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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:50
Exercices militaires de grande envergure du 5 au 9 mai en Flandre

 

25 avril 2014 levif.be (Belga)

 

Des exercices militaires de grande envergure auront lieu du 5 au 9 mai dans les provinces d'Anvers, de Limbourg et du Brabant flamand, a indiqué la Défense vendredi. Environ 1.100 soldats belges et néerlandais effectueront des tâches comme la sécurisation de convois, de gares et d'infrastructures importantes ou la détection d'armes et explosifs dissimulés. Pendant les exercices, deux numéros de la Défense seront disponibles pour les riverains qui auraient des questions.

 

Environ 350 soldats néerlandais prendront part à l'exercice. Les 1.100 personnes comprennent également le personnel qui s'occupera, notamment, de la logistique afin que l'exercice puisse avoir lieu. En outre, 140 à 150 personnes joueront le rôle des opposants. L'exercice débutera le 5 mai à Bourg-Léopold avec le déploiement de patrouilles. Les troupes néerlandaises prendront part à l'exercice le 6 mai. Un campement sera construit à Tielen dans la province d'Anvers. Le 7 mai, des patrouilles prendront place à Turnhout, Mol, Bocholt, Opglabeek, Waterschei, Winterslag et Beringen. Une manifestation sera simulée à Tielen, où la police et les pompiers de Turnhout seront présents afin de contrôler l'incident. Les patrouilles avanceront, le 8 mai, dans le environs de Hamont où elles effectueront quelques missions. Des barrages seront mis en place dans les environs de Turnhout, en collaboration avec la police de la zone. Le 9 mai, une action d'envergure sera menée contre "un camp d'entraînement rebelle". Pendant les exercices, les riverains pourront téléphoner au numéro vert 0800/99.836, au sujet des dégâts causés par les manoeuvres. Le 0800/99.830 sera disponible pour la presse et les demandes d'informations. En outre, la Défense distribuera des dépliants dans les régions où des tirs d'exercice seront effectués.

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:45
Défense : la carte des pays africains qui dépensent le plus

 

25/04/2014 Par Rémi Carayol - Jeuneafrique.com

 

Dans les pays développés, la course aux armements s'essouffle. C'est loin d'être le cas en Afrique, où les budgets militaires enflent, voire explosent.

 

C'est un constat du Sipri, l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, qui fait référence en la matière : pour la deuxième année consécutive, les dépenses militaires sont en baisse dans le monde (- 0,4% en 2012, - 1,9% en 2013). Le jour où le concert des nations décidera d'en finir avec la course aux armements n'est cependant pas arrivé. Car si les pays développés, atteints par la crise, ont revu pour la plupart leurs budgets de défense à la baisse - dont les États-Unis (- 7,8% en 2013), il n'en va pas de même pour les pays du Sud.

Le dernier rapport du Sipri, publié le 14 avril, note que là où l'on se développe, en Asie, en Amérique latine, au Moyen-Orient ou en Afrique, les dépenses augmentent. Voire explosent, comme en Arabie saoudite, passée en un an du septième au quatrième rang mondial.

 

>> Lire aussi : Armement en Afrique : un business en plein boom

 

L'Afrique n'est pas en reste. Selon le Sipri, c'est le continent où la hausse est la plus forte (+ 8,3 % en un an). En 2013, les États africains ont affecté 44,9 milliards de dollars à leurs armées. C'est très loin des dépenses mondiales (1 747 milliards) et même en deçà du seul budget militaire de l'Inde, mais l'effort est tout de même spectaculaire. En 2013, l'Algérie est ainsi devenue le premier pays africain à avoir franchi le seuil des 10 milliards de dollars (+ 8,8 % en un an) et l'Angola, en deuxième position sur le continent avec 6,1 milliards, a vu son budget de défense croître de 36 %. Le pays lusophone dépasse l'Afrique du Sud (4,1 milliards) : une première.

 

>> Lire aussi : Afrique du Nord : course aux armements et leadership algérien

 

Mais la palme de la plus forte hausse revient au Ghana, et de loin : il a triplé ses dépenses en un an ! Il est vrai qu'Accra partait de très bas (109 millions de dollars en 2012). L'institut suédois relève qu'entre 2004 et 2013, cinq pays africains - l'Algérie, le Ghana, l'Angola, la Namibie et le Swaziland - ont doublé ou triplé leurs budgets militaires et constate que dans la plupart des cas, en Afrique comme ailleurs, l'explosion des moyens alloués aux forces de défense est liée à la découverte de richesses dans les sous-sols.

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:40
Crimée: Kiev a récupéré plus de 400 matériels militaires (Défense)

 

KIEV, 25 avril - RIA Novosti

 

L'Ukraine a déjà récupéré 429 matériels de guerre et armements qui se trouvaient en Crimée au moment de son adhésion à la Russie, a annoncé vendredi le service de presse du ministère ukrainien de la Défense.

 

"Selon les données de l'Etat-major général des Forces armées ukrainiennes au 25 avril, 429 matériels de guerre et armements ont été retirés vers la partie continentale de l'Ukraine, dont 13 navires, vedettes et bateaux de soutien, 181 véhicules, plus de 60 blindés et 24 aéronefs, ainsi que des matériels des unités d'artillerie, de télécommunications et autres. A l'heure actuelle, 105,5 tonnes de biens matériels ont été retirées", a indiqué le service de presse dans un communiqué.

 

Le ministère russe de la Défense a antérieurement annoncé qu'il était prêt à restituer à l'Ukraine tous les matériels de guerre ukrainiens de Crimée d'ici juin 2014. Selon le vice-ministre russe de la Défense, Dmitri Boulgakov, les armements et matériels seront remis à l'Ukraine dans l'état dans lequel ils ont été abandonnés par les militaires ukrainiens.

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:40
Russie: accroître les exportations de systèmes de DCA (Poutine)

 

MOSCOU, 25 avril - RIA Novosti

 

La Russie devrait augmenter la production de systèmes de défense antiaérienne (DCA) dernier cri destinés à l'exportation vers les pays alliés et partenaires, a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine.

 

"Les systèmes de type S-300, S-400, Pantsir-S1 sont, grâce à leurs caractéristiques techniques et de combat, à leur fiabilité et leur maniement simple, les leaders indiscutables sur le marché mondial de l'armement. Il faut accroître la production des systèmes de DCA les plus demandés et la fabrication de moyens de DCA à haute précision utilisés par l'aviation", a indiqué le chef de l'Etat russe intervenant lors d'une réunion de la commission chargée de coopération militaro-technique entre le Russie et les Etats étrangers.

 

M.Poutine a souligné que ces armes occupaient une part importante du marché mondial et que la Russie assurait un tiers des livraisons mondiales de ces armes.

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:40
Azerbaïdjan - Ministre de l’industrie de défense : « Le besoin de munitions de l'armée et de structures de pouvoir sera satisfait pleinement au détriment de la production nationale »

 

26 Avril 2014 Rachad Suleymanov – APA

 

Bakou -  Le Ministère azerbaïdjanais de l'Industrie de Défense (MID) va répondre pleinement à partir de la fin de cette année, aux besoins des munitions des forces armées et des structures de pouvoir, le ministre de l’industrie de défense Yavar Jamalov a confié à l’APA.

 

Le ministre a dit que les entreprises du MID produisent actuellement des munitions de différents diamètres pour les pistolets, mitraillettes fusils de sniper, mitrailleuses, mortiers, différents lance-grenades, ainsi que pour les fusils de chasse : « La qualité de nos munitions n’est pas inférieure aux analogues étrangers, et les dépasse en termes de certains paramètres » a-t-il dit.

 

Le ministre a noté que les usines qui sont prévues pour être ouvertes dans un proche avenir, vont produire les munitions pour les réservoirs et les véhicules d'artillerie de divers calibres : « Ainsi, le besoin de l’armée dans ce domaine sera satisfait pleinement au détriment de la production nationale » a-t-il conclu.

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:35
Ueli Maurer justifie la formation d'officiers nord-coréens à Genève

 

25.04.2014 24heures.ch (ats/Newsnet)

 

Le ministre de la Défense Ueli Maurer a justifié vendredi soir la formation militaire d'officiers nord-coréens à Genève. Cela leur permet de rencontrer des Sud-Coréens, a-t-il dit dans l'émission «10vor10».

 

La Suisse est un pays neutre, idéal pour accueillir de tels cours, a ajouté le conseiller fédéral. «Je trouve que c'est une des meilleures mesures que nous prenons. C'est précisément quand on a des doutes sur la Corée du Nord qu'il faut l'intégrer et non l'exclure», a-t-il déclaré dans l'émission «10vor10» de la télévision alémanique SRF et sur le site Internet de cette dernière.

 

Ces rencontres permettent aux intéressés d'élargir leur horizon et améliorent la compréhension dans cette région, a encore estimé M. Maurer. Jeudi, la RTS avait révélé que huit officiers du régime communiste nord-coréen ont reçu une aide fédérale pour suivre des cours en Suisse. Plus de 150'000 francs ont été débloqués à cet effet depuis 2011.

 

Les officiers ont assisté au cours sur la sécurité internationale du Centre de politique de sécurité de Genève. Deux d'entre eux étudient actuellement dans ce centre.

 

Les participants analysent les enjeux contemporains de la sécurité dans le monde, comme les armes de destruction massive, le terrorisme ou les violations des droits humains. La crise ukrainienne et les révolutions arabes sont aussi étudiées, notamment sous l' "angle du rôle des forces armées ou des perspectives de démocratisation".

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:30
Le Liban attend le chèque de Ryad pour s’offrir des armes françaises

Armement Le système Simbad-RC de MBDA sera présent sur trois petits patrouilleurs commandés par le Liban à la France

 

23/04/2014 Michel Cabirol – laTribune.fr

 

La France et le Liban ont récemment arrêté une liste d’équipements militaires pour un montant de 2,1 milliards de dollars. Elle est actuellement pour validation à Ryad, qui finance le réarmement de Beyrouth.

 

L'Arabie Saoudite a entre ses mains la vente d'armes par la France au Liban pour un montant de trois milliards de dollars. Après quatre mois de travail seulement, la fameuse "shopping list" a été arrêtée entre l'acheteur, le Liban, et le vendeur, la France. Reste à la faire valider par le financeur, l'Arabie Saoudite. A ce trio, il faut rajouter aussi un pays qui s'agite beaucoup en coulisse, Israël, que l'on dit préoccupé par cette opération et qui a regardé de très près cette liste d'armements, qui l'inquiète dans une région particulièrement explosive où prospère notamment le Hezbollah.

 

"Un vrai tour de force pour boucler cette liste à trois pays qui ont des objectifs et un calendrier qui divergent et qu'il a fallu réconcilier, explique un proche du dossier. Cela n'a pas été facile". Toutefois, selon plusieurs sources concordantes, cette liste faite de compromis a été arrêtée par la France et le Liban il y a plus de dix  jours - le 12 avril - et remise à l'Arabie Saoudite, qui est aujourd'hui en train de l'étudier. "Ce sont les Saoudiens et eux seuls qui vont imprimer le tempo de cette opération", confirme-t-on à La Tribune. Et certains estiment qu'une "liste n'est jamais définitive". Surtout tant que cette opération à 3 milliards de dollars reste encore sujette au financement des Saoudiens. 

 

Une liste prudente

 

Sur les 3 milliards de dollars promis par Ryad, 2,1 milliards seront consacrés à l'achat d'armements et 900 millions à l'entretien de ces matériels. Un principe accepté par le Liban, qui pourra par la suite gérer seul le MCO (Maintien en condition opérationnelle) de ces matériels militaires. Dans le domaine terrestre, la France a fait preuve de beaucoup de prudence. Pas de chars Leclerc comme initialement imaginé. Paris devrait en revanche fournir des VAB (Véhicule de l'avant blindé) équipés d'une tourelle de Nexter, des VBL (Véhicule blindé léger) ainsi que des VBCI (Véhicule blindé de combat d'infanterie), voire des camions blindés Aravis. Dans le domaine de l'aéroterrestre, la France a inclus dans la liste des hélicoptères Gazelle, voire des Fennec, ainsi que des hélicoptères de transport. Enfin, MBDA devrait vendre son missile surface-air Mistral.

 

Dans le domaine naval, c'est le chantier de Cherbourg CMN, propriété du Libanais Iskandar Safa, qui a remporté la mise face à DCNS, qui proposait des Gowind de la classe Adroit, et Raidco. Le chantier naval des Constructions Mécaniques de Normandie fournira à la marine libanaise trois petits patrouilleurs, vraisemblablement équipés du système Simbad-RC de MBDA. Enfin, les équipements de Thales sont aussi bien présents dans la liste avec des radars, de l'optronique et des systèmes de communications.

 

Avant ou après le départ de l'actuel président libanais ?

 

Cette manne providentielle pour le Liban sera-t-elle un "pot de miel" pour certains des acteurs de cette opération ? Faut-il pour éviter ce type de rumeurs attendre la fin de l'élection présidentielle libanaise, qui commence dès ce mercredi, et le départ de Michel Sleimane le président sortant le 25 mai prochain ? Ce qui serait en même temps injuste pour ce dernier à l'origine de cette opération. Pour autant, Paris aurait tout à perdre avec l'Arabie Saoudite avec laquelle elle négocie plusieurs mégacontrats si cette opération n'était pas transparente. Car le nouveau président libanais sera peut être tenté de mettre son nez dans cette opération.

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 07:20
JSF : mise à jour de la catastrophe

 

28/04/2014 - Bloc-Notes - dedefensa.org

 

Le mois dernier, le rapport annuel du General Accounring Office donnait de bonnes nouvelles pour le JSF. Pour la première fois, il était annoncé que le prix probable de l’avion baissait de 7%. La nouvelle fut longuement acclamée par la presse-Système spécialisée, sur des sites tels que Breaking Defense et Defense One. Lockheed Martin (LM) et le chef du JSF Program Office (JPO) du Pentagone, le général de l’USAF Christopher Bogdan, surent profiter de cette occasion, qui impliquait le GAO avec sa bonne réputation et sa rigueur comptable, et jusqu’alors toujours très sévère pour le JSF ; ils annoncèrent de concert que le JSF, alias F-35, coûterait finalement autour de $75 millions l’exemplaire, loin des prévisions qualifiées de “catastrophiques” de $150/$200 millions l’exemplaire. En passant, on nous rassura : si quelques problèmes techniques subsistaient, notamment celui du développement et de l’intégration du software (question fondamentale pour l’avion, qui est totalement contrôlé par son ensemble électronique), ils étaient en bonne voie d’être résolus.

 

Winslow Wheeler, ancien fonctionnaire du Congrès qui a également travaillé au GAO, spécialiste du décryptage des labyrinthes bureaucratiques et financiers du Pentagone, intervient pour mettre les choses au point. Il le fait avec d’autant plus d’efficacité que le rapport annuel SAR (Selected Acquisition Reports) du Pentagone qui vient d'être publié la semaine dernière donne, lui, une image particulièrement grinçante et pessimiste de l’état d’avancement du programme. Wheeler publie un long article, extrêmement technique et précis, dans CounterPunch du 25-27 avril 2014. Nous donnons deux extraits de cet article, qui permet de revenir à la vérité de la situation du JSF, avec la précision embarrassante pour le GAO et sa réputation d’intégrité, que cet organisme (équivalent US de la Cour des Comptes française) a accepté sans vérification semble-t-il des chiffres vieux de deux ans de la part de LM et du JPO du Pentagone. Le fait conduit à émettre quelques doutes sur la capacité et/ou l’intégrité des analystes du GAO chargés du dossier, ce qui signifierait éventuellement que l’appareil de corruption vénal et/ou psychologique (psychologique surtout) aurait pénétré ce qui était jusqu’alors considéré comme l’ultime forteresse d’intégrité dans l’observation de la gestion des productions du système de l’américanisme.

 

«Last week the Defense Department released its new Selected Acquisition Reports (SARs) on its major weapon programs. These annual reports are the Pentagon’s effort at definitive cost analysis; they come in two forms: the summary data on all 77 of DOD’s Major Defense Acquisition Programs (MDAPs) and separate reports on individual programs, such as the F-35-the latter put on-line without a pay wall by Breaking Defense.

 

»As in recent years, the release of new data on the F-35 provoked press coverage, some of it quite thorough in summarizing much the new data and what the top F-35 defender, F-35 program manager Lt. Gen. Christopher Bogdan, had to say about it all. However, there are some important points that did not get the attention they perhaps deserve, and one key point seems to have been generally missed.

 

»As the SARs and DOD’s summary of them made clear, the cost to acquire the F-35 has gone up compared to last year’s estimate. Page 6 of DOD’s summary of its SAR states that F-35 airframe “costs increased +$3.1 billion (+1.0%) from $326.9 billion to $330.0 billion” and costs for the separately accounted engine “increased +$4.3 billion (+6.7%) from $64.3 billion to $68.6 billion.” [...]

 

»In truth, the future of the F-35 program remains clouded, and most cloudy of all is the ultimate unit cost of the aircraft and the impact of that cost, as its reality unfolds, on existing and future buyers. As previously argued, there is good reason to think the real-world unit cost of F-35s, on average, will stay much closer to the $200 million level than it does to the dubious predictions of Lockheed and Lt. Gen. Bogdan, such as $75 million each.

 

»Second, the F-35 acquisition cost increases revealed by the new SARs come as a major embarrassment to the Government Accountability Office that pronounced in a report released just last month that DOD SAR data showed F-35 acquisition costs coming down, not going up. As previously explained, GAO’s report used two year old data, thanks to the agency’s ponderous report writing process and the fact that the analysts and manager assigned to the report used a stunningly superficial analytical methodology. Not a single news article I read on the new SAR data recalled GAO’s miss-call of the acquisition cost vector.»

 

Wheeler attaque également, avec une certaine jubilation ironique, certaines projections du Pentagone, inspirées par le JPO. Ces projections annoncent également un coût de l’avion en baisse à partir d’une projection sur le coût entier du programme, c’est-à-dire d’ici à 2065. Le Pentagone est connu pour faire des projections régulièrement fausses sur des périodes de 6 mois à un an, notamment avec des erreurs sur l’inflation, etc. Mais voilà qu’il prétend donner une projection juste sur une période de 51 ans, ce qui représente un extraordinaire tour de magie, – mais une magie si délicieusement optimiste puisque, finalement, en 2065, il fera meilleur vivre que dans 6 mois ou un an... La narrative bureaucratique n’a pas de frontières temporelles, et plus ses prévisions à court terme se révèlent fausses, plus elles se reportent sur des prévisions à très long terme, imaginant ainsi que l’addition vertigineuse de périodes de court terme faussaires finira par donner un très long terme conforme à ses vœux.

 

»We already know DOD manipulates its own inflation prognostications for both its own budget history and for short term future predictions in the five-year Future Year Defense Program (FYDP). It stretches credulity past the breaking point to assert that the cost of a weapon program will be some precise lesser amount 30 years from now because someone has readjusted inflation and labor cost predictions.

 

»In fact, in past inflation predictions for specific on-coming fiscal years (those just months ahead) DOD has proven inaccurate not just in the amount inflation has grown or declined but whether it has grown or declined. If they cannot even get the vector right a few months ahead, what business do they have asserting they can know it precisely 30 years from now? It is quite preposterous.

 

»And yet, here we are, asked to believe that the cost of F-35 O&S will be, as DOD tells us, “decreased $96.8 billion (-8.7%) from $1,113.3 billion to $1,016.5 billion” by the time the program is done in 2065...»

 

Parallèlement, Russia Today s’intéresse lui aussi au JSF. Conscient de sa mission internationaliste et américaniste mise en évidence par l’ectoplasme-secrétaire d’État fort récemment (voir le 25 avril 2014), RT s’est fait un devoir de suivre le JSF. RT s’intéresse plutôt à une conjonction intéressante US Navy-Boeing, ce 25 avril 2014. Les deux parties sont liées, parce que l’US Navy essaie par tous les moyens discrets de se débarrasser du JSF, tandis que Boeing, fournisseur principal de la marine (la famille des F/A-18) lance une attaque féroce contre le JSF, qu’il juge complètement inadéquat pour seulement survivre dans l’environnement de guerre probable. Bien entendu, Boeing a ses intérêts, – et comment ! Il propose à la Navy, ce que la Navy a commencé à faire, de commander plus de EA-18G Growler, version de guerre électronique de la famille F/A-18, seul capable selon lui (Boeing) d’assurer un environnement acceptable pour les avions de combat. (Ce serait alors des F/A-18 standard, puisque l’on n’aurait plus besoin des caractéristiques de guerre électronique, stealth et autres, à la fois affreusement coûteuses et pour certaines jugées inefficaces, intégrées dans l’avion.)

 

«As the price of the Pentagon’s most expensive weapons endeavor ever soars even further, critics are calling into question the cost and capabilities of the F-35 Joint Strike Fighter program. [...] On Friday this week, Military.com reported that the US Navy has not only decided to drop the number of Lockheed Martin-made F-35s it plans on purchasing from 69 to 36, but that 22 new EA-18G Growlers built by Boeing have been added to a list of unfunded priorities.

 

»Reporters Kris Osborn and Michael Hoffman wrote for the website that Boeing “has worked not so quietly this past year to offer the Navy an escape hatch from the costly Joint Strike Fighter program.” According to their report, since at least last summer Boeing has been urging the Navy to buy more F/A-18 Super Hornets and Growlers as concerns continue to emerge about the F-35. [...]

 

»Mike Gibbons is the vice president for Boeing’s Super Hornet and Growler programs, and has good reason to talk down the F-35s—after all, less money to Lockheed Martin likely means more for his firm. Regardless, Gibbons told Osborn and Hoffman that the F-35 is no longer as advanced of a stealth craft as once claimed, and is not as effective as the Growler when it comes to countering a wide spectrum of air defense systems. “The density of the threat is getting more complex and more difficult. The electromagnetic spectrum is getting more complex and more difficult and requires more of what the Growler provides in electronic attack and electronic awareness. Only the Growler has this capability, Gibbons told the website.

 

»Russia and China, Gibbons added, have developed air defense systems that put the F-35’s stealth technology to the test. And if those capabilities should improve, then the Pentagon’s widely-touted weapons program may be no match for the offensive capabilities of foreign militaries. Advocates for Growlers say that those aircraft can outsmart some of that stealth-defying technology, but the ability to actually stay hidden may soon be slipping away from the DOD altogether.»

 

Dans cette dernière affaire, avec la complicité Navy-Boeing, on comprend évidemment que Boeing joue son jeu en tant que membre éminent du Système. Mais il acquiert pour cette circonstance un rôle antiSystème appréciable en se situant comme critique dévastateur du JSF, à la plus grande satisfaction de la Navy qui utilise cette action pour son propre intérêt, également antiSystème puisque qu’anti-JSF. (En effet, dans ce rangement, et compte tenu du contexte et de l’importance considérable du programme, le JSF figure comme la production la plus dévastatrice du Système, et son affaiblissement, voire sa chute catastrophique, serait un coup sévère porté au Système... Par conséquent, Boeing et la Navy, “membres éminents” du Système, sont effectivement antiSystème.)

 

On observera que les arguments opérationnels développés par Boeing et implicitement acceptés par la Navy (commande supplémentaire de Growler aux dépens du JSF) tombent évidemment à point, et leur développement n’est bien entendu pas un hasard. Les deux entités profitent de la crise ukrainienne, qui rend brutalement concevable la possibilité d’une confrontation opérationnelle de haute intensité, pour développer une critique opérationnelle du JSF. La possibilité d’un affrontement avec la Russie n’est désormais plus une vision théorique, et l’argument des formidables capacités russes en matière de défense aérienne joue désormais très largement en faveur de la ligne Boeing-Navy. Effectivement, la crise ukrainienne, véritablement multiple et aux effets innombrables, est promise à jouer un rôle important dans le destin du JSF.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 17:45
source BBCAfrica

source BBCAfrica

 

25-04-2014 mosaiquefm.net

 

Le ministre français  des affaires étrangères Laurent Fabius a confirmé l'évolution des accords avec le ministère  tunisien de la  défense pour l'apport de la France d'aides techniques notamment des avions militaires et soutenir la Tunisie sur le plan sécuritaire afin d'assurer les frontières tuniso-libyennes et lutter contre le terrorisme.

 

La signature des accords dans ce contexte se feront lors de la visite en France  du chef du gouvernement Mehdi Jomaâ le 28 et 29 avril 2014.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:55
Les quatre lieutenants français

source Philippe Poisson

 

27 nov. 2012  Willsdorf

 

Cette grande fresque épique met en scène quatre destins, quatre itinéraires de jeunes lieutenants engagés en Indochine de 1946 à 1954. Bernard, Jean, Antoine et Hans : trois Français et un Allemand de la Légion étrangère.

Un film de Patrick Jeudy.
Texte de Patrick Jeudy et Louis Gardel.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:55
Journée du Souvenir Breton à Paris, 3 mai 2014

Plaque commémorative des anciens combattants bretons, à leurs 240 000 morts

Photo Yann Caradec

 

source Yves Auffret - Président de l'ACB

 

L'ACB et tous les Bretons de Paris sont invités par la ville de Rennes à participer le samedi 3 mai prochain à la Journée du souvenir Breton organisée à la mémoire des Bretons qui ont consenti tant de sacrifices au cours des deux guerres mondiales

 

La Ville de Rennes, organise cet événement en partenariat avec l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre (ONACVG) et sous le haut patronage du Ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Cette journée s’inscrit dans le cadre du Centenaire de la Grande Guerre et de la célébration du 8 mai 1945.

 

Trois temps d’hommage sont programmés.

 

•    12H00 : ARC DE TRIOMPHE : une délégation d’une soixantaine de Rennais, composée de personnalités, d’élus, de soldats ayant été engagés au Mali et de jeunes, viendra collecter la Flamme du Souvenir sous l’Arc de Triomphe. Cette flamme sera ravivée au Panthéon des Morts rennais à l’occasion de la cérémonie du 8 mai.

 

•    15H00 : MINISTERE DES ANCIENS COMBATTANTS, 37 rue de Bellechasse : un hommage sera rendu au député Albert Aubry, ancien combattant de la Grande Guerre, Résistant et déporté.

 

•    16H30 : HOTEL DES INVALIDES : un hommage sera rendu aux Bretons Morts pour la France durant la Grande Guerre, devant la plaque commémorative située dans la grande galerie de la cour d’honneur des Invalides.

 

Venez nombreux !

Groupe de mobilisés bretons

Groupe de mobilisés bretons

Note RP Defense : à propos de la Grande Guerre, lire Des Bretons, des Bretagne(s) en guerre ?

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:50
Nexter buying ammunition producers in Italy and Belgium

The Nexter Group in France says it has reached an agreement with the Chemring Group to purchase ammunition manufacturers in Belgium and Italy.

 

April 24, 2014 By Richard Tomkins (UPI)

 

VERSAILLES, France, April 24 -- The Nexter Group of France is strengthening its ammunition division with the acquisition of two ammunition manufacturers in Europe.

 

Agreements with the Chemring Group for the purchase of all shares of Mecar in Belgium and Simmel Difesa in Italy have been signed, but the deal still must obtain approval from Chemring shareholders and Italian regulators.

 

“Based on its solid past performance and on its strong balance sheet, Nexter has developed a growth strategy and intends, when opportunities arise, to actively participate in industry consolidation,” Nexter said. “The two acquisitions constitute a unique growth opportunity for Nexter Group, which will enrich its range of ammunition products in three domains -- land, air and sea ammunition -- and extend its commercial footprint on key export markets.”

 

Nexter said strengthening of its ammunition division will lead to accelerated development of new products and expansion of its customer base.

 

“I am very pleased with today’s news of this disposal, which is in line with our strategy of focusing on our core skills,” said Mark Papworth, chief executive of Chemring Group. “I am delighted that we have been able to sell these businesses to Nexter Group, who are well placed to maximize their full potential.”

 

The Chemring Group, a high technology company, is headquartered Britain.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:50
photos MoD Lituania - Alfredas Pliadis

photos MoD Lituania - Alfredas Pliadis

 

26 Avril Ouest-France

 

Une compagnie de 150 hommes de la 173e brigade aéroportée de l'armée américaine a été accueillie samedi matin à la base aérienne de Siauliai (nord).

 

Les soldats américains y seront stationnés au moins jusqu'à la fin de l'année, selon le ministère lituanien de la Défense, suite à la décision de Washington de renforcer son engagement dans un contexte de tension avec la Russie sur l'Ukraine.

 

 

Lituanie. Arrivée de 150 soldats américains

La présidente lituanienne Dalia Grybauskaite a salué l'arrivée des forces américaines comme une « mesure de dissuasion » dans la région où les craintes en matière de sécurité ont augmenté suite à l'aggravation de la crise en Ukraine.

 

« Dans cette situation, nous voyons quels sont nos vrais amis, et qui vient pour (nous) aider », a déclaré Mme Grybauskaite aux journalistes, après l'atterrissage des soldats américains.

 

« Si un de nos invités est blessé cela signifiera une confrontation ouverte non plus avec la Lituanie mais avec les Etats-Unis », a-t-elle ajouté.

 

Une autre unité en Pologne

 

Washington avait annoncé mardi le déploiement pour des exercices en Pologne et dans les pays Baltes de 600 soldats, un geste adressé à ses alliés de l'Otan, inquiets des actions de Moscou en Ukraine.

 

Une unité de 130 hommes est déjà arrivée mercredi en Pologne, une autre a débarqué vendredi en Lettonie. Un nombre similaire de soldats américains est attendu lundi en Estonie.

 

En annonçant mardi à Washington l'envoi de troupes dans les pays frontaliers de l'Ukraine et de la Russie, le contre-amiral John Kirby, porte-parole du Pentagone, avait précisé qu'il s'agissait d'opérations « bilatérales » de la part des Etats-Unis et non d'exercices de l'Otan.

Lituanie. Arrivée de 150 soldats américains
Lituanie. Arrivée de 150 soldats américains
Lituanie. Arrivée de 150 soldats américains
Lituanie. Arrivée de 150 soldats américains
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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:45
Le Soudan et le Tchad affirment la stabilité de la situation sur leur frontière commune

 

4/27/2014 Xinhuanet

 

Soudan  - Le Soudan et le Tchad ont réitéré dimanche que la situation sécuritaire sur leur frontière commune était stable grâce aux efforts des forces de sécurité conjointes déployées depuis 2010.

 

Une délégation militaire tchadienne de haut niveau dirigée par le ministre de la Défense Benaindo Tatola a procédé, dimanche avec le ministre soudanais de la Défense Abdul-Rahim Mohamed Hussein, à l'évaluation des performances des forces de sécurité conjointes des deux pays.

 

"Nous réitérons la stabilité de la situation sécuritaire sur la frontière grâce aux efforts des forces conjointes", a indiqué M. Hussein lors d'une conférence de presse organisée en commun avec son homologue tchadien dimanche à Khartoum.

 

"Depuis leur formation, les forces conjointes ont contribué à la stabilité de la situation et à la prévention des troubles en matière de sécurité, en plus de leur apport des solutions aux conflits armés le long de la frontière", a-t-il poursuivi. Les forces conjointes ont également contribué à la mise en place des projets de développement sur la frontière, qui ont permis de transformer un théâtre de conflits armés en une zone de coopération et d'échanges, a-t-il conclu.

 

De son côté, le ministre tchadien a fait remarquer que "les missions accomplies par les forces conjointes au cours de la période passée ont contribué à sécuriser la frontière commune des deux pays et à résoudre de nombreux problèmes frontaliers".

 

"Nous répétons que la frontière commune est maintenant sécurisée et stable et s'est transformée en une zone d'échanges commercial et culturel entre les deux pays", a affirmé M. Tatola.

 

Le Soudan et le Tchad ont déployé en 2010 des forces conjointes fortes de 3 000 soldats sur leur frontière avant d'élever le nombre de militaires à 5000. Les forces comprennent 12 unités militaires, soit six unités par pays. Elles ont été créées en vertu d'un protocole sur la sécurité en commun pour assurer la normalisation pratique des relations entre les deux pays, contrôler la frontière et mettre fin à la présence des groupes armés dans leurs pays respectifs.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:45
Marrakech Air Show 2014 - Clôture par un show aérien des plus grandioses

Fière de sa réputation mondiale en tant que l'une des équipes de voltige les plus expérimentées dans le monde, l'équipe «Marche verte» a présenté des démonstrations époustouflantes. Ph : rdv-marrakech.com

 

27 avril 2014 - lematin.ma (MAP)

 

Des appareils qui ont exécuté magistralement des figures acrobatiques époustouflantes lors du show aérien de clôture, où des milliers de personnes ont afflué au Salon pour voir de près les dizaines d’avions civiles et militaires exposés.

 

La 4e édition du Salon international de l'aéronautique et du spatial, «Marrakech Air Show 2014», a pris fin samedi à la Base Ecoles des Forces Royales Air (FRA) de la cité ocre avec un show arien des plus grandioses.

 

Lors de cette dernière journée ouverte au grand public, des milliers de personnes ont afflué au Salon pour voir de près les dizaines d'avions civiles et militaires de différents types exposés en statique, mais surtout les appareils qui ont exécuté magistralement des figures acrobatiques époustouflantes lors du show aérien de clôture.

 

L'assistance a pu apprécier ainsi l'équipe de voltige «Marche verte» des FRA, plusieurs avions des Forces Royales Air, ainsi que la Patrouille Aguila, l'équipe de voltige de l'Armée de l'Air espagnole.

 

Fière de sa réputation mondiale en tant que l'une des équipes de voltige les plus expérimentées dans le monde, l'équipe «Marche verte» a présenté des démonstrations époustouflantes sous forme de loopings, de retournements et de renversements, qui lui ont valu les applaudissements du public emporté par le grand talent et le professionnalisme confirmé de ces maîtres de l'acrobatie aérienne.

 

Les pilotes marocains chevronnés ont mené de main de maître leurs appareils, dessinant dans les airs de beaux tableaux et effectuant des manœuvres et acrobaties aériennes à couper le souffle. Cette équipe a gratifié l'assistance avec sa figure qui lui a permis de remporter plusieurs prix et trophées dans le monde, «La boucle en miroir».

 

Ce show aérien a connu plusieurs autres moments forts, comme les figures acrobatiques exécutées par la Patrouille Aguila de l'armée de l'air espagnole qui a réalisé une figure inédite en effectuant un atterrissage en groupe.

 

Le public a contemplé aussi des canadairs des FRA en train de simuler un largage d'eau sur un incendie, une opération de ravitaillement en carburant d'avions F5 des FRA, des F16 des FRA en pleine action, ainsi que les parachutistes de l'équipe Atlas.

 

Signe visible du nouveau positionnement du secteur de l'aéronautique, «Marrakech Air Show 2014» s'inscrit dans le cadre de la stratégie du Royaume visant à développer et à consolider le secteur de l'aéronautique, notamment en termes d'investissement industriel et de transfert de technologie.

 

Après le succès éclatant des trois premières éditions, «Marrakech Air Show» atteint sa vitesse de croisière et confirme sa place parmi les grands rendez-vous mondiaux constituant sur la rive sud de la Méditerranée, un meeting international d'échange d'expériences et d'expertises entre décideurs, opérateurs et professionnels du secteur de l'aéronautique.

 

«Marrakech Air Show 2014» a été donc l'occasion pour les décideurs politiques et les opérateurs de l'aéronautique de partager leur vision à court, moyen et long terme du développement de la Plateforme Aéronautique de l'Afrique, propice aux industriels internationaux soucieux d'établir une tête de pont au Maroc dans la conquête des marchés africains.

 

Pour cette quatrième édition, le «Marrakech AirShow» a abrité le Salon africain de l'aviation d'affaires. Première manifestation du genre sur le continent africain, ce salon, organisé en partenariat avec l'Association africaine de l'aviation d'affaires (AfBAA), a réuni l'élite de l'industrie de ce type d'aviation, ainsi que les sociétés de services et les fournisseurs qui lui sont liés.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:45
Visite du ministre de la défense tchèque au Mali pour renforcer la coopération militaire

 

 

28 avr 2014 - A. DIARRA L’essor

 

Le ministre de la Défense de la République tchèque Martin Stropnický, a rendu visite vendredi au contingent de son pays en séjour au Mali dans le cadre de la Mission de formation militaire de l’Union Européenne (EUTM). Ces 34 militaires ont participé à l’entraînement des 4 bataillons (Waraba, Elou, Sigui et Balanzan) de l’armée malienne. Parmi la trentaine de militaires tchèques au Mali, quatre experts travaillent avec les soldats maliens au camp de Kati, situé à une quinzaine de km de Bamako.

 

Au mois de janvier 2013, la France avait lancé l’intervention militaire Serval, dirigée contre les djihadistes, qui avait occupé le nord du Mali en 2012. L’Union européenne a par la suite rejoint la zone avec une mission de formation. Les soldats tchèques avaient tout d’abord protégé le commandement européen à Bamako, puis participé à la formation des militaires maliens. Il est prévu que la présence  des Tchèques au sein de l’EUTM se poursuive jusqu’à la fin de l’année.

 

C’est à la suite de cette visite du ministre Martin Stropnický que la République tchèque décidera ou non d’amplifier son engagement au sein de la mission de l’UE au Mali et de porter son effectif à 50 hommes.

 

A l’issue de sa visite, Martin Stropnický a donné un avis favorable à la prolongation de la participation de son pays à l’EUTM. «Nos soldats resteront chez vous, j’en suis sûr », a-t-il assuré, après avoir été reçu en audience par son homologue, Soumeylou Boubèye Maiga.

 

Pour le ministre Maïga, le mémorandum existant entre les pays devraient être transformé en accord de coopération axé sur l’équipement et la formation. Par le passé, beaucoup de soldats maliens ont été formés à l’Université militaire de la République tchèque.

 

Outre le Mali, la République tchèque a déployé des soldats sur les théâtres d’opérations en Afghanistan et bientôt en Centrafrique.

 

L’armée de la République tchèque est forte de 22 261 soldats et 8 303 civils en 2014. En 2004, l’armée tchèque s’est transformée en une organisation entièrement professionnelle et la conscription a été abolie. À la suite de la crise économique de 2008-2009, 4 500 postes seront supprimés à partir de 2010.

 

Son budget était de 2,84 milliards de dollars en 2008 et la part du PIB, 1,15 % en 20113. En tant que membre de l’OTAN, de l’ONU et de l’UE, la République tchèque participe à plusieurs missions internationales. Depuis 1990, elle a envoyé 13 500 soldats qui  participent à différentes missions de maintien de la paix à travers le monde. Elle a ainsi déployé jusqu’à 1 100 soldats au sein de l’UNCRO en Croatie.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:35
Crash d’un hélicoptère Apache : la Défense de Taiwan annonce une commission d’enquête

Aucune perte humaine n 'est heuresement à déplorer dans cet accident, a noté le ministère de la Défense. CNA

 

 

Après l’accident d’un hélicoptère de combat de type AH-64E, survenu vendredi dernier dans le district de Taoyuan, au nord de Taiwan sans faire aucune victime, le ministère de la Défense a annoncé la mise en place d’une commission d’enquête.

 

Une erreur humaine, les conditions climatiques ou une défaillance technique, aucune de ces pistes n’est écartée, a-t-on déclaré vendredi dernier au ministère de la Défense, à l’annonce de la mise en place de la commission d’enquête destinée à élucider les circonstances qui ont provoqué l’atterrissage en catastrophe de l’hélicoptère sur un immeuble de trois étages dans la commune de Longtan. Les 17 autres Apache AH-64E de l’Armée de l’air sont maintenus au sol, a par ailleurs précisé la Défense. Ces appareils de combat ont été acquis auprès des Etats-Unis entre novembre 2013 et mars 2014, et font partie d’une commande de 30 hélicoptères d’un montant total de 2,01 milliards de dollars américains. La vente avait été annoncée en 2008 par le président des Etats-Unis de l’époque, George Bush. Le 13 mars 2013, les 18 Apache avaient vu leur système de transmission remplacé après un certain nombre de problèmes mécaniques constatés aux Etats-Unis sur le même type d’appareil.

Le major Chen Lung-chien [陳龍謙], instructeur de vol avec 1 247 heures de vol dont 350 sur cet hélicoptère, et son co-pilote, le lieutenant-colonel Liu Ming-hui [劉銘輝], avec 1034 heures de vol mais aucune sur ce type d’appareil, n’ont été que légèrement blessés dans cet accident. Quatre habitations ont été endommagées par la chute de l’hélicoptère.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:30
Industrie de défense : la Turquie, de plus en plus influente dans les mers

 

28 avril 2014 turquie-news.com

 

La Turquie, entourée par la mer de trois côtés, concrétise plusieurs projets afin de renforcer sa sécurité et son influence dans les mers.

 

L’un de ces projets est Meltem-2…

 

Ce projet comprend l’approvisionnement de six avions de patrouille maritime pour les forces maritimes turques, de trois avions de surveillance maritime pour le commandement des Gardes-côtes ainsi que des systèmes et équipements concernés.

 

Les avions ont été livrés au commandement des Gardes-côtes dans l’étendue du projet tandis que le cinquième avion des Forces maritimes turques sera livré lundi au cours d’une cérémonie.

 

Bien que Meltem-2 soit un projet « d’achat direct », il inclut une contribution locale de l’ordre de 35%.

 

ASELSAN, TUSAŞ, HAVELSAN et MILSOFT ont conçu et produit une part importante des pièces critiques.

 

Les logiciels d’une importance cruciale ont été produits ou modifiés et nationalisés par ces organismes d’industrie de défense.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 16:20
Maj. Gen. Wendy M. Masiello - photo USAF

Maj. Gen. Wendy M. Masiello - photo USAF

 

23.04.2014 Supply Chain Magazine

 

Conformément au programme « Better Buying Power », dont la première phase a été lancée en 2010 par le Department of Defense, l'US Air Force cherche à réduire ses dépenses. Estimant ses contrats trop chers et constatant qu'aujourd'hui 60 à 70% des coûts proviennent de la sous-traitance, l'Air Force demande à ses fournisseurs de chasser le gaspillage et d'optimiser leur Supply Chain amont quitte à renégocier avec leurs sous-traitants (comme elle le fait elle-même). Elle insiste sur le fait que ce programme n'a pas pour objectif de « réduire les coûts aux dépens des profits » et reconnaît que « le profit est totalement légitime », mais on sent que la pilule a tout de même du mal à passer. « Je suis souvent surprise de constater que l'on trouve normal que le secteur marge entre 18 et 20% sur des programmes à relativement faible risque » s'insurge le Major General Wendy Masiello. « Je pense que nous devons attaquer les processus de négociation de manière plus pragmatique.  Nous devons être plus constants et transparents dans notre façon d'associer le facteur risque à la marge ».

 

Afin de mieux comprendre les estimations de coûts utilisées par ses fournisseurs lors des appels d'offre, l'US Air Force s'est donc associée à la Defense Contract Audit Agency pour réaliser une campagne d'audit de sa Supply Chain. « A une époque où de nombreux programmes de développement ont dû être abandonnés, nous ne pouvons plus nous permettre de dépasser nos budgets. Si les programmes dépassent les délais ou les budgets, nous risquons de les perdre. Nous avons très peu de marge d'erreur » a ajouté Wendy Mesiello.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 15:56
photo Ria Novisti

photo Ria Novisti

 

28/04/2014 Par Le Figaro.fr avec Reuters

 

Les Etats-Unis ont imposé des sanctions contre sept responsables et 17 entreprises russes jugés proches du président Vladimir Poutine en raison de l'attitude de la Russie à l'égard de l'Ukraine. Les personnes sanctionnées, dont l'identité n'a pas été dévoilée, sont notamment frappées par un gel des avoirs et une interdiction de visa pour se rendre aux Etats-Unis, a précisé la Maison blanche. Parmi elles figurent deux membres du premier cercle de Vladimir Poutine.

 

Les Etats-Unis vont aussi rejeter toute demande d'autorisation d'exporter des équipements de haute technologie susceptibles de renforcer les capacités militaires de la Russie, a ajouté la Maison blanche.

 

Les départements d'Etat et du Commerce vont annuler toutes les autorisations existantes qui remplissent ces conditions.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 12:55
Exercice Marne - photo 1 RTir

Exercice Marne - photo 1 RTir

 

27 avril 2014 transvosges

 

Sur le site militaire de la caserne Varaigne à la Vierge vient d’être lancer des gros travaux de terrassements et de V.R.D. L’objectif ? La construction d’infrastructure d’accueil pour les VBCI.

 

Le Véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) est un véhicule blindé de combat français tout-terrain à huit roues, conçu et fabriqué en France par Nexter Systems et par Renault Trucks Défense, qui est responsable de toute la partie mobilité de l’engin.

 

Depuis 2011, le 1er régiment de tirailleurs d’Épinal en reçoit et il était donc primordial d’aménager une partie de la caserne militaire pour construire des bâtiments techniques et de maintenance pour ces véhicules dont le coût unitaire est de plus de 4 millions d’euros tout de même.

 

De même, des bassins d’orages vont voir le jour le long de la route d’Archettes RD 42. Tous ces travaux de terrassement sont réaliser par l’entreprise Eiffage Lorraine.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 12:55
photo Nexter

photo Nexter

 

Versailles, le 24 avril 2014 - Nexter Systems

 

Nexter Systems a signé avec le Groupe Chemring les contrats d’acquisition de 100% des titres des sociétés Mecar et Simmel Difesa le 23 avril 2014. Ces deux opérations permettront au Groupe Nexter de renforcer son pôle munitionnaire et d’établir sa position parmi les leaders européens dans ce domaine.

 

Fort d’un bilan solide et d’un modèle opérationnel ayant fait ses preuves depuis plusieurs années, le Groupe Nexter met en œuvre une stratégie de croissance externe ciblée. Avec cette opération, cette stratégie se concrétise aujourd’hui par l’enrichissement de sa gamme de produits dans les trois domaines - munitions terrestres, aéronautiques et navales – et l’extension de son empreinte commerciale au niveau international. Les acquisitions conjointes de Mecar et Simmel Difesa répondent à l’ensemble des critères visés, et constituent un facteur de croissance unique pour le Groupe Nexter.

 

Le pôle munitionnaire sera constitué de sociétés complémentaires, centrées sur leur cœur de métier, s’appuyant sur les compétences de leurs salariés, et bénéficiant des synergies rendues possibles par leur appartenance au Groupe Nexter.

 

Ce renforcement du pôle munitionnaire permettra le développement accéléré de nouveaux produits et l’élargissement de la base clients ; l’outil de conception et de fabrication de munitions se trouvera également renforcé.

 

« Cette étape importante ouvre de nouvelles perspectives et confirme le rôle clé du groupe dans une dynamique de consolidation européenne » a déclaré Philippe Burtin, Président Directeur-général de Nexter Systems.

 

Mark Papworth, Président Directeur-général du Groupe Chemring a rajouté : «Je suis heureux de cette annonce qui est cohérente avec notre stratégie de nous concentrer sur notre cœur de métier. Je me réjouis de l’acquisition de ces activités par le Groupe Nexter qui est très bien placé pour optimiser les perspectives de Mecar et Simmel Difesa. »

 

La réalisation des acquisitions reste sujette à la levée des conditions suspensives, dont notamment l’accord des actionnaires de Chemring et l’approbation des autorités italiennes.

 

A propos de Nexter Systems

Nexter, grâce à sa maîtrise des systèmes blindés de combat terrestre, a pour vocation de répondre aux besoins des armées de Terre française et étrangères. Son domaine d'activité s'étend à la fourniture de systèmes et de munitions pour les armées de l'Air et de Terre, et la Marine. Le chiffre d'affaires de Nexter s'est établi pour 2013 à 787 M€ et l'entreprise alloue 18% de son chiffre d'affaires aux activités de Recherche & Développement. La gamme de produits proposés par Nexter est notamment composée de véhicules multi-missions ARAVIS®, véhicules de combat VBCI, systèmes d'artillerie CAESAR®, TRAJAN® et 105 LG, munitions intelligentes BONUS, services clients, soutien et revalorisation.

 

Pour plus d'informations: www.nexter-group.fr

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 12:50
Nexter Scoops Up Chemring's European Munitions Operations

Changin Focus: Munitions maker Chemring has shed its European ammunition business to Nexter.

 

Apr. 24, 2014 - by ANDREW CHUTER – Defense News

 

Munitions maker Chemring (Chemring)

 

LONDON — Chemring has sold its European munitions business to French armaments producer Nexter Systems in a deal that could net the British-based company up to £138 million (US $231.9 million).

 

The proposed sale will see Chemring’s Mecar ammunition operation in Belgium and the Simmel facilities in Italy pass into the hands of the French state-owned munitions, armored vehicle and artillery supplier.

 

The two operations, best known for the production of mortar and medium- and large-caliber ammunition, were purchased by Chemring between 2007 and 2010 as part of a six-year acquisition binge in its prime UK and US markets.

 

Their sale is part of a strategic review of the business undertaken last year by the then new CEO Mark Papworth.

 

The review, and the installation of the new CEO, was prompted by deteriorating performance at the British-based company, which had triggered several profit warnings.

 

“The sale of our European munition business implements a key recommendation of our strategic review and represents a significant milestone as we reposition Chemring for future growth. It not only enables us to strengthen our balance sheet through the reduction of net debt, but also provides us with the flexibility to invest in our core technologies,” said Papworth.

 

The two ammunition companies required high levels of working capital and were operating in a very competitive, volatile market dominated by international players, the Chemring CEO said.

 

In a statement, Nexter said the two acquisitions “constituted a unique growth opportunity for Nexter, which will enrich its products in land, sea and air ammunition and extend its commercial footprint in key export markets.”

 

The companies sell into NATO and non-NATO markets and Mecar, in particular, has a strong business base in the Middle East.

 

Philippe Burtin, chairman and CEO of Nexter Systems, said the acquisition “confirms the key role of the group in the momentum of European consolidation.”

 

Nexter is already a significant player in the medium caliber, artillery and tank ammunition markets.

 

Papworth said the munitions sale would allow Chemring to focus its efforts on core defense technology activities.

 

The company, which saw sales tumble 15 percent in 2013 to £624 million compared with the previous year, is a leading producer of counter-IED, missile countermeasures and sensors and electronics systems.

 

Reductions in defense spending in its biggest markets, particularly the US, and production problems at some of its manufacturing facilities were largely behind the performance problems.

 

Last year, Chemring’s European munitions business generated sales of £152 million and reported operating profits of £16.8 million. That compares with £206 million sales and £27 million operating profit the previous year

 

As a result, the Pyrotechnics and Munitions business unit of which Mecar and Simmel are a part saw revenues plunge 19.6 percent to £200 million in 2013.

 

Chemring retains a very small presence in the munitions market as Chemring Ordnance in the US will continue to make small caliber ammunition and 40mm grenade launched ammunition.

 

This business, along with Chemring Defence UK, is being folded into Energetic Systems so the company’s Pyrotechnics and Munitions unit will cease to exist once the sale goes through.

 

The company also announced that Chemring Defence Germany is being sold for €2.75 million (US $3.8 million). The identity of the buyer is not known at this stage.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 12:45
Des nouvelles du détachement de contre-ingérence en RCA

 

27/04/2014 DPSD

 

Le DET CI déployé en République centrafricaine pour l'opération SANGARIS donne de ses nouvelles...

 

Le détachement de contre-ingérence déployé à Bangui a vu évoluer les conditions de sa mission depuis le début de l'opération, avec une dégradation rapide de la situation sécuritaire dans la capitale centrafricaine, suivie de près par celle de la province.

 

Ces changements ont modifié les conditions de travail. En effet, les violences perpétrées au quotidien par les factions en présence ont eu un impact non négligeable sur les conditions de déplacement du personnel du Service, également assujetti aux restrictions de sortie du camp.

 

Néanmoins, le DET CI a continué à mener ses investigations sur le terrain et s'est attaché à entretenir une certaine qualité relationnelle avec ses interlocuteurs traditionnels, à la fois bénéfique pour le Service et pour l'ensemble de la force SANGARIS.

 

Parallèlement, le détachement a dû composer avec une situation sécuritaire complexe du fait du regroupement de milliers de réfugiés aux abords immédiats du camp base de l'aéroport de M'Poko, et de la présence à l'intérieur même du camp des forces étrangères de la mission internationale de soutien en Centrafrique.

Le service a su consolider sa crédibilité dans toute la chaîne renseignement de théâtre sans négliger sa mission traditionnelle de sensibilisation du personnel sur les menaces, de conseil au commandement et de gestion des affaires de subversion interne.

 

Enfin, à l'occasion des nombreuses visites d'autorités couvertes par le détachement, le personnel du Service a eu l'opportunité de mettre en avant, au plus au niveau, la contribution de la DPSD à la mission SANGARIS.

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 12:40
Moscou: le bureau de l'Otan pourrait être fermé (journal)

 

MOSCOU, 28 avril - RIA Novosti

 

La Russie pourrait fermer le bureau d'information de l'Otan à Moscou en réponse à la décision de l'Alliance de suspendre sa coopération avec Moscou, rapporte lundi le quotidien Kommersant citant une source au sein du ministère russe de la Défense.

Dans le même temps, des sources proches de l'administration présidentielle russe ont indiqué au journal que la décision finale n'avait pas encore été prise.

Selon Kommersant, les responsables russes ont remis en question le fonctionnement du bureau suite au gel de la coopération civile et militaire avec Moscou décidé par les ministres des Affaires étrangères de l'Otan le 1er avril dernier. Dans le même temps, les chefs de l'Alliance atlantique ont interdit l'accès au siège de l'Otan à la quasi-totalité des employés de la mission permanente russe auprès de l'Alliance depuis le 8 avril.

La coopération entre la Russie et l'Otan a été suspendue à l'initiative de cette dernière sur fond de situation entourant de l'Ukraine. Cependant, les parties maintiennent toujours des contacts au sein du Conseil Russie-Otan au niveau des ambassadeurs et à un niveau plus élevé. Les membres de la représentation permanente russe auprès de l'Alliance sont cependant obligés d'annoncer à l'avance leurs visites au siège et ne sont pas autorisés à s'y déplacer sans accompagnement.

Le Bureau d'information de l'Otan à Moscou fonctionne auprès de l'ambassade de Belgique depuis l'automne 2000.

Il convient de rappeler qu'en 2008, suite au conflit en Géorgie, l'Alliance avait unilatéralement interrompu sa coopération avec la Russie, avant de la rétablir en avril 2009.

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