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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:35
More Ospreys Deploy to Philippines for Typhoon Relief Missions

 

Nov 14, 2013 ASDNews Source : AFPS

 

Four additional MV-22B Ospreys have deployed from Marine Corps Air Station Futenma, Japan, to support Operation Damayan, a humanitarian assistance and disaster relief operation in the Philippines following Typhoon Haiyan.

 

As of yesterday, 129,000 pounds of relief supplies had been distributed, and hundreds of displaced persons had been relocated to the Philippine capital of Manila, officials said.

 

The additional Ospreys, which bring the total to eight for this deployment, will assist the U.S. Marines and sailors from the 3rd Marine Expeditionary Force’s 3rd Marine Expeditionary Brigade who already had deployed to provide a wide range of relief efforts. The Ospreys are assigned to Marine Medium Tiltrotor 262, Marine Aircraft Group 36, 1st Marine Aircraft Wing, 3rd Marine Expeditionary Force.

 

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:35
Indonesia orders tracked armoured vehicles from Rheinmetall

 

 

Nov 13, 2013 ASDNews Source : Rheinmetall AG

 

    Worth around a,216 M

 

The Indonesian Ministry of Defence has contracted with the Rheinmetall Group of Düsseldorf to supply it with tracked armoured vehicles, logistical support and ammunition worth roughly €216 million. The contract, which was signed in December 2012, now comes into full force following the successful completion of all legal formalities.

 

Along with 103 thoroughly overhauled and modernized Leopard 2 main battle tanks, the order encompasses 42 upgraded Marder 1A3 infantry fighting vehicles and 11 various armoured recovery and engineering vehicles, plus associated documentation, training equipment and additional logistical support. Furthermore, the order includes an initial supply of practice and service ammunition. Indonesia thus becomes the 18th Leopard 2 MBT user nation.

 

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:35
De Crem n'exclut pas une autre participation en Afghanistan après 2014

 

13 novembre 2013 lalibre.be (Belga)

 

Le député socialiste flamand Dirk Van der Maelen a quant à lui appelé "à reconnaître que cette opération en Afghanistan est un désastre".

 

Le ministre de la Défense, Pieter De Crem, n'a pas totalement fermé la porte, mercredi en commission Défense de la Chambre, à une participation militaire belge en Afghanistan après 2014, alors que l'accord de gouvernement prévoit un retrait belge à partir de cette année. Il a été évalué qu'une capacité de 8.000 à 12.000 hommes serait nécessaire en Afghanistan après 2014, a souligné le ministre. Sa récente visite aux Etats-Unis lui a permis d'en discuter avec Chuck Hagel, le secrétaire à la Défense des Etats-Unis, a-t-il précisé.

 

Si l'accord de gouvernement prévoit un retrait des troupes d'Afghanistan en 2014, la mise en oeuvre des décisions du sommet de Lisbonne de 2010 n'exclut pas une présence sur le terrain, a-t-il poursuivi.

 

Le député PS Vincent Sampaoli a rappelé que l'aide à l'Afghanistan planifiée par la Belgique pour ces prochaines années passera par la coopération au développement et pas par la Défense.

 

Il s'est dit "inquiet" d'entendre que quelques centaines de soldats belge pourraient rester au milieu de 12.000 à 13.000 hommes au-delà de 2014.

 

Le député socialiste flamand Dirk Van der Maelen a quant à lui appelé "à reconnaître que cette opération en Afghanistan est un désastre".

 

Denis Ducarme (MR) s'est pour sa part réjoui que le ministre de la Défense n'exclue pas une présence belge en Afghanistan après 2014.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:30
photo Airbus Military

photo Airbus Military

 

Le 13/11/2013 Par François Julian – Air & Cosmos

 

Le salon de Dubaï qui ouvrira ses portes la semaine prochaine aux Emirats Arabes Unis, sera l'occasion pour Airbus Military d'exposer pour la première fois l'A400M Atlas dans le Golfe. En 2011, le quadrimoteur n'avait pas pu répondre présent à cet incontournable salon aéronautique, du fait d'un calendrier d'essais en vol très chargé

 

Ce sera donc une première présentation officielle. Ce qui ne veut pas dire que l'A400M n'est jamais venu dans cette région du monde. Bien au contraire. Si Airbus Military n'en fait pas vraiment la publicité, l'Atlas est déjà venu plusieurs fois dans le Golfe, pour y subir de très sérieuses évaluations opérationnelles. Le Moyen-Orient est en effet l'un des marchés prioritaires d'Airbus Military pour la vente de cet avion à l'export.

 

Ainsi, MSN 6, le premier exemplaire de présérie, a fait l'objet en juillet dernier d'une évaluation aux Emirats Arabes Unis et en Arabie Saoudite, où des pilotes de C-295 et de C-130 ont pu prendre les commandes de l'avion, en place de droite. Ces évaluations, qui ont duré une poignée de jours, ont également permis de faire de nouveaux essais de chargement, comme celui d'un camion Oshkosh de 32 tonnes.

 

Pour Airbus Military, l'objectif est de conclure une première vente à l'export de l'A400M d'ici la fin 2014. Une première vente qui pourrait donc être destinée à un pays du Golfe. Le Ministre de la Défense Jean-Yves le Drian devrait se la semaine prochaine à Dubaï, notamment pour discuter de la vente de cet avion avec des clients de la région.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:30
bâtiment libanais Tabarja photo marine-nationale

bâtiment libanais Tabarja photo marine-nationale

 

13/11/2013 Marine nationale

 

Après avoir conduit un entraînement impliquant les marines américaine et britannique au large de Chypre, la frégate anti-aérienne (FAA) Cassard a réalisé un entraînement commun avec la marine libanaise.

 

Lors d’un entraînement de défense aérienne, le Cassard a eu l’opportunité de travailler avec des chasseurs britanniques EurofightersTyphoon du 11th Squadron de la base d’Akrotiri (Chypre) et avec les frégates USS Monterey (type Ticonderoga) et USS Ramage (type Arleigh Burke). Le Cassard assurait la protection rapprochée de l’USS Monterey et contrôlait l’un des trois Eurofightersen Combat Air Patrol, alors que l’USS Ramage se plaçait en WATCHDOG (position excentrée destinée à donner un préavis suffisant sur la menace).

 

Quelques jours plus tard, le Cassard a effectué, avec le bâtiment libanais Tabarja dédié à la protection des approches portuaires, une opération de visite. Chacun des deux bâtiments a fait l’objet d’un abordage par l’équipe de visite de l’autre.

 

Au-delà de l’aspect pratique de cet entraînement, cet échange croisé constitue aussi un symbole de l’intérêt que la France témoigne au Liban avec lequel elle entretien toujours des liens forts.

EurofightersTyphoon du 11th Squadron de la base d’Akrotiri

EurofightersTyphoon du 11th Squadron de la base d’Akrotiri

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:20
Pour L’US Air Force, il s’agit de remplacer les B-1B, B-2, B-52

Pour L’US Air Force, il s’agit de remplacer les B-1B, B-2, B-52

 

13 novembre 2013 Aerobuzz.fr

 

Boeing et Lockheed Martin ont décidé de s’associer pour réaliser le futur bombardier stratégique américain à long rayon d’action (LRS-B). Les deux constructeurs grillent la priorité à Northrop Grumman, le spécialiste de la question. Les racines de cette décision remontent aux années 80...

 

A défaut de savoir exactement ce que sera le futur bombardier stratégique américain, on sait déjà quelles seront les équipes alignées pour le réaliser. Boeing et Lockheed Martin ont annoncé fin octobre leur volonté de s’associer pour le concourir. Tandis que Northrop Grumman, grand spécialiste de la question depuis le très secret programme B2 « Spirit », l’avion le plus cher de tous les temps, réserve sa réponse.

 

Avec cette décision, Lockheed Martin et son département « Skunk Works » tiennent leur revanche. En effet, l’avionneur américain, auquel on doit le F/A 22 Raptor ou encore le F35 Lightning II est un pionnier des avions furtifs. Ses premières recherches, remontent aux années 60. L’avionneur avait d’abord tenté de diminuer la signature radar des avions espions U2, sans succès notable, car cet avion n’a jamais été conçu au départ pour avoir une faible signature radar.

 

Une leçon parfaitement intégrée dès les premières épures de son successeur, le fantastique SR-71 Blackbird. Ainsi, outre la silhouette générale de l’avant de l’appareil, aux formes douces, et l’inclinaison des dérives, un traitement spécifique des bords d’attaque de la voilure a été appliqué sur l’appareil. Le tout, complété par un ensemble de brouillage actif dernier cri pour l’époque. A défaut d’être furtif, cet avion était discret.

 

Mais le vrai saut technologique a été accompli dans les années 70, grâce aux équations du savant russe Ufimtsev, qui ont rendu possible la mise au point de l’avion d’attaque F-117 Nighthawk, parfaitement invisible et terriblement efficace lors de la première guerre d’Irak. Par la suite Lockheed Martin a travaillé pour le Pentagone sur quantité de programmes aussi furtifs que secrets. Pendant ce temps Northrop Grumman, grand spécialiste des avions embarqués, sentait le vent tourner et décidait de s’engager sur la voie des avions furtifs. C’est donc tout naturellement qu’il a tenté de débaucher le « père » du F117, feu Ben Rich. Peine perdue, car le chef d’alors et fondateur des « Skunk Works » veillait au grain. Aussi l’attribution du contrat de bombardier furtif B2 à Northrop Grumman dans les années 80 fut une vraie déception pour Lockheed Martin.

 

Aujourd’hui, les B52 en service ont aux alentours de cinquante ans, les B1B Lancer de Rockwell remontent aux années 80 tandis que les 19 B2 Spirit, récents et polyvalents coutent une vraie fortune à l’entretien. Pendant ce temps, les systèmes de détection et de défense anti aérienne réalisés en Russie, en Chine et en Europe sont de plus en plus performants. Pire, la Russie affirme vouloir se doter de bombardiers stratégiques furtifs réalisés dans le cadre du programme PAK-DA. Ces avions remplaceront les TU-95 et autres TU-160. Et la Chine ne cache plus ses ambitions en matière d’aéronefs avancés. Du coup le Pentagone réfléchit à un engin furtif, raisonnablement moderne et surtout abordable ; on parle de 100 à 200 M$ l’unité.

 

Le futur bombardier stratégique américain devrait être capable de mettre en œuvre des armes nucléaires et conventionnelles à plusieurs milliers de kilomètres de sa base de départ. Idéalement il devra être capable de pénétrer les défenses anti aériennes les plus modernes pour les détruire ou collecter des données tactiques. Certains spécialistes américains estiment qu’il pourrait même être doté d’armes à impulsions électro magnétiques ou laser. De son côté Lockheed Martin affine sa réponse et laisse filtrer dans la presse des vues d’artiste d’un engin de reconnaissance hypersonique, on parle de Mach 6, furtif baptisé SR-72…

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 11:55
Budget de la Défense : le Gouvernement concilie souveraineté nationale et souveraineté budgétaire

 

13/11/2013 19:55 Ministère de la Défense

 

Communiqué de presse conjoint du ministre de l'Économie et des Finances, du ministre de la Défense et du ministre délégué auprès du ministre de l’Économie et des finances, chargé du Budget.

 

Pierre Moscovici, ministre de l’Économie et des Finances, Jean-Yves Le Drian, Ministre de la Défense, et Bernard Cazeneuve, ministre délégué chargé du Budget, soulignent que dans le projet de Loi de finances rectificative présenté ce matin en conseil des ministres, le surcoût des opérations extérieures (OPEX) fait l’objet d’ouvertures de crédits à hauteur de 578 millions d’euros, assurées par la solidarité interministérielle.Cela permet notamment de financer les opérations de l’armée française comme celle engagée cette année au Mali.

 

Par ailleurs, le ministère de la Défense participe, comme tous les ministères, à l’effort d’économies nécessaire au rétablissement des comptes publics, via une auto assurance sur les crédits de masse salariale et à une participation à la solidarité interministérielle.

 

Le Gouvernement garantit cependant les opérations d’investissement prévues par la Loi de programmation militaire (LPM) discutée en ce moment au parlement, qui témoigne de l’ambition portée pour notre outil de défense. Cette assurance sera retranscrite par un amendement du gouvernement dans le texte de la LPM.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:55
Le gouvernement s'accroche pour sanctuariser le budget de la Défense, une rallonge de 578 M€ pour les OPEX

 

13/11/2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale

 

Répondant à une question du député-maire UMP de Lunéville, Jacques Lamblin, le ministre délégué auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens combattant, Kader Arif, a tenu à rassurer l'Assemblée nationale ce mercredi lors des questions au gouvernement sur la " sanctuarisation " du budget de la Défense.

 

Le trou dans le budget à 4,1 % du PIB (soit 71,9 milliards d'euros) définit l'enveloppe du Projet de loi de finances rectificatives. Le PLFR avance la plus grande ouverture de crédits aux opérations extérieures (OPEX). Avec l'opération au Mali, le budget de 630 M€ a logiquement explosé. En cohérence politique, on prévoit ainsi une rallonge de 578 M€.

 

S'exprimant au nom du ministre de la Défense, Kader Arif a lancé aux députés des phrases claires et à retenir :

" Tous les programmes prévus dans cette loi de programmation seront lancés comme indiqué dans le projet qui vous est soumis.

S'agissant de la fin de gestion 2013, un accord équilibré a été trouvé entre le ministère du Budget et le ministère de la Défense. Il prévoit :

- une dotation au titre de nos opérations extérieures pour compenser le coût de l'opération Serval, qui a fait l'unanimité ;

- la prise en charge par le budget de la défense de l'accroissement de dépenses salariales résultant principalement des dysfonctionnements du système Louvois ;

- une contribution du ministère de la défense à la réduction des dépenses publiques, rendue indispensable pour garantir l'équilibre des comptes de l'Etat comme cela a été exposé ce matin en conseil des ministres. En effet, pour nous, souveraineté financière et autonomie stratégique vont de pair.

S'agissant de la loi de programmation militaire, le ministre du Budget et le ministre de la Défense sont tombés d'accord pour que soient garantis les investissements prévus pour les programmes d'armement qui doivent être lancés en début de programmation. "

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:55
Défense : la fuite en avant des recettes exceptionnelles

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian pourra compter en 2014 sur 500 millions d'euros de recettes exceptionnelles supplémentaires

 

13/11/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

En contrepartie à sa contribution à l'effort financier dans le cadre du collectif budgétaire, le ministère de la Défense va bénéficier de 500 millions d'euros de recettes exceptionnelles supplémentaires en 2014.

 

Match nul entre Bercy et Brienne, qui s'opposaient sur les nouveaux efforts financiers du ministère de la Défense demandés par le ministère de l'Economie dans le cadre du collectif budgétaire de fin d'année. C'est le président François Hollande, qui a signé la fin de la partie entre les deux ministères. Lors du conseil des ministres de mercredi, le Chef de l'Etat rappelé son engagement pour les armées et, à ce titre, a demandé à respecter les grands équilibres financiers définis par le projet de loi de programmation militaire (LPM), actuellement examiné par le Parlement.

 

L'hôtel de Brienne contribuera bien à l'effort budgétaire mais en contrepartie Jean-Yves Le Drian pourra compter en 2014 sur 500 millions d'euros de recettes exceptionnelles supplémentaires, les fameuses REX, selon nos informations. Ces nouvelles seraient déjà identifiées, a-t-on précisé à "La Tribune". Le ministère doit déjà bénéficier de 1,77 milliards d'euros de REX dans l'actuel projet de la LPM. Soit un montant de 2,27 milliards à trouver en 2014. Le ministre de la Défense, qui était auditionné mercredi après-midi par la commission de la défense de l'Assemblée nationale, doit rapidement déposer un amendement au projet de la LPM pour inclure cette nouvelle disposition.

 

"Un accord équilibré"

 

Dans l'après-midi, le ministre délégué à la Défense, Kader Arif, a expliqué que les ministres du Budget et de la Défense avaient trouvé un accord pour garantir "les investissements prévus pour les programmes d'armement qui doivent être lancés en début" de la LPM. "Un accord équilibré" selon lui. Cet accord prévoit "une dotation au titre de nos opérations extérieures pour compenser le coût de l'opération Serval" au Mali non prévue par le budget 2013 du ministère de la Défense et qui sera pris en charge par le budget de l'Etat. Soit une enveloppe de 578 millions d'euros, qui n'avaient pas été pris en compte dans la provision initiale du ministère de la Défense (650 millions). "Cela permet notamment de financer les opérations de l'armée française, comme celle engagée cette année au Mali", ont expliqué dans unn communiqué commun les ministères de la Défense et de l'Economie.

 

En revanche, le ministère prendra "en charge l'accroissement de dépenses salariales résultant principalement des dysfonctionnements du système Louvois". "Une contribution du ministère de la Défense à la réduction des dépenses publiques rendue indispensable pour garantir l'équilibre des comptes de l'Etat", est également prévue. A ce titre, le ministère de la Défense "participe, comme tous les ministères, à l'effort d'économies nécessaire au rétablissement des comptes publics, via une auto assurance sur les crédits de masse salariale et à une participation à la solidarité interministérielle", ont précisé les deux ministères.

 

3,2 milliards d'ouvertures de crédits

 

Les ouvertures de crédit s'élèvent au total à 3,2 milliards d'euros, dont 2,1 milliards sur le budget général et une "ouverture massive pour le budget de l'Union européenne", avec 1,1 milliard d'euros de plus que ce qui était prévu auparavant.

 

Les opérations extérieures de défense comptent pour 578 millions, la politique de l'emploi pour 230 millions, l'hébergement d'urgence pour 100 millions, 300 millions seront affectés à des programmes de recherche et développement dans la filière numérique, les aides personnelles au logement comptent pour 265 millions d'euros et l'aide médicale d'Etat pour 156 millions.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:55
Le budget de la Défense sous pression

 

12 novembre 2013 Patrick Déniel, avec Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

Le Monde évoque des tensions entre le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, et son homologue du Budget, Bernard Cazeneuve, autour du budget 2013. Ce dernier aura du mal à tenir la promesse du Président de sanctuariser le budget de la Défense, et à respecter les grands équilibres de la Loi de programmation militaire (LPM) actuellement en débat à l’Assemblée.  

 

Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, a démenti les tensions avec Bercy autour de l’élaboration de la loi de Finances rectificative concernant le budget de la Défense. Le ministre indique qu’il travaille avec Bernard Cazeneuve pour que les ressources nécessaires à la Défense soient au rendez-vous pour respecter les objectifs de la loi de programmation militaire (LPM) qui définit les crédits qui seront alloués aux militaires et aux financements des grands programmes industriels de Défense sur la période 2014-2019, actuellement débattue au Parlement.

 

Le Monde évoque dans son édition du 12 novembre de vives tensions entre les deux ministères suite au refus de dégeler des crédits sur lesquels compte la Défense. Les industriels se sont inquiétés par la voix du Gifas, et de son président Marwan Lahoud, de coupes de l’ordre de 600 millions dans un budget 2013 que le Président de la république s’est engagé à préserver à hauteur de 179,2 milliards d’euros par an sur les six prochaines années (190 milliards en euros courants).

 

Une Loi de programmation militaire caduque avant d'être votée

 

Au-delà du fait que le ministre de la Défense risque de ne pas tenir cet engagement présidentiel, la loi de programmation militaire est déjà presque caduque avant même d’être votée. D’ailleurs, aucune des précédentes lois de programmation n’a été respectée. La version en cours d’examen s’appuie sur des ressources financières exceptionnelles de 6 milliards d’euros liées à des ventes d’actifs immobiliers et de fréquences hertziennes qui ne sont pas totalement garanties.

 

La finalisation du contrat du Rafale, qui s’éloigne semaine après semaine devrait également compromettre les équilibres financiers de la LPM.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:55
France : L'armée de terre tire la sonnette d'alarme

 

13/11 LesEchos.fr (Reuters)

 

L'effet Mali et le relatif soulagement d'avoir échappé au pire en période de restrictions budgétaires ont vite cédé la place à de nouvelles inquiétudes pour l'armée de terre française, qui craint une addition plus salée que prévu.

 

Si le Livre blanc et la Loi de programmation financière (LPM) qui en a découlé ont écarté les scénarios les plus dramatiques, les milieux militaro-industriels redoutent les effets des arbitrages décidés par le gouvernement.

 

L'armée de terre, particulièrement touchée une fois plus, sait déjà qu'elle devra fermer plusieurs régiments et s'accommoder de blindés vieillissants pendant encore plusieurs années. Ses cadres s'interrogent à voix haute sur la capacité de leurs troupes à pouvoir mener efficacement des opérations extérieures dans un avenir proche.

 

En passe d'être votée par le Parlement, la LPM 2014-2019 avait été saluée lors de sa présentation début août comme un compromis entre la nécessité de réduire les déficits publics et celle de préserver la cohérence de l'outil militaire français.

 

Sur ses quelque 280.000 emplois, la deuxième armée d'Europe après celle du Royaume-Uni va en perdre 34.000 d'ici à 2019.

 

Cela était connu, de même que le fait que le budget de la défense sera gelé à hauteur de 31,4 milliards d'euros pour les trois prochaines années, soit son niveau 2013, représentant 11,3% du budget total de l'Etat.

 

Mais les milieux militaro-industriels craignent un régime plus sec encore, notamment parce sur les 190 milliards promis pour l'effort de défense sur la période 2014-2019, 6,1 milliards reposent sur des ressources exceptionnelles incertaines.

 

Ces dernières doivent provenir notamment de la cession de biens immobiliers et de participations de l'Etat dans des entreprises publiques ainsi que de la vente de nouvelles fréquences très recherchées par les opérateurs de téléphonie mobile dont le produit, estimé à plusieurs milliards d'euros, reviendra intégralement au ministère de la Défense.

 

"Il est de mon devoir de rappeler que cette loi de programmation militaire est bâtie sur des fragilités, qu'elle prend des risques et que donc (...) nous devons être vigilants car les dérives budgétaires pourraient avoir de désastreuses conséquences", dit Christian Mons, président du Groupement des industries de défense terrestre (Gicat).

 

MOINS 30% POUR L'ARMEMENT

 

Pour ce dernier, la LPM repose sur des paris, notamment les recettes exceptionnelles et la vente à l'export de Rafale, dont rien n'assure qu'ils seront tenus. Les dotations budgétaires pour les surcoûts des opérations extérieures sont par ailleurs en réduction sensible et en deçà des besoins constatés, dit-il.

 

"Nous faisons l'hypothèse du respect des budgets jusque dans leur exécution mais nous sommes lucides et nous savons aussi que, sauf gigantesque surprise, ce ne sera pas le cas", ajoute-t-il en rappelant qu'aucune LPM n'a été respectée dans le passé.

 

Les industriels signalent que les ressources prévues pour les grandes opérations d'armement classique et la dissuasion s'élèvent à environ 10 milliards d'euros par an, soit un retrait de l'ordre de 30% au total par rapport à la précédente LPM.

 

Si certains grands programmes sont maintenus, d'autres seront retardés, notamment Scorpion, indispensable plan de modernisation d'un parc de blindés vieillissants, avec l'horizon 2019 pour les premières livraisons, déplore un officier supérieur du contrôle général des armées.

 

photo Guillaume Belan (FOB)

photo Guillaume Belan (FOB)

"Pas grand-chose n'est fait pour combler nos lacunes connues, notamment en matière de drones et d'avions de ravitaillement, sans parler des chars et des hélicoptères, et on attend avec une certaine appréhension la clause de revoyure de 2015", dit-il en référence au réexamen de la LPM à mi-parcours, qui se traduit généralement par un nouveau tour de vis.

 

Quant au plan social rendu nécessaire par la suppression programmée de 34.000 postes, il n'a été qu'ébauché avec l'annonce le mois dernier par le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, de la fermeture d'un seul régiment, le 4e Régiment de dragons installé à Carpiagne, près de Marseille.

 

D'autres unités sont menacées, notamment la très symbolique brigade franco-allemande, dont l'état-major est stationné à Müllheim, en Allemagne, où l'affaire suscite beaucoup d'émoi.

 

"Il faudra certainement attendre après les municipales pour savoir exactement à quelle sauce on sera mangé", dit un général.

 

PLUS AUCUNE MARGE

 

L'armée de terre, traditionnelle variable d'ajustement selon les termes d'un cadre de son état-major, sait donc déjà qu'elle perdra plusieurs régiments, des hélicoptères et des chars.

 

"Rien dans l'environnement international ne justifie un tel désengagement, bien au contraire", fait valoir Etienne de Durand, directeur du centre des études de sécurité de l'Institut français des relations internationales (Ifri).

 

Ce spécialiste des questions stratégiques et militaires rappelle que les Etats-Unis abandonnent leur rôle de protecteur de l'Europe pour se tourner vers l'Asie, que les tensions avec la Russie grandissent et que plusieurs régions sont très instables, notamment le Proche-Orient et la zone sahélienne.

 

Le ministère de la Défense "s'en tire un peu moins mal" que ce qui était redouté, succès de l'opération Serval aidant, mais ne dispose plus d'aucune marge, estime le chercheur.

 

L'Europe de la défense, présentée par Jean-Yves Le Drian comme un recours, reste à l'état embryonnaire et toutes les armées du continent doivent se serrer la ceinture, y compris au Royaume-Uni, l'autre géant militaire du Vieux Continent.

 

L'ambitieuse coopération militaire entre Paris et Londres définie par les accords de Lancaster House en 2010 progresse à tout petits pas. L'Allemagne est quant à elle quasiment absente des opérations extérieures, explique Etienne de Durand.

 

Le général Bertrand Ract-Madoux, chef d'état-major de l'armée de terre, respecte les choix faits par le gouvernement et qualifie la réduction des déficits d'objectif de souveraineté au même titre que la sécurité nationale.

 

L'armée de terre respectera son contrat et la déflation d'effectifs sera conduite à son terme mais elle doit disposer des crédits nécessaires, sous peine de s'exposer à des échecs sur le terrain, a-t-il dit mardi lors d'un débat devant un parterre de décideurs du secteur de la défense.

 

La crise n'est pas simplement sécuritaire mais d'abord financière et il appartient à l'ensemble du monde économique de contribuer à l'effort de guerre, a-t-il estimé.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:50
Le porte-aéronef italien Cavour transformé en VRP

14.11.2013 par P. Chapleau  - Lignes de Défense

 

Et vogue le Cavour ! Le navire a pris la mer hier (retour le 7 avril 2014) pour une mission très commerciale de promotion de l'excellence italienne.

 

Le porte-aéronefs italien va faire escale dans les ports suivants: Jedda (Arabie Saoudite), Djibouti, Abu Dhabi, Mina Sulman (Barheïn), Koweït, Doha (Qatar), Mascate (Oman), Dubaï, Mombasa (Kenya), Antseranana (Madagascar), Maputo (Mozambique), Durban et Le Cap (RSA), Luanda (Angola), Pointe-Noire (Congo), Lagos (Nigeria), Tema (Ghana), Dakar (Sénégal), Casablanca (Maroc) et Alger.

 

La croisière est financée à hauteur de 13 millions d'euros (sur les 20 qui coûtera la mission) par les entreprises suivantes: Finmecanica, Fincantieri, Ellettronica et Beretta (voir la liste complète des financeurs et exposants dans ce communiqué en italien de la Marina Militare).

 

Et pour donner un vernis humanitaire à ce voyage mercantile, la Croix-Rouge italienne avec 60 volontaires sera à bord, tout comme les ONG Operation Smile et Francesca Rava Foundation.

 

A quand DCNS, Dassault, Thales, MBDA et les autres équipementiers français s'offrant le CDG pour faire de la réclame?

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:50
photo EDA

photo EDA

November 13, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Wall Street Journal; published Nov. 12, 2013)

 

EADS: CEO Says Restructuring Plans Will Involve Job Cuts (excerpt)



PARIS -- Job cuts stemming from the planned restructuring of European Aeronautic Defence & Space Co. will mainly affect the group's defense, security and space businesses that are being molded together, the company's chief executive told employee representatives Tuesday.

Faced with shrinking government spending on defense and space, the company said this year that it would have to reshape its profile in these areas to eliminate overlaps, create synergies and prevent an erosion of its competitiveness.

But Chief Executive Tom Enders stopped short of providing any details during a special meeting of the company's European works committee, according to labor representatives who took part in the meeting at the headquarters of Airbus, EADS's commercial aircraft unit, in Toulouse, France. (end of excerpt)


Click here for the full story, on the 4-Yraders website.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:50
Claude-France Arnould, EDA Chief Executive

Claude-France Arnould, EDA Chief Executive

 

11th November 2013  – by Daniel Fiott - europeangeostrategy.org


Over the past year, the Senior Editors of European Geostrategy have been undertaking a number of interviews with various individuals who are involved in thinking about European foreign, security and military policies. In this interview, Daniel Fiott talks with Claude-France Arnould, Chief Executive of the European Defence Agency, on European military capability development, the European Defence Technological and Industrial Base and the upcoming European Council meeting on defence.

Read the interview

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:50
Defence supply chain boost for UK SMEs

 

November 12, 2013 by Michael Crosby dcicontracts.com

 

Summary: The Minister for Defence Equipment, Support and Technology Philip Dunne recently chaired a forum at the Centre for Defence Enterprise (CDE) which sought to support small and medium-sized enterprises to win more business in the defence sector.

 

Enter the defence supply chain

 

The CDE aims to remove barriers for small and medium-sized enterprises to enter the defence supply chain, working with a range of science and technology providers to provide an entry point into MOD contracting for those new to the industry.

 

The recent forum gave the MOD direct communication with SMEs, allowing them to share experiences, best practice and help inform them about new MOD and government policies.

 

The CDE has received more than 4700 research proposals, with around 750 selected for funding, resulting in a total contract value of £44m. Almost half of all CDE contracts go to SMEs.

 

Mr Dunne said: “CDE shows how MOD works closely with companies, including SMEs, to provide innovative equipment and support for our Armed Forces.

 

“CDE also plays a crucial role in ensuring SMEs have direct access to MOD contracts. We saw first-hand the results of CDE’s work and the valuable impact this can have.”

 

In August 2013, the Cabinet Office published the Making Government business more accessible to SMEs: Two years on report, which revealed the breakdown of spend with SMEs by government department.

 

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:50
Le CPA 20 participe au stage « Sniper Course »

 

13/11/2013  Actus Air

 

Pour la deuxième fois au cours de l’année, le commando parachutiste de l'air n° 20 (CPA 20) de la base aérienne 102 de Dijon a envoyé plusieurs de ses membres au stage tireur d’élite"Sniper Course" en Angleterre.

 

Un stage de neuf semaines pendant lesquelles les commandos doivent passer des tests éliminatoires, indispensables à l’obtention de la qualification de tireur d’élite. À Honnington, par exemple, les aviateurs sont allés suivre des cours sur l’armement puis sur la progression tactique. Ils ont aussi réalisé deux semaines d’entraînement au tir ainsi qu’un raid de synthèse de onze jours et des tests écrits.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:45
photos SDG Kevin Congini

photos SDG Kevin Congini

 

13/11/2013 Sources : EMA

 

Du 27 octobre au 7 novembre 2013, les équipages de l’escadron de chasse 3/11 « CORSE » des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont accueilli les équipages américains de trois AV-8B Harrier de l’escadron « Black Sheep », afin de réaliser une période d’entraînement aux opérations aériennes conjointes.

 

Les sept pilotes et vingt-six mécaniciens qui arment les trois AV-8B Harrier de l’escadron « Black Sheep » ont été accueillis par l’escadron de chasse 3/11 « CORSE », avec lequel ils ont participé à un exercice conjoint de deux semaines. Cet exercice a été conduit alors que l’escadron américain, appartenant à la Marine Expeditionary unit (MEU), se trouvait en mission à Djibouti.

 

La période d’exercice a débuté par un vol de familiarisation. Ce vol a permis aux pilotes de comparer les performances aéronautiques de leurs avions respectifs, mais également leurs capacités opérationnelles. Français et Américains ont par la suite réalisé de nombreuses missions d’entraînement conjoint, couvrant un large spectre des modes d’actions aériens : de l’appui-feu à l’assaut en passant par des missions de défense et de supériorité aérienne.

 

Les pilotes d’AV-8B possèdent une riche expérience en combat air-sol, mission qui constitue le cœur de leur domaine d’emploi. Les entraînements air-sol furent donc l’occasion d’échanges particulièrement fructueux entre les équipages français et américains. Que ce soit lors d’exercice ou en cas d’engagement opérationnel, ces exercices renforcent la capacité opérationnelle puisque l’adhésion aux standards OTAN constitue aujourd’hui un gage d’interopérabilité.

 

Les FFDj mènent régulièrement des actions de coopération avec les forces américaines présentes à Djibouti. Ainsi, les militaires américains peuvent profiter des installations d’entraînement des FFDj, notamment le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Plus généralement, ce centre accueille les unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole, les forces djiboutiennes et étrangères. Enfin, les états-majors des FFDj et de CJTF-HOA (Combined Joint Task Force – Horn of  Africa) se réunissent régulièrement afin de coordonner l’ensemble de leurs activités à Djibouti.

 

Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDJ participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante (soutien des bâtiments de guerre et des actions de patrouille maritime, soutien santé), ainsi qu’à la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie.

Djibouti : exercice franco-américain à la BA 188Djibouti : exercice franco-américain à la BA 188Djibouti : exercice franco-américain à la BA 188
Djibouti : exercice franco-américain à la BA 188
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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:40
Proton Successfully Orbited Satellite for the Russian MoD

 

Nov 12, 2013 ASDNews Source : International Launch Services

 

The Proton launch vehicle successfully placed a satellite into orbit today for the Russian Ministry of Defense. The vehicle lifted off at 3:46 a.m. Moscow time from the Baikonur Cosmodrome in Kazakhstan. As per the mission design, after 9 hours, the spacecraft separated from the Breeze M and was released into geostationary orbit. The satellite was passed over to the Aerospace Defense Forces for subsequent control.

 

This was the 8th launch of the Proton vehicle this year and the 391st overall since its first flight in 1965.

 

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:35
Rheinmetall supplying Indonesia with tanks

 

DUSSELDORF, Germany, Nov. 13 (UPI)

 

Germany's Rheinmetall Group is supplying the Indonesian military with overhauled Leopard tanks, other tracked armored vehicles and ammunition.

 

Delivery of the vehicles will begin next year and be completed by 2016.

 

The order, which includes logistical support, was given to Rheinmetall by the Indonesian Ministry of Defense in late 2012 and is now being implemented following completion of legal formalities. It is worth about $289.6 million.

 

The company said it is providing 103 overhauled and modernized Leopard 2 main battle tanks, 42 upgraded Marder 1A3 infantry fighting vehicles and 11 various armored recovery and engineering vehicles.

 

"With a population of some 240 million, Indonesia is one of the world's largest democracies," Rheinmetall said. "It plays an increasingly important role as a regional superpower and source of stability in Southeast Asia.

 

"The decision to procure these vehicles reflects Indonesia's need to modernize its ability to respond to potential threats to its territorial integrity. Moreover, in order to take part in U.N. peacekeeping and peace enforcement missions, Indonesia requires equipment that corresponds to the military standards of its partner nations."

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:35
Two J-10 fighters at the Zhuhai Airshow on Nov. 5, 2008. (Photo Xinhua)

Two J-10 fighters at the Zhuhai Airshow on Nov. 5, 2008. (Photo Xinhua)

November 13, 2013 defense-aerospace.com

 

New J-10 Shows Comprehensive Rather Than Partial Improvements

(Source: People's Daily Online; published Nov. 12, 2013)

 

On November 6th Zhang Jigao, deputy chief designer of the J-10 fighter, spoke about the improved model J-10 publicly for the first time in the AVIC flight test center. Zhang Jigao told People's Daily Online reporters that the overall performance of the J-10 will be comprehensively improved in areas such as aerodynamic layout, mission system, and the approach to maintenance.

 

In March 2009, pictures of our improved model J-10 fighters appeared for the first time on the Internet, and netizens quickly began to call it the "J-10B".

 

Over the last five 5 years, several images of the test J-10B have appeared online, attracting widespread attention from netizens, military enthusiasts, and even foreign media.

 

U.S. military expert Richard Fisher recently pointed out that the J-10B is a so-called "fourth and a half" generation fighter equipped with modern airborne technology and an advanced radar system, which is about to be delivered to the PLA Air Force.

 

Zhang Jigao disputed the term "fourth and a half" generation. In contrast, he suggested that the current international criteria to classify generations are more applicable.

 

He pointed out that single combat is rare in modern warfare, and that the majority of cases now involve system combat and network operations, so that the combat capabilities of a fighter depend on many factors. "This does not mean that the optimization of an aircraft's radar, avionics, and missile detection ranges are bound to improvements in operational performance."

 

Zhang Jigao added that further improvements to the performance of the J10 would focus on the aircraft's aerodynamic layout and mission systems, and the approach to maintenance. "Aircraft development requires constant optimization and improvement," he said, "and our modifications will be comprehensive rather than being confined to a specific area." (ends)

 

 

China Talks Up J-15, J-10B Fighters

Chief Designer Discusses J-15 Shipborne Aircraft's Performance Modifications

 

(Source: People's Daily Online; published Nov. 12, 2013)

 

On November 6th, the 5th media day of AVIC, Wang Yongqing, chief designer of J-15 revealed that special design features have been applied to the J-15 in accordance with its deployment on aircraft carriers, in order to achieve the special requirements of shipborne aircraft.

 

Wang Yongqing, chief designer of the J-15 shipborne aircraft, explained to the media that the J-15 shipborne aircraft series no. 555 was a very important machine, although it had attracted limited media attention.

 

The J-15 is China's first generation shipborne fighter, developed on the basis of the J-11. Particular attention has been given to the special requirements of shipborne aircraft, in addition to the guarantee of its combat capabilities.

 

"This means addressing issues of how to take off, land, maneuver and conduct maintenance on board the aircraft carrier." Wang Yongqing pointed out that there are tremendous differences in the way that shipborne aircraft take off and land on an aircraft carrier and on the ground. Correspondingly, there are considerable differences in the overall design of the J-15 compared to the J-11 series.

 

As China's first shipborne fighter, the J-15 has excellent sea-air combat capability, and is equipped with a variety of air-to-air, air-to-ground and air-to-sea attack weapons. Its comprehensive combat capability has reached an internationally advanced level which reflects the extraordinary technical achievements of China's aviation industry.

 

We can conclude from the appearance of J-15 that special features have been added to its front wings, aerodynamics, and wing area, and to its airframe equipment used in takeoff and landing.

 

The takeoff and landing equipment of the J-15 are more robust than that of the J-11 series. According to Wang Yongqing, this is because the forces experienced by a shipborne aircraft while landing on an aircraft carrier are 4 times those experienced during a ground landing. In addition, the J-15 shipborne aircraft is also equipped with hook arrestment gear for the purpose of landing on aircraft carriers.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:35
China’s Air-Sea Battle Plan for the South China Sea

 

November 13, 2013 By  Zachary Keck - thediplomat.com

 

Last week a senior PLA officer detailed China’s plans for establishing air and sea control over the South China Sea.

In an interview with state media last week, Senior Colonel Du Wenlong was asked what China’s “trump card” was for establishing sea and air control over the South China Sea. In response, Du highlighted the importance of cooperation between China’s fighter jets and airborne early warning and control (AEW&C) aircraft would play in allowing to establish “sea and air control” in the South China Sea.

Specifically, he said that cooperation between the J-10 series, J-11 series, J-16, KJ 2000, and KJ 200 “gives China control over enemy targets in an extended airspace through strong air-to-air attack capability.” Once China gained command of the skies, Du noted, it would be able to impose control over the waters in the South China Sea by using aircraft with air-to-sea functions, backed by submarines and surface vessels like advanced destroyers and frigates.

Du went on to emphasize the importance of the J-16 fighter jet because it boasts extraordinary air-to-air, air-to-sea, and air-to-ground capabilities, and can therefore perform multiple roles in the PLA’s South China Sea battle plan simultaneously. The J-16 is a multirole fighter/bomber based off of Russia’s Su-30MK2, which China purchased over a decade ago. Want China Times has reported that China wants to make the J-16 the “fulcrum of its naval fighter force.”

Du also stressed the importance of acquiring more advanced AEW&C aircraft with air-to-sea and air-to-ground reconnaissance and early warning technology that had both greater accuracy and a larger scope than China’s current AEW&C aircraft. In such an environment, Du told reporters, China would control the sea and air over the South China Sea largely through cooperation between AEW&C aircraft and the J-16, working in close cooperation with naval assets. 

Notably, the first photos of China’s next generation early warning aircraft, the so-called KJ-500, appeared online just this week.

In the article, Du Wenlong is only identified as a military expert. However, he is a frequent commentator in China’s media and late last month China’s Ministry of Defense identified him as Senior Colonel Du Wenlong, a senior researcher with the PLA Academy of Military Science (AMS). Bates Gill and James Mulvenon have said that the AMS is the “’national center for military studies’ and is the premier military research organization in the PLA. It is directly subordinate to the Central Military Commission (CMC), but also receives direct tasking from the General Staff Department.”

According to the two scholars, it is the PLA’s largest research institution, and its 500 full time researchers “write reports for the military leadership, ghost-write speeches for top military leaders, and serve on temporary and permanent leading small groups as drafters of important documents like the Defense White Paper.”

Du himself often appears to be hawkish, and prone to bombastic rhetoric. When the PLA Navy’s (PLAN) three major fleets conducted a joint exercise last month, he proudly proclaimed that the first island chain had been “dismembered,” which he later characterized as something that had become quite normal for the PLA. Since fall of last year, when the dispute with Japan over the Diaoyu/Senkaku Islands began to escalate, Du has been stressing the importance of China establishing drone bases to use unmanned aerial vehicles (UAVs) to monitor the islands and Japan’s movements along them. His words have apparently been finally taken up by the senior command. Many believe that this has made the standoff over the islands even more unstable.

The fact that Du’s calls for using drones in the East China Sea dispute were eventually heeded raises the possibility that his Air-Sea Battle plan for the South China Sea could become the PLA’s standard operating procedure.

It’s notable that, according to last week’s article, media outlets had asked Du what China’s “trump card” was for establishing sea and air control in the South China Sea. This suggests that the goal of establishing sea and air control was a given, and that the PLA or CCP wanted Du’s views on the subject to be read by ordinary Chinese and the PLA’s foreign military competitors.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:35
NZ Government to Close Defense Funding Gap

 

November 13, 2013 defense-aerospace.com

(Source: New Zealand Ministry of Defence; issued Nov. 13, 2013)

 

Government Remains Committed to Sustainable, Affordable Future Defence Force

 

Defence Minister Jonathan Coleman told the Defence Industry Association annual conference today that the Government remains committed to a sustainable and affordable future Defence Force out to 2030.

 

“The Government inherited a substantial long term funding gap in defence, and the 2010 Defence White Paper signalled that new money would be required over time to maintain and improve NZDF capabilities,” says Dr Coleman.

 

“It is important New Zealand plays our part in international security. The Government is committed to having a future Defence Force which is capable, sustainable, deployable and affordable.”

 

The NZDF has undergone a period of significant change, and has focused on moving resources from non-deployable to deployable areas of the NZDF. Progress made on the Savings and Redistribution Programme has resulted in $193 million reinvested into frontline capabilities.

 

The Defence Mid-Point Rebalancing Review (DMRR) was commissioned by Ministers to develop a robust long term funding plan. It was a thorough analytical process which looked at the costs of various combinations of capabilities that would be able to deliver on the Government’s expectations.

 

DMRR was a combined effort by NZDF, MoD, Treasury and DPMC. It has been identified as a model process for understanding costs across the public service.

 

The DMRR has been completed and the Government has agreed to a sustainable long term funding approach for the NZDF out to 2030. The details of the funding will be announced in the Budget.

 

“This funding approach allows the NZDF to plan strategically for its long term future, and it will ensure the NZDF can maintain and improve its current mix of capabilities,” says Dr Coleman.

 

“It will enable the NZDF to meet the Government’s expectations set out in the 2010 Defence White Paper to protect and advance New Zealand’s interests at home, in the South Pacific and globally.

 

“The NZDF remains committed to making on-going savings and efficiencies as part of its long term future planning. This continued focus is vital for the NZDF to sustain its capability.”

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:35
China to Develop Army, National Defense

 

November 14, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Xinhua; issued November 12, 2013)

 

BEIJING --- The Communist Party of China (CPC) will strive to clear obstacles hindering the developmental trajectory of national defense and the army, said a communique released after a key meeting on reform.

 

The Party's goal is an army that "obeys the Party's command, is capable of winning battles and has a sound work style," said a communique released after the third plenary session of the 18th CPC Central Committee, which closed here Tuesday.

 

"Great effort should be put to solving outstanding conflicts and problems that hinder development of national defense and the army," said the communique.

 

The communique urged innovation and development of military theories; strengthening of strategy guidance; improving military strategies and policies in the new era; and building a modern military with Chinese characteristics.

 

The document urged deepening reform of army establishments, pushing forward army policy adjustments, while pushing forward harmony between the army and civilians.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:20
CRS Update: Navy Force Structure and Shipbuilding Plans

November 13, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Congressional Research Service; issued Nov. 8, 2013)

 

Navy Force Structure and Shipbuilding Plans



The Navy’s proposed FY2014 budget requests funding for the procurement of 8 new battle force ships (i.e., ships that count against the Navy’s goal for achieving and maintaining a fleet of 306 ships). The 8 ships include two Virginia-class attack submarines, one DDG-51 class Aegis destroyer, four Littoral Combat Ships (LCSs), and one Mobile Landing Platform/Afloat Forward Staging Base (MLP/AFSB) ship.

The Navy’s proposed FY2014-FY2018 five-year shipbuilding plan includes a total of 41 ships—the same number as in the Navy’s FY213-FY2017 five-year shipbuilding plan, and one less than the 42 ships that the Navy planned for FY2014-FY2018 under the FY2013 budget submission.

The planned size of the Navy, the rate of Navy ship procurement, and the prospective affordability of the Navy’s shipbuilding plans have been matters of concern for the congressional defense committees for the past several years. The Navy’s FY2014 30-year (FY2014-FY2043) shipbuilding plan, like the Navy’s previous 30-year shipbuilding plans in recent years, does not include enough ships to fully support all elements of the Navy’s 306-ship goal over the long run.

The Navy projects that the fleet would remain below 306 ships during most of the 30-year period, and experience shortfalls at various points in cruisers-destroyers, attack submarines, and amphibious ships.


Click here for the full report (92 PDF pages) on the FAS website.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:20
photo Nexter Canada

photo Nexter Canada

 

 

November 13, 2013. By David Pugliese - Defence Watch

 

The Close Combat Vehicle project is now at least two years behind schedule and has faced resistance from some in the military who are worried the new armoured carriers are unaffordable. The Canadian Army wanted the government earlier this year to cancel the project but that was declined, according to military, government and industry sources.

 

Retired chief of the defence staff Gen. Rick Hillier has since come out in support of cancelling the project to purchase the Close Combat Vehicle or CCV, arguing that the $2 billion could be used to help offset the budget cuts the military faces.

 

The Close Combat Vehicle was announced with great fanfare by the Conservatives in the summer of 2009. The government will buy 108 of the armoured carriers. The army originally argued that the vehicles, which would accompany its Leopard tanks into battle, were a priority for future missions.

 

The winning bidder on the vehicle program was supposed to be announced “in the fall”…..or that was what DND stated earlier this year/late last year.

 

Well it’s the fall. So what is happening?

 

First, the good news for bidders on the project. “An announcement regarding the CCV will be made in due course,” Mike Graham, a DND communications advisor told Defence Watch.

 

And now for the bad news.

 

First, Graham states an announcement will be made. That doesn’t necessarily mean that a contract will be announced. Who knows what that “announcement” will be?

 

And secondly, what exactly does in “due course” mean?

 

For the average person that means soon. But in this case the DND can’t define what in “due course” means. “I regret I don’t have more precise information to provide at this time,” Graham stated in his email to Defence Watch in response to the question about what “due course” means.

 

The term “in due course” was used by then Defence Minister Peter MacKay 2009 in answers when the RCAF would receive a new Fixed Wing SAR aircraft. And that was four years ago….

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