation System).

 

Avion de transport militaire tactique doté d’une allonge stratégique et à la pointe de la technologie, l’A400M, produit par Airbus Defence and Space, est sans équivalent sur le marché mondial. Equipé de quatre turbopropulseurs, il est conçu pour transporter jusqu’à 37 tonnes de matériel et réaliser l’ensemble des missions liées au transport, notamment les liaisons inter et intra-théâtre, les poser d’assaut sur terrains sommaires, l’aérolargage de personnel et de matériel y compris à très grande hauteur, le ravitaillement en vol ou les évacuations sanitaires.

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 08:45
Barkhane : Engagement d’un Atlantique 2 en renfort dans l’opération Vignemale

 

22/12/2015 Sources : Ministère de la Défense

 

À partir de mi-octobre 2015, un avion de patrouille maritime Atlantique 2(ATL2) a renforcé pendant un mois le dispositif Barkhane dans le cadre de l’opération Vignemale. Son action est venue compléter les moyens ISR déployés à Niamey (Niger) et engagés dans le cadre d’une large opération couvrant le Nord de la Bande sahélo-saharienne (BSS).

 

Le détachement aérien de Niamey dispose habituellement de trois drones Reaper, deux drones Harfang et quatre Mirage 2000. Mi-octobre, un ATL2 de la Marine nationale a été déployé dans le cadre de l’opération Vignemale, en vue d’acquérir du renseignement sur les activités des groupes armés terroristes dans la BSS.

 

« La plus-value de l’ATL2, outre le fait de multiplier les missions et donc les informations récoltées, c’est sa capacité multi-capteurs » explique le capitaine de corvette Fabrice, chef du détachement ATL2 au Niger. En effet, l’ATL2 permet de collecter du renseignement avec différents capteurs au profit du Poste de commandement (PC) de l’opération à N’Djaména (Tchad), mais également directement au profit des troupes déployées. Ses capacités de détection 360° sur de grandes distances permettent de couvrir des zones d’action importantes et constituent un véritable atout, particulièrement sur un théâtre aussi vaste que la BSS.

 

La présence d’analystes à bord a permis de diffuser en temps réel vers le PC, le renseignement acquis et l’évaluation de la situation tactique. Autre capacité, le contrôleur aérien avancé embarqué dans l’ATL2 est capable de coordonner les vols de plusieurs avions, et de guider les avions de chasse de Barkhanesur des cibles identifiées ou d’opportunité. Enfin, les hélicoptères engagés dans l’opération ont bénéficié des moyens optroniques de l’ATL2, permettant de désigner des zones de poser.

 

Au total, 140 heures de vol ont été effectuées par cet ATL2 durant l’opération Vignemale.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 500 militaires dont la mission, avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 08:20
Entraînement franco-américain à Orange - photo Armée de l'Air

Entraînement franco-américain à Orange - photo Armée de l'Air

 

22/12/2015 Sources : CFA

 

Dans la semaine du 14 au 18 décembre 2015, les équipages de Mirage 2000C de l’escadron de chasse 2/5 «Île de France» se sont entraînés à des missions de Close Air Support (CAS – appui aérien rapproché) avec l’US Marines Corps.

 

Cet entraînement conjoint a également profité aux Mirage 2000D de la 3e escadre de chasse de Nancy et à des contrôleurs aériens avancés du centre de préparation opérationnelle du combattant de l’armée de l’air (CPOCAA).

 

Les Foward Air Controller (FAC - contrôleurs aériens avancés) américains arment depuis quelques années une force de réaction rapide (U.S. Crisis Response Force) dans le sud de l’Espagne. Désireux d’entretenir leurs compétences et leurs qualifications, ils ont sollicité les chasseurs français basés à Orange pour s’entraîner à des missions air-sol sur le terrain. «C’est une opportunité que nous avons saisie immédiatement, rapporte le commandant G. de l’EC 2/5. Anciens pilotes d’attaque au sol, ils ont une immense expérience dans le domaine, acquise notamment en Afghanistan ou en Irak.»

 

Plusieurs missions de guidages ont eu lieu dans la région d’Orange, de jour comme de nuit pour s’exercer au travail sous jumelles de vision nocturne (JVN). De plus, trois jours étaient consacrés à des missions en patrouilles mixtes (Mixed Fighter Employment) avec les Mirage 2000D de l’escadron 3/3 «Ardennes» de Nancy. Ce format est déjà éprouvé dans l’opération Barkhane depuis juillet 2015, date à laquelle les chasseurs «bleus» ont rejoint les Mirage 2000D au Niger pour assurer des missions air-sol. Enfin, trois commandos spécialisés dans le guidage aérien actuellement en poste au CPOCAA ont également rejoint l’entraînement afin d’entretenir leurs qualifications et de s’aguerrir aux procédures propres à ce domaine de compétence.

 

Cette semaine a constitué un Warm Up de très grande qualité pour les équipages qui seront prochainement déployés en opérations extérieures.

 

Patrouille de Mirage 2000C au décollage - photo Armée de l'Air

Patrouille de Mirage 2000C au décollage - photo Armée de l'Air

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22 décembre 2015 2 22 /12 /décembre /2015 17:55
Et sept Tigre supplémentaires dans l'armée française

L'Aviation légère de l'armée de Terre (ALAT) aura 67 Tigre au standard unique HAD (Appui-Destruction) à l'horizon 2025

 

22/12/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le ministère de la Défense a commandé à Airbus Helicopters sept hélicoptères de combat Tigre supplémentaires conformément à l'actualisation au printemps de la loi de programmation militaire .


C'est un contrat qui va faire du bien à Airbus Helicopters, qui a vécu une année commerciale mitigée dans le domaine militaire. La direction générale de l'armement (DGA) a commandé jeudi 17 décembre, via l'Organisation conjointe de coopération en matière d'armement (OCCAR), sept hélicoptères de combat Tigre dans la version HAD (appui-destruction) supplémentaires au constructeur de Marignane. Cette acquisition permettra de disposer d'un parc de 67 Tigre au lieu de 60 machines, la cible qui était prévue dans la loi de programmation militaire (LPM) initiale. Le ministère de la Défense doit également encore signé une commande de 6 six NH90 supplémentaires.

Cette opération "est conforme aux dispositions de la Loi de programmation militaire 2014-2019 actualisée l'été dernier, a précisé le ministère de la Défense dans un communiqué publié ce mardi. L'objectif est de renforcer la capacité des forces françaises à mener des opérations aéroterrestres, dans la bande sahélo-saharienne notamment".

À ce jour, 55 Tigre ont été livrés à l'armée de Terre, dont 40 en version HAP (appui-protection), dont la plupart seront progressivement transformés dans une version multirôle, le Tigre HAD. Les sept HAD supplémentaires seront livrés en 2017-2018, a expliqué le ministère. Pour atteindre et conserver le format de 67 Tigre au standard unique HAD à l'horizon 2025, et compte tenu de l'attrition constatée et prévisible, la production totale sera de 71 appareils (25 Tigre au standard HAD seront livrés entre 2014 et 2019).

 

Le Tigre engagé sur de nombreux théâtres

Depuis 2008, le Tigre a été engagé sur de nombreux théâtres d'opérations extérieures, avec d'excellents résultats opérationnels. Cet hélicoptère est décliné en une version appui-protection (HAP), équipée de missiles air-air Mistral (quatre unités) d'un canon de 30 mm et de roquettes de 68 mm, et en une version appui-destruction (HAD) qui, en plus de l'équipement du HAP, dispose de missiles de destruction air-sol (Hellfire 2) et d'une motorisation accrue. Les sept appareils commandés sont du type HAD.

Le Tigre est un hélicoptère de combat pouvant assurer la lutte de jour comme de nuit contre des objectifs terrestres (blindés t infrastructures) ou aériens lents (hélicoptères, drones, avions lents). Sa vitesse élevée et sa manœuvrabilité sont optimales pour le vol tactique de jour comme de nuit. Il a un haut niveau de discrétion et de survivabilité.

 

Retrofit des Tigre HAP

Tous les appareils auront été livrés en 2019, le rétrofit HAP-HAD se poursuivant jusqu'à l'horizon 2025. Cette cible prend en compte la réalisation d'hélicoptères en version HAP et HAD puis la transformation progressive en un parc homogène de HAD à l'horizon 2025 (67 Tigre au standard HAD). La cible globale prévue par le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2013 est de 140 hélicoptères de reconnaissance et d'attaque.

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22 décembre 2015 2 22 /12 /décembre /2015 12:55
Les sept hélicoptères Tigre HAD supplémentaires seront livrés en 2017-2018. photo Cosmao

Les sept hélicoptères Tigre HAD supplémentaires seront livrés en 2017-2018. photo Cosmao

 

22/12/2015 par Antony Angrand – Air & Cosmos

 

La Direction générale de l’armement (DGA) a commandé via l’OCCAR (Organisation conjointe de coopération en matière d’armement), le 17 décembre 2015, sept hélicoptères de combat Tigre supplémentaires à Airbus Helicopters. Cette acquisition permettra de disposer d’un parc de 67 Tigre. Elle est conforme aux dispositions de la Loi de programmation militaire 2014-2019 actualisée l’été dernier. L’objectif est de renforcer la capacité des forces françaises à mener des opérations aéroterrestres, dans la bande sahélo-saharienne notamment.

Le programme Tigre est une coopération conduite dans le cadre de l’OCCAR (Organisation conjointe de coopération en matière d’armement) entre la France, l’Allemagne et l’Espagne. L’hélicoptère Tigre est capable d’appuyer les troupes au sol, de détruire des objectifs terrestres (blindés et infrastructures), et d’intercepter des menaces aériennes (avions lents, hélicoptères, drones). Il peut accomplir ses missions, de jour et de nuit, en évoluant en vol tactique entre les obstacles.

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 17:55
La finalisation de l'opération (closing) pourrait être signée fin 2016, début 2017 - photo Marine Nationale

La finalisation de l'opération (closing) pourrait être signée fin 2016, début 2017 - photo Marine Nationale

 

21/12/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le ministère de la Défense voulait à tout prix sécuriser les activités militaires de souveraineté nationale d'Areva TA
 

Pour le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, il fallait sauver le soldat Areva TA. Cette réflexion, qui a démarré il y a deux ans, s'est en fait accélérée ces huit derniers mois avec le démantèlement annoncé en juillet d'Areva. Avant même de penser "nationaliser" cette activité, l'Hôtel de Brienne exigeait déjà une refonte de la gouvernance tout en resserrant ses liens avec Areva TA, une entreprise clé pour la souveraineté française (propulsion nucléaire des sous-marins et du porte-avions Charles-de-Gaulle). Ni plus, ni moins.

 

Une activité de souveraineté nationale

Pourquoi cette volonté de mieux contrôler Areva TA, qui conçoit et assure la maintenance des réacteurs nucléaires de propulsion navale? Parce que, juge-t-on dans l'entourage du ministre, Areva TA était mal pilotée en raison d'une gouvernance trop dispersée du fait d'une multiplicité de comités mis en place par Areva. Surtout, au ministère, on estimait que la difficile diversification d'Areva TA dans les réacteurs de recherche faisait "peser un risque sur une activité de souveraineté". Notamment la dérive financière du programme réacteur Jules Horowitz (RJH), dont la facture pourrait s'élever jusqu'à 1,2 milliard d'euros, voire 1,5 milliard au lieu de 600 millions initialement prévus.

Pour ces deux raisons, "il fallait que la défense reprenne pied" dans Areva TA, assure-t-on dans l'entourage de Jean-Yves Le Drian. Et l'hôtel de Brienne commence à partager cette réflexion avec d'autres ministères en estimant qu'il y a "un sujet". Puis ce dossier important devient au fil de 2015 avec la restructuration d'Areva et de la filière nucléaire un dossier urgent pour la défense.

 

Un groupe de travail interministériel

En mai, un groupe de travail est lancé par Jean-Yves Le Drian pour décider de l'avenir d'Areva TA. Il est présidé par le directeur de cabinet du ministre, Cédric Lewandowski, et comprend des membres de l'Élysée, de Matignon, des ministères de l'Économie et des Finances, de la Défense, de l'APE (Agence des participations de l'État), du Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) ainsi que des groupes concernés (Areva, EDF, DCNS). Enfin, le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) assure quant à lui la coordination du projet dans un cadre interministériel.

Tous les scénarios ont été étudiés par le groupe de travail : Areva TA reste dans la nouvelle Areva, ou rejoint DCNS ou le CEA ou EDF, ou, encore, devient une entité autonome. Au final, le groupe de travail décide en juillet de "nationaliser" Areva TA. L'État, qui veut le contrôle de cette entreprise va acquérir auprès d'Areva 50% plus 1 action ou 51%, selon les dernières hypothèses. DCNS monte quant à lui à 20% (au lieu de 6,7% actuellement) tandis et le CEA prend une participation de 20%. Enfin, EDF reste à 10% ou descend à 9%.

En outre, il est décidé de ne pas découper Areva TA entre les activités de défense (200 millions d'euros de chiffre d'affaires) et de recherche (150 millions d'euros). Sur les 1.500 salariés, environ 500 travaillent aussi bien dans le civil que dans le militaire. Soit une "trop grande imbrication" de ces deux activités pour faire un "détourage" satisfaisant, assure-t-on. Et puis, au ministère, on ne veut pas non plus créer "un arsenal dans la propulsion nucléaire. Notre intuition était que la diversification pouvait amener pour les salariés des parcours de carrière plus intéressants".

"Areva TA sera préservée en tant que telle. Elle ne fait pas partie de la redistribution en cours - je m'y suis opposé. La participation de l'État restera significative, ainsi que celle des autres partenaires concernés, dont le CEA et DCNS. Cela a été arbitré au plus haut niveau de l'État", avait expliqué en septembre à l'Assemblée nationale Jean-Yves Le Drian.

 

Une cession prévue fin 2016

Matignon validera cette décision "consensuelle" en décembre après un travail réalisé entre octobre et début décembre par le SGDSN portant sur la future gouvernance de la société. Areva TA aura douze administrateurs, dont la moitié représentera l'État (6), un tiers les salariés (4) et le reste DCNS et le CEA (un administrateur chacun). Le ministère de la Défense propose de maintenir à sa place l'actuelle PDG, Carolle Foissaud. Enfin, Bercy n'a pas encore terminé le travail de valorisation d'Areva TA, qui dépend des nouvelles pertes de RJH et de la trésorerie que laissera Areva. Bref, Areva TA vaut entre zéro et 500 millions d'euros.

Début janvier, Areva va officiellement lancer un processus d'information et consultation pour les salariés. La cession pourrait intervenir fin 2016 simultanément à l'opération Areva NP avec EDF. De son côté, l'État va travailler sur le modèle économique de la future Areva TA. La finalisation de l'opération (closing) pourrait être signée fin 2016, début 2017.

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 17:45
photo USAF

photo USAF

 

21 December 2015 Ministry of Defence and The Rt Hon Michael Fallon MP

 

Defence Secretary Michael Fallon has announced a major uplift to UK support to the Nigerian armed forces to help combat Boko Haram.

 

The new commitment, announced during a visit to see President Buhari and senior government officials, includes:

  • An intention to more than double the number of British personnel deployed on training tasks in Nigeria in the coming year, with up to 300 expected to provide support during 2016.
  • The deployment of a specialist team to provide assistance in countering improvised explosive devices, as well as medical training and advice;
  • A new RAF training team to improve the knowledge and skills of the Nigerian Air Force in airfield defence and counter insurgency.

Defence Secretary Michael Fallon said:

Boko Haram is a brutal organisation that has murdered and kidnapped innocent civilians. We stand united with Nigeria in its efforts to defeat them.

Stepping up our training efforts will help support the Armed Forces of Nigeria (AFN) for crucial counter-insurgency operations.

During his visit, Mr Fallon discussed Nigeria’s security challenges and the status of the bilateral UK-Nigeria Defence relationship with President Buhari and Defence Minister Dan Ali.

The deployment of the new teams and expanding package of UK assistance builds on the programme of Short Term Training Teams (STTT), many from the 2nd Battalion the Royal Anglian Regiment, providing assist to our Nigerian partners throughout 2015.

Overall, around 130 UK military personnel deployed to Nigeria on a wide range of training tasks in 2015. These have included, training in infantry skills, civil-military affairs, media operations, command and leadership, IED-awareness, and support to Nigerian military training schools and establishments.

Almost one thousand Nigerian military personnel benefited from training to prepare them for counter-insurgency operations in north east Nigeria.

The training uplift announced by Mr Fallon supports work already carried out by the UK’s resident British Military Advisory and Training Team (BMATT). BMATT has also grown in size since the government announced last year that the UK would increase its training and capacity building in Nigeria.

Together with our continued support to a Nigerian intelligence and analysis cell focussed on the north east and based in Abuja, almost 30 UK military personnel are now deployed in Nigeria on an enduring basis in training and advisory roles.

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 17:40
Prolongation des sanctions: l'UE ferait mieux d'oeuvrer à la lutte contre le terrorisme

 

21 décembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Moscou - La Russie a reproché lundi à l'Union européenne de préférer prolonger les sanctions économiques la visant en lien avec la crise ukrainienne plutôt que d'essayer de coopérer pour lutter contre le terrorisme, qualifiant cette décision d'hypocrite et artificielle.

 

Force est de constater qu'au lieu d'établir une coopération pour contrer les défis clés actuels, comme le terrorisme international, Bruxelles préfère continuer le jeu à courte vue des sanctions, a dénoncé le ministère russe des Affaires étrangères.

 

Comme prévu, l'UE a prolongé lundi de six mois ses sanctions économiques contre la Russie, pour son implication présumée dans le conflit dans l'est de l'Ukraine. Elle a justifié cette décision par la non application dans leur intégralité des accords de paix de Minsk, signés par Moscou.

 

Le fait que l'UE lie les sanctions à la résolution du conflit dans le Sud-Est de l'Ukraine est artificiel et infondé, a estimé Moscou. Cette guerre, qui a fait plus de 9.000 morts depuis avril 2014, a été causé non par la Russie mais par les autorités ukrainiennes actuelles, a insisté le ministère.

 

La diplomatie russe a également jugé hypocrite la prolongation des sanctions, estimant que l'UE voulait punir la Russie pour ce qui ne dépend pas d'elle et appelant Bruxelles à peser sur Kiev pour appliquer les accords de Minsk.

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 17:40
Déplacement du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, en Fédération de Russie

 

21/12/2015 Ministère de la Défense

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, se rend en Fédération de Russie, à Moscou, le lundi 21 décembre 2015. Après un hommage rendu au Soldat inconnu dans les jardins Alexandrovski de Moscou, le ministre rencontrera son homologue Sergueï Choïguou.

 

Ce déplacement intervient quelques semaines après la rencontre des présidents François Hollande et Vladimir Poutine et permettra de faire un point sur la situation en Syrie et la lutte contre l’État islamique.

 

La France est engagée en Irak depuis septembre 2014 et en Syrie depuis septembre 2015 dans le cadre de l’opération Chammal, pour laquelle 12 chasseurs français sont présents en permanence dans la région. Depuis le 18 décembre 2015 et l’arrivée du groupe aéronaval dans le Golfe persique, la France voit son dispositif aérien renforcé avec 26 avions de chasse supplémentaires sur la zone.

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 17:35
Afghanistan: 6 soldats de l'Otan tués dans un attentat suicide des talibans

 

21 décembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Kaboul - Six soldats de la mission de l'Otan en Afghanistan ont été tués lundi dans un attentat suicide commis par des rebelles talibans près de Kaboul, selon un nouveau bilan de cette attaque fourni par le QG de l'Alliance atlantique dans le pays.

 

L'attaque, menée par un kamikaze à moto, visait une patrouille conjointe de l'armée afghane et des forces étrangères. Elle s'est produite près de la base de Bagram au nord de Kaboul et a tué 6 soldats étrangers, a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'Otan qui n'a pas précisé leur nationalité.

 

Mohammad Asem, le gouverneur de la province de Parwan, où se trouve Bagram, avait auparavant fait état de trois soldats étrangers tués dans cet attentat survenu en début d'après-midi.

 

Les 13.000 soldats de l'Otan déployés en Afghanistan, qui n'ont plus qu'un rôle de formation et de conseil, sont les cibles de prédilection des talibans depuis la chute de leur régime en 2001 qui a marqué le début de leur insurrection.

 

Les insurgés ont revendiqué l'attaque de lundi et affirmé avoir tué 19 soldats américains. Les talibans ont l'habitude de fortement exagérer les bilans de leurs attaques contre les troupes étrangères et les forces de sécurité afghanes, elles aussi fréquemment visées.

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 17:35
photo MoD Australia

photo MoD Australia

 

Dec 21, 2015 ASDNews Source : MoD Australia

 

A RAAF KC-30A Multi-Role Tanker Transport (MRTT) has returned from the United States following the first round of air-to-air refuelling trials with F-16 multi-role fighters.

From December 3-15, the KC-30A conducted seven flights with F-16s from the United States Air Force (USAF), the refuelling being conducted using the tanker’s 18-metre-long advanced refuelling boom system.

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 15:50
photo UK MoD

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21 déc. 2015 Defence HQ

 

In October 2015, the British Army staged a brigade level exercise as part of a Land Combat Power Visit on Salisbury Plain, Wiltshire.

Many different armoured vehicles and weapons were on display, with different scenarios played out for both defensive and offensive situations in front of an audience of senior defence personnel, civil servants and diplomats.

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