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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 16:50
Loi antiterroriste : comment les autres pays européens renforcent leur arsenal

 

17/09/2014 Par Anne-Laure Frémont – LeFigaro.fr

 

Comme la France, les autres pays concernés par la radicalisation de certains de leurs citoyens mettent en place ou débattent en ce moment de lois visant à endiguer la vague de départs vers la Syrie ou l'Irak.

 

La France fourbit ses armes législatives anti-djihad... Et elle n'est pas la seule en Europe. Les députés français ont entamé lundi l'examen d'un projet de loi renforçant l'arsenal antiterroriste afin d'empêcher les départs de combattants en Syrie ou en Irak. Ce texte, qui prévoit notamment de confisquer temporairement - sur ordre du ministre de l'Intérieur - le passeport d'une personne projetant «des déplacements à l'étranger ayant pour objet la participation à des activités terroristes», pourrait être voté mercredi. La France - dont environ 930 citoyens sont impliqués dans des filières djihadistes - n'est toutefois ni la seule concernée, ni la seule à vouloir juguler l'hémorragie. Sur la douzaine de milliers d'étrangers qui auraient rejoint les rangs de l'Etat Islamique (EI) ou d'Al-Nosra figureraient aussi plus de 400 Britanniques*, 270 Allemands*, 250 Belges* et 130 Néerlandais (selon l'AFP). Dans ces pays aussi, la riposte législative est engagée, à l'heure où les États-Unis espèrent, lors d'une réunion au Conseil de sécurité de l'ONU le 24 septembre prochain, faire adopter une résolution contraignant les Etats à prendre des mesures pour empêcher leurs citoyens de gonfler les rangs des groupes extrémistes.

 

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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 16:50
Counter-IED experts complete “European Guardian” exercise in Vienna
 
 

A two-week European exercise focused on manual neutralisation of improvised explosive devices (IEDs) has finished in Vienna.

 

From 1 to 12 September 2014, fourteen Counter-IED experts from Austria, Germany, Italy, Ireland, and Sweden took part in an intensive Manual Neutralisation Exercise at the Austrian Army’s Logistics School in Vienna. The exercise was organised by Austria as lead nation in close cooperation with the European Defence Agency (EDA).

Manual neutralisation refers to situations where a trained operator has to manually defuse an improvised explosive device. This occurs when it is not possible to tackle the device remotely, for example when the device is attached to a hostage or with chemical or even radiological material. It is one of the most mentally and technically challenging jobs performed by anyone in the armed forces, requiring high-level skills and training.

The aim of the exercise was to give participants the chance to use and develop  these skills in a highly demanding, multinational environment. Over the two-week period, they were given a series of different and increasingly complex scenarios and devices to deal with. One operator from Ireland, who participated in the exercise, commented, “for most of us, this is only one element of our jobs, thankfully we do not encounter devices like this every day. Training like this is vital, to ensure that we are as sharp and up-to-date as possible when we do encounter a complex device or hostage situation.”

The Austrian officer in charge, explained the advantages of running the course at a European level, “obviously one important element is cost. By pooling demand from different countries with similar needs, we can afford to do more than we would be able to do individually. However, another important part is bringing together operatives from across Europe, learning from each other, and developing a European network of manual neutralisation experts”, he said.

 

Manual Neutralisation Techniques Courses and Exercises

The course is part of the EDA’s Manual Neutralisation Techniques Courses and Exercises programme. It is the second event to be held under the programme in Austria this year, after the completion of the first European Manual Neutralisation Training Course in May. Both the course and exercise made use of specially designed manual neutralisation kits for defusing improvised explosive devices. These kits were purchased by EDA and given to the Austrian Armed Forces to be stored at the logistics school, however they are available on request for operational use by all participating EDA Member States.

 

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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 16:50
Symposium on Medical Support to CSDP operations to be held next month in Brussels
 
Brussels - 10 September, 2014 European Defence Agency

 

Organised by the European Defence Agency and the EU Military Staff, the event will gather representatives from capability and planning units and subject-matter experts to promote future developments in this domain.

 

Being able to provide medical support to EU personnel deployed around the world as part of Common Security and Defence Policy (CSDP) missions is critical to the success of those operations. But the challenges are plentiful: how to finance this medical support?  How to implement it in a EU framework? What are the best ways to provide emergency response in a difficult environment? Which emerging diseases need to be watched and what should be done to efficiently tackle them in the field?  How to implement a static organism at EU level to deal with the capability development for medical support?

Those issues and many others will be addressed over the course of a two-day symposium organised jointly by the European Defence Agency and the EU Military Staff (EUMS), to be held at the Belgian Royal Military Academy in Brussels on 15-16 October 2014. It will be attended by subject-matter experts from EDA, EUMS as well as many other key actors of CSDP medical support, and it is open to all professionals and industry representatives working on the topic.  

 

EDA’s involvement

The European Defence Agency is already active in the medical support field, mainly through an ongoing initiative that has been joined by 16 Member States so far. Initiated in 2011 and led by Italy, the Multinational Modular Medical Units project aims to develop a state-of-the-art deployable field hospital that should become available to CSDP operations. It is designed to be used in a wide a range of missions, from peacekeeping to humanitarian relief and coercive operations. 

The detailed programme of the Symposium is available here. People interested in attending the event are invited to contact EDA via email at cat@eda.europa.eu before 8 October 2014.

 

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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 16:45
Barkhane : Focus sur l’emprise de N’Djamena

 

17/09/2014 Sources : EMA

 

Le poste de commandement interarmées de théâtre (PCIAT) de la force Barkhane et plusieurs de ses détachements sont établis au Tchad depuis le 1er août 2014.

 

Le PC de la force Barkhane est situé dans l’enceinte du camp Kosseï, à proximité de l’aéroport de N’Djamena, la capitale du Tchad. Cette emprise accueillait jusqu’ici et depuis 1986, le PC de la force Epervier ainsi que les multiples détachements français qui se sont succédé dans le cadre de cette opération.

 

L’opération Epervier avait pour mission de garantir la protection des intérêts français et, tout particulièrement, la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad. Conformément à un accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad, Epervier apportait également un soutien logistique aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes.

 

Aujourd’hui l’emprise de Kosseï constitue le point d’appui d’une partie des composantes terrestres et aériennes de la force Barkhane stationnées dans le fuseau Est.

 

Le dispositif stationné à N’Djamena se compose :

    du poste de commandement interarmées de théâtre (PCIAT) de Barkhane ;

    d’un groupement tactique inter-armes formant le GTD Est ;

    d’un groupement tactique Air ;

    de plusieurs groupements de soutien spécialisés : soutien logistique, transmission, soutien santé, renseignement,…

 

Différents véhicules tactiques propres à chacun des groupements sont basés à N’Djamena : VAB, GBC, VLRA, MPG, VBL, P4, ERC 90 Sagaie.

 

La plateforme aéronautique est composée de 3 avions Rafale, 3 avions de transport tactique et de 4 hélicoptères de manœuvre.

 

Lancée le 1er août, l’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste d’une part à appuyer les forces armées des pays partenaires de la BSS dans leurs actions de lutte contre les groupes armés terroristes, et d’autre part, à contribuer à empêcher la reconstitution de sanctuaires terroristes dans la région.

photo EMA

photo EMA

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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 14:50
Les chars, un héritage intempestif ?

 

par Antoine d'EVRY Focus stratégique, n° 53, septembre 2014

 

Arme révolutionnaire au début du 20ème siècle, le char souffre aujourd’hui d’un déficit de légitimité en Europe : en près de 20 ans, les Etats ont pour la plupart drastiquement réduit leurs parcs, quand certains ne l’ont pas rayé purement et simplement de leurs arsenaux. Or, cette érosion capacitaire du segment lourd des forces terrestres européennes est préoccupante, à l’heure où les adversaires non-étatiques tendent à bénéficier d’une puissance de feu accrue et quand le reste du monde réarme. Les réalités du contexte géopolitique actuel, la sensibilité politique aux pertes, les conditions tactiques prévisibles des combats terrestres de demain, ainsi que les limites inhérentes de la puissance aérienne, tendent à relativiser l’obsolescence supposée du char. La prudence incite à ne plus sacrifier nos forces blindées, mais plutôt à les adapter aux circonstances actuelles et prévisibles. Loin d’être obsolètes, les chars représentent une capacité résiliente, à même de participer à la réassurance de l’Europe.

 

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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 09:50
Vincent De Vroey - Burkard Schmittin

Vincent De Vroey - Burkard Schmittin

 

Brussels, 9th September 2014 - AeroSpace and Defence Industries Association of Europe (ASD)

 

The AeroSpace and Defence Industries Association of Europe (ASD) today announced the appointment of two new directors: Vincent De Vroey as Civil Aviation Director and Dr. Burkard Schmittin the position of Defence & Security Director. Both executives will take over their new roles and responsibilities on November 2nd, 2014.

 

“Vincent and Burkard are well known and highly respected in what is commonly called the Brussels scene. They both come to ASD with strong knowledge and track records in their respective areas of expertise. I am very happy to have them on board as ASD is increasing its efforts to become a proactive and knowledgeable speaking partner to the Institutions and European Member States”, said Jan Pie, ASD Secretary General.

 

Vincent De Vroey has spent the bulk of his career with the Association of European Airlines (AEA) holding a range of positions of increasing responsibility. He holds a Master of Business Administration and a Master of Electronics Engineering degree from the Vrije Universiteit Brussel (VUB), Belgium.

Commenting on his appointment, Vincent De Vroey said: “I’m looking forward to working within ASD where my experience in the field of civil aviation and government affairs at EU level will certainly facilitate the dialogue in issues such as aviation safety, Air Traffic Management, Single European Sky, Research & Technology, REACH & environmental issues, maintenance, repair & overhaul (MRO) and airline operations”.

 

Dr. Burkard Schmitt has worked as defence expert at the European Commission. Prior to that, he was Assistant Director of the European Union Institute for Security Studies in Paris. Burkard Schmitt holds master’s degrees from the universities of Bordeaux and Erlangen and a PhD in Contemporary History from the Friedrich Alexander University Erlangen, Germany.

“I’m very excited about this new role in my career and the challenge it represents. I believe that my expertise in European defence and security matters will contribute to a fruitful dialogue between industry and European policy makers on these issues, acknowledged Burkard Schmitt.

 

About ASD

ASD represents the Aeronautics, Space, Security and Defence industries in Europe. Based in Brussels, the organisation’s membership today comprises 16 major European aerospace and defence companies and 27 member associations in 20 countries (Austria, Belgium, Bulgaria, the Czech Republic, Denmark, Finland, France, Germany, Greece, Ireland, Italy, the Netherlands, Norway, Poland, Portugal, Spain, Sweden, Switzerland, Turkey and the UK). These industries reach a turnover of 186.8 billion euros, invest 17.6 billion euros in R&D, employ more than 750.000 people and counts over 2000 companies, 80 000 suppliers, many of which are SMEs.

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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 08:50
Présence de l’aéronautique navale au meeting aérien Belgian Air Force Days 2014

 

 

17 Septembre 2014 Source: Marine nationale

 

Les 13 et 14 septembre 2014 se sont déroulés les «Belgian Air Force Days 2014» sur la base de Kleine-Brogel («Kee-Bee») en Belgique. À cette occasion, deux Rafales de la flottille 11F ont participé aux nombreuses démonstrations aériennes, afin de célébrer avec des participants du monde entier, le centenaire de l’aviation militaire belge.

 

Pour célébrer cet évènement, des démonstrations aériennes ont été effectuées par les plus prestigieuses patrouilles acrobatiques mondiales, réunies exceptionnellement pour l’occasion, dont la Patrouille de France, les Red Arrows de la Royal Air Force, les Frecce Tricolori de l'armée de l'air italienne, la patrouille Al Fursan des Émirats Arabes Unis et la Breitling Jet Team, attirant pas moins de 70.000 spectateurs chaque jour.

 

Les nombreuses activités qui ont été mises en place, en plus des démonstrations aériennes, ont permis au public de venir à la rencontre des participants. Tout au long du week-end, le «détachement Marine» fut sans conteste l’une des attractions de ce meeting, recevant notamment la visite de l’Ambassadeur de France en Belgique, ainsi que de nombreux officiels belges.

 

Les membres du NATO Tiger Meet avaient également répondu à l’invitation du 31ème escadron de chasse belge, ce qui a permis aux deux pilotes et trois techniciens de la 11F présents de retrouver de nombreuses connaissances «tigrées».

 

Parmi toutes les nations, si la France a été l'une des plus représentées, avec plus de quinze appareils présents.

Présence de l’aéronautique navale au meeting aérien Belgian Air Force Days 2014
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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 22:45
Barkhane : Focus sur l’emprise de N’Djamena

 

16/09/2014 Sources : EMA

 

Le poste de commandement interarmées de théâtre (PCIAT) de la force Barkhane et plusieurs de ses détachements sont établis au Tchad depuis le 1er août 2014.

 

Le PC de la force Barkhane est situé dans l’enceinte du camp Kosseï, à proximité de l’aéroport de N’Djamena, la capitale du Tchad. Cette emprise accueillait jusqu’ici et depuis 1986, le PC de la force Epervier ainsi que les multiples détachements français qui se sont succédé dans le cadre de cette opération.

 

L’opération Epervier avait pour mission de garantir la protection des intérêts français et, tout particulièrement, la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad. Conformément à un accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad, Epervier apportait également un soutien logistique aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes.

 

Aujourd’hui l’emprise de Kosseï constitue le point d’appui d’une partie des composantes terrestres et aériennes de la force Barkhane stationnées dans le fuseau Est.

 

Le dispositif stationné à N’Djamena se compose :

    du poste de commandement interarmées de théâtre (PCIAT) de Barkhane ;

    d’un groupement tactique inter-armes formant le GTD Est ;

    d’un groupement tactique Air ;

    de plusieurs groupements de soutien spécialisés : soutien logistique, transmission, soutien santé, renseignement,…

 

Différents véhicules tactiques propres à chacun des groupements sont basés à N’Djamena : VAB, GBC, VLRA, MPG, VBL, P4, ERC 90 Sagaie.

 

La plateforme aéronautique est composée de 3 avions Rafale, 3 avions de transport tactique et de 4 hélicoptères de manœuvre.

 

Lancée le 1er août, l’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste d’une part à appuyer les forces armées des pays partenaires de la BSS dans leurs actions de lutte contre les groupes armés terroristes, et d’autre part, à contribuer à empêcher la reconstitution de sanctuaires terroristes dans la région.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 17:30
Australian Hornets, Support Aircraft, Troops Deploy to UAE

Australia is sending Super Hornets, a tanker and an airborne early warning and control aircraft to the United Arab Emirates where they will prepare for possible use against the Islamic State.

 

Sep. 16, 2014 - By NIGEL PITTAWAY – Defense News

 

MELBOURNE, AUSTRALIA — Australia is sending up to eight F/A-18F Super Hornet strike fighters, an Airbus KC-30 multirole tanker transport and an E-7A Wedgetail airborne early warning and control (AEW&C) aircraft to the Middle East this week for possible use against Islamic State forces in Iraq.

 

The Australian contingent will move to the United Arab Emirates where they will prepare for operations, ahead of a government decision regarding Iraq.

 

The move, which also includes 400 Royal Australian Air Force (RAAF) support personnel and 200 ground troops, was announced by Prime Minister Tony Abbott on Sunday.

 

The ground troops will include Special Forces, which will be used to train Iraqi military personnel and Kurdish peshmerga fighters.

 

This marks the first time Australian Super Hornets have been deployed to the region since entering service in 2010, and the first time RAAF combat aircraft have deployed with both organic tanker and AEW&C support.

 

“The decision to prepare Australian Defence Force personnel for deployment has not been taken lightly,” Air Chief Marshal Mark Binskin, chief of the Australian Defence Force, said in a statement.

 

“This is a highly complex operating environment which continues to evolve, and we now have a significant amount of detailed planning work to undertake as we prepare for this deployment.

 

“Disrupting and degrading ISIL will take a comprehensive and sustained effort from the international community. If we do nothing, we risk allowing the shocking acts of ISIL to further destabilize the Middle East region and to spread beyond the Middle East region where it will pose a greater threat to Australians.”

 

Mark Thomson, a senior analyst with the Australian Strategic Policy Institute, a defense think tank, says the proposed force is a credible contribution by Australia.

 

“This is an international effort to deal with a problem that we all share. I think from Australia’s point of view, if you look at the scale of forces that we can deploy and recognizing the RAAF is at the moment working to introduce a broad range of platforms to service, this will be a demanding deployment. But I’d say it’s a deployment which is commensurate with Australia’s interests in this issue,” he said.

 

“I don’t think we should underestimate what the RAAF is doing now, deploying the tankers and the AEW&C with fighters at the same time, at distance from Australia. This is a challenging exercise that they’ll undoubtedly learn a lot from.”

 

Thomson also said that it is difficult to estimate how long Australian forces will need to remain in the region.

 

“The word complex doesn’t come close to capturing the situation we’re moving into. Just looking back over the whole Iraq venture from 2002 onwards, it’s been one surprise after another and if you asked the Iraqis what was going to happen, they probably didn’t know ahead of time either,” he said.

 

“These things are what we as scientists call the emergent properties — there’s a complex interaction that drives the political and military situation in a certain direction, and it’s largely unpredictable ahead of time.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:55
Prochain colloque CESM - "L'Arctique : un enjeu global"

 

16 septembre 2014. Portail des Sous-Marins

 

« Si quelqu’un essayait d’envahir l’Arctique canadien, ma première mission serait de le secourir ». Cette affirmation du général canadien Walter Natynczyk en novembre 2009 illustre toute la complexité du grand Nord. Alors que l’intérêt pour cette région croît continuellement (hydrocarbures, tourisme, minerais, routes maritimes, …), nous sommes encore bien loin de maîtriser cet univers. Tout reste à faire.

Cette “Brève-Marine” est disponible à cette adresse.

 

Élaborées par le Centre d’études supérieures de la Marine (CESM), les Brèves Marines vous fournissent régulièrement de l’information privilégiée sur l’actualité et les enjeux de la Marine nationale.

 

L’Arctique, un enjeu global

Mercredi 12 novembre 2014 - 14h00 à 17h30 - Amphithéâtre Foch – École Militaire

 

Dans quinze ans, l’Arctique sera-t-il encore un rêve de grand navigateur ? 
Ce  sera  probablement  une  réalité  économique.  L’océan  glacé  du  cercle polaire, soumis à une réduction rapide de sa banquise, dévoile petit à petit ses potentiels d’exploitation :  de  vastes  nappes  d’hydrocarbures  off-shore,  des routes  de  navigation plus  courtes  pour  les grands  porte-conteneurs :  autant d’opportunités  pour  les armateurs  et  les  assureurs.  Et  pourquoi  pas  du tourisme, dans un paysage encore vierge de présence humaine ? Un nouveau théâtre  s’esquisse  donc,  avec  ses potentialités  comme  ses  particularités géographiques, qui  impose  de  repenser  les interventions  en  mer  comme  le sauvetage ou la lutte contre la pollution.
Le quatrième océan de la planète devient dès lors une question politique. Plusieurs  nations ont fait  état  de  revendications  de  Zones  économiques exclusives, les unes et les autres usant de diplomatie navale pour placer leurs intérêts. Un Conseil arctique rassemble les pays côtiers et devient un espace de négociation.  Le  pouvoir  soutient  et  prépare  les investissements.  Cet  espace contient-il  aussi  une  nouvelle  fenêtre  pour  les  forces navales ?  La  France,comme  l’Union  européenne,  doit  d’ores  et  déjà  s’intéresser à ce nouveau chapitre de l’expansion maritime. Le colloque du CESM « L’Arctique, un enjeu global »,  avec  Michel  Rocard  et  Hubert  Védrine,  réalise  cette  prospective en rassemblant  acteurs  privés  et  acteurs  publics,  qui  ensemble  sont  appelés  à décider de ce nouveau cap. 

 

Inscription obligatoire : 

colloques@cesm.fr en précisant vos nom, prénom et organisme

Prochain colloque CESM - "L'Arctique : un enjeu global"
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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:55
CHUTEXTREM va fournir un Cessna au 1er RPIMa

 

12.09.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

En attendant le résultat de l'appel d'offres publié le 2 septembre et concernant la fourniture d'appareils civils pour l'entraînement du 1er RPIMa (on lira mon post du 5 septembre ici), le résultat d'une autre consultation a été publiée le 11 septembre (l'attribution date du 29 juillet).

Il concerne la "location de vecteurs destinés à l'entrainement des parachutistes du 1er Rpima de Bayonne". Le marché a été attribué à la société CHUTEXTREM, installée sur l'aérodrome de Lezignan et qui fournira un Cessna Caravan et un simulateur de chute libre (l'avis parle d'un "aéronef bi-turbopropulseur").

 

Quelques précisions:
Le marché prend effet à compter du 1er septembre 2014. La période initiale s'étend du 1er septembre jusqu'au 31 décembre 2014. il pourra être expressément reconduit sans que sa durée totale n'excède 40 mois et dans la limite de 3 reconductions. - 1ère reconduction du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2015, - 2ème reconduction du 1er janvier 2016 au 31 décembre 2016, - 3ème reconduction du 1er janvier 2017 jusqu'au 31 décembre 2017. montants du marché : Sous réserve de reconductions, les montants du marché sot estimés comme suit : - montant minimum annuel : 25 000 EUR HT, soit 30 000 EUR (T.T.C.), - montant minimum sur 3 ans : 75 000 EUR HT, soit 90 000 EUR (T.T.C.), - aucun montant maximum.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:55
CHUTEXTREM va fournir un Cessna au 1er RPIMa

 

12.09.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

En attendant le résultat de l'appel d'offres publié le 2 septembre et concernant la fourniture d'appareils civils pour l'entraînement du 1er RPIMa (on lira mon post du 5 septembre ici), le résultat d'une autre consultation a été publiée le 11 septembre (l'attribution date du 29 juillet).

Il concerne la "location de vecteurs destinés à l'entrainement des parachutistes du 1er Rpima de Bayonne". Le marché a été attribué à la société CHUTEXTREM, installée sur l'aérodrome de Lezignan et qui fournira un Cessna Caravan et un simulateur de chute libre (l'avis parle d'un "aéronef bi-turbopropulseur").

 

Quelques précisions:
Le marché prend effet à compter du 1er septembre 2014. La période initiale s'étend du 1er septembre jusqu'au 31 décembre 2014. il pourra être expressément reconduit sans que sa durée totale n'excède 40 mois et dans la limite de 3 reconductions. - 1ère reconduction du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2015, - 2ème reconduction du 1er janvier 2016 au 31 décembre 2016, - 3ème reconduction du 1er janvier 2017 jusqu'au 31 décembre 2017. montants du marché : Sous réserve de reconductions, les montants du marché sot estimés comme suit : - montant minimum annuel : 25 000 EUR HT, soit 30 000 EUR (T.T.C.), - montant minimum sur 3 ans : 75 000 EUR HT, soit 90 000 EUR (T.T.C.), - aucun montant maximum.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:50
Stages avancés d’officier de lutte de force navale = Advanced warfare course for officers !

 

15/09/2014 Marine nationale

 

Chaque année, le centre d’instruction naval Saint-Mandrier (CIN) organise des stages avancés d’officier de lutte de force navaledans les domaines anti-aériens et anti-sous-marins au profit de plusieurs dizaines d’officiers issus de l’écoledes systèmes de combat et armes navales et déjà dotés d’une solide expérience opérationnelle. Pour qu’ils acquièrent une vision précise des moyens de lutte qu’ils coordonneront au sein d’une force navale, l’accent est mis sur des travaux encadrés et des entraînements sur simulateurs.

 

Nouveauté 2014 : « The Advanced Warfare Course for Officers » ! Trois officiers de la Royal Navy ont participé à ces stages et deux officiers français sont actuellement à Portsmouth pour suivre l’équivalent britannique. Au CIN, ces quinze jours intensifs de formation se déroulent en anglais, non seulement pour favoriser l’intégration des officiers étrangers, mais surtout parce que la fluidité de cette langue habituellement utilisée en opérations est un atout majeur dans la conduite de l’action

 

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:50
L’Aravis « polonisé » durant le salon MSPO sous les couleurs de Rosomak (groupe PGZ) crédits: G Belan

L’Aravis « polonisé » durant le salon MSPO sous les couleurs de Rosomak (groupe PGZ) crédits: G Belan

 

16 septembre, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Le programme s’appelle Pegaz, le RFI (Request for Information) a été émis il y a à peine quelques semaines et il concerne pas moins de 600 véhicules. La français Nexter se place dans ce grand appel d’offre polonais, qui doit venir fournir un véhicule fortement protégé avec une bonne mobilité pour divers usages : forces spéciales, police militaire, troupes de montagnes… Un très fort contenu national (ou « polonisation ») doit être proposé pour les industriels étrangers souhaitant participer. C’est pourquoi on pouvait voir l’Aravis de Nexter sur le stand de l’industriel du terrestre polonais Rosomak (groupe PGZ) durant le salon MSPO qui s’est tenu début du mois à Kielce. Le partenaire polonais sera en charge de l’adaptation aux spécificités locales et produira localement l’Aravis, rebaptisé pour l’occasion le Chacal.

 

De nombreux compétiteurs sont attendus pour cet appel d’offre, et un autre français, Thales participe face à Nexter, et présente son Hawkei, dessiné pour le besoin Australien mais proposé à l’export et dont la dernière version a été dévoilée durant le dernier Eurosatory (relire ici).

 

Thales est déjà bien implanté en Pologne et bénéficie d’une présence importante, avec 200 employés polonais et de nombreux partenariats avec des sociétés locales.

 

La tourelle T40 CTA proposée à Varsovie

 

Quant à Nexter, l’industriel du terrestre français propose également sa dernière tourelle T40, basée sur le nouveau calibre novateur : le 40 mm télescopé. Reste qu’il va falloir convaincre les polonais qui, pour leur flotte de blindés 8X8, ont émis un besoin pour 150 tourelles téléopérées de 30 mm. Le grand avantage de la 40 mm CTA, est que dans un encombrement réduit, les effets terminaux sont sans comparaison et avoisinent ceux d’un 90 voir 105 mm. Redoutable contre des BMP3 surblindés que Varsovie a sans doute à l’esprit, alors que le 30mm ne ferait que les égratigner. Nexter propose aux polonais toute la partie automatisation de sa tourelle et pourrait bien faire bouger les lignes avec son produit.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:45
photo EMA

photo EMA


14.09.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Le marché d'équipement et de formation des casques bleus africains attise les convoitises. Exemple avec la MINUSCA.

Théoriquement, le 15 septembre, les casques bleus de la mission multidimensionnelle intégrée des nations unies pour la stabilisation en république centrafricaine (MINUSCA), prendront le relais de la mission internationale de soutien à la Centrafrique (MISCA). Avec ses 10 000 militaires et ses 1 800 policiers, la MINUSCA aura pour mission de maintenir la paix en République centrafricaine.

A noter que dans le cadre de la montée en puissance de la MINUSCA, la force Sangaris, qui va se recentrer sur le centre et l'est du pays, lui apporte un soutien logistique et humain.

 

Marchés. Le déploiement de nouveaux contingents onusiens et la relève d'unités (camerounaises et gabonaises par exemple) constituent une bonne occasion pour les entreprises françaises de proposer leurs services. Il s'agit d'équiper, voire de former, les unités qui seront déployées sous le casque bleu.

Nexter, associé à Paul Boyé, lorge du côté du Gabon, terrain de chasse habituel du groupe Marck. Ce même groupe Marck, associés à Inéo Support Global, est, pour sa part, actif du côté du Cameroun et du Burundi.

Quant à Sovereign Global France, elle poursuit ses actions de formation au Tchad tout en négociant avec d'autres pays africains, comme le Congo Brazzaville, après avoir formé les contingents de casques bleus djiboutiens et mauritaniens.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:45
Central African Republic crisis: Minusca new peace mission

 

15 September 2014 BBC Africa

 

The UN is formally taking over peacekeeping operations in the Central African Republic (CAR), where about 25% of the population has fled their homes.

 

The new force will largely comprise 6,200 African troops already there. There are also 2,000 French troops, who will not be part of the UN force, but human rights groups say a bigger force is urgently needed to end the violence.

 

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:40
La Marine russe réalise des exercices en Arctique

 

MOSCOU, 15 septembre - RIA Novosti

 

La Marine russe mène lundi des exercices en Arctique, a annoncé à Moscou le ministère russe de la Défense.

 

Plus de 20 matériels de guerre et spéciaux, ainsi que plus de 200 hommes ont débarqué sur l'île Kotelny faisant partie de l'archipel de Nouvelle-Sibérie.

 

"Les marins de la flotte du Nord ont effectué un débarquement sur une côte non équipée sous la protection de l'aviation embarquée. Deux hélicoptères Ka-27 ont décollé depuis un navire de lutte anti-sous-marine. Ils ont transporté des groupes de fusiliers marins sur la côte ouest de l'île Kotelny. Le grand navire de débarquement Guéorgui Pobedonossets a ensuite procédé à une opération de débarquement", a indiqué le ministère dans un communiqué.

 

Six bâtiments de guerre et navires de soutien ont mis huit jours pour parcourir près de 2.000 milles marins et arriver aux îles de Nouvelle-Sibérie. Deux brise-glaces nucléaires du groupe nucléaire public russe Rosatom ont escorté les navires de la flotte du Nord sur plus de 180 milles.

 

Ces dernières années, la Russie explore activement ses territoires septentrionaux. Elle a pris plusieurs mesures pour défendre ses intérêts en Arctique. En août dernier, le commandant de l'Armée de l'air russe Viktor Bondarev a notamment annoncé que l'aérodrome Temp, remis en exploitation en octobre 2013 sur l'île Kotelny (archipel de Nouvelle-Sibérie), serait prochainement capable d'accueillir tous types d'avions.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:35
Two J-10 fighters at the Zhuhai Airshow on Nov. 5, 2008. (Photo Xinhua)

Two J-10 fighters at the Zhuhai Airshow on Nov. 5, 2008. (Photo Xinhua)

 

September 16, 2014: Strategy Page

 

China continues to have problems with its locally produced military jet engines. The biggest problems are with the WS-10 series, which was designed and produced in China and the government has been pressuring the aircraft manufacturers to use Chinese made engines like this instead of Russian imports. This has not been working out as the government wants. For example, the new Chinese carrier fighter, the J-15, is supposed to have a more powerful Chinese made engine so that it can carry more weight using the ski jump deck on the new Chinese carrier. The ski jump is a cheaper and less complex take off alternative to the steam catapult. One disadvantage of the ski jump deck is that it cannot launch aircraft as heavy as a catapult can. China has developed a more powerful version of their WS-10 engine (the WS-10H) for the J-15 but has only been seen in two J-15s. Most J-15s are still using Russian AL-31Fs. China keeps details of its WS-10 development secret, but they cannot hide which of their aircraft are using the WS-10 and which the Russian made AL-31s that the WS-10 is based on and is supposed to replace. It is obvious that not a lot of WS-10s are being installed and that indicates the quality control and reliability problems of the WS-10 persist despite government denials.

 

The first WS-10s began showing up in J-11s back in 2004. In 2010 China revealed that it was replacing the Russian engines in its J-10 fighter, installing Chinese made WS-10A in place of the Russian made AL-31FN. Shortly after that announcement China ordered another 123 AL-31FNs, to be delivered by 2012. More AL-31s have been ordered but at the same time more Chinese fighters were being seen with WS-10s. Despite that the demand for AL-31s, based on the number of modern jet fighters China wants to build, is exceeding the Russian engine building capacity.

 

The Chinese claim the WS-10A is superior to the AL-31F, even though the WS-10A copied a lot of the Russian technology. The Chinese say they have improved on that. For example, as delivered from Russia, the original AL-31 was good for 900 hours of operation. The Chinese claim their engineers figured out how to tweak the design of the engine so that it would last for 1,500 hours. Russia has since improved their basic AL-31 lifetime to 1,500 hours, and, most recently, 2,000 hours. When pressed, the Chinese claim that they simply cannot produce enough WS-10As for all the new airframes they are building. But the reality is that the WS-10As have some serious, unpredictable and persistent reliability problems that limit the number of reliable (enough for regular use) engines available.

 

Back in 2011 China believed it would be free from dependence on Russia for military jet engines by 2016, which implied that Chinese engine manufacturers still had a way to go. Now the most any Chinese will admit to is that there will be no need for Russian engines by the end of the decade, maybe. Meanwhile China continues to import AL-31s and the RD-93 (a version of the MiG-29's RD-33) for the JF-17 (an F-16 type aircraft developed in cooperation with Pakistan) from Russia. These engines are expensive, with the RD-33 going for about $3 million each and the AL-31 for about a third more.

 

Since the 1990s Chinese engineers have managed to master the manufacturing techniques needed to make a Chinese copy of the Russian AL-31 engine. This is part of a program that has also developed the WS-13, to replace the RD-93 as well. While the Chinese have been able to build engines that are durable, they are still having problems with reliability. Apparently it is still worth buying more Russian engines because the Chinese models are out of action too often, which keeps the jets grounded for repairs or, worst of all, an engine change.

 

China has long copied foreign technology, not always successfully. But since the 1990s China has poured much money into developing a jet engine manufacturing capability. The Chinese encountered many of the same problems the Russians did in the beginning. Developing the necessary engine design and construction skills is difficult. But China has several advantages. First, they knew of the mistakes the Russians had made, and so were able to avoid many of them. Then there was the fact that China had better access to Western manufacturing technology (both legally and illegally). Finally, China was, unlike the Soviets, able to develop their engine manufacturing capabilities in a market economy. This was much more efficient than the command economy that the Soviets were saddled with for seven decades. The Chinese consider all this part of the learning process and they do learn from their mistakes.

 

Meanwhile the Chinese can build more Su-27 clones than they can reliable engines for them, and they keep developing more Su-27 variants. The Chinese J-11 jet fighter is an illegal Chinese copy of the Russian Su-27. It all began legally in 1995, when China paid $2.5 billion for the right to build 200 Su-27s. Russia would supply engines and electronics, with China building the other components according to Russian plans and specifications. But after 95 of the Chinese built aircraft were built Russia cancelled the agreement. Russia claimed that China was using the knowledge acquired with this Su-27 program to build their own copy of the Su-27, the J-11. The Chinese claimed that the J-11 was designed and built using only Chinese technology. China also has a stealthy version (J-17) of the Su-27. There is also an aircraft carrier version of the Su-30 (the Su-33, obtained from Ukraine) that is now in service as the J-15. In 2013 J-16s were spotted. This is a two-seat fighter-bomber similar to the American F-15E and nearly identical to the Russian Su-30MKK. China insists these are all Chinese designs that just happen to bear some resemblance to Russian fighters.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
Kurdish Peshmerga forces - photo Matt Cetti-Roberts War is boring

Kurdish Peshmerga forces - photo Matt Cetti-Roberts War is boring

 

16.09.2014 Romandie.com (ats)

 

Les combattants kurdes ont repris mardi plusieurs villages chrétiens du nord de l'Irak après des combats contre les jihadistes de l'Etat islamique, a-t-on appris de plusieurs sources.

 

"Ce matin, les peshmergas ont réussi à expulser les militants (de l'EI) de quatre villages à l'ouest d'Erbil et à en prendre le contrôle", a indiqué un responsable irakien en mentionnant les localités de Hassan al-Sham, Syudan, Bahra et Jisr al-Khadhr. Il a précisé que des tirs de roquettes et de mortiers avaient été échangés lors des affrontements.

 

"Après des heurts dans la matinée, les peshmergas sont parvenus à libérer plusieurs villages, notamment Hassan al-Sham et Syudan. Les militants (de l'EI) sont maintenant partis", a confirmé une source au sein du patriarchat chaldéen. "Ces villages sont très importants car ils sont proches des villes (chrétiennes) de Bartalla et Qaraqosh", selon lui.

 

Villes désertées

 

Ces localités reconquises sont situées dans la plaine de Ninive, qui s'étend d'Erbil, capitale du Kurdistan, jusqu'à Mossoul, deuxième ville d'Irak et contrôlée depuis juin par l'EI.

 

Des dizaines de milliers de chrétiens d'Irak, la plupart fidèles de l'Eglise catholique chaldéenne, avaient fui en août après une nouvelle offensive de l'EI.

 

Qaraqosh, la plus grande ville chrétienne d'Irak, et des dizaines de villages s'étaient ainsi vidés de leurs habitants au cours de ce que les dirigeants chrétiens ont décrit comme le pire désastre de la longue histoire de la minorité chrétienne irakienne.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
Terrorisme: Moscou soutient militairement Damas et Bagdad

 

PARIS, 15 septembre - RIA Novosti

 

La Russie apporte une assistance militaire à la Syrie, à l'Irak et à d'autres pays de la région pour les aider à lutter contre la menace terroriste, a déclaré lundi à Paris le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

 

"Nous avons parlé de notre contribution au soutien du gouvernement irakien, qui vise à diversifier ses possibilités de combattre les terroristes et d'assurer la sécurité de l'Etat. Nous apportons à l'Irak une assistance, y compris militaire, en vue d'accroître la sécurité dans le pays. Nous agissons de la même façon dans le cas de la Syrie et d'autres pays de la région", a fait savoir M.Lavrov en marge de la conférence internationale sur la situation en Irak tenue dans la capitale française.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
Israël renonce à livrer des drones à l'Ukraine

 

TEL AVIV, 16 septembre - RIA Novosti

 

Les autorités israéliennes ont renoncé à vendre des drones à l'Ukraine afin de ne pas compromettre les relations avec Moscou, rapportent mardi les médias locaux.

 

Selon la chaîne de télévision Aroutz 2, le ministère des Affaires étrangères a bloqué le contrat conclu entre l'Ukraine et le constructeur israélien des drones Aeronautics et approuvé par le ministère de la Défense. Aucun commentaire officiel sur ce sujet n'est disponible pour le moment.

 

La chaîne indique que la Russie a à plusieurs reprises pris en considération les intérêts sécuritaires d'Israël, en renonçant notamment aux livraisons de certains types d'armes en Syrie et en Iran. L'Etat hébreu a pour sa part suspendu sa coopération militaro-technique avec la Géorgie en 2008, peu avant le conflit en Ossétie du Sud.

 

Les autorités israéliennes s'abstiennent de se prononcer publiquement sur la crise politique en Ukraine, qui a dégénéré en affrontements meurtriers dans le sud-est du pays et compliqué les relations entre la Russie et l'Occident. Le chef russophone de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman s'est toutefois déclaré prêt à contribuer à la normalisation des rapports entre la Russie et l'Ukraine, qualifiant ces deux pays d'"amis de l'Etat hébreu".

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
photo US DoD

photo US DoD

 

16 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Les frappes aériennes que les Etats-Unis entendent conduire contre le groupe Etat islamique en Syrie vont viser les sanctuaires des jihadistes, a annoncé le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel mardi lors d'une audition au Sénat.

 

M. Hagel a indiqué que les raids aériens américains cibleraient les sanctuaires de l'Etat islamique en Syrie. Cela comprend ses centres de commandement, ses capacités logistiques et ses infrastructures.

 

S'exprimant à ses côtés, le plus haut gradé américain, le général Martin Dempsey, a toutefois prévenu que cette campagne aérienne ne ressemblerait pas à celle menée en 2003 en Irak contre Saddam Hussein. Baptisée à l'époque shock and awe (choc et effroi), elle misait sur une domination rapide de l'ennemi.

 

Cette campagne contre le groupe Etat islamique sera acharnée et longue, a ainsi souligné le général Dempsey.

 

Depuis le 8 août, les forces aériennes américaines ont mené 162 raids contre des positions jihadistes en Irak, un cancer selon le président Barack Obama.

 

Bien que M. Obama ait fait part de son intention de viser les jihadistes en Syrie, aucune frappe américaine ne s'est, pour l'heure, déroulée en territoire syrien.

 

Si vous attaquez les Etats-Unis, vous ne serez en sécurité nulle part, avait martelé le président américain dans un discours télévisé mercredi.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
American Boots On The Ground In Iraq

 

September 16, 2014: Strategy Page

 

The United States has declared that it will seek to destroy ISIL (Islamic State in Iraq and the Levant) without putting any troops on the ground in Iraq or Syria. That means no American regular troops will be sent in for offensive combat. Some will be there to help with security around the massive U.S. embassy compound, and perhaps other American facilities as well. There will also be a lot of security contractors. While these are civilians, many are veterans of the U.S. Army, Marines, Special Forces and so on. Given their civilian status, there may be a temptation to use the contractors if a lot of offensive muscle is needed. By the end of the year there will be at least 5,000 American military personnel in Iraq and even more contractors. That number is expected to grow in 2015 is needed.

 

Meanwhile there will be American troops in combat. These will primarily be special operations troops from the army (Special Forces, Rangers), marines, navy (SEALs) and air force (para-rescue). There will be some similar special operations troops from American allies. Britain and Australia are already in and others are expected to join, including some Moslem special operations units that worked with NATO in Afghanistan.

 

The U.S. Air Force will also have air control teams on the ground, although these will often work with commando units. Many American special operations troops are trained to act as ground controllers and many have experience in combat doing this. The Western nations prefer to have a Western air controller on the ground confirming what is going to be hit. But this is not absolutely necessary. Nearly all armed UAVs fire their missiles using the vidcams (with zoom) they carry. Manned aircraft (including heavy bombers) have similar capability in the form of targeting pods. These are very popular with fighter pilots, mainly because they contain FLIR (video quality night vision infrared radar) and TV cameras that enable pilots flying at 6,200 meters (20,000 feet) to clearly make out what is going on down on the ground. The pods also contain laser designators for laser guided bombs and laser range finders that enable pilots to get coordinates for JDAM (GPS guided) bombs. Some have software that can identify many military vehicles and systems automatically. The 200 kg (440 pound) pods hangs off a hard point, like a missile, bomb, or fuel tank. Pilots and bomber crews are trained to use these pods to select and hit targets from the air if there is no one on the ground to help out.

 

The Iraqis and Kurds have some trained air controllers. The Iraqi ones were trained to call in strikes from Iraqi warplanes armed with Hellfire missiles. The Kurdish ones have been known to work with American Special Forces teams. It’s possible some might be allowed to operate on their own. Trusting the Iraqis, with all the bribery, divided loyalties and such is still discouraged.

 

The commando teams (usually three to a dozen troops) will definitely be on the ground in Iraq. Syria is another matter and they might or they might not. The problem in Syria is that ISIL is not just fighting the government (Assad) troops but also most other rebel factions. ISIL is estimated to have up to 30,000 armed men in Syria and Iraq but this includes many allies (some very recent and who previously were enemies of ISIL). The core (most reliable) ISIL force is less than 10,000 armed men. Some of these guys are very effective in combat and American troops encountered some of them in Iraq earlier. The ISIL “allies” can switch sides very quickly if the Islamic terrorists gets hammered real bad. That will happen if Iraq and the Kurds use their elite (usually special operations) ground forces to go after ISIL. This tactic is no secret to many ISIL men, who are veterans of the 2004-8 terrorism campaign in Iraq and know about how such combinations quickly shattered the Taliban in late 2001 and has hurt the Taliban badly ever since.

 

While ISIL knows a lot about avoiding smart bombs and missiles they also know that if they are to control their new “Islamic State” (eastern Syria and western Iraq) they have to use bases and concentrate gunmen to deal with armed opposition. There is no tactic that will make ISIL immune to smart bombs under those conditions, not if they still want to control territory in their new “Islamic State.”

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:20
The Future of Fighter Aircraft for the U.S. Air Force


16 sept. 2014 LockheedMartinVideos

 

The F-35A Lightning II is the future of fighter aircraft for the U.S. Air Force and its allies. It’s an agile, versatile, high-performance fighter jet, providing unprecedented situational awareness for its pilots. Learn more about the F-35A

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 15:50
Interopérabilité explosive à l’Eurocorps


16 sept. 2014 Belgian Defense

 

L’Eurocorps a dépêché ses éléments du génie à Ingolstadt, en Allemagne, pour un exercice réunissant des troupes allemandes, belges, espagnoles, françaises et luxembourgeoises. Durant une semaine, ces spécialistes en explosifs et décontamination ont partagé leurs expériences opérationnelles. Un mélange détonant !

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