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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 11:45
Tchad : Entraînement d’aérolargage interarmées pour Épervier

 

 

02/12/2013 Sources : EMA  

 

Le 30 octobre 2013, un équipage C130 et une équipe de l’escale aérienne militaire de la force Épervier ont effectué un entraînement d’aérolargage de ravitaillement près de Faya-Largeau dans le nord du pays, à 750 km de N’Djaména.

 

Des pilotes et mécaniciens de soute de C130 Hercules et des spécialistes largueurs de l’escale aérienne militaire ont profité d’une zone de circonstance à Faya-Largeau, où se trouve un détachement de la force Épervier, pour conduire des exercices de maintien en condition opérationnelle : renouvellement de qualifications, rappel des procédures et travail de la coordination lors d’opérations le largage de palettes de fret.

 

Les deux groupes ont d’abord revu au sol les procédures d’arrimage et désarrimage des palettes ainsi que les procédures d’échanges verbaux spécifiques entre les pilotes en cockpit, les mécaniciens soutiers et les largueurs. Puis ils se sont consacrés à l’étude des cas particuliers ou incidents possibles. Comment réagir face à une palette qui se coince, un problème mécanique de l’avion qui interrompt la procédure alors que la soute a été ouverte, etc. Chacun a révisé son positionnement, ses gestes, ses messages.

 

Un vol de cinquante minutes en basse altitude (125 mètres) a suffit pour tester les savoir-faire des deux groupes. Ils ont réalisé 3 passages au-dessus de la zone de mise à terre et largué 3 charges de 1100 kg chacune.

 

Ainsi, le personnel (pilote, soutier, largueur) mis en situation de responsabilité à travers ces passages différenciés a pu reconduire ses qualifications. La cohabitation sur le théâtre d’Épervier permet aisément cet entraînement pour ces équipes qui se côtoient plus rarement lorsqu’elles sont en France dans leurs unités respectives. En effet, pour la circonstance, l’équipage du C130 était armé par l’escadron de transport Franche-Comté d’Orléans (ET 02.061) et le personnel de l’escale aérienne par le 1er régiment du train parachutiste (1er RTP) de Cugnaux, près de Toulouse.

 

Comme l’ensemble des forces prépositionnées et en opération extérieure en Afrique centrale et occidentale, la force Épervier peut être amenée à appuyer les opérations françaises se déroulant dans la zone. Les élongations désertiques des théâtres africains, relativement importantes, font apparaître l’aérolargage de matériel comme un mode de ravitaillement particulièrement adapté. Il est donc primordial pour les équipages de maintenir leurs savoir- faires dans ce domaine, comme leur emploi au cours de l’opération Serval a pu le démontrer.

Tchad : Entraînement d’aérolargage interarmées pour ÉpervierTchad : Entraînement d’aérolargage interarmées pour ÉpervierTchad : Entraînement d’aérolargage interarmées pour Épervier
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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:55
Premier tir MM40 de la FDA Forbin


28.11.2013 Marine Nationale

La frégate de défense aérienne Forbin a réalisé son premier tir MM40 au sein du Zonex Méditerranée, avec le concours d’un Atlantique 2 de la 23F, du CROSS La Garde et de la chaîne sémaphorique pour le blanchiment de la zone. Le missile a été suivi par les senseurs du bord et ceux de l’ATL2 durant toute sa phase de vol. Il a ensuite atteint à la seconde près la cible désignée.
© Marine nationale

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:55
Présélection de commandos parachutistes

 

29/11/2013 Armée de Terre

 

Des tests de présélection ont été organisés dans la semaine du 18 au 22 novembre 2013, en vue de la montée en puissance du groupement de commandos parachutistes (GCP) du 17e RGP. 19 candidats se sont présentés, dont 6 du régiment et 13 lieutenants en phase d’apprentissage à l’école du génie d’Angers. L’objectif était de recruter le futur lieutenant-chef d’équipe.

 

Pour armer ses équipes, le 17e RGP recrute parmi les meilleurs sapeurs parachutistes. Triés sur le volet, ils passent une semaine éprouvante de tests de présélection :

- Physiques : 30 km de course en treillis, rangers et sac ; maximum de pompes, abdos, tractions, cordes avec sac et armes, test d’agressivité…

- Intellectuels : manière d’appréhender et d’analyser les choses, motivations, sang-froid en état de fatigue…

- Techniques : connaissances de base du combattant et du sapeur (tests écrits et mise en situation lors d’une mission).

 

Bilan : cette session de novembre aura été particulièrement fructueuse puisque, parmi les candidats, 7 seront intégrés à la nouvelle équipe. Ils devront ensuite suivre une formation d’un an, avant de devenir de véritables commandos parachutistes.

 

Soldats d’élite, les GCP ont pour missions l’appui à la mise à terre et l’aide à l’engagement de la 11e brigade parachutiste (11e BP), le renseignement ainsi que des actions ponctuelles dans la profondeur. Et alors que chaque unité de la brigade a son GCP (sauf le 1er RTP), celui du 17 est le seul à détenir les savoir-faire du génie.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:50
foto-L.-Caliaro

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Nov 29, 2013 eurofighter.com

 

Eurofighter Partner Company Alenia Aermacchi has confirmed that the first in a major series of flight tests to integrate the MBDA Storm Shadow missile onto Eurofighter Typhoon has now taken place.

 

Initial flight trials to demonstrate that the missile can be safely carried have been successfully started.  The trials began on 27th November, by the Alenia Aermacchi Flight Test Centre at Decimomannu Air Base, in Sardinia, Italy, with the support of the Eurofighter Partner Companies, BAE Systems and Cassidian.

 

The intensive flight test programme  began with flutter tests and an air data system large store interference assessment, using Instrumented Production Aircraft 2 (IPA2) updated to the Phase 1 Enhancement standard.

 

The Chief Executive Officer of Eurofighter GmbH, Alberto Gutierrez, said: “The successful start of the flight tests is good news for our programme. This is one of a number of enhancements that are coming on stream and there are many more to come. Storm Shadow is a major step forward significantly increasing the air-to-ground capabilities of the Eurofighter Typhoon.”

 

The Storm Shadow, already in service with the Italian Air Force and Royal Air Force Tornados, is a conventionally armed, stealthy, long-range stand-off precision weapon designed to neutralise high value targets. The new weapons systems will add the capability to strike in day or night in all-weather conditions, well-defended infrastructure targets such as port facilities, control centres, bunkers, missile sites, airfields and bridges that would otherwise require several aircraft and missions. This is a new addition to the Eurofighter Typhoon’s potent simultaneous multi-/swing-role capabilities.

 

Powered by a turbo-jet engine, with a range in excess of 250 km, the Storm Shadow missile weighs approximately 1.300kg and is just over 5 metres long. It will be available to operators from 2015 when the Eurofighter Typhoon Phase 2 Enhancements become operational.

 

Storm Shadow will provide a significant leap in the Eurofighter Typhoon’s operational capabilities, enabling the platform to deploy multiple weapons at a very long range well clear of danger from air defences.

 

Background information:

 

Eurofighter Typhoon is the most advanced new generation multi-role/swing-role combat aircraft currently available on the world market. Seven customers (Germany, the United Kingdom, Italy, Spain, Austria, Saudi Arabia and Oman) have already ordered the Eurofighter Typhoon. With 719 aircraft under contract and 571 on order, Eurofighter Typhoon is currently the largest military procurement programme in Europe. Its high technology strengthens the position of European aerospace industry in the international market. The programme secures more than 100,000 jobs in 400 companies. Eurofighter Jagdflugzeug GmbH manages the programme on behalf of the Eurofighter Partner Companies Alenia Aermacchi/Finmeccanica, BAE Systems and Cassidian in Germany and Spain, which are the most important aviation and aerospace companies in Europe with a turnover of about 126 billion euro (2012).

 

Since the first Typhoon entered service in 2003 , more than 390 Eurofighter have been delivered to six countries: Germany, Great Britain, Italy, Spain, Austria and Saudi Arabia. The seventh customer, Oman ordered a total of 12 aircraft in December 2012. Until now, the combined Eurofighter fleet has completed more than 210,000 flying hours.

foto-L.-Caliaro

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:50
Pleine capacité opérationnelle pour le commandement européen du transport aérien

 

29/11/2013 Lieutenant Simon Piccot - Armée de l'air

 

Jeudi 28 novembre 2013, sur la base aérienne d’Eindhoven au Pays-Bas, le général-major air Claude Van de Voorde, commandant en chef de la composante air et président du multinational air transport committee (MATraC – comité du transport aérien multinational), a officiellement annoncé la pleine capacité opérationnelle (FOC – Full operational capability) du commandement européen du transport aérien (EATC).

 

Cette annonce, prononcée devant de nombreux invités, en présence des chefs d’état major des armées de l’air contribuant à l’EATC, fut le point d’orgue de la 7e réunion du MATraC, qui rassemblait tous les acteurs du transport aérien militaire.

 

Elle fait suite à toute une série de résultats remarquables, tant au niveau opérationnel que dans le domaine fonctionnel, prouvant sa capacité à gérer le transport aérien des Etats associés.

 

Le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, était présent lors de cette annonce, qui marque un succès majeur pour la France. L’armée de l’air a, en effet, délégué l’emploi d’une grande partie de sa flotte de transport à l’EATC, et joue ainsi un rôle prépondérant dans le transport aérien militaire international.

 

La France marque de son empreinte ce commandement, à la tête duquel officie le général Pascal Valentin. L’EATC est sur le point de devenir un centre d’expertise dans le domaine du transport aérien militaire avec la mise en service de l’A400M à un niveau international, mais également l’expérience et les capacités d'adaptation des équipages français travaillant en son sein.

 

L’EATC, un exemple par excellence de capacités fédérées et de co-utilisation

 

La plupart des avions de transport militaire de la France sont employés au sein de l’EATC. Ce commandement constitue l’état-major principal des États participants (Allemagne, Belgique, France, Luxembourg et Pays-Bas) dans le domaine du transport aérien, des évacuations sanitaires aériennes et de ravitaillement en vol. Commandement multinational, il fait partie intégrante des structures militaires des pays membres.

 

L’armée de l’air française, par la diversité de ses aéronefs de transport alloués à l’EATC (A340, A310, Casa CN235, C160 Transall et C130 Hercules), participe pleinement à la capacité opérationnelle de la flotte opérant sous l’égide de l’EATC.

 

La planification, le commandement et le suivi des missions assignées aux quelque 150 aéronefs sont assurés par l’EATC, implanté sur la base aérienne d’Eindhoven. Les nations membres bénéficient ainsi d’un vaste pool d’aéronefs offrant un large éventail de capacités. Ce parc permet aux États participants d’accéder à des capacités supplémentaires. Les moyens de transport aérien sont ainsi utilisés plus efficacement.

 

L’EATC s’est également vu attribuer la responsabilité de la formation, des exercices et du soutien logistique, visant à harmoniser et standardiser les règlements, afin d’améliorer l’interopérabilité.

Pleine capacité opérationnelle pour le commandement européen du transport aérien
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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:50
photo Diliff

photo Diliff

 

21 November 2013 by Hajnalka Vincze

 

(sur la base d’un court entretien accordé à BBC Radio, l’émission 5 Live Drive, le 20 novembre 2013)

 

En quoi la posture antinucléaire du SNP (Scottish National Party) devrait-elle constituer un problème pour une Ecosse indépendante mais soucieuse de garder sa carte de membre à l’OTAN ?* En pas grand-chose, pour faire bref. Le fait d’exiger le retrait des armes nucléaires UK de son territoire et de se proclamer Etat non nucléaire n’est pas a priori en contradiction avec le statut de membre de l’OTAN. Pour rappel : à présent 20 pays membres sur les 28 ne possèdent ni n’hébergent d’armes atomiques sur leur sol.

 

Par ailleurs, la distinction (entre possession et hébergement) a tout lieu d’être. Alors que seuls trois pays membres sont des puissances nucléaires reconnues comme telles (les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni), cinq autres (l’Italie, l’Allemagne, la Turquie, les Pays-Bas et la Belgique) laissent stationner sur leur territoire des armes nucléaires américaines (quoique de manière de plus en plus controversée, certes).

Source: www.cagle.com

Par contre, faire partie de l’OTAN implique mécaniquement de participer au soi-disant partage nucléaire au sein de l’Alliance. Lequel est censé faire croire que la politique nucléaire de l’OTAN est un travail d’équipe. Dans cet esprit, les Etats membres non nucléaires deviennent eux-mêmes mouillés à plus d’un titre : à travers les concepts et les exercices, ils sont priés de contribuer, par le biais de leurs capacités conventionnelles (comme le ravitaillement en vol par exemple), au bon déroulement des éventuelles opérations nucléaires de l’Alliance.

 

En réalité, ce n’est qu’une mascarade. Malgré toutes les structures et procédures qui y sont consacrées pour entretenir l’illusion, la pratique du « partage » nucléaire de l’OTAN reste soumise, in fine, au bon-vouloir de Washington. Autrement dit, à l’humeur du jour dans la capitale des Etats-Unis. Inutile de préciser que la crédibilité de tels arrangements est nulle. Les Etats membres mouillés deviennent effectivement complices de la politique nucléaire de l’Amérique, mais sans avoir le moindre droit (à la consultation, à l’influence) garanti.

 

Pour illustration, cet incident survenu en 1973 avec, comme figurant principal, le Premier ministre britannique Edward Heath. Imaginons la scène. Le chef du gouvernement du Royaume-Uni débat tranquillement à la Chambre des Communes lorsqu’il apprend, par la voie d’une dépêche d’agence de presse, que son grand allié US vient de déclarer l’alerte nucléaire globale. C’est la douche froide. Loin d’avoir été consulté auparavant, le fidèle britannique n’a même pas été informé correctement.

 

Tous les arrangements et discours sur le « partage » dans l’OTAN n’ont donc été que des usines à gaz et des paroles en l’air. L’Amérique n’en faisait, en n’en fera, qu’à sa tête. S’agissant de ses bombes à elle, c’est d’ailleurs le minimum qu’elle doit à ses propres citoyens.

 

*Les Ecossais seront appelés aux urnes pour décider de leur séparation (ou pas) du "rUK" (reste du Royaume-Uni) lors d'un « référendum sur l'indépendance » le 18 septembre 2014. Dans cette perspective, le SNP avait changé sa position traditionnelle anti-OTAN lors de son Congrès en octobre 2012 (avec une courte majorité de 394 contre 365 votes des délégués), et propose maintenant qu'une Ecosse indépendante reste dans l'Alliance.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:45
passerelle du BPC Dixmude, lors de la remontée du chenal de Douala, au Cameroun 28 novembre 2013 photo EMA AdT

passerelle du BPC Dixmude, lors de la remontée du chenal de Douala, au Cameroun 28 novembre 2013 photo EMA AdT

passerelle du BPC Dixmude, lors de la remontée du chenal de Douala, au Cameroun 28 novembre 2013 photo EMA AdT

 

PARIS, 29 nov 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

Un bâtiment de la Marine nationale, le BPC Dixmude, avec à son bord quelque 350 hommes et une centaine de véhicules, est arrivé jeudi dans le port de Douala (Cameroun), au moment où la France s'apprête à intervenir en Centrafrique, a indiqué vendredi l'état-major des armées.

 

Venant de Toulon, ce bâtiment de projection et de commandement "est entré hier (jeudi) dans le port de Douala", a indiqué le colonel Gilles Jaron, porte-parole de l'état-major.

 

"Il y a dans le BPC environ 350 hommes et un peu moins d'une centaine de véhicules. Vous avez des moyens de combat (...) et des moyens de logistique", a-t-il précisé.

 

"Sans préjuger des décisions qui pourraient être prises, les armées françaises ont entamé le débarquement des hommes et du matériel qui étaient présents sur ce BPC et, en accord avec les autorités du Cameroun, ces hommes vont rester à proximité de Douala", a indiqué le colonel Jaron.

 

"Cela fait partie des mesures conservatoires que les armées françaises sont en train de prendre, compte tenu de la situation en République centrafricaine", a expliqué le colonel.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:45
Plus de 200 militaires français sont arrivés en renfort à Bangui

 

PARIS, 01 déc 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

Un peu plus de 200 militaires français sont arrivés durant le week-end en renfort à Bangui, ce qui porte à "plus de 600" les effectifs français dans la capitale centrafricaine avant le lancement attendu d'une opération pour rétablir l'ordre dans le pays, a indiqué dimanche le ministère de la Défense.

 

Le détachement déployé à l'aéroport est composé notamment de spécialistes des transmissions et du service des essences. Ce déploiement a été réalisé en préparation "à un éventuel renforcement du dispositif à Bangui, comme la souhaité le Président de la République", précise l'état-major des armées sur le site de la Défense.

 

Paris a annoncé la semaine dernière le déploiement d'environ un millier de soldats français, qui devront officiellement appuyer la force africaine, la Mission internationale de soutien à la Centrafrique (Misca), déjà présente dans le pays.

 

Dans les jours qui viennent, une dizaine de rotations d'avions gros porteurs Antonov 124 achemineront le matériel nécessaire à l'installation du contingent français, indique l'état-major. "Si la situation l'exige, la force est également en mesure d'assurer la protection des ressortissants français", précise-t-il.

 

Jeudi, les effectifs français en Centrafrique s'élevaient, selon l'état-major, à 433 militaires, après l'arrivée d'une unité du génie de l'air qui a entrepris d'aménager l'aéroport pour préparer le déploiement de la force française et des contingents africains de la Misca."

 

Par ailleurs, environ 350 hommes et une centaine de véhicules ont débarqué ces derniers jours d'un bâtiment de la Marine nationale, le BPC Dixmude, dans le port de Douala, au Cameroun. Selon l'état-major, ce détachement devait rester dans un premier temps "à proximité de Douala", à environ 600 km de la frontière centrafricaine.

 

Dimanche, quelque 500 militaires congolais ont de leur côté quitté Brazzaville pour renforcer la force africaine en Centrafrique.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:45
Centrafrique: arrivée de 500 soldats du Congo

 

1 décembre, 2013 - 23:33 GMT BBC Afrique

 

C'est dans la soirée de dimanche que les 500 soldats congolais sont arrivés à l'aéroport de Bangui.

 

Ils ont immédiatement rejoint leur base, située juste à côté de l'aéroport.

 

Ils viennent renforcer la Force Multinationale des Etats d'Afrique Centrale (FOMAC) déjà déployée sur place, dans sa mission d'appui au rétablissement de l'ordre en Centrafrique.

 

Jusqu'au 19 décembre, le mandat de la FOMAC est d'aider la gendarmerie, l'armée et la police à rétablir l'ordre.

 

C'est ensuite la MISCA, la Mission Internationale de Soutien à la Centrafrique, qui prendra le relais.

 

La MISCA, qui bénéficiera du soutien logistique de l'ONU, comprendra 3.600 hommes.

 

L'arrivée des 500 soldats porte à un millier le nombre de troupes congolaises sur le sol centrafricain.

 

Le Congo Brazzaville est d'ailleurs le plus gros contributeur de la force africaine. Et c'est un Congolais, le général Jean-Marie Michel Mokoko, qui sera à la tête de la MISCA.

 

Selon le correspondant de la BBC sur place, les habitants de Bangui se disent soulagés par cette arrivée d'un nouveau contingent.

 

Le pays est sous le coup d'un couvre-feu depuis vendredi.

 

Conférence nationale

 

Par ailleurs, le président de transition , Michel Djotodia, a annoncé dimanche la tenue prochaine d’une conférence nationale devant permettre à son pays de remédier à une profonde crise humanitaire et sécuritaire.

 

"Sur recommandation des chefs d’Etat de la CEAC (Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale, 10 pays), une conférence nationale sera organisée, afin de permettre aux Centrafricains de se parler et de trouver les remèdes aux maux qui gangrènent notre société et la nation tout entière", a déclaré M. Djotodia dans un discours, à l’occasion de la fête nationale.

 

"La réconciliation entre fils et filles de la Centrafrique est la voie incontournable à prendre", a-t-il encore dit, sans préciser la date à laquelle sera organisée la conférence nationale.

 

L’ancienne colonie française appelée l’Oubangui-Chari a été rebaptisée République Centrafricaine par son premier président Barthélémy Boganda, le 1er décembre 1958.

 

Depuis l’indépendance, le pays a connu plusieurs coups d’Etat, dont le dernier date de mars 2013, quand Michel Djotodia a renversé le général François Bozizé, avec le soutien de la Séléka, un mouvement rebelle officiellement dissous depuis plusieurs mois.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:40
INS Vikramaditya : dimension géopolitique du « marché de la décennie »

 

30 novembre, Sergueï Tomine - La Voix de la Russie

 

L'histoire de la modernisation et du transfert à l'Inde du croiseur porte-avions Admiral Gorchkov transformé en porte-avions Vikramaditya n'était pas brève. En 2004, année de la signature du contrat sur Admiral Gorchkov, personne à Moscou et à New Delhi ne supputait que sa réalisation s'étalerait à près de dix ans et qu'outre des reports de sa date d'exécution, les relations entre les deux pays seraient pendant un certain temps assombries par l'absence du financement, le renchérissement du contrat et des travaux complémentaires non prévus.

 

Pour l'heure, tous ces problèmes sont dans le passé. La partie russe a démontré sa volonté d'aller à la rencontre du partenaire, et la partie indienne a eu assez de retenue et de tact pour ne pas exacerber les tensions. En fin de compte un bâtiment tout à fait nouveau, équipé des instruments de navigation les plus modernes et capable d'embarquer 30 aéronefs, plus particulièrement les avions MiG-29K et les hélicoptères Ka-27 et Ka-31 se dirige vers les côtes indiennes.

 

Tous ont gagné. Moscou a confirmé se réputation de partenaire clé de l'Inde dans le domaine de la coopération militaro-technique. Des pertes d'image qui paraissaient imminentes ont été évitées. Ceux qui disaient que Moscou aurait tenté de remettre à l'Inde un patouillard rouillé se sont tus. Tout comme ceux qui accusaient l'Inde de tricher dans le différend sur le prix et de vouloir obtenir presque gratuitement un porte-avions modernisé.

 

Le contrat Vikramaditya dépasse le cadre de sa simple livraison à la marine indienne. La Russie s'occupe également de la formation de l'équipage indien. En plus, elle créera une infrastructure du stationnement de Vikramaditya en océan Indien. Etant donné que le navire restera fonctionnel pendant 30 ans, on peut dire avec certitude que Vikramaditya est non seulement le présent, mais aussi le futur de la coopération russo-indienne dans le domaine militaro-technique.

 

L'Inde a actuellement de nombreuses tâches à affronter eu égard à la protection des voies commerciales maritimes, à la nécessité d'assurer l'accès aux ressources et à la défense des intérêts de la diaspora indienne en Asie. Dans ce contexte, l'accent de la construction militaire doit être porté sur la composante navale. En d'autres termes, l'objectif stratégique devient la transformation de l'Inde ayant reçu le porte-avions Vikramaditya en une grande puissance navale.

 

Le fait de s'être dotée d'un porte-avions de pointe place la marine indienne dans une catégorie de poids tout à fait différnete. Cela lui permettra de relever un défi ambitieux : contribuer à ce que l'Inde ait des avantages stratégiques dans la région asiatique. Telle est la dimension géopolitique du marché qui a permis de transformer Admiral Gorchkov en Vikramaditya.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:35
More Chinese Air ID Zones Predicted

 

 

Dec. 1, 2013 - By WENDELL MINNICK, JUNG SUNG-KI and PAUL KALLENDER-UMEZU – Defense News


 

TAIPEI, SEOUL AND TOKYO — China’s establishment of an air defense identification zone (ADIZ) last week over the East China Sea has given the US an unexpected challenge as Vice President Joseph Biden prepares for a trip to China, Japan and South Korea beginning this week.

The trip was scheduled to address economic issues, but the Nov. 23 ADIZ announcement raised a troubling new issue for the US and allies in the region. China’s ADIZ overlaps the zones of Japan, South Korea and Taiwan.

Sources indicate China’s ADIZ could be part of its larger anti-access/area-denial strategy designed to force the US military to operate farther from China’s shorelines.

China might also be planning additional identification zones in the South China Sea and near contested areas along India’s border, US and local sources say.

China’s ADIZ might be an attempt by Beijing to improve its claim to disputed islands in the East China Sea also claimed by Japan, sources said. These islands — known as the Senkaku in Japan and the Diaoyu in China — are under the administrative control of Japan.

Mike Green, senior vice president for Asia and Japan chair at the Center for Strategic and International Studies (CSIS), said this is part of a larger Chinese strategy beyond disputes over islands.

“This should be viewed as a part of a Chinese effort to assert greater denial capacity and eventual pre-eminence over the First Island Chain” off the coast, he said.

Green, who served on the US National Security Council from 2001 to 2005, said China’s Central Military Commission in 2008 “promulgated the ‘Near Sea Doctrine,’ and is following it to the letter, testing the US, Japan, Philippines and others to see how far they can push.”

June Teufel Dreyer, a veteran China watcher at the University of Miami, Fla., said “salami slicing” is a large part of China’s strategic policy. “The salami tactic has been stunningly successful, so incremental that it’s hard to decide what Japan, or any other country, should respond forcefully to. No clear ‘red line’ seems to have been established,” Dreyer said.

The Chinese refer to it as “ling chi” or “death from a thousand cuts.”

For example, China’s new ADIZ overlaps not only Japan’s zone to encompass disputed islands, but South Korea’s zone by 20 kilometers in width and 115 kilometers in length to cover the Socotra Rock (Ieodo or Parangdo). Socotra is under South Korean control but claimed by China as the Suyan Rock.

Seoul decided to expand its ADIZ after China refused to redraw its declared zone covering the islands. Seoul’s Ministry of National Defense (MND) and related government agencies are consulting on how to expand the South Korean ADIZ, drawn in 1951 by the US military, officials said.

“We’re considering ways of expanding [South] Korea’s air defense identification zone to include Ieodo,” said Wi Yong-seop, vice spokesman for the MND.

During annual high-level defense talks between Seoul and Beijing on Nov. 28, South Korean Vice Defense Minister Baek Seung-joo demanded that Wang Guanzhong, deputy chief of the General Staff of the Chinese Army, modify China’s ADIZ.

“We expressed regret over China’s air defense identification zone that overlaps our zone and even includes Ieodo,” Wi said after the bilateral meeting. “We made it clear that we can’t recognize China’s move and jurisdiction over Ieodo waters.”

Amid these growing tensions, South Korea’s arms procurement agency announced Nov. 27 it would push forward on procurement of four aerial refueling planes. Currently, South Korea’s F-15 fighter jets are limited to flying missions over Ieodo for 20 minutes. New tankers will extend that time to 80 minutes.

“With midair refueling, the operational range and flight hours of our fighter jets will be extended to a greater extent, and we will be able to respond to potential territorial disputes with neighboring countries,” a spokesman for South Korea’s Defense Acquisition Program Administration said.

In the southern part of China’s ADIZ, which overlaps Taiwan’s ADIZ, Beijing was careful not to cover Taiwan’s Pengjia Island, which is manned by a Taiwan Coast Guard unit.

“The exclusion of the Pengjia Islet indicates that mainland China respects our stance,” said Chinese Nationalist Party legislator Ting Shou-chung. Relations across the Taiwan Strait have been improving over the past several years.

“We’re all waiting for the other shoe to drop,” said Peter Dutton, an ADIZ expert and director of the China Maritime Studies Institute at the US Naval War College.

“We’re looking to see how China will now behave,” he said. “Hopefully, they will not try to fly inside the airspace over the Senkaku Islands, since that is under Japanese sovereign administration and would therefore be a highly provocative act.”

Dutton downplayed fears of another civilian airliner being shot down, as was the case in 1983, when a Soviet Su-15 fighter shot down a South Korean airliner that strayed into Soviet airspace, killing 269.

In 1988, a US Navy Ticonderoga-class cruiser, the USS Vincennes, shot down Iran Air Flight 655 over the Arabian Gulf, killing 290. The Vincennes mistook the airliner for an Iranian F-14 Tomcat fighter jet.

“For civilian aircraft, this is really not a major issue,” he said. “Those aircraft almost always file flight plans in advance and follow the directions of ground controllers. This means that their route through the ADIZ would already by pre-approved, and this is not a problem for the Chinese.”

Dutton said the real concern is the freedom of military flights.

“But both the US and Japan have said they do not intend to alter their behavior or to abide by the ADIZ procedures, no matter what they are, for military flights,” he said.

In 2001, a Chinese J-8 fighter collided with a US Navy EP-3 Aries signals intelligence aircraft near Hainan Island. Bonnie Glaser, a China specialist at CSIS, said she does not expect China to “back down” from its ADIZ policy, and anticipates more intercepts by Chinese fighters of US reconnaissance aircraft.

“The risk of accident will undoubtedly increase, especially [with] fighters [flown at] Mach 1 by young, inexperienced pilots,” she said.

Alessio Patalano, a lecturer in the Department of War Studies, King’s College, London, said the Chinese move might have been prompted by the current tensions in the East China Sea, and recent discussions in Japan about how the military can deal with Chinese drones and manned patrol aircraft that intrude into Japan’s air defense space.

“Chinese authorities are seeking to force Japan to accept the existence of the dispute challenging Japanese control of the islands,” Patalano said. “The problem with this is that Chinese authorities are using military and paramilitary tools to force a change of status quo to what is a political issue.

“Of course, a more robust response could see the US and Japan deploy air assets in the overlapping areas of the ADIZ to challenge the Chinese position,” Patalano said. “US and Japanese aircraft flying together in the Chinese ADIZ would present a serious dilemma to Chinese authority.”

Green said the US should at least send a “joint US-Japan patrol into the area to prove the point that coercion does not work.”

The announcement of the ADIZ also affects the Chinese military, likely adding to the Air Force’s status over the traditional role the Army has played as national defender

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:35
15.000 heures de vol en Afghanistan

Photo : Christian Decloedt

 

27/11/13 Stijn Verboven – MIL.be

 

Les pilotes de F-16 belges en Afghanistan ont effectué leur 15.000e heure de vol. Ils ont atteint ce chiffre historique le dimanche 24 novembre 2013.

 

Le vol en question était une mission de reconnaissance et d'observation. L'avion a décollé depuis la base aérienne de Kandahar. L'une des plus grandes menaces pour les troupes en Afghanistan concerne les bombes improvisées ou les IED le long de la route. Les F-16 belges ont des instruments spéciaux à bord afin de les détecter. C'était donc également la tâche de l'avion qui a passé le cap des 15.000 heures de vol.

 

Depuis septembre 2008, les F-16 belges soutiennent, depuis Kandahar, l'International Security Assistance Force (ISAF) avec des vols de reconnaissance, d'observation et en fournissant un appui aérien aux troupes au sol. Cette opération, appelée Guardian Falcon, est intensive : les six pilotes du détachement effectuent entre 200 et 300 heures de vol par mois.

 

Avec un si grand nombre d'envols, il n'est pas étonnant que l'opération Guardian Falcon atteigne bientôt son 5.000e vol qui devrait avoir lieu vers la nouvelle année.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:35
Canadian Army Learns Amphibious Warfare Exercises In New Zealand

 

 

December 1, 2013. David Pugliese - Defence Watch

 

This exercise has just wrapped up….here is what the Army put out shortly before it ended, plus photos:

 

South Canterbury Region, New Zealand — Completing an amphibious landing from a sealift vessel, securing a port and transferring 200 troops and 55 vehicles onto land is all in a day’s work for Major Patrick Chartrand, who is currently deployed in New Zealand on Exercise SOUTHERN KATIPO 2013 (Ex SK13).

 

Major Chartrand, Royal 22e Régiment is attached to the evaluation team as part of Exercise Control for SK13. His role is to assess how well the operations are carried out and identify any gaps ahead of Exercise SOUTHERN KATIPO 2015. This means he is participating in every aspect of the exercise, including the amphibious landing at Port Timaru that signalled the start of the exercise on November 9th.

 

“Being involved in executing a real-time amphibious landing is a great opportunity and the more practice we can get will definitely help us in the future.” Ex SK13 is the biggest international military exercise ever to be held in New Zealand, in terms of the number of countries participating.

 

The exercise aims to test the capability of the New Zealand’s Defence Force (NZDF) to mount a medium-scale amphibious operation that involves land, air and maritime assets. It also provides a unique opportunity for the NZDF to enhance its ability to work with its partners, particularly those in the Pacific region.

Exercise Director Colonel Paul Van Den Broek describes the exercise as modern and invaluable for the preparedness of the Pacific nations participating.

 

“I think the multinational nature of the exercise very much reflects the nature of contemporary military operations. Whether in Afghanistan or in conducting peacekeeping operations,” says Col Paul Van Den Broek.

 

“It’s proving very invaluable in actually finding the friction points within the combined and joint environment. And a lot of the lessons we are learning to date we could not have discovered if we had merely run a command post activity, as opposed to really running an exercise at this level.”

 

For Brigadier-General Jean-Marc Lanthier, Commander 2nd Canadian Division and Joint Task Force East, who visited the troops during the exercise, “it represents valuable collective training for our troops in an international setting. I was very impressed to witness first hand the level of professionalism and expertise displayed by our troops and our allies.”

Ex SK13 was held in the South Canterbury region in the South Island of New Zealand from November 4 to 29. It involved three war ships, and up to 18 aircraft and 2200 personnel from New Zealand and nine other countries: Australia, Tonga, Singapore, Papua New Guinea, Canada, the United States, France, Malaysia and the United Kingdom.

 

The Canadian Armed Forces contingent of 32 troops arrived in New Zealand in October. They were assigned to Headquarters Combined Joint Inter-Agency Task Force for the exercise.

Maj Chartrand explains this is the first time Canadian Armed Forces personnel have been embedded with the NZDF.

 

“Our troops have had a chance to train with their counterparts; we had the reconnaissance and snipers with their counterparts from New Zealand, they went in the mountains. Obviously in Quebec City we don’t have the same kind of terrain, the guys were able to do training that they were not able to do back home – that was very beneficial.”

He added, “I know when I go back home I’ll be taking a lot of lessons learned and insights with me. It is all about working with other nations, learning and sharing our knowledge. This builds not only the expertise of my team but also those of other nations taking part.”

 

Article by Samantha Bayard, Canadian Army Public Affairs, and Natala Low, New Zealand Defence Force Communications

Canadian Army Learns Amphibious Warfare Exercises In New Zealand
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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:30
Largest International Exercise in IAF History

 

26.11.2013 Shani Poms - iaf.org.il

 

The "Blue-Flag" international aerial combat training exercise is being held for the first time in the IAF history. For two intensive weeks the Greek, Italian and US air forces are flying complex and intensive combat scenarios with the Israeli fighters Formation

 

For the last two weeks Greek, Italian and US fighter jets have been landing in Ovda Airbase as part of a broad exercise with the IAF fighters formation. This is the first time a wide and intricate exercise as the "Blue Flag" is conducted in Israel and it demands plenty of preparations from the Israeli Air Force, which has been working on the project for months.

 

This week is the most important week of the exercise, in which the four air forces practice joint flights and complex battle scenarios: the Israeli F-16C/D, F-16I and F-15C/D aircrafts alongside the foreign fighter jets.

"The Americans brought the F-15E, one of the best F-15 aircrafts in the world. The Italians came with the AMX and Tornado aircrafts and the Greeks brought a very modern F-16 aircraft", explained Lieutenant colonel Ziv, commander of the "Flying Dragon" squadron which leads the "Red" force in the Drill, and in charge of simulating the aerial and ground enemy throughout it. "During this exercise, a mixed group of air forces has a mission and they need to fly together in one big mass in order to execute it".

 

The participants from the various countries landed in Israel two weeks ago. During the last week they explored the Israeli airspace by introductory flights and also had a few tactical flights. In addition to the aerial introduction, the Participants got to know each other on ground at a special event organized in honor of them, attended by the airbase commander, Colonel A'.

 

Today at the Blue Flag: Delegates from 22 countries

22 delegates from all over the world congregated in Ovda Airbase today to watch the international exercise. Among the guests were representatives from Canada, Britain, Germany and also the commander of the Bulgarian Air Force. Based on their impression they will decide whether or not to participate in future exercises.

"One of our top goals is that foreign air forces will know that practicing in Israel is very effective", said Lieutenant colonel Ziv. "We want them to see the great power of the IAF reflected in the organization of the exercise and understand the Professionalism and strength of our force".

IAF commander, Major General Amir Eshel, arrived earlier this week at the southern Ovda Airbase to witness the progress of the exercise and joined to a flight with the "Blue" forces.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:25
Brazil Picks Thales, Arianespace for Satellite Contract

December 1, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Embraer S.A.; issued November 28, 2013)

 

Embraer: Geostationary Satellite Will Ensure the Security of Brazilian Communications

 

SAO JOSE DOS CAMPOS, Brazil --- Visiona Tecnologia Espacial S.A. and Telebras formally signed a contract, today (November 28), to supply the Defense and Strategic Communications Geostationary Satellite (SGDC) system.

 

The R$ 1.3 billion contract provides for the system to be delivered by the end of 2016. The project involves the Ministries of Communications, of Defense, and of Science and Technology. The satellite will be operated by Telebras on the K (civilian) band and by the Ministry of Defense on the X (military) band.

 

Visiona is a joint venture of Embraer and Telebras and will be responsible for integration the SGDC system, which will expand broadband internet access in remote regions of the country, through the National Broadband Program (PNBL) and ensure Brazil's sovereignty over the communications of its Armed Forces. After the signing of the contract, Visiona will formalize the hiring of suppliers and will begin developing and integrating the system.

 

The selected companies are Thales Alenia Space (TAS) to supply the satellite and Ariane Space to launch the device. The contract with suppliers also provides for the transfer of technology to Brazilian companies, and that task will be supervised by the Brazilian National Space Agency (AEB).

 

"The SGDC system not only will meet the needs of Telebras' National Broadband Program (PNBL) and the strategic communications of the Brazilian Armed Forces, but it is also an opportunity for Brazil to ensure the sovereignty of its strategic communications in both the civilian and military areas," explains Telebras President Caio Bonilha.

 

"We are honored to have been chosen to supply a system so important to the country," states Visiona President Nelson Salgado. "We trust that this program represents the beginning of a long-term relationship, by establishing a Brazilian space systems integration company, similar to what Embraer represents for the aeronautical and defense segments."

 

The SGDC system will also provide full security for the strategic communications of the government, as well as military communications, because it will be controlled in Brazil at stations that are located in military areas, under the coordination of Telebras and the Ministry of Defense.

 

The acquisition of its own satellite for Brazilian civilian and military communications is a strategic decision for ensuring the nation's sovereignty. The satellites that currently provide services to Brazil are either controlled by stations outside of the country or the attitude control is in the hands of companies run by foreign capital. In either of the cases there are risks of interrupted services, in situations of international conflict or due to the political or economic interests of others.

 

 

A Telecomunicacoes Brasileiras S. A. (TELEBRAS) is a public and private joint stock company, which provides strategic telecommunications solutions to the Public Administration and market, acting as an agent for local development and fomenting democratic access to information.

 

Visiona Tecnologia Espacial S.A. is a company of the Embraer and Telebras groups, founded for the initial objective of integrating the Defense and Strategic Communications Geostationary Satellite (SGDC) system of the Brazilian government. Visiona also has the purpose of being a satellite integrating company, focusing on the demands of the National Space Activities Program (PNAE/AEB) and of the Strategic Space Systems Program (PESE/FAB).

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:20
Boeing mise sur la furtivité de ses chasseurs pour neutraliser ses concurrents

 

30 novembre 2013 Aerobuzz.fr

 

Même si la volte-face de la Corée qui renonce finalement à ses 60 F-15 Silent Eagle, Boeing qui a (aussi) raté le marché des avions de combat de cinquième génération reste convaincu que les F-15 Eagle et F/A 18 E/F Super Hornet demeurent des atouts pour damer le pion à ses concurrents.

 

C’est ce qu’on appelle un retour gagnant. L’avionneur américain Boeing a bien failli sortir du marché des avions de combat. Tout simplement parce que son plus dangereux rival, l’insolent Lockheed Martin qui possède le record de ventes d’avions de combat avec son F-16 (plus de 4500 exemplaires), s’est adjugé le marché des avions de cinquième génération avec son F22 Raptor et son F35 Lightning II, plus connu sous le nom de JSF.

Faute de nouveaux appels d’offres de la part du Pentagone à l’horizon, Boeing était donc condamné à envisager la fermeture des chaines de sa gamme actuelle, composée de F/A 18 Super Hornet et de F-15 Eagle à moyen terme. Mais c’était sans compter sur les déboires de Lockheed Martin.

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F-15 Silent Eagle de Boeing photo Boeing

Après des années de développement, l’avion de supériorité aérienne et d’attaque F22 Raptor est au mieux une demi réussite du faite de son prix supérieur à 250 M$ et de son haut niveau technologique le rendent inexportable. Et quand bien même, ce bijou de technologie qui n’est toujours pas guéri de ses maladies de jeunesse commence à accumuler des problèmes d’obsolescence. Et que dire du développement de son petit frère furtif le F35 qu’on nous annonçait dans les années 90 comme le nec plus ultra des avions d’arme à prix discount ?

Force est de constater aujourd’hui que les années de développement laborieux, jalonnées de soucis techniques, de retards et de surcoûts importants commencent à faire réfléchir plus d’un client potentiel. Certains mettent même en doute les performances de l’appareil face à des systèmes de défense modernes. Bref le crédo du « tout furtif » à tout prix ne fait plus recette.

Une tendance bien comprise ailleurs dans le monde. Ainsi l’Eurofighter, le Gripen et le Rafale conçus sur le vieux continent, qui ne sont peut être pas aussi furtifs que les avions de Lockheed Martin, mais qui revendiquent un juste compromis prix/performances. Autrement dit, le meilleur avion de combat, c’est encore celui qu’on peut se payer…

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F-15 Silent Eagle de Boeing photo Boeing

Et ce n’est pas tout. Les Russes qu’on disait finis dans les années 90, reviennent sur le devant de la scène avec le MIG-35 et des évolutions toujours plus performantes des SU-30 et SU-35. Des appareils à la signature radar diminuée et dont les systèmes d’arme seraient capables, dans certaines conditions, de détecter les avions furtifs. Pour couronner le tout, Sukhoi promet une version d’exportation du prometteur T-50 Pak FA sous peu… enfin dès que son radar et ses moteurs seront prêts.

Au sol, la perspective de la dissémination systèmes de détection et de défense sol-air toujours plus performants tels que les S-300 et 400 russes relèguent au rang de cibles tous les avions produits dans les années 80 et 90.

Fort de ce constat morose, Boeing, qu’on croyait condamné avec sa gamme vieillissante ne s’avoue pas vaincu pour autant. L’avionneur américain estime qu’il y a un marché dans les pays qui veulent un avion de combat qui serait à la fois moderne, furtif, éprouvé et performant. Ce mouton à cinq pattes destiné à damer le pion à tous ses concurrents américains, russes et européens serait en quelque sorte un JSF « Made in Boeing », le prix indécent et les maladies de jeunesse en moins. A défaut de pouvoir financer sur ses fonds propres un nouvel appareil, l’avionneur américain parie sur ses deux produits phares, dont la conception initiale remonte aux années 70, à savoir le F15 et le F/A 18. A chaque fois la recette est la même : on modernise le système d’arme et on réduit la signature radar.

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Advanced Super Hornet de Boeing photo Boeing

Après avoir dévoilé dans un premier temps une version bodybuildée du légendaire F15 Eagle désignée « Silent Eagle », c’est au tour du F/A 18 E de subir une cure de jouvence.
L’ « Advanced Super Hornet » en cours de tests par Boeing est un FA/18 E « Super Hornet » de base sur lequel des matériaux absorbant les ondes radar ont été apposés. Les interstices entre les différents éléments du fuselage et de la voilure ont été réduits au minimum. L’autre point noir en termes de furtivité se situe au niveau des points d’emport. Sur un avion de combat classique, Les missiles et les réservoirs de carburant externes avec les fixations associées sont autant de points brillants pour les radars de défense aérienne adverse.

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Advanced Super Hornet de Boeing photo Boeing

A défaut de disposer de réservoirs de carburant internes conséquents et d’une soute interne comme le F22 Raptor et le JSF, la partie dorsale du fuselage de l’ « Advanced Super Hornet » se voit dotée de réservoirs additionnels conformes tandis que les missiles prennent place dans un container ventral profilé et furtif. Ainsi équipé, le bon vieux Hornet ne sera pas plus rapide que ses devanciers, avec une vitesse maximale voisine de Mach 1.6. Il conservera cependant ce qui fait sa force, à savoir une robustesse, une maniabilité et une polyvalence air-air et air-sol de très bon niveau. Il y gagnera même un peu en rayon d’action.

En revanche sa signature radar en secteur avant sera réduite de moitié ! Pour les pilotes cela se traduit par des chances de survie accrues lors de missions d’attaque au sol où il est important de ne pas être détecté par les défenses adverses. Pour l’Oncle Sam, ce gain de performances se traduit par un surcoût de 10% par rapport au Super Hornet de base. Et ce n’est pas tout, bientôt Boeing le promet, le Super Hornet furtif sera doté d’un capteur infrarouge IRST afin d’acquérir ses cibles sans utiliser son radar à antenne active. Un peu à la manière des MiG-29 et SU-30.

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Advanced Super Hornet de Boeing - photo Boeing

Il sera ainsi possible de détecter et d’identifier une cible en l’air ou au sol à 50 km de distance environ et ce, en toute discrétion. Dans le cockpit les écrans multifonctions actuels seront remplacés par un unique écran tactile. Le moteur fera lui aussi l’objet d’améliorations pour augmenter sa poussée et réduire sa consommation. Boeing vise principalement le marché de la modernisation et la prolongation des centaines de Super Hornet de l’US Navy et des appareils australiens.

Avec cette stratégie intelligente de remise à jour des F-15 et F/A 18, Boeing espère tenir ses concurrents à distance en espérant cette fois-ci gagner la compétition finale, celle de l’avion de combat de sixième génération.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:20
Photo DND

Photo DND

 

December 1, 2013. David Pugliese - Defence Watch

 

From NORAD:

 

Members of the North American Aerospace Defense Command (NORAD) and their Russian Federation Air Force counterparts met in Moscow last week to review the lessons learned from Vigilant Eagle 13, held earlier this year, and to start planning for Vigilant Eagle 14.

 

Last year’s live-fly Vigilant Eagle 13 exercise took place August 27 to 28 in Anchorage, Alaska, and Anadyr, Russia. It involved Russian, Canadian and American military personnel and aircraft, operating from command centers in Russia and the United States.

The Vigilant Eagle 14 exercise will be a “command post exercise” (CPX) involving a more complex scenario, to be developed in the coming months.

 

“It is crucial to meet in person to discuss the successful execution of Vigilant Eagle 13 in order to improve and build on the lessons learned for the next exercise,” said Mr. Joe Bonnet, director of joint training and exercises for NORAD and U.S. Northern Command. “This conference in Moscow is also a great opportunity to share and discuss different ideas and scenarios for Vigilant Eagle 14.

 

“As we continue to work with the Russian Federation Air Force and its professional members, we are creating lasting bonds and partnerships extremely valuable for the security of our three nations.”

 

Working in partnership with the United States’ Federal Aviation Agency and its Russian counterpart, the Vigilant Eagle exercise series focuses on national procedures for monitoring a situation, and the cooperative hand-off of a hijacked aircraft from one nation to the other while exchanging air track information. All players focus on coordinating their response to the incident.

 

The United States-Russian Federation Armed Forces Military Cooperation Work Plan is the basis that allows the Russian Federation and NORAD personnel to conduct Vigilant Eagle conferences and execution.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:20
Snow Capped Mountains Of Afghanistan

 

 

12/1/2013 Strategy Page

 

A 10th Combat Aviation Brigade CH-47 Chinook helicopter crewed by members of the Texas and Oklahoma National Guard serving under 3rd Battalion (General Support), Task Force Phoenix, makes its way through the snow capped mountains of Paktya province, Afghanistan, while conducting an air assault, Nov. 27, 2013. (U.S. Army photo by Capt. Peter Smedberg)

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 23:55
L’armée française a défilé à Bucarest

Le 1er décembre 2013, pour la première fois dans l’histoire de l’amitié franco-roumaine, l’armée française a eu l’honneur d’être associée à la célébration de la Fête nationale de la Roumanie. 30 militaires français du 1er régiment d’artillerie ont défilé à Bucarest, aux côtés des forces armées roumaines, sous les ordres de leur chef, le lieutenant-colonel Raphaël Bernard.

 

Reportage photos

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 23:45
Mali: attentat-suicide près d'une position française, aucune victime sauf le kamikaze (1er Déc)

 

01 décembre 2013 19h42 Romandie.com (AFP)

 

BAMAKO - Un kamikaze s'est fait exploser dans la nuit de samedi à dimanche près d'une position de l'armée française à Ménaka, dans le nord du Mali, sans faire d'autre victime, ont indiqué des sources militaires malienne et française.

 

Le kamikaze visait une position de l'armée française, dans la ville de Ménaka. Les troupes françaises ont détecté sa présence et dans la précipitation, l'homme a actionné sa ceinture (d'explosifs), se tuant mais sans faire d'autre victime, a déclaré à l'AFP un haut responsable de l'armée malienne, joint au téléphone dans le nord du Mali.

 

L'information a été confirmée par le service de communication de l'opération Serval, la force militaire française dans le nord du Mali, mais partiellement démentie dans la soirée par le ministère français de la Défense, selon qui l'attaque visait un bataillon nigérien de la force de l'ONU au Mali.

 

La ville de Ménaka est située à environ 300 km à l'est de Gao, la plus grande ville du nord du Mali.

 

Au moins deux autres kamikazes, complices de celui qui a été tué et qui apparemment devaient prendre part à l'attaque contre les troupes françaises, ont pris la fuite, a ajouté la source militaire malienne.

 

Le kamikaze s'est fait exploser à distance d'une position française à Ménaka. Nous ne comptons aucune (perte) dans nos rangs, a affirmé la source militaire française de Serval, qui a précisé que l'auteur de l'attentat-suicide avait été détecté à l'avance.

 

Peut-être que le kamikaze avait d'autres complices qui ont pu s'échapper, a ajouté la même source.

 

Dimanche dans la soirée, le ministère français de la Défense a fourni une version différente des faits.

 

Selon le porte-parole de l'état-major français Gilles Jaron, l'attaque visait un bataillon nigérien de la Minusma (Force de l'ONU au Mali) de quelque 500 à 700 hommes, dans lequel figure uniquement un détachement de liaison et d'appui de 24 soldats français.

 

Deux habitants de Ménaka, interrogés par l'AFP, ont affirmé avoir vu dimanche un hélicoptère de l'armée française qui volait dans le ciel de cette ville, par mesure de sécurité.

 

Les jihadistes liés à Al-Qaïda au Maghreb islamique, qui ont occupé pendant plusieurs mois le nord du Mali en 2012, en ont été en grande partie chassés par l'intervention militaire franco-africaine qui a débuté le 11 janvier et est toujours en cours.

 

Toutefois, des groupes résiduels parviennent à y mener de manière régulière des actions contre les armées malienne et étrangères présentes dans la région.

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 23:45
A Gao, la Chine et les Pays-Bas vont déployer des blindés, des drones et des hélicoptères Apache

 

01.12.2013 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

Le contingent chinois de la Minusma (395 hommes), dont l'arrivée à Bamako ne devrait pus tarder, gagnera Gao (est) où il assurera, entre autres missions, la protection des troupes (370 militaires), des drones (Raven ou/et ScanEagle) et des hélicoptères Apache que les Pays-Bas vont déployer en début d'année. C'est en tout cas ce qu'ont annoncé plusieurs élus hollandais (dont le ministre des Affaires étrangères. Cliquer ici pour écouter son interview) au cours des derniers jours.

Le déploiement hollandais doit commencer en tout début d'année prochaine.

Selon le ministère de la Défense des Pays-Bas, 90 soldats des forces spéciales seront déployés, ainsi que 30 policiers, 60 militaires chargés de la mise en œuvres des 4 Apache, 128 soldats pour le soutien et 70 spécialistes du renseignement et de la guerre électronique.

Ces derniers soldats seront équipés de drones de type ScanEagle ou Raven (une demande de l'Onu) et assureront une veille aéroportée, comme l'a confirmé la ministre de la Défense Jeanine Hennis-Plasschaert.

Ce déploiement confirme l'évolution de la posture onusienne, évolution déjà notée au Kivu où la capacité offensive de la force locale est désormais évidente (artillerie, hélicoptères de combat, drones). Au Mali, les petits contingents chinois ou néerlandais affichent des moyens égaux à ceux de leurs camarades sud-africains ou tanzaniens de RDC. Il ne faudrait pas, cependant, que ces moyens ne servent qu'à assurer la "force protection" des casques bleus, une protection robuste mais qui ne peut pas être sans effet positif sur la sécurisation de l'environnement civil.

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 22:20
Premiers équipages diplômés posant devant un drone Reaper

Premiers équipages diplômés posant devant un drone Reaper

 

29/11/2013 Armée de l'air

 

Le 26 novembre 2013, le général Antoine Creux, major général de l’armée de l’air (MGAA), s’est rendu sur la base aérienne d’Holloman aux États-Unis, afin de présider la cérémonie de remise de diplôme à la première promotion d’équipages français sur drone Reaper.

 

Au terme de 17 semaines d’une formation exigeante et de haut niveau, les trois premiers équipages de l’escadron de drones 1/33 « Belfort » sont désormais opérationnels et seront déployés au profit des opérations à compter de la livraison des drones Reaper.

 

L’arrivée prochaine du drone Reaper au sein de l’armée de l’air est un signe concret de la poursuite de sa modernisation et du renforcement de son caractère opérationnel, axes forts du projet « Unis pour Faire Face ».

Visite d'un poste de pilotage.

Visite d'un poste de pilotage.

Remise de diplôme

Remise de diplôme

Premiers équipages lors de la remise de diplôme

Premiers équipages lors de la remise de diplôme

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 22:20
Le CEMA remet les insignes d’officier de la Légion d’honneur à l’amiral McRaven

 

29/11/2013 Sources : EMA

 

Le 25 novembre 2013, l’amiral Edouard Guillaud, chef d’état-major des armées (CEMA) a remis les insignes d’officier de la Légion d’honneur à l’amiral William H. McRaven, commandant des opérations spéciales américaines (SOCOM).

 

Au cours de cette cérémonie organisée à Paris, le CEMA a salué le parcours et l’engagement opérationnel du général McRaven. Après avoir exercé le commandement des opérations spéciales en Europe, ce dernier a dirigé le commandement interarmées des opérations spéciales (JSOC) avant de se voir confier le commandement de SOCOM à sa création en 2011. Le général McRaven a également participé à des opérations majeures dans lesquelles les forces françaises ont été engagées aux côtés des forces américaines, comme l’opération Tempête du désert en 1991 ou encore l’opération Enduring Freedom. Enfin, l’amiral Guillaud a salué l’action de SOCOM en faveur du rapprochement des forces spéciales françaises et américaine : « Aujourd’hui, nos forces se connaissent mieux. Aujourd’hui, elles agissent ensemble. Aujourd’hui, elles se préparent ensemble à leurs missions futures ».

Le CEMA remet les insignes d’officier de la Légion d’honneur à l’amiral McRaven
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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 21:50
Des députés français pour un rôle militaire accru de l'UE

 

29/11/2013 par Emmanuel Jarry - zonebourse.com (Reuters)

 

Des députés français plaident dans un rapport rendu public vendredi pour l'utilisation de forces européennes, les "groupements tactiques européens", dans les phases de démarrage des opérations de maintien de la paix.

 

La présidente de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale, Elisabeth Guigou, estime que la situation actuelle en Centrafrique est un cas typique dans lequel ces GTUE pourraient être mis à la disposition de l'ONU.

 

"Il serait souhaitable que l'Union participe aux actions de stabilisation de la République centrafricaine", écrit-elle dans ce rapport, fruit d'un travail majorité-opposition.

 

Mis sur pied en 2007, les GTUE représentent chacun une force d'environ 1.500 hommes, fournis à tour de rôle par les Etats membres. Ils sont mis en alerte deux par deux pour six mois.

 

Ils constituent le seul instrument commun de projection de forces et de réaction rapide de l'Union européenne. Mais ils n'ont jusqu'ici jamais utilisés, alors qu'un groupe en alerte lors de la crise malienne, par exemple, était constitué de soldats français, allemands et polonais.

 

De même, le groupe en alerte lors du lancement de l'opération de démantèlement des armes chimiques syriennes, composé de soldats britanniques, n'a pas été utilisé.

 

Selon le rapport de la commission des Affaires étrangères, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Italie proposent de réduire l'ambition des GTUE en les dédiant à des actions dites de basse intensité ou à des missions non combattantes.

 

Elisabeth Guigou et les autres auteurs du rapport s'élèvent contre cette suggestion et dénoncent un manque de volonté politique des Etats membres.

 

EUROPE DE LA DÉFENSE EN PANNE

 

Ils plaident aussi pour une mutualisation des dépenses induites par les opérations militaires extérieures "qui contribuent à la défense européenne".

 

Ce rapport se veut une contribution à une relance de l'Europe de la défense en panne, censée être au menu du Conseil européen des 19 et 20 décembre.

 

La politique de sécurité et de défense commune, auquel ce dernier sommet des dirigeants européens en 2013 devait initialement être consacré, n'est plus qu'un chapitre de l'ordre du jour parmi d'autres, notamment l'union bancaire.

 

Interrogée sur le risque de voir cette question de nouveau expédiée au sommet de Bruxelles, Elisabeth Guigou, répond : "Oui j'ai cette crainte. C'est pour ça que j'ai fait ce rapport."

 

Ce document invite les dirigeants de l'UE à se mettre au moins d'accord sur une "feuille de route" prévoyant notamment l'élaboration d'une nouvelle stratégie européenne de sécurité.

 

Aujourd'hui, le seul texte de référence sur le rôle de l'UE dans le monde et sur une conception commune des menaces pesant sur elle a été rédigé en 2003 et actualisé en 2008.

 

Il serait "souhaitable" que le Conseil donne mandat aux institutions de l'UE de définir une nouvelle stratégie d'ici 2015, dit le rapport de la commission des affaires étrangères.

 

RISQUE DE DÉCLASSEMENT STRATÉGIQUE

 

Il invite aussi le Conseil à inscrire dans cette feuille de route une relance des programmes de coopération en matière d'armement et l'élaboration d'un partenariat renouvelé avec les Etats-Unis, dont l'attention se tourne aujourd'hui vers l'Asie.

 

Les auteurs du rapport estiment enfin que c'est à la France de jouer les aiguillons au sommet de décembre et de s'assurer que les décisions éventuellement prises ne resteront pas sans lendemain. "Seule la France peut impulser une nouvelle dynamique dans le domaine de l'Europe de la défense", écrivent-ils.

 

Le rapport insiste sur le risque d'une "rupture capacitaire" et d'un "déclassement stratégique" de l'UE en raison de l'impact des restrictions budgétaires sur les dépenses de défense.

 

Les dépenses militaires cumulées de la France, du Royaume-Uni, de l'Allemagne et de l'Italie ne représentent plus que 13% des dépenses mondiales contre près de 20% en 2000, souligne le rapport, qui juge l'industrie de défense européenne en danger.

 

Dans un domaine où l'Europe se caractérise par une très forte hétérogénéité des budgets de défense, des conceptions en matière de stratégie et de coopération et d'implication dans les questions de sécurité, ses auteurs plaident pour une convergence entre la France, le Royaume-Uni, la Pologne et l'Allemagne.

 

Cette convergence, favorisée par la prise de distance de la Pologne avec l'Otan, se heurte aux réticences de Berlin envers toute intervention extérieure et à l'opposition britannique de principe à une intégration européenne. (Edité par Yves Clarisse)

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 21:45
Tunisie : Des experts favorables à l’augmentation des budgets de la Défense et de l’Intérieur

 

30 nov 2013 Par : Di avec TAP

 

Des experts sécuritaires et militaires ont favorablement accueilli l’augmentation des budgets des ministères de la Défense et de l’Intérieur, programmée dans le projet de budget de l’Etat au titre de 2014.

 

Badra Gaaloul, experte en réforme de la sécurité a mis en évidence l’importance de cette mesure dans la lutte contre la recrudescence de la violence et du terrorisme qui secouent le pays depuis quelques temps.

 

Le projet de budget de l’Etat pour l’exercice 2014 prévoit une hausse de 136 millions de dinars pour le MI et de 305 millions de dinars pour la Défense. Les deux institutions souffrent d’un manque criant en matériels pendant que les groupes terroristes se munissent d’équipements et d’armes sophistiqués, a-t-elle dit.

 

Les pertes en vies humaines dans les rangs des militaires et des forces de l’ordre, enregistrées au cours de la dernière période, sont attribuables au manque d’équipements et à l’absence de planification préalable des interventions sur le terrain, a-t-elle regretté.

 

La lutte contre le terrorisme, a encore ajouté Mme Gaaloul, nécessite en plus de la logistique, la mise sur pied de stratégies dans le court et le moyen terme pour affronter les dangers qui guettent le pays.

 

Mokhtar Ben Nasr, colonel major, retraité et expert militaire estime que l’augmentation du budget du ministère de la Défense est « raisonnable », faisant observer que l’acquisition d’équipements lourds à l’instar des avions demande de plus grandes ressources matérielles. Une partie du budget du ministère de la Défense sera allouée à l’achat d’équipements ordinaires, a-t-il poursuivi.

 

Ben Nasr a formé l’espoir de voir le budget du département alimenté dans les années à venir et une fois la crise économique que vit le pays surmontée.

 

Pour sa part, l’expert en réforme de la sécurité Haykel Ben Mahfoudh considère que l’accroissement du budget des deux ministères est « attendue », dans la mesure où des majorations salariales ont été décidées au profit des employés des deux départements. Pour lui les institutions sécuritaire et militaire comptent parmi les ministères qui emploient le plus de personnel, appelant à, cet égard, à rationaliser les recrutements en garantissant l’équilibre entre les agents et les cadres dans le sens d’un encadrement efficace.

 

Ben Mahfoudh a estimé que les défis de l’étape commandent de maximiser l’efficacité opérationnelle des deux institutions moyennant le renforcement des équipements et des ressources humaines spécialisées et l’instauration de mécanismes favorisant le respect de la loi et des droits humains et la qualité de transparence. D’après lui, le ministère de l’Intérieur ne doit pas axer ses efforts uniquement sur le terrorisme, mais se doit aussi de garantir la sécurité publique et les commodités de base fournies par les collectivités locales.

 

Pour sa part, le président du Centre tunisien des études de la sécurité globale, Nasr Ben Soltana a estimé que l’augmentation des budgets de la Défense et de l’Intérieur est en rapport avec la situation sécuritaire dans le pays et la protection des frontières. Cette augmentation est justifiée par la situation actuelle que traverse le pays face aux menaces qui guettent la sécurité et la stabilité de la Tunisie, a-t-il soutenu.

 

Selon Nasr Ben Soltana, l’appareil sécuritaire et militaire doit être conforté par des moyens matériels et humains importants pour faire face au terrorisme et au crime organisé et pour assurer la protection de ses frontières par des dispositifs technologiques sophistiqués.

 

Ben Soltana écarte l’idée selon laquelle l’augmentation des budgets de la Défense et de l’Intérieur est une manière d’instaurer une nouvelle dictature. « Tout Etat démocratique augmente son budget de défense s’il est exposé à la menace terroriste », a-t-il dit.

 

Le budget du ministère de l’Intérieur dans le projet de budget de l’Etat 2014 qui a été soumis à L’Assemblée nationale constituante, s’élève à 2279 MD contre 2143 MD en 2013. Le budget du ministère de la Défense est estimé à 1538 MD contre 1233 en 2013.

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