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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 11:35
photo Livefist

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15/07/2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Pilatus a annoncé que la formation de l’armée de l’air indienne sur PC-7 MkII avait débuté le 8 juillet dernier à l’Indian Air Force Academy de Dundigal. Ce sont pour l’instant huit « cadets » qui participent à la formation.

 

L’industriel suisse Pilatus et l’Indian Air Force avaient signé un contrat en mai 2012 pour la fabrication et la livraison de 75 avions d’entraînement basique PC-7 MkII, pour plus de 400 millions d’euros. Quatorze avions ont été livrés depuis, l’admission au service actif ayant elle été prononcée le 31 mai dernier.

 

Le Pilatus PC-7 MkII est en service depuis 1994. Motorisé par un PT6A-25C de Pratt & Whitney, l’avion d’entraînement basique partage la même cellule et le même système avionique que le PC-9M.

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 11:35
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15/07/2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Pilatus a annoncé que la formation de l’armée de l’air indienne sur PC-7 MkII avait débuté le 8 juillet dernier à l’Indian Air Force Academy de Dundigal. Ce sont pour l’instant huit « cadets » qui participent à la formation.

 

L’industriel suisse Pilatus et l’Indian Air Force avaient signé un contrat en mai 2012 pour la fabrication et la livraison de 75 avions d’entraînement basique PC-7 MkII, pour plus de 400 millions d’euros. Quatorze avions ont été livrés depuis, l’admission au service actif ayant elle été prononcée le 31 mai dernier.

 

Le Pilatus PC-7 MkII est en service depuis 1994. Motorisé par un PT6A-25C de Pratt & Whitney, l’avion d’entraînement basique partage la même cellule et le même système avionique que le PC-9M.

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 10:55
Le 14 Juillet 2013 à bord d’un Casa

16/07/2013 Ltt Alexandra Lesur-Tambuté

Pilote de Casa CN235 au 1/62 «Vercors», le lieutenant Anthony Marchand a réussi son passage au-dessus des Champs-Élysées, lors de la cérémonie du 14 Juillet 2013. Pour sa première participation au défilé aérien, nous l’avons suivi des répétitions jusqu’à cet instant magique dans le ciel parisien. Embarquement.

Suite de l’article

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 10:55
Future entrée du ministère à Balard

Future entrée du ministère à Balard

18/07/2013 Ministère de la Défense/SGA/SPAC

 

Le ministère de la Défense a notifié le 15 mai 2013 un avenant au contrat de partenariat attribué le 30 avril 2011 à la société Opale défense pour le futur site du ministère à Balard (Paris 15e).

 

Cet avenant a principalement pour objet la prise en compte de précisions rédactionnelles et d'ajustements consécutifs à la finalisation des travaux de conception. Il se traduit par une moins-value en investissement de 0,8 M€ HT, et une moins-value en fonctionnement de 5,4 M€ HT (sur la durée du contrat).

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 10:55

16 juil. 2013 ministeredeladefense

Ce film met en exergue quelques unes des missions et opérations mises en œuvre par la Défense et les forces armées françaises selon quatre grands axes : La Défense se prépare / La Défense protège le territoire et sa Nation / La Défense intervient / le rayonnement de la Défense.

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 10:50
Exercice logistique de l’OTAN : la France remarquée.

Exercice OTAN - Crédits : SIRPA Terre

 

17/07/2013 Laura Bataille – sources LCL P. Augereau - Armée de Terre

 

Du 08 au 23 juin 2013, la France a participé à l’exercice « Capable logistician 2013 » (CL 13) organisé en Slovaquie par le « multinational logistics coordination center » (MLCC). Il s’agissait du premier exercice logistique de l’OTAN depuis « Common effort » en 2004.

 

Durant deux semaines, cet exercice a réuni 1800 militaires et observateurs civils appartenant à 35 nations différentes. La France a pu démontrer, avec ses 108 militaires déployés, le savoir-faire de ses armées dans le domaine du soutien logistique de théâtre. L’armée de Terre a été le contributeur principal du détachement français et a pleinement participé aux objectifs de l’exercice qui consistaient à améliorer : la coordination multinationale des moyens engagés ; la capacité à déployer, au niveau tactique, un état-major interallié de soutien interarmées ; l’interopérabilité des procédures et des moyens engagés par les alliés.

 

Un test grandeur nature pour le nouveau matériel

 

L’armée de Terre a déployé des hommes et du matériel provenant notamment du 3e régiment du génie (3eRG), du 516e  régiment du train (516eRT), du 501e régiment de char de combat (RCC) et du régiment de soutien du combattant (RSC). Cet exercice était aussi l’occasion pour la section technique de l’armée de terre (STAT) de déployer certains de ses nouveaux matériels, dont un exemplaire de présérie du porteur polyvalent logistique avec dispositif de protection (PPLOG DP) et un exemplaire du porteur polyvalent lourd de dépannage avec dispositif de protection (PPLD DP). Cela a notamment permis de démontrer leur interopérabilité avec les autres moyens engagés par les alliés et d’apprécier la capacité d’emport de plateaux et de containers étrangers par le PPLOG DP. Avec les démonstrations du char lourd de dépannage, ces deux équipements ont fait forte impression.

 

Les conclusions de cette évaluation seront intégrées dans le processus d’optimisation des règles d’engagement capacitaires de l’OTAN.

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 09:58
Londres vend des armes à la Syrie

18/07/2013 Par Florentin Collomp Correspondant à Londres

 

Selon un rapport parlementaire, le Royaume-Uni a autorisé des exportations de matériel militaire à plusieurs pays sensibles dont l'Iran, la Syrie et la Chine.

 

Alors que David Cameron vient d'abandonner sa proposition d'armer les rebelles syriens, le Royaume-Uni a-t-il livré des composants permettant de fabriquer des armes chimiques au régime de Bachar el-Assad? Un rapport parlementaire révèle l'exportation par le pays de 12,3 milliards de livres (14 milliards d'euros) d'armement à 25 nations figurant sur sa propre liste de régimes sensibles.

 

Selon le comité de contrôle des exportations d'armes de la Chambre des communes, du fluorure de sodium, qui peut servir à la fabrication d'armes chimiques, a été exporté vers la Syrie ces deux dernières années. Des véhicules tout-terrain et des pièces de sonars ont également été vendus à Damas. Londres vient par ailleurs d'annoncer l'envoi de tenues de protection contre les armes chimiques aux insurgés syriens. Le gouvernement assure qu'aucun équipement «de nature à être utilisé pour faciliter la répression interne», «provoquer ou prolonger des conflits régionaux ou internationaux» n'est concerné. Mais la logique commerciale semble l'emporter sur les droits de l'homme: sur les 27 régimes à caractère sensible désignés par le Foreign Office, seuls la Corée du Nord et le Soudan Sud n'ont pas de contrat d'armement avec la Grande-Bretagne.

 

Fusils d'assaut au Sri Lanka

 

Plus de 3000 licences d'exportations de «produits stratégiques sous contrôle», qui peuvent avoir un double usage civil ou militaire, ont été signées ou renouvelées. L'Iran a bénéficié de 62 contrats, essentiellement pour du matériel cryptographique. La Russie reçoit du matériel biotechnologique, des fusils, des systèmes d'armes guidés par laser et des drones. La Chine a acheté pour 1,4 milliard de livres d'équipements, alors qu'il existe un embargo européen sur les livraisons d'armes à Pékin. Des fusils d'assaut ont été exportés au Sri Lanka, malgré les rapports sur la répression. Israël représente plus de la moitié des montants vendus à l'étranger.

 

Président de la commission parlementaire, l'ancien ministre de la Défense, John Stanley, s'est dit «stupéfait» par cette «somme gigantesque» - il a d'abord cru que «quelqu'un avait ajouté des zéros»! Il demande au gouvernement des «clarifications» sur l'utilisation possible des produits autorisés à la vente par les fournisseurs britanniques dans certains régimes douteux. «Le gouvernement doit reconnaître le conflit inhérent entre la promotion soutenue des exportations d'armes à des régimes autoritaires tout en critiquant en même temps leur non-respect des droits de l'homme», souligne le député.

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 09:54
photo EMA

photo EMA

19/07/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Selon nos informations, la Direction générale de l'armement (DGA) vient de notifier une commande de modernisation de 48 VBCI au groupe public. Un contrat qui va donner de la charge de travail au principal site de Nexter, Roanne, en attendant le lancement du programme VBMR et d'un contart export structurant.

 

C'est une bonne nouvelle pour Nexter en général, et en particulier pour les salariés de la chaine d'assemblage du véhicule blindé de combat d'infanterie (VBCI). Certes, le montant de la commande reste modeste mais le contrat va surtout donner un bon bol d'oxygène au groupe public en attendant mieux... c'est-à-dire le lancement d'un nouveau programme et/ou un contrat export d'envergure. Selon des sources concordantes, la Direction générale de l'armement (DGA) a récemment notifié une commande de modernisation de 48 VBCI, qui va dans cette opération prendre du poids... afin de mieux protéger les militaires en opération extérieure. Le véhicule blindé va passer de 28 à 32 tonnes.

Une commande qui va donner de la charge de travail aux salariés travaillant sur la chaine d'assemblage des VBCI (démontage et remontage des VBCI). Le retrofit des VBCI commencera seulement à la fin des dernières livraisons des actuels VBCI prévues à la fin de 2014. Soit au début de 2015. Les livraisons des VBCI modernisés devraient s'étaler jusqu'en mars 2016. Une deuxième tranche de 47 VBCI modernisés est également dans le viseur de Nexter.

 

Un relais en attendant mieux

En clair, l'avenir de Nexter était encore une fois dans les mains de l'Etat, le groupe ayant une visibilité d'un peu moins de 24 mois (exercices 2013 et 2014) grâce à son carnet de commandes. Mais il fallait un contrat pour faire la soudure entre la fin du VBCI et le lancement des programmes blindés VBMR et EBRC afin de donner de la charge de travail aux 800 salariés du site de Roanne. La consultation VBMR que Nexter Systems prépare en coopération avec Renault Trucks Defence (RTD) représenterait le relais pour le maintien du potentiel industriel du groupe. Le ministère de la Défense pourrait se décider avant la fin de 2013, sinon au plus tard début 2014. Nexter compte également sur un contrat export , notamment au Canada (de 108 à 138 exemplaires), au Danemark (autour de 250), au Qatar (plus de 400) et aux Emirats Arabes Unis (700). Un rapprochement à haut risque avec Krauss Maffei Wegman est même envisagé.

 

Un véhicule "combat proven"

Véritable "base vie" pour le fantassin, le VBCI offre un haut niveau de protection face aux différentes menaces des théâtres. Il a été projeté en Afghanistan et au Liban en 2010 puis au Mali en début d'année 2013 où il a à chaque fois "parfaitement rempli les missions qui lui étaient assignées à la grande satisfaction des troupes engagées", selon la DGA.

Véhicule blindé tout-terrain à 8 roues motrices, successeur de l'AMX 10 P, il existe en version poste de commandement (VPC) et en version de combat d'infanterie (VCI). La version VCI, commandée à 520 exemplaires, est armée d'une tourelle de 25 mm et permet l'emport de onze soldats Félin. La version VPC, commandée à 110 exemplaires, dont le dernier vient d'être livré à l'armée de terre en mai 2013, est équipée du système d'informations régimentaire (SIR). Le VBCI est un véhicule de la classe des 30 tonnes qui atteint une vitesse de pointe de 90 km/h.

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 09:21
L'amiral Guillaud aurait-il dû démissionner ?

18/07/2013 Jean Guisnel - Défense ouverte / Le Point.fr

 

La réorganisation du ministère de la Défense suscite de sérieux mais discrets remous. Certains regrettent que le chef d'état-major des armées n'ait pas démissionné.

 

La réforme du ministère telle qu'elle est engagée par Jean-Yves Le Drian, à la suite d'un processus de réorganisation ayant pris plus d'un an, suscite en interne de fortes controverses. Pour une meilleure compréhension, nous avons décidé de publier l'intégralité de la lettre du ministre et des annexes, à l'exception de la quatorzième et dernière page, qui contient la liste de ses 21 destinataires (cliquez ici pour lire la lettre). Cette réforme, rappelons-le, a été souhaitée par Jean-Yves Le Drian, convaincu de sa nécessité bien avant de prendre ses fonctions. Elle a été conduite par un membre de son cabinet, qui a réuni à de très nombreuses reprises un groupe de travail - appelé L33 - auquel ont participé des dizaines de membres des cabinets civil et militaire du ministre de la Défense, ainsi que des officiers détachés par tous les états-majors, y compris l'état-major des armées, et tous les services du ministère. On se dit de ce fait totalement persuadé, dans l'entourage du ministre, que si cette réforme a fait l'objet de discussions, elle n'a suscité aucune opposition véritable. Divergence d'appréciation ou vraie opposition ?

 

Le décret de 2009 aux oubliettes

Cette réorganisation n'est pas anodine. Elle n'est pas non plus destinée à placer le ministère cul par-dessus tête. Sa dimension la plus sensible et la plus symbolique - celle qui retire à l'état-major des armées la gestion du personnel pour la confier à la direction des ressources humaines DRH-MD - ne fait que ramener l'institution à la situation qui avait prévalu entre 1962 et 2009. Cette dernière date étant celle de l'antépénultième réforme du fonctionnement du ministère, essentiellement voulue à cette époque par deux hommes : le général Jean-Louis Georgelin, chef d'état-major des armées de 2006 à 2010, et par son successeur aujourd'hui en fonction, l'amiral Édouard Guillaud, qui se trouvait être alors le chef d'état-major particulier du président de la République Nicolas Sarkozy. Le décret de 2009 est donc passé par pertes et profits. Et d'aucuns, dans les armées mais pas seulement, prétendent que l'amiral Guillaud aurait dû marquer son refus de cette évolution en démissionnant, ce que les marins appellent "poser la casquette".

 

Démission ? Là est la question

Comme le monde est bien fait, il se trouve que deux commentaires "postés" à la suite de la parution de notre article du 17 juillet développent les arguments entendus ces derniers temps dans les armées. Les tenants du départ du CEMA estiment comme Raboliot qu'Édouard Guillaud "doit démissionner. La marginalisation des militaires réduits à l'état de simples exécutants au sein même du ministère de la Défense condamne le modèle militaire français". Mais un autre contributeur signant Pavlof est bien renseigné. Il reprend en substance les mêmes arguments contre la démission du CEMA, que celui-ci aurait avancés auprès de proches : "La démission est certes un moyen d'exprimer un mécontentement, mais n'a jamais permis d'avancer. Ce n'est pas en quittant ses fonctions que le CEMA pourra continuer à faire entendre sa voix. Il y aurait toujours eu quelqu'un, derrière lui, pour saisir l'opportunité, et se vendre facilement en affirmant être en mesure d'appliquer toutes les réformes voulues par le ministre. La démission n'a jamais permis de garder la main sur une négociation !"

 

"Éviction doctrinale des militaires"

Ce ne sont pas les militaires en activité qui s'exprimeront ouvertement sur cette réforme. "Parce qu'ils sont d'accord avec elle", veut-on se persuader au cabinet du ministre. Mais la réalité est plus prosaïque : tout militaire au-delà du grade de commandant est promu par le président de la République, et toutes les fonctions dépendent d'une nomination ministérielle. Voilà qui calme les ardeurs ! Ainsi donc, c'est un officier à l'esprit synthétique qui nous a résumé le sentiment entendu sous des formes diverses, mais à de très nombreuses reprises, ces dernières semaines : "Les décisions que son cabinet a fait prendre au ministre dans le cadre de la réorganisation du ministère consacrent l'éviction doctrinale des militaires. On assiste à une véritable déconstruction des fondations sur lesquelles fonctionnait le système. C'est exactement de la même façon que le système Louvois a été imposé aux armées voici deux ans, avec le résultat que l'on connaît. C'est une véritable défiance idéologique qui ne repose sur aucune analyse fonctionnelle pertinente et qui va profondément déstabiliser les armées, sans parler des conséquences sur le moral des troupes, qui s'enfonce chaque jour un peu plus."

 

"Saignés par les restructurations"

Pour un son de cloche complémentaire, qui reflète là encore des critiques souvent entendues, on pourra se référer au texte que le général François Torrès vient de publier sur le site de l'Asaf (Association de soutien à l'armée française). Sous le titre "Les dissonances de la toge et du glaive", ce général (en deuxième section) explique : "Saignées par des restructurations à répétition, les armées sont aujourd'hui en passe de perdre le contrôle de plusieurs directions importantes, qui touchent l'une à la gestion des hommes, que les militaires ont, depuis les premiers jours de leur longue formation, toujours considérée comme une éminente priorité, l'autre aux contacts avec les armées étrangères, dont l'efficacité, articulée autour de l'expertise partagée, est un des éléments essentiels de la sécurité globale. On voit mal pourquoi les officiers des forces, qui en sont les experts, en seraient écartés, sous prétexte de les cantonner dans l'opérationnel."

L'été sera-t-il chaud ?

 

 

 

 

 

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 07:55
Photo RP Defense

Photo RP Defense

18 juillet 2013 - Ouest-France

 

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, se rendra aux Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (Guer), le samedi 20 juillet, pour assister à la cérémonie du Triomphe à l'occasion de laquelle les futurs officiers de l'armée de terre recevront leurs galons et, pour les nouvelles promotions, leur nom de baptême.

 

Fin de la scolarité

 

La cérémonie du Triomphe clôt les cycles de scolarité des élèves en dernière année de l'école spéciale militaire de Saint-Cyr, de l'école militaire interarmes et de l'école d'administration militaire à Guer.

 

Le Triomphe 2013 sera le dernier pour l'école d'administration militaire qui formait jusqu'à présent les officiers commissaires et ceux du corps technique et administratif. L'instruction initiale des ces derniers sera désormais assurée par l'ESM et l'EMIA, tandis que la formation de spécialité sera réalisée par l'école du commissariat des armées de Salon de Provence.

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 07:30
Fin du déploiement du groupe de guerre des mines dans le Golfe arabo-persique

18/07/2013 Sources : EMA

 

Les 15 et 17 juillet 2013, le groupe de guerre des mines (GGDM) et les bâtiments de la mission Jeanne d’Arc achevaient respectivement leur participation à l’opération Enduring Freedom(OEF). Composé de deux chasseurs de mines tripartites (CMT) de la Marine nationale, le Pégase et le Sagittaire, le GGDM avait pour mission première de sécuriser les voies maritimes ainsi que les approches des ports, et contribuer ainsi à la sûreté de nos approvisionnements.

 

Le GGDM avait également comme mission de mettre à jour notre connaissance des fonds marins et des routes maritimes. Cette mission permet d’être en mesure de comparer, à tout moment, les cartes préalablement établies et les levées de fonds plus récentes des CMT.

 

Régulièrement intégré à l’opération Enduring Freedom durant son déploiement, le GGDM a amplement contribué à la connaissance approfondie de la zone permettant à la force d’entretenir un suivi précis dans la zone d’opération.

Fin du déploiement du groupe de guerre des mines dans le Golfe arabo-persique

Cette projection dans le Golfe arabo-persique a également permis de consolider la coopération entre la France et ses alliés en matière de guerre des mines - qu’il s’agisse des pays du Golfe ou des nations prépositionnées dans la zone - notamment à travers la participation du GGDM à deux exercices majeurs. Le premier, dénommé « Artémis Trident », s’est déroulé au large des côtes bahreïniennes du 18 au 27 juin 2013 : c’était un exercice tripartite anglo-franco-américain dont le principal enjeu était d’augmenter l’interopérabilité de nos trois marines dans le domaine de la guerre des mines.

Fin du déploiement du groupe de guerre des mines dans le Golfe arabo-persique

Le second exercice, « IMCMEX » (international Mine Countermeasures Exercise), a rassemblé 35 bâtiments et 41 nations lors de sa deuxième édition de mai 2013. Le principal objectif de cet exercice majeur était la préparation à la lutte contre les menaces asymétriques, afin de garantir la sécurité maritime et la protection des infrastructures. L’intégration complète de l’état-major français à bord de l’USS Ponce a constitué un moment fort de cette mission.

Fin du déploiement du groupe de guerre des mines dans le Golfe arabo-persique

Les déploiements de groupes de guerre des mines en océan indien sont réguliers : ils contribuent à la présence navale permanente, du golfe d’Aden au golfe persique, engagée dans la lutte contre les menaces qui pèsent sur nos intérêts, comme les trafics liés au terrorisme.

Les deux bâtiments qui composent la mission Jeanne d’Arc, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre et la frégate anti-sous-marine (FASM)Georges Leygues,ont été intégrés dans l’opération Enduring Freedom depuis le 5 juillet dernier, offrant ainsi des moyens significatifs au profit de la TF150.

 

Actuellement, un bâtiment français est engagé dans OEF : il s’agit du bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Somme, qui accueille l’état-major de la TF150, sous commandement français. C’est la huitième fois que la France occupe cette responsabilité depuis le début de l’opération.

 

La France participe à la composante aéromaritime de l’opération Enduring Freedom(Task force150) qui a pour missions de dissuader et de lutter contre le terrorisme et ses réseaux de soutien, principalement les trafics d’armes et de drogue dans l’océan indien, la mer rouge et le détroit d’Ormuz. Cette zone, qui représente un intérêt majeur, voit la majorité du trafic maritime mondial y transiter. La présence permanente de bâtiments de la coalition contribue ainsi à la libre navigation des personnes et des biens.

Fin du déploiement du groupe de guerre des mines dans le Golfe arabo-persique
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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 23:08
Trois marins de la FORFUSCO décorés par le ministre de la Défense

17/07/2013 Marine nationale

 

C’est au cœur de l’hôtel de Brienne, à Paris, et en présence du président de la République, que trois marins, membres de la force maritime des fusiliers-marins commandos (FORFUSCO), ont été reçus et décorés par le ministre de la Défense, monsieur Jean-Yves Le Drian.  Un officier et deux officiers mariniers (dont un mécanicien), blessés lors de l’opération Serval au Mali, ont reçu des mains du ministre, la croix de la valeur militaire. Cette cérémonie, qui s’est déroulée le 13 juillet dernier, avait pour but de mettre en valeur ces militaires qui assurent au quotidien les missions de la Défense nationale, notamment sur des théâtres d’opérations extérieures.

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 21:55
Le Drian décide de réorganiser son ministère

17/07/2013 Jean Guisnel -Défense ouverte / Le Point.fr

 

Avant la Loi de programmation militaire attendue le 2 août, la Défense voit une réforme profonde se mettre en place. Une nouvelle source de tensions ?

 

Alors que le conseil de séfense qui devait entériner la Loi de programmation militaire devait se tenir ce mercredi, une réforme de taille est passée relativement inaperçue. Entérinée les 30 mai et 12 juin derniers lors de deux comités exécutifs dirigés par le ministre de la Défense Jean-Yves le Drian, cette mutation en plusieurs volets va entraîner de profondes modifications dans le fonctionnement du ministère. Elles visent explicitement à réduire les pouvoirs du chef d'état-major des armées (CEMA), actuellement l'amiral Édouard Guillaud, tels qu'ils avaient été notamment définis par le décret du 16 juillet 2009. Initialement réticent, ce dernier a finalement accepté ce rognage de ses compétences.

 

Grande complexité, nombreuses duplications

De longue date, les socialistes avaient envisagé ces changements, au point de les avoir engagés dès le 5 juin 2012, quelques jours après la prise de fonctions du nouveau gouvernement. Quarante-sept réunions plus tard, auxquelles il a personnellement participé à onze reprises, Jean-Yves Le Drian a adressé le 1er juillet dernier un courrier de 14 pages (référencé 6991/DEF/CAB) à ses grands subordonnés. Le ministre de la Défense y explique pourquoi il a décidé ces changements. Évoquant "l'organisation actuelle du ministère, caractérisée par une grande complexité et de nombreuses duplications", il estime que "l'enjeu est d'abord de mettre un terme aux dysfonctionnements qui pèsent le plus souvent sur le personnel des armées. La désorganisation de la fonction soldes, consécutive au déploiement du logiciel de soldes Louvois, nous en fournit un exemple inacceptable." Dans l'entourage de Le Drian, on fait savoir : "Le système était devenu fou ! On se trouvait dans une forme de gouvernance absurde. Nous n'avons pas engagé une révolution, mais un retour au bon sens..."

 

Ressources humaines

La plus importante des mesures décidées porte sur la gestion des ressources humaines des armées. Depuis 2009, cette fonction était chapeautée par l'état-major des armées. Elle sera dorénavant confiée à la DRH-MD (Direction des ressources humaines du ministère de la Défense) que dirige Jacques Feytis, qui jouira d'une "autorité fonctionnelle renforcée". Une mission d'audit confiée au Contrôle général des armées analysera l'ensemble de la fonction ressources humaines du ministère, pour proposer une "réduction des effectifs de la fonction" comprise entre 10 % et 20 %. La lettre de Le Drian précise que cet audit sera effectué par un "cabinet extérieur spécialisé en organisation", mais cette disposition n'est plus d'actualité. Une "incompatibilité totale" entre le chef d'état-major des armées l'amiral Édouard Guillaud et le chef du contrôle général des armées (CGA) Christian Piotre, qui aurait dû être chargé de cet audit, a débouché entre-temps sur l'éviction de ce dernier et son remplacement par Jean-Robert Rebmeister. "Il n'y a désormais plus d'obstacle à la réalisation de cet audit par le CGA, c'est ce qui va se faire", corrige-t-on aujourd'hui au cabinet du ministre de la Défense. Où l'on précise également qu'un poste de directeur-adjoint des ressources humaines du ministère a été créé, qui sera confié à l'amiral Jean Casabianca, ci-devant en charge de ces affaires à l'état-major des armées.

 

Finances et soutiens

Les autres mesures introduites par la réforme portent sur la gestion des finances du ministère de la Défense. Entérinant "la quasi-disparition des marges de manoeuvre en gestion" et la disparition des 24 000 nouveaux emplois annoncés lors de la publication du récent Livre blanc, Jean-Yves Le Drian souhaite "rationaliser la fonction du pilotage financier central", "renforcer l'autorité fonctionnelle de la direction des affaires financières" à compter du 1er janvier 2014. Autre point dur : les soutiens. Ou, en d'autres termes, l'organisation des bases de défense introduites par la RGPP (Révision générale des politiques publiques) de l'ère Sarkozy, qui a certes entraîné des simplifications, mais également des cascades de mécontentement. Chaque unité militaire dépend en effet d'une base de défense (BDD) qui gère l'ensemble de son intendance. Et cela ne marche pas... C'est le ministre qui l'écrit : "L'organisation est inachevée et demeure très complexe pour les organismes soutenus." La réforme consistera notamment à confier au Service du commissariat des armées une "autorité hiérarchique" sur les soutiens. Et l'État-major des armées est chargé de la mise en place d'ici octobre 2013 de "l'élaboration d'un plan de consolidation et de stabilisation du fonctionnement en bases de défense".

 

Une lettre approbatrice

Initialement très rétif à la remise en cause de certaines de ses prérogatives nées du décret de 2009, le chef d'état-major des armées Édouard Guillaud a finalement fait part au ministre de son accord sur cette réorganisation. Il est vrai qu'il lui aurait été difficilement concevable de conserver son poste s'il avait affiché une opposition franche à cette réorganisation majeure. Elle ne touche certes pas à ses prérogatives opérationnelles, les plus importantes, mais n'en change pas moins la gouvernance du ministère et des armées. D'ailleurs, dans un courrier en date du 19 juin adressé à Jean-Yves Le Drian et que Le Point.fr a pu lire dans son intégralité, il "souscrit globalement" à la réforme, ce que le quotidien L'Opinion, qui a bénéficié d'une fuite de ce courrier, n'a pas relevé.

 

Relations internationales

En réalité, à ce qui s'entend au cabinet du ministre, le CEMA n'a marqué son désaccord que sur la réforme des relations internationales de la défense. C'est un secteur énorme, et la passion de l'amiral. Mais ce dernier ne déterre pas la hache de guerre quand il écrit qu'il regrette la mise en place aux ordres du ministre de la Défense d'"un nouveau grand subordonné, le directeur de l'action internationale et des affaires stratégiques". L'amiral Guillaud, globalement d'accord avec la réforme à laquelle ses services ont participé, émet une modeste réserve et s'"interroge cependant sur le risque d'une déconnexion entre le niveau de conception et les réalités opérationnelles et capacitaires". On a connu des oppositions plus féroces... Du côté du cabinet ministériel, on estime peu cohérent que "lorsque le ministre demande une note sur la Jordanie, il en reçoive six émanant de six services différents." De même source, on ne comprend pas bien les arguments d'Édouard Guillaud : "Ce à quoi nous voulons arriver, c'est à une organisation administrative marchant aussi bien que l'opérationnel. En revenant aux fondamentaux de l'activité militaire dont le principe de base Un chef, une mission, des moyens demeure excellent !" Un autre cadre du ministère ajoute : "Le retrait d'Afghanistan réussi comme à la parade, l'opération Serval impeccablement conduite, nous savons ce que nous devons à l'amiral Guillaud et au général Didier Castres. Il faut que le reste marche aussi bien !"

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 21:55
En Aquitaine, Dassault soigne ses sous-traitants

18 juillet 2013 Nicolas César - L'Usine Nouvelle n°3340

 

ENQUÊTE  Les usines locales préparent la fabrication du Falcon nouvelle génération et espèrent augmenter la cadence grâce au Rafale.

 

Les négociations entre Dassault et l’Inde, mais aussi le Canada et la Malaisie sont suivies de près en Aquitaine. Car c’est ici, dans l’usine de Mérignac, près de Bordeaux (Gironde), qui emploie 1 300 salariés, que le Rafale est assemblé. Actuellement, avec les commandes de l’armée française, seul un avion par mois sort des ateliers. L’Inde, qui souhaite construire à domicile ses avions de chasse, devrait tout de même apporter 18 contrats à la région. Ce sont tous les sous-traitants qui vont profiter de cette manne. L’usine de Mérignac, qui réalise aussi l’aménagement intérieur personnalisé pour les avions d’affaires Falcon 7X, « fait travailler une cinquantaine d’entreprises régionales », indique son directeur, Jean-Marie Pontois. Ce qui représente 25 millions d’euros de chiffre d’affaires.

 

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 21:55
Bretagne : DCNS Lorient, la frégate du Morbihan

Grâce au programme Fremm, le plan de charge du constructeur est assuré jusqu’en 2022

 

18 juillet 2013 Stanislas du Guerny - L'Usine Nouvelle n°3340

 

Premier employeur industriel du département, le constructeur naval bénéficie d’un plan de charge qui fait les beaux jours de la sous-traitance locale.

 

Lorient vit au rythme de DCNS. Il suffit de se poster à la principale porte d’entrée du chantier pour comprendre que tout va bien. Le ballet des véhicules est incessant. Premier employeur industriel du Morbihan, DCNS occupe une emprise de 46 hectares proche du centre-ville. Le constructeur naval doit y construire, dans le cadre du programme Fremm, 12 frégates multifonction pour le ministère de la Défense. Une commande complétée par celle du Maroc, qui a décidé de se doter de l’un de ces bâtiments. Le plan de charge est assuré jusqu’en… 2022 ! « Nous livrons une frégate tous les dix mois. Cela représente 3 millions d’heures de travail pour le chantier. Cinq navires sont en cours de réalisation », précise Jérôme Hémonet, le directeur de la communication du chantier. À Lorient, DCNS emploie 2 000 salariés : 200 postes supplémentaires ont été créés au cours des deux années écoulées, principalement en production. Ce contrat Fremm fait les beaux jours de la sous-traitance locale. Quelque 800 salariés, répartis entre les entreprises lorientaises de peinture et les ateliers de chaudronnerie et de tôlerie, interviennent tous les jours sur le site.

 

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 21:45
Opération Serval : point de situation du 18 juillet 2013

18/07/2013 Sources : EMA

 

Point de situation sur les opérations de la force Serval au Mali depuis le 11 juillet 18h00 jusqu’au 18 juillet 18h00

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 80 sorties. Une trentaine de sorties ont été dédiées à l’appui feu des opérations terrestres, et autant aux missions de transport. Une vingtaine a été consacrée aux missions de ravitaillement et aux missions ISR.

 

Opération Serval : point de situation du 18 juillet 2013

Au sol,la force Serval poursuit les opérations dans la boucle du Niger, et au Nord du pays, tout en assurant la poursuite des relèves.

 

Au Nord, dans la région de Tessalit, 180 militaires de la force Serval ont mené l’opération Croix du Sud du 7 au 12 juillet, dans la vallée de Terz. Le détachement, constitué de deux pelotons blindés sur AMX 10 RC et d’une section d’infanterie, était appuyé par une section génie, une section appui mortier et un train de combat. Des gendarmes maliens étaient également insérés dans ce dispositif. L’opération Croix du Sud avait pour objectif de fouiller la vallée de Terz afin de vérifier qu’il n’y ait pas de nouvelles caches d’armes installées depuis la précédente opération de fouilles. Tout au long de l’opération, un appui renseignement a été effectué par des avions de chasse Rafale et de patrouille maritime Atlantique 2. Les deux premiers jours, les militaires ont mené un raid blindé depuis Tessalit pour rejoindre leur premier objectif, la sortie Est de la vallée de l’Amettetai. Ils ont ensuite mené durant les quatre jours suivants une reconnaissance et des opérations de fouille dans le secteur d’Aul et dans la vallée de Terz. Ils ont inspecté et fouillé les nombreux puits qui s’y trouvent. Au bilan, les militaires de la force Serval n’ont trouvé aucune trace récente indiquant le passage de groupes terroristes. La découverte et la fouille d’anciennes caches a permis de trouver du matériel permettant la confection de deux IED, plus de 350 cartouches de petits calibre, près de 150obus de 20 mm, près de 400 obus de 23 mm et une quinzaine de roquettes de différents types.

 

Le 9 juillet 2013, Monsieur Bert Koenders, chef de la mission de la MINUSMA et représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies au Mali, a rendu visite aux militaires de la Force Serval et de la MINUSMA déployés sur l’aéroport de Gao. Cette visite avait pour objectif d’effectuer un point de situation avec les forces de la MINUSMA, en cours de déploiement à Gao. Il souhaitait par ailleurs connaître l’appréciation de la situation par  la force Serval tant sur le plan sécuritaire que sur l’environnement humain des opérations.

Opération Serval : point de situation du 18 juillet 2013

Du 10 au 15 juillet 2013, un convoi armé par près de 180 militaires du bataillon logistique et composé d’une centaine de véhicules – dont une quarantaine de véhicules civils  pour le transport des vivres – a assuré le ravitaillement depuis Bamako des détachements de liaison et d’appui (DLA)français insérés au sein des bataillons de la MINUSMA à Tombouctou et à Gao. Après1650 km de trajet, les 800 tonnes de fret ont pu être livrées. Ce convoi, le plus important entre Bamako et Gao depuis le début de l’opération, a permis d’acheminer une grande quantité de fret composé de vivres, de carburant et de pièces mécaniques, avant que la saison des pluies ne s’intensifie et ne perturbe plus encore le trafic sur les itinéraires.

 

Le 12 juillet 2013, le colonel David Cruzille, chef de corps du 3e régiment d’hélicoptères de combat (3e RHC) a pris le commandement du groupement aéromobile (GAM), sur l’aéroport de Gao. Il succède au colonel Frédéric Barbry, chef de corps du 1er régiment d’hélicoptères de combat (1er RHC), qui a commandé le mandat 2 du GAM depuis le 7avril 2013. La cérémonie était présidée par le général Laurent Kolodziej, commandant la brigade Serval, qui a félicité les 250 militaires de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) qui arment le GAM.

Opération Serval : point de situation du 18 juillet 2013

Le 14 juillet, pendant que les troupes maliennes et de la MINUSMA défilaient à Paris,la cérémonie de la fête nationale a été présidée par le général de Saint-Quentin, commandant de la force Serval, en présence de l’ambassadeur de France et des attachés de défense étrangers, sur le site de l’aéroport de Bamako. Etaient également présents, des représentants de la MINUSMA et de l’EUTM ainsi que des autorités militaires maliennes.  A Gao, la cérémonie était présidée par le général Laurent Kolodziej, commandant la brigade Serval, et regroupait les unités présentes sur la zone. Le général s’est également rendu auprès des militaires déployés à Kidal et à Tessalit. A Douentza, une cérémonie a eu lieu sur le camp militaire togolais où sont présents les éléments français du détachement de liaison et d’appui (DLA) insérés au sein du bataillon togolais.

 

Depuis le 15 juillet et pendant une semaine, un détachement de l’armée malienne, appuyé par le bataillon nigérien de la MINUSMA, accompagné de son DLA français a quitté Ménaka pour une opération de nomadisation dans l’Est de cette ville, avec pour objectif d’appuyer les FAMA dans la distribution de cartes électorales aux populations. Ils ont ainsi visité les villages situés sur la route entre Ménaka et Anderanboukan, avant de se diriger vers Inekar.

 

Le 16 juillet, une vingtaine de militaires de la brigade Serval et un gendarme des forces de sécurité malienne ont participé à une opération de fouille d’une cache d’armes supposée dans la ville de Gao. L’élément d’intervention était composé d’une équipe du détachement de recherche dans la profondeur (DRP), d’un groupe de fouille opérationnelle spécialisée (FOS), d’une équipe cynophile et enfin d’une équipe Weapon Intelligence Team (WIT). Une section du GTIA Désert était en appui aux abords immédiats de la zone. Cette opération a permis à tous de roder les procédures en zone urbaine et de montrer à la population de Gao que les opérations de sécurisation se poursuivent.

 

Opération Serval : point de situation du 18 juillet 2013

Le 17 juillet 2013, sur le camp d’entraînement de Koulikoro,  le colonel Philippe Testart, chef de corps du1er régiment d’infanterie (1er RI), a pris le commandement du contingent français de la Mission Européenne d’Entraînement au Mali (EUTM Mali). Il succède au colonel Christophe Paczka, chef de corps du 2erégiment d’infanterie de marine (2e RIMa). La cérémonie, présidée par le colonel italien Stefano Di Sarra, adjoint au général commandant l’EUTM Mali, faisait suite à la relève de la centaine de soldats français de la compagnie de protection de la force par le contingent« hispano-bénéluxois », effective depuis le samedi 13 juillet.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes ainsi qu’à poursuivre le transfert progressif de la zone aux contingents de la MINUSMA.

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 21:34
Arc de Triomphe pour la Patrouille de France - 14 Juillet

photo via Stéphane Fort

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 16:50
Surveillance maritime : DCNS lance une grande campagne d’expérimentation au large des côtes toulonnaises

 

18/07/2013 DCNS

 

Du 17 au 23 juillet 2013, se déroule en rade de Toulon la première campagne I2C1 pilotée par DCNS et ses partenaires2. Ce projet innovant de sécurité et de surveillance maritime, soutenu par l’Union européenne, rentre dans sa première phase de tests en conditions réelles.

 

DCNS, fort de son expertise dans le développement et l’intégration de systèmes complexes d’information dédiés au domaine naval de défense, applique son savoir-faire dans les domaines de la sécurité maritime et de l’Action de L’Etat en Mer (garde-côtes, police, gendarmerie, douanes…). Le nouveau système Marylin, destiné à améliorer l’efficacité des missions de recherche et de sauvetage en mer vient notamment d’être installé dans tous les Centres Régionaux Opérationnels de Surveillance et de Sauvetage (CROSS) de la Direction des Affaires Maritimes.

 

Démarré en octobre 2010 pour une durée de 4 ans et soutenu par l’Union Européenne, le programme I2C est un système innovant conçu et développé par DCNS avec ses partenaires.

 

I2C permet de détecter et d’identifier en temps réel les activités illégales et criminelles menées en mer. Le système permet d’analyser de manière dynamique les trajectoires et activités des navires, d’interroger les bases de données et de lever automatiquement des alertes en fonction de règles établies en concertation avec les autorités opérationnelles.

 

Pour mener à bien ses missions, le système corrèle et exploite, par un puissant logiciel algorithmique, l’ensemble des informations issues de multiples sources telles que radars côtiers, avions et navires (via l’AIS3), satellites d’observation, etc.

 

Il permet, pour chaque alerte, d’émettre des hypothèses précises sur la nature de l’activité illégale. De plus, l’opérateur peut paramétrer lui-même des « règles de détection » afin de repérer des types de situation spécifiques.

 

Le système propose une photographie précise de la situation en temps réel. Ainsi, il s’agit d’un puissant outil d’aide à la décision pour l’opérationnel, puisqu’il dispose d’information fiable pour décider et planifier les interventions nécessaires.

 

La campagne d’expérimentation de juillet 2013, pilotée par DCNS, déploie des moyens importants : ballon dirigeable Zeppelin®, avion de patrouille maritime, drone de surface, stations de surveillance côtières… et requiert des dizaines de spécialistes. Cette opération vise à évaluer le système I2C dans ses performances de surveillance des navires de la zone économique exclusive (ZEE), qui s’étend jusqu’à 370 kilomètres des côtes. Le système doit en effet assurer une veille permanente des activités de près de 50 000 navires de toutes tailles, et par n’importe quelles conditions météorologiques et océanographiques.

 

I2C a vocation à compléter les systèmes nationaux de surveillance déjà existants en proposant d’y corréler en permanence bien d’autres informations maritimes émanant de multiples sources telles que les prévisions météorologiques et océanographies, les identités et historiques des navires, les données géographiques, les mouvements portuaires, le renseignement, etc.

 

Ce projet est soutenu par l’Union européenne dans le cadre du programme de recherche du volet maritime d’EUROSUR (EUROpean SURveillance). Il vise le développement d’un système commun (multinational et interopérable) de surveillance des frontières.

 

1 I2C ” se prononce “Eye to see” et signifie “Integrated System for Interoperable sensors & Information sources for Common abnormal vessel behaviour detection & Collaborative identification of threat”.

2 Partenaires I2C : DCNS, FURUNO, ROCKWELL COLLINS France, SES ASTRA TechCom S.A, KONGSBERG Nortcontrol KONGSBERG Spacetec AS, ECOMER, SOFRESUD, INTUILAB, CLEARPRIORITY, ZEPPELIN, ONERA, ARMINES, IRIT METEOSIM, Eric Van Hooydonk Lawyers, JRC, AJECO, AIRSHIPVISION international

3 AIS : Automatic Identification System (obligatoire à bord des navires commerciaux)

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 19:55
Le général Ract Madoux remet la croix de la valeur militaire au 516e RT - Crédits : SCH S. Lelievre/SIRPA Terre

Le général Ract Madoux remet la croix de la valeur militaire au 516e RT - Crédits : SCH S. Lelievre/SIRPA Terre

12/07/2013 CNE C. Brunetaud/TIM Armée de Terre

 

Quatre régiments des forces terrestres ont été mis à l’honneur dans la cour d’honneur de l’Hôtel national des Invalides jeudi 11 juillet 2013.

 

C’est dans ce haut lieu de l’histoire et de la mémoire militaire que le général d’armée Bertrand Ract Madoux, chef d’État-major de l’armée de Terre (CEMAT) a remis la croix de la valeur militaire avec palme au 2e régiment étranger de parachutistes (2e REP), au 1er régiment étranger de cavalerie (1er REC) et au 5e régiment d’hélicoptères de combat (5e RHC). L’étendard du 516e régiment du train (516e RT) a reçu quant à lui la croix de la valeur militaire avec étoile d’argent.

Le général Ract Madoux remet la croix de la valeur militaire au 2e REP - Crédits : SCH S. Lelievre/SIRPA Terre

Le général Ract Madoux remet la croix de la valeur militaire au 2e REP - Crédits : SCH S. Lelievre/SIRPA Terre

« Ces croix de la valeur militaire témoignent de la reconnaissance de la Nation, a souligné le CEMAT. Elles mettent en lumière le comportement remarquable de ces soldats au feu. » Le 2e REP s’est illustré lors d’actions d’éclat en Afghanistan comme le 516e RT qui a assuré une centaine de convois logistiques pour ravitailler, sous le feu, les emprises les plus reculées et le 5e RHC qui a neutralisé l’ennemi facilitant les évacuations sanitaires et le désengagement des troupes au sol.

Le général Ract Madoux remet la croix de la valeur militaire au 1e REC - Crédits : SCH S. Lelievre/SIRPA Terre

Le général Ract Madoux remet la croix de la valeur militaire au 1e REC - Crédits : SCH S. Lelievre/SIRPA Terre

Le 1er REC a été, comme le précise le CEMAT, « décoré en retard » pour s’être opposé à l’ennemi en 1978 dans le cadre de l’opération Tacau.

 

 

Le général Ract Madoux remet la croix de la valeur militaire au 5e RHC - Crédits : SCH S. Lelievre/SIRPA Terre

Le général Ract Madoux remet la croix de la valeur militaire au 5e RHC - Crédits : SCH S. Lelievre/SIRPA Terre

Une fourragère aux couleurs de la croix de la valeur militaire est attribuée aux formations citées au moins deux fois à l’ordre de l’armée, à titre collectif, et sur un même théâtre. Le CEMAT a remis la fourragère aux chefs de corps et aux présidents de catégorie du 2e REP et du 5e RHC.

 

Dans la cour des Invalides, devenue au fil des siècles le « Panthéon des soldats », plusieurs d’entre eux ont été décorés de la Légion d’honneur. Des combattants du groupement aéromobile de l’opération Serval ont également été mis à l’honneur.

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 19:55
L'A400M qui volera lors du 14 juillet ne sera pas celui de l'armée

12 juillet 2013 Par Elodie Vallerey - Usinenouvelle.com

 

Le fabricant de l'A400M, Airbus Military, n'a pas encore livré à la France son premier exemplaire de l'avion de transport militaire polyvalent. C'est donc un A400M de l'industriel, avec un équipage mixte à son bord, qui volera au-dessus des Champs-Elysées pour le défilé du 14 juillet ce dimanche, a confirmé l'armée de l'air.

 

Pas de traces du MSN7, le premier A400M destiné à l'armée de l'air française, sur le tarmac de la base aérienne 123 Orléans-Bricy. L'escadron 1/61 Touraine, qui doit opérer les nouveaux avions de transport militaire, n'a pas encore réceptionné le premier exemplaire de ce futur fleuron des armées de l'air européennes.

 

Or, dans le déroulé du programme du défilé militaire du 14 juillet qui aura lieu ce dimanche sur les Champs-Elysées, à Paris, l'A400M occupe une place stratégique, prévu pour voler en deuxième position juste après la Patrouille de France.

 

Un A400M d'Airbus Military piloté par un équipage mixte

 

Il faut dire que le transporteur sert de caution à une coopération franco-allemande érigée en modèle par les ministères de la Défense des deux alliés en cette année de célébration des 50 ans du Traité de l'Elysée.

 

Pourtant, en l'absence d'exemplaire français, l'armée de l'air a confirmé le 12 juillet à L'Usine Nouvelle que c'est l'A400M d'Airbus Military qui fendra dimanche le ciel parisien. Faute de certification militaire, l'appareil sera donc "piloté par un équipage mixte, de l'armée de l'air et d'Airbus Military", a-t-on appris.

 

Pas encore de date de livraison du premier exemplaire

 

Quid de la symbolique d'un vol du MSN7 aux couleurs de l'armée de l'air pour le premier vol d'un A400M lors d'une Fête nationale ? "L'appareil qui volera dimanche aura une cocarde française", rassure-t-on. De quoi permettre au public de n'y voir que du feu...

 

En Espagne, au siège de la filiale défense d'Airbus Military, on ne se risque pas à avancer une date précise pour la livraison du premier exemplaire destiné à l'armée de l'air. "Dans les prochaines semaines", esquisse-t-on. Une "discussion d'ordre technique" et pas politique, assure-t-on au ministère de la Défense, entre le fabricant, le client (la direction générale de l'armement, DGA) et l'armée de l'air, opérateur final des avions.

 

Même s'il récuse le retard accumulé, Airbus Military devait idéalement livrer le MSN7 à la France en mai, le MSN8 en août, et enchaîner avec le MSN9 à destination de la Turquie en septembre.

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 19:50
A400M photo RP Defense

A400M photo RP Defense

12/07/2013 Par Véronique Guillermard, Yann Le Galès – LeFigaro.fr

 

INTERVIEW - Fabrice Brégier, PDG d'Airbus, explique sa stratégie dans la défense. Il précise également que l'Airbus A 400M qui ouvre le défilé aérien du 14 juillet, sera livré à l'armée de l'air fin juillet.

 

LE FIGARO.- L'Airbus A 400M ouvrira le défilé aérien du 14 Juillet mais le premier appareil n'est toujours pas livré à l'armée de l'air française. Pourquoi?

 

Fabrice BRÉGIER.- L'A 400M devrait être livré d'ici à la fin juillet. L'appareil a déjà reçu sa certification civile européenne. Le processus de qualification militaire est complexe. Elle doit être réalisée par l'Organisation conjointe de coopération en matière d'armement et les armées clientes. L'important, c'est que l'avion sera livré très prochainement.

 

Le programme a rencontré des problèmes techniques. Y a-t-il encore des incertitudes?

 

Les incertitudes sont désormais levées. Tout a été remis à plat en 2009 lorsqu'Airbus a été chargé par EADS de gérer les programmes d'avions de transport militaires. Le contrat signé en 2003 était irréalisable, c'est pourquoi Airbus a repris la main ce qui a permis de faire profiter l'A 400M de notre expérience de gestion de grands programmes. L'A 400M est le plus grand programme européen de défense jamais lancé. Il est d'une complexité redoutable et s'inscrit dans une coopération européenne toujours difficile à gérer. Mais nous avons tenu les engagements pris en 2009.

 

Compte tenu du dérapage financier, l'A 400M sera-t-il rentable?

 

C'est le seul programme où l'activité civile subventionne l'activité militaire! Airbus a dû provisionner 4 milliards d'euros en 2009 pour contribuer au sauvetage de l'A 400M et livrer les 174 premiers appareils aux sept premiers pays clients. Gagner de l'argent, c'est jouable grâce à l'export mais ce sera difficile. Dès que l'appareil sera entré en service dans les forces françaises et aura montré ses capacités, il sera un formidable vecteur de promotion à l'export. Nous estimons le marché à 300 avions (hors États-Unis et Chine) sur vingt ans. Nous regardons notamment les marchés d'Asie, du Moyen-Orient et d'autres pays en Europe.

 

L'A 400M a-t-il ses chances aux États-Unis ?

 

Toutes les armées du monde seront intéressées. C'est un appareil stratégique qui peut transporter jusqu'à 37 tonnes à des milliers de km. C'est aussi un avion tactique capable de se poser court sur des terrains non aménagés. Il aura une configuration de sécurité civile. Je crois à ses chances sur le marché américain mais à long terme.

 

Quelle est la prochaine étape dans la défense?

 

Airbus a réalisé 2,1 milliards de chiffre d'affaires dans la défense en 2012 pour des ventes totales de 40 milliards. Cette activité est rentable. Elle va fortement croître dans les prochaines années. Airbus Military aura plus que doublé son chiffre d'affaires d'ici à 2016.

 

Son activité s'appuie sur deux autres familles de produits: les Casa, des avions de transport de moyenne capacité leaders sur leur segment. Ensuite, les ravitailleurs multirôle développés à partir de la meilleure plateforme au monde, celle de l'Airbus civil A 330. Il a gagné les compétitions en Grande-Bretagne, en Arabie saoudite, en Australie et aux Émirats arabes unis. Il a été sélectionné en Inde et avait été retenu par le Pentagone avant les élections américaines de 2008. La France prévoit d'en commander 12 fin 2013-début 2014. Notre ravitailleur est une référence mondiale.

 

EADS prépare un nouveau plan stratégique. Airbus Military a-t-il vocation à chapeauter les activités défense sur le modèle de Boeing?

 

Avec Tom (Tom Enders, président d'EADS, NDLR), nous travaillons pour donner une nouvelle impulsion au groupe. Nos activités défense qui pèsent 12 milliards au total sont logées dans différentes divisions. Une réflexion est nécessaire. Je proposerai ce qui sera le mieux pour le groupe et ses salariés, dans un souci d'efficacité et rentabilité.

 

Compte tenu des contraintes budgétaires, craignez-vous que la France réduise sa commande?

 

La France et son président soutiennent l'A 400M. François Hollande a volé à son bord pour se rendre au Salon du Bourget en juin. Le ministère de la Défense a confirmé le besoin opérationnel. Les Transall sont à bout de souffle. Nous avons une vraie urgence opérationnelle. Le livre blanc a inscrit une cible de 50 avions de transport.

 

Le ministre de la Défense a averti que tous les grands programmes seraient décalés…

 

Nous avons conscience des contraintes budgétaires et des décalages de livraison qui risquent d'être décidés. Nous avons un contrat avec 7 pays et ne dépendons pas d'un seul client. L'important, c'est que la France soit la première à se doter d'une force de frappe opérationnelle autonome en matière de transport.

 

Qu'attendez-vous du Conseil de défense européen fin 2013?

 

Depuis quatre ans, on ne parle plus d'Europe de la défense. Que les chefs d'État tiennent un Conseil de défense, c'est un bon signal. Il est nécessaire de redonner une impulsion politique. De leur côté, les industriels ont mûri. Ils sont mieux organisés pour travailler ensemble. Mais sans la volonté affichée d'au moins la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne, on n'y arrivera pas. Et on passera à côté d'un grand programme de drone de surveillance alors que les industriels ont fait des propositions.

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 19:30
Israël réoriente ses investissements militaires (ministre)

11/07/2013 lorientlejour.com (AFP)

 

L'armée israélienne va réorienter ses dépenses militaires pour assurer son "avance technologique" sur les armées de la région, a annoncé jeudi le ministre de la Défense Moshe Yaalon.

 

"Nous avons devons nous un plan révolutionnaire et pluri-annuel au terme duquel vous verrez, dans quelques années, un nouveau Tsahal (ndlr: l'armée israélienne)", a indiqué le ministre de la Défense sur sa page Facebook.

 

Pour répondre aux "changements dans la région et aux capacités développées par l'armée", Moshe Yaalon a annoncé une "réforme significative" qui inclut "un investissement dans l'arsenal et les systèmes qui va aider Tsahal à conserver une avance spectaculaire sur le plan technologique par rapport aux Etats et organisations qui nous entourent".

 

"Les terrains de bataille actuels et à venir sont totalement différents de ce que nous avons connu par le passé", écrit le ministre s'engageant à maintenir des investissement en "munitions, services de renseignements, télégestion, défense active et en cyber défense appropriés".

 

La presse israélienne a évoqué la réduction du nombre de chars, bateaux, et avions militaires mais aussi le licenciement de milliers de militaires de carrière dans l'année à venir.

 

Toujours selon ces médias, de telles mesures doivent être soumises prochainement au gouvernement pour validation.

 

Moshe Yaalon a relevé les "contraintes budgétaires de 2013-2014" qui ont amené l'armée israélienne à diminuer l'entraînement et les services de réservistes.

 

En mai, le gouvernement israélien a voté une coupe de trois milliards de shekels (648 millions d'euros) dans le budget de la Défense qui, avec 56 milliards de shekels (12 milliards d'euros), reste la première dépense publique en Israël.

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 19:30
Ministry: Israel Tests Rocket System

Jul. 12, 2013 -Defense News (AFP)

 

JERUSALEM — Israel on Friday staged what it said was a planned test of a rocket propulsion system at a military base on the Mediterranean coast.

 

Israeli media, citing analysts, said the test appeared to be of a version of the Jericho ballistic missile with a range of at least 5,000 kilometers (3,100 miles), easily capable of hitting arch-foe Iran.

 

“This morning, Israel conducted a launching test from the Palmachim base of a rocket propulsion system,” the Israeli defense ministry said in a brief statement.

 

“The scheduled test was pre-planned by Israel’s ministry of defense and was carried out as expected,” it said without elaborating.

 

In January 2008, Israel successfully test-fired a long-range ballistic missile, days after warning “all options” were open to prevent Iran from obtaining an atomic weapon.

 

Israel’s Jericho ground-to-ground missile is believed to be capable of carrying a nuclear, chemical or biological warhead.

 

Israel was last believed to have tested its propulsion system in November 2011.

 

Israel and Western governments fear that Iran’s nuclear program masks a drive for an atomic weapon.

 

Iran denies any such ambition and insists its nuclear program is for power generation and medical purposes only.

 

Israel is widely considered to be the Middle East’s sole if undeclared nuclear power with an estimated arsenal of 200 warheads.

 

The test came as Israeli public radio said Prime Minister Benjamin Netanyahu and Finance Minister Yair Lapid met defense officials Friday to discuss proposed budget cuts to conventional forces.

 

Reports say that as part of overall cuts in government spending, reductions are planned in the number of tanks, ships and planes, as well as the dismissal of thousands of career servicemen over the next year.

 

The radio said that Netanyahu had not yet given his approval.

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 19:20
Canada : La Défense nationale n'utilise pas tout son budget

12 juillet 2013 La Presse Canadienne

 

On apprend donc que le ministère de la Défense nationale n'a pas utilisé, en fait, des milliards de dollars qui lui étaient alloués durant la dernière année budgétaire.

 

Ottawa, Ontario - Des chiffres récents du Directeur parlementaire du budget démontrent une tendance que des critiques décrivent comme une façon furtive de réduire le déficit.

 

On apprend donc que le ministère de la Défense nationale n'a pas utilisé, en fait, des milliards de dollars qui lui étaient alloués durant la dernière année budgétaire.

 

L'examen trimestriel des dépenses du gouvernement fédéral démontre qu'au terme de la dernière année fiscale, le ministère a dépensé 2,3 milliards de moins que ce qui lui était alloué. Cela représente plus de 10 pour cent du budget annuel de la défense, qui s'avère aussi le plus important poste «discrétionnaire».

 

Les chiffres révèlent un montant total de 9,6 milliards non dépensés depuis l'année budgétaire 2006-2007, un phénomène attribuable à une bureaucratie insuffisante et au retard des projets d'achat d'équipement, selon le ministère de la Défense.

 

Certaines de ces sommes, pour la plupart destinées à l'achat d'équipement, peuvent être déplacées sur d'autres budgets. Cependant, la longévité du phénomène fait douter des analystes et des critiques que cela soit délibéré de la part du gouvernement.

 

Dave Perry, de l'université de Carleton et de la Conférence des associations de la défense, affirme que c'est simplement une question de procédures et qu'un gouvernement désireux de mettre fin à l'inefficacité aurait déjà résolu le problème.

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 19:20
US House Votes To Limit Obama's Ability to Shrink Nuclear Arsenal

Jul. 12, 2013 - By JOHN T. BENNETT – Defense News

 

WASHINGTON — The US House has approved a plan that would limit President Barack Obama’s ability to shrink America’s nuclear arms arsenal without congressional approval, with its sponsor claiming the White House intends to ignore the Constitution.

 

The lower chamber late Wednesday night approved an amendment to an energy and water bill that would cut off funds for any atomic weapons reductions the White House might pursue without first seeking Senate approval.

 

The amendment was offered by House Armed Services Committee member Rep. Mike Turner, R-Ohio, a hawkish Republican who claims the president plans to ignore the Constitution.

 

“On June 19, President Obama declared before an audience in Berlin that he was announcing significant changes to the nuclear force posture of the United States,” Turner wrote in a “dear colleagues” letter to other members drumming up support for the amendment.

 

“One of the most significant ambiguities to emerge from that announcement was whether the president would follow the bipartisan tradition that nuclear arms reduction agreements take place according to the Constitutional structures the framers intended,” Turner wrote in the letter, which was obtained by Defense News.

 

Turner and other congressional Republicans believe Obama is poised to order some US nuclear arms reductions, and has no plans to follow the precedent of first obtaining the upper chamber’s approval.

 

A White House spokeswoman had yet to respond to an inquiry about the president’s nuclear-reduction plans and Turner’s amendment.

 

Turner and other congressional Republicans see Obama and his administration possessing “disregard for long-enshrined practice,” which Turner in the letter dubs “disappointing, dangerous, and injures the checks and balances that are needed.”

 

The HASC member says those checks are needed “when it comes to international agreements with states like Russia, especially when Russia is actively cheating on major arms control agreements.”

 

Turner said, “thus far, the president has not seen fit to aggressively confront” Moscow over those alleged violations.

 

The amendment passed by voice vote, meaning there is no public record of how individual members voted nor the final margin. Whether the provision will be included in the final version of the energy and water bill will ultimately be up to a House-Senate conference committee.

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