Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 16:45
Mieux connaître la mission : la formation TACP

24 août 2013 eutmmali.eu

 

Au sein du bataillon malien « Elou » actuellement formé par la Mission Européenne d’Entraînement au Mali (EUTM Mali), trois équipes de guidage aérien tactique avancé (TACP, tactical air control patrols) issues de l’armée de l’air malienne ont pour mission de contribuer à appuyer les opérations terrestres par l’exploitation d’aéronefs à voilure fixe ou tournante en service au sein de l’armée de l’air malienne (avions légers de reconnaissance TETRAS, hélicoptères d’attaque MI 24).

 

Une équipe TACP est composée d’un chef d’équipe, d’un opérateur radio, d’un topographe et d’un conducteur. Equipée de GPS, cartes, boussoles et jumelles, cette équipe est en mesure d’évoluer de manière autonome sur tous types de terrains. Sa mission principale consiste à localiser et transmettre les coordonnées d’une position ennemie repérée par reconnaissance aérienne.

 

La formation « TACP », d’une durée de six semaines, est dispensée par quatre instructeurs de nationalité italienne. Le cours est principalement axé sur la topographie, les procédures de transmission par radio et les procédures de guidage. Le sauvetage au combat, l’auto-défense, le tir et la prise en compte du droit humanitaire international dans la désignation des cibles constituent les autres points enseignés.

 

Knowing the mission: the TACP training

 

Among the Malian battalion “Elou” currently trained by European Union Training Mission in Mali (EUTM Mali), three tactical air control patrols (TACP) from the Malian air force are contributing to support land operations through the exploitation of both rotary and fixed wing assets in service within the Malian Air Force (TETRAS light recce plane, MI 24 attack helicopter).

 

A TACP team consists of a team leader, a radio operator, a navigator and a driver. Equipped with GPS, maps, compasses and binoculars, this team is able to evolve independently on all types of terrain. Its main mission consists in locating and transmitting the coordinates of an enemy position spotted by air recce.

 

The « TACP » training, which lasts 6 weeks, is provided by four Italian instructors. The course focuses mainly on topography, radio communications and ground to air procedures. Battlefield first aid, self-defense, shooting activities and consideration of international humanitarian law in the targets designation are the other points taught.

Mieux connaître la mission : la formation TACPMieux connaître la mission : la formation TACP
Mieux connaître la mission : la formation TACP
Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 16:40
Un exercice tactique commun pour les pilotes russes et français

26/08/2013 Capitaine Karim Djemai - Armée de l'air

 

Pour la première fois depuis la Seconde guerre mondiale, des avions de chasse français ont participé à un exercice tactique commun avec leurs homologues russes sur la base aérienne de Savasleyka, à 400 km à l’est de Moscou, du 18 au 23 août 2013.

 

Après deux journées consacrées à l’installation des matériels et aux briefings de préparation, les vols mixtes entre Mirage F1 CR français et MIG 29 SMT russes se sont déroulés pendant deux jours, les 20 et 21 août. « Au total, nous avons réalisé une dizaine de vols ensemble, explique le lieutenant-colonel Benjamin Vinot-Préfontaine, directeur de l’exercice. Nous avons débuté par des vols en avions biplaces, pour découvrir la zone d’évolution. Puis la difficulté est allée croissante, pour aboutir à des évolutions au-dessus du champ de tir de Koushalino, à l’ouest de Moscou. Nous avons effectué ensemble des passes de tirs roquettes et canons sur des objectifs désignés comme ennemis. Pour nous, il s’agissait de tirs simulés. Seuls les avions russes étaient armés. »

 

« Nous avons travaillé ensemble à la création du scénario de cet exercice, explique le capitaine Nicolas Gainand, pilote de Mirage F1. Le but était de s’assurer que nous pouvions effectuer des missions opérationnelles, malgré nos différences de langues et de procédures. Cet objectif a pleinement été atteint. »

 

Les forces aériennes russes et françaises partagent une longue histoire commune. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le régiment de chasse « Normandie Niemen » a mené d’intenses combats aériens au-dessus des territoires russes et d’Europe de l’Est. Stationnés en Russie de 1943 à 1945, les aviateurs français ont remporté plus de 200 victoires, payant un lourd tribut avec 42 pilotes morts au combat. De cette épopée militaire est née une véritable fraternité d’armes, dont les traditions ont été entretenues au fil des années.

 

« Ici, les aviateurs travaillent avec le cœur, explique le lieutenant-colonel Vinot-Préfontaine. Il existe entre nous un profond sentiment d’amitié. » Lors de sa visite sur la base aérienne de Savasleyka, le lieutenant-général Viktor Nikolaevitch Bondarev, chef d’état-major des forces aériennes russes, a affiché sa volonté de poursuivre ces échanges opérationnels. « Je pense que ce ne sera pas le dernier exercice aérien mené en commun, a déclaré le général Bondarev. Les enseignements ont été très bénéfiques pour nos deux nations. Nous souhaitons poursuivre dans cette direction et à l’avenir perfectionner nos modes opératoires communs. »

Un exercice tactique commun pour les pilotes russes et françaisUn exercice tactique commun pour les pilotes russes et français
Un exercice tactique commun pour les pilotes russes et françaisUn exercice tactique commun pour les pilotes russes et français
Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 16:40
Safran au salon MAKS 2013

Paris, le 26 août 2013 safran-group.com

 

Implanté depuis plus de 20 ans en Russie, Safran sera présent à la 20ème édition du salon international de l’Aéronautique et de l’Espace russe (MAKS), qui se déroule à Moscou (Zhukovsky) du 27 août au 1er septembre.

 

Cette année, Safran présentera pour la première fois sur son stand ses solutions innovantes en matière de sécurité. Les visiteurs pourront ainsi observer des systèmes d’identification biométrique (Morpho-Face™-Investigate, reconnaissance faciale ; Morpho Tatoo, identification des tatouages…) et des détecteurs de traces d’explosifs et de narcotiques (Itemiser® DX, StreetLab® Mobile, Mobile Trace®…).

 

Safran exposera également ses produits phares dans le domaine de l’aéronautique, comme la maquette du moteur SaM146. Produit par PowerJet, joint-venture entre Snecma (Safran) et la société russe NPO Saturn, le SaM146 motorise l’avion de transport régional russe Sukhoi Superjet 100. Deux pièces entièrement fabriquées à l’usine VolgAero (joint venture entre Snecma et NPO Saturn) à Rybinsk en Russie, seront exposées sur le stand : le CFM56-7B booster spool et le TRF (Turbine Rear Frame) qui compose le SaM146. Cette pièce est l’un des éléments principaux qui assure le rattachement à l’avion.

 

Les visiteurs pourront également voir l’Arrius 2G1 de Turbomeca (Safran) adapté pour l’hélicoptère Ka-226T de Kamov (appareil bimoteur russe équipé d’un double rotor contrarotatif).

 

Pour la première fois également, l’e-APU de Microturbo (Safran) sera exposé au salon. Ce groupe auxiliaire de puissance offre une solution innovante aux exigences des nouvelles générations d’avions d’affaires et d’hélicoptères, en termes de besoins électriques, de fiabilité et de normes environnementales.

 

Sur le stand, les visiteurs pourront aussi voir des produits de défense comme la LINS 100RS, la centrale de navigation inertielle produite par ZAO « RS Alliance », une société commune entre Sagem (Safran) et les sociétés russes ZAO « ITT » (Inertial Technologies of Technokomplex) et OAO « Rosoboronexport ». Ce système de navigation à hautes performances fait appel à la dernière génération de gyrolaser.

 

Le stand Safran, d’une superficie de plus de 100 m², est situé en A2, hall F3, à côté du stand CFM International (joint venture 50/50 entre Snecma et GE).

 

Il est également possible de suivre l’actualité du Groupe via son compte Twitter - @SAFRAN

* * * * *

 

Safran est un groupe international de haute technologie, équipementier de premier rang dans les domaines Aérospatial (propulsion, équipements), Défense et Sécurité. Implanté sur tous les continents, le Groupe emploie 62 500 personnes pour un chiffre d’affaires de 13,6 milliards d’euros en 2012. Composé de nombreuses sociétés, le groupe Safran occupe, seul ou en partenariat, des positions de premier plan mondial ou européen sur ses marchés. Pour répondre à l’évolution des marchés, le Groupe s’engage dans des programmes de recherche et développement qui ont représenté en 2012 des dépenses de 1,6 milliard d’euros. Safran est une société cotée sur NYSE Euronext Paris et fait partie de l’indice CAC 40.

Pour plus d’informations, www.safran-group.com

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 16:30
Les USA préparent un nouveau scénario yougoslave en Syrie

MOSCOU, 26 août - RIA Novosti

 

L'opposition syrienne a appelé les pays occidentaux et islamiques à intervenir dans la guerre civile qui l’oppose au pouvoir en place, écrit lundi 26 août le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

 

Les alliés reposent aujourd’hui entièrement sur la décision de Washington. L'administration Obama n'a pas encore pris de décision définitive mais elle se prépare manifestement à la réaction de force promise si Bachar al-Assad franchissait la "ligne rouge" qu’évoquait le président américain l’été dernier. Le scénario du bombardement de la Yougoslavie en 1999 pourrait inspirer cette intervention.

 

Ahmad Jabra, président de la Coalition nationale syrienne (CNS), s'est entretenu par téléphone avec les dirigeants des USA, de la France du Royaume-Uni, du Qatar, de la Jordanie et de la Turquie. Il a également rencontré le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu.

 

"Nous demandons au président américain Barack Obama et aux dirigeants d'autres pays occidentaux et du monde arabe de prendre leurs responsabilités et de s'ingérer dans le conflit afin de stopper le massacre en Syrie", a-t-il expliqué.

Jarba pense que l'intervention doit être soutenue par l'Onu et dirigée par les USA,

 

le Royaume-Uni et la France - la réaction de ces trois pays face aux bombardements du 21 août était effectivement la plus ferme. Pour sa part Obama a eu une conversation téléphonique de 40 minutes avec le premier ministre britannique David Cameron. Selon le Guardian, ce coup de fil a rapproché l'Occident d'une intervention militaire en Syrie. Les deux dirigeants ont conclu que l'attaque chimique qui aurait causé 1.400 morts selon l'opposition, signifiait le passage du conflit vers une nouvelle phase et méritait une "sérieuse réaction". Obama et Cameron sont pratiquement persuadés qu'al-Assad en est responsable.

 

D'après le New York Times, les conseillers d'Obama pour la sécurité nationale examinent l'opération de l'Otan au Kosovo à titre de scénario pour la guerre en Syrie au cas où le mandat du Conseil de sécurité des Nations unies n'était pas obtenu - ce qui est fort probable compte tenu de la position de la Russie. Selon l'ex-ambassadeur américain auprès de l'Otan Ivo Daalder, on pourrait se référer à la probabilité qu'une attaque chimique se reproduise ou que le Protocole de Genève de 1925 - interdisant l'utilisation de gaz toxiques - soit enfreint. L'ex-conseiller d'Obama pour le Moyen-Orient Dennis Ross juge "qu’avec un peu de volonté on pouvait trouver plus qu'assez de justifications juridiques pour intervenir, sans avoir besoin de l'Onu".

 

Les points de vue concernant l'aptitude de Washington à s'ingérer dans le conflit syrien divergent. Amin Hteit, général libanais à la retraite, pense que les Etats-Unis ne peuvent pas intervenir en Syrie car cela pourrait provoquer un conflit armé direct avec l'Iran. En effet, le chef adjoint d'état-major des forces armées iraniennes Massoud Jazaeri a souligné que l'intervention en Syrie serait une "ligne rouge" pour Téhéran. Par ailleurs, Alexeï Pouchkov, président de la commission des Affaires étrangères à la Douma (chambre basse du parlement russe) a écrit hier sur Twitter qu’"Obama court éperdument vers la guerre en Syrie, comme Bush vers la guerre en Irak. Et de la même manière qu'en Irak, cette guerre ne sera pas légitime. La seule chose qu’Obama va gagner, c’est de devenir un clone de Bush".

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 16:30
Syrie: la Turquie prête à rejoindre une coalition anti-Assad (officiel)

ISTANBUL, 26 août - RIA Novosti

 

La Turquie est prête à rejoindre une coalition contre le régime de Bachar al-Assad, même en l'absence de résolution officielle du Conseil de sécurité de l'Onu, a déclaré lundi le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu dans une interview accordée au quotidien Milliyet.

 

"Si une coalition est formée contre la Syrie lors de ce processus (en réaction à l'attaque chimique du 21 août), la Turquie en fera partie", a indiqué le ministre.

 

Selon lui, Ankara a toujours appelé la communauté internationale à agir en conformité aux résolutions de l'Onu, mais dans ce cas, le gouvernement turc serait prêt à examiner d'autres solutions si le Conseil de sécurité ne décide pas de faire pression sur Damas.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 16:20
Boeing KC-46  source Boeing

Boeing KC-46 source Boeing

Aug 23, 2013 ASDNews Source : The Boeing Company

 

Boeing officially began assembling the second KC-46A Tanker this week as workers loaded the aircraft’s wing spar into an Automated Spar Assembly Tool. The on-time milestone brings the program another step closer to delivering the U.S. Air Force’s next-generation aerial refueling tanker.

 

The event comes less than two months after the KC-46 program began to assemble the first of four Engineering, Manufacturing and Development test aircraft. The wing spar, the main structural component of the wing, is 82 feet 5 inches long and provides critical support for flight loads and the weight of the wings.

 

“Completing production of the four test aircraft on schedule is our priority as we prepare to enter the flight test phase of the program,” said Maj. Gen. John Thompson, U.S. Air Force Program Executive Officer for Tankers. “The program continues to meet or exceed all contract milestones.”

 

The first test aircraft is expected to roll out of the factory in January 2014, while the second is scheduled to leave the factory in March. Boeing plans to fly the fully provisioned tanker for the first time in early 2015 and make the first delivery in 2016. The company expects to build and deliver the first 18 KC-46As by 2017 and a total of 179 by 2027 if all options under the contract are exercised.

 

“We’re exactly where we want to be right now,” said Maureen Dougherty, Boeing vice president and KC-46 Tanker program manager. “One year from now, all four test aircraft will be out of the factory, and the first two will be flying.”

 

The KC-46A is based on the Boeing 767 commercial jetliner, a proven airframe in service as an airliner, freighter and tanker. Boeing has delivered more than 1,050 767s worldwide.

 

“Production of the first tanker is going smoothly and remains on schedule,” said Scott Campbell, 767 vice president and general manager, Boeing Commercial Airplanes.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 16:20
Raytheon's SM-6 engages 1st over-the-horizon targets at sea

Aug 23, 2013 ASDNews Source : Raytheon Corporation

 

    Test further verifies missile's role in extended range fleet defense

 

The U.S. Navy fired two Raytheon Company Standard Missile-6 interceptors from the USS Chancellorsville, successfully engaging two cruise missile targets (BQM-74 drones) in the missile's first over-the-horizon test scenario at sea.

 

The SM-6 will provide U.S. Navy sailors and their vessels extended range protection against fixed- and rotary-wing aircraft, unmanned aerial vehicles and cruise missiles as part of the Naval Integrated Fire Control - Counter Air (NIFC-CA) mission area.

 

"The SM-6's ability to engage threats at significantly greater ranges than other missiles in its class is a game changer for the U.S. Navy," said Jim Normoyle, Raytheon Missile Systems' SM-6 program director. "We verified the weapon's new processor earlier this month, and we're preparing for the USS Chancellorsville's Combat Systems Ship Qualification Trials in November."

 

In February, Raytheon delivered the first SM-6 from its new $75 million, 70,000 square-foot SM-6 and Standard Missile-3 all-up-round production facility at Redstone Arsenal in Huntsville, Ala. In May, a Defense Acquisition Board approved full-rate production of the SM-6 missile.

 

"SM-6 combines the best of our SM-2, SM-3 and AMRAAM missiles, providing an enhanced anti-air warfare and over-the-horizon capability at a reduced cost," said Mike Campisi, Raytheon Missile Systems' senior director of Standard Missile-1, -2, and -6 programs. "We have delivered more than 50 missiles ahead of schedule and under cost, and we remain on track to reach initial operating capability in 2013."

 

About the Standard Missile-6

SM-6 delivers a proven over-the-horizon air defense capability by leveraging the time-tested advantages of the Standard Missile's airframe and propulsion.

    The SM-6 uses both active and semiactive guidance modes and advanced fuzing techniques.

    It incorporates the advanced signal processing and guidance control capabilities from Raytheon's Advanced Medium-Range Air-to-Air Missile.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 15:55
Nouvelle loi de programmation militaire 2014-2019

26.08.2013 Fondation Robert Schuman


Le ministre français de la défense Jean-Yves Le Drian a présenté le 2 août 2013 le projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2014-2019. Ce projet de loi met en oeuvre les orientations de la politique de défense française pour les six prochaines années, à la suite du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale publié le 29 avril 2013. De nombreux objectifs ont été identifiés, dont certains font grincer les dents : déflation des effectifs de la défense, militaires et civils, pour atteindre 242 779 personnes en 2019, "sanctuarisation" du budget de la Défense ; investissements industriels (sous-marins, hélicoptères, aéronautique) ; renouvellement des équipements (MRTT, A400M, missiles). Le renseignement, les grands équipements de l'avenir, la cyberdéfense et l'Europe de la défense seront privilégiés.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 15:50
Organisation des industries de défense en Europe source ead-minerve.fr

Organisation des industries de défense en Europe source ead-minerve.fr

26.08.2013 Fondation Robert Schuman


La Commission européenne a présenté le 24 juillet 2013 une communication contenant un plan d'action visant à renforcer l'efficacité et la compétitivité du secteur européen de la défense et de la sécurité. La Commission souhaite prendre des mesures destinées à consolider le marché intérieur de la défense, à promouvoir une industrie de défense plus compétitive et à favoriser les synergies entre le civil et le militaire. L'énergie, l'espace ou les capacités à double usage (civil et militaire) sont également concernés. Ce document sera étudié au Conseil européen de décembre dédié en partie au secteur de la défense.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 11:35
photo USAF

photo USAF

August 24, 2013 By  Zachary Keck - Flashpoints

 

Japan will deploy the Global Hawk unmanned reconnaissance aircraft starting in fiscal 2015, the local daily Yomiuri Shimbun reported on Friday, citing unnamed government sources.

According to the report, Japan’s Defense Ministry plans on including 200 million yen (US$ 2 million) in next year’s budget for the “research and study expenses” involved in introducing the Global Hawk. The budget will also contain a provision mandating that the drone be deployed by 2015.

Yomiuri Shimbun said the government was in the process of selecting a base for the reconnaissance aircraft. According to the newspaper’s sources, the lead contender so far is the U.S. Air Force’s (USAF) Misawa Air Base in Aomori Prefecture way up in the northern part of Japan.

This would place it far away from the disputed Diaoyu/Senkaku Islands, although this wouldn’t be a huge obstacle to overcome as the Global Hawk can fly at an altitude of 18 km for more than 30 uninterrupted hours by some estimates. Others claim that the Global Hawk is “basically an unmanned U-2” that operates at between 15 km and 19 km and boasts “loiter time on station of 24+ hours.”

The RQ-4 Global Hawk made its first test flight in 1998 and entered development and limited production in 2001. The U.S. Air Force describes the aircraft as follows:

“A high-altitude, long-endurance unmanned aircraft system with an integrated sensor suite that provides intelligence, surveillance and reconnaissance, or ISR, capability worldwide. Global Hawk's mission is to provide a broad spectrum of ISR collection capability to support joint combatant forces in worldwide peacetime, contingency and wartime operations.”

With regards to radar and sensory imagery, the Global Hawk is equipped with Raytheon’s Enhanced Integrated Sensor Suite (EISS). The EISS includes “cloud-penetrating synthetic aperture radar (SAR) antenna with a ground moving target indicator (GMTI), a high resolution electro-optical (EO) digital camera and an infrared (IR) sensor.” 

Germany has its own version of the Global Hawk, which it operates under the name, EuroHawk. The U.S. Navy has a UAV under developed called the MQ-4C Triton, which is based on the Global Hawk.

As James Hardy reported in The Diplomat back in January, South Korea is also pushing ahead with the purchase of four Global Hawks, although the prohibitive cost of the aircraft may ultimately doom this effort.

High cost overruns have led the U.S. Air Force to significantly scale back its procurement plans for the Global Hawk, and further reductions could still be in the offing. Instead, the USAF will continue to use the U-2 manned aircraft.

Japan’s deployment of the Global Hawk should in theory significantly enhance its surveillance capabilities over the Diaoyu/Senkaku Islands. Indeed, in explaining the rationale behind Japan’s decision to deploy the Global Hawk, Yomiuri Shimbun said “The government judged it necessary to enhance deterrence with unmanned reconnaissance aircraft as there has been a surge in the number of cases in which the ASDF [Air Self-Defense Forces] has scrambled fighter jets in response to moves by China’s military aircraft.”

At the same time, the newspaper said Japan’s ASDF would jointly operate the drone with the USAF. The USAF, however, is already known to fly Global Hawks over Japan, and some have even speculated that the U.S. military has quietly allowed the ASDF to temporarily use them at times.

It was not clear from the Yomiuri Shimbun article how cost-sharing would work for the joint project, or how the joint operation would actually work. For example, it wasn’t clear from the report if Japan actually planned to purchase one of the aircraft itself, although Kyodo News reported last month that Tokyo was considering this option. The possibility of Japan buying between one and three Global Hawk drones has been floated elsewhere, and Chinese media said earlier this week that Japan is considering buying three Global Hawks from the U.S. over the next four years, although the sourcing of this report wasn’t entirely clear.

The Yomiuri Shimbun report also said that the defense budget would include four million yen for the research and study expenses for the deployment of a new early warning airplane by FY 2015, 1.3 billion yen for two amphibious vehicles and 1.7 billion to permanently station surface-to-air Patriot Advanced Capability-3 missile defense system in Tokyo. Currently, Japan moves PAC-3 systems into Tokyo only during crisis periods with North Korea.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 11:20
F-35A in-flight missile launch of an AIM-120 June 5, 2013. (Courtesy F-35 Program Office)

F-35A in-flight missile launch of an AIM-120 June 5, 2013. (Courtesy F-35 Program Office)

Aug 23, 2013 ASDNews Source : ITT Exelis

 

Exelis has successfully negotiated an agreement with Lockheed Martin Corp. to deliver carriage and release systems for the F-35 Lightning II. The combined value of the two low-rate initial production (LRIP) awards is approximately $60 million.

 

Already a supplier of carriage and release systems for the F-35, under the latest LRIP contracts Exelis will provide additional systems, including spare equipment, to all three variants of the aircraft.

 

The F-35 will be the premier combat aircraft for the coming decades,said Pete Martin, director of defense systems for the Exelis electronic attack & release systems business. Our carriage and release systems provide the aircraft with the high-performance capability it needs to carry its mission payload while maintaining its low-observable profile.

 

Delivery for the first contract is scheduled to begin in January 2014 and includes systems for 36 aircraft. The second lot is expected to commence in March 2015 with units and additional spares for 37 F-35s. The equipment provided meets all U.S. and international partner requirements.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 11:20
UAV System Allows GIS Professionals A Cost-effective Solution for Aerial Data

August 24, 2013. David Pugliese - Defence Watch

 

News release from Integrated Informatics:

 

CALGARY, Alberta, Aug. 23, 2013 /CNW/ – Integrated Informatics Inc. now offers a complete aerial data solution, from data capture to analysis and data management, using senseFly’s eBee unmanned aerial vehicle (UAV). This solution offers a significant cost-reduction related to mobilization and demobilization of fixed-wing and helicopter surveys.

 

Stephen Rowe of Integrated Informatics comments, “Prior to senseFly’s eBee, Integrated Informatics would have to rely on client-sourced imagery and digital elevation data, or pull from legacy data. In some cases, the data wasn’t even suited for the analysis being performed. By integrating the eBee, we now have the opportunity to capture and deliver data that specifically matches the requirements of our client’s projects.” Rowe continued, “We have flexibility with respect to spatial resolution and vertical accuracy that will result in more accurate analysis results.”

 

Integrated Informatics Inc. is a leading consultancy for Geographic Information System implementation and development. Founded in 2002, Integrated Informatics provides spatial data management, workflow and process automation, and custom mapping solutions to the Energy and Natural Resource sectors throughout North America with offices in Calgary, Alberta, Houston, Texas, and St. John’s, Newfoundland.

 

senseFly is a Swiss company that develops and produces autonomous ultralight flying drones, also called UAVs, and related software solutions.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 10:55
Deux Reaper pour l'armée de l'air: ce n'est plus "imminent", c'est fait... (23.08.2013)

23.08.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Hier, c'était "imminent (voir mon post mis en ligne ce matin). Ce vendredi, c'est fait!

La France a bien acquis un premier système de deux drones Reaper fabriqués par la société américaine General Atomics. "La procédure d'acquisition du premier système de deux drones MQ-9 Reaper a été notifiée. Il est commandé", a indiqué à l'AFP un porte-parole de la Défense.

L'achat de Reaper avait été annoncé en mai, mais plus de trois mois de discussions ont été nécessaires pour boucler l'opération. Ce premier système - les deux vecteurs aériens "non armés" et leur dispositif de guidage au sol - sera livré "à compter de fin 2013".

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 07:51
photo Susan Walsh

photo Susan Walsh

25.08.2013 par Isabelle Lasserre - LeFigaro.fr

 

Même s'ils préféreraient ne rien faire, les États-Unis étudient plusieurs scénarios d'intervention militaire.

 

Quatre jours après l'attaque chimique qui a coûté la vie à plusieurs centaines de personnes mercredi dernier dans la banlieue de Damas, des bruits de bottes se font entendre à Washington. Barack Obama a réuni samedi ses principaux conseillers à la sécurité nationale pour passer en revue avec eux toutes les options possibles, y compris militaires. L'armée américaine s'est déclarée prête à agir en Syrie si la Maison-Blanche l'ordonnait. «Le président Obama a demandé au département de la Défense de préparer des options pour toutes les circonstances», a confirmé le secrétaire américain à la Défense, Chuck Hagel.

 

Joignant le geste à la parole, les États-Unis ont décidé de renforcer leur présence militaire navale en Méditerranée, en y envoyant un quatrième destroyer, armé de missiles de croisière. Dans la région, les alliés de l'Amérique serrent les coudes. Après avoir évoqué avec le président américain une «réponse sérieuse» au régime syrien, la Grande-Bretagne a décidé de maintenir ses sous-marins dans la région.

 

Suite de l'article
Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 07:45
Industrie militaire - l’Algérie et les Emirats Arabes Unis finalisent des contrats et conventions de coopération (MDN)

25.08.2013 auto-utilitaire.com

 

Le Groupement de la promotion de l’industrie mécanique, relevant du ministère de la Défense nationale et le groupe émirati "Tawazun" et sa filiale "Nimre-Automotiv" ont procédé dimanche à Alger à la finalisation de tous les contrats et conventions de partenariat, a indiqué un communiqué du ministère.

 

"Dans le cadre de l’exécution du programme de développement des fabrications militaires, sous la forme partenariale, à court, moyen et long terme et sa mise en oeuvre dans le respect des délais de réalisation fixés, une importante délégation du groupe émirati Tawazun et sa filiale Nimre-Automotiv séjourne en Algérie du 24 au 27 août 2013", a ajouté la même source.

 

"Durant son séjour, la délégation présidée par M. Seif Al-Hadjiri, le PDG du groupe Tawazun et par M. Fahd Harhara, directeur général de Nimre-Automotiv ont procédé avec l’Etablissement public à caractère industriel et commercial, Groupement de la promotion de l’industrie mécanique (Epic-GPIM) du MDN, à la finalisation de tous les contrats et conventions au niveau du siège du ministère de la Défense nationale", a précisé le communiqué.

 

La délégation émiratie a, par ailleurs, fixé avec son homologue algérienne, les différentes étapes du lancement de la production, en vue de la sortie des premiers véhicules de l’usine de Khenchela dès décembre 2013, a poursuivi la même source.

 

Enfin, une convention d’investissement relative à ce programme a été signée avec l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI), a conclu le communiqué du MDN.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 06:55
Francophonie et profondeur stratégique

 23/08/2013 Niagalé Bagayoko et Frédéric Ramel (dir)15:31

 

La profondeur stratégique correspond à un ensemble de ressources (territoriales, matérielles et humaines) sur la base desquelles un acteur international peut s’appuyer en vue de mener à bien sa mission. Cette quête de profondeur demeure une des préoccupations constantes en période de guerre. Cependant, une posture stratégique en période de paix ne néglige pas non plus cette recherche de la profondeur, qui exerce une fonction non négligeable dans la constitution ou le renforcement d’un espace de défense et de sécurité. Il ne s’agit pas alors de contrôler directement un territoire mais de tisser un ensemble de relations et de partenariats à l’étranger afin de garantir protection et paix..

 

L’objectif de la présente recherche consiste à réhabiliter un point aveugle de la profondeur stratégique : sa composante francophone. En effet, la profondeur stratégique ne se limite pas à l’accès à un territoire. Elle intègre également des composants immatériels et institutionnels, aspects que la Francophonie comme organisation intergouvernementale permet d’illustrer. En effet, la dynamique institutionnelle de l’OIF depuis le sommet d’Hanoï   de1997   lui a ouvert l’accès à la scène diplomatique et stratégique, notamment par le biais des prérogatives attribuées au Secrétaire général de l’Organisation.

 

Outre l’analyse de ces transformations, cette étude propose tout d’abord une redéfinition du concept  de  profondeur  stratégique  en  élargissant  ses  dimensions  initiales.  Ensuite,  le concept de profondeur est appliqué à la fois à la francophonie (c’est-à-dire l’espace des populations ayant le français en partage) et à la Francophonie (espace politique en partie subsumé au sein de l’organisation internationale), ce volet mettant notamment en relief la contribution de l’OIF  à la consolidation d’un continuum stratégique qui s’étire de la prévention des conflits à la consolidation de la paix en passant par la réaction aux crises et aux conflits internes à ses Etats membres.

 

Etude de l'IRSEM n°26-2013

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 06:55
Remise de diplôme aux nouveaux officiers de réserve spécialistes d’état-major

Cours des ORSEM - crédits : MCH A.Perret/CESAT

 

23/08/2013 Laura Bataille- Armée de Terre

 

Le vendredi 23 août 2013 a eu lieu la cérémonie de remise des diplômes aux nouveaux officiers de réserve spécialistes d’état-major (ORSEM), après trois semaines de stage.

 

Ce stage s’est déroulé à l’école militaire (Paris) du lundi 5 août au vendredi 23 août 2013. Il a pour objectif de former des responsables civils de haut niveau à des responsabilités d’officiers supérieurs. Il s’agit du troisième niveau de formation de cursus des officiers de réserve. La réussite au stage est sanctionnée par l’attribution du diplôme d’officier de réserve spécialiste d’état-major par le général commandant le collège de l’enseignement supérieur de l’armée de Terre (CESAT).

 

« Ils s’instruisent pour mieux servir » est leur devise

 

Au-delà des conférences et exercices dispensés par les professeurs du CESAT, ce stage est l’occasion, pour des officiers d’origines et d’expériences variées, de tisser entre eux des liens solides. Un atout important puisqu’aujourd’hui les opérations sont presque toutes multinationales.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 06:50
Baltic : Visite de l’ambassadrice de France en Lituanie

23/08/2013 Sources : EMA

 

Le 21 août 2013, l’ambassadrice de France en Lituanie s’est rendue sur la base aérienne de Šiauliai en Lituanie afin de rendre visite au détachement français de la mission Baltic.

 

Madame Maryse Berniau, accompagnée d’une délégation de l’ambassade, a été accueillie par le lieutenant-colonel Jérôme Colombani, commandant le détachement français et par le  lieutenant-colonel Vidmantas Raklevicius, commandant la base aérienne de Šiauliai.

 

Au cours de cette visite, l’ambassadrice a rencontré les militaires français qui assurent une mission de police du ciel dans l’espace aérien des 3 pays baltes ; Lituanie, Lettonie et Estonie.  Après un passage dans la salle des opérations où elle a pu découvrir l’ensemble des services assurant la permanence de la posture opérationnelle, le lieutenant-colonel Benjamin Souberbielle, commandant le détachement chasse, lui a présenté le Mirage F1-CR ainsi que les particularités liées à l’exécution des missions dans les trois pays Baltes. La visite s’est achevé par une présentation du détachement des systèmes d’informations et de communications (SIC) qui assure l’ensemble des télécommunications.

 

Avant son départ, madame Berniau a assisté au décollage d’une patrouille de Mirage F1-CR. Quotidiennement, les pilotes effectuent des vols d’entraînement afin de maintenir les capacités opérationnelles du détachement.

 

Depuis le 30 avril 2013, près de 80 militaires français et 4 Mirage F1-CR, sous mandat de l'OTAN, sont présents sur la base aérienne de Šiaulai (Lituanie). Durant 4 mois, le détachement français conduit des missions d'assistance et de police du ciel dans l'espace aérien de la Lituanie, de la Lettonie et de l'Estonie.

Baltic : Visite de l’ambassadrice de France en Lituanie
Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 06:45
Les soldats de la MINUSMA reçoivent leurs bérets bleus de l'ONU (Photo Blagoje Grujic MINUSMA)

Les soldats de la MINUSMA reçoivent leurs bérets bleus de l'ONU (Photo Blagoje Grujic MINUSMA)

25/08/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Vingt-cinq officiers et personnels civils de dix pays africains ont terminé vendredi à Bamako, la capitale malienne, un stage de deux semaines en matière de maintien de la paix.

 

Le stage deux semaines avait pour but «de donner aux stagiaires la compétence et les outils nécessaires pour planifier, conduire et coordonner des actions ACM (action civilo-militaire) dans un environnement multidimensionnel d’une mission de soutien à la paix», a expliqué le directeur du stage, Oumar Maïga

 

Les stagiaires provenaient du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, des Comores, de la République du Congo, de la Côte d’Ivoire, de la République de Guinée, de la République démocratique du Congo, de l’Île Maurice et du Mali, a laissé entendre le directeur du stage, tenu du 12 au 23 août.

 

L’action civilo-militaire à contribuer à reconstruire le pays pour rétablir ou maintenir la paix. L’ACM est partie intégrante du plan d’opération et désigne l’ensemble des actions non strictement militaires réalisées au profit de l’environnement civil.

 

L’ACM, par laquelle les militaires contribuent à la réalisation d’un plan de paix dans tous les domaines est particulièrement important dans la phase initiale suivant un conflit, quand les acteurs civils ne sont pas encore en mesure d’exercer normalement leurs fonctions.

 

Les forces armées passent ensuite progressivement le relais aux organismes civils au fur et à mesure du rétablissement de la paix.

 

Oumar Maïga a déclaré à ce propos: «De nos jours, dans toutes les missions multidimensionnelles de paix des Nations Unies, la coordination civil-militaire (CIMIC) est devenue une fonction essentielle, en ce sens qu’elle représente l’interface entre la composante militaire et les composantes civiles, ainsi que les interfaces prévalant entre toutes les autres parties prenantes évoluant au sein du secteur d’opération de paix».

 

Le directeur du stage dit aussi avoir la «certitude que les stagiaires sont bien préparés à assumer la fonction d’ACM (action civilo-militaire) dans n’importe laquelle des différentes missions de paix en cours dans notre continent » et  »espère leur rapide déploiement dans une mission de soutien à la paix»..

 

La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA), crée par le Conseil de Sécurité de l’ONU pour aider les autorités maliennes à stabiliser le pays, est officiellement fonctionnelle depuis le 1er juillet dernier et sa branche ACM, action civilo-militaire, a déjà à son actif la réhabilitation du marché de Gao, une des trois régions du nord du pays qui ont été occupées par les groupes islamistes pendant neuf mois l’an dernier.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 06:30
HMS Illustrious - photo UK MoD

HMS Illustrious - photo UK MoD

26/08/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Si le président Obama semblait hésiter encore il y a quelques jours sur la réponse à appropriée à l’attaque chimique qui a tué des centaines de personnes s’il était avéré que le régime d’Assad en était responsable, les Britanniques quant à eux sont d’ores et déjà prêts à se joindre à une intervention militaire, si on en croit le quotidien The Telegraph.

 

Le ministre britannique des Affaires étrangères a déclaré dimanche que le Premier ministre David Cameron avait parlé avec le président Barack Obama et que les deux étaient d’accord qu’il doit y avoir une «réponse sérieuse».

La Syrie a certes accepté de laisser les Nations Unies inspecter à compter de lundi le site de l’attaque aux armes chimiques, mais un responsable américain a affirmé que ce serait alors «trop ​​tard pour être crédible» et qu’il n’y avait guère de doute que c’était bien le gouvernement syrien qui était à blâmer.

La Grande-Bretagne a déclaré elle aussi dimanche que les preuves d’une attaque aux armes chimiques dans la banlieue de Damas auront déjà été détruites avant la visite du site par les inspecteurs de l’ONU.

«Nous devons être réalistes sur ce [les résultats, ndlr] que l’équipe de l’ONU peut atteindre», a déclaré le secrétaire des Affaires étrangères William Hague à la presse.

Si les puissances occidentales semblaient encore chercher la réponse appropriée à dans ce qui est vraisemblablement la pire attaque aux armes chimiques dans le monde en 25 ans, un porte-parole de l’Armée syrienne libre a déclaré quant à lui dans une interview que les rebelles disposeraient d’informations selon lesquelles plusieurs pays occidentaux ont bel et bien pris la décision de lancer une attaque militaire contre le régime syrien en réponse à l’usage qu’il a fait d’armes chimiques.

Selon le porte-parole de l’ASL, «Le monde ne peut pas supporter la mort de 1 500 personnes sans agir».

En outre, quelques jours après l’attaque au gaz toxique, des problèmes d’alimentation en eau et en nourriture commencent aussi à poindre, les habitants de la capitale syrienne craignant que leurs approvisionnements soient contaminés.

Le gaz toxique a frappé la zone de la Ghouta, où des hectares de terres agricoles fournissent la capitale de 3 millions de personnes, Damas, en légumes frais, viande et produits laitiers.

De son côté, le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault a déclaré dans une interview que la communauté internationale ne pouvait pas permettre que de pareils crimes contre l’humanité aient lieu en Syrie et, chez les Britannique, si on en croit le Telegraph, des navires de guerre sont prêts à unir leurs forces aux forces navales américaines dans une attaque possible contre la Syrie.

Selon le journal, des sources gouvernementales britanniques ont déclaré que les pourparlers entre les dirigeants occidentaux étaient en cours, mais que, s’il y avait consensus, l’intervention militaire pourrait commencer dans les prochains jours.

 

 

Comment pourrait se dérouler l’intervention

Le HMS Triumph, un sous-marin britannique de classe Trafalgar, capable de lancer des missiles Tomawhak (Photo: WikimédiaCommons)

Comme l’armée de l’air syrienne est jugée suffisamment forte pour abattre des avions ennemis, toute attaque serait probablement lancée d’abord à partir de la mer.

Un sous-marin à propulsion nucléaire de la Marine royale britannique est d’ailleurs déjà dans la région tandis qu’un certain nombre de navires de guerre ont récemment quitté la Grande-Bretagne pour des exercices en Méditerranée.

Les commandants d’une pareille opération pourraient aussi, au besoin, utiliser la base de la Royal Air Force britannique d’Akrotiri, à Chypre, pour l’appui aérien.

Si une intervention militaire était décidée, la première vague de missiles pourrait alors être lancée dans une semaine.

Des sources militaires font remarquer que le début d’une campagne contre la Syrie pourrait ressembler aux premières heures de la campagne de 2011 contre le colonel Mouammar Kadhafi en Lybie.

La campagne de Libye avait commencé avec un blitz de missiles Tomahawk à partir de navires de guerre américains et d’un sous-marin britannique de classe Trafalgar.

La Royal Navy, bien sûr, ne révèlent pas les positions actuelles de ses sous-marins, mais on sait bien qu’ils traversent régulièrement la région sur leur chemin vers le canal de Suez.

En outre, la Sixième Flotte des États-Unis dispose actuellement de quatre contre-torpilleurs lance-missiles dans la région et chacun d’eux pourrait participer à l’attaque.

La Royal Navy a également sa task force de réaction rapide en Méditerranée. Le groupe comprend deux frégates et le porte-hélicoptères HMS Illustrious.

 

Et les Russes?

Le président américain Barack Obama s’était prononcé vendredi contre une intervention militaire en Syrie sans mandat des Nations-Unies: «Si les États-Unis décident d’attaquer un autre pays sans avoir reçu le mandat de l’ONU et sans présenter de preuves suffisantes, on peut se demander si de telles démarches peuvent être conformes au droit internationale», avait déclaré le chef de la Maison Blanche dans une interview accordée à la chaîne américaine d’information continue CNN.

Toutefois, il semble bien improbable qu’une intervention militaire obtienne l’aval de l’ONU, les Russes , alliés indéfectibles du régime de Damas et qui ont droit de veto au Conseil de Sécurité s’y opposant.

Cependant, s’il est avéré que le régime Assad est responsable de la pire attaque chimique depuis un quart de siècle, la donne pourrait changer.

Entre temps, les Russes continuent de donner de la voix, le président de la commission des affaires internationales de la Douma (chambre basse du parlement russe), Alexeï Pouchkov, déclarant dimanche 25 août que le président Obama aspirant à la guerre en Syrie répète les démarches de son prédécesseur George W.Bush qui préparait la guerre en Irak, devenant ainsi un clone de ce dernier.

La différence entre l’Irak de Saddam et la Syrie d’Assad étant, ce qui semble échapper aux Russes, que les armes de destruction massives, cette fois, existent bel et bien et qu’on en a manifestement fait usage.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 05:53
Kosovo : Déploiement de l’EEI au camp de Nohting Hill

23/08/2013 Sources : EMA

 

Le 23 août 2013, l’escadron d’éclairage et d’investigation (EEI) français a relevé la compagnie ukrainienne au camp de Nothing Hill, au nord du Kosovo.

 

Depuis le 2 août, l’EEI avait déployé trois pelotons sur le poste frontière de « Gate 1 », la position la plus au nord de la KFOR. A partir de cette position, l’escadron a conduit des patrouilles quotidiennes en véhicule et à pied. Il a effectué des missions de contrôle de véhicules à l'aide de « check-point »  et des missions de surveillance, notamment des axes secondaires qui permettent de circuler entre le Kosovo et la Serbie sans passer par le poste frontière. Ces missions ont pour but de maintenir un environnement sûr et sécurisé, et de garantir la liberté de mouvement des habitants sur tout le territoire.

 

L’ensemble de l’escadron est désormais déployé à Nothing Hill où il domine l'axe routier entre Mitrovica et « Gate 1 ». Il remplit les mêmes missions qu’à « Dog 31 » ou « Gate 1 ». Sur « Gate 1 », il a été relevé par une compagnie polonaise. Sur Nothing Hill, il succède à une compagnie ukrainienne. Les unités de manœuvre française, polonaise et ukrainienne sont toutes placées sous le commandement tactique du Multinational Battle Group East (MNBG-E) de la KFOR.

 

La KFOR participe au maintien d’un environnement sûr et sécurisé au profit de l’ensemble de la population du Kosovo, en coopération avec la Mission des Nations unies au Kosovo (MINUK) et la mission de l’Union européenne (EULEX). Environ 300 militaires français sont engagés dans l’opération TRIDENT, nom de la participation française à la KFOR, avec une unité de manœuvre (l’EEI) et un élément de soutien national (ESN).

Kosovo : Déploiement de l’EEI au camp de Nohting HillKosovo : Déploiement de l’EEI au camp de Nohting Hill
Kosovo : Déploiement de l’EEI au camp de Nohting HillKosovo : Déploiement de l’EEI au camp de Nohting Hill
Kosovo : Déploiement de l’EEI au camp de Nohting HillKosovo : Déploiement de l’EEI au camp de Nohting Hill
Partager cet article
Repost0
25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 11:45
Visit of a delegation from EUCAP Sahel Niger Mission

22 août 2013 eutmmali.eu

 

On 21 and 22 August 2013, the European Union Training Mission Mali (EUTM Mali) received the visit of Colonel John Venau and Divisional Commissioner Frank Van Der Mueren, from EUCAP Sahel Niger Mission, accompanied by Mrs. Laura Mascagna and Sara Campinoti, from the European Union Delegation in Mali. The purpose of this visit was to improve mutual knowledge between the different European Union stakeholders in the Sahel region and to discuss the joint issues and prospects between the two missions.

 

During the first day, the delegation was received by General Bruno Guibert, commander of the European Union Training mission in Mali, and attended a presentation of the mission within Main Headquarters in Bamako. The second day was dedicated to the presentation of the « training » component in Koulikoro. After being welcomed by Colonel Philippe Testart, commanding officer of Koulikoro training camp, the delegation attended the training activities of the Malian battalion « Elou », including an urban combat training sequence in the combat village of Koulikoro.

 

Launched in August 2012 for a term of two years, the EUCAP Sahel Niger Mission includes 50 European experts in the areas of justice and security, and aims at contributing to improve the capacity of Nigerian security forces, in order to fight efficiently terrorism and organized crime in the region.

Partager cet article
Repost0
25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 11:40
Le NORAD et la Force aérienne de la Fédération de Russie participeront à l'exercice militaire conjoint Vigilant Eagle 2013
23 août 2013 -(Marketwired)
 
BASE DE LA FORCE AERIENNE DE PETERSON, COLORADO- Le Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD) et la Force aérienne de la Fédération de Russie mèneront leur troisième exercice coopératif de vol réel du 26 au 30 août 2013 au-dessus de la mer de Béring.

L'exercice, appelé Vigilant Eagle, se veut une initiative menée conjointement par les Etats-Unis et la Russie pour améliorer la coopération et la réponse dans le cadre d'un scénario de détournement d'avion commercial auquel participe des militaires de la Force aérienne de la Fédération de Russie, de l'Aviation royale canadienne et des Etats-Unis ainsi que des aéronefs opérants en Russie et aux Etats-Unis.

L'exercice de cette année prendra la forme d'aéronefs simulant deux vols internationaux : un en provenance de l'Alaska en vol dans l'espace aérien russe, puis un en provenance de Russie en vol dans l'espace aérien américain.

Dans le scénario de l'exercice, un transporteur aérien commercial immatriculé à l'étranger est saisi par des terroristes lors d'un vol international et ne répond pas aux communications. Cette situation fera en sorte que la Force aérienne de la Fédération de Russie et le NORAD devront lancer ou détourner des chasseurs pour enquêter sur le transporteur commercial et le suivre. L'exercice portera sur le transfert de la surveillance de l'aéronef d'un pays à l'autre par les pays participants.

La série d'exercices Vigilant Eagle a été menée à quatre reprises depuis sa création. Elle a été lancée en 2008 avec un exercice de simulation par ordinateur, suivi par le premier exercice de vol réel en août 2010, auquel ont participé des intercepteurs, des avions ravitailleurs et des avions AWACS des deux participants. Cet événement a marqué une étape importante dans nos efforts de coopération continus visant à protéger nos frontières internationales. Il a été suivi par un autre exercice de vol réel réussi en 2011. En 2012, un autre exercice de simulation par ordinateur a été réalisé à la demande de la Force aérienne de la Fédération de Russie.

Ces exercices continuent à favoriser l'amélioration de la coopération entre la Force aérienne de la Fédération de Russie et le NORAD en ce qui a trait à leur capacité à répondre rapidement aux menaces de terrorisme aérien. Travailler côte à côte permet à la Russie, au Canada et aux Etats-Unis de saisir d'autres occasions d'améliorer leur partenariat international et de détecter, localiser, identifier, intercepter et suivre de manière collaborative la simulation d'un aéronef détourné qui traverse les frontières internationales.

Note aux rédacteurs : Pour de plus amples renseignements sur cet exercice en Amérique du Nord, veuillez communiquer avec les Affaires publiques du NORAD au 719-554-6889 ou visitez http://www.norad.mil.

Tout au long de l'exercice, des photos et des vidéos de rouleau B seront disponibles pour téléchargement sur le site du Defense Video & Imagery Distribution System (DVIDS) à l'adresse http://www.dvidshub.net/feature/VigilantEagle et sur le site de la Caméra de combat des Forces canadiennes à l'adresse http://www.combatcamera.forces.gc.ca.
Partager cet article
Repost0
25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 11:20
The AT-6 light attack aircraft during its first production test flight at Beechcraft's facility in Kansas, US. Photo Beechcraft Corporation.

The AT-6 light attack aircraft during its first production test flight at Beechcraft's facility in Kansas, US. Photo Beechcraft Corporation.

23 August 2013 airforce-technology.com

 

Beechcraft has carried out the initial test flight of its first production AT-6 light attack aircraft at its facility in Wichita, Kansas, US.

 

Having already completed more than 1,600 flight hours, the aircraft is being offered to the US allies seeking light attack air support for demanding missions.

 

During flight test, the aircraft was loaded with a pair of 250L drop tanks, two inert GBU-58 laser-guided bombs, two LAU-131 seven-shot rocket launchers, as well as a L-3 Wescam Mx-15Di electro-optical infrared camera, Flight Global reports.

 

Beechcraft CEO Bill Boisture said the flight test demonstrates the collaborative effort of the entire Beechcraft team involved in the design, development and production of the AT-6 aircraft.

 

''We have seen a growing interest in the AT-6 from the defence establishment around the world and we are eager to provide proven reliability and a cost-effective solution to meet the light attack mission needs of our customers,'' Boisture said.

"The aircraft is being offered to the US allies seeking light attack air support for demanding missions."

 

Beechcraft Defense Company president Russ Bartlett said: ''This light attack aircraft is outfitted with state-of-the-art equipment and avionics that will provide partnering nations with a proven air platform and weapons systems that are already in use by air forces around the world.''

 

Powered by a single Pratt and Whitney PT6A-68D engine, the AT-6 is an armed variant of T-6B Texan II aircraft under development to support a variety of operations, including training, manned intelligence surveillance and reconnaissance, and light precision attack missions.

 

Equipped with CMC Esterline's mission modified Cockpit 4000 and Lockheed Martin-built A-10C-based mission system, the aircraft can also be used in the support of convoy escort, homeland defence, counter-narcotics, disaster area reconnaissance, search-and-rescue and firefighting operations.

 

The aircraft has successfully demonstrated high-end net-centric and light attack capabilities and full compatibility with US and Nato joint terminal attack controller (JTAC) systems during the Air National Gurad's (ANG) Operational Assessment and Joint Expeditionary Force Experiment in 2010.

Partager cet article
Repost0
25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 11:20
Special Ops Command Announces $560M Award for Critical New Vehicle

Aug. 22, 2013 - By PAUL McLEARY - Defense News

 

In one of the dwindling number of domestic new build ground vehicle contracts available to the US defense industry, the US Special Operations Command today awarded General Dynamics Ordnance and Tactical Systems a contract worth at least $562 million its Ground Mobility Vehicle 1.1 (GMV) program.

 

The special ops command has said that it wants to buy 1,297 GMVs to replace the current 1,072 Humvee-based GMVs it has in its inventory. Defense News reported back in May that SOCOM had already planned to spend about $24 million on the program in fiscal 2014 for the first 101 vehicles, at a price tag of at $245,000 per vehicle.

 

Barring any protests, the loss will come as a bitter pill for current GMV-maker AM General and Navistar International, companies who are looking for more business at a time when the buys of Humvees and MRAPs have ended. Oshkosh Defense was eliminated from the competition in January, after which it filed a protest which was then withdrawn in April.

 

Requirements documents released last year said that the GMV would have to weigh less than 7,000 pounds, have the ability to carry up to seven passengers and be transportable in an M/CH-47 Chinook helicopter.

 

In today’s notice about the award, the government said that it plans on spending about $14 million in already allocated fiscal 2012 and 2013 budgets for research, test and evaluation on the GMV.

 

Final deliveries of all GMVs are expected to be complete by September 2020.

 

SOCOM has also said that it’s in the market for an even smaller vehicle that could fit in the back of a V-22 Osprey. SOCOM released a request for proposals on April 5 for the program, which calls for a lightly armored vehicle that can roll out of the back of an Osprey and begin firing mounted weapons within 60 seconds.

 

Funding for that program would kick off in the 2015 budget SOCOM officials announced this spring, and that industry has already started to submit its plans to meet the requirement. The Air Force special operation command will begin doing combat evaluations of prototypes in 2014.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories