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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 15:20
U.S. Army M1A2 Abrams Main Battle Tank, Company C, 1st Battalion, 67th Armor Regiment, 2nd Armored Brigade Combat Team, 4th Infantry Division

U.S. Army M1A2 Abrams Main Battle Tank, Company C, 1st Battalion, 67th Armor Regiment, 2nd Armored Brigade Combat Team, 4th Infantry Division

 

April 1, 2014 Strategy Page

 

Although the United States Army still owns 7,000 M1 tanks, less than 20 percent of them are actually in service. That’s the 1,288 M1 tanks in 92 M1 companies with 14 tanks per company. There are no more tank battalions. Instead there are Combined Arms battalions in Heavy Brigades. Each of these battalions have two tank companies (and two infantry companies). Meanwhile the army is continuing its downsizing, going from 16 armored brigades (64 M1 companies) to ten (40 companies). The Army National Guard still has seven armored brigades (28 M1 companies). The reduction will remove 24 M1 companies leaving 952 M1 tanks in service.

 

Each crew has four men, giving the U.S. 3,808 M1 tank crewmen. The army is hustling to retrain all these tank crews for conventional combat. During the last decade many tank companies were used as infantry or to operate MRAP vehicles. The army is using lots of simulators to retrain the tank crews and this cuts costs a lot. These simulators have become more common since the 1990s and have proved to be very effective in quickly and cheaply teaching useful skills to tank crews. After lots of simulator time, the crews perform very effectively when they take the tanks out and do all the moving and firing under realistic (or even combat) conditions.

 

All those additional M1 tanks are there if there is a major war. With all the simulators it is easier and quicker to train more crews than it is to build more M1 tanks.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 12:45
Tchad : Focus sur le ravitaillement en vol depuis un C-135

 

01/04/2014 Sources EMA

 

Le 21 mars 2014, le détachement C-135 présent à N’Djaména a effectué une mission de ravitaillement en vol au profit de deux Rafale engagés en opération au-dessus du territoire tchadien.

 

5h00 : salle des opérations du détachement d’aviation de chasse de la plateforme Épervier. Les quatre membres d’équipage du C-135 terminent le briefing préalable à la mission en rappelant les objectifs, l’itinéraire, la météo, les fréquences radio ou encore les éléments de rejointe avec les chasseurs.

6h45 : après la prise en compte de l’appareil et les vérifications techniques d’usage (système électrique, hydraulique, carburant, réacteur), le pilote, le co-pilote, le navigateur et l’opérateur de ravitaillement en vol (ORV) sont à bord, prêts à décoller. La tour de contrôle autorise le décollage, les moteurs sont mis en route et l’avion commence à rouler pour se positionner en bout de piste.

7h00 : le C-135 décolle. En quelques minutes, il atteint une vitesse de croisière d’environ 280 nœuds, soit plus de 500 km/h. Le contact radio avec les avions à ravitailler est établi. 

7h50 : « Les chasseurs sont à l’approche », annonce l’ORV, plus communément appelé le « Boomer », aux autres membres d’équipage. Deux méthodes de ravitaillement en vol sont alors possibles : la première se fait à partir de la perche centrale qui se situe à l’arrière de l’avion. Cette perche rigide rétractable se termine par un tuyau souple et un « panier entonnoir » dans lequel l’avion ravitaillé vient placer sa propre perche de ravitaillement. L’ORV, depuis sa cabine située sous l’appareil, juste en arrière de la base de la perche, commande l’opération.

La seconde méthode de ravitaillement est effectuée depuis les nacelles situées aux extrémités des ailes de l’avion. Depuis ces deux nacelles, des tuyaux souples, terminés par un « panier » stabilisé aéro-dynamiquement, sont déroulées afin que les avions puissent venir se ravitailler.

Pour cette action, le « Boomer » est en cabine avec le reste de l’équipage. Il effectue le ravitaillement à l’aide de petites caméras implantées dans l’avion qui lui permettent de surveiller la livraison de carburant et de s’assurer de la sécurité des chasseurs. Cette technique est plus aisée pour les avions de chasse et permet surtout de ravitailler deux appareils simultanément. Ce qui était le cas pour ce vol.

7h55 : Le décompte commence : « Cinq mètres, quatre, trois, deux, un contact ! » Les perches de ravitaillement des deux Rafale sont connectées aux paniers de ravitaillement. En quelques minutes, près de dix tonnes de kérosène sont délivrées.

12h30 : Après trois séquences de ravitaillement en vol, l’équipage prend contact avec la tour de contrôle de N’Djamena. L’approche débute et l’avion se pose sur la piste de la base aérienne 172. La mission est terminée.

Un avion de chasse dispose d’une autonomie d’environ deux heures de vol. Cette autonomie peut être étendue grâce au ravitaillement en vol. Les C-135, souvent comparés à des « stations-service volantes », sont indispensables et permettent aux autres aéronefs de pouvoir effectuer des missions avec une élongation plus importante.

Les avions déployés à N’Djamena œuvrent au profit des opérations Serval au Mali, Epervier au Tchad, et Sangaris en RCA. Leurs missions sont coordonnées par le JFACC AFCO.

Le JFACC AFCO (Joint Force Air Component Command – Commandement de la composante air de la force interarmées de l’Afrique centrale et de l’ouest) contrôle tous les moyens aériens dans la sous-région (Tchad, Sénégal, Mali, Niger, Gabon, RCA) hormis les moyens des détachements de l’aviation légère de l’armée de terre (ALAT) ainsi que les aéronefs des forces spéciales. Réorganisé dès le début de l’opération Serval pour faire face à l’accroissement du volume des moyens aériens engagés, le JFACC AFCO est déployé sur deux sites : d’une part, la base aérienne 942 à Lyon-Mont-Verdun, pour le commandement et la planification, d’autre part, la base aérienne 172 de N’Djamena pour la conduite.

Les militaires de la force Épervier assurent deux missions permanentes : ils apportent un soutien aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes, conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad et sont en mesure de garantir, si nécessaire, la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad.

Sources : EMA

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 12:40
photo Nato

photo Nato

 

01 avril 2014 Romandie.com (AFP)

 

KIEV - Le Parlement ukrainien a approuvé mardi la tenue de manoeuvres militaires conjointes avec les pays de l'Otan et de l'Union européenne entre mai et octobre sur son territoire, y compris dans les eaux de la mer Noire.

 

Le texte a été approuvé par 235 députés, aucun élu n'a voté contre. C'est une bonne occasion pour développer nos forces armées, a déclaré le ministre de la Défense Mikhaïlo Koval.

 

Le projet de loi avait été déposé le 26 mars par le président par intérim Olexandre Tourtchinov après le rattachement de la Crimée à la Russie. Kiev s'inquiète aussi de la présence importante russe de soldats à sa frontière orientale, qui lui fait craindre une invasion, même si Moscou a affirmé engager un retrait partiel.

 

En adoptant ce texte, le Parlement autorise l'entrée sur le territoire national de forces étrangères pour sept exercices: Public Order 2014 avec la participation de la police militaire polonaise, Rapid Trident 2014 avec les forces américaines, Safe Sky 2014 avec l'aviation polonaise, Sea Breeze 2014 avec les forces américaines, deux exercices multinationaux Light Avalanche - 2014 et Carpates - 2014, et enfin Sud - 2014 avec les unités d'infanterie de montagne roumaines et moldaves.

 

Ces manoeuvres, auxquelles doivent participer 7.000 hommes de 17 pays, doivent avoir lieu notamment dans l'Ouest de l'Ukraine mais aussi en mer Noire, à proximité immédiate de la Crimée où est basée la flotte russe.

 

L'Ukraine, ex-république soviétique, ne fait pas partie de l'Otan mais certaines voix au sein des nouvelles autorités pro-occidentales se sont prononcées pour un rapprochement avec l'organisation atlantique, ce qui est considéré comme une ligne rouge par la Russie.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 11:55
Défense à Brest : La décision sur le transfert des Barracuda retardée

le premier sous-marin nucléaire d'attaque de type barracuda est construit par DCNS à Cherbourg. En essai en 2016, le Suffren sera livré à la marine en 2017. Photo DCNS

 

01 avril 2014 Ouest-France

 

Transfert ou pas des sous-marins d'attaque de Toulon à Brest? Le ministre de la défense devrait trancher dans l'année.

 

Jean-Yves Le Drian pensait d'abord prendre une décision avant fin 2013. Puis en mars 2014. Ce serait maintenant avant la fin de l'année, selon une réponse qui a été faite par le ministère aux syndicats.

 

L'annonce est très attendue. Il s'agit du transfert ou non, de Toulon à Brest, de tout ou partie de l'activité liée à l'accueil et à l'entretien des futurs sous-marins nucléaires d'attaque de type Barracuda.

 

Remaniement ?

 

Les six sous-marins de la génération précédente sont aujourd'hui basés et entretenus à Toulon. Cette flottille emploie 1 000 marins auxquels s'ajoutent 1 200 salariés de DCNS dédiés à leur entretien. Sans compter les sous-traitants. Ils génèrent, selon les syndicats toulonnais, 120 millions d'euros par an, injectés dans l'économie.Les élections municipales, puis un éventuel remaniement ministériel peuvent sans doute expliquer ces reports de décisions...

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 11:50
Dutch Air Force Media/EATC MSCN

Dutch Air Force Media/EATC MSCN

 

 

01.04.2014 Ballinger/Thomas - EATC

 

Under the operational control of the EATC, two Dutch KDC-10 are used to refuel the NATO E3-A executing surveillance at the Eastern NATO borders. Operating solely from its main operating base at Geilenkirchen (Germany), the NATO E-3A Component will fly a line of tasking every day to Romania as well as a second one every other day above Poland. These surveillance missions will be shared with the E-3D Component, who will fly out of Waddington, United Kingdom.
The employment will enhance situational awareness and reassure NATO Allies in the region. All AWACS surveillance flights will take place solely over Alliance territory and no flights will take place over Ukraine. It was the North Atlantic Council (NAC) to decide on March 10, 2014 to employ NATO AWACS (Airborne Early Warning and Control Aircraft) surveillance aircraft over Poland and Romania.


The EATC concept of Pooling & Sharing constitutes an excellent means to support that kind of operations, moreover for the fact that the KDC-10 Tanker Transport aircraft can also execute a further mission to enhance efficiency. As an example the Dutch aircraft returned last week after its tanker mission also with personnel coming back from Adana, Turkey, where the Dutch missile contingent is stationed to protect Turkey from potential Syrian air threads – not to forget the ten tons of freight on board which also belonged to the Dutch contingent.

 

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 11:45
Counter Piracy Newsletter March - EU Naval Force Somalia


01.04.2014 EUNAVFOR

 

Serbian Detachment Completes Protection Of World Food Programme Ship MV Caroline Scan As Part Of EU Naval Force

A recent Operation Atalanta medal parade held in Djibouti marked the end of the Serbian Autonomous Vessel Protection Detachments (AVPD) tenure with the EU Naval Force.

 

EU Naval Force French Warship FS Siroco Provides Electronic Navigation Training to Seychelles Coast Guard Trainees

During FS Siroco’s port visit to the Seychelles, 20 trainees from the Basic Training course for the Seychelles Coast Guard embarked for electronic navigation equipment training. The training was supported by staff from EUCAP Nestor.

 

EU Naval Force Continues Regular Contacts With Crews Of Fishing And Trading Vessels Off The Horn Of Africa

During the last week, EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia Operation Atalanta warships FGS Hessen and ESPS Tornado have carried out several ‘Friendly Approaches’ in the Gulf of Aden.

 

Force Commander Promotes EU Counter Piracy Operation During Conference In The Seychelles.

On 6 March 2014, during the last port visit of the EU Naval Force Somalia Operation Atalanta flagship, FS Siroco, the Force Commander, Rear Admiral Hervé Bléjean was invited to brief Seychellois government and administration representatives and diplomats on the EU’s counter piracy operation.

 

Spanish Vessel ESPS Relámpago Joins EU Naval Force Counter Piracy Operation

As of Thursday 13 March, the Spanish Offshore Patrol Vessel, ESPS Relámpago joined the EU Naval Force to carry out counter-piracy patrols off the coast of Somalia. ESPS Relámpago has replaced ESPS Tornado as the Spanish contribution to Operation Atalanta. ESPS Tornado is now on her way back home.

 

Spanish Offshore Patrol Vessel ESPS Tornado Departs Operation Atalanta After Completing 105 Days Of Counter Piracy Patrols Off The Coast Of Somalia

On 13 March 2014, EU Naval Force warship, ESPS Tornado departed Operation Atalanta’s patrol areas off the Somali coast after completing 105 days and is now heading for her home port of Las Palmas in Gran Canaria.

 

Force Commander Visits Greek Warship HS Psara After Replenishment At Sea With EU Naval Force Flagship FS Siroco

On Thursday 13 March the EU Naval Force flagship, FS Siroco, rendezvoused at sea in the Gulf of Aden with Hellenic warship, HS Psara, to conduct a replenishment from sea.

 

Counter Piracy Warships Siroco And Kang Gam Chan Conduct Exercises At Sea In Gulf Of Aden

On Saturday 15 March, EU Naval Force French Flagship, FS Siroco, and South Korean destroyer, ROKS Kang Gam Chan met at sea in the Gulf of Aden to conduct a series of maritime exercises. Both warships are currently conducting counter-piracy operations off the coast of Somalia.

 

Spanish Maritime Patrol Aircraft Contingents Hold Handover Ceremony As New Crew Takes On EU Counter Piracy Role Off Coast Of Somalia

One of the key elements of the EU Naval Force’s counter-piracy operation in the waters of the Horn of Africa is the Maritime Patrol and Reconnaissance Aircraft (MPRA). These long-range, capable aircraft conduct aerial patrols over the sea areas where pirates are known to operate and can provide early warning of a potential pirate attack.

 

European Union Teams Provide Fire-fighting Training For Djibouti Coast Guard And Navy

On 22nd and 23rd March, ten officers from the Djiboutian Navy and four from the Coast Guard participated in a fire-fighting exercise and weapon handling training that were organised jointly by staff from the EU Naval Force and the EU capacity building mission, EUCAP Nestor.

 

Three EU Naval Force Warships Replenish At Sea With US Task Force 53 Logistics Ship In Gulf of Aden

On Tuesday 18 March, three EU Naval Force warships, FS Siroco, FGS Hessen and ESPS Relampago gathered in the Gulf of Aden for a joint replenishment at sea (RAS) with the American logistics ship, USNS Pecos from Task Force 53. Ships from Task Force 53 provide regular replenishment support to the European Union’s counter-piracy warships and others international forces in the area of operations.

 

EU Naval Force And Chinese Navy Warships Work Together In Counter Piracy Exercise At Sea In Gulf Of Aden

28 March 2014 – Ahead of Chinese President Xi’s visit to the European Union in Brussels, a significant naval exercise has taken place in the Gulf of Aden to demonstrate the growing cooperation between the EU and China on issues of international security and defence.

 

European Union Ambassadors Meet Puntland’s President For Talks On Maritime Priorities

On Wednesday 26 March 2014, European Union Ambassadors met with the President of Puntland, Dr. Abdiweli Mohamed Ali, and his Cabinet on board the French EU Naval Force flagship, FS Siroco, to discuss key issues related to political, security and development cooperation, and to participate in a special session on maritime security.

 

EU Naval Force Bids Fond Farewell to MV Caroline Scan After Completing Four Successful Years as World Food Programme Ship

After two and a half years protecting the World Food Programme (WFP) ship, MV Caroline Scan, from pirate attack off the coast of Somalia, the EU Naval Force has bid the vessel and her hard-working crew a fond farewell. In April 2014, MV Caroline Scan will be entering a period of maintenance, so the WFP deliveries to the Somali people will temporarily be conducted using other voyage chartered vessels.

 

Passengers On Board German Cruise Ship AIDA Diva Have a Special Encounter with EU Naval Force Warship FGS Hessen at Sea in the Gulf of Aden

It’s not every day that passengers on board a civilian cruise liner would get so close to a warship on operations that they could wave to each other, but this is just what happened last week when the German cruise liner, AIDAdiva, with over 2,000 passengers on board, met German frigate FGS Hessen at sea.


EU NAVFOR ATALANTA
EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia - Operation Atalanta is part of the EU's comprehensive approach to tackle symptoms and root causes of piracy off the coast of Somalia and the EU Strategic Framework for the Horn of Africa adopted in November 2011.

EU NAVFOR conducts anti-piracy operations off the coast of Somalia and the Indian Ocean and is responsible for the protection of World Food Programme (WFP) shipping carrying humanitarian aid to the people of Somalia and Horn of Africa as well as the logistic shippings supporting the African Union troops conducting Peace Support Operations in Somalia (AMISOM). Additionally, Operation Atalanta contributes to the monitoring of fishing activity off the coast of Somalia.

For more information, please visit our website www.eunavfor.eu.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 11:40
Amiral Viktor Tchirkov, Сhef des forces navales russes photo RN

Amiral Viktor Tchirkov, Сhef des forces navales russes photo RN

 

MOSCOU, 1er avril - RIA Novosti

 

Soixante-dix-neuf navires de guerre et bâtiments auxiliaires de la Flotte ukrainienne de la mer Noire restent déployés en Crimée et à Sébastopol, a annoncé mardi aux journalistes le commandant en chef des forces navales russes, l'amiral Viktor Tchirkov.  

"A ce jour, des navires de la Flotte ukrainienne de la mer Noire restent déployés dans les eaux territoriales russes, en Crimée et à Sébastopol. Nous avons procédé à une révision, il s'agit de 79 navires, dont 25 de guerre", a expliqué M.Tchirkov avant d'ajouter que ces bateaux seraient prochainement remis à l'Ukraine.  

Peuplée en majorité de russophones, la république autonome de Crimée a proclamé son indépendance vis-à-vis de l'Ukraine et la réunification avec la Russie au terme d'un référendum du 16 mars où 96,7% des habitants de la péninsule ont appuyé cette décision. La Russie et la Crimée ont signé le traité sur le rattachement de la république de Crimée et de la ville de Sébastopol à la Fédération de Russie le 18 mars dernier. 

Vendredi il a été annoncé que suite à l'intégration de la Crimée à la Russie, Moscou entamait le processus de dénonciation d'une série d'accords bilatéraux russo-ukrainiens, notamment sur le partage de la mer Noire.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:54
Impression 3D et marché de l’armement : un mariage à risques ?

 

28/03/14 Johan CORNIOU-VERNET - Portail de l'IE

 

Une Troisième révolution industrielle… Au cœur des technologies de demain que sont les drones et la robotique, l’Impression 3D serait un bouleversement qui réinitialiserait notre économie, voire notre société. S’ouvrant aux particuliers, vous et moi pourrons bientôt imprimer dans notre salon à peu près tout et n’importe quoi, y compris des armes.

Point de terminologie : on « n’imprime » pas à proprement parler aujourd’hui en 3D. Il n’est pas encore venu le temps du Replicator à la Star Trek - nom par ailleurs donné par la société Makerbot à son imprimante 3D, ce qui ne manquera pas de doper les ventes auprès du lobby des Trekkies encore très puissant Outre-Atlantique -. Scientifiquement parlant, le principe est l’« additive manufacturing », qui consiste, via un schéma 3D transmis par ordinateur à l’imprimante, à superposer des couches de matières successives (plastique, métaux, bois, céramique ou même matières bio-organiques).

Si l’impression 3D soulève de nombreuses questions, l’essentiel des commentaires se concentre sur le danger de la production chez soi, en toute discrétion et illégalité, d’une arme fonctionnelle. 

 

Des armes en plastique non détectables par les détecteurs conventionnels

Après le buzz du Liberator, première arme fabriquée en 3D presque entièrement avec du plastique, la présentation par la Société Solid Concepts d’une réplique, en métal cette fois, du célèbre Colt 45 a ravivé les débats.

La psychose est née d’un étudiant américain, Cody Wilson, militant crypto-anarchiste à l’origine du Liberator et fervent défenseur du 2ème Amendement, en pleine polémique sur les armes après la tuerie de Sandy Hook. Il est fondateur de la société pro-armes Defense Distributed, dont le but est de fournir gratuitement en ligne des modèles 3D d’armes à fabriquer, via son catalogue DefCad.

La fabrication d’une arme 3D de base, c’est à dire en plastique, est très simple, surtout aux Etats-Unis. Il suffit de posséder une imprimante relativement standard, dont le prix varie entre 2500 $ et 3300 $, de filaments de plastique PLA ou ABS achetables en ligne, et de diverses pièces métalliques comme le percuteur (un clou suffisant). Quant à la partie purement opérationnelle métallique de l’appareil - canon, chargeur ou culasse - elle peut être achetée librement sur Internet, sans aucune restriction d’âge ou contrôle quelconque.

 

La question du terrorisme plane sur les débats

Sera-t-il plus facile pour un terroriste, au lieu d’obtenir son matériel via les filières classiques de marché noir, de l’imprimer lui-même chez lui en toute discrétion ? Nombre d’experts minimisent cette éventualité. Les réseaux de trafic d’armes et leurs intérêts économiques, alliant corruption, menaces, collusions politiques, industrielles et religieuses, rendent peu probable une stratégie d’équipement de masse en imprimantes 3D. En revanche, même si le phénomène est encore trop récent pour être palpable, peut-être que l’industrie de l’armement de poing, surtout à destination des particuliers, pourrait connaître une petite révolution, aux conséquences économiques lourdes débouchant sur une redistribution des cartes parmi les acteurs.

 

Des tentatives de règlementation qui peinent à émerger

Aux Etats-Unis, où le droit de posséder une arme est profondément ancré dans la culture américaine, les réponses institutionnelles sont floues. La défense du 2ème Amendement est farouchement revendiquée, notamment par les milieux conservateurs, mais certains politiques se sont engagés pour réglementer voire interdire l’utilisation de la technologie d’impression 3D pour créer des armes anonymes et intraçables. Ainsi, le sénateur Steve Israel, représentant démocrate, a présenté un projet de loi Undetectable Firearms Modernization Act. Une législation anti-arme en plastique a depuis été adoptée en 2013. Plus encore, tous les modèles d’armes à télécharger depuis la plateforme DefCad ont été censurés et supprimés. Toutefois, au regard du nombre de téléchargements avant cette interdiction et à leur rediffusion par peer-to-peer, l’endiguement de la fuite de ces schémas est illusoire.

D’autres pistes sont donc envisagées : empêcher matériellement, par un sous-logiciel de blocage, l’impression de tout matériel de type militaire, ou encore insérer une sérigraphie propre à chaque imprimante pour que tous les objets imprimés puissent être tracés via un numéro de série, ou bien aussi la nécessité pour l’utilisateur d’obtenir une licence de l’Etat. 

 

Une psychose disproportionnée ?

Il convient d’être vigilant et d’étudier l’évolution de la situation, mais peut-être que la psychose autour des « armes téléchargeables » dépasse les vrais enjeux de sécurité en présence. Pour l’heure, les armes fabriquées en plastique sont de mauvaise qualité, obsolètes après quelques coups, et manquent souvent leur cible. Plus encore, les armes imprimées en métal, demandent un savoir-faire technique très élevé, un coût faramineux tant dans l’imprimante requise que dans les matériaux, et dépassent de très loin les capacités d’un individu lambda et même d’une organisation criminelle classique.

Ces polémiques, fortement émotionnelles dans l’opinion publique, étouffent les aspects positifs qu’offre l’impression 3D dans l’industrie, notamment militaire. Filière d’avenir pressentie par de nombreux acteurs, le Président américain Barack Obama a milité pour une ré-industrialisation de son pays grâce aux Imprimantes 3D, et le Pentagone a lancé des programmes de recherche et de développement de ses propres imprimantes destinées au front, pour augmenter l’efficacité de ses armées et régler les problèmes de pénuries de matériels ou de délai pour les obtenir.

Les opportunités sont alléchantes, y compris pour les intérêts français, Sculpteo étant un des plus gros acteurs sur le marché des modèles d’impression. Une étude publiée par le Crédit Suisse présage des bénéfices avoisinant une quinzaine de millions de dollars aux alentours des années 2020. Plus encore, en réduisant les chaînes de production et la logistique, en termes de durée et de coûts, l’impression 3D permettrait de constituer des pôles industriels centralisés, idéaux pour le développement des armements de demain.

Aérospatiale, munitions, matériaux de pointe, systèmes informatiques de cyberguerre ou encore aéronautique. Bref le panel est large.

Enfin, la double réussite récente de l’impression d’une trachée artificielle qui a permis de sauver la vie d’un bébé, et d’un foie jugé viable, ouvrent le champ de l’impression 3D au domaine de la santé, et vient s’inscrire dans les grandes révolutions de la médecine actuelle, à l’instar du nouveau Cœur artificiel autonome Carmat.

 

Pour aller plus loin :

- Marché de l’armement et distorsion de concurrence

- Do it yourself, FabLab et Hackerspace

- Carmat : l’innovation médicale française n’est pas morte !

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:50
Inside HMS Queen Elizabeth

As the 100 day countdown begins the Daily Telegraph have released a video well worth watching

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:50
Ciel ouvert: vol d'inspection polonais en Russie et en Biélorussie

Antonov An-30B

 

MOSCOU, 31 mars - RIA Novosti

 

Des inspecteurs polonais survoleront les territoires russe et biélorusse dans le cadre du traité international Ciel ouvert du 31 mars au 5 avril, a annoncé lundi le directeur du Centre national pour la diminution de la menace nucléaire Sergueï Ryjkov.

 

"Une mission de la Pologne a l'intention d'effectuer un vol d'inspection en Biélorussie et en Russie à bord d'un avion ukrainien Antonov An-30B du 31 mars au 5 avril dans le cadre du Traité international Ciel ouvert", a indiqué M.Ryjkov.

 

Selon lui, l'avion An-30B n'est pas destiné pour être équipé d'armements, cet avion a été certifié au niveau international, ce qui garantit l'absence de moyens techniques interdits à son bord. Des spécialistes russes participeront au vol d'inspection pour contrôler le respect des paramètres du vol.

 

Signé le 24 mars 1992 à Helsinki, le Traité Ciel ouvert est appliqué depuis le 1er janvier 2002. Le document vise à accroître la transparence et la confiance entre les Etats signataires dans le domaine des activités militaires et du contrôle des armements. Il instaure un régime de libre survol des territoires des différents Etats parties au Traité.

 

Le traité a été signé par 34 Etats d'Europe et d'Amérique du Nord, membres de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). La Russie y a adhéré le 26 mai 2001.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:50
Ciel ouvert: des observateurs russes survoleront l'Allemagne et le Benelux

 

MOSCOU, 31 mars - RIA Novosti

 

Des inspecteurs russes survoleront l'Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg dans le cadre du traité Ciel ouvert du 31 mars au 5 avril, a annoncé lundi à Moscou directeur du Centre national de diminution de menace nucléaire Sergueï Ryjkov.

 

"Un groupe d'inspecteurs russes à bord d'un avion russe Antonov An-30B réalisera un vol d'inspection au-dessus des territoires du Benelux et de l'Allemagne dans le cadre du Traité international Ciel ouvert", a indiqué le responsable.

 

"Le vol sera effectué du 31 mars au 5 avril depuis l'aérodrome de Bruxelles sur 945 km au Benelux et 1.300 km en Allemagne", a ajouté M.Ryjkov.

 

Le vol d'inspection sera effectué selon un itinéraire convenu entre les parties. Les spécialistes des pays concernés contrôleront l'utilisation des moyens techniques de surveillance et le respect des clauses du traité.

 

Il s'agit du 5e survol par les inspecteurs russes des territoires de pays signataires du Traité Ciel ouvert en 2014.

 

Signé le 24 mars 1992 à Helsinki, le Traité Ciel ouvert est appliqué depuis le 1er janvier 2002. Le document vise à accroître la transparence et la confiance entre les Etats signataires dans le domaine des activités militaires et du contrôle des armements.

 

Le traité a été signé par 34 Etats d'Europe et d'Amérique du Nord, membres de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). La Russie y a adhéré le 26 mai 2001.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:50
Making the Most of The F35 B

 

One of the fundamental changes in SDSR 2010 was to select the F35C over the F35B. The rational for this was that the F35C could also replace the Tornado and cover the RAF’s Future Offensive Air System requirement as well as the Joint Combat Aircraft requirement designed to replace the Harrier. However once it became clear that the cost of converting the aircraft carriers would be in the £ 5 billion pound range the decision was taken to revert back to the B model. However despite the decision to revert back to the B model no decision was taken to replace the Tornado with something else. The F35B will now have to serve as both a Harrier replacement and a Tornado replacement.

 

Having F35B as a replacement for the Harrier will give us capabilities light years ahead of what we had. Despite the criticisms of the B model in comparison to the Harrier it is a major capability improvement. However as a replacement for the Tornado the F35B does have limitations. I believe there are some relatively simple fixes that the UK can use to overcome the limitations of the B model so that it can serve as an effective replacement for the Tornado.

 

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:35
Lutte antiterroriste: l'OCS tiendra un exercice en Chine

 

 

MOSCOU, 31 mars - RIA Novosti

 

Les pays membres de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) tiendront fin août en Chine un exercice antiterroriste baptisé Mission de paix 2014, a annoncé lundi le porte-parole de la Région militaire Est (Russie), le lieutenant-colonel Alexandre Gordeïev.

 

"Les représentants des délégations militaires de la Région militaire Est et leurs collègues de Chine, du Kirghizstan et du Tadjikistan ont convenu de tenir l'exercice Mission de paix 2014 dans la dernière décade d'août sur le polygone de Zhurihe situé dans la Région autonome de Mongolie intérieure (Chine)", a déclaré M. Gordeïev.

 

Lors de l'exercice, la Russie sera représentée par plus de 600 militaires de troupes motorisées. Il s'agit notamment d'éléments motorisés et blindés, d'une batterie d'obusiers automoteurs et d'une unité de DCA. L'exercice doit également réunir plus de 100 unités de matériel de guerre et d'équipements spéciaux.

 

Le troisième volet des consultations sur la planification de l'exercice antiterroriste Mission de paix 2014 aura lieu fin mai-début juin.

 

Créée en juin 2001 à Shanghai, l'OCS est une organisation régionale qui regroupe à ce jour la Russie, la Chine, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan. L'organisation compte également cinq Etats observateurs (Afghanistan, Inde, Iran, Mongolie et Pakistan) et trois partenaires de discussion: la Biélorussie, le Sri Lanka et la Turquie.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:30
Saudi Deal Boosts Precision Bomb Production for Raytheon UK

Until now, Raytheon's Paveway IV precision-guided bomb was flown only on the UK's Tornado and Typhoon jets.

 

Mar. 30, 2014 - By ANDREW CHUTER – Defense News


 

GLENROTHES, SCOTLAND — Raytheon UK’s precision-guided bomb business got the shot in the arm it had been hoping for when the US Congress finally approved the sale of the Paveway IV to Saudi Arabia in February.

Company executives revealed they had signed up their first export customer for the weapon during a briefing with reporters at their manufacturing and design facility here on March 25.

The company was showcasing Glenrothes’ expanding capabilities, including a new silicon carbide wafer foundry and the near completion of a 12-month program to move work previously done at its Harlow site in southern England north to Scotland.

The Paveway IV deal came at the right time for Raytheon UK, allowing work on the new order to ramp up just as production of a British Royal Air Force (RAF) order replenishing precision-guided bombs used in Libya comes to a close.

No value has been put on the Saudi deal, but sources said it was likely about £150 million (US $247 million).

With that deal under their belts, company executives are hoping for a further boost to the weapon’s sales prospects, with the British Defence Ministry poised to decide whether to proceed with a string of spiral developments aimed at significantly expanding Paveway IV’s capabilities.

The name of the new Paveway IV export customer was omitted from the announcement, but the Saudis have been widely touted as being in on the deal.

The contract was signed by the customer in December and approved by lawmakers on Capitol Hill two months later, said John Michel, the weapons business director at Raytheon UK.

The signing came after the US State Department relented in its three-year opposition to approving Saudi Arabia’s use of the predominantly British-designed weapon for the RAF.

Michel said first deliveries to the Saudis are due in about 18 months, with the order completed in around two years.

The Raytheon executive said the US export approval should help open the way for further Paveway IV orders and mentioned Oman as one potential customer.

Oman has ordered a squadron’s worth of Typhoon jets but deliveries are yet to get underway.

The munition is integrated on RAF Typhoon and Tornado jets. Both aircraft are flown by the Saudis.

The weapon is also destined for British F-35s, opening a potentially large market among joint strike fighter operators.

The Paveway IV has a 500-pound Mark 83 warhead and features dual-mode guidance involving INS/GPS and laser guidance.

T.J. Marsden, the Paveway IV’s chief engineer, said the British MoD had also expressed an interest in fitting the weapon to RAF Reaper drones.

Completion of the latest of two top-up orders for the RAF brings Paveway IV deliveries for the British to 4,000, executives said during the briefing.

Some of the items originally built for the long-anticipated Saudi order were diverted for use on the British deliveries, significantly shortening the time the RAF had to wait to replenish depleted stocks.

Raytheon executives are now awaiting news of whether the cash-strapped British are interested in enhancing Paveway IV capabilities as part of the Selective Precision Effects at Range Capability program, known as SPEAR Cap 1.

The Defence Board, the high-level committee responsible for strategic management at the MoD, is due to decide “imminently” on the fate of the Spear Cap 1 upgrades, Raytheon executives said.

The upgrades are believed to be near the top of the list of program investments being considered by the Defence Board, Marsden said.

Included in that potential upgrade is a new low collateral damage warhead, an enhanced hard target penetrator warhead and a digital seeker.

The company has also been using its own money to develop a GPS anti-jam capability, which can be retrofitted into existing weapons.

Marsden said the company had investigated the potential for scaling up the new penetrator warhead for larger members of the precision-guided munition family but would not proceed until the Spear Cap 1 work was further down the line.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:25
L'Armée d'Argentine : Le Kfir (Israël) Va t-il Remplacer le Mirage français ?

 

Mar 28, 2014 Youval Blumenthal – Israel Valley

 

L’Argentine a décidé d’étudier sérieusement les alternatives pour s’équiper à nouveau. Israël est sur les rangs avec le Kfir qui est une copie du Mirage français équipé d’un moteur américain.

 

Selon Reuters : "Le gouvernement argentin étudie différentes possibilités pour remplacer les avions de chasse Mirage de son armée de l’air, a déclaré en début de semaine le ministre de la Défense, Agustin Rossi, précisant que Buenos Aires souhaitait conclure un accord cette année.

 

L’Argentine est notamment en discussions avec Israël en vue de l’acquisition potentielle de chasseurs Kfir. “Le Kfir israélien est une des options que nous étudions, mais nous en regardons aussi d’autres”, a-t-il dit à la presse en marge du salon aérien de Santiago, au Chili. Le ministre a refusé de préciser les autres pays avec lesquels Buenos Aires était en contact. “Nous espérons prendre une décision cette année”, a-t-il ajouté. (Copyright © 2014 Thomson Reuters)

 

ISRAELVALLEY PLUS

 

Les origines du Kfir remontent à l’embargo imposé par la France en 1969. Suite à la guerre des Six Jours et à l’attaque de l’aéroport de Beyrouth par l’armée israélienne (Opération Gift, 28 décembre 1968), le président Charles de Gaulle décrète un embargo sur le Moyen-Orient (pour Israël, cela concerne principalement les vedettes Sa’ar III et les Mirage 5).

 

En conséquence, l’État hébreu n’est plus en mesure d’approvisionner son aviation militaire en chasseurs Mirage et pièces détachées. Les autorités décident de procéder au développement d’un chasseur de fabrication nationale.

 

Le gouvernement israélien lance alors deux projets :

le projet Raam A, construction d’un appareil d’après les plans du Mirage 5 (celui-ci devient le Nesher) ; le projet Raam B, qui impliquait alors le changement du réacteur ATAR 9C par le General Electric J79 pour le projet Raam A.

 

Le 19 avril 1971, Alfred Frauenknecht, ingénieur suisse, employé de la firme helvétique Sulzer fabriquant sous licence le Dassault Mirage IIIS, a avoué avoir vendu les plans secrets de cet appareil à Israël pour la somme de 200 000 $;

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:20
X-37B U.S. Air Force

X-37B U.S. Air Force

 

31/03/2014 Par Julien Bergounhoux

 

Malgré l'arrêt de la navette spatiale il y a quelques années, son design survit au travers du prototype X-37B, un avion spatial autonome militaire qui effectue de très longues missions en orbite, dont la nature exacte n'est pas connue. Ce drone spatial est actuellement en orbite depuis 475 jours.

 

Le X-37B, un avion spatial sans pilote de l'US Air Force, vient de battre son propre record de longévité orbitale. Le précédent record était de 469 jours en orbite, et le X-37B l'a dépassé mercredi 26 mars. Il est en orbite depuis le 11 décembre 2012. C'est le troisième vol qu'entreprend ce petit appareil qui ressemble à une version miniature de la navette spatiale, à travers la mission OTV-3 (Orbital Test Vehicle 3). Le précédent record avait été établi lors de la mission OTV-2 qui avait été lancée en 2011.

 

La mission du X-37B n'est pas connue, car le projet, originellement développé par la Nasa en 1999 (en collaboration avec Boeing Phantom Works), s'est retrouvé classé confidentiel lorsqu'il est passé sous la responsabilité de la Darpa en 2004. Il s'agissait à l'époque du prototype X-37A, et ce n'est qu'en 2006 que l'U.S. Air Force décida de développer sa propre variante, le X-37B Orbital Test Vehicle. La nature de ce qu'il transporte lors de ses missions n'est ainsi pas connue. Le projet est sous la responsabilité du bureau RCO (Rapid Capabilities Office) de l'Air Force.

 

Il existe deux prototypes du X-37B, et celui en orbite à l'heure actuelle avait déjà été utilisé en 2010 pour la mission OTV-1. Car comme la navette dont il s'inspire, cet avion spatial est réutilisable. Il est placé en orbite depuis Cap Canaveral, à l'aide d'un lanceur Atlas 5, et se trouve dans une capsule protectrice lors du lancement. Au cours des deux précédentes missions, le X-37B est retourné sur Terre par lui-même, en auto-pilote, atterrissant sur la base aérienne de Vandenberg en Californie.

 

Boeing Space & Intelligence Systems, le constructeur du X-37B, avaient annoncé en début d'année la possibilité d'un atterrissage au centre spatial Kennedy de la Nasa lors de futures missions. Un ancien hangar utilisé pour la navette spatiale, le OPF-1 (Orbiter Processing Facility) serait converti en une structure d'accueil du X-37B qui permettrait un cycle rapide d'atterrissage, réparations et lancement. Ces travaux devraient être terminés courant 2015 d'après Boeing.

Le X-37B reprend le design de la navette spatiale mais ne fait qu'un quart de sa taille, avec 8,8 mètres de long pour 4,5 mètres de large. Il pèse près de 5 tonnes et possède une soute de 2,1 m par 1,2 m. Il s'alimente en énergie à l'aide de panneaux solaires, et peut opérer à des altitudes allant de 177 km à 805 km au-dessus de la Terre. A l'heure actuelle, le X-37B se trouve à environ 400 km d'altitude, une orbite qu'il maintient depuis plus d'un an.

 

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:20
Northrop Grumman Wins Supplier Award for Role in Royal Navy's Astute Submarine Programme

 

LONDON – March 26, 2014 – Northrop Grumman Corporation

 

Northrop Grumman Corporation (NYSE:NOC) has received the Customer Focus Award from BAE Systems Maritime-Submarines in recognition of the role the company has played in supplying the platform management system (PMS) for the U.K. Ministry of Defence's (MOD) Astute nuclear-powered submarine programme.

The award was presented during BAE's 2014 Annual Supplier Forum to Northrop Grumman's Sperry Marine business unit in recognition of its performance in the integrated deployment and management of the programme's resources and for continuously improving performance standards in delivery and support.

"Our extensive track record of delivering reliable, high-performance navigation and ship control solutions has helped to establish us as a preferred supplier for Royal Navy platforms," said Alan Dix, managing director, Northrop Grumman Sperry Marine. "This award is a great achievement and we are proud to be contributing to the most capable submarine ever built for the Royal Navy."

Northrop Grumman Sperry Marine is supplying the PMS to BAE Systems Maritime–Submarines for installation on the Royal Navy's Astute Boat 4 and under an innovative performance partnering arrangement for boats 5, 6 and 7 at its shipyard in Barrow-in-Furness, U.K.

The PMS includes control and monitoring software, human interface equipment and programmable logic controller-based hardware located throughout the submarine. All hardware has been system-engineered to meet naval standards for shock, vibration, temperature and electromagnetic compatibility requirements and meets the stringent safety requirements for this type of vessel.

Based on Northrop Grumman Sperry Marine's innovative approach to configuring commercial off-the-shelf hardware and software to meet exacting military and commercial applications, the PMS is expected to reduce life cycle costs and minimize programme risk for the MOD. The system provides an advanced network design that includes the stringent levels of safety and redundancy associated with nuclear submarine control systems. The open architecture design of the PMS is also expandable and versatile allowing it to interface with third-party equipment via standard field-bus technology.

Northrop Grumman Sperry Marine in the U.K. has had a long and successful relationship with the Royal Navy, supplying and supporting machinery control systems, navigation radars, gyrocompasses and other navigation equipment. The company has also provided the PMS for the Royal Navy's Type 45 destroyers and the Hunt Class Minehunters, and is supplying the integrated navigation and bridge System for the Queen Elizabeth Class carriers. The company has provided ships' inertial navigation systems for a variety of the Royal Navy's other surface ships and submarines.

The Sperry Marine business unit is headquartered in New Malden, U.K., and has major engineering and support offices in Hamburg, Germany. It provides smart navigation and ship control solutions for the international marine industry with customer service and support in numerous locations worldwide.

 

Northrop Grumman is a leading global security company providing innovative systems, products and solutions in unmanned systems, cyber, C4ISR, and logistics and modernization to government and commercial customers worldwide. Please visit www.northropgrumman.com for more information.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 07:20
Dunford: US Will Not Give Pakistan MRAPs From Afghanistan

 

Mar. 28, 2014 - By JEFF SCHOGOL  - Defense News

 

The US military is disputing media reports that it plans to give Pakistan excess American military equipment that is currently in Afghanistan.

 

“Our commitment to the Afghan people and the Afghan National Security Forces is unwavering,” Marine Gen. Joseph Dunford, commander of all US and NATO troops in Afghanistan, said in a statement Thursday.

 

The Washington Post first reported in a March 16 web story that the US military was considering giving the Pakistanis $7 billion worth of equipment amid the drawdown in Afghanistan. The Pakistani military has expressed interest in getting Mine Resistant Ambush Protected vehicles, which have been proven to be too big and heavy to operate effectively in Afghanistan, which lacks road infrastructure.

 

The story came shortly after Dunford had testified before the Senate Armed Services Committee that the US military was considering whether to repair damaged MRAPs in Afghanistan in order to give them to someone else.

 

“We're in the process right now of seeing if there are any of our allies that can use those vehicles,” Dunford said at the March 12 hearing. “The services are also going back to review those requirements. I've put a stop on any destruction of any vehicles except those that are battle-damaged.”

 

But US Forces-Afghanistan issued a statement on Thursday calling media reports that it was considering sending military equipment to Pakistan “inaccurate.”

 

“USFOR-A does not provide or intend to provide any such equipment, including MRAPs, from Afghanistan to Pakistan,” the statement says.

 

When asked about the statement by Military Times, a spokeswoman for the Washington Post said the newspaper stands by its story.

 

“We reported accurately on March 17 that discussions about a possible equipment transfer to Pakistan had been going on for months and that no final decisions had been made,” the spokeswoman said in an email. “We have taken note of the March 27 statement from US Forces Afghanistan.”

 

The story caused more strain on the US military’s relationship with Afghan President Hamid Karzai, whose spokesman said Afghanistan would oppose any move to give excess MRAPs to Pakistan.

 

“Afghan security forces need this type of equipment and as a strategic partner, the US needs to consult with Afghanistan before making such a decision,” Emal Faizi told Voice of America for a March 18 story.

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 21:50
Launch of First European Air-to-Air Refuelling Exercise Today

 

Eindhoven - 31 March, 2014 European Defence Agency (EDA)



The first ever European Air-to-Air Refuelling Training (EART14) taking place at the Eindhoven Air Base in the Netherlands starts today. Between 31 March and 11 April aircraft and crews from Germany, Italy, and the Netherlands will participate in realistic Air-to-Air Refuelling training scenarios within a modern air combat environment. 

 

EART14 offers participants a unique opportunity to plan and execute missions within a multinational framework. The exercise has been developed by the European Defence Agency (EDA) in close cooperation with the European Air Transport Command (EATC) and the Dutch armed forces.

 

Critical force enabler

As most transport and fighter aircraft are not able to cover intercontinental distances in just one sortie, Air-to-Air Refuelling (AAR) is a critical force enabler and is a requirement for sustained air combat operations. Despite the importance of AAR, European armed forces have suffered from both a lack of equipment and a lack of interoperability in this field. This has led EU countries to rely heavily on US assets in past operations. 

In 2011, Defence Ministers tasked the EDA to propose measures to mitigate the capability gap in European military AAR-matters. The EDA has since developed and implemented a global approach to tackling the shortfall of AAR capabilities, which involves increasing the overall AAR capacity, reducing fragmentation of the fleet, and optimising the use of assets.

This approach was endorsed by the European Council in December 2014, where Heads of State and Government approved the Agency’s roadmap on AAR.

 

Dedicated AAR scenarios

Eindhoven Air Base will be used as Tanker Forward Operating Base (FOB) during the exercise period. The exercise will be done in cooperation with the Dutch Frisian Flag 2014 to provide crews with the opportunity to take part in dedicated AAR scenarios embedded in a highly recognised fighter exercise. EART14 will be developed gradually with exercises becoming increasingly complex in nature over the two weeks, starting from single ship missions and evolving to become part of COMAO missions within Frisian Flag.

 

Background

The EDA has a comprehensive plan to improve the AAR capabilities in Europe. Mandated by Defence Ministers, EDA is engaged in four work strands in this domain: short-term gap filling; optimisation of existing assets; optimisation of AAR capacity offered by the future A400M fleet and enhancement of Europe’s strategic tanker capability by creating a multinational Multi Role Tanker Transport (MRTT) capability. 

As part of this global approach, the EDA, Italy and the Movement Coordination Centre Europe (MCCE) jointly organised the first collective European Air-to-Air Refuelling (AAR) clearance trial on the Italian KC767 in September 2013. This enhanced AAR capabilities, as technical and operational clearances are mandatory to provide or receive fuel and they are thus a prerequisite to interoperability in multinational operations. Aircraft from France and Sweden participated in the campaign to obtain technical and operational AAR clearances against the Italian strategic airlift tanker. 

 

More information

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 21:50
EART 2014 has begun

 

31 March by Norbert Thomas – EATC

 

The first multinational European training on Air-to-Air refueling (AAR) began Saturday afternoon at precisely 3pm with the German tanker aircraft Airbus A310MRTT landing at Eindhoven Air Base.

 

The day after, Dutch and German soldiers got their first in-brief on the new created training, a coproduction of the Dutch Air Force and the European Air Transport Command, initiated by the European Defence Agency (EDA). The overall briefing was introduced by Colonel JMH (Howard) Colson, Squadron Commander of the 334th Squadron which runs the Dutch KDC-10 and same time hosts this first training event. Within his welcome words he underlined the necessity to expand and exchange the experience in AAR-matters.

 

Having done this, he gave over to Dutch Major Fred Frohlich, Exercise Director of EART 2014, who introduced some specialists at the briefings beginning: After a short look on the weather forecast, it was a Flight Safety Officer of the Eindhoven Air Base Tower Control to introduce the delegations into the Air Base itself as well as into the complex air traffic environment at and around Eindhoven Air Base, especially with regard to the fact, that the neighbored civil Eindhoven Airport represents the second biggest airfield of the Netherlands.

Next “on stage” was the Intelligence Officer who explained the overall scenario, Frisian Flag 2014 as well as EART 2014 are acting upon, followed by the Chief Flight Safety Officer of Eindhoven Air Base who described the air space boundaries and emphasized the necessity of precise communication among the acting players.

While an in-brief was given in parallel 250 km north at Leeuwarden Air Base for the Frisian Flag participants, it was at Eindhoven Air Base again Major Frohlich who took the floor and outlined the tactical scenarios in his operational EART in-brief. After presenting the training objectives and the exercise set-up, he explained the rules of engagement (ROE) as well as the training rules to be tackled for specific scenarios or situations for a training that takes place over Dutch, German and Danish ground, though mainly operating over the North Sea.

 

EART 2014 started its first mission today punctually at 9.00 local with the Airbus A310 rising again...

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 20:50
crédits worldatlas

crédits worldatlas

 

BRUXELLES, 31 mars - RIA Novosti

 

Les chefs des diplomaties des pays de l'Otan pourraient discuter d'un déploiement de bases permanentes sur le territoire des pays baltes, a annoncé aux journalistes lundi une source diplomatique au sein de l'Alliance.

 

"Nous n'avons pas encore discuté d'une telle option. Dans les années 1990 nous nous sommes engagés à ne pas déployer d'éléments permanents de l'Otan dans les pays alliés de l'Est. Je crois que les ministres pourraient évoquer ces sujets dans les prochains jours", a fait savoir le diplomate désireux de garder l'anonymat.

 

"Il est évident que Moscou ne respecte pas ses obligations prévues par les documents fondamentaux réglementant le partenariat entre l'Otan et la Russie, et de ce fait nous pouvons reconsidérer nos propres obligations", a-t-il poursuivi.

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 20:50
Now even neutral Switzerland has more tanks than Britain

 

31 March 2014 By William Turvill dailymail.co.uk

 

Now even neutral Switzerland has more tanks than Britain even though it has not fought in a war for more than 150 years

 

    Switzerland has kept 380 Leopard 2 Tanks, while Britain has 227 active Challenger 2 tanks

    The number of British tanks reduced by 40 per cent in a 2010 spending review, while overall military spending was cut by 5 per cent in 2013

    Meanwhile, regular army numbers are to be reduced from 102,000 to 82,000

 


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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 20:40
L'Inde aura besoin de munitions russes

 

MOSCOU, 31 mars - RIA Novosti

 

L'Inde compte créer prochainement un nouveau corps alpin de choc comptant 90.000 hommes, qui devrait être déployé à la frontière chinoise, a annoncé le 25 mars le commandant de l'armée de terre indienne Bikram Singh. A ces fins, il est selon lui nécessaire de débloquer plus de 3 milliards de dollars supplémentaires dans le budget militaire pour compenser le déficit de munitions, écrit lundi le quotidien Izvestia.

 

New Delhi redoute l'escalade du conflit frontalier avec la Chine en raison du litige autour d'un territoire de 140.000 km². C'est la raison pour laquelle le nouveau corps alpin représenterait une force conséquente: 32 bataillons d'infanterie appuyés par trois divisions blindées, l'artillerie et la défense antiaérienne. Il devrait recevoir des chars russes T-90S, des obusiers M777 et des hélicoptères Apache américains, ainsi que des systèmes de défense antiaérienne israéliens.

 

L'argent pour la création de ce corps arrivera à partir du 1er avril, le début de l'année fiscale en Inde. Son armement complet devrait s'achever d'ici 2019. Mais uniquement si le budget alloué est suffisant.

 

Selon le général Bikram Singh, si le budget n'était pas revu à la hausse, les "troupes atteindront la capacité de mener des opérations militaires en 40 jours", au lieu de 20, tel que prévu par les directives.

 

Ali Ahamed, de l'Institut des études stratégiques et de défense, a rappelé que Bikram Singh n'était pas le premier général indien à pointer les sérieuses lacunes de l'état opérationnel de l'armée.

 

"Son prédécesseur Vijay Kumar Singh avait écrit il y a deux ans une lettre à ce sujet au premier ministre. La fuite de cette lettre dans la presse avait provoqué un scandale au sein de l'establishment indien. Le général a été accusé de haute trahison pour avoir rendu publiques ces informations, certains ayant pointé la motivation politique de son acte. Effectivement, immédiatement après sa démission, il avait rejoint l'opposition. Cependant, on peut difficilement reprocher au commandant actuel de l'armée de terre d'être déloyal", a-t-il déclaré.

 

"Des achats de nouveaux armements sont prévus ces prochaines années: du matériel d'artillerie, des systèmes de défense sol-air, des canons antichars et des hélicoptères d'attaque. Evidemment, ils auront besoin de nouveaux modèles de munitions. C'est la raison pour laquelle les 3 milliards de dollars sont nécessaires dès aujourd'hui, et pas dans les années à venir", a expliqué l'état-major de l'armée de terre.

 

Toutefois, l'allocation des fonds ne règlera pas le problème à elle seule. Le représentant de la chambre de commerce et d'industrie Arvind Kumar estime qu'il est nécessaire de fixer au niveau gouvernemental une directive exigeant, en cas d'achat d'armements étrangers, la production en Inde des munitions destinées à ces armements.

 

"Cela réduirait significativement leur prix et permettrait de gérer efficacement les réserves stratégiques et d'organiser des exercices militaires à moindre coût. A l'heure actuelle, l'Inde dispose d'une quarantaine d'entreprises qui pourraient participer à cette tâche. Cependant, une modernisation en profondeur de ces dernières s'imposerait", a déclaré Arvind Kumar.

 

Etant donné que 70% des armements de l'Inde sont des systèmes soviétiques et russes, il conviendra de régler la question des achats de munitions en collaboration avec Moscou.

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 20:30
Syrie: Washington opposé à la livraison de missiles à l'opposition (Lavrov)

 

PARIS, 31 mars - RIA Novosti

 

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a assuré à la partie russe que les Etats-Unis s'opposaient à la livraison de lance-missiles sol-air portables en Syrie, a déclaré dimanche soir le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

 

"Nous avons posé une question sur les informations parues dans les médias, selon lesquelles le président Barack Obama, lors de sa visite en Arabie saoudite, aurait évoqué la livraison de lance-missiles sol-air portables à l'opposition syrienne. John Kerry a clairement confirmé que Washington y était opposé", a indiqué le chef de la diplomatie russe à l'issue d'entretiens avec son homologue américain John Kerry à Paris.

 

Selon le ministre russe, ceci était tout à fait conforme aux ententes russo-américaines selon lesquelles les lance-missiles sol-air portables ne devaient pas être livrés dans les régions en proie aux conflits.

 

Se référant à des sources au sein du gouvernement US, l'agence AP a annoncé vendredi que l'administration du président Obama examinait la possibilité de lever l'interdiction de livrer des missiles antiaériens à l'opposition syrienne. Hostile initialement à cette idée, le président Obama pourrait changer d'avis suite aux récentes victoires enregistrées par les troupes gouvernementales syriennes dans leur lutte contre la rébellion.

 

Samedi, Barack Obama a confirmé son inquiétude face à l'intention de l'Arabie saoudite de fournir des missiles antiaériens et antichars aux rebelles anti-Assad.

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 19:08
source Vladislav Seleznev

source Vladislav Seleznev

 

 

31.03.2014 Romandie.com(ats)

 

La Russie retire progressivement ses troupes massées à la frontière de l'Ukraine. Ces manoeuvres suscitent des espoirs de détente, malgré l'échec des pourparlers la veille entre Moscou et Washington à Paris.

 

Le ministère russe de la Défense a annoncé le retrait d'un de ses bataillons de la zone frontalière situé à l'est, et le président russe Vladimir Poutine en a informé la chancelière allemande Angela Merkel, a indiqué le gouvernement allemand.

 

L'information avait auparavant été annoncée par le ministère ukrainien de la Défense. L'expert militaire Dmytro Tymchuk a estimé sur son blogue à 10'000 les effectifs stationnés. "La probabilité d'une invasion a nettement diminué".

 

A Kiev, le président par intérim Olexandre Tourtchinov a cependant assuré que le pays restait sur le pied de guerre. La présence de ces soldats faisait craindre à Kiev une invasion de sa partie orientale, en grande partie russophone. Et une répétition du scénario qui a conduit à la perte de la Crimée.

 

Medvedev en Crimée

 

La péninsule de la mer Noire, passée en moins de trois semaines du statut de république autonome ukrainienne à celui de sujet de la Fédération de Russie, a reçu la visite du Premier ministre russe Dmitri Medvedev.

 

Premier dirigeant de haut rang à se rendre dans ce territoire depuis son rattachement, il a dirigé une réunion consacrée au "développement socio-économique de la Crimée et de la ville de Sébastopol", avec les autorités locales. Après son rattachement à la Russie, "pas un seul de ses habitants ne doit perdre quoi que ce soit, chacun doit y gagner", a-t-il déclaré.

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