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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 16:55
Réorganisation du ministère de la Défense : bien mais…

12.09.2013 Par Frédéric Lert (FOB)

 

La Commission de la défense de l’assemblée nationale a présenté hier son rapport sur la mise en œuvre et le suivi de la réorganisation du ministère de la Défense. Un bilan globalement positif ont souligné les deux rapporteurs, Geneviève Gosselin Fleury et Damien Meslot : les armées ont été au rendez-vous de la réforme engagée en 2008. Les chantiers étudiés font apparaître les résultats suivants :

 

-       les déflations prévues des effectifs sont réalisées, avec même une avance de 3000 postes sur le cadre prévu. L’objectif est pourtant ambitieux puisqu’il s’agit de supprimer 54000 postes sur la période 2009-2014.

 

-       La nouvelle chaîne du soutien technique a été très remaniée et commence à entrer dans les mœurs, avec comme mesure clef la mutualisation des soutiens de proximité au sein des bases de défense (BdD) et l’instauration d’une relation client fournisseur entre soutenus et soutenants en lieu et place d’une relation purement hiérarchique.

 

-       La modernisation des pratiques de gestion et l’emploi de méthodes et d’outils issus du secteur privé ont permis de dégager des économies substantielles. Le rapport cite en exemple la professionnalisation de la fonction achat qui fait économiser environ 230 M€ par an, soit environ 10% des contrats gérés suivant les nouvelles méthodes.

 

« Le choc culturel de la réforme est en voie d’être surmonté » notent les députés. « Les militaires avaient une culture du commandement et non du management, mais c’est en train de changer pour ce qui touche au soutien ».

 

Le dispositif de pilotage et d’accompagnement de la réforme aurait lui aussi plutôt bien fonctionne (hormis Louvois). Les outils financiers, principalement le pécule et l’indemnité de départ volontaire, ont été largement utilisés. « Mais, notent les rapporteurs, les économies réalisées par les départs financés par le pécule ne semblent pas avérées. Le coût annuel des pécules est de 140 M€, ce qui est jugé élevé par rapport aux économies réalisées, évaluées à 220 M€ par an (…). On soupçonne un effet d’aubaine ou en tous cas un manque de ciblage des aides ».

 

Les dispositifs d’accompagnement territorial ont eux aussi débouchés sur certains effets d’aubaine, les rapporteurs notant que le tramway de Metz a été financé en partie par les fonds de restructuration. Mais les opérations financées ont tout de même eu un impact favorable sur les créations d’emploi. Les 30M€ d’aides directes versées à 240 entreprises investissant dans les territoires touchés par les restructurations auraient  généré 5800 emplois.

 

Si le bilan est globalement bon, des échecs sont tout de même pointés du doigt, avec en premier lieu la difficulté du ministère pour tenir l’équation financière. Les recettes exceptionnelles ont suivi un parcours chaotiques et se sont révélées supérieures aux prévisions pour les cessions de fréquence mais inférieures pour les cessions immobilières. Un paradoxe a également été noté : la baisse des effectifs s’est accompagnée d’une augmentation des dépenses de personnel. L’explication tient au « repyramidage » consécutif à la suppression des emplois les moins payés, la hiérarchie étant peu touchée par les réductions d’effectifs. Dans le même temps le transfert vers des emplois civils avançait moins vite que prévu et les études montrent qu’un emploi militaire revient toujours plus cher que son équivalent civil en raison des contraintes particulières qu’il génère.  « Pour des postes strictement administratifs dans la chaîne de soutien, des marges de manœuvres pourraient être dégagées en accélérant la civilianisation » notent les rapporteurs. Autre ombre au tableau, la crise des finances publiques qui s’est ajoutée aux contraintes nées de la réforme. Les bases de défense sont aujourd’hui paupérisées et il est difficile pour les personnels de faire la part des choses entre les contraintes nées de la réforme et le tour de vis budgétaire. Les députés ont également insisté sur les incohérences de la réforme, évoquant l’utilité toute relative des cinq états-majors régionaux de soutien qui viennent s’intercaler entre le Centre de pilotage de la conduite du soutien (CPCS) et les Groupements de soutien des bases de défense (GSBdD). Reste enfin le grand ratage de la réforme : Louvois. FOB reviendra prochainement sur le constat dressé par les rapporteurs et les pistes proposées pour sortir de l’impasse actuelle.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 16:40
Chasseurs et Spahis font bon ménage

Publiée le 12 sept. 2013 belgiandefence

 

Un exercice conjoint mené par le Bataillon belge des Chasseurs à Cheval et le 1er Régiment français de Spahis vient de se terminer dans le sud-est de la Belgique. Après plusieurs jours, ces troupes de reconnaissance ont renforcé les liens qui les unissent depuis des décennies.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 16:35
F-15 Silent Eagle : d'anciens cadres de l'armée sud-coréenne critiquent Boeing

12.09.2013 journal-aviation.com:

 

SEOUL, 12 septembre (Reuters) - Une quinzaine d'anciens commandants de l'armée de l'air sud-coréenne ont adressé à la présidence et au parlement une pétition contre la sélection du F-15 Silent Eagle de Boeing dans le cadre d'un appel d'offres estimé à 8.300 milliards de wons (5,6 milliards d'euros), a déclaré jeudi l'un des signataires.

 

Boeing est désormais le seul groupe éligible pour remporter le plus important contrat d'armement de l'histoire sud-coréenne, au détriment du Typhoon d'Eurofighter, dont l'actionnaire principal est EADS, et du F-35 de Lockheed Martin .

 

Lockeed et Eurofighter, dont font aussi partie le britannique BAE Systems et l'italien Finmeccanica , ne sont en théorie pas exclus du processus, mais leurs offres dépassent le budget alloué par Séoul, ce qui les élimine de facto selon la loi sud-coréenne.

 

"Nous ne pouvons pas choisir des voiturettes à la place de berlines simplement parce qu'elles sont moins chères", a regretté Kim Hong-rae, chef d'état-major de l'armée de l'air en 1994 et 1995.

 

"Nous pouvons attendre un ou deux ans, avec en vue les 40 prochains années", a-t-il ajouté, en référence à un rejet éventuel de l'offre de Boeing par Séoul, qui annulerait tout l'appel d'offres et obligerait le gouvernement à reprendre la procédure à zéro.

 

La pétition, adressée fin août à ses destinataires, dont l'agence officielle chargée des contrats d'armement, reproche aux F-15SE de Boeing, qui s'engage à en livrer 60 exemplaires, d'être toujours "basés sur des modèles des années 1970".

 

L'offre du constructeur américain doit encore être approuvée par une commission présidée par le ministre de la Défense. Des sources ayant directement connaissance de la situation ont annoncé à Reuters qu'une réunion, initialement prévue cette semaine, avait été reportée. (Ju-min Park et Joyce Lee; Julien Dury pour le service français)

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:55
Thales : une offre pour blindés avec Renault Trucks Defense

11/09/13 Challenges.fr

 

Renault Trucks Défense (RTD) et Thales présentent une offre commune pour l'équipement des unités blindées interarmes ou de sécurité. Ces deux industriels, leader dans leur domaine d'activité respectif, ont décidé de s'associer pour proposer "une offre complète sur étagère".

 

Cette offre permet ainsi à un client de s'équiper avec des unités du niveau compagnie ou bataillon, comprenant les blindés VAB Mk3 et Sherpa de Renault Trucks Defense et un système de mission réalisé par Thales et adapté à chaque variante de véhicule. Ce package permet ainsi, dans le cas d'un bataillon, de disposer d'une force de 85 blindés numérisés, dont des VAB Mk3 en configuration Véhicule Transport de Troupes (VTT) ou Véhicule de Combat d'Infanterie (VCI), disposant de la même architecture électronique (Battlenet Inside de RTD), et bénéficiant de Comm@nder Battlegroup, "un système de commandement Thales éprouvé". Les deux industriels s'engagent à fournir au client un système opérationnel clé en main.

 

Cette offre packagée s'étend également aux unités de reconnaissance et de surveillance du champ de bataille. L'offre comprend ainsi des Bastion et des ALTV d'ACMAT, qui servent de plates-formes pour la mise en oeuvre des capteurs du groupe Thales : optronique jour/nuit, radar de surveillance du champ de bataille, intercepteurs de communications ou capteurs NRBC. Cette offre s'adresse également à des ministères de l'Intérieur car ces unités peuvent également être employées dans des missions de contrôle des frontières ou de protection d'infrastructures critiques.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:55
La Défense de demain - 11e Université d’été de la défense

09/2013 Ministère de la Défense

 

Organisés par l’armée de Terre, ces deux jours ont pour objectif de sensibiliser les participants à la réalité des armées et à la complexité de leurs missions. La formation et la simulation constituent deux pivots fondamentaux qui permettent aux armées d’avoir une réactivité plus forte en opérations extérieures. Le mot clef de ces universités demeure le dialogue entre les 1000 soldats déployés au cours de ces deux jours et les responsables de la société civile.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:55
Le bâtiment de projection et de commandement Dixmude en entraînement à Calvi

12/09/2013 Marine nationale

 

Le 10 septembre 2013, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude a organisé, dans le port de Calvi, un entraînement d’évacuation de ressortissants. La mise en œuvre de cet exercice, mené régulièrement par les BPC, révèle toutes les facettes de ces bâtiments, mobilisant leurs quatre grandes fonctions: amphibie, aéromobilité, hospitalière et commandement.

 

La mission, qui nécessite l’implication totale de l’équipage, a été menée avec l’appui de la flottille amphibie et la collaboration avec le 2eREP de Calvi. Aux aurores, les plongeurs de la légion sécurisent les abords du port, aussitôt suivi du débarquement du « dispositif à terre », rapidement déployé par les marins. Le point d’évacuation est immédiatement sécurisé par la brigade de protection du bord qui, parée à contenir tout débordement, assure la sûreté du périmètre et des populations civiles. Au même moment, depuis le pont d’envol du Dixmude, deux Gazelles se tiennent prêtes à décoller à la moindre alerte pour faire face à toute attaque ou conduire une évacuation d’urgence. Dès lors, par vagues successives, plus de deux cents figurants, incarnés par des habitants et des collégiens de la région de Calvi, sont accueillis et pris en charge. Dans le cadre de l’exercice, pour des raisons de sécurité, chaque personne fait l’objet d’une identification minutieuse et d’un enregistrement rigoureux. En parallèle, le médecin et son équipe se tiennent parés, recensant les suivis médicaux, et, le cas échéant, assurant l’évacuation de blessés graves. Après une collation rapide, les réfugiés embarquent en direction du Dixmude, dans deux chalands de transport de matériel (CTM) et un engin de débarquement amphibie rapide (EDA-R).

 

Exercice d'évacuation de ressortissants

Exercice d'évacuation de ressortissants

 

Une fois à bord, les bagages sont enregistrés et stockés, les identités et les cartes d’embarquement vérifiées, les consignes de sécurité détaillées. Les nouveaux arrivants découvrent également l’environnement et les spécificités de la vie d’un bâtiment de combat, à travers leurs échanges avec les marins accompagnant les visiteurs, expliquant la nature de leurs missions et leur quotidien en mer. Très impliqué dans l’exercice, les collégiens de quatrième "Défense" de la ville de Calvi, ont ainsi découvert, avec intérêt et curiosité, les nombreux métiers et spécialités qui composent la Marine. Après cette journée, les figurants ont réembarqué dans les chalands pour être déposés à Calvi.  Double mission accomplie pour l’équipage du Dixmude qui, en plus de la mise en œuvre réussie de son exercice d'évacuation (validation de sa qualification), a contribué avec succès au développement du lien armées/nation.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:55
Le chef d'état-major de la marine aux universités d’été de la défense

12/09/2013 Marine nationale

 

Le chef d’état-major de la Marine a participé aux 11ième universités d’été de la Défense, qui se tenaient à Pau le 9 et 10 septembre 2013. L’objectif de ces universités est de mettre en lumière l’actualité du secteur de la défense et de préparer la rentrée parlementaire. Ces échanges entre représentants de l’Assemblée et du Sénat, autorités civiles et militaires françaises et étrangères, ont été riches et fructueux.

 

Les réflexions menées ont pris un relief tout particulier cette année, véritable année stratégique, alors que le projet de loi de programmation militaire sera examiné prochainement. Dans un contexte d’engagements nombreux et de contraintes budgétaires tendues, les thèmes retenus étaient ceux de la coopération européenne, des nouveaux enjeux économiques et géopolitiques.

 

Pour la Marine nationale, qui mène l’essentiel de ses missions en coalitions avec les marines alliées et qui prend une part significative dans les engagements de l’union européenne, ce choix était riche d’expériences à partager. En effet, 365 jours par an, 24h sur 24, sur tous les océans et mers du globe, la Marine nationale met en œuvre environ 35 bâtiments, au moins 1 sous-marin nucléaire lanceur d’engins à la mer, 5 aéronefs en vol, soit plus de 5 000 marins déployés pour servir les intérêts de la France et des français.

 

 

Le chef d'état-major de la marine aux universités d’été de la défense

Afin d’illustrer cette dimension maritime des opérations, des démonstrations et expositions étaient proposées aux participants grâce à la présence d’un détachement de la 21F et d’un Atlantique 2, d’un détachement de la 4F et d’un Hawkeye, de commandos marine avec un tracteur sous-marin et d’un stand frégate.

 

Ces manifestations ont fait l’objet de l’intérêt non démenti de nos représentants par la visite de plus 800 participants.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:50
Squadron Leader Jim Schofield RAF performs the first short takeoff at sea in a F-35B aircraft from the USS Wasp (photo Todd R McQueen, Lockheed Martin)

Squadron Leader Jim Schofield RAF performs the first short takeoff at sea in a F-35B aircraft from the USS Wasp (photo Todd R McQueen, Lockheed Martin)

12 September 2013 Ministry of Defence and Defence Equipment and Support

 

UK military pilots have been involved in the second round of vertical night landings at sea of the new F-35B Lightning II fighter aircraft.

 

The pilots, along with UK ground crew, are testing 3 Lightning II jets at Eglin Air Force Base in Florida, working alongside their counterparts from the US Marine Corps.

The latest testing has been used to expand the operational envelope, with aircraft flown in a variety of air and sea states, landing at day and night, all while carrying internal weapons.

The vertical night landings which took place on the USS Wasp, were the first to be conducted at sea.

Speaking at the Defence and Security Equipment International (DSEI) event in London, the UK Minister for Defence Equipment, Support and Technology, Philip Dunne, said:
 

Our Armed Forces will be equipped with the best next generation jet fighter machine, giving them the operational advantage they will need to protect our citizens for decades to come.

The fifth-generation stealth aircraft will fly from the Royal Navy’s Queen Elizabeth Carriers from 2018.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:50
Call for Submissions: EDA-Egmont PhD Prize
Brussels | Sep 12, 2013 European Defence Agency
 
 

The European Defence Agency (EDA) in partnership with Egmont Institute has the pleasure of inviting the best and the brightest of European academic scholars to submit their candidacy for the EDA-Egmont PhD Prize in Defence, Security and Strategy.

 

If you have been awarded a PhD in the last academic year or beginning of current academic year (1 September 2012 to 1 December 2013) and feel your findings stand out in terms of quality, innovation and impact on future EU policy, then you are what we are looking for.

You need to be a citizen of an EDA Member State (all EU Member States except Denmark) or a state with an Administrative Arrangement with EDA (Switzerland, Norway). You will need to have been awarded the PhD by an academic institution, and you will need to be available to deliver an intervention at EDA’s Annual Conference scheduled for 27 March 2014 in Brussels.

Does this sound interesting? If so, please consult the attached documents for full details on eligibility and award criteria as well as for the practicalities on how to submit your candidacy.

Deadline for submissions is 1 December 2013. The Award notice will be published on 1 March 2014.

We look forward to receiving your submission!

 

More information:

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:50
SEDE debates the European Defence Industrial Base

 

The SEDE subcommittee will discuss the draft report on the European Defence Technological and Industrial Base by Rapporteur Michael Gahler (EPP).
 
When : 18 September 2013, 9:30-13:00       

Further information meeting documents
Organisation des industries de défense en Europe source ead-minerve.fr

Organisation des industries de défense en Europe source ead-minerve.fr

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:45
Algeria : The Terrorist Who Would Not Die

September 12, 2013: Strategy Page

 

Over the last four months some 12,000 troops have been sent to the Tunisian border. There, sixty new outposts and small bases were established and have apparently succeeded in preventing any of the Islamic terrorists active just across the border from entering Algeria. Tunisian forces have been searching for this group (of at least 30 armed men) but have only encountered them a few times since January. The terrorists have staged some bombings and ambushes but have apparently devoted most of their efforts to not getting found. Algeria fears that if the Tunisian forces get too close the Islamic terrorists will try to escape via Algeria. Some of the Tunisian terrorists are believed to have been men who were in northern Mali and fled the French-led January offensive.

 

The government has come out in opposition to any foreign intervention in the Syrian civil war. Algeria has long called for an end to violence in Syria, but only through negotiation. While many members of the Algerian dictatorship would like to see the Assad family retain power in Syria, it is more important to keep the "Arab Spring" movement out of Algeria. So far, the "old revolutionaries" (the families that led the 1950s war against the French colonial government) continue to run Algeria, and exploit it for their own benefit. This has been going on since the French left in the early 1960s. They do this via rigged elections and a very efficient security force. Using government power to cripple opposition parties does not always work. For example, in 1992 Islamic parties won an election that would have given them control of the government. The military staged a coup to halt that, which triggered fifteen years of Islamic terrorism. Although the Islamic terrorists were defeated, they were not destroyed, and a few hundred terrorists and supporters keep the killing going, if just barely. While the government has the edge, as long as the nation is run by an unpopular dictatorship, there will continue to be unrest.

 

September 10, 2013: Algerian Islamic terrorist Mokhtar Belmokhtar has shown up in a new video, refuting claims that he was killed. Belmokhtar is infamous for organizing the January raid on a natural gas facility in southern Algeria that got 70 people killed (including all the attackers). Last month he announced the formation of a new Islamic terrorist group ( Al Mourabitoun) that merged African Islamic terrorists (mostly from Mauritania) with the largely Algerian and other Arab men Belmokhtar had been leading. Belmokhtar likes to let people believe he is invincible. That began when Belmokhtar survived fighting Russians in Afghanistan during the 1980s. After that he fought, and lost, an Islamic terrorist uprising in Algeria during the 1990s. After that he joined al Qaeda and carried out several attacks. Last year he split from al Qaeda and formed another Islamic terror group in Mali. He soon had to flee the French-led invasion of northern Mali and is now believed to be in Niger or Libya.

 

September 8, 2013: In two incidents 110 and 50 kilometers east of the capital security forces killed two Islamic terrorists. Weapons and ammo were seized in both incidents.

 

September 5, 2013: In a rural village 300 kilometers east of the capital some 300 people demonstrated about water shortages outside a government building. Police were called and 19 people were arrested while breaking up the crowd. There are more demonstrations like this as people demand more from their corrupt and often incompetent government.

 

August 31, 2013: Tunisia announced restrictions on border crossings with Algeria and Libya. Local authorities would have to vouch for anyone coming in or going out. This is all about preventing Islamic terrorists up north in the Atlas Mountains from getting out and for stopping anyone from Libya coming to the aid of these terrorists.

 

August 28, 2013: Three soldiers were killed and four wounded west of the capital (Ain Defla province) by a roadside bomb. The army patrol was searching the coastal hills for Islamic terrorists believed hiding there.

 

August 25, 2013: Just across the border in Mali French troops arrested a senior al Qaeda leader (Mousbaa Nadir) who was thought to be hiding in Algeria.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:40
Le sous-marin russe Dmitry Donskoy effectuera le prochain lancement du missile Bulava

12 septembre 2013. Portail des Sous-Marins

 

C’est un sous-marin nucléaire lanceur d’engin du projet 941 qui effectuera le prochain essai du missile balistique Bulava, a déclaré une source proche du dossier.

 

« Le Dmitry Donskoy effectuera un tir de missile Bulava en plongée. Le missile doit être testé et ses caractéristiques techniques ont besoin d’être confirmées après l’échec du lancement depuis le sous-marin Alexander Nevsky. De plus, le nouveau système automatique de contrôle de lancement sera essayé dans un centre de commandement de l’Etat-Major général, » a expliqué la source.

 

Selon elle, le Dmitry Donskoy est le sous-marin le mieux préparé pour cet essai par rapport aux sous-marins de la classe Borei.

 

Le Dmitry Donskoy, un sous-marin de la classe Akula (nom de code OTAN "Typhoon") a été modifié pour la mise au point et le lancement des missiles Bulava. Il a déjà procédé à 14 tirs d’essai de missiles Bulava. 7 lancements ont été complètement ou partiellement réussis, et 7 ont donné lieu à un abandon de tir.

 

Il avait été décidé de conserver le Dmitry Donskoy jusqu’en 2017 en tant que sous-marin d’essai pour les missiles et d’autres matériels.

 

Référence : Russia Beyond The Headlines

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:40
UCAV Skat Kh-31

UCAV Skat Kh-31

September 12, 2013: Strategy Page

 

Russia has now joined China and European firms in developing UCAV (unmanned combat air vehicle). These are replacements for current light bombers (or fighters operating as light bombers) and combat reconnaissance aircraft. The Russian entry is a further development of its Skat UAV, a ten ton aircraft with a two ton payload and a design that looks very similar to the American X-47 series. The MiG Aircraft Corporation developed Skat and the new UCAV as well.

 

Li Jian UCAV

Li Jian UCAV

A Chinese UCAV, called the Li Jian, was photographed moving around an airfield under its own power back in May, which is the sort of thing a new aircraft does before its first flight. For two years now the Li Jian has been photographed as a mock up, then a prototype, and now taxiing around. The Li Jian is similar in size and shape to the U.S. Navy X-47B. The European entries also look like the X-47 design.

 

It’s generally recognized that robotic combat aircraft are the future, even though many of the aviation commanders (all of them pilots) wish it were otherwise. Whoever gets there first (a UCAV that really works) will force everyone else to catch up or end up the loser in their next war with a UCAV equipped opponent. China may have just copied pictures of the X-47B, or done so with the help of data obtained by their decade long Internet espionage operation. Whatever the case, the Li Jian is not far behind the X-47B and the Russians and Europeans appear to be going in the same direction with increasing vigor.

 

These aircraft are meant to operate like current armed UAVs or like cruise missiles (which go after targets under software control). Enemy jamming can interfere with remote control and you have to be ready for that. This could mean pre-programmed orders to continue the mission (to put smart bombs on a specific target, the sort of attack cruise missiles have been carrying out for decades) or attempt that but turn around and return to base if certain conditions were not met (pre-programmed criteria of what is an acceptable target). Fighter (as opposed to bomber) UCAVs can be programmed to take on enemy fighters (manned or not) with some remote control or completely under software control. This is the future and China wants to keep up. This sort of thing frightens many people but has, in fact, been around for over a century (the naval mine and torpedoes). Both these weapons have, for decades, been equipped with increasingly powerful artificial intelligence. That tech has been applied to a growing number of missiles and “smart bombs.” This sort of tech is not the future, it’s the present and have been since the 19th century.

 

First Catapult Launch of X-47B Nov. 29, 2012

First Catapult Launch of X-47B Nov. 29, 2012

The U.S. Navy’s X-47B UCAV (unmanned combat air vehicle) is the most advanced of these unmanned combat aircraft and that’s what has other countries hustling to match this tech. For example, the X-47B made the first successful carrier landings in July. While software controlled landing systems have been around for decades, landing on a moving air field (an aircraft carrier) is considerably more complex than the usual situation (landing on an airfield). Dealing with carrier landings requires more powerful hardware and software aboard the aircraft. The navy expects glitches and bugs but hopes to catch up to the reliability of commercial landing software (which has been used very successfully on land based UAVs) within years rather than decades.

 

Russia Joins the UCAV Race

The X-47B made its first catapult launch from an aircraft carrier last May. That was followed by several touch and go landings on a carrier. The first carrier landing, as expected, followed soon. Two years ago the navy successfully tested its UCAV landing software, using a manned F-18 for the test, landing it on a carrier completely under software control. The first carrier launch came five months after an X-47B was catapulted from an airfield built to the same size as a carrier deck and equipped with a catapult. This first launch was to confirm that the X-47B could handle the stress of a catapult launch. Another X-47B has been loaded onto the deck of a carrier, to check out the ability of the UCAV to move around the deck. All this came 22 months after the first flight of the X-47B.

 

It was five years ago that the navy rolled out the first X-47B, its first carrier-based combat UAV. This compact aircraft has a wingspan of 20 meters (62 feet, and the outer 25 percent folds up to save space on the carrier). It carries a two ton payload and will be able to stay in the air for twelve hours. The U.S. is far ahead of other nations in UCAV development, and the U.S. Navy recently announced that four manufacturers are competing to design and develop the final version of the X-47, the X-47C. The X-47B is actually a development model, meant to prove that the concept works. That has been done and the next step is to create a slightly larger and more complex X-47C that will eventually enter regular service on carriers and land bases.

 

The U.S. Navy has done the math and realized that they need UCAVs on their carriers as soon as possible. The current plan is to get these aircraft into service before the end of the decade. But there is an effort to get the unmanned carrier aircraft into service sooner than that. The math problem that triggered all this is the realization that American carriers had to get within 800 kilometers of their target before launching current manned bombers. Potential enemies increasingly have aircraft and missiles with a range greater than 800 kilometers. The X-47B UCAV has a range of 2,500 kilometers and is seen as the solution.

 

For most of the last decade, the navy has been hustling to ready a UCAV for carrier operations and combat use. The navy has now demonstrated that the X-47B has the ability to regularly operate from a carrier, and next comes doing that and performing combat (including reconnaissance and surveillance) operations. The new efforts aim to have UCAV aircraft perform ground attack missions as well, something the Predators have been doing for over a decade. The larger Reaper UAV was designed to expand this combat capability and is being built as quickly as possible to replace F-16s and other bombers in the combat zone.

 

The 20 ton X-47B weighs a little less than the twenty-four ton F-18A and has two internal bays holding two tons of smart bombs. Once it can operate off a carrier, the X-47B will be used for a lot of bombing, sort of a super-Reaper. The navy has been impressed with the success of the Predator and Reaper. But the Reaper weighs only 4.7 tons. The much larger X-47B uses a F100-PW-220 engine, which is currently used in the F-16 and F-15.

 

The air force and navy have always differed about the widespread use of UAVs in combat. When the air force agreed to work with the navy on UCAVs a decade ago, the idea was that the air force ones would largely remain in storage, to provide a rapid "surge" capability in wartime. The navy, however, wanted to use theirs to replace manned aircraft on carriers. The reason was simple, carrier ops are dangerous and carrier qualified pilots are more difficult and expensive to train and retain in the service. The navy still has these problems and senior admirals are pretty much in agreement that UCAVs are the future of carrier aviation. The sooner these UCAVs prove they can safely and effectively operate from carriers, the better. Normally, "X" class aircraft are just used as technology demonstrators. But the X-47 program has been going on for so long, and has incorporated so much from UAVs already serving in combat, that the X-47B will probably end up running recon and bombing missions as the MQ-47C.

 

The Department of Defense leadership is backing the navy efforts and spurring the air force to catch up. At the moment, the air force is cutting orders for MQ-9s, which are used as a ground support aircraft, in addition to reconnaissance and surveillance, because American troops are being pulled out of Afghanistan, and it is believed Reaper would not be very useful against China, North Korea, or Iran. But, as the navy is demonstrating, you can build UCAVs that can carry more weapons, stay in the air longer, and hustle to where they are needed faster. The more the navy succeeds the more the air force will pay attention.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:30
Syrie / transfert d'armes chimiques: 75.000 soldats nécessaires (Pentagone)

WASHINGTON, 12 septembre - RIA Novosti

 

La mise en place de l'initiative russe visant à placer sous contrôle international les armes chimiques syriennes nécessiterait l'engagement de quelque 75.000 soldats pour confisquer et escorter ces arsenaux, écrit le New York Times se référant au Pentagone. 

 

Bien que cette évaluation soit approximative, elle donne une idée de l'"envergure de la tâche à accomplir", a annoncé au journal une source au sein de l'administration de la présidence américaine, ajoutant qu'il ne s'agissait que d'un "premier cauchemar" dans la mise en place de ce projet. 

 

Toutefois, cette évaluation semble douteuse, aucune donnée exacte sur la quantité d'entrepôts d'armes chimiques syriens n'étant disponible: les renseignements US parlent de 42 sites, alors que seule l'existence de 19 sites de stockage est confirmée pour l'instant.  

 

Les experts en armes chimiques considèrent qu'une opération similaire demande beaucoup de temps et des financements importants, ajoutant qu'elle est potentiellement liée à un risque militaire. Notamment, le nombre d'inspecteurs doit être supérieur à 100 personnes, nombre de spécialistes dont disposent les Nations unies. En outre, il n'est pas exclu que les experts se fassent attaquer, des combats secouant en permanence les alentours de la ville d'Al-Safira qui abriterait une usine de production d'armes non-conventionnelles, souligne la source. 

 

Moscou a appelé lundi Damas à placer ses arsenaux chimiques sous contrôle international pour ensuite les démanteler. Les autorités syriennes ont immédiatement soutenu cette proposition.  

 

Les analystes supposent qu'en cas de réussite de l'initiative de Moscou, il serait possible d'éviter une frappe américaine sur les sites syriens. 

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:55
Rafale : des sous-traitants au bord de la crise de nerf...

12 septembre 2013 par Frédéric Lert – Aerobuzz.fr

 

Devant la commission de la Défense, Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation, a mis les pieds dans le plat. Il renvoie les politiques à leurs responsabilités.

 

Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation, était auditionné hier par la commission de la Défense, présidée par la député du Finistère Patrica Adam. Pendant un peu plus d’une heure, les questions, et les réponses, ont porté sur la question des drones mais aussi et surtout sur le programme Rafale. Et c’est dans les dernières secondes de son audition, qu’Eric Trappier a lâché cette confidence étonnante, alors qu’il était interrogé sur les modalités d’implantation d’une chaine de fabrication et d’une partie de la sous-traitance en Inde :

« Je connais beaucoup de sous-traitants qui viennent me dire : si on gagne le contrat indien, on ne pourrait pas tout faire là bas ? Comme ça on serait débarassé du Rafale… (NDA sous-entendu en France) »

Ce qu’il faut comprendre, c’est que le tissu de sous-traitants commence à être sérieusement démotivé par les atermoiements français et les aléas du programme Rafale. Quand Dassault se bat pour assurer la fabrication d’un avion par mois, Airbus affiche quant à lui des cadences cinquante fois supérieures. Le choix est vite fait pour les sous-traitants qui savent de quel côté regarder pour faire tourner leurs ateliers et gérer leurs boutiques…

 

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:55
Robusta - source GEII Nîmes

Robusta - source GEII Nîmes

12/09 Par Les Echos

 

Alors qu'ils existent depuis les années 1960, les programmes de lancement de nanosatellites se multiplient depuis dix ans.

 

Le marché des nano et microsatellites entame un nouveau décollage. Ces satellites, qui se caractérisent par un poids ultraléger (entre 1 et 10 kilos pour un nanosatellite, et 10 à 100 kilos pour un microsatellite) sont restés relativement confidentiels, jusqu'aux années 1990. Aucun ne sera même envoyé dans l'espace entre 1971 et 1989. Depuis le début des années 1990, les lancements ont cependant repris avec une intensité croissante. Selon SpaceWorks Commercial, une entreprise spécialisée dans la prospective qui travaille avec la Nasa, les lancements de satellites ayant un poids compris entre 1 et 50 kilos ont même augmenté de 8,6 % en moyenne sur la période allant de 2000 à 2012. Cette croissance s'explique notamment par l'apparition de la technologie Cube Sat, de petits satellites cubiques qui tiennent dans une main, ainsi que par l'essor de la microélectronique. Ces satellites miniatures sont la forme privilégiée actuellement par les unités de recherche universitaire, commerciale et gouvernementale.

 

Suprématie américaine

 

L'étude SpaceWorks, qui se base sur tous les projets rendus publics de construction et de lancement en cours ou à venir, prévoit une accélération de cette tendance. Elle anticipe une augmentation de 17 % des lancements sur la période 2013-2020. L'année dernière, 35 lancements ont eu lieu. En 2020, ils seront entre 121 et 188 selon les prévisions.

 

L'Amérique du Nord domine le secteur. Selon la société d'analyse Euroconsult, on recense plusieurs acteurs européens (en Ecosse, au Danemark, en Italie et en Hollande) et un acteur notable en Colombie. En France, l'université de Montpellier se positionne avec le projet Robusta. Sur les 325 lancements prévus de 2013 à 2015, seul une soixantaine ne seront pas effectués par les Etats-Unis.

 

Jusqu'en 2012, les lancements, étaient réalisés pour 60 % d'entre eux par le secteur civil, majoritairement par des universités, les satellites étant lancés pour la recherche et l'avancée technologique. Mais ces deux prochaines années, les nanosatellites seront de plus en plus souvent lancés pour des raisons militaires. Alors que 8 % des engins lancés en 2012 l'étaient par l'industrie de la défense et de l'espionnage, ils seront 30 % en 2015. Ainsi la recherche universitaire et les télécommunications perdront-elles de l'importance face aux missions d'observation et de reconnaissance. Les experts soulignent en revanche un « obstacle » à l'utilisation croissante de ces nano et microsatellites. Ne pouvant pas justifier à eux seuls le coût d'un lancement, ils doivent trouver une place lors des lancements de satellites plus gros. Ils pourraient également constituer « un problème en matière de débris présents dans le ciel ». Comme ils n'ont pas leur propre système de propulsion, ils ne peuvent se désorbiter seuls.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:50
CWSP Compact Warfare System Package

CWSP Compact Warfare System Package

Sep 12, 2013 ASDNews Source : MBDA

 

In 2010, MBDA launched CWSP (Compact Warfare System Package) to provide fast patrol boats and logistics ships with an integrated combat system for both self-defence and the means to secure sensitive coastal zones. In this respect, CWSP’s common architecture has up to now incorporated MBDA’s automated, twin turret Mistral missile SIMBAD-RC air defence system and a twin launcher Marte Mk2/N missile system for the anti-ship role. However, in recognition of the growing complexity of operations in the littoral, MBDA is now offering CWSP with an additional capability, namely that provided by Brimstone to counter agile high speed craft operating in potentially large numbers often in well  co-ordinated formations. These Fast Inshore Attack Craft (FIAC), when operating together, can overwhelm the defences of well armed naval craft equipped with medium calibre gun systems.

 

MBDA adds Brimstone Anti-FIAC Capability to CWSP Naval Warfare Solution

In May 2013, MBDA successfully carried out a surface-to-surface, rapid salvo firing of three Brimstone missiles in a trial scenario representing just such a FIAC attack. Each of the missiles hit its intended target. This trial followed on from two previous Brimstone successes against FIAC targets. With its all-weather, fire-and-forget, single button push salvo firing capability, Brimstone is therefore both a logical and significant addition to the capability already offered by CWSP.

 

Brimstone, in its air launched version, has proven its unerring accuracy during UK RAF combat operations in Libya and Afghanistan. This level of accuracy is now being offered in a surface-to-surface version in which Brimstone is deployed within sealed canisters in a modular launcher (single to six pack configurations are possible) housed on a vessel’s weather deck. In its maritime version, Brimstone’s on-deck footprint is minimal making it suitable for installation on a wide range of craft.

 

CWSP, which has been self-funded by MBDA, benefits from the company’s extensive experience in air defence C2 systems as well as in air defence and anti-ship guided weapons. This experience has enabled MBDA to offer its customers a turnkey combat system solution providing the high fire power of missiles and guns combined within a modular architecture incorporating radar and EO sensors, user friendly C2 as well as air and surface engagement and mission planning modules.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:50
National Council in Swiss Parliament Votes ''Yes'' to Gripen E Procurement

Sep 12, 2013 ASDNews Source : Saab AB

 

Earlier today the National Council (Nationalrat), which is one of the two chambers in the Swiss Parliament, reached a majority “yes” vote regarding the procurement of Gripen E.

 

There were several motions and votations made in the Parliament, all positive for the Gripen procurement. The main votation was the endorsement of the procurement with 113 votes for and 68 against. The financing and Gripen fund law were also passed with strong majorities.

 

The procurement now moves to the other chamber in the Swiss Parliament, the Council of States (Ständerat), where a vote on financing is scheduled for the 18 September, and where a positive vote for Gripen E had been made earlier this year.

 

“Naturally we are pleased by the vote in the Nationalrat, which is another positive endorsement of Gripen E,” says Lennart Sindahl, Senior Vice President and Head of Saab’s Aeronautics business area.

 

“Whilst we respect and are following the political process closely, we continue to progress our Swiss industrial participation programme, which is generating business throughout all regions of Switzerland. Even before a Gripen order has been signed, contracts have been signed between our suppliers and 117 Swiss companies valued at 315 MCHF. Saab continues to increase these values whilst ensuring the regional distribution of the business,” adds Mr. Sindahl

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:50
Barco and Thales team up to provide turnkey Local Situational Awareness solutions for armoured vehicles

Sep 11, 2013 ASDNews Source : Thales Group

 

Visualization experts Barco and the optronics business of Thales UK, a leader in military vehicle sensor systems, are pooling their expertise and experience in digital video electronic architectures to provide turnkey Local Situational Awareness (LSA) solutions for armoured vehicles.

 

The new partnership creates a scalable, innovative approach to LSA systems that will enable armoured vehicle manufacturers, integrators and operators to cut costs, reduce risk and save time compared to when integrating solutions separately.

 

The world’s leading armoured vehicle manufacturers and system integrators choose Thales and Barco for their LSA systems. Barco supplies rugged displays, computers and networked visualization systems while Thales provides market-leading military weapon aiming and surveillance systems, advanced processing and sensors technology. All are selected for their innovative features and high-quality imagery, as well as their compliance to the latest vehicle architecture standards for land army applications.

 

The British Army’s Specialist Vehicle (Scout SV) programme, for example, employs a Barco’s gunner and commander crew stations, triple-head driver’s displays, and ultra-low latency video processing unit, together with Thales weapons sighting and LSA sensor system, including stabilised digital gunnery and panoramic sights, daylight, low-light and thermal imaging camera clusters.  All LSA system elements comply with the UK MoD’s latest Defence Standard 23-09 for Generic Vehicle Architectures.

 

“We both have ample expertise and experience in developing digital video electronic architectures for defence applications, each with our own area of technical expertise. This has led to multiple common references around the world,” confirms Steven Luys, Vice-President Strategic Marketing Defense & Aerospace at Barco.  “Barco and Thales share a common passion for innovation and a sense of customer focus. We are both global market leaders, so it is logical to join forces and bundle our products into an all-in-one, ready-integrated LSA solution, instead of delivering each system independently.”

 

“By working closely together, we can help our customers save the costs, time and risk normally associated with large development programmes,” said Marion Broughton, Vice President of Land and Air Systems at Thales UK. “We are confident that our new partnership and the joint solutions it enables will be a bid-winning formula for success that will be very positively received in the industry.”

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:45
Soutien logistique de la MINUSMA: Supreme Group s'impose

12.09.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

Une partie du contrat de soutien des casques bleus de la MINUSMA n'a finalement pas été attribué à un groupe d'entreprises françaises mais à Supreme Group, entreprise déjà présente au Mali. Une porte-parole de l'entreprise américaine à Dubaï me l'a confirmé, sans entrer dans les détails du marché puisqu'un communiqué de presse doit encore être avalisé par l'Onu. Ce n'est donc ni PAE ni le groupement d'entreprises françaises qui décrochent ce marché.

 

Supreme Group, entreprise fondée aux Etats-Unis mais dont le siège est aux EAU, a déjà fourni des prestations logistiques aux contingents onusiens de Macédoine, Bosnie, Mozambique, Kosovo, Croatie, Liban, Ethiopie, Tchad, Sud Soudan, Syrie, Soudan, Liberia, Côte d’Ivoire et Somalie.

 

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Revers pour la France. La décision onusienne met un terme au projet de LoA française. Cette "letter of assist" aurait permis à des entreprises françaises, via l'Etat français qui les aurait rétribué avant de se faire rembourser par l'Onu, de fournir des prestations logistiques au profit de la MINUSMA (photo EMA ci-dessus prise à Gao montrant des casques bleus nigériens). C'était une bonne occasion de faire du business, et il n'y a pas à en rougir, mais elle nous échappe.

Comme je l'avais expliqué dans plusieurs posts au printemps (lire ici et ici), France Expertise International (organisation résolument rétive à fournir des détails sur ses activités) devait être l’organisme chargé de la mise en œuvre de cette "LoA", en articulation avec Thales, tête de file d'un groupe d'entreprises françaises spécialisées.

Or les Etats-Unis (alliés stratégiques mais concurrents économiques) ont aussi émis une LoA. Par ailleurs, leurs entreprises nationales présentes en Afrique (je renvoie aux nombreux posts que j'ai consacrés aux activités des entreprises US en Afrique) ont une bonne connaissance des arcanes des opérations onusiennes de maintien de la paix. La concurrence s'annonçait rude.

Or (bis), la frilosité et les retards français n'ont guère contribué à imposer une solution tricolore. "Trop de temps aura en effet été nécessaire pour organiser la réponse française, au point que celle-ci n’est à présent plus compatible avec le calendrier de déploiement des forces de l’ONU", estime un bon acteur/observateur français.

C'est donc l'expérience et la réactivité qui ont prévalu et qui ont fait que Supreme Group a été retenu.

Il nous reste quelques miettes: Losberger a fourni un camp de toile pour loger une centaine de casques bleus (une commande de Supreme Group, toutefois) et des sociétés françaises interviendront dans le domaine du transport et de la fourniture de carburant, par exemple.

 

A noter. La division "Procurement" de l'Onu a lancé plusieurs autres appels d'offres au profit de la MINUSMA (transport aérien, télécommunications). Cliquer ici pour les voir.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:40
Russie: la version navale du système Pantsir livrée à l'armée en 2014 ou 2015

MOSCOU, 11 septembre - RIA Novosti

 

La version navale du système antiaérien Pantsir sera livrée à l'armée russe dans un ou deux ans, a annoncé mercredi à Moscou Dmitri Konoplev, directeur du Bureau d'études KBP de Toula.

 

"Le ministère russe de la Défense est très intéressé à la version navale de Pantsir. Nous avons décidé de moderniser plusieurs destroyers et autres grands navires en vue de les adapter à Pantsir. Les travaux sont déjà en cours. Et je pense que cela sera fait dans un an ou deux", a indiqué M.Konoplev devant les journalistes.

 

Le système de combat Pantsir comprend des missiles et des obus d'artillerie. Les premiers, d'une portée de 20 kilomètres, se déplacent à la vitesse de 1.000 mètres par seconde et sont capables de neutraliser les cibles évoluant à une altitude oscillant entre 2 mètres et 15 kilomètres. Les seconds, d'une portée de 4 kilomètres, détruisent les cibles navales ou aériennes à une altitude allant de 0 à 3 kilomètres. Le Pantsir est en mesure de frapper quatre cibles simultanément. Créé en 1994, le Pantsir a plus tard été modernisé.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:40
Battery of Tor-M2E air defense systems

Battery of Tor-M2E air defense systems

MINSK, September 11 (RIA Novosti)

 

Russia will deliver a third battery of Tor-M2 air defense systems to Belarus by the end of this year, Belarusian Defense Minister Yuri Zhadobin said Wednesday.

 

Two Tor-M2 batteries were delivered to Belarus in 2011 and 2012. They have been deployed with the 120th Missile Brigade in western Belarus.

 

“The delivery of the third Tor-M2 battery will allow us to form a full-size battalion based on advanced, new-generation weaponry,” Belarusian state news agency BelTA quoted Zhadobin as saying.

 

The Tor-M2 (SA-15 Gauntlet) is a low- to medium-altitude, short-range surface-to-air missile system designed for intercepting aircraft, cruise missiles, precision-guided munitions, unmanned aerial vehicles and ballistic targets.

 

The Belarusian minister, who attended an active phase of the Combat Commonwealth 2013 air defense exercise at Russia’s Ashuluk firing range, praised the performance of the Tor-M2, as Belarusian crews operating the system destroyed three simulated targets with four missiles during live-firing drills.

 

“It is a very good result, even better than we expected,” Zhadobin said.

 

Moscow and Minsk signed an agreement on the joint protection of the Russia-Belarus Union State's airspace and the creation of an integrated regional air defense network in February 2009.

 

The network reportedly comprises five Air Force units, 10 air defense units, five technical service and support units, and one electronic warfare unit. It is part of the integrated air defense network of the Commonwealth of Independent States.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:35
Editorial: The Shanghai Cooperation Organization - China’s NATO?

12 September 2013 By Tyler Roney – Pacific Sentinel

 

On Friday leaders of Central Asian nations will meet at the Shanghai Cooperation Organization (SCO) summit in Bishkek, Kyrgyzstan. China arguably wields the most power of the countries involved, and the propaganda mills in Beijing are pumping out content hailing the importance of the upcoming meeting. In the end, though, what does it really mean for the Middle Kingdom?
 
The SCO, previously known as the "Shanghai Five," is made up of major and minor players; while China and Russia are the main attractions, Kazakhstan, Kyrgyzstan, Tajikistan and Uzbekistan sit on the sidelines, hoping for a spot in China's "Go West" strategy. There is a lot on the agenda to cover, from China's pipelines to security in Afghanistan. However, one thing is clear: China holds the reins.
 
Currently, China's celebrated lord and master Xi Jinping is touring the Central Asian nations to much fanfare back home. The state run media is following his stops in each country closely, hanging on every written promise of upholding the rule of law and that China will provide 30,000 government scholarships for SCO member states to study in China.
 
Indeed, the SCO isn't just a meeting of like-minded nations; it's a chance for China to show off its charm.
 
Read the full story at The Diplomat
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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:35
Lancement du premier bâtiment de débarquement coréen

12 septembre 2013. Portail des Sous-Marins

 

La Corée du Sud a dévoilé ce mercredi son premier bâtiment de débarquement amphibie construit dans un chantier naval du pays, qui sera déployé pour les opérations de débarquement et de transport de la marine nationale en 2015, a annoncé ce mercredi la marine sud-coréenne.

 

Référence : Yonhap News (Corée du Sud)

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:35
New 40mm Ammunition for Australia

Sep 12, 2013 ASDNews Source : ST Kinetics

 

Australian Munitions and Singapore Technologies Kinetics Ltd (ST Kinetics) have signed an agreement to cooperate in Australia and New Zealand for the development, manufacturing and marketing of ST Kinetics’ world-leading 40mm low velocity, extended range, and air bursting ammunition.

 

The two companies will focus on making new 40mm capabilities available to the Australian Department of Defence and establishing supply from within Australia. They will also look to introduce an innovative supply chain approach which includes reciprocation of supply.

 

ST Kinetics designs and manufactures a comprehensive range of 40mm weapons and ammunition, Fire Control Units and ammunition as systems, and has an unrivalled pedigree in this essential battlefield capability. Its innovative 40mm ammunition solutions also include air bursting, camera surveillance and even self-destruct rounds. The company’s 40mm ammunition is currently in service with a number of ABCA (American, British, Canadian, Australian) countries.

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