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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 06:30
L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

 

 

NEW YORK (Nations unies), 24 septembre - RIA Novosti

 

Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a qualifié mardi le démantèlement des arsenaux chimiques en Syrie d'insuffisant pour mettre fin à "l'effusion de sang", appelant tous les Etats à cesser les fournitures d'armes tant aux autorités qu'à l'opposition syriennes.

 

"Nous ne nous satisferons pas de l'élimination des armes chimiques, alors que les hostilités de plus en plus intenses sont en passe de détruire la Syrie", a déclaré M.Ban en ouverture du débat général lors de la 68e session de l'Assemblée générale de l'Onu.

 

Et d'indiquer que les armes conventionnelles avaient fait plus de victimes que les arsenaux chimiques.

 

"J'appelle tous les pays à cesser d'alimenter l'effusion de sang en Syrie et à mettre fin aux fournitures d'armes à toutes les parties en conflit", a dit le secrétaire général.

 

Selon l'Onu, le nombre de victimes du conflit opposant les autorités et l'opposition en Syrie a déjà dépassé 100.000 personnes. M.Ban a exhorté Damas à respecter à la lettre ses engagements dans le cadre de la Convention sur l'interdiction des armes chimiques à laquelle la Syrie s'est déclarée prête à adhérer.

 

Les inspecteurs de l'Onu ont constaté l'utilisation de gaz sarin le 21 août dernier dans une banlieue de Damas sans en désigner les responsables. Une nouvelle enquête sera nécessaire à ces fins.

 

"La communauté internationale doit traduire en justice les auteurs de l'attaque chimique en Syrie, qui a été confirmée par la mission de l'Onu", a souligné le secrétaire général.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 06:20
Les États-Unis vont (enfin) signer le traité sur le commerce des armes conventionnelles

Le Secrétaire général Ban Ki-moon (à droite) et le Secrétaire d'Etat américain, John Kerry (Photo Mark Garten/ONU)

 

24/09/2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

La paix est en marche! Enfin… Un haut fonctionnaire d’État à déclaré sous le couvert de l’anonymat que les États-Unis allaient signer mercredi le premier traité international régulant le commerce des armes conventionnelles.

 

L’administration américaine doit informer officiellement le Congrès ce mardi, avant de procéder à la signature du traité mercredi, en marge de la 68e assemblée général de l’ONU, à New York.

C’est le secrétaire d’État John Kerry qui doit parapher ce document, auquel Washington a longtemps été opposé, mais qui a été adopté en avril par les Nations unies afin de réguler des échanges internationaux d’une valeur de 80 milliards $ par an.

La résolution avait été adoptée par 154 voix pour et trois contre (Syrie, Corée du Nord, Iran) avec 23 pays qui se sont abstenus, parmi lesquels certains des principaux exportateurs (Russie, Chine) ou acheteurs de ces armes (Égypte, Inde, Indonésie).

À l’époque, John Kerry avait souligné que ce traité, allait «contribuer à réduire le risque que les transferts internationaux d’armes conventionnelles servent à perpétrer les pires crimes de la planète, notamment de terrorisme, de génocide, les crimes contre l’humanité ou les crimes de guerre».

Les États-Unis, principaux pourvoyeurs d’armes de la planète avec 30% du marché, ont obtenu que les munitions soient traitées à part, avec des contrôles moins complets.

En discussion depuis sept ans, ce traité est le premier texte international majeur sur le désarmement depuis le traité sur l’interdiction des essais nucléaires de 1996.

Mais le tout puissant lobby des armes à feu aux Etats-Unis, la NRA, redoute que cette convention internationale ne limite les droits des Américains à porter une arme, en plein débat dans le pays après une succession de fusillades meurtrières, dont la dernière le 16 septembre dans une base navale de Washington.

La secrétaire général d’Amnesty International, Salil Shetty, a qualifié la décision de Kerry d’«étape importante vers la fin de la circulation des armes conventionnelles qui alimentent les atrocités et abus».

«Nous devons maintenant voir cet engagement des États-Unis – et des 86 autres pays qui ont signé le Traité de commerce des armes - se concrétiser par des actions, écrit la secrétaire générale dans un communiqué. Ils doivent mettre en œuvre le traité et mettre un terme à la fourniture d’armes à des pays où elles seraient utilisées pour commettre ou faciliter le génocide, les crimes contre l’humanité, crimes de guerre ou d’autres violations graves des droits de l’homme».

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 21:45
Mali : le ministre de la défense rend visite aux troupes françaises et internationales

24/09/2013 Sources : EMA

 

Les 22 et 23 septembre 2013, monsieur Jean-Yves Le Drian s’est rendu au Mali, afin de rencontrer les militaires de la brigade Serval basés à Gao, puis le détachement de la mission européenne de formation de l’armée malienne, EUTM Mali, basé à Koulikoro.

 

Répondant à une invitation des autorités maliennes lancée à l’occasion de la fête nationale du Mali, le ministre de la défense a profité de sa présence dans le pays pour aller plus longuement à la rencontre des autorités des forces armées maliennes et de la MINUSMA.

 

Le ministre, accompagné du général de division Foucaud, commandant l’opération Serval, a reçu un point de situation sur les opérations en cours ainsi que sur la situation sécuritaire dans la zone d’opération de la brigade Serval. Il s’est ensuite entretenu avec les autorités militaires de l’armée malienne, d’une part et avec celles de la MINUSMA, d’autre part. Dans son discours de fin de visite, le ministre s’est adressé aux militaires français, ainsi qu’aux autorités maliennes et africaines pour rappeler que la mission des troupes françaises au Mali était de participer à la sécurisation du pays dans la durée, en soutenant la montée en puissance de la MINUSMA et la reconstruction de l'armée malienne. En conclusion, il a annoncé qu’un contingent d’un millier de soldats français resterait au Mali pour accompagner la reconstruction de ce pays.

 

Sur le camp de Koulikoro, deuxième étape de la visite du ministre, M. Jean Yves Le Drian a rencontré les instructeurs français et européens de la mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM Mali). Après avoir achevé la formation du bataillon Elou, ces derniers sont dès à présent engagés dans un nouveau cycle d’instruction. Avec les officiers qui en formeront l’ossature, ils préparent la formation du 3e bataillon qui débutera à la fin du mois. Dans un discours qu’il a prononcé en présence de tous les instructeurs européens, le ministre a souligné le succès européen de cette mission au service de la paix, rappelant qu' « il ne pouvait y avoir de rétablissement de l’intégrité territoriale du Mali sans le rétablissement de sa capacité militaire ».

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien au titre de Serval et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA. Enfin, près de 110 militaires français participent à la mission européenne de formation de l’armée malienne, EUTM Mali.

Mali : le ministre de la défense rend visite aux troupes françaises et internationalesMali : le ministre de la défense rend visite aux troupes françaises et internationales
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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 21:07
La Corée du Sud annule son contrat d’achat d’avions de combat avec Boeing

Un F-35 de Lockheed Martin prêt à s'envoler (Photo Lockheed Martin Aeronautics)

 

24/09/2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Coup de théâtre en Corée du Sud. La Défense du pays a annoncé ce mardi qu’elle allait relancé l’appel d’offres pour la fourniture de 60 avions de combat suite à la décision de son agence en charge des contrats d’armements d’aller contre l’octroi à Boeing d’un contrat de 8300 milliards de wons (7,9 milliards $).

 

Il s’agit pour Séoul de remplacer une flotte vieillissante d’avions F-4 et F-5.

 

Le F-15 Silent Eagle de Boeing était opposé au F-35A de Lockheed Martin et au Typhoon du consortium européen Eurofighter (EADS, BAE Systems et Alenia). Ces deux derniers avaient cependant été éliminés car leurs offres dépassaient le budget fixé par Séoul, Boeing étant le seul à avoir soumis une offre correspondant au budget.

 

Une partie de l’état-major sud-coréen s’était toutefois récemment prononcée publiquement contre l’octroi de ce contrat à Boeing, jugeant que le F-15 Silent Eagle ne répondait pas aux besoins actuels des armées du pays. La raison invoquée serait entre autres le manque de capacités de furtivité de l’appareil face à certains de ses concurrents (le F-35 en tête).

 

Fin août, 15 anciens haut responsables de l’aviation sud-coréenne ont signé une pétition qualifiant d’«irrationnelle» la procédure qui avait éliminé les appareils de Lockheed Martin et d’EADS.

 

Le porte-parole du ministère de la Défense sud-coréenne a précisé que l’ensemble du processus devrait prendre «environ un an» et que le ministère ferait tout pour «accélérer les choses afin de nous assurer que le vide dans notre défense nationale soit limité à un minimum de temps».

 

Plusieurs possibilités seront examinés: le nombre d’avions commandés pourrait changer, la période de financement pourrait être prolongée, ou le contrat pourrait porter sur plusieurs types d’avions.

 

Les Pays-Bas ont récemment signé une commande de F-35, portant à sept le nombre de pays autres que les États-Unis optant pour cet avion, avec la Grande-Bretagne, l’Australie, l’Italie, la Norvège, Israël et le Japon.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 18:20
Charles Bouchard To Lead Lockheed Martin Canada

OTTAWA, Ontario, Sept. 24, 2013 /CNW

 

Lockheed Martin (NYSE: LMT) today announced that retired LGen Charles Bouchard has been appointed the country lead for Lockheed Martin Canada effective immediately. Bouchard will report directly to Pat Dewar, executive vice president of Lockheed Martin International.

Bouchard will assume leadership of the portfolio of Lockheed Martin activities in Canada and will be the corporation's lead representative in country. The current business leaders: Rosemary Chapdelaine, president and general manager of Lockheed Martin Canada; Jim Andrews, general manager of Kelly Aviation Centre Montreal; and, Albert Sulmistras, general manager of Lockheed Martin CDL Systems will continue to focus on key programs and specific customers. Bouchard's appointment is a result of Lockheed Martin International's focus on providing customers with direct access to the company's broad range of products and solutions.

"We added a tremendous leader to our organization today. Charles will facilitate access to Lockheed Martin's broad portfolio of products and technologies to help Canada address its security and citizen service challenges," said Dewar. "We highly value our customers in Canada and we're investing for long-term partnership and growth."

Bouchard retired in April 2012 after more than 37 years in the Royal Canadian Air Force. His military career includes many senior leadership roles that illustrate a strong understanding of national security and stakeholder relations. He is an Officer of the Order of Canada and most recently served as commander of the combined joint task force that led NATO operations in Libya.

"Lockheed Martin has had a continued presence in Canada since 1939," said Dewar. "From the sale of aircraft to the RCAF at the beginning of WWII to the current delivery of a broad portfolio of products and solutions, Canada has been a key customer and a valued partner. We are proud to be the Navy's combat systems integrator for the mid-life modernization of the HALIFAX Class fleet of frigates, and we look forward to delivering a fifth-generation fighter, expanding our business in cyberspace and security, and continuing our role as combat systems provider through the National Shipbuilding Procurement Strategy."

Lockheed Martin Canada today has more than 700 employees at facilities in Ottawa, Montreal, Dartmouth and Calgary, as well as Department of National Defence sites across the country. The company is a leader in the delivery and integration of naval combat systems, radar platforms, avionics, electronic warfare, manufacturing, repair, and overhaul.

Lockheed Martin International was established July 1, 2013, and is headquartered in London, England, and the Washington, D.C., metropolitan area; has corporate offices in Ottawa, Riyadh, Abu Dhabi, Singapore and Canberra; and regional offices in Tel Aviv, New Delhi, Tokyo and Seoul.

Headquartered in Bethesda, Md., Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs about 116,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration, and sustainment of advanced technology systems, products, and services. The Corporation's net sales for 2012 were $47.2 billion.

For additional information, visit our website:
http://www.lockheedmartin.com

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 18:09
Nairobi : fin du siège du Westgate

24/09/2013 à 19:00 Par Le Figaro.fr (AFP)

 

Le président kényan Uhuru Kenyatta a annoncé ce soir que le siège du centre commercial Westgate de Nairobi, occupé depuis samedi par un commando islamiste armé, était terminé.

 

«Nous avons humilié et vaincu nos assaillants», a déclaré le président, précisant que «cinq terroristes ont été tués par balles, et onze suspects sont en détention».

 

L'attaque du centre commercial a fait 67 morts, dont 61 civils et six membres des forces de l'ordre.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 17:20
Eurocopter délocalise une chaine d'assemblage d'Ecureuil aux Etats-Unis

24/09/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La filiale hélicoptériste d'EADS a décidé d'augmenter la capacité de son usine implantée à Colombus dans le Mississippi (Etats-Unis) en y installant début 2014 une chaine d'assemblage d'AS350. Les syndicats sont inquiets.

 

Petit à petit, l'Ecureuil se fait la malle aux Etats-Unis... Eurocopter a décidé d'augmenter la capacité de son usine implantée à Colombus dans le Mississippi (Etats-Unis) en y installant début 2014 une chaine d'assemblage d'AS350, le fameux Ecureuil qui l'un des best-sellers de la filiale hélicoptériste d'EADS (249 appareils vendus en 2012, 238 en 2011). Une décision justifiée par Eurocopter pour "compenser l'impact de la réduction de la production locale d'UH-72A Lakota (LUH, ndlr)", un programme d'hélicoptères légers fournis par constructeur européen et brutalement interrompu au printemps dernier par le Pentagone en raison de coupes budgétaires. Eurocopter a déjà livré plus de 280 appareils à l'armée de terre américaine.

 

Une délocalisation en zone dollar

 

C'est une délocalisation en zone dollar qui ne dit pas son nom même si aujourd'hui l'impact social est très limité. Une décision qui s'inscrit parfaitement dans la stratégie du patron d'EADS, Tom EADS, qui avait fait le choix l'année dernière d'installer une chaine A320 aux Etats-Unis dans l'Alabama. Le site de Marignane, près de Marseille, perdrait "l'équivalent de 14 emplois en charge d'atelier (personnel non inscrit)", estime Force Ouvrière. Le projet concernerait "50 hélicoptères en moins pour la chaine d'assemblage Ecureuil de Marignane", assure de son côté la CFDT.

 

Les deux syndicats sont vent debout contre cette décision. "Nous ne pouvons donc pas se satisfaire d'une politique de transfert de charge", tonne FO. Chez Eurocopter, on rappelle que le site de Colombus recevait déjà des Ecureuil en kit fabriqués en Europe. Au total, la filiale américaine, American Eurocopter, a livré 42 Ecureuil en 2012. Selon Eurocopter, l'AS350 "est le premier choix aux Etats-Unis des agences gouvernementales et des services médicaux d'urgence".

 

Colombus produira 60 appareils supplémentaires en 2016

 

Eurocopter prévoit un démarrage de la nouvelle chaîne d'assemblage à partir du "quatrième trimestre 2014" et une montée en puissance en 2015. "L'usine produira jusqu'à 60 hélicoptères supplémentaires annuellement avant 2016", explique Eurocopter dans un communiqué. Soit un total de 94 appareils fabriqués par le site de Colombus. Cette usine "ne doit sa future survie qu'au transfert de 94 appareils Ecureuil d'Eurocopter Marignane vers les USA", souligne FO.

 

Et tout comme la CFDT, FO rappelle que le constructeur n'a fourni "aucune garantie concernant l'arrêt du transfert de charge" après 2016. Colombus, qui continuera à fabriquer et à moderniser les UH-72A Lakota de l'armée de terre américaine et des autres agences fédérales, deviendra également un site d'essai pour les parties fabriquées par Eurocopter et ses sous-traitants.

 

De nombreuses questions sur la stratégie d'Eurocopter

 

Pour la CFDT, ce projet pose de nombreuses questions sur la stratégie d'Eurocopter vis-à-vis d'un certain nombre de contrats. "Le contrat EC145/LUH se termine un an plus tôt que prévu. Toutefois, cette fin était prévisible, explique le coordinateur CFDT chez EADS, Didier Hacquart. Avait-elle été anticipée lors de la décision de la création de la chaine EC145/LUH au Mississippi ? Quelle était l'objectif de l'implantation de cette chaine, sachant qu'il existait déjà des installations d'Eurocopter aux USA ?"

 

Et le responsable CFDT estime qu'il y a "une évolution de la stratégie d'Eurocopter" même s'il rappelle qu'il est "admis que pour l'obtention de contrats militaires à l'export il est nécessaire de faire des compensations industrielles, voire de s'implanter dans le pays". A la fin d'un contrat export contenant des compensations industrielles, Eurocopter ne s'engageait pas jusqu'ici à maintenir une activité sur place une fois le programme exécuté. Et le responsable syndical de s'interroger : "que se passera-t-il à l'issue des contrats AS332 (Super Puma, ndlr) au Brésil et au Mexique ? Devrons-nous à nouveau transférer de l'activité de Marignane pour maintenir l'activité dans ces filiales ?".

 

Eurocopter vise de nouveaux contrats aux Etats-Unis

 

Outre la volonté de compenser l'impact de l'arrêt du programme LUH, Eurocopter souhaite grâce au maintien d'une production locale augmenter ses ventes sur le marché américain, particulièrement avec le gouvernement et les agences gouvernementales (police, sécurité civile...). "L'Amérique du Nord est le plus grand marché d'hélicoptères légers dans le monde pour Eurocopter et cette nouvelle chaîne d'assemblage soutient notre stratégie industrielle en fabriquant le best-seller AS350 "Made in USA" près à nos clients", a jugé le vice-président exécutif de la supply chain mondiale d'Eurocopter, Joseph Saporito.

 

Quels contrats vise Eurocopter aux Etats-Unis ? Le Pentagone pourrait lancer dans le courant du second semestre 2013 un appel d'offre en vue de renouveler la flotte d'hélicoptères de reconnaissance OH-58 Kiowa du constructeur américain Bell dans le cadre du programme AAS (Aerial armed scout). Le contrat pourrait porter sur 500 machines, soit un contrat évalué entre 6 et 8 milliards de dollars. Le constructeur présentera l'EC645. En revanche, Eurocopter ne participera pas à la compétition Joint Multi-Role (JMR) en vue de remplacer les célèbres Black Hawk. "L'objectif est aussi de gagner des futurs contrat s en s'engageant sur 10 ventes gouvernementales d'appareils en plus par an avec un produit "Made In USA", explique par ailleurs FO.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 16:45
22-23 septembre 2013 - Jean-Yves Le Drian en visite au Mali

24/09/2013 Ministère de la Défense

 

Trois jours après l’investiture d’Ibrahim Boubacar Keïta, nouveau président de la République du Mali à laquelle François Hollande a participé, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu au Mali pour représenter la France à l’occasion de la Fête nationale malienne et des 53 ans de la création de l’Etat.

 

C’est la cinquième fois que le ministre de la Défense se rend au Mali depuis le début de l’opération Serval, le 11 janvier dernier. Cette visite qui succède à l’élection du président malien symbolise la réussite de l’intervention française au Mali.

 

Après avoir assisté dimanche dernier à la cérémonie militaire organisée au Camp du génie, à Bamako, le ministre s’est exprimé devant les forces françaises de l’opération Serval à Gao. A l’occasion du début de la session de formation du troisième bataillon malien, lundi 23 septembre, le ministre s’est rendu sur le camp de Koulikoro, au nord de Bamako, pour y rencontrer les éléments de la Mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM). En fin de journée, le ministre a rencontré les nouvelles autorités politiques maliennes, et notamment son homologue Soumeylou Boubèye Maïga, ministre malien de la Défense et des anciens combattants.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 15:55
Promulgation du concept d’emploi des forces

20-09-2013 CICDE

 

Le concept d’emploi des forces (CEF) constitue la déclinaison militaire des orientations du LBDSN-2013. Il résulte des nouvelles réalités stratégiques et de l’évolution de la conflictualité, qui confrontent nos armées à de nouveaux défis.

 

Soulignant la nécessité d’un effort général d’innovation opérationnelle, il présente la vision du Chef d’état-major des armées (CEMA) et les axes d’effort qui en découlent en matière d’emploi des forces. En particulier, il introduit le concept de combinaison dynamique des efforts, impliquant une plus grande porosité entre les fonctions stratégiques, une plus grande capacité de bascule entre les missions et entre les théâtres et une souplesse accrue en matière d’organisation, de commandement et d’action.

 

Document cadre de notre référentiel doctrinal, le CEF s’adresse, en premier lieu, aux militaires chargés de préparer, de concevoir, de conduire et de soutenir l’emploi des forces. Au sein du ministère, il pourra en outre servir de référence conceptuelle aux services ou directions concourant à cet emploi et inspirer leur corpus doctrinal propre. Plus généralement, dans le respect du principe de « primauté de l’opérationnel » fixé par le ministre, il doit servir à alimenter la réflexion de l’ensemble des personnels civils et militaires sur le sens de leur engagement. Il doit donc recevoir la plus large diffusion.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 15:55
Serval, quand l’armée filme la guerre - Jeudi 17 octobre à 20h45

24.09.2013 France 2 - Envoyé Spécial

 

Document écrit  par Jean-Christophe Notin et Martin Blanchard

Réalisé par Martin Blanchard, produit par  Kuiv – Michel Rotman

 

Un document exclusif.

 

L’opération Serval au Mali est une guerre sans images pour la presse. Pourtant, dès le premier jour de l’intervention, le 11 janvier 2013, l’armée française a tout filmé ou presque. Ces images jusqu’à présent inédites ont été tournées par des cameramen militaires. Une guerre à huit clos, menée d’abord par l’aviation et les très discrètes Forces Spéciales.

 

Pour la première fois, des journalistes ont pu avoir accès à ces images tournées par l’armée dès le début  du conflit. Des images qui permettent de comprendre quel est l’ennemi que l’armée a combattu et affronte encore au Mali. Avec ce document, on découvre également comment et avec quels moyens se battent les djihadistes.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 15:55
French Joint Concept Capstone Concept for Military Operations

20.09.2013 Joint Centre for Concepts, Doctrines and Experimentations (CICDE)CICDE

 

This French Joint Concept Capstone Concept for Military Operations is in compliance with the prescriptions of the Allied Administrative Publication AAP-47(A) Allied Joint Doctrine Development as of 2011.

 

 

 

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 15:30
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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 11:55
Les Mirage 2000N K3 de l'EC-2/4 "La Fayette" sont basés à Istres.

Les Mirage 2000N K3 de l'EC-2/4 "La Fayette" sont basés à Istres.

24/09/2013 Par Guillaume Steuer  - Air & Cosmos

 

C'est un impératif pour les Forces aériennes stratégiques (FAS) : à intervalles réguliers, celles-ci doivent démontrer au président de la République leur capacité à honorer le "contrat nucléaire" qui leur est fixé. C'est l'objectif des tirs d'évaluation des forces (TEF), qui mobilisent d'importants moyens afin d'offrir aux équipages et à la chaîne de commandement un scénario le plus "réaliste" possible.

 

En l'occurrence, c'est un Mirage 2000N K3 de l'escadron EC-2/4 "La Fayette" qui a mené hier 23 septembre le tir d'essai d'un missile ASMP-A, celui-ci étant évidemment dépourvu de tête nucléaire. Parti de la base aérienne 702 d'Avord, site qualifié pour l'accueil des missiles et le stockage de têtes nucléaires aéroportées (TNA), l'équipage de l'avion a largué son missile à l'issue d'un vol d'environ trois heures. Un ravitailleur C135FR du GRV-2/91 "Bretagne" lui a conféré l'allonge nécessaire pour mener ce raid fictif.

 

Le missile a été tiré au-dessus de l'océan Atlantique, sous le contrôle du site DGA Essais de missiles de Biscarrosse.

 

Le 19 juin 2012, c'est l'EC-1/91 "Gascogne" qui menait un test similaire, marquant alors le premier TEF réalisé par le couple Rafale/ASMP-A associé au ravitailleur C-135FR.

 

Entre ces deux dates, la Marine a également pu réaliser son propre TEF, démontrant ainsi le bon fonctionnement de la Force Aéronavale Nucléaire (FANu) qui peut elle aussi mettre en oeuvre le couple Rafale/ASMP-A depuis le porte-avions.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 11:50
photo UK MoD

photo UK MoD

Bordes, le 24 septembre 2013 Turbomeca (Safran)

 

Turbomeca (Safran) assurera l’entretien des moteurs RTM 322 motorisant les hélicoptères Merlin et Apache du ministère britannique de la Défense (UK MoD). Ce contrat de services innovant représente un montant de 367 millions de livres Sterling (environ 425 millions d’euros).

 

D’une durée de six ans, ce contrat, qui regroupe de multiples accords d’entretien, actuels au sein d’une seule et même offre globale, permettra au ministère britannique de la Défense de bénéficier d’un niveau de disponibilité garanti pour ses moteurs RTM 322. Ce contrat permettra également de réduire les coûts de réparation, et donc d’améliorer le niveau de service pour les opérations de première ligne.

 

L’entretien sera effectué sur quatre bases principales au Royaume-Uni : RAF Benson, RNAS Culdrose, AAC Wattisham et AAC Middle Wallop.

 

Le RTM 322 étant aujourd’hui 100 % Turbomeca*, l’entretien des moteurs exploités par le ministère britannique de la Défense relèvera de la responsabilité de Turbomeca UK, basée à Fareham dans le Hampshire. Olivier Andriès, PDG de Turbomeca, a déclaré : « Grâce à ce contrat, les forces armées britanniques bénéficieront d’un niveau de disponibilité et de capacité plus élevé de leur flotte d’hélicoptères, avec un gain en efficacité et en rentabilité. »

 

Air Commodore Mark Sibley, responsable de la maintenance des hélicoptères Apache et Chinook du ministère britannique de la Défense, a ajouté : « La flotte Merlin et Apache a été largement exploitée en Afghanistan et constitue un élément clé de nos forces armées. Ce contrat apporte de multiples avantages pour nos équipages : une disponibilité et fiabilité accrues à coûts réduits. »

 

* Le 2 septembre 2013, Safran (NYSE Euronext Paris : SAF) a finalisé l’acquisition à Rolls-Royce de la participation de 50 % de cette dernière dans leur programme commun de turbines d’hélicoptère RTM 322.

 

Notes

 

    Les moteurs RTM 322 équipent les hélicoptères Merlin de la Royal Air Force (force aérienne britannique) et de la Royal Navy (marine royale britannique), de même que l’hélicoptère de combat Apache de l’Army Air Corps (l’aviation de l’armée de terre britannique).

    Le moteur RTM 322 Mk100 est entré en service en 1999 sur la flotte d’hélicoptères Merlin HM Mk1 de la Royal Navy à l’issue d’un appel d’offres.

 

****

 

Turbomeca (Safran) est le motoriste leader pour hélicoptères, avec la plus large gamme de moteurs au monde et 70 000 turbines de sa conception produites depuis l’origine de la société. Pour 2 500 clients répartis dans 155 pays, Turbomeca assure un service de proximité grâce à 16 établissements, 30 centres de maintenance certifiés et 18 centres de réparation & révision, et 90 représentants commerciaux et techniques. Le siège social est basé à Bordes (Pyrénées-Atlantiques). Microturbo, la filiale de Turbomeca, est leader européen des turboréacteurs pour missiles, engins-cibles et groupes auxiliaires de puissance.

Plus d’informations sur www.turbomeca.fr et www.safran-group.com

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 11:50
Le premier vol du premier F-35 hollandais a eu lieu le 6 août 2012

Le premier vol du premier F-35 hollandais a eu lieu le 6 août 2012

23 septembre 2013 par Pierre Sparaco – Aerobuzz.fr

 

Les Pays-Bas vont commander trente-sept F-35A Lightning II, alias Joint Strike Fighter. La Belgique en fera autant l’année prochaine, deux commandes qui confirmeront les grandes ambitions mondiales de l’avion de combat de Lockheed Martin.

 

C’est au terme d’une longue valse-hésitation que les autorités de La Haye ont décidé de consacrer 4,5 milliards d’euros au F-35A pour assurer le remplacement d’une partie de leurs F-16. Une commande complémentaire de plusieurs dizaines d’exemplaires est envisagée en un deuxième temps, pour autant que le budget de la Défense le permette.

Ce choix ne constitue en aucun cas une surprise, les Hollandais ayant de la suite dans les idées et ne résistant jamais à l’appel du grand large : ils ont en effet successivement commandé le Lockheed F-104G Starfighter, le Northrop F-5 puis le F-16, écartant systématiquement les propositions françaises qui leur étaient soumises. Les Belges ont été très influencés par cette manière de faire, aux dépens de l’Europe de la Défense, au point de multiplier les occasions manquées, à commencer par la possibilité qui leur avait été offerte par Dassault Aviation de prendre une participation de 10 % dans le développement et la production du Rafale.

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Le Pentagone et Lockheed Martin conduisent des négociations avec d’autres acheteurs potentiels, notamment le Canada, où le dossier est à l’origine d’une violente polémique politique. photo Lockheed-Martin

En Belgique, la situation est plus complexe qu’aux Pays-Bas. Sans indiquer le nombre d’exemplaires qui seraient commandés, Pieter De Crem, ministre de la Défense, a exprimé une préférence pour le F-35A, toute autre possibilité semblant écartée, Super Hornet, Rafale, Eurofighter ou Gripen NG. Mais il va se heurter à l’opposition du parti socialiste et, explique notre confrère Patrick Anspach, aux réticences de la Flandre. Ce qui revient à dire que l’inextricable fracture politico-linguistique qui mine la Belgique n’épargnera pas ce dossier.

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Le Pentagone prévoit de commander environ 2 400 F-35, dans ses trois versions, dans le cadre d’une opération d’une durée d’une cinquantaine d’années. photo Lockheed-Martin

Sabca, première entreprise aéronautique du royaume, va logiquement défendre les couleurs du Rafale, Dassault étant son actionnaire. Mais Asco, très influente, bénéficie de commandes de sous-traitance de Lockheed Martin et fera évidemment le choix contraire. D’où la perspective d’un affrontement violent qui, dans une certaine mesure, pourrait rappeler l’épique marché du siècle de 1975 : les Pays-Bas, la Belgique, le Danemark et la Norvège, après avoir renoncé au Tornado trop coûteux, avaient décidé de commander conjointement 348 avions pour tenter d’obtenir des conditions favorables et, notamment, des compensations économiques généreuses. Avec l’appui de Pratt & Whitney, General Dynamics l’avait emporté avec le F-16, qui n’était alors qu’un démonstrateur technologique, une défaite cuisante pour l’Europe.

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Ce mois-ci, Lockheed Martin a célébré le début de l’assemblage du 100e avion à Fort Worth, jadis siège de General Dynamics, créateur du F-111 puis du F-16. photo Lockheed-Martin

Le F-35, programme d’une ampleur considérable, a déjà été retenu par le Royaume-Uni, l’Australie, l’Italie, la Norvège, Israël et le Japon, le Pentagone prévoyant pour sa part d’y consacrer 857 milliards de dollars. En retard, hors budget, mais bénéficiant d’efforts de redressement impressionnants, le prix catalogue du F-35 serait descendu, semble-t-il, à environ 85 millions de dollars. Trois versions sont mises au point, F-35A « classique », F-35B à décollage vertical, F-35C destiné à être embarqué sur porte-avions.

La production est lancée, le centième exemplaire est actuellement visible sur la chaîne d’assemblage final de Fort Worth, dans le Texas, dans le grand hall de 1 600 mètres de longueur d’une usine propriété de l’Etat fédéral, vestige de l’effort de guerre de la Seconde Guerre mondiale. Une chaîne d’assemblage sera mise en place par Alenia Aermacchi, consacrant l’ancrage européen de l’opération.

 

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 11:50
Two Cougar helicopters in a mountainous area - source defensie NL

Two Cougar helicopters in a mountainous area - source defensie NL

Londres, le 24 septembre Turbomeca (Safran)

 

Turbomeca (Safran) a signé un contrat d’une valeur de 25 millions d’euros avec les Forces aériennes royales néerlandaises, portant sur la réparation, la révision et l’inspection de leurs moteurs Makila.

 

Ce contrat couvre les moteurs Makila 1A2, équipant actuellement les 17 hélicoptères AS532 Cougar des Forces aériennes royales néerlandaises. Ces hélicoptères ont notamment démontré toute leur capacité lors de missions en Afghanistan, de missions anti-pirates au large de la Corne africaine et de missions de luttes anti-incendie.

 

Comparé au Makila 1A1, le Makila 1A2 offre de meilleures performances et un taux de puissance continu grâce au calculateur électronique de régulation, l’EECU (Electronic Engine Control Unit).

* * * * *

 

Turbomeca (Safran) est le motoriste leader pour hélicoptères, avec la plus large gamme de moteurs au monde et 70 000 turbines de sa conception produites depuis l’origine de la société. Pour 2 500 clients répartis dans 155 pays, Turbomeca assure un service de proximité grâce à 16 établissements, 30 centres de maintenance certifiés et 18 centres de réparation & révision, et 90 représentants commerciaux et techniques. Le siège social est basé à Bordes (Pyrénées-Atlantiques). Microturbo, la filiale de Turbomeca, est leader européen des turboréacteurs pour missiles, engins-cibles et groupes auxiliaires de puissance.

Plus d’informations sur www.turbomeca.fr et www.safran-group.com

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 11:50
CH/Armées privées: la Suisse interdit les services de mercenaires

23.09.2013 Romandie.com (AWP)

 

Berne (awp/ats) - La Suisse va interdire aux entreprises privées d'offrir des services de mercenaires à l'étranger. Le Conseil des Etats a mis sous toit lundi cette nouvelle loi qui instaure par ailleurs une obligation de déclarer les activités de sécurité hors des frontières.

 

Le Parlement avait décidé d'agir après avoir eu vent du cas d'Aegis Defense, une armée britannique privée. Basée à Londres, elle s'est dotée d'une holding avec siège à Bâle en 2010.

 

La nouvelle réglementation s'appliquera aux entreprises qui fournissent des prestations de sécurité à l'étranger, y compris celles mandatées par la Confédération. Toute participation directe à des hostilités dans le cadre d'un conflit armé sera proscrite.

 

Cette interdiction du mercenariat concernera le recrutement, la formation et la mise à disposition de personnel en Suisse et à l'étranger. Les entreprises de sécurité ne pourront pas exercer d'activités susceptibles de favoriser des violations graves des droits de l'homme ou portant atteinte aux intérêts helvétiques.

 

Pas question par exemple d'exploiter une prison dans un pays connu pour pratiquer la torture. Au rayon des activités problématiques figurent les activités d'espionnage ou les actions de sauvetage lors de prises d'otages. La protection de convois humanitaires ou la sécurité lors de manifestations sportives sont en revanche admises.

 

DÉCLARATION OBLIGATOIRE

 

Le contrôle de l'Etat se fera par une obligation de déclarer: les intéressés devront soumettre au Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) les activités qu'ils entendent mener à l'étranger. Si des indices concernant un soutien opérationnel ou logistique à des forces armées ou à des organes de sécurité apparaissent, les services de Didier Burkhalter mettront le holà.

 

Des instruments sont prévus pour garantir l'efficacité de la loi. Les autorités pourront inspecter les locaux sans préavis, consulter des documents ou confisquer du matériel. Les infractions à la loi seront passibles d'une peine d'emprisonnement de trois ans au plus ou d'une amende.

 

La Confédération devra s'assurer que la firme mandatée remplit un certain nombre de conditions concernant sa conduite. Pour être engagée, cette dernière devra avoir adhéré au code de conduite international des entreprises de sécurité privée.

 

Le personnel ne pourra recourir à la contrainte et à des mesures policières que si ces tâches l'exigent et que le droit en vigueur sur place l'y autorise. Le recours à des armes ne sera autorisé que pour des tâches de protection et en cas de légitime défense.

 

LÉGERS ASSOUPLISSEMENTS

 

Au National, la droite a eu beaucoup de réticences à légiférer au-delà de l'interdiction du mercenariat. Face à la fermeté du Conseil des Etats, la Chambre du peuple s'est toutefois ravisée.

 

Elle a certes réussi à supprimer la surveillance d'objets et d'immeubles des activités à annoncer. Mais il n'est plus question en revanche de ne signaler que la garde de biens étatiques: celle des biens privés tombera aussi sous le coup de la loi.

 

Pour adoucir cette obligation, le National a obtenu de n'exiger que la déclaration des activités se déroulant dans "un environnement complexe", lorsqu'il s'agit de la garde des objets et immeubles et de la protection des personnes. Cette formulation, qui est celle du code de conduite international, a été avalisée par le Conseil des Etats.

 

L'autre bémol par rapport au projet initial concerne la série de documents réclamés. Seuls les "éléments nécessaires à l'appréciation" sur le mandant et le destinataire de la prestation suffiront, et non les données complètes à ce sujet.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 11:45
Bientôt un accord de Défense et de coopération militaire entre le Mali et la France

2013-09-24 xinhua

 

Le ministre malien de la Défense et des Anciens combattants, Soumeylou Boubèye Maïga a annoncé lundi la signature d'un accord de défense et coopération militaire entre son pays et la France, à l'issue d'un entretien avec son homologue français Jean-Yves Le Drian en visite au Mali.

 

Cet accord vise à renforcer davantage sur la coopération entre les deux pays, a précisé le ministre malien de la Défense sur les antennes de la télévision nationale ORTM.

 

Le ministre Maïga a exprimé un besoin, celui d'une formation plus spécialisée des militaires maliens, en plus de celle dispensée par l'EUTM (Mission de formation des militaires maliens par l'Union européenne).

 

L'entretien entre le ministre de la Défense et son hôte ont porté sur le suivi de l'opération Serval, l'appui de l'EUTM ( Mission de formation des militaires maliens par l'Union européenne) , qui entamera très prochainement la formation du 3è bataillon après "Waraba" et "Elou".

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 10:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

Paris, le 24 septembre 2013 Sagem

 

Sagem (Safran) a signé avec la Direction générale de l’armement (DGA) un contrat portant sur le développement et la production de la nouvelle version du MPME, Module de Préparation de Missions pour Equipages d’hélicoptères, destinée à l’Aviation Légère de l’Armée de Terre (ALAT).

 

Cette nouvelle version du système MPME est conçue pour accompagner l’entrée en service des hélicoptères Tigre HAD (Appui Destruction) et NH90 TTH Caïman de l’ALAT.

Sagem produira le nouveau système de préparation de mission des unités Tigre HAD et NH-90 Caïman de l’armée de Terre

Système exploité en réseau depuis des modules tactiques projetables ou en infrastructure, MPME permet aux équipages de préparer leurs missions en mode collaboratif, y compris pour des formations d’hélicoptères différents. La préparation de mission intègre des fonctions de calcul avancé permettant le re-jeu des trajectoires en trois dimensions. MPME est un multiplicateur d’efficacité pour les phases les plus critiques d’une mission : vols nocturnes, déconfliction, évitement de menaces sol-air connues, emploi des armes, zones de posé, etc.

 

Evolution du système MPME déjà en service, cette nouvelle version s’inscrit dans le cadre du programme que la DGA avait confié à Sagem en 2005 pour les régiments dotées d’hélicoptères Puma, Cougar, Gazelle, et Tigre HAP (Appui-Protection), ainsi que pour l’Ecole franco-allemande du Tigre. Ce nouveau contrat est assorti d’une prestation de MCO et prépare la modernisation des terminaux MPME en unités.

 

MPME est une composante de la numérisation de l’espace de bataille. Il se caractérise par une sécurité renforcée et l’accès à de nouvelles données cartographiques et aéronautiques. Les premiers modules sont prévus pour fin 2014.

 

Le système MPME actuel a été déployé en appui de l’ALAT en Afghanistan, sur les bâtiments de projection Mistral et Tonnerre de la Marine nationale pour l’opération Harmattan en Libye, et dernièrement en 2013 pour l’opération Serval au Mali.

 

Sagem est également maître d’œuvre du SLPRM (Système local de préparation et de restitution de missions) destiné aux avions de combat de l’armée de l’Air et de la Marine. A partir du système MPME, Sagem a développé Helipsys pour les marchés internationaux.

****

 

Sagem, société de haute technologie du groupe Safran, est un leader mondial de solutions et de services en optronique, avionique, électronique et logiciels critiques, pour les marchés civils et de défense. N°1 européen et n°3 mondial des systèmes de navigation inertielle pour les applications aéronautiques, marines et terrestres, Sagem est également n°1 mondial des commandes de vol pour hélicoptères et n°1 européen des systèmes optroniques et des systèmes de drones tactiques. Présents sur tous les continents via le réseau international du groupe Safran, Sagem et ses filiales emploient 7 500 personnes en Europe, en Asie du Sud-est et Amérique du Nord. Sagem est le nom commercial de la société Sagem Défense Sécurité.

Pour plus d’informations : www.sagem-ds.com            

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 07:55
Quelles sont les valeurs morales de nos espions ?

23/09/2013 Jean Guisnel - Défense ouverte / Le Point.fr

 

Confrontée à un rajeunissement de son personnel et à un renforcement du nombre des civils, la DGSE s'est interrogée sur les valeurs qui l'animent.

 

Dans le monde du renseignement, personne n'a oublié la vieille formule prussienne : "Le renseignement est un métier de seigneur." (Nachrichtendienst ist Herrendienst.) Mais une fois cet aphorisme prononcé, il faut bien aller voir ce qu'il y a derrière. A priori, les agents secrets ne sont pas des parangons des vertus publiques. Ce n'est pas une mince affaire que de chercher ce qui anime - dans une démocratie, pour faire simple - des hommes et des femmes qui écoutent les conversations des autres, conduisent des opérations illégales aussi bien du point de vue de leur pays que de celui où ils opèrent, jouent sur les sentiments humains les moins nobles, volent ici, trahissent là. Bref, ne se comportent pas précisément en personnes bien élevées.

 

Et pourtant ! Sauf cas déviants, et toujours pour se situer dans une démocratie du XXIe siècle, les services secrets ne sauraient agir sans avoir obtenu l'aval, sinon l'ordre, de l'autorité politique légitime, comme c'est le cas en France. Parfois, une autorité judiciaire vient compléter les autorisations accordées par le pouvoir exécutif pour prendre des libertés avec la loi. C'est précisément ce qui passe aux États-Unis dans l'affaire de la NSA. Mais comment cela se passe-t-il dans la tête des agents qui doivent parfois agir au-delà des limites fixées au commun des mortels ? Quelles sont les valeurs qui les animent, à tout le moins en France, qui pourraient leur être opposées en cas de manquement ?

 

DGSE ou Ikea ?

 

Nous avions eu connaissance voici quelques mois d'une démarche engagée par la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) pour réfléchir sur ces points, sous la houlette de son précédent directeur, le préfet Erard Corbin de Mangoux. Entamé en mai 2012 par un séminaire des cadres dirigeants qui avaient en main une analyse lexicale des productions du service, ce travail sur les valeurs a été finalisé en avril 2013. Il avait été rendu nécessaire par une profonde transformation des équilibres internes.

Aujourd'hui, la DGSE compte 5 100 employés, soit 20 % de plus en douze ans, auxquels s'ajoutent les 1 000 militaires du service Action qui sont payés par leur armée d'origine. L'ancienneté moyenne dans le service est de treize ans. La moyenne d'âge s'élève à 41 ans. Hors service Action, la DGSE compte 73 % de civils recrutés sur concours et 25 % de femmes. Nous n'avons pas pu connaître la proportion d'informaticiens experts (les "geeks") qui sont recrutés en CDD pour 3 ou 6 ans. Selon l'une des personnes ayant une bonne connaissance de ce projet, "5 % des agents sur service y sont entrés depuis moins d'un an. C'est la génération Y, zappeuse, impatiente, consommatrice. Elle vit en partie sur le Web. La question que le service s'est posée est donc très simple : quelle est la différence entre un job à la DGSE et un autre à Ikea ?".

 

Introspection

 

Collectivement, à partir de questionnaires diffusés régulièrement sur l'intranet du service, mais aussi après avoir écouté des conférences de personnalités extérieures, les agents de la DGSE ont défini eux-mêmes les valeurs animant le service. Celles qui définissent, selon la formule d'un fonctionnaire "le code génétique du service" : "Nos valeurs sont liées à celles de la République, mais quelles sont elles ? Il fallait les déterminer, afin de les traduire en actes. Et susciter l'indignation à l'égard de ceux qui les transgressent."

 

L'accouchement fut difficile ! Mais enfin, les mots ont été jetés sur la table. 42,5 % des agents s'étant engagés dans ce brainstorming, ces résultats ne manquent pas d'intérêt. Les mots qui ont été retenus, avec plus ou moins de succès, sont les suivants, classés par ordre alphabétique et relevés sur un document interne à la DGSE dont nous avons eu connaissance : adaptabilité, anticipation, créativité, courage, désintéressement, discernement, discrétion, efficacité, engagement, esprit d'équipe, excellence, exigence, expertise, fiabilité, humilité, innovation, intégrité, loyauté, patriotisme, performance, probité, professionnalisme, réactivité, responsabilité, rigueur, secret. Bref, il n'en manque qu'un à l'appel : l'amour...

 

Dans cette quête des valeurs, trois mots seulement ont atteint plus de 90 % des suffrages : secret, discrétion, engagement. Mais ceux qui ont été finalement retenus sont quatre. Ils constituent ce que le service appelle désormais le LEDA.

 

Valeurs cardinales

 

Le "système LEDA", ce sont les initiales des quatre mots-clés du service, ses valeurs cardinales : Loyauté, Exigence, Discrétion, Adaptabilité. Dans un court texte titré "nos valeurs", qui devrait apparaître prochainement sur le site de la DGSE, il est expliqué à propos de la loyauté qu'elle est "une valeur essentielle qui transcende les valeurs individuelles". L'exigence n'est autre que "la conscience aiguë de l'importance du moindre détail dans la réussite de nos missions". La discrétion est "un gage essentiel de la sécurisation des missions et des agents". "[C'est une] attitude permanente de réserve, d'humilité et d'abnégation." Quant à l'adaptabilité, "elle suppose de concilier plasticité intellectuelle et rigueur morale".

 

En tout cas, voila nos agents secrets dotés d'un viatique qui les aidera dans ce monde cruel. Mais l'exposition de telles valeurs poursuit un autre objectif : permettre aux autorités politiques, aux destinataires des notes et aux partenaires des services secrets étrangers de savoir à qui ils ont affaire. Le secret perdure. Le mystère, un peu moins.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 07:55
Marius : parcours Commando

17/09/2013 Stéphane DUGAST - Sources : Marine nationale

 

Nom d’usage? Marius. Matricule? 0585-3861. Signes particuliers? Figure emblématique des commandos Marine devenue comédien sur grand ou petit écran. Cette fois, il raconte sa vie sans rien cacher de son passé tumultueux.Un récit autobiographique tranchant comme la lame d’une dague.

Passé de l’ombre à la lumière depuis le reportage À L’école des bérets verts diffusé sur France 2 et son apparition au cinéma dans Forces Spéciales, Marius partage désormais son quotidien entre ses activités, de directeur de la sécurité d’un port méditerranéen de comédien au cinéma ou à la TV et… désormais d’écrivain !

L’idée de raconter sa vie lui trottait en tête depuis un bon moment. C’est chose faite ! Marius - alias Alain A. - raconte avec verve, franchise et souvent faconde, les épisodes clefs de sa vie assurément sinueuse.

Si Marius est devenu un commando Marine respecté, c’est à la force du poignet et fort d’un mental à toute épreuve qu’il le doit. Sa route entamée dans le «milieu» marseillais ne démarrait pas sous les meilleurs auspices.

De sa jeunesse embrouillée, il est évidemment question dans ce récit autobiographique. Pour d’évidentes raisons de confidentialité, l’intéressé s’épanche en revanche peu sur son vécu opérationnel. Il préfère s’attarder sur ses premières années à l’école des fusiliers marins et commandos à Lorient, et le fameux «stageco», le stage pour devenir béret vert.

Marseille, l’enfance, les pleurs, l’assistance sociale, la peur, des malheurs, des bonheurs, des larcins, l'argent facile, une vie dorée, une garde à vue, un choix, Lorient, la Bretagne, les commandos, la sueur, les efforts, l’abnégation, la télé, la médiatisation, le cinéma, les strass, les paillettes, la famille, les valeurs…

C’est le parcours d’un homme à la dérive qui s’accomplira, deux décennies durant, dans l’univers des fusiliers-marins et commandos de Marine, lavant ainsi durablement son honneur. Un récit choc !

 

› À LIRE

Marius, parcours commando de Marius, 21€. Préface du VAE Christophe Prazuck et de Tchéky Karyo. (Editions Nimrod)

 

DÉDICACES. Marius dédicacera son livre à Brest les 20 septembre (librairie Dialogues) et 21 septembre (espace culturel Leclerc), à Lorient (librairie Chapitre) le 21 septembre, à Châtillon en Vendelais – entre Vitré et Fougères (cinéma Le Vendelais) le 22 septembre, à Paris le 23 septembre et à Marseille le 12 octobre.

 

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 07:50
Group Disputes UK Defence Industry Claim

Sept. 23, 2013 defense-aerospace.com

(Source: UK National Defence Association; issued Sept. 22, 2013)

 

Where Is Britain Now In the Global Defence League?



Defence campaigners challenge David Cameron over his claim that the UK is the world’s fourth largest military power


The Prime Minister’s claim that Britain is a major global power with the world’s fourth largest defence budget is no more than “a shallow sound-bite”, according to the UK National Defence Association (UKNDA).

In a UKNDA Commentary entitled “The Defence Budget League Tables: False Comfort from Statistics”, co-authors Air Chief Marshal Sir Michael Graydon and Vice-Admiral Sir Jeremy Blackham argue that “What matters is not what you spend but what you get for the money.”

They point out that, far from being the world’s fourth largest military power as Mr Cameron suggests, the United Kingdom is actually 31st in terms of armed forces manpower (including Reserves) and 64th in terms of “serious militarisation” when other factors such as proportion of GDP are taken into account.

Countries ranging from Israel to Singapore emerge as more serious military powers than the UK, while European nations, including France, Spain and Argentina, and even Sweden, are all ahead of Britain in the defence league table.

“Experienced, skilful and battle-hardened we may be, but we are just too few”, write ACM Graydon and Vice-Admiral Blackham, “too few in personnel, ships, aircraft and weapons.” Meanwhile, Russia and China are increasing their defence budgets and expanding their military forces, as are India, Japan, Brazil, and the Gulf States. “Why are they re-arming while we are disarming?” ask the authors of the UKNDA Commentary.

Britain’s “rudderless slide down the tables” puts our standing in the world at risk. “A nation whose armed forces are perceived as weak … cannot carry real conviction in the world.” Strategic thought has been abandoned for “short-term political expediency”. The Commentary poses the question: “How does all this affect our much-vaunted permanent place on the UN Security Council?”

The UKNDA Commentary warns that we should never again be “taken in by the politicians’ chant that all is well with the defence of the United Kingdom”.


Formed in 2007, the UKNDA is an independent group that seeks to stimulate public debate about the role of Britain’s armed forces and to provide accurate up-to-date information on the state of British military capabilities.


Click here for the full commentary (html format) on the UKNDA website.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 07:50
Norway Orders Kongsberg Mine Disposal System

September 24th, 2013 By Kongsberg - defencetalk.com

 

Kongsberg Defence Systems has signed a contract for supply of the MineSniper Mk III One Shot Mine Disposal Weapon System to the Royal Norwegian Navy. The contract is won in international competition and made between the Norwegian Defence Logistics Organisation and Kongsberg, represented by the Naval Systems & Surveillance division.

 

The MineSniper Mk III System will support the needs of the Armed Forces by introducing new and flexible capabilities for inspection and disarmament of Sea-Mines in the Royal Norwegian Navy. The System consists of a number of MineSniper Mk III combat vehicles, inspection/training vehicles, logistics and services for integration into the Command and Control System on-board the Navy’s six Mine Countermeasure Vessels (MCMVs).

 

“The MineSniper Mk III System will enable MCM operations to be performed in a safer, more rapid and more efficient way. This contract is the result of a long term effort to strengthen our position as supplier of MCM systems, and in this context this is a very important reference contract for Kongsberg”, says Executive Vice President Leiv Inge Steig in Kongsberg Defence Systems.

 

Kongsberg is an international knowledge-based group that supplies high-technology systems and solutions to customers engaged in the oil and gas industry, the merchant marine industry, and the defence and aerospace industries. In 2012, the Group had operating revenues of NOK 15.7 billion, and it currently has some 7 400 co-workers in more than 25 countries.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 07:50
Les 65 ans du 15 Wing

Photos : Jürgen Braekevelt

 

23/09/13 Stijn Verboven - mil.be

 

Le 15 Wing Transport aérien de Melsbroek a fêté ses 65 années d'existence. Lors des portes ouvertes de ces 21 et 22 septembre 2013, c'était également la fête pour les C-130 Hercules et le Falcon 20. Ces avions viennent en effet de célébrer leurs 40 années de service.

 

Pendant ses 65 années d'existence, le 15 Wing a pris part à de nombreuses missions comme en Afrique, en Afghanistan et au Liban, et contribue encore aujourd'hui à l'aide humanitaire et au transport de troupes. Il joue également un rôle important lors de missions moins connues. Ce fut le cas l'année dernière lorsque qu'un C-130 du 15 Wing a rapatrié en Belgique les victimes du terrible accident de car en Suisse.

 

Pendant les journées portes ouvertes, le public a pu voir en action les icônes de l'aviation militaire belge. Certains visiteurs ont même gagné un baptême de l'air en C-130. 

 

Le Falcon 20 a également pu souffler ses 40 bougies anniversaires. L'armée utilise cet avion d'affaire principalement pour transporter des autorités ou des VIP.

 

Il n'y en avait pas seulement pour les C-130 et le Falcon. Les visiteurs ont pu admirer toute la flotte du 15 Wing et visiter les ateliers de maintenance. Diverses démonstrations étaient aussi au programme. Ainsi, la police fédérale a mis ses hélicoptères en action.

 

Avec ses journées portes ouvertes, le 15 Wing a rassemblé pas moins de 40.000 visiteurs.

 

Photos >>

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 07:50
Saab cutting workforce

LINKOPING, Sweden, Sept. 23 (UPI)

 

Saab has announced plans to cut 150-175 workers from its Electronic Defense Systems business area because of decreased business volume and technology changes.

 

The cuts will occur at its facility in the city of Gothenburg, Sweden, and will be achieved through what it called a competence shift program, based on voluntary participation. Staff will be encouraged to take up other positions within Saab. Those who leave the company will be provided with various support services.

 

"We are a world leader within radar systems and are continuing to invest in the product portfolio in order to be even more competitive in the present technological shift," said Micael Johansson, head of Saab's Electronic Defense Systems business area. "Reduced business volumes have resulted in under-utilization of resources and staff [and] ... we must constantly adapt our business to ensure that we stay competitive on the global market.

 

"Competence shift following staff redundancy has been successfully implemented previously at our operations in Gothenburg and at other major Swedish companies. I am optimistic that this situation will present good opportunities for our employees."

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