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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 20:50
photo MIL.be

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27.01.2015 par Christophe Wasinski, professeur à l’Université libre de Bruxelles - RTBF.be
 

Le gouvernement belge a exprimé sa volonté de remplacer les chasseurs-bombardiers F-16 acquis à la fin des années 1970, un projet déjà évoqué par le ministre de la Défense Pieter De Crem sous la législature précédente. A cet effet, la Défense nationale a rédigé une demande d'information. Intitulé Preparation Survey, le document a été envoyé à cinq agences nationales chacune responsable de la gestion d'un programme avec, au cœur de ceux-ci, un appareil différent. Bien qu’elles n’aient pas (encore ?) été rendues publiques, la Défense aurait reçu des réponses à ces demandes. Un débat sur le sujet à actuellement lieu en Commission de Défense à la Chambre. Parallèlement, il faut rappeler que, depuis l'automne 2014, six F-16 belges ont été envoyés en Jordanie pour participer à des opérations de bombardement en Irak au sein d'une coalition organisée autour des États-Unis. Dans cette opinion, nous avançons l'hypothèse que ces deux événements font partie d'une seule et même problématique. Il n'est certes pas possible de démontrer que l'engagement belge en Irak a été consciemment décidé pour justifier l'importance du remplacement des F-16. Il est par contre essentiel de comprendre que l'intervention au Moyen-Orient et l’acquisition d'appareils s'intègrent dans un système aux conséquences particulièrement déstabilisatrices. De concert, ils amènent à questionner les orientations belges en matière de sécurité internationale. Explication.

 

L'instabilité actuelle au Proche et Moyen-Orient n'est pas un phénomène nouveau, loin s'en faut.

A moins d'être convaincu par les raisonnements réducteurs ou racistes qui considèrent que les causes sont la " culture arabe " et/ou la religion musulmane, on prendra en considération le contexte historique de cette instabilité[1].

En l’occurrence, on y verra en particulier la conséquence de la mise en place de régimes autoritaires soutenus avec plus ou moins de zèle par les États dits occidentaux depuis que la région est sortie du giron colonial. Plus précisément, ce soutien s'est largement exprimé à travers un système économique reposant sur des échanges d'armements contre pétrole.

Depuis des décennies, les États occidentaux n'ont en effet eu de cesse de vendre des armements aux potentats de ces États. Certains de ceux-ci se sont finalement retrouvés avec des forces armées imposantes sur le papier mais néanmoins peu efficaces sur le terrain.

Effectivement, ces achats ne semblent pas avoir toujours avoir eu pour rôle été d'obtenir le statut d’État le plus puissant dans la région mais plutôt de maintenir en permanence une présence de conseillers et autres techniciens étrangers, sorte de contingents militaires étrangers déguisés.

Pour le dire autrement, l'acquisition de matériel militaire, avec tout ce que cela comporte de potentiellement déstabilisant, a été conçu par certains hommes politiques de la région comme un outil diplomatique dont la finalité était de raffermir le soutien occidental aux régimes en place.

Au cœur de ce système, le pétrole qui permet aux dictatures de la région de financer les armes qui leurs assurent le soutien extérieur.

La mise en place de ce système se sédimente au cours des années 1970[2]. Deux phénomènes principaux l'expliquent. Tout d’abord, la fin des colonies et autres mandats internationaux rend " nécessaire " l'aménagement de nouveaux dispositifs d'exploitation. Ensuite, le fait qu'à cette époque apparaît une nouvelle et couteuse génération d’armes.

Les nouvelles armes viennent remplacer les stocks d’équipements hérités de la Seconde Guerre mondiale, et dont le développement a été justifié par les compétitions militaires contre l'Union soviétique.

Au passage, c'est approximativement aussi à cette époque que l'industrie d'armement française décide de ne plus tant miser sur des ventes à Israël et plus sur celles en direction des pays arabes[3]. Au cœur de ce système, des sociétés d'armement telles que Lockheed, Dassault ou encore la Fabrique Nationale de Liège.

Quelles sont les conséquences de ce système ? Tout d'abord, il permet le maintien de certains régimes autoritaires protégés de l'extérieur. L’Arabie Saoudite soutenue par les États-Unis constitue l'exemple par excellence. Ensuite, il nourrit la course aux armements.

Pour les États pris dans ce système fou qu'ils contribuent à faire fonctionner, il s'agit non seulement d'acquérir les armes les plus performantes mais aussi de les financer. Or le pétrole ne suffit pas toujours.

Dès lors, certains États s'endettent massivement. Ce fut le cas de l'Irak qui chercha en partie à rembourser sa dette en envahissant le Koweït en 1990. Comme on le sait, l’Irak fut ensuite défait par les États-Unis et leurs alliés, massivement équipés d'armes de nouvelles générations officiellement conçues pour lutter contre le Pacte de Varsovie.

Enfin, notons au passage que, souvent, entre autres pour financer cette course aux armements, on ne détruit pas ses vieux équipements. On les revend, contribuant ainsi à la diffusion du système dans des pays moins riches et pas toujours très démocratiques non plus.

Certes, n'accusons pas les fabricants d'armes de tous les maux. Dès lors que les États puissants mettent en compétition les fabricants pour leur fournir des équipements à " bon prix ", éventuellement en demandant d'importantes compensations économiques, comme la Belgique l'a naguère fait avec les F-16, ceux-ci n'ont parfois d'autres choix que de rattraper le manque à gagner en exportant, entre autres en direction du Proche et Moyen-Orient.

Plus encore, les spécialistes de ces questions ont souligné à quels points les fabricants, dans cet environnement très compétitif, sont tentés de recourir à la corruption. On se souviendra par exemple d’un certain scandale Lockheed ou de nombreuses allégations concernant Dassault.

Aujourd'hui, les chasseurs-bombardiers belges qui bombardent l'Irak se retrouvent entre autres déployés du fait de ce système politique et économique construit autour du commerce des armes.

Aujourd'hui aussi, afin de contribuer à la sécurité internationale, le gouvernement belge parle d'acquérir de très coûteux chasseurs-bombardiers de haute technologie. Pour ce faire, la Belgique se dit intéressée par des appareils produits par des sociétés, telles que Dassault ou Lockheed, qui ont été des rouages important de la déstabilisation du Moyen-Orient. Cherchez l'erreur.

 

[1] Anthony Simpson, The Arms Bazaar. From Lebanon to Lockheed, New York, Viking, 1977.

[2] Timothy Mitchell, Carbon Democracy. Le pouvoir politique à l'ère du pétrole, Paris, La Découverte, 2013.

[3] Kenneth R. Timmerman, Death Lobby: How the West Armed Iraq, Londres, Bantham, 1992.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 20:45
UN base in Mali's Gao city hit by deadly clashes

 

27 January 2015 BBC Africa

 

At least two people have been killed after UN forces tried to end a siege of their military base in the northern Malian city of Gao, government and hospital sources said.

 

Protesters attacked to show their opposition to reports of a UN plan to create a buffer zone in the region. Northern Mali has been hit by conflict between government forces, Tuareg separatists and militant Islamists. The UN has a 9,000-strong force in Mali to bolster the weak government. The protesters claimed that a buffer zone in Gao region's Tabankort district would favour Tuareg separatists. The area is presently controlled by pro-government militiamen who have clashed in recent weeks with separatist Tuareg rebels.

 

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 20:40
La Russie a exporté des armes pour 15 mds USD en 2014 (Poutine)

 

MOSCOU, 27 janvier - RIA Novosti

 

La Russie a exporté des armes et matériels de guerre pour plus de 15 milliards de dollars et signé des contrats pour 14 milliards de dollars en 2014, a annoncé mardi à Moscou le président russe Vladimir Poutine.

 

"Le volume total des exportations a dépassé 15 milliards de dollars. Nous avons en outre signé de nouveaux contrats pour près de 14 milliards de dollars", a indiqué M.Poutine lors d'une réunion de la commission pour la coopération militaire et technique avec les pays étrangers.

 

Selon lui, en 2014, plus de 60 pays du monde ont souhaité acheter des produits militaires russes. Les "armes et matériels russes restent parmi les plus demandés au monde", a conclu M.Poutine.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 20:30
photo Caméra de combat des Forces canadiennes, MDN

photo Caméra de combat des Forces canadiennes, MDN

 

25.01.2015 source forces.gc.ca

 

L’opération Impact constitue le soutien des Forces armées canadiennes (FAC) à la Force de stabilisation au Moyen-Orient (FSMO), soit la coalition multinationale contre l’organisation État islamique en Irak et au Levant (ISIL) en République d’Irak.
 

Depuis 15 h (heure normale de l’Est) le 25 janvier 2015, la Force opérationnelle aérienne en Irak a effectué 398 sorties aériennes :

  • Les chasseurs CF188 ont effectué 258 sorties;
  • L’aéronef de ravitaillement CC150T a effectué 68 sorties et a acheminé environ 3 800 000 livres de carburant; et
  • Les aéronefs de patrouille CP140 ont mené 72 missions de reconnaissance.

Le 25 janvier 2015, alors qu’ils participaient à des missions de la coalition à l’appui d’opérations terrestres menées par les forces de sécurité iraquiennes au Nord-Est de Mosul, des CF188 Hornet ont exécuté avec succès une frappe sur une position de combat de l’ISIL à l’aide de munitions à guidage de précision.

Le 24 janvier 2015, alors qu’ils participaient à des missions de la coalition à l’appui d’opérations terrestres menées par les forces de sécurité iraquiennes au Sud-Est de Mosul, des CF188 Hornet ont exécuté avec succès une frappe sur une position de combat de l’ISIL à l’aide de munitions à guidage de précision.

Attaquer les positions de combat et l’équipement militaire de l’ISIL permet de réduire la capacité de combat du groupe armé, de le priver de zones sûres à partir desquelles il peut mener ses opérations et de faciliter les déplacements des forces de sécurité iraquiennes dans la région.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 20:20
photo CST

photo CST

Le nouveau sous-ministre de la Défense nationale, John Jorster, ancien dirigeant du Centre de la sécurité des télécommunications. (CST/45eNord.ca)

 

27 janvier 2015 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Le Premier ministre Stephen Harper a nommé John Foster sous-ministre de la Défense nationale. Cette nomination est effective à compter du 2 février.

 

À titre de chef du Centre de la sécurité des télécommunications, M. Foster s’est retrouvé au cœur d’un cyclone médiatique lorsque l’agence a été accusée d’espionner des voyageurs canadiens en utilisant les systèmes de télécommunication sans fil des aéroports. Il s’est défendu des accusation devant un comité sénatorial, il y a quasiment un an jour pour jour, en disant que le Centre ne récoltait que des métadonnées et ignorait le contenu des messages.

Il sera remplacé à la tête de l’agence par Greta Bossenmaier, l’actuelle sous-ministre déléguée principale du Développement international. Elle est plus connue pour avoir été sous-ministre du Groupe de travail sur l’Afghanistan au Bureau du Conseil privé entre 2009 et 2012.

Le sous-ministre adjoint, responsable des achats de matériels à la Défense nationale, John Turner, a été promu au poste de sous-ministre délégué de la Défense nationale.

Le ministère vit une période de chamboulement depuis la nomination de l’ancien sous-ministre Richard Fadden au poste de conseiller à la sécurité nationale du premier ministre, il y a quelques semaines. Il a dirigé le Service canadien de renseignement de sécurité de 2009 à 2013.

Dans une annonce surprise lundi 5 janvier, Stephen Harper avait précédemment annoncé que Julian Fantino était transféré au poste de ministre associé à la Défense nationale, poste qu’il occupait précédemment, entre mai 2011 et juillet 2012.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 19:55
BPC Sebastopol - photo RP Defense

BPC Sebastopol - photo RP Defense

 

Saint-Nazaire, 27 jan 2015 Marine et Océans (AFP)

 

Le projet de vente des chantiers navals STX de Saint-Nazaire par son actionnaire coréen est "toujours existant", a affirmé mardi le directeur général de STX France, Laurent Castaing.

 

"STX nous a récemment demandé de remettre à jour le dossier de vente (...). Le processus de vente est toujours existant", a expliqué M. Castaing à la presse, à l'issue d'une visite de l'Oasis 3, le plus gros paquebot du monde, actuellement en construction à Saint-Nazaire et dont la livraison est prévue en avril 2016.

 

Aucun repreneur potentiel n'a à ce jour "visité" les chantiers navals, a-t-il précisé.

 

En mai 2014, la Korea Development Bank (KDB), qui possède la majorité du groupe sud-coréen STX, actionnaire principal des chantiers navals de Saint-Nazaire, avait fait réaliser une plaquette pour démarcher les investisseurs, dans le but de céder ses filiales européennes.

 

Les trois chantiers navals finlandais de STX Europe ont été vendus courant 2014, dans le cadre de ce plan de restructuration.

 

STX France est détenu à 66,6% par STX Europe (filiale du sud-coréen STX) et à 33,3% par l'État français, qui dispose d'un droit de veto.

 

Le ministre des Finances Michel Sapin avait déclaré le 12 décembre que l'Italie avait manifesté de "l'intérêt" pour une entrée au capital de la société STX France, mais il n'y a "pas eu de visite d'Italiens" à Saint-Nazaire, a répété M. Castaing.

 

Le nom du constructeur naval italien Fincantieri a plusieurs fois été mentionné dans la presse transalpine, sans confirmation du groupe italien.

 

Si aucun acquéreur ne se présentait pour le rachat de STX France, il y a toujours "une issue possible, celle du statu quo", a souligné Laurent Castaing.

 

STX France, qui a lourdement investi ces dernières années, notamment en se dotant d'un portique géant qui permet de construire des paquebots de la classe "Oasis" mais aussi plusieurs paquebots plus petits en même temps, a un carnet de commandes rempli jusqu'à 2019-2020 et fait travailler actuellement 6.000 personnes, dont 2.400 salariés.

 

Outre deux paquebots de la classe "Oasis" pour l'américain Royal Caribbean (RCCL), le constructeur naval va commencer courant 2015 la construction du premier des deux paquebots de la dernière commande de l'italo-suisse MSC Croisières.

 

Par ailleurs sous-traitants de DCNS pour la réalisation de deux navires de guerre "Mistral", les chantiers sont en train d'achever la construction du second, le Sébastopol, livrable à l'automne 2015. La livraison à la Russie du premier, le Vladivostok, est toujours suspendue en raison de la crise ukrainienne.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 19:35
New Model Of India's 5th Gen AMCA To Be Official Project Soon

 

January 25, 2015 by Livefist


This photograph from January 17, shows Defence Minister Manohar Parrikar scoping out what appears to be a new scale model of India's Advanced Medium Combat Aircraft (AMCA), its fifth generation strike jet concept. Putting aside how this photograph tragically chops off the AMCA's nose, it appears that the design hasn't significantly changed since the concept's last 'outing' two years ago. The four-poster tail and X-15-like low aspect trapezoidal planform appear untouched from the last time anyone got a chance to see the concept design.

 

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 18:30
Did German Companies Aid Syrian Chemical Weapons Program?

Chemical weapons were used in the Syrian civil war in 2013. German companies may have helped build up the country's production facilities. (photo source LdDef)

 

January 23, 2015 By Gunther Latsch, Fidelius Schmid and Klaus Wiegrefe – Spiegel.de

 

Government documents and information from the Assad regime indicate that German companies may have helped Syria produce chemical weapons over the course of decades. So far, the Merkel administration has shown no willingness to investigate.

 

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 18:20
US Navy Secretary announces creation of new task force innovation

 

26 January 2015 naval-technology.com

 

The US Navy Secretary Ray Mabus has announced the creation of a new task force innovation (TFI), which will develop a comprehensive innovation agenda.

 

TFI will consist of subject matter experts from across the department, including special advisers and representatives from the offices of the Assistant Secretaries of the Navy, the Deputy Undersecretary of the Navy (Policy), the General Counsel and the Office of Naval Research.

 

Mabus said: "From non-state actors to rising powers, today's threats to our national security and our interests are not just becoming more numerous, they are also accelerating.

 

"Establishing TFI will help us develop the best ways to improve our systems and ensure that we are also able to embrace our innovative ideas at a pace that keeps us ahead."

 

Specifically, TFI will be responsible for the creation of the US Department of the Navy's innovation vision and the development of short and long-term innovation goals and metrics, as well as oversight of coordination across the department.

 

It will use innovative methods to create and maintain an adaptive workforce and ensure the service is effectively viewing information as an asset.

 

TFI will also ensure emerging operational capabilities have a clear and useful path to the navy fleet.

 

A 60-day period will be used to submit a detailed innovation agenda about the actions required to prepare the navy for future operations.

 

Mabus added: "I am confident that by working together, we will develop creative solutions to the most demanding challenges that lie ahead of us."

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:56
In memoriam


27/01/2015 Armée de l'Air

 

Lundi 26 janvier 2015, un drame d’une rare violence a eu lieu sur la base aérienne d’Albacete en Espagne, sur laquelle se déroulait le stage multinational Tactical Leadership Program (TLP).        

Un avion de combat F-16 grec s’est écrasé sur un des parkings de la base où étaient stationnés des aéronefs et du personnel de nationalités différentes, dont plusieurs Français.
Nous déplorons la mort de neuf aviateurs français. Cinq autres Français sont grièvement blessés.
L’armée de l’air adresse ses plus sincères condoléances aux proches des victimes et exprime sa compassion aux blessés.


Retrouvez ci-dessous les biographies des aviateurs décédés :

 

Capitaine Mathieu Bigand (format pdf, 67 kB).

Capitaine Gildas Tison (format pdf, 67 kB).

Lieutenant Marjorie Kocher (format pdf, 68 kB).

Lieutenant Arnaud Poignant (format pdf, 52 kB).

Adjudant François Combourieu (format pdf, 57 kB).

Adjudant Thierry Galoux (format pdf, 58 kB).

Sergent-chef Gilles Meyer (format pdf, 57 kB).

Sergent Nicolas Dhez (format pdf, 53 kB).

Sergent Régis Lefeuvre (format pdf, 52 kB).

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:55
Se réinsérer par le secourisme

 

27/01/2015 Armée de Terre

 

Le 21 janvier, Terre Fraternité, l’Institut National des Invalides (INI) et l’Ordre de Malte - France (OMF) ont signé une convention-cadre formalisant une action originale au profit des blessés de l’armée de Terre.

 

Cette convention concerne la formation de formateur en secourisme pour des militaires en situation de handicap, du fait d’une blessure physique ou psychique survenue en service.

 

L’OMF s’engage à fournir l’équipe pédagogique ; l’INI met à disposition les locaux d’enseignement et héberge et nourrit les candidats à mobilité réduite et leurs accompagnants. Enfin, Terre Fraternité prend à son compte la rémunération des formateurs, ainsi que tous les frais de déplacement, hébergement et alimentation des stagiaires. La première session à laquelle participeront six militaires sélectionnés sur dossier à partir d’une liste de candidats présentée par la cellule d’aide aux blessés de l’armée de Terre (CABAT), se déroulera du 2 au 10 février. À découvrir bientôt en vidéo !

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:45
Analyse d'échantillons dans un laboratoire mobile. (Archives / Photo Jürgen Braekevelt)

Analyse d'échantillons dans un laboratoire mobile. (Archives / Photo Jürgen Braekevelt)

 

26/01/2015 MIL.be

 

En un mois, le laboratoire belge B-Life a effectué 190 analyses d'échantillons dans la ville guinéenne de N'Zérékoré. Un grand nombre de patients ont pu quitter le centre de traitement du virus Ebola dans de bonnes conditions.

 

Dans leur combat contre le virus Ebola, les infirmiers et médecins prélèvent quotidiennement du sang et des échantillons de salive. Parfois, ils prennent également de l'urine, du lait maternel et de la sueur afin de mieux cerner l'évolution de la maladie.

 

La première équipe a achevé son séjour en Guinée. Une deuxième équipe est sur place depuis le samedi 24 janvier dernier.

 

Composante Médicale

B-FAST

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:45
US negotiating with Spain to have permanent Marine force for Africa

 

26 January 2015 defenceWeb (Reuters)

 

Spain has started negotiating with the United States to increase the number of US troops at an air base in the south of the country and host a permanent US Marine intervention force for Africa.

 

The Spanish government on Friday said it was ready to extend an agreement for troops to be stationed at Moron de la Frontera near Seville.

 

In March 2014, Spain agreed to an increase in U.S. troops to 850 from 500 at Moron to help support coalition operations against Islamist insurgents in north and west Africa. That agreement expires in April this year, Reuters reports.

 

The Spanish government approved negotiations to amend the two countries' 1988 defence accord, Deputy Prime Minister Soraya Saenz de Santamaria said after a cabinet meeting last week, according to Agence France Presse. Negotiations will discuss hosting the deployment indefinitely.

 

U.S. authorities have also used Moron as well as Spain's Rota naval base near Cadiz as part of an operation to combat the current Ebola epidemic in West Africa.

 

Moron Air Base has been used jointly by Spanish and U.S. air forces since 1953. It served as a springboard for U.S.-led coalition forces in the 1991 Gulf War.

 

The US Marine force was first stationed at Moron in April 2013 after a deadly attack on the US consulate in Benghazi, Libya, in 2012. Its temporary status was renewed last year.

 

Its duties in Africa include protecting embassies, rescuing military personnel and evacuating civilians or intervening in conflicts and humanitarian crises. The force is made up of 800 Marines plus air support, including MV-22 Ospreys.

 

Spanish newspaper El Pais reported that the new agreement could increase the strength of the contingent to 3,000 personnel if needed.

 

The force operates under the orders of the US military's Africa command, based in Germany.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:40
Ukrainian Armed Forces to use AN-70 military transport aircraft

The AN-70 is designed for aerial delivery and air transportation of troops and tangible assets, among other missions. Photo Antonov.

 

27 January 2015 army-technology.com

 

The Ukrainian Ministry of Defence (MoD) has signed an order to induct the AN-70 medium military freighter aircraft into service.

 

The decision is reportedly based on results obtained from joint state tests of the AN-70 and allows Antonov to start serial production of the aircraft and develop different modifications.

 

Powered by four Ivchenko Progress D-27 three-shaft propfan engines, the AN-70 is a short take-off and landing aircraft, and can be used for aerial delivery, air transportation of troops and tangible assets, as well as the provision of manoeuvres and troop activity.

 

Ukrainian Armed Forces state scientific test centre test pilot Mr Pakholchenko said: "The AN-70 is easy to be piloted at all difficult flight areas, including short take-off and landing.

 

"Optimal ergonomic decisions, applied in the crew cockpit, allow teaching an average pilot flying rather easy."

 

Antonov president general designer Mr Kiva said the company performed a modernisation of the AN-70 board equipment and power plant, before the final stage of joint state tests.

 

Developed as the AN-70T, AN-70TK and AN-112KC, the aircraft is scheduled to replace the Ukrainian military's obsolete AN-12 military transport aircraft fleet.

 

To date, Ukraine has received two AN-70 prototypes.

 

In addition to the Ukrainian Armed Forces, the aircraft has been ordered by the Russian Air Force. Volga-Dnepr has also signed a memorandum of understanding to purchase up to five commercial-standard AN-70Ts, as reported by Flightglobal.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:35
EA-18G Growler aircraft. (photo US Navy)

EA-18G Growler aircraft. (photo US Navy)

 

26 January 2015 airforce-technology.com

 

DRS Technologies has been awarded a contract to supply joint tactical terminal-receivers (JTT-R) systems to the Australian Defence Force and the US Navy.

 

Under the $12m indefinite-delivery / indefinite-quantity (IDIQ) contract, the Finmeccanica subsidiary will manufacture and supply up to 180 JTT-Rs for installation onboard the Royal Australian Air Force's (RAAF) and the US Navy's EA-18 Growler aircraft.

 

The foreign military sales contract was awarded by the Naval Surface Warfare Center, Crane Division. The agreement combines purchases for the navy and the Australian Government, and covers JTT-R production engineering, test set racks, fixtures, and tooling.

 

DRS Technologies C4ISR business group president Sally Wallace said: "It's critical threat, targeting and mission planning data provides improved communications for delivering a distinct advantage to the US Navy and Australian Growler aviators flying the most advanced naval airborne electronic attack platform in the world."

 

The JTT-R has been developed since 2009. It is an ultra-high-frequency receiver, and is designed to provide near real-time, over the horizon threat data for situational awareness and assessment, as well as threat avoidance, targeting, mission planning and communications.

 

In particular, the receiver presents critical situational awareness information to the user by receiving near real-time threat, survivor and Blue Force Tracking data through integrated broadcast service and common interactive broadcast waveforms over UHF satellite communications links.

 

JTT-R serves as a replacement to the conventional multi-mission advanced tactical terminal (MATT) that is nearing end-of-life with the impending transition to the common interactive broadcast waveform.

 

A derivative of the combat-proven F/A-18F Super Hornet Block II aircraft, the EA-18G Growler is an airborne electronic attack that can disrupt or jam a range of military electronics systems, including radars and communications systems.

 

The aircraft's primary missions are electronic attack and suppression of enemy air defences, particularly at the start and on-going early stages of hostilities.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:30
Electronic Weapons: Prowler Returns To Iraq

 

January 27, 2015:  Strategy Page

 

In 2014 American EA-6B (“Prowler”) electronic warfare aircraft returned to Iraq after a three year absence. The EA-6B were needed to jam the communications of Islamic terrorists (ISIL) who began overrunning Iraq in 2014. These EA-6Bs operate from a land base. EA-6Bs were to be withdrawn from U.S. Navy service in 2015 but the marines are keeping theirs until 2019 and these are now based in Kuwait to help deal with ISIL in Iraq and Syria. The U.S. Marine Corps has long had its own air force that operates mostly from land bases, as well as carriers. Marine aviation always included some EA-6Bs.

 

It was back in 2006 the U.S. Navy and Marines began stationing some of its EA-6B in Iraq, in order to use the extensive jamming and signal monitoring gear on these planes to track enemy activity and help defeat roadside bombs. Depending on how many carriers were in the area there could be up to half dozen EA-6Bs in the air over Iraq at one time. The EA-6B jammers could be used to jam cell phones and other wireless devices, thus their usefulness in neutralizing roadside bombs.

 

 After September 11, 2001 EA-6Bs proved useful for all sorts of electronic warfare against the Islamic terrorists. For example, the aircraft use their USQ-113 communications jammers to take control of terrorist communications. Department of Defense electronics warfare geeks found ways to use the jammer to do all sorts of things with radio, TV and cell phone signals. Working with psychological warfare and intelligence experts, the EA-6Bs have become key players in counter-terror operations. There was also a version of the USQ-113 that can be plugged into communications and sensor networks, making it easier to use the EA-6Bs in support of ground combat. Another useful feature of the ALQ-219 pod allowed the EA-6B to jam a small area (a single building or block). That was useful because sometimes the barrage (wide area) jamming also interfered with friendly communications. Although the EA-6B is being replaced, many of its electronic tools (hardware and software) will continue serving in the new EA-18G and other electronic warfare aircraft.

 

EA-18G Growler photo US Navy

EA-18G Growler photo US Navy

The 27 ton EA-6Bs has long been scheduled to finally retire in 2015 (they entered service in 1971) and have been replaced by the 29 ton EA-18G. The EA-6B carries a crew of four, the highly automated EA-18G will have only two people on board. The marines are not buying the EA-18G but are instead equipping F-35s or UAVs for electronic warfare work.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 17:30
Iran Reinvents Cruise Missiles

 

January 27, 2015: Strategy Page

 

In December 2014 Iran held military exercises in which it claimed it had converted one of its UAVs into a “suicide drone” and successfully tested it. The story behind this story is far more interesting. This suicide drone is actually a cruise missile and is based on what Iran claims is a copy of the American ScanEagle UAV. This is a low-tech, commercially available UAV that contains no classified components. In early 2013 Iran released photos of their new production facility producing copies of ScanEagle. But Iran did not present any of the completed “Yasir” (as they called their version of ScanEagle) UAVs. Iran could have built a ScanEagle clone without copying from one they had obtained (either from a crash or the black market). The ScanEagle assembly line picture could have simply been Photoshopped, a technique Iran has been caught using numerous times. The Iranian version was said to have a range of 200 kilometers max altitude of 2,900 meters and max endurance of eight hours. By replacing the surveillance equipment and much of the fuel with explosives Iran would have a short range (a hundred kilometers or so) cruise missile with over a 10 kg (over 22 pounds) of explosives that could, in theory, hit anything within range. That is if it can get past the air defenses. Most Western air defense systems have been upgraded to detect UAVs and low flying cruise missiles.

 

Actually, defenses against cruise missiles go back over 70 years. Cruise Missiles have been around for that long. The first one appeared during World War II as the German V-1 "Buzz Bomb". The British developed a number of countermeasures. It was the Israelis that began using TV-equipped UAVs in combat during the 1980s. At the same time it was the United States that reinvented the buzz bomb as the modern cruise missile in the 1980s. A decade later the Americans borrowed from the Israelis to create their own UAVs for surveillance.

 

Yasir first appeared in December 2012 when Iran insisted it had captured a U.S. Navy ScanEagle UAV and copied it. The U.S. said none of its ScanEagles were missing. Iran then released a photo of the captured ScanEagle. But the photo showed a ScanEagle without military markings that appeared to have been reassembled after a crash. The U.S. did reveal that several ScanEagles had been lost over the last few years (due to communications or mechanical failures) in Afghanistan and the Persian Gulf and the wreckage was not recovered. This is where Iran might have obtained their ScanEagle (perhaps via fishermen who haulded it in and took it to the black market). In any event, stunts like this are mainly for raising morale among Iranian civilians depressed over economic problems. It doesn’t really matter what the U.S. says or does.

 

A ScanEagle weighs 19 kg (40 pounds), has a 3.2 meter (ten foot) wingspan, and uses day and night video cameras. This makes it easier for the UAV, flying over land or water, to spot small speed boats or individual vehicles. The commercial version of ScanEagle has been in service since the 1990s to help high seas fishing ships find schools of fish to go after. Cruising speed is 110 kilometers an hour. The ScanEagle can stay in the air for up to 15 hours per flight and fly as high as 5 kilometers (16,000 feet). The aircraft carries an optical system that is stabilized to keep the cameras focused on an object while the UAV moves. The UAV can operate at least a hundred kilometers from the ground controller. The ScanEagle is launched from a catapult and landed via a wing hook that catches a rope hanging from a 16 meter (fifty foot) pole. This makes it possible to operate the UAV from the helicopter pad on the stern (rear) of a warship or any open space on a seagoing fishing ship. Each ScanEagle costs about $100,000 and is still widely used by commercial fishing, ocean survey, and research ships, as well as military organizations in several countries. ScanEagle has been in military service since 2005.

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 13:45
L’Afrique engage une guerre contre Boko Haram

 

26/01/2015 Par Igor Yazon, La Voix de la Russie-RIA Novosti


 

La décision de la Commission du bassin du lac Tchad regroupant le Nigeria, le Niger, le Cameroun et le Tchad de former les forces collectives pour lutter contre le groupe Boko Haram a été adoptée fin 2014.

 

Malheureusement, aucun des quatre pays ne se hâtait de tenir la promesse de réserver à ces fins ses 700 soldats. Les commandos du groupe en ont profité ayant engagé l’offensive contre le territoire appartenant au Cameroun long de cent et large de 60 kilomètres entre le Nigeria, la rivière Shari, frontière naturelle du Tchad, et le littoral Sud du lac. Les commandos de Boko Haram ont pris d’assaut début janvier la ville stratégique de Baga dans le Nord-Est du Nigeria à 200 kilomètres de N’Djamena, capitale du Tchad. Leur succès a poussé enfin les pays voisins de la région à entreprendre les démarches décisives. Le sommet de 13 pays africains et non africains avec la participation des délégués de l’UA et de plusieurs organisations régionales s’est réuni le 20 janvier à Niamey, capitale du Niger. Le chef de la diplomatie tchadienne a dit en ouvrant la réunion :

" La situation sécuritaire au Nigeria et dans le bassin du lac Tchad s'est considérablement dégradée. La montée en puissance de Boko Haram traduit notre lenteur et notre incapacité à lui opposer une réponse robuste. Nous assistons, comme ce fut le cas au Mali, à la perte de souveraineté du Nigeria sur des pans entiers de son territoire et à l'exportation de la violence aux pays voisins ".

 

A la fin du sommet ses participants ont pris notamment la décision d’accélérer la mise en oeuvre de la force régionale, à laquelle participent le Cameroun, le Niger, le Nigeria et le Tchad. Le Tchad a réagi le premier ayant envoyé au Cameroun une colonne de 400 blindés avec des soldats. Ainsi, une guerre réelle contre Boko Haram a commencé dans la région du lac Tchad. " Comment appréciez-vous la réunion à Niamey et la guerre contre les djihadistes nigérians ? " L’interlocuteur permanent de notre observateur Igor Yazon le géopoliticien belge Luс Michel, directeur général de l’ONG " Observation eurasienne pour la démocratie et les élections " (OEDE), animateur d’EODE-TV & AFRIQUE MEDIA, répond à da question dans une interview accordée par téléphone de Bruxelles.

" Le sommet à Niamey avait pour but d’approuver officiellement le recrutement des forces régionales pour prêter concours au Cameroun, principale cible de l’offensive de Boko Haram. La réunion a été ouverte. Les pays occidentaux, l’UE et l’Africom – Commandement militaire américain pour l’Afrique y ont pris part. Ces derniers entendaient conserver leur influence sur cette région africaine.

Qu’est-ce qui se produit dans ces pays ? Boko Haram très bien armé a dirigé ses détachements contre le Cameroun. Le Cameroun est aujourd’hui la cible de trois offensives : de la part des djihadistes, de la pression de certains groupes internationaux subordonnés à George Soros et enfin de l’offensive diplomatique. Le président Obama insiste sur les présidentielles et la démission de l’actuel leader Paul Biya en 2015. Il n’y aura pas cette année de présidentielles au Cameroun.

En ce qui concerne le Tchad, ce pays a la meilleure armée dans la région. Le pays est en guerre depuis plus de trente ans et le président Déby a créé une armée très forte. L’armée tchadienne était il y a deux ans l’alliée des Français dans leur guerre contre les djihadistes dans le Nord du Mali. Le Cameroun a lui aussi une bonne armée mais elle n’a pas d’expérience de lutte contre les méthodes de la guérilla employées par les djihadistes de Boko Haram.

Deux versions de recrutement des forces de réaction rapide sont envisagées en Afrique. Ainsi, la Guinée équatoriale a envisagé d’abord les forces régionales qui seraient ensuite transformées en forces continentales de réaction rapide. La Guinée équatoriale avait déjà proposé au Nigeria d’envoyer de telles forces mais Abuja a décliné son initiative, comme on prétend, sous la pression de Washington. Celui-ci impose à l’Afrique sa variante : la présence totale de l’Africom sur le continent.

Les alliés principaux des Etats-Unis : Kenya, Ouganda et Rwanda se prononcent pour ce scénario. Cependant, les Etats-Unis n’y avaient dans le passé récent qu’une base militaire : à Djibouti. Actuellement les Etats-Unis ont plus de trente bases et ont annoncé, selon l’ambassade américaine à Abuja, l’aménagement d’encore une base : la plus grande au Nigeria avec emploi de drones et de satellites dans l’ensemble de l’espace aérien du continent.

Bref, la lutte contre Boko Haram sera une entreprise très compliquée et prolongée ne fut-ce que pour cette raison que l’armée nigériane, l’armée du pays, le plus riche en Afrique, évite parfois les affrontements avec Boko Haram pour des motifs politiques en prévision des présidentielles qui auront lieu cette année au Nigeria. L’Europe pourrait sans doute aider l’Afrique dans la guerre contre les djihadistes.

Il convient d’évoquer la réaction bruyante des Français à l’attentat contre Charlie Hebdo. Ceux qui l’ont inspiré ont été identifiés en un jour. Un satellite suffirait pour détecter les déplacements ou les camps des djihadistes dans n’importe quel endroit du continent africain. Or, l’Occident n’y est pas intéressé : le regain d’activité des djihadistes lui permet de conserver sa présence sur le continent et d’influer sur les processus politiques et les autorités par crainte, en particulier, de concurrence de la part de la Chine ou même de la Russie qui reprend graduellement ses activités sur le continent. C’est pour ça qu’en rejoignant la guerre contre les djihadistes en Afrique, l’Occident les soutient volontairement ou involontairement en se réservant par là même l’Afrique avec ses richesses naturelles. "

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 13:20
Pneumatic Actuated Single Carriage (lightweight) - photo Exelis

Pneumatic Actuated Single Carriage (lightweight) - photo Exelis

 

AMITYVILLE, N.Y., Jan. 21, 2015 Exelis

 

Exelis (NYSE: XLS) recently received a follow-on contract valued at more than $27 million from General Atomics Aeronautical Systems, Inc. to continue producing and supplying the BRU-71/A ejector rack for the Predator® B/MQ-9 Reaper® Remotely Piloted Aircraft (RPA) system.

Under the contract, Exelis will produce 619 BRU-71/A units for U.S. Government MQ-9s. The BRU-71/A is a pneumatic carriage and release system that uses compressed air rather than pyrotechnic cartridges to deploy payloads. The use of pneumatic technology reduces wear-and-tear and overall system maintenance and life-cycle costs.

“Unmanned and remotely piloted platforms are important to an increasingly wide range of missions,” said Pete Martin, vice president and general manager of the Exelis electronic attack and release systems business. “It is essential that the technologies they rely on, like our carriage and release systems, are designed to enhance their performance and endurance to support mission success into the future.”

Adaptable to a number of aircraft, the BRU-71/A delivers significant advanced benefits compared with previous-generation ejector racks. It is one-third the weight of existing racks in its class and offers ease of loading via independent, self-latching hooks. Additionally, it eliminates the use of pyrotechnic impulse cartridges and the resultant cleaning and maintenance actions and provides a high-reliability pneumatic in-flight lock.

This award is the third BRU-71/A follow-on production contract for Exelis. The first, for 208 units, was received in February 2011 and the second, for 520 units, was received in 2013. Deliveries of the latest batch will begin in October 2015 and will be completed in August 2016. Contract work is performed at the Exelis facility in Amityville, New York.

About Exelis
Exelis is a diversified, top-tier global aerospace, defense and information solutions company that leverages a 50-year legacy of deep customer knowledge and technical expertise to deliver affordable, mission-critical solutions for global customers. We are a leader in positioning and navigation, sensors, air traffic management solutions, image processing and distribution, communications and information systems, and focused on strategic growth in the areas of critical networks, ISR and analytics, electronic warfare and composite aerostructures. Headquartered in McLean, Va., Exelis employs approximately 10,000 people and generated 2013 sales of $4.8 billion. For more information, visit our website at www.exelisinc.com or connect with us on Facebook, Twitter, LinkedIn and YouTube.

Predator and Reaper are registered trademarks of General Atomics Aeronautical Systems, Inc.

 

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 12:50
NATO Tactical Leadership Programme (TLP)

 

 By Piet Luijken - Scramble.nl

 

When the Tactical Leadership Programme (TLP) started multi-national flying operations in 1979 at Jever in Germany, no one could have imagined how military aviation in Central Europe would change over the next decades. The TLP always reflected the political and military changes from scenarios of the "Cold War" to "hot" conflicts within a globalised world. While at the beginning the TLP mainly consisted of aircrew drawn from the former Second and Fourth Allied Tactical Air Forces in Central and Western Europe, the withdrawal of Canadian Forces from Germany by 1993 slowly lead to a growing participation of South European NATO Air Forces.

 

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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 12:30
Le général de Villiers avec le détachement Chammal en Jordanie

 

26/01/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 26 janvier 2015, le général de Villiers était en Jordanie dans le cadre d’une inspection de théâtre (ITH). Il s’est rendu auprès des équipages, mécaniciens et commandos de l’air déployés en Jordanie dans le cadre de l’opération Chammal.  Il a pu s’entretenir avec chacun d’entre eux et les féliciter pour le travail accompli  jour et nuit depuis le début de leur engagement opérationnel.

 

En deux mois, les équipages de Mirage 2000D ont effectué plus de 600 heures de vol dans des missions de reconnaissance armée. Complétant l’action des avions Rafale déployés dans le golfe arabo-persique, ils réalisent plusieurs missions visant à appuyer les FSI en réduisant le potentiel humain et matériel de Daech (destruction de pièces d’artillerie lourde, de mortiers, de mitrailleuses, de véhicules de type pick-up, de positions de combat, de dépôts de munitions, de réserves de carburant…).

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif est structuré autour de neuf avions Rafale, six avions Mirage 2000D, un ravitailleur C-135 FR, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 et la frégate anti-aérienne Jean Bart, intégrée dans le groupe aéronaval américain constitué autour du porte-avions USS Carl Vinson.

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26 janvier 2015 1 26 /01 /janvier /2015 19:55
photos Marine Nationale

photos Marine Nationale

 

26/01/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 26 janvier 2015, le groupe aéronaval Arromanches,articulé autour du porte-avions Charles de Gaulle, a franchi le canal de Suez et rejoint la zone maritime « océan Indien ».

 

Cette étape a été précédée d’une période d’une dizaine de jours en Méditerranée au cours de laquelle le groupe a effectué des opérations ainsi que des exercices avec les forces alliées présentes sur le théâtre. 

 

Après avoir accueilli le président de la République pour la cérémonie des vœux aux Armées, le groupe aéronaval, constitué en Task Force 473 (TF), a réalisé une courte période d’entraînement au sud de Toulon avant de mettre le cap à l’Est.

 

Rapidement rejointe par la deuxième force permanente maritime de l’OTAN, la SNMG2 [i], puis par le croiseur américain USS Cole, appuyée par des avions de patrouille maritime français et américain, la TF 473 a coordonné durant plusieurs jours l’action d’une force aéronavale imposante, rarement observée à une telle échelle ces dernières années sur le théâtre méditerranéen. Outre la sûreté du porte-avions Charles de Gaulle lors de son transit vers Suez, ce dispositif a contribué à la surveillance et à la sécurisation des espaces maritimes traversés et au renforcement de la connaissance du théâtre par le biais de missions de renseignement. Il témoigne de la vitalité du lien qui unit la marine nationale aux forces maritimes de l’Alliance ainsi que de la détermination de celle-ci à garantir la sécurité en Méditerranée face aux nombreux menaces et trafics qui la traversent.

 

Parallèlement à cette mission opérationnelle, le groupe aéronaval a poursuivi sa montée en puissance au cours de plusieurs exercices complexes (raid à longue distance du groupe aérien embarqué, protection du Charles de Gaulle contre la menace sous-marine, tactiques de combat naval de haute intensité, lutte contre la menace asymétrique) réalisés au sein de la force et en coopération avec les forces armées des pays européens du pourtour méditerranéen, notamment la marine italienne et les armées de l’air italienne et grecque. Lors de sa rencontre avec l’amiral commandant la Task Force 473, le contre-amiral Williamson, commandant américain de la SNMG2, a souligné l’importance d’exploiter ces opportunités d’échanges entre marines alliées : « Nous participons régulièrement à des exercices multinationaux en suivant des scénarios de temps de crise afin d’améliorer notre interopérabilité et nos tactiques et d’être prêts à agir tous ensemble si cela était nécessaire. »

 

Désormais en mer rouge, le groupe aéronaval comprend désormais le porte-avions Charles de Gaulle, son groupe aérien embarqué, la frégate de défense aérienne Chevalier Paul, la frégate anti-sous-marine britannique HMS Kent, le pétrolier ravitailleur Meuse et un sous-marin nucléaire d’attaque, déployé en précurseur. La TF 473, sous les ordres du contre-amiral Chaperon, prépare un exercice bilatéral avec l’Arabie Saoudite en poursuivant sa progression vers l’océan Indien.

 

[i] Force navale de l’OTAN, la SNMG2 était composée à l’occasion du croiseur américain USS Vicksburg, des frégates turque Turgutreis et canadienne HMCS Fredericton et du ravitailleur allemand Spessart. La mission de cette force est d’assurer une permanence en Méditerranée afin de surveiller les navires impliqués dans des trafics liés au terrorisme international

Arromanches : le groupe aéronaval a rejoint la zone maritime « océan Indien »
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26 janvier 2015 1 26 /01 /janvier /2015 17:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

26 janvier 2015. Source : Marine Nationale (CECMED)

 

Le patrouilleur hauturier L’Adroit a appareillé de la base navale de Toulon le mercredi 7 janvier 2015 pour près de 3 semaines de posture permanente de sauvegarde maritime (PPSM).

 

Il participe ainsi au volet maritime de Vigipirate, par la surveillance du trafic commercial en haute mer - en complément des moyens aériens de la Marine et des douanes - et par la surveillance des approches portuaires et côtières - en compléments de la chaîne sémaphorique et des moyens des administrations opérant en mer (gendarmerie maritime, douanes et affaires maritimes). Il est le moyen d’action hauturier capable d’intervenir sous faible préavis, aux ordres du Préfet maritime de la Méditerranée.

 

Au cours de sa patrouille, il exerce aussi les prérogatives de contrôle de l’Etat en mer dans les domaines de la surveillance de l’immigration, de la lutte anti-pollution, de la lutte contre les trafics illicites et de la police des pêches.

 

L’équipe de visite de l’Adroit

L’équipe de visite de l’Adroit

 

En lien avec le centre national de surveillance des pêches (CNSP) d’Etel, L’Adroit a contrôlé plusieurs navires et dérouté sur Port de Bouc un palangrier espagnol pêchant en haute mer, dans la « box CGPM » de la zone économique exclusive (ZEE) française, sans respecter les règlements européens sur la pêche.

 

 

Appontage d’un Super-Puma sur l’Adroit

Appontage d’un Super-Puma sur l’Adroit

 

Pendant sa mission, l’équipage s’entraîne dès que la situation opérationnelle le permet (tirs, entraînement de l’équipe de visite, lutte incendie et voie d’eau …). L’Adroit a notamment participé à l’entraînement à l’appontage d’un Super Puma de la base corse de Solenzara. Cet exercice réalisé avec l’armée de l’air a permis de renouveler la qualification des pilotes aux vues de leurs missions de sauvetage au large de la Corse.

 

Après dix jours de mer, l’équipage a fait relâche à Barcelone le vendredi 16 janvier. Première escale à l’étranger du bâtiment depuis 2013, ce séjour a été l’occasion pour le CF Regnier, commandant de L’Adroit, d’échanger avec le CV Fontanal Perez de Villamil, commandant de la base navale de Barcelone. Reparti le lundi 19 janvier de son escale espagnole, L’Adroit va sillonner le golfe du Lion encore une semaine avant de rentrer à Toulon.

 

L’Adroit, patrouilleur hauturier innovant, propriété de DCNS et mis à disposition de la Marine nationale depuis le 21 octobre 2011, a retrouvé en décembre 2014 sa qualification opérationnelle après plusieurs semaines d’entraînement. Il se prépare dorénavant à partir en opération Atalanta (mission européenne de lutte contre la piraterie en océan Indien) au printemps prochain.

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26 janvier 2015 1 26 /01 /janvier /2015 17:50
NATO Strategic Communications - SEDE

 

26-01-2015 SEDE

 

The Subcommittee will exchange views with Ambassador Jānis Kārkliņš, Director of the NATO Strategic Communications Centre of Excellence in Riga.

 

 

When: 29 January 2015

 

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26 janvier 2015 1 26 /01 /janvier /2015 17:50
Priorité d'Airbus Helicopters en 2015 : au moins deux gros contrats militaires à l'export

Airbus Helicopters est actuellement engagé dans quatre campagnes majeures en Pologne, au Qatar, au Koweït et enfin en Corée du Sud (Crédits : NHI)

 

26/01/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Airbus Helicopters vise la signature d'au moins deux gros contrats militaires à l'export. Deux contrats qui permettraient de regonfler le carnet de commandes.

 

Pour Airbus Helicopters et son PDG, Guillaume Faury, qui va présenter son bilan 2014 mardi, la priorité des priorités en 2015 sera d'obtenir la signature de deux gros contrats militaires à l'export. Deux contrats qui permettraient de regonfler le carnet de commandes dans le domaine militaire en mal de très gros contrats ces dernières années. "Sinon nous allons consommer notre carnet et situation sera difficile, très difficile", explique-t-on à La Tribune. Logique avec des livraisons de 50 NH90 par an en moyenne.

"Il nous faut impérativement une très grosse affaire militaire ou deux grosses", assure-t-on. Bref, il y a urgence car le dernier gros contrat signé par Airbus Helicopters a été celui avec la France en 2013 (34 NH90). D'autant que la France et l'Allemagne ont réduit leur commande de Tigre (de 80 à 70 pour Berlin et de 80 à 60, dont 21 HAD neufs et 39 retrofités pour Paris) et de NH90 (122 à 80 pour Berlin). En 2014, Airbus Helicopters a réalisé une bonne année au niveau commercial dans un contexte compliqué pour tous les constructeurs. Le constructeur aurait engrangé environ 400 commandes l'an dernier.

En outre, Airbus Helicopters a livré fin 2014 les premiers exemplaires de son programme EC175 (entre 13 et 17 millions d'euros l'unités), le premier hélicoptère développé depuis le NH90. Plus de 60 EC175 sont en commande (64 au 11 décembre).

 

Deux campagnes au Moyen-Orient : Qatar et Koweït

Airbus Helicopters est actuellement engagé dans quatre campagnes majeures en Pologne, au Qatar, au Koweït et enfin en Corée du Sud. Sur les trois premières, Airbus Helicopters en vise deux sur trois. "On fera un bilan mi-2015", fait-on observer. L'une - Qatar - semble acquise puisque Doha a signé en mars 2014 une lettre d'intention en vue d'acheter 22 hélicoptères de transport militaire NH90 pour près de deux milliards d'euros. Dans le détail, il s'agit de 16 NH90 pour le transport tactique et de six exemplaires de la version de lutte anti-sous-marine ainsi que des heures d'entrainement  et des pièces de rechange. "On fait du sur-mesure avec le Qatar", précise-t-on. Airbus Helicopters vise désormais la signature d'un contrat début 2015.

Airbus Helicopters piste également un autre très grand contrat au Moyen-Orient : le Koweït, qui souhaite acquérir 24 hélicoptères de transport militaire (plus support, formation et entrainement) pour un montant estimé entre 800 millions et 1 milliard d'euros. Moins médiatisé et moins important que celui en Pologne, cette campagne revêt toutefois une importance pour le constructeur de Marignane dans le contexte actuel ainsi que pour la France, pour qui le Koweït avait été un grand partenaire dans les années 80 dans le domaine de la défense. Airbus Helicopters, qui propose le Caracal face au Black Hawk américain de Sikorsky, a reçu l'an dernier à, l'automne l'appel d'offre.

 

Une campagne majeure en Pologne

En Pologne, fin décembre, Airbus Helicopters, qui concourt avec le Caracal, a rendu son offre pour un contrat de livraison de 70 hélicoptères de transport évalué entre 2,5 milliards et 3 milliards d'euros. Tout comme ses deux rivaux, l'italo-britannique AgustaWestland avec le AW149, et l'américain Sikorsky (S-70), qui a longtemps joué un drôle de jeu en Pologne. Le ministère de la Défense polonais prévoit de signer un contrat définitif au second semestre 2015. Le constructeur européen, en partenariat avec le motoriste Turbomeca (groupe Safran), arrive avec un vrai projet industriel. En outre, le groupe Airbus ouvrira en février un centre de recherche et de développement en Pologne, a indiqué le PDG du groupe Tom Enders.

En outre, Airbus Helicopters, qui a signé en 2014 deux belles commandes en Indonésie (11 hélicoptères AS565 MBe Panther) et au Mexique (10 Panther navals pour 200 millions d'euros environ), attend en 2015 la commande d'une deuxième tranche de EC725. Le constructeur pourrait également obtenir en Malaisie une deuxième tranche de EC725 (entre 6 et 12), dont 7 à 8 exemplaires ont dû être livrés en 2014. Pour l'hélicoptère d'attaque Tigre, trois prospects sont encore possibles mais restent encore très hypothétiques à ce stade : Malaisie, Brésil et Mexique.

 

Un nouveau coup de maître en Corée du Sud?

C'est peut-être de Corée du Sud qu'Airbus Helicopters aura prochainement une très bonne nouvelle. Les Coréens préparent une nouvelle génération d'hélicoptère LCH/LAH pour répondre à ses besoins civils et militaires. Airbus Helicopters fonde de gros espoirs sur ce  programme qui passe par une coopération avec KAI, sélectionné par le ministère de l'industrie et de l'énergie et l'administration de l'acquisition des programmes de défense (DAPA) pour le développement du projet Light Civil Helicopter (LCH), un hélicoptère léger civil (15 millions de dollars par appareil), et Light Armed Helicopter (LAH), un hélicoptère de combat léger (20 millions de dollars). Le LCH /LAH seront issus d'une seule et même cellule de base. Ils remplaceront dans l'armée les MD500 et autres AH-1 Cobra encore en service. Les Coréens prévoient 1.000 unités de production pour le LCH et LAH, dont 600 unités pour l'export. Soit un programme évalué à 10 milliards de dollars.

Le constructeur de Marignane propose également un dérivé de l'hélicoptère Surion, fabriqué en coopération avec KAI (Korea Aerospace Industries), premier constructeur aéronautique coréen, pour le programme KMOH, la version navale du Surion (60 millions de dollars à l'unité). Séoul prévoit l'achat d'une première tranche de 12 appareils pour une cible estimée entre 40 et 60 hélicoptères.

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