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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:45
US offers rewards in hunt for Somalia's al-Shabab leaders

 

11.11.2015 by BBC Africa

 

The US government is offering $27m (£18m) in rewards for information on the whereabouts of six leaders of the Somalia-based al-Shabab group.

 

The highest reward is $6m for the group's leader Abu Ubaidah. He replaced Ahmed Abdi Godane, who was killed in a US drone strike last year. Among those being hunted is Mahad Karate, also known as Abdirahman Mohamed Warsame, believed to be a key player in the attack on a Kenyan university which killed 148 people.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:45
photo MINUSCA

photo MINUSCA

 

11 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Nations unies (Etats-Unis) - La mission de l'ONU en Centrafrique (Minusca) a reçu de nouvelles allégations d'agressions sexuelles commises par des Casques bleus dans le pays contre des femmes et des jeunes filles, dont plusieurs sont désormais enceintes, a rapporté mercredi un responsable de l'ONU.

 

La Minusca a été informée aujourd'hui d'allégations concernant cinq femmes qui ont eu des relations sexuelles avec des Casques bleus. Trois d'entre elles ont moins de 18 ans, a précisé ce responsable, qui s'exprimait sous couvert d'anonymat.

 

Une équipe de la Minusca se rendra jeudi à Bambari, dans le nord de Bangui, pour collecter des informations sur ces allégations qui impliqueraient des soldats de la République démocratique du Congo.

 

Deux des cinq femmes sont tombées enceintes après ces agressions qui ont duré plusieurs mois, a précisé le responsable onusien.

 

La Minusca a déjà été frappée par des allégations similaires d'agressions commises y compris contre des mineures. La plus jeune victime citée avait 11 ans.

 

A la mi-septembre, dix-sept cas d'accusations d'exploitation ou d'abus sexuels visant le personnel civil ou militaire de l'ONU en Centrafrique avaient été signalés à la Minusca.

 

Des soldats français de l'opération Sangaris sont aussi sous le coup d'une enquête pour viols d'enfants en Centrafrique.

 

C'est au moins la deuxième fois que des soldats de RDC sont accusés d'exactions dans une mission de l'ONU. En août trois jeunes femmes dont une mineure avaient accusé des soldats congolais de les avoir violées et Kinshasa avait promis qu'ils seraient traduits devant la justice.

 

Il revient à chaque pays de sanctionner ses Casques bleus responsables d'infractions.

 

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon avait qualifié ces abus de cancer dans (son) organisation et avait annoncé qu'il n'hésiterait pas à rapatrier des contingents entiers de Casques bleus s'ils commettaient des exactions et que leurs pays d'origine ne les sanctionnaient pas.

 

M. Ban a limogé en août le chef de la Minusca puis a commencé à suspendre les salaires de Casques bleus impliqués dans des exactions.

 

Seize missions de maintien de la paix de l'ONU, comptant près de 105.000 soldats et policiers venant de 124 pays, sont actuellement déployées dans le monde.

 

Le pays contributeur reçoit environ 1.000 dollars par mois pour chaque Casque bleu.

 

Le chef actuel de la Minusca, le Gabonais Parfait Onanga-Anyanga a condamné de tels actes qui sont complètement inacceptables et promis de prendre rapidement des mesures appropriées si ces allégations sont confirmées.

 

L'ONU s'apprête en outre à envoyer plus d'un millier (1.140) de Casques bleus supplémentaires dans le pays, en proie à de nouvelles violences à l'approche d'élections législatives et présidentielle le 27 décembre.

 

Le renversement en mars 2013 du président François Bozizé par la rébellion Séléka a plongé l'ex-colonie française dans sa plus grave crise depuis son indépendance en 1960, déclenchant des tueries entre communautés musulmane et chrétienne en 2013 et 2014.

 

Des responsables de l'ONU sont par ailleurs en discussion avec le Vatican concernant la sécurité du pape François lors de sa visite en Centrafrique les 29 et 30 novembre.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

11 November 2015 defenceWeb (Reuters)

 

France will resume withdrawing its troops from Central African Republic following elections intended to restore democratic rule following more than two years of inter-religious violence, French Defence Minister Jean-Yves Le Drian said on Tuesday.

 

Paris sent soldiers to its former colony in late 2013 in an attempt to stem the bloodshed, which began after the mainly Muslim Seleka rebels seized power earlier in the year provoking a backlash from Christian anti-balaka militias.

 

Interim authorities announced a timetable on Tuesday for the long-delayed presidential and parliamentary polls, fixing the first round of voting for Dec. 27 and a second round, if needed, for Jan. 31.

 

They will be preceded by a referendum on Dec. 13 on changes to the constitution, according to a government decree.

 

France began withdrawing some of its troops, who numbered around 2,000 at the peak of the mission known as Sangaris, earlier this year. The country's U.N. mission, MINUSCA, has meanwhile struggled to restore and maintain order.

 

Speaking on the sidelines of a security forum in Senegal, Le Drian told reporters that a recent surge in violence had forced France to put the withdrawal on hold.

 

"We decided to stop the process of winding down Sangaris to allow our force to support MINUSCA during the electoral period. Then it will be up to the new authority to decide how to organise its own army," he said.

 

Militia violence and inter-religious reprisal attacks have killed around 90 people in the capital Bangui since late September. French troops have been instrumental to containing the situation.

 

Last month they helped halt a column of Seleka fighters that was advancing on Bangui.

 

"Since a little more than a month ago, we have again seen an increase in violence which we think is due to the fact that the extreme groups on both sides realise that the democratic process is advancing," Le Drian said.

 

Some analysts have warned that premature elections could do more harm than good. But the international community has nonetheless pressed for polls before the end of this year to replace the current interim authority, which has been plagued by internal bickering, with an elected government.

 

A Western diplomat told Reuters on Tuesday that, while the mandate of the interim authorities is due to expire next month, a regional summit later this month was expected to renew it through February to cover the election period.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:30
A-10 Warthogs flying in support of Operation Inherent Resolve. U.S. Air Force

A-10 Warthogs flying in support of Operation Inherent Resolve. U.S. Air Force

 

November 10, 2015 Michael W. Pietrucha & Jeremy Renken – War is Boring

 

Supporting friendly forces on the ground will keep us out of another quagmire

 

A year into the coalition campaign, air power has proven an effective instrument to both weaken Daesh and aid friendly forces. But with sectarian divisions and the Bashar Al Assad regime’s brutality creating a steady flow of recruits to replace battlefield losses, there is no indication that Daesh will starve, unravel or be conventionally “defeated” anytime soon. Yet, if Daesh has not disintegrated, it has also not gained significant territory since the fall of Ramadi — which was more than offset by losses in north-central Iraq and in Kurdish areas along the Syria-Turkey border. The notable exception to that rollback has been Daesh’s advance into south-central Syria around Palmyra, where Daesh is fighting not against Kurds or the Free Syrian Army, but against Assad regime forces, thus denying coalition air power a “friendly” force with whom to coordinate.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:30
Riyad achèterait pour 10 mds USD d'armes russes

 

11.11.2015 sputniknews.com

 

La Russie pourrait notamment livrer à l'Arabie saoudite des systèmes de missiles tactiques Iskander (code Otan: SS-26 Stone).

 

Plusieurs contrats pour la livraison d'armes russes à Riyad sont en cours de préparation en vue d'une possible visite du roi saoudien Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud en Russie, rapporte le journal russe Vedomosti.

 

Auparavant, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a annoncé aux journalistes que la visite du monarque saoudien en Russie était en train d'être préparée par des diplomates des deux pays.

 

Selon le quotidien Vedomosti, qui cite des sources au sein du holding russe de hautes technologies Rostec et de l'agence d'exportation d'armements Rosoboronexport, le roi pourrait se rendre en Russie fin novembre.

 

Par le passé, le directeur général du Rosoboronexport Anatoli Issaїkine a déclaré que son agence considérait les pays du golfe Persique en tant qu'éventuels partenaires dans le domaine de la coopération militaro-technique.

 

Iskander est un système russe de missiles balistiques courte portée ou moyenne portée de nouvelle génération. Pour le moment, les systèmes Iskander n'ont jamais été vendus à l'étranger.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:30
Warplanes: Crop Dusters At War

 

November 11, 2015: Strategy Page

 

The UAE (United Arab Emirates) recently donated four U.S. made AT-802 single engine aircraft to Jordan for reconnaissance and surveillance missions. This 7.2 ton aircraft first appeared in 1990 as a crop duster. The aircraft had a built in 3,100 liters (820 gallons) tank for insecticide or whatever. But it was soon noted that it could also perform well for fire-fighting (by dropping fire retardant). Cruising speed of the AT-802 is 356 kilometers an hour and endurance is about three hours.

 

In 2009 a militarized version appeared, with lightweight armor around the cockpit and key components. There was also a bulletproof windscreen. The frame was strengthened to give the aircraft a useful life of 12,000 hours in the air. The military version could have one or two seats plus seven hard points for up to four tons of missiles or bombs and a fire control system to handle smart weapons. The UAE bought 24 of these and recently transferred three AT-802s to the Yemeni Air Force and is training more pilots and maintenance personnel to operate these light bombers. There are already some Yemeni (or UAE) pilots operating the Yemeni AT-802s there. These aircraft can use GPS and laser guided bombs.

 

The idea for the militarized version came after eight AT-802 aircraft, paid for by the U.S. State Department, were given to Colombia in 2002. These were used to eradicate drug crops under an American anti-drug program. Because the drug gangs will shoot back these AT-802s were modified with the addition of the same type of armor (including self-sealing fuel tanks and internal fire extinguishing system) that showed up in 2009 military version. By 2009 the customized AT-802s for Colombia had evolved into the AT-802U, a military versions which has been increasingly popular for reconnaissance and bombing.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:30
An airborne view of the Terra test site, where integration testing of the IAI Elta TERRA dual-band multi-radar system is taking place. Photo: IAI

An airborne view of the Terra test site, where integration testing of the IAI Elta TERRA dual-band multi-radar system is taking place. Photo: IAI

 

11.11.2015 IsraelValley Desk

 

Un nouveau système de radar d’Israël appelé “Terra” est conçu pour identifier chaque missile, satellite ou avion ennemi à une distance de plusieurs milliers de kilomètres.

 

Le système se compose de deux types de radar qui se complètent mutuellement: le premier est le radar à courte portée « Ultra » qui peut fournir la première identification d’un missile ou d’un avion lancé et commencer à le suivre tout en recueillant des statistiques sur sa destination prévue. C’est là que le radar « Spectra » joue son rôle et fonctionne à une résolution plus élevée lors de la collecte de données précises sur le missile: type, poids, vitesse de vol, cible estimée.

 

Les deux radars « Terra » offrent une gamme combinée de 320 degrés et peuvent fonctionner l’un à côté de l’autre ou éloignés. En effet, le radar « Spectra », le plus petit des deux, peut être monté et utilisé de façon portable.

 

Le coût du système atteint des centaines de millions de dollars. Le radar plus petit, le « Spectra », pèse 130 tonnes et mesure 15 mètres de large et neuf mètres de haut. Le «Ultra» pèse 280 tonnes et mesure 30 mètres de large et 10 mètres de haut. Les deux sont plus grands que le radar américain Aegis.

 

Le système a été conçu par l’Israel Aerospace Industries (IAI) et sa filiale Elta, où sont conçus la plupart des systèmes de radar en Israël. Il n’est pas actuellement vendu en Israël, mais a déjà été utilisé pendant près de deux ans par des armées étrangères.

 

Le développement a duré trois ans, un record international pour la quantité de temps nécessaire pour développer un tel système. Quatre cents personnes ont travaillé sur son développement, y compris des ingénieurs et techniciens dans les usines IAI à travers Israël.

 

« Les pays du Moyen Orient avaient déjà des missiles balistiques rapides il y a dix ans, qui ont depuis été améliorés, et qui aujourd’hui peuvent atteindre des cibles, en moyenne deux à trois fois plus vite », explique une source de haut rang de l’industrie aérospatiale. « Le système est capable d’identifier et de recueillir des données fiables sur un grand nombre de cibles différentes en même temps – des missiles à longue portée, des satellites et différents types d’avions, y compris des drones », ajoute-t-il.

 

Chacun des deux radars du système est composé de centaines de petits radars qui, ensemble, peuvent se connecter à d’autres systèmes de pistage, donnant ainsi une image complète du ciel.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:30
Lebanese AF Selects A-29 Super Tucano for Close Air Support Role

 

Nov 9, 2015 ASDNews  Source : Embraer - Empresa Brasileira de Aeronautica S.A

 

The Republic of Lebanon today confirmed the acquisition of six A-29 Super Tucano turboprop aircraft from Embraer Defense & Security and Sierra Nevada Corporation. The contract includes logistics support for aircraft operation as well as a complete training system for Lebanese Air Force pilots and mechanics. The sale was approved in June by the U.S. State Department. The aircraft sale is part of a larger, more comprehensive package, including infrastructure improvements, that will be fulfilled by other parties not involved in the Embraer/SNC partnership. The planes, which are currently in operation with 10 Air Forces around the world, will be built in the Jacksonville, Florida.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:20
MC-130J Commando II aircraft assigned to Air Force Special Operations Command -  photo Lockheed Martin

MC-130J Commando II aircraft assigned to Air Force Special Operations Command - photo Lockheed Martin

 

November 10, 2015: Strategy Page

 

In late 2015 U.S. SOCOM (Special Operations Command) two more MC-130J all-weather transports. SOCOM has already received most of the 37 on order and deliveries are supposed to be complete by 2017. This is part of a major program to upgrade and expand the SOCOM fleet of specialized aircraft. Despite cuts in the American defense budget since 2010 SOCOM gets money for its aircraft program because SOCOM personnel are still in big demand worldwide.

 

Since 2009 SOCOM  has been devoting the largest chunk of its procurement budget to aircraft and most of that is going for one type of aircraft; the C-130J. SOCOM wants to buy about a hundred C-130Js and use them as commando transports (MC-130J) or gunships (AC-130J). In addition several hundred million dollars is being spent on sensors and weapons that can be quickly installed in MC-130Js to turn them into temporary gunships.

 

All this spending on aircraft is because the SOCOM air force has been worked hard since September 11, 2001 and has been constantly short of aircraft and qualified pilots. Back in 2009 SOCOM looked at their air force (some 300 MC-130s MH-53s AC-130s MH-6s MH-60s CV-22s and a few other types) and drew up a plan to shrink and update this overworked and aging collection of transports and helicopters. Having fewer, but more capable aircraft was seen as the only way out of the chronic shortages of aircraft and pilots. There was also the problem of aircraft worn out from heavy use and combat damage. So in addition to replacing the elderly C-130s SOCOM also sought to take the 31 MH-47Ds and E helicopters  (which have additional navigation gear) and upgraded them to MH-47F standards while the fleet was expanded to 61 helicopters. Most other SOCOM aircraft were also to be upgraded or refurbished.

 

Meanwhile the expansion and refurbishment program could not keep up with the demand in Afghanistan. Worse, there was never been enough logistics support to service all the jobs SOCOM is called on to do. In response, SOCOM improvised as much as they could. They borrowed aircraft and logistics support from other units. SOCOM is a high priority outfit, and can often get some of what they need. When SOCOM is providing specialized support for the combat units they borrow resources from they don't have a problem.

 

However when it's a pure SOCOM mission the army and air force are not as eager to part with scarce resources. What it means is that troops are operating at less than peak efficiency because they don't have all the tools they need to get the job done. Missions get cancelled, and opportunities are lost. SOCOM is a flexible outfit, and adaptations are often made. More commando operations were carried out using ground transportation. More troops, and equipment, were parachuted in. SOCOM is even obtained UAVs that can carry supplies. SOCOM is all about innovation, and a helicopter shortage is just seen as another opportunity to be creative. But there was always an ultimate solution for a lot of the air transportation and it was the new C-130J.

 

Back in 2011 SOCOM received its first MC-130J. This was part of a larger U.S. Air Force effort to replace 200 worn out C-130Es. The C-130J transport proved to be more than just another model in the fifty year old C-130 design. This is mainly because it's cheaper and easier to use. Like most new commercial transports, the C-130J emphasizes saving money. The new engines generate 29 percent more thrust while using 15 percent less fuel. Increased automation reduced crew size from four to three. The rear ramp door can now be opened in flight when the aircraft is going as fast as 450 kilometers an hour, versus the current 270 kilometers an hour.

 

The SOCOM MC-130s are all-weather aircraft used for everything from moving SOCOM personnel and equipment around the combat zone, to parachuting supplies, refueling helicopters in the air, dropping bombs and propaganda leaflets, or loading a pallet or two of electronic gear for special reconnaissance or psychological warfare missions. MC-130s are particularly useful because they have terrain following radar that enables them to fly at low altitude, especially at night or during bad weather. MC-130s have several additional navigation and communication systems, which allow them to fly in all weather, especially low enough to avoid radar detection.

 

C-130Js have cost nearly twenty percent less per hour than previous models. The most common version of the C-130 still in service is the C-130H. It has a range of 8,368 kilometers, a top speed of 601 kilometers per hour, and can carry up to 18 tons of cargo, 92 troops, or 64 paratroopers. The latest version, the C-130J, has a top speed of 644 kilometers, 40 percent more range than the C-130H, and can carry 20 tons of cargo. The stretched C-130J-30 can carry more bulky cargo, and goes for about $100 million each. The C-130J has a top speed of 644 kilometers, 40 percent more range than the C130H. The C-130 has been in service for over half a century, and has been flying for over 50 countries.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:20
Photo: U.S. Northern Command

Photo: U.S. Northern Command

 

November 11, 2015: Strategy Page

 

On October 28th a JLENS (Joint Land Attack Cruise Missile Defense Elevated Netted Sensor) blimp undergoing testing at a U.S. Army base in Maryland (north of Washington DC) broke loose and drifted for nearly four hours and 240 kilometers until the deflation device (for such emergencies) activated and brought the blimp down. Because the blimp was dragging about 2,200 meters of tether (the cable that keeps the blimp in one place) some 26,000 civilians in its path (rural Maryland and Pennsylvania) lost electrical power for hours as the tether shorted out power lines. There were no injuries but all the damage and disruption is going to cost the army nearly $200 million. It is also likely to get the JLENS program shut down. While there have been JLENS type systems suffering runaway blimps in Afghanistan and Iraq, these did not make the news and were recovered and soon back in service. But a runaway blimp not far from the American capital is another matter. There were originally supposed to be 16 JLENS systems built by now but for a number of reasons there are only two and the other is in storage. JLENS technology has been useful even as JLENS itself has had many problems. The latest wandering blimp incident may prove fatal for JLENS.

 

Since the 1990s the U.S. Department of Defense has spent nearly $3 billion to develop JLENS a system that used tethered blimps to carry radars that could spot low-flying aircraft like helicopters, small planes and cruise missiles so that these targets could be attacked using missiles or autocannon, fired from the ground or the air, to destroy these hard to detect (using normal radars) targets. Even before the runaway JELENS there was a lot of political pressure to cancel JLENS because of failure to perform. Naturally it’s more complicated than that. While JLENS technology has proved very useful since September 11, 2001, there is concern that JLENS itself never achieved a high level of effectiveness and reliability in performing the task it was originally designed for. The manufacturer insists these accusations are baseless but it is true that JLENS has had several recent embarrassments when the system was not ready when needed or it was operational but did not spot the low flying threat or did spot it but could not tell if it was hostile.

 

One of the original uses JLENS was developed for was to help defend offshore oil facilities from attack by terrorist speedboats. This it was able to do after 2003 in Iraq. But in more crowded environments (like urban areas) JLENS spotted too many low flying objects but could not tell which ones were a threat and which were not. This has now become an issue because JLENS type systems are no longer in Iraq.

 

The JLENS system uses two 75 meter (233 foot) long, helium filled, unmanned blimp equipped with radar and other sensors. A JLENS blimp is about 2.5 times the size as the more familiar advertising blimp. Actually, the JLENS blimp is an aerostat, a blimp like vehicle designed to always turn into the wind and stay in the same place. The JLENS blimp is unpowered and secured by a cable (tether) that can keep the aerostat in position at its maximum altitude of 5,000 meters (15,000 feet). At that altitude the JLENS aerostat can carry a two ton payload. The cable also supplies power, which means the blimp can stay up for about 30 days at a time before it has to be brought down for maintenance on its radars. Two radars are carried in each aerostat. One is a surveillance radar, the other is a precision track and illumination radar (PTIR). The surveillance radar provides long-range coverage (over 300 kilometers, exact range is secret), while the PTIR, which is a steerable system capable of tracking multiple targets, can focus in on items of interest. Thus each JLENS can cover a huge area and can pass target data to airborne or ground based missile systems for interception.

 

A major JLENS success was using JLENS technology for similar systems defending bases in Iraq and Afghanistan from ground attack. While larger UAVs are popular, mainly for their persistence (the ability to stay in the air, over a particular area, for a long time) and some (Predator, Reaper and Global Hawk) can stay in the air for over 24 hours at a time, they still have to land regularly to be refueled or undergo maintenance. In Iraq the military found that "stationary UAVs" (helium filled aerostats or tall towers) not only do the job just as well but do it a lot cheaper (under $1000 an hour, mostly for maintenance, repairs, and personnel to monitor the sensors). Compare this to Predator, which costs $5,000 an hour to operate, and Global Hawk, which costs $25,000 an hour. Global Hawk is so expensive partly because of the high end sensors used. Not everyone needs the high flying Global Hawk or even a Predator. They just need a way to keep an eye on a large area (like a chunk of the Syrian, Iranian, or Pakistani border) 24/7. JLENS and its ground defense variant (RAID) are a much cheaper alternative and have become popular alternatives to mobile UAVs.

 

In 2004 the U.S. Army sent 22 blimps (aerostats, actually) to Iraq and Afghanistan to operate as part of RAID (Rapid Aerostat Initial Deployment) systems. These systems were based on JLENS. The blimps float at about 320 meters (a thousand feet) up, tethered by a cable that provides power and communications to the day and night cameras up there. The big problem is ground fire from rifles and machine-guns. Iraqis, in particular, like using the RAID blimps as targets. Rifle fire won't destroy the blimps but does cause them to be brought down more frequently for repairs. Bullet-hole repairs often have some of them coming down every few days. There are surveillance systems similar to RAID but mounted on tall steel towers. These also suffer gunfire damage, but rarely any that damage the equipment.

 

The first army blimp sent to Iraq in early 2004 was one of its JLENS systems. JLENS equipment was also modified to be mounted on a tower even though it was most effective when operating from the aerostat. JLENS sensors can not only detect and track low flying aircraft and missiles but also small boats and ground vehicles. Off the coast of Iraq it could detect hostile boats making a run for Iraqi oil facilities. JLENS has been used in Afghanistan as well. JLENS was still in development in 2002 but much of the tech was soon approved for mass production. In addition to providing 24/7 coverage for approaching cruise missiles JLENS can also provide a communications relay for other radars and weapons systems (anti-aircraft missiles and warplanes) to coordinate detection and destruction of cruise missiles.

 

The RAID systems (used on aerostats as well as towers) are much cheaper than JLENS, less than five million dollars each, and the army has bought over a hundred of them. When RAID aerostats operate at an altitude of a 320 meters their cameras can see out to about sixty kilometers. The smaller towers shorten that range quite a bit. The ten meter (30 foot) tower can see out to eleven kilometers, the 20 meter (60 foot) tower out to 16 kilometers, and the 27 meter (84 foot) tower out to 20 kilometers. The ten meter tower is adequate for most situations, which usually involve guarding a base. The JLENS and RAID systems are operated by air defense troops, often from the reserves or National Guard.

 

One of the two JLENS built is used for development. This included testing new capabilities being added to JLENS. In 2013 the army and air force successfully tested a new air defense capability by using its JLENS system to detect an anti-ship cruise missile and automatically pass the target data to an F-15 via its digital data link (Link 16), and enabling the pilot to launch an AMRAAM missile to intercept the incoming cruise missile. This is a major reason for the huge cost of JLENS; adding new capabilities and costs. This is a problem with most peacetime weapons development programs and JLENS is a good example of this bad habit.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:20
Persistent Close Air Support (PCAS)

Persistent Close Air Support (PCAS)

 

Nov 8, 2015 ASDNews Source : Raytheon

 

Raytheon Company (NYSE: RTN) has successfully completed the flight test phase of the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA)'s Persistent Close Air Support (PCAS) program.

 

PCAS is a package of technologies designed to speed close air support to soldiers on the battlefield, enabling ground troops, Joint Terminal Attack Controllers (JTACs) and combat aircrews to share real-time situational awareness and weapons systems data. Executed in three phases, the four-and-a-half year program included flight testing during the first six months of 2015.

 

"The PCAS program was able to reduce close air support response times from nearly one hour to less than six minutes," said Tom Bussing , Raytheon vice president of Advanced Missile Systems. "By speeding critical information to decision makers, PCAS could save lives in the battlespace."

 

During the U.S. Marine Corps' Talon Reach V exercise in March, the program demonstrated end-to-end, fully digital weapons release of a Griffin missile from a modified MV-22 Osprey tiltrotor aircraft. In May, an A-10C Thunderbolt II attack aircraft and a joint terminal attack controller (JTAC) on the ground, both using PCAS' real-time digital communications and situational awareness capabilities, successfully employed 10 GPS- and laser-guided weapons in a second series of flight tests.

 

The PCAS system is designed to be platform-, digital radio-, sensor-, and weapons-class agnostic, and to be portable from platform to platform. The two main parts of the system are PCAS-Air, which consists of smart launcher electronics and a pilot tablet, and PCAS-Ground, which comprises the equipment used by the JTAC.

 

Raytheon is the systems integrator for PCAS. The company leads an industry team comprised of Rockwell Collins, General Electric, BAE Systems, Northrop Grumman and 5-D Systems. Raytheon brings its expertise in overall systems integration, weapons, aircraft integration and unmanned aircraft system ground control stations to PCAS.

 

As part of its conclusion of the program, DARPA is now focusing on transitioning PCAS technology demonstrated on both the A-10C and the MV-22 to different military platforms. DARPA is also working with the Army on other PCAS transition activity relevant to ground forces and manned and unmanned aircraft.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:20
États-Unis. Les sociétés militaires privées boivent la tasse

 

10 Novembre 2015 par Philippe CHAPLEAU – Ouest-France

 

Le retrait d'Irak et d'Afghanistan a provoqué une baisse des commandes fédérales. DynCorp qui a perdu 2 de ses instructeurs, en Jordanie, n’en finit pas d’annoncer des pertes.

 

 « Guerre » non seulement rime avec « bonnes affaires » mais les termes sont synonymes. La formule est cynique mais indiscutable. Et quand, enfin, survient la paix, la crise dans le secteur de la défense et la dépression chez les équipementiers sont inévitables.

 

Fin de l'âge d'or

Aux États-Unis, entre 2002 et 2012, les dépenses du Département américain de la Défense (le DoD) ont augmenté de 45 %. Mais l’Âge d’or a brutalement pris fin et des entreprises aux revenus longtemps dopés par les guerres d’Irak et d’Afghanistan voient leur chiffre d’affaires décimé. Pour l’année fiscale 2013, les dépenses du DoD ont reculé de 15 % et la tendance baissière s’est accentuée sous l’effet du mur budgétaire. Dès 2013, 17 des 20 plus grands équipementiers militaires ont vu leur chiffre d’affaires décroître. Si Boeing a tiré son épingle du jeu, c’est grâce à ses activités commerciales civiles. Comme le résume Tom Captain, en charge du domaine Espace/Défense chez Deloitte : « Il y a trop d’entreprises pour trop peu de dollars. Il n’y a pas suffisamment de travail pour tout le monde ». D’où des faillites, des licenciements et des plans de restructuration en cascade qui affectent aussi les PME frappées de plein fouet par les coupes claires dans les commandes du Pentagone.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 07:30
Royal Saudi Air Force F-15 Eagle fighter aircraft

Royal Saudi Air Force F-15 Eagle fighter aircraft

 

Nov 9, 2015 ASDNews Source : Lockheed Martin

 

Lockheed Martin (NYSE: LMT) received a $262.8 million contract from the U.S. Air Force for sustainment of the Kingdom of Saudi Arabia’s F-15 sensor suite. The sensor suite includes Sniper ® Advanced Targeting Pods (ATP), LANTIRN Extended Range (ER) navigation pods and Infrared Search and Track (IRST) systems. Under the contract, Lockheed Martin will collaborate with Advanced Electronics Company (AEC) to perform Sniper ATP and LANTIRN ER sustainment services as well as LANTIRN ER pod upgrades at the Sniper Expanded Repair Capability facility in Saudi Arabia. Lockheed Martin will support IRST sustainment at its IRST depot in Orlando, Florida.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 07:20
DynCorp fait la "une" avec ses pertes: deux tués en Jordanie et des résultats trimestriels dans le rouge


10.11.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Les deux contractors US tués lors de la fusillade de Jordanie appartiennent à la firme DynCorp. Le porte-parole du DoS (State Dept) l'a confirmé hier soir.

DynCorp et quatre autres sociétés américaines: Justice Services International, MPRI qui appartient à L3C, PAE Government Services, Civilian Police International ont été retenues en 2011 par le Département d'Etat dans le cadre de l'ex-programme CIVPOL devenu le "Criminal Justice Program Support" (CJPS). Voir l'avis d'attribution de 2011 ici.

DynCorp déploie actuellement du personnel dans le cadre du "Palestine Task Order" d'une valeur annuelle de 10 millions de dollars. La firme US recrutait encore, il y a quelques jours, des agents pour ses "mobile training teams" (voir ici) qui ont la responsabilité du programme de formation des Palestiniens.

Par ailleurs, DynCorp a dévoilé hier ses résultats trimestriels (voir ici). Du mieux mais pas fameux... Pour le 3e quarter 2015, le CA a été de 479,8 millions de dollars (540,3 pour la même période en 2014) et les pertes de 15,7 millions (71,5 millions pour la même période en 2014).

Ces résultats laissent espérer un CA annuel de l'ordre de "1,89 à 1,93 milliards de dollars" selon Lou Von Thaer, le CEO de DynCorp. On se souviendra que le CA de 2014 était de 2,3 milliards et celui de 2013 de 3,3 milliards.

Les revenus de DynLogistics dégringolent toujours; seul DynAviation retrouvent des couleurs, son CA pour le 3e quarter étant de 313 millions (contre 293, il y a un an).

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 22:30
Les Emirats arabes unis prêts acheter Rafale

Les Emirats arabes unis prêts acheter Rafale

 

11/11 Les Echos (Reuters)

 

Selon des sources du secteur de la défense, les Emirats souhaitent acquérir 60 avions de chasse.

 

Les négociations au sujet de l'achat d'avions Rafale par les Emirats arabes unis sont entrées dans leur phase finale, a déclaré mercredi à Reuters le chef de l'armée de l'air de ce pays du Golfe. Selon des sources du secteur de la défense, les Emirats souhaitent acquérir 60 avions de chasse et ils examinent avec attention la possibilité d'acheter ces appareils à Dassault Aviation, après s'être intéressés dans un premier temps à l'Eurofighter.

 

"Je pense que nous sommes dans la dernière phase des négociations", a dit le général Ibrahim Nasser al Alaoui, commandant des forces aériennes des Emirats, interrogé sur la perspective d'un accord pour acheter des Rafale à Dassault.

 

Il a néanmoins souligné qu'aucune décision définitive n'avait été prise. Il n'a pas été possible dans l'immédiat de joindre Dassault Aviation. Le ministère français de la Défense a refusé de s'exprimer sur le sujet.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 20:35
Weapons: Snipers Break Another Distance Record

 

November 11, 2015: Strategy Page

 

Note RP Defense: "visiblement" nos amis américains ne lisent pas le français.

 

The distance record for sniper kills has been broken again [in 2012 !!], this time by two Australian snipers in Afghanistan using M82A1 12.7mm (.50 caliber) rifles. In a coordinated shot at a Taliban leader 2,800 meters away the two snipers fired simultaneously and six seconds later the Taliban chieftain fell dead. It will never be known which of the two shots got him. The victim would not have heard the shot, the rifles were so far away and the bullet was travelling faster than the speed of sound. About two seconds later anyone with the dead Taliban man would have heard the two shots, but faintly as the shooters were nearly three kilometers (two miles) away.

 

The previous record shot was made in November 2009 by a British sniper (corporal Craig Harrison) who killed two Taliban in Afghanistan, at a range of 2,620 meters (8,596 feet). He did this with a L115A3 rifle firing the 8.6mm Lapua Magnum round. Before that the record was held by a Canadian soldier, corporal Rob Furlong, who dropped an al Qaeda gunman at 2,573 meters (7,972 feet) in 2002, also in Afghanistan with a 12.7mm rifle. These weapons are good at 2,000 meters or more, but weigh twice as much as the 6.8 kg (15 pound) 8.6mm rifles.

 

In 2007 the British Army began replacing most of its 3,000 7.62mm L96A1 sniper rifles with one modified to use the .338 (8.6mm) Lapua Magnum caliber round. This Accuracy International "Super Magnum" rifle is basically a L96A1 "Arctic Warfare" rifle modified to handle the larger, 8.6mm Lapua Magnum round. The L115A1 weighed 6.8 kg (without a scope), was 1.27 meters (fifty inches) long and had a 686mm (27 inch) barrel and a five round magazine.

 

Snipers in Iraq, and especially Afghanistan, had been calling for a smaller long range round because they found the 12.7mm weapons too heavy. The .338 (8.6mm) Lapua Magnum round has an effective range (about 1,500 meters) about 50 percent greater than the 7.62mm standard NATO round. Like most long range rounds, if the weather (clear) and winds (calm) are right, you can hit targets farther away. Those were the conditions Harrison encountered when he took his three shots (the third one hit the machine-gun the two Taliban were using.)

 

The 8.6mm round entered use in the early 1990s, and became increasingly popular with police and military snipers. Dutch snipers have also used this round in Afghanistan with much success, and have a decade of experience with these larger caliber rifles. Recognizing the popularity of the 8.6mm round, Barrett, the pioneer in 12.7mm sniper rifles, came out with a 7 kg (15.5 pound) version of its rifle, chambered for the 8.6mm.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 20:30
photo Russia MoD

photo Russia MoD

 

November 10, 2015: Strategy Page

 

In eastern Ukraine (Donbas) Russia is pulling a lot of its best troops out and sending them to Syria. At the same time more Russian troops are refusing to serve in Donbas. This is a tricky situation because officially Russia denies having any troops in Donbas. In fact (and Ukraine has plenty of evidence) there are thousands of Russian troops in Donbas and without them the rebellion there would collapse. A growing number of Russian soldiers are opening defying their government and refusing orders to “volunteer” for service in Donbas. Over a hundred are being prosecuted. The reason for all this is unexpected Ukrainian resistance and massive international outrage (and sanctions). Ukraine tripled its defense spending since early 2014, greatly reduced the corruption in defense procurement and within a year had 500 operational tanks and were building 40 new ones a year. When Russia invaded in early 2014 Ukraine officially had over 2,000 modern tanks (T-72 types) but none were operational. That was because the money for maintaining them had regularly been stolen. Ukraine still has major problems with corruption and foreign donors insist that aid will be limited until more progress is made eliminating corrupt practices.

 

Since the Donbas fighting began nearly two years ago nearly 8,000 have died. The local rebels (largely ethnic Russians) believed Russian military might would quickly make Donbas part of Russia and that would be the end of it. It did not work out that way and now the rebels are spending a second Winter in a bombed out and shot up Donbas. The rebels in Donbas have lost a lot. The economy is a shambles and many have seen their families flee to exile in Russia or Ukraine.

 

The Russian supported Syrian government forces went on the offensive in October and for a week or so seemed to make some progress but then stalled. Russians in Syria noted that the rebels quickly responded to the Russian air power and become less aggressive and mobile. Instead the rebels concentrated on defense. Thus the Russian intervention appears to have stopped most rebel advances. Russia has largely left ISIL (Islamic State in Iraq and the Levant) forces alone and ISIL has taken advantage of this and increased its attacks on Syrian rebels who oppose ISIL (who believes it should command all rebels). The Russians are willing to leave ISIL alone as it attacks other rebels but everyone understands that once ISIL becomes the primary rebel threat to the Assad government ISIL will be the main target of Russian air attacks.

 

The Russian air strikes, guided by Syrian ground controllers has killed about 600 people so far, 70 percent of them rebels. The rest were civilians. Over a year of American and allied air strikes have killed about 3,700 and 94 percent of them have been rebels. The American have more restrictive ROE (Rules of Engagement) that seek to keep civilian deaths to a minimum. Thus ISIL (and some other Islamic terrorist groups) use a lot of human shields, often quite blatantly (like putting them in metal cages and posting pictures on the Internet). The Russians ignore human shields and that means the rebels are more cautious when Russian warplanes are about. 

 

Russia has sent hundreds of special operations personnel to Syria. Iran has some special operations troops in Syria and they appear to serve mainly for collecting intelligence and attacking key rebel leaders (not always successfully). Iran is providing a lot of trainers, combat advisors and, judging from the number of dead Iranian officers (whose families back in Iran do not hide their grief or keep it out of the media) the Iranians are deeply involved in supervising these offensive operations.  Russia would like Iran to be more secretive about Iranian generals getting killed in Syria. Ten have died there since 2013 and most of those deaths were recent. Syria is a much more dangerous place for Iranian military advisors as only one Iranian general has been killed in Iraq so far.

 

Russia is also learning the hard way how difficult it is to maintain modern warplanes in the sand and dust of the Middle East. Russia knew about this problem because for decades it had sold military aircraft to countries (including Syria) in the region. But it turned out that there were a lot of (often minor) modifications Syrian maintainers made to their Russian aircraft to keep them operational in this environment. Russian maintainers are working overtime to adapt to all this. Despite that Russia is still getting several sorties a day out of many of the fifty or so warplanes it has in Syria. On some days there are nearly a hundred air strikes. The 50 or so Russian aircraft in Syria consist of Su-34 and Su-30 fighter-bombers, Su-24M bombers and Su-25 ground attack aircraft as well as about a dozen armed helicopters. There are also many transport helicopters. The Russians have also brought in UAVs and electronic monitoring equipment and have a lot better sense of where the best targets are. This has caused a lot of damage to the rebels who find their supply facilities and other support operations being bombed.

 

November 9, 2015: A Russian official revealed that the long delayed (since 2007) S-300 anti-aircraft missile systems Iran had purchased were now being prepared for shipment. The new contract was recently signed and Russia now expects to be the major supplier of weapons to Iran once the sanctions are lifted. Russia and Iran have already settled disputes over the 2007 S-300 contracts. After the 2007 S-300 purchase was stalled Iran said it would create its own clone (Bavar-373) of the Russian S-300. Iran began work on the Bavar-373 in 2010, after Russia refused to deliver S-300 systems Iran had ordered. International sanctions, plus pressure from the United States and Israel led Russia to cancel the Iranian order. Iran has issued progress reports ever since and Bavar-373 is supposed to be ready for final testing in 2016. The actual Iranian missile for the Bavar-373 is called the Sayyad 3 and it appears to be the same size and shape as the S-300 missile and carried in similar canisters. Iran insists that Bavar-373 is superior to the S-300. Now that Russia has agreed to deliver S-300s Iran will have to reveal if it believes its own propaganda about which system is superior. Meanwhile Saudi Arabia and other Gulf oil states have ordered nearly $20 billion worth of American weapons so far this year.

In eastern Ukraine (Donbas) Russian supported rebels fired on Ukrainian troops near the Donetsk airport. The 90 minutes of cannon and machine-gun fire produced no casualties nor did three other firing incidents in Donbas in the last 24 hours, wounding at least five Ukrainian soldiers. It is unclear why the rebels broke the ceasefire. Today is when both sides announced they had withdrawn heavy weapons from a 30 kilometers wide buffer zone in Donbas. This had been agreed to in the September ceasefire document but the rebels delayed for a long time.

A UN report on performance enhancing drugs in international sports (particularly the Olympics) was finally issued and it was very bad news for Russia. The report documented many cases of Russian athletes using performance enhancing drugs and the Russia secret police (FSB) threatening Russian lab personnel processing drug tests for the 2014 Winter Olympics in Russia. The illegal activity was so widespread that there is talk of banning Russian athletes from international (including the next Olympics) competition. Russia denies everything but the sheer mass of evidence in the report is going to be hard to suppress. 

 

November 1, 2015: In the south (Ingushetia) police spotted two wanted Islamic terrorist leaders, who had switched to ISIL earlier this year, in a market and after a gun battle killed both men. In addition to firearms police seized five kg (11 pounds) of explosives. So far this year counter-terror operations in the Caucasus (which includes Ingushetia) have led to some 450 Islamic terrorists being killed or arrested. To do this the security forces down there carried out over 1,300 counter-terror operations (raids, patrols, stakeouts).

 

October 31, 2015:  A Russian airliner carrying 224 people (mostly Russian tourists returning home from Egypt) blew up over the Sinai Peninsula. There were no survivors. It soon became obvious that a bomb brought down the aircraft and many foreign airlines halted or restricted their flights to the Sinai (especially the Egyptian airport at the Red Sea resort complex). Russia resisted admitting that it was a terror attack because ISIL had quickly taken credit for the downed aircraft and said it was payback to Russian intervention in Syria. Egypt also resisted the ISIL claims but within ten days both Russia and Egypt acknowledged it was ISIL and took action. One local ISIL leader was then killed in Sinai and another identified. Egypt is a popular vacation spot for Russians and there were 80,000 Russians in the Red Sea resorts when the aircraft went down.

 

October 30, 2015: For the first time Iran was invited to meet with American and EU (European Union) diplomats for ongoing discussions in Europe about how to deal with the mess in Syria. Also attending are officials from Russia, Saudi Arabia, Turkey, Egypt, Iraq, Jordan and Lebanon. Iran has long complained loudly openly about being excluded from these talks and got an invite because of intense Russian pressure and by promising to make a useful contribution. Few of these negotiators expect a deal to be made. The Arab Sunnis want no part of Assad but the Iranians need to maintain Shia (as in Assad or a Shia replacement) rule in Syria. The racial and religious animosities between Arabs and Iranians is a major obstacle. This is made worse by the popular belief in the Moslem world that ISIL and al Qaeda are inventions of Israel and the West to damage Islam. The West (and a growing number of Moslems) see the main problem as the Arab refusal to take responsibility for their actions. ISIL comes out of the Sunni radicalism tolerated (and subsidized) in Saudi Arabia for decades. Iran, Syria and Russia all have a history of supporting and promoting terrorist groups. Getting past all these bad habits, many of them not the sort of thing the perpetrators are willing to even acknowledge publicly, makes negotiating a peace deal in Syria extremely difficult.

 

October 28, 2015: Russia denied that it is illegally flying Iranian weapons and ammo to Syria using Russian transports. This would be in violation of international sanctions against Iran. The flights apparently are taking place and Iraqi officials are looking the other way.

 

October 26, 2015: Russia is now accused of preparing for war in space. An American firm, Intelsat, is the largest operator of communications satellites (75 at the moment) in the world and fears some of its satellites are being targeted by the Russians for a possible attack on Western communications satellites. All this came about in early 2015 when it was noted that a Russian military satellite was being moved into orbits very close (as in ten kilometers) of two Intelsat satellites. These incidents, which took place over a period of five months were reported to the U.S. Department of Defense which revealed that it had noted two other Russian military satellites carrying out similar maneuvers, but not as close to American satellites. All of these maneuvers were representative of what an attack satellite would do when preparing to damage or destroy other satellites. When the Department of Defense asked the Russians what was going on they received no answer. This is ironic because a lot of Intelsat satellites were placed in orbit by Russian rockets.

 

October 25, 2015: Ukraine cut direct commercial air traffic with Russia. That means airlines in both countries can no longer sell direct flight tickets to about 1.2 million passengers a year. Now passengers will have to fly to a third country before continuing on to Russia or Ukraine.  This is another aspect of the continued deadlock in Donbas where Russian backed rebels still have control over most of one province.

 

October 21, 2015: Russian intervention in Syria is portrayed to Russians as part of an effort to curb Islamic terrorism inside Russia and appears to have helped. Some 2,000 radicalized Russian Moslems have gone to Syria to join ISIL but local officials in areas where most of these Russian recruits come from (the Caucasus, especially Chechnya) point out that Islamic terrorist activity in the Caucasus has declined this year and reports they have received from local informants indicates that most of those who went off to join ISIL have been killed.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 18:55
Commémorations de l'Armistice du 11 novembre 1918

François Hollande, président de la République, dépose une gerbe lors de la cérémonie du 11 novembre, à l'Arc de Triomphe.

 

11/11/2015 DICOD

 

Mercredi 11 novembre 2015, la France a commémoré le 97e anniversaire de l’Armistice de 1918. De nombreux événements se sont tenus pendant cette journée pour rendre hommage à l'ensemble des Morts pour la France tombés pendant et depuis la Grande Guerre.

 

97 ans après l’Armistice de 1918, de nombreux événements se sont tenus ce mercredi 11 novembre afin de rendre hommage aux morts pour la France tombés pendant et depuis la Première Guerre mondiale. En début de matinée, sur les Champs-Elysées, Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens combattants et de la Mémoire, a commémoré avec Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, la manifestation des étudiants du 11 novembre 1940, qui constitua l’un des premiers actes de Résistance en France occupée (voir encadré).

Après la traditionnelle cérémonie à l’Arc de Triomphe aux côtés du président de la République, François Hollande et du Gouvernement, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, et Jean-Marc Todeschini ont reçu à l’hôtel de Brienne les familles des militaires décédés en service dans l’année. Depuis 2012, la journée du 11 Novembre commémore en effet non seulement les morts de la Grande Guerre mais aussi ceux morts au service de la France depuis, notamment en opérations extérieures.

 

L’après-midi enfin s’est déroulée la cérémonie organisée chaque année à la forêt de Rethondes (Compiègne, Oise), où fut signée l’Armistice.

En marge de ces cérémonies commémoratives, le secrétaire d’État Jean-Marc Todeschini a rencontré son homologue australien, Stuart Robert, en visite officielle en France. Ils ont déposé notamment une gerbe à l’Arc de Triomphe en reconnaissance de la mémoire partagée entre les deux pays et de la contribution des forces australiennes à la Grande Guerre.

 

Commémorations de l'Armistice du 11 novembre 1918

Rappel : La manifestation du 11 novembre 1940 est une manifestation de lycéens et d'étudiants ayant eu lieu sur les Champs-Élysées et devant l'Arc de Triomphe en commémoration de l'Armistice du 11 novembre 1918. Rassemblant plusieurs milliers de personnes, elle est durement réprimée par les occupants nazis.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 18:45
Photo  R. Pellegrino ECPAD

Photo R. Pellegrino ECPAD


10.11.2015 Par
 

Au Forum de Dakar, la France se montre particulièrement active. Il s'agit pour Paris de convaincre tous ses partenaires africains de s'engager toujours plus dans la sécurité collective. Renseignement, conseil, formation, etc.,les Français multiplient les initiatives pour organiser la défense des pays du continent... Et la leur.

 

Comme lors de la première édition, les Français ne passent pas inaperçus dans ce Forum international de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique. Jean-Yves Le Drian reste le principal parrain - pour ne pas dire « tonton » - de l'événement. Chacun, d'où qu'il vienne, espère avoir un mot avec le ministre de la Défense français. Quelques-uns des plus hauts gradés, notamment en matière de renseignement, sont également présents pour rencontrer leurs homologues et échanger leurs réflexions.

Pour la séance d'ouverture de cette seconde édition, lundi, le général Pierre de Villiers, chef d'état-major des armées françaises, a présenté son analyse de la situation sécuritaire dans la région. Il proposait des axes de réponse : travailler sur le long terme, respecter le droit international pour ne pas jouer le jeu des terroristes, adopter une approche globale avec des effets militaires, mais aussi sociaux, économiques et politiques. Surtout, le général insiste : « Nous allons avoir besoin de votre aide et de votre conseil pour savoir comment contribuer. »

 

Encadrer les Africains

L'idée clef, à Dakar, est d'affirmer que les Africains doivent prendre en main leur propre sécurité. Les partenaires internationaux ne sont là que pour aider. Pour illustrer cette logique, Jean-Yves Le Drian donne quelques informations sur une opération militaire en cours dans le nord du Mali : les militaires français de Barkhane et leurs collègues maliens y ont, selon le ministre, saisi des stocks « significatifs » d'armes. « Ce genre de choses se passe tout le temps, assure-t-il. On n'en parle pas tous les matins. »

En Afrique, la France est presque sur tous les fronts et cherche à mobiliser au maximum les forces locales. La Force multinationale mixte, en cours de mobilisation pour lutter contre Boko Haram, a été l'une des priorités françaises au cours de ce Forum. Elle a déjà bénéficié des apports en renseignement de Paris. Un haut responsable militaire français assure ainsi que des informations d'une rare qualité, notamment sous la forme d'images satellitaires, ont été remises aussi bien aux Nigérians, qu'aux Tchadiens. Ici aussi, la collaboration est le mot d'ordre : « Les Africains apportent du renseignement humain et nous apportons du renseignement technique, explique un autre militaire français. Ce n'est pas du renseignement de même nature. » Le modus operandi consiste en général pour les Africains à identifier un lieu qui les intéresse et à demander aux Français ce qu'ils y voient et ce qu'ils y entendent, grâce à des équipements particulièrement sophistiqués ( satellites, interceptions... )

Paris cherche à mettre en place ce type de collaborations dans tous les secteurs. Jean-Yves Le Drian a ainsi pu discuter avec plusieurs de ses homologues de la piraterie dans le Golfe de Guinée. Il s'agit d'aider les différents pays à communiquer et à collaborer entre eux, les militaires français formant des spécialistes et conseillant les marines locales. « Le rôle d'un forum comme celui-ci, note le ministre de la Défense français, c'est de renforcer la prise de conscience et d'aider à ce qu'il y ait une coordination des acteurs. »

 

Vendre les méthodes françaises

Mobilisées sur une multitude d'opérations, les armées françaises ne peuvent pourtant plus fournir beaucoup d'efforts supplémentaires. Pour continuer à renforcer la lutte contre l'insécurité sur le continent, la France déploie donc toujours plus d'officiers de liaison et de spécialistes, notamment du renseignement et de la logistique, pour favoriser la lutte contre les différents groupes terroristes. Chaque fois, il s'agit de mobiliser les différents partenaires. Une responsable du Département de la Défense américain admet ainsi que l'intervention de la France au Mali, en 2013, n'avait pas laissé beaucoup de choix à Washington : « Nous avons eu 48 heures pour réagir. »

Depuis la fin des années 1990, la France continue à former des armées locales... Avec des résultats mitigés. A propos des forces armées maliennes, un militaire français note par exemple qu'elles restent peu fiables : « Cela fait 50 ans que l'on forme les Maliens, à chaque fois, ils se sont écroulés. » L'une des nouvelles priorités est la formation de forces spéciales locales que la France tente de mettre en place. Là aussi, malgré les bonnes volontés, un conseiller de Jean-Yves Le Drian évoque les méfiances de dirigeants de certains pays inquiets de contingents militaires trop bien formés qui échapperaient à leur contrôle.

Paris cherche enfin à impliquer l'Union européenne sur le plan militaire. Jean-Yves Le Drian veut encore convaincre ses collègues européens de déployer une opération en République centrafricaine, sur le modèle de la Mission de formation de l'Union européenne au Mali (EUTM). Tous ces efforts se retrouvent jusque dans le domaine de la sécurité informatique, pourtant rarement évoqué par les principaux intéressés lors des échanges : des spécialistes de ce secteur, civils et militaires, ont passé le Forum à faire le tour des autorités africaines pour proposer leurs savoir-faire.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 18:45
Forum de Dakar sur la Paix et la Sécurité, 10 novembre 2015

 

11.11.2015 source EMA


« Lorsque la force avance, la violence recule. Et lorsque le dialogue progresse, comme aujourd’hui ici à Dakar, la paix avance.»

 

Intervenant sur le thème des « défis du terrorisme en Afrique », le général Pierre de Villiers a insisté sur trois éléments structurants qui, à ses yeux, permettent de surmonter les difficultés du quotidien des opérations :
• inscrire son action dans la durée, en se gardant de la pression pour une réponse immédiate ;
• respecter le droit international, sans jamais céder à la violence ;
• établir une stratégie globale dont l’action militaire ne constitue qu’un des volets. « Gagner la guerre ne suffit pas, il faut aussi gagner la paix ».

Réunissant plusieurs centaines de personnalités politiques, de militaires, de diplomates et d’experts, la deuxième édition du Forum international sur la Paix et la Sécurité s’est déroulée à Dakar lundi 9 et mardi 10 novembre 2015.

En séance plénière, le CEMA est intervenu aux côtés de M. Tiéman Hubert Coulibaly, ministre de la Défense du Mali, de M. Mohammed Babagana Monguno, de la sécurité nationale du Nigeria, de M. Masakazu Hamachi, vice-ministre parlementaire pour les Affaires étrangères du Japon, de Mme Elissa Slotkin, assistante à la sécurité au département de la Défense des États-Unis, et de M. Mongi Hamdi, Représentant spécial et Chef de la MINUSMA.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 18:45
Photo  R. Pellegrino ECPAD

Photo R. Pellegrino ECPAD

 

10/11/2015 LCL N. Fouilloux  - DICOD

 

À l’invitation de son excellence Macky Sall, président de la République du Sénégal, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu au Sénégal les 9 et 10 novembre 2015 pour participer à la deuxième édition du Forum de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique.

 

 Jean-Yves Le Drian, s’est rendu au Sénégal les 9 et 10 novembre 2015 pour participer à la deuxième édition du Forum de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique. Accompagné du chef d’état-major des armées, il a pu s’exprimer devant près d’un millier de participants, issus de nombreux pays africains et de plusieurs grandes nations de tous les continents, mais aussi d’organisations internationales ou non gouvernementales.

 

Témoignant de l’émergence d’une vision africaine sur les enjeux de paix et de sécurité, le ministre s’est félicité de la riche et franche confrontation permise par ce Forum, lieu idéal de dialogues et d’échanges entre les États, afin de trouver des réponses concrètes et durables aux problèmes sécuritaires africains.

 

Après avoir souligné la qualité des travaux du G5 Sahel, Jean-Yves Le Drian a rappelé qu’un partenariat élargi était indispensable pour véritablement traduire les réflexions en actions.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 18:20
Le coquelicot rouge : symbole durable du souvenir partout dans le monde depuis la Première Guerre mondiale

Un coquelicot est épinglé sur l’uniforme d’un soldat des Forces armées canadiennes, dans le cadre de la dernière cérémonie du jour du Souvenir célébrée par des soldats canadiens en Afghanistan, le 11 novembre 2013. Photo : Sgt Norm McLean, Caméra de combat des Forces canadiennes

 

2014-11-12 Par Lynn Capuano, Affaires publiques de l’Armée – ref  14-0230

 

Ottawa, Ontario — Le coquelicot rouge évoque la consolation. Le rouge symbolise la passion et l’amour. Cette fleur des champs très répandue devenue symbole international du souvenir a des origines toutes particulières.

 

Le jour du Souvenir marque l’anniversaire de la fin officielle des hostilités de la Première Guerre mondiale à la onzième heure de la onzième journée de novembre 1918. Le coquelicot représente le symbole international du souvenir. On le porte à partir du dernier vendredi d’octobre jusqu’à la fin de la journée, le 11 novembre.

 

Les Canadiens portent le coquelicot afin de se souvenir de plus de 117 000 Canadiens qui ont, à ce jour, consenti l’ultime sacrifice et également dans le but de leur rendre hommage. Cette année, un total de dix-neuf millions de coquelicots fabriqués au Canada et environ 70 000 couronnes, croix et autres articles ont été distribués un peu partout au Canada et à l’étranger. Les millions de dollars en dons à la Campagne du coquelicot sont tenus en fiducie et utilisés pour aider les vétérans et leur famille qui ont des difficultés financières. Ils servent également à financer l’achat d’appareils médicaux, la recherche, les services à domicile, les établissements de soin et de nombreuses autres choses officiellement approuvées.

 

Au Canada, le 11 novembre est officiellement appelé le jour du Souvenir, également connu sous le nom de jour de l’Armistice et de jour du Coquelicot. Le jour du Souvenir est commémoré partout dans le monde, y compris dans bon nombre des 53 pays membres du Commonwealth, notamment l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Aux États-Unis, le Veterans Day est célébré le même jour. Au Royaume-Uni, le dimanche le plus proche du 11 novembre est connu comme étant le dimanche du Souvenir.

 

Durant les guerres napoléoniennes de 1799 à 1815, le coquelicot apparaissaient presque mystérieusement dans les champs de bataille et les cimetières au printemps et à l’été. C’était l’une des seules plantes qui survivaient dans le sol dévasté. Les champs de fleurs semblaient servir de couverture réconfortante aux soldats enterrés.

 

Durant la Première Guerre mondiale, des coquelicots ont recommencé à pousser spontanément au printemps dans les champs de batailles et dans les cimetières des soldats dans les Flandres, une région ancienne qui fait maintenant partie de la Belgique et de la France.

 

Les graines de coquelicots flottaient au-dessus du paysage ravagé et germaient dans le sol perturbé des champs de bataille et des cimetières. Les fleurs prospéraient dans le sol, qui était enrichi de chaux provenant des décombres et des débris de bombes.

 

Après le décès de l’un de ses compagnons d’armes, un docteur, soldat et poète canadien, le lieutenant-colonel John McCrae (1872-1918) a constaté ce phénomène et il l’a décrit dans son poème légendaire Au champ d’honneur, qui débute comme ceci : « Au champ d’honneur, les coquelicots / Sont parsemés de lot en lot auprès des croix. »

 

McCrae est décédé d’une pneumonie pendant qu’il servait en 1918 et il a été enterré près de l’endroit qui lui a inspiré son poème. Il serait tout indiqué si des coquelicots poussaient sur sa tombe.

 

Publié pour la première fois dans le magazine d’Anglettre Punch en décembre 1915, le poème visait à représenter les sacrifices qu’ont consentis toutes les personnes qui ont combattu durant la Première Guerre mondiale. En novembre 1918, deux jours avant l’Armistice, le poème a été une source d’inspiration pour une dame américaine, Mlle Moina Michael d’Athens, en Géorgie, qui a décidé de porter un coquelicot durant toute l’année en souvenir des soldats morts au combat. Elle a écrit un poème en réponse à celui de McCrae, qu’elle a intitulé We Shall Keep the Faith. En voici un extrait : « We caught the torch you threw / And holding high / We keep the faith / With all who died. »

 

Le concept d’un coquelicot comme symbole du souvenir a continué d’évoluer. En 1920, Mme Anna E. Guérin de la France s’est rendue au États-Unis et a rencontré Mlle Michael. Madame Guérin a alors décidé de vendre des coquelicots faits à la main par des veuves autour du jour de l’Armistice afin d’amasser des fonds pour les enfants pauvres qui habitaient dans les régions dévastées par la guerre en France. En 1920 et en 1921, elle a convaincu les associations de vétérans des É.-U., de la Grande-Bretagne, du Canada et de la Nouvelle-Zélande à adopter le coquelicot en tant que symbole du souvenir. À l’origine, des vétérans handicapés fabriquaient les coquelicots à la main, mais l’augmentation du volume nécessaire a fait en sorte que les usines ont pris la relève. L’usine britannique de confection de coquelicots, établie en 1922, fabrique quelque 36 millions de coquelicots chaque année.

 

De nos jours, les coquelicots canadiens sont faits de plastique feutré, tandis qu’en Grande-Bretagne, ils sont faits de papier, ont deux pétales, une feuille et une tige. En Écosse, ils sont également faits de papier, mais ils ont quatre pétales et aucune feuille ni tige. Tous les coquelicots ont un centre noir afin qu’ils ressemblent le plus possible à la vraie fleur.

 

Outre le jour du Souvenir, les coquelicots peuvent être portés lors d’événements de commémoration tout au long de l’année, notamment lors d’anniversaires de grandes batailles, d’un service commémoratif à un congrès de la Légion royale canadienne ou lors d’événements d’Anciens Combattants Canada à l’étranger. Les gardes de drapeau peuvent également porter un coquelicot durant un défilé, de même que les membres de la Légion qui assistent à des funérailles d’un vétéran ou par d’autres militaires.

 

La Légion royale canadienne remet des coquelicots au gouverneur général et aux lieutenants-gouverneurs quelques jours avant le début de la Campagne. Les coquelicots sont généralement portés sur le revers gauche du vêtement, ou le plus près possible du cœur. 

 

De nombreuses personnes enlèvent leur coquelicot à la fin des cérémonies du jour du Souvenir et le déposent au pied du cénotaphe en guise de respect. En 2000, lorsque la Tombe du Soldat inconnu est devenue partie intégrante du Monument commémoratif de la guerre à Ottawa, une nouvelle tradition est née spontanément lorsque les personnes présentes ont déposé leur coquelicot au pied de la Tombe du Soldat inconnu à la fin des cérémonies.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 17:55
Stratégie nationale (du statu quo) de sûreté des espaces maritimes

 

11.11.2015 par Fauteuil de Colbert

 

" Il y a aussi l'immensité de notre espace maritime. Et les Outre-mer ont un rôle primordial – sur les 5 continents – pour notre présence dans le monde. Tout comme l'ensemble de nos compatriotes qui sont établis et travaillent à l'étranger. " Le Premier Ministre Manuel Valls, discours de politique générale (8 avril 2014).

 

Depuis son entrée en fonction, le Premier ministre Manuel Valls multiplie les références aux espaces maritimes français et affirmait nourrir une ambition maritime. C'est ce qu'il énonçait dans un discours d'ouverture des 10e assises de l'économie de la mer à Nantes le 2 décembre 2014 quand il annonçait que la France allait se doter d'une stratégie nationale de sûreté des espaces maritimes, complétant celle de l'Union européenne. Et le moins que nous puissions relever à travers la publication de cette stratégie nationale de sûreté des espaces maritimes, c'est que le Premier ministre a tenu parole, et ce document est même plus ambitieux que le livre blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2013 sur quelques points !

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 17:55
Sous les cocardes n°3 - Les forces aériennes stratégiques


9 nov. 2015 Armée de l'Air

 

Pour ce troisième numéro de "Sous les cocardes" Aerostar TV vous emmène au sol et en vol avec les forces aériennes stratégiques.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 17:50
Neue Kampfbekleidung


9 nov. 2015 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 11/2015 15E36301

 

Als universelles Bekleidungssystem für den Einsatz wurde die künftige „Kampfbekleidung Einsatz/Übung“ entwickelt. Sie ist besonders robust, wind- und wasserabweisend, trotzt Kälte und extremer Hitze gleichermaßen.
 

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