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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 12:30
Syrie: le Congrès US contre la livraison d’armes américaines aux rebelles

MOSCOU, 10 juillet - RIA Novosti

 

L'opposition syrienne ne recevra probablement pas d’aide militaire américaine dans un avenir proche. Du moins officiellement - car les rebelles reçoivent déjà depuis longtemps des armes de l'Otan d'une manière officieuse, écrit le quotidien Rossiïskaïa gazeta du 10 juillet 2013.

 

Les comités pour le renseignement des deux chambres du Congrès américain se sont une nouvelle fois opposés au président Barack Obama en décidant de bloquer son initiative d’aide militaire directe à l'opposition syrienne. Leur argument? Ils n'ont pas envie de dépenser de l’argent pour ça. Leur décision s'explique par une crainte - tout à fait justifiée - de l'avenir de cet armement : ce dernier pourrait facilement tomber entre les mains des terroristes, y compris des combattants liés à Al-Qaïda. Moscou a déjà plusieurs fois prévenu Washington d'une telle éventualité.

 

Les parlementaires ont pris leur décision en fonction d’informations secrètes. Ces informations étaient-elle donc inaccessibles à Barack Obama quand il a annoncé sa volonté sincère d'aider les séparatistes à renverser le régime de Bachar al-Assad?

 

Les experts américains soulignent que ces limitations suffisent pour empêcher les livraisons d'armes en Syrie. Mais il semble évident qu’en jugeant ainsi la situation ils prennent leurs désirs pour des réalités: nul n'ignore l'existence des "caisses noires" de la CIA et d'autres services américains qui ont assez d'argent pour financer plus d'une guerre régionale.

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 11:55
Quand la stratégie militaire dessine l'entreprise de demain

10/07 de Charles-Edouard Bouée - Les Echos

 

Comme nos Etats modernes, les entreprises vivent dans un monde volatil, incertain, complexe et ambigu. Qui les oblige à diminuer leur « empreinte industrielle » et à se montrer toujours plus réactives.

 

Partout des signes indiquent que les années 2020 vont apporter des changements considérables dans la façon dont agissent, s'organisent et se gèrent les entreprises. C'est un gigantesque glissement de terrain qui se prépare, alimenté par les « cybereconomics ». La déferlante à venir de l'automatisation et de la robotisation, la transformation progressive des grandes entreprises en de vastes réseaux, en partie fondés sur des alliances industrielles et technologiques (comme le montre le récent accord entre EADS et Siemens sur la propulsion électrique dans l'aviation civile), ne sont encore que des signes avant-coureurs. Mais ils indiquent bien que nous allons nous projeter dans les années qui viennent dans un monde nouveau.

 

Comment le caractériser et surtout comment l'aborder ? Les stratèges américains (l'histoire montre que les militaires ont souvent compris avant tout le monde les évolutions du monde) ont trouvé un acronyme pour qualifier le monde dans lequel nous entrons : Vica, pour « volatil, incertain, complexe et ambigu ». Pour répondre à ce nouvel environnement, la première armée du monde par la puissance de feu et les technologies déployées a mis au point un concept tout à fait nouveau, adapté aux guerres asymétriques auxquelles elle est confrontée, et qui repose sur la notion de « light footprint strategy », qui a été largement documentée par les experts militaires. Cette nouvelle doctrine de défense se base sur l'utilisation de trois armes essentielles : les drones, les forces spéciales et les cyberattaques. La stratégie du « light footprint » permet d'augmenter l'agilité, la rapidité de mouvement, la capacité de réaction grâce à la « légèreté », à la réactivité et à la rapidité des moyens mis en oeuvre ; tout le contraire de la guerre d'hier, reposant sur l'utilisation de moyens lourds (chars d'assaut, bombardiers…) et de nombreuses troupes au sol. En y réfléchissant, ce concept peut fort bien s'adapter aux entreprises qui, elles aussi, vivent dans un monde volatil, incertain, complexe et ambigu…

 

Les drones. Les robots sont les drones de l'industrie. Jack Welch, l'ancien patron de General Electric, avait coutume de dire, dans les années 1980, que les entreprises devaient choisir entre « s'automatiser, émigrer ou disparaître » (« automate, emigrate or evaporate »). Nous sommes aujourd'hui à un tournant, dans lequel la délocalisation, qui a été l'un des sujets essentiels de la globalisation de l'économie, va progressivement faire place à l'automatisation et à la robotisation, ce qui réduit le choix de l'entreprise à une seule alternative : « automate or evaporate ». Les entreprises chinoises l'ont fort bien compris, qui commencent à se robotiser, à l'exemple de Foxconn, sous-traitant d'Apple, qui va équiper ses usines de 1 million de robots. Les entreprises qui mettront en oeuvre cette robotisation de façon intelligente gagneront en flexibilité, offriront à leurs salariés des tâches plus élaborées et diminueront leur « empreinte industrielle ».

 

Le cyberespace. Il n'est évidemment pas question de conseiller aux entreprises de se faire la guerre par virus informatiques interposés. Mais le cyberespace est désormais un acteur essentiel de la performance. L'enjeu est l'utilisation de l'information, ou plutôt sa transformation en une arme de guerre. Qu'il s'agisse de « big data-analytics » ou de « smart data », la capacité de l'entreprise à extraire de l'intelligence à partir de ces données lui permettra d'anticiper, de « prévoir » le comportement des consommateurs et de leur apporter le produit, le service, le conseil le plus approprié. 99 % des informations sont disponibles dans le cyberespace…

 

Les forces spéciales. Les forces spéciales sont l'expression de ce que peut produire sur le terrain un petit groupe d'individus excellemment entraînés, motivés, solidaires, autonomes, connaissant avec précision la tâche qui incombe à chacun d'eux. Demain, l'entreprise fortement robotisée dépendra davantage de petites équipes, disposant des savoir-faire nécessaires, autonomes dans leurs décisions, motivées collectivement et engagées dans un processus permanent d'amélioration de leurs compétences. L'ère des grands bataillons de salariés organisés en matrices arrive à son terme et sera progressivement remplacée par des petites équipes bien formées, bien équipées, agiles et flexibles, bénéficiant d'une large autonomie d'action et de décision, et en interaction constante les unes avec les autres et avec l'organisation centrale. Le pendant du recours aux forces spéciales est la centralisation de la décision stratégique. C'est Barack Obama lui-même qui était en relation constante avec le commando qui attaquait la résidence de Ben Laden au Pakistan…

 

Charles-Edouard Bouée est membre du comité exécutif du cabinet Roland Berger.

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 11:55

10 juillet 2013 Par Elodie Vallerey - Usinenouvelle.com

 

VIDÉO  Après des mois de formation, le capitaine Claire M. devient officiellement la première femme pilote de Rafale. A 28 ans, elle intègre le cercle très fermé (et encore très masculin) des pilotes de chasse français sous le nom de code "Sharon". Elle a obtenu mi-juin son dernier degré de qualification de pilote de chasse opérationnel sur Rafale. Première mission pour cette passionnée, le Mali, où elle devrait bientôt être envoyée, selon ce reportage diffusé le 9 juillet dans le JT de 20 heures de France 2.

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 11:55
le MMP de MBDA en embuscade…

le MMP de MBDA en embuscade…

09.07.2013 par Frédéric Lert (FOB)

 

Les besoins à venir en termes de roquettes et missiles pour l’armée de Terre française se résument grosso modo en trois segments: le niveau inférieur du besoin est occupé par la roquette d’infanterie de base, appellée à remplacer l’actuel AT4 et le missile Eryx. En milieu de trame, le MMP sera placé à  la disposition des escadrons anti-char, des escadrons d’éclairage et d’appui, des compagnies d’infanterie et éventuellement des sections de combat en fonction des besoins apparaissant lors des opex. A l’image de l’utilisation qui fut faite du Milan en Afghanistan… Troisième segment, celui représenté par un futur MRCM (MultiRole Combat Missile). Il s’agirait d’un missile anti-char à longue portée tiré depuis un hélicoptère ou un véhicule terrestre, avec une portée de 8 kilomètres et une capacité de tir au-delà de la vue directe. Ce MRCM est cité pour équiper l’EBRC et remplacer à terme le Hellfire américain sur le Tigre HAD.

 

Si l’on zoome sur le milieu de trame et le MMP, que voit-on ?

 

Comme pour l’Eryx, une capacité de tir en espace confiné sans effet de souffle important est recherchée. L’armée de Terre souhaite également disposer d’un double mode de tir : entièrement automatique (mode tire et oublie) d’une part et avec un guidage manuel d’autre part, de manière à remettre « l’homme dans la boucle » pour que le tireur puisse influer sur la trajectoire du missile. La portée initialement citée était de 2500m afin d’ouvrir le marché à un plus grand nombre de missiles. Mais dans les faits, l’armée de Terre pencherait plutôt pour une portée de 4000m de manière à placer le tireur hors de portée des obus flèches des chars. C’est vrai en particulier pour l’EBRC qui devrait recevoir, en toute logique, la tourelle T40 armée de ce futur missile de manière à traiter les cibles « lourdes ».

 

Pour répondre à ce cahier des charges, deux solutions s’affrontent : celle de MBDA, missile européen, qui promeut un missile entièrement nouveau, et celle de Raytheon, son concurrent américain, qui avance une version modernisée du Javelin. Innovation et plan de charge assuré pour les bureaux d’études français pour l’un, solution éprouvée et économique pour l’autre… Le choix sera cornélien et sans doute tout autant politique que technique. Mais pour l’heure, aucun contrat de développement n’a été notifié par la DGA.

 

A suivre

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 11:50
Across Europe, Nations Mold Cyber Defenses

Jul. 9, 2013 - by TOM KINGTON – Defense News

 

ROME — Since Estonia suffered a crippling cyberattack in 2007, generally attributed to Russian hackers, European states have slowly been organizing their disparate cyber crime and security organizations under national coordinating committees, bringing military commanders into contact with intelligence agencies, police forces and private industry.

 

The new furor over US spying on European Union nations will likely heighten efforts in the region to strengthen defenses against economic and political cyberattack from political and economic adversaries and allies alike.

 

Italy

 

In Italy, a decree issued by the Cabinet in January sought to impose a chain of command on a series of cybersecurity operations launched in recent years by law enforcement and state agencies.

 

The decree puts the prime minister at the top of the pyramid but gives operational authority to the head of the DIS, the Italian intelligence agency that oversees both overseas and domestic operations.

 

“The DIS has led this reorganization and has taken a central role,” said Stefano Mele, a cyber analyst with the Italian Institute for Strategic Studies. “It is the first real step toward an operational approach to cybersecurity.”

 

“The Italian cyber strategy is defensive,” an Italian intelligence source said.

 

The new setup, which is reportedly still being staffed, involves a political committee to propose strategy to the prime minister, drawing representatives from the ministries of foreign affairs, interior, defense, justice, economy and economic development.

 

 

A permanent monitoring center is also being established, to be run by the prime minister’s military adviser.

 

Mele said the new center would be open 24 hours a day to monitor threats.

 

“Police units have previously mounted 24-hour monitoring operations, but the new setup moves beyond a focus on cyber crime to cyberwarfare,” he said.

 

The center can also activate a crisis unit, drawing on various ministries when an attack threatens national security.

 

One analyst feared the new structure was too complex to react quickly to cyber threats.

 

“The chain of command is too long and complicated to respond to attacks, which are by definition fast, but this is a start,” said Raoul Chiesa, a cybersecurity consultant to the UN.

 

The Italian military’s cyber defense operation, which is run by the General Staff in Rome, continues on a parallel track to the new civilian setup, but there would be crossovers, Mele said.

 

“The key role given the prime minister’s military adviser is no coincidence,” Mele said.

 

Germany

 

Responsibility for German cybersecurity is divided among many players on the federal and state levels. The National Cyber Defense Center, under the federal Interior Ministry, was founded in April 2011, involving the military, the police, the secret service and other security and civil defense organizations.

 

Additionally, a National Cyber Security Committee has been set up to decide wider cybersecurity policy, involving the chancellery, various ministries, the states and industry representatives as associate members.

 

While these are all defensive measures, the Bundeswehr acknowledged last year that it had a Computer Network Operations Team capable of offensive action. It is part of the Strategic Reconnaissance Command and stationed in Rheinbach, near Bonn. Press reports suggest the unit started training a couple of years ago and reached initial operational capability in 2012.

 

However, actual offensive operations would require the approval of the German parliament, as all German military actions do.

 

The team is not represented in the National Cyber Defence Center nor is it responsible for the defense of the military itself against cyberattacks; the military has built up a separate IT security organization.

 

United Kingdom

 

Cybersecurity spending in the UK emerged unscathed from a new round of government austerity measures announced by Chancellor George Osborne for the 2015-16 financial year.

 

The Treasury said cyber was a national security priority and investment in the area will continue to grow in 2015, including a £210 million (US $320 million) investment in the National Cyber Security Programme (NCSP).

 

That money builds on £650 million in funding set aside in the 2010 Strategic Defence and Security Review to tackle cyber threats and turn the problem into an opportunity for the British security industry.

 

The initial four-year spending program, started in 2011, allocated an extra £384 million to the intelligence services over the period with the Ministry of Defence-allocated £90 million.

 

That money is in addition to other cyber funding streams for the intelligence agencies and government departments — figures that are not aired in public.

 

The review said cyberattacks were among the government’s four top security risks.

 

That review was followed at the end of 2011 by a new UK cybersecurity strategy that sought to better protect cyberspace interests and build the capabilities needed to combat the growing problem.

 

Only last week, Iain Lobban, the head of the government’s intelligence-gathering operation, GCHQ, told the BBC that business secrets were being stolen in Britain on an “industrial scale.”

 

Government and industry networks are targeted by sophisticated cyberattacks about 70 times a month, often by other states, he said.

 

GCHQ has already invested in new capabilities to identify and analyze hostile cyberattacks, and now plays host to a new Joint Cyber Unit set up in partnership with the MoD to help counter threats to the UK.

 

Another MoD initiative will likely see the armed services set up a “Cyber Reserve” to harness the talents of industry specialists and others.

 

Poland

 

Meanwhile, Poland is increasing the cyber defense and combat capacities of its armed forces — one of the priorities of the modernization of the Polish armed forces, according to a white paper on national security, released in May by the National Security Bureau.

 

The paper “recommends a national cyber defense system … integrated with similar systems of [other NATO member states],” the document said.

 

The paper also recommends the armed forces receive “mechanisms and systems for offensive activities in this area, and treated as an element of support to conventional activities.”

 

Poland’s cybersecurity efforts are largely driven by the massive cyberattacks that targeted Estonia in 2007 and crashed the Baltic state’s Internet infrastructure, local analysts said.

 

Two organizations set up to avoid the fate of Estonia will become operational next year.

 

The Polish Ministry of Defense and the Internal Security Agency, Poland’s domestic intelligence agency, are aiming to launch the National Cryptology Center, designed as a “response to the newest cyber threats … which should bring a breakthrough in what concerns [Poland’s] cybersecurity,” Polish Defense Minister Tomasz Siemoniak said.

 

A new unit within the Ministry of Defense will also foster the development of information technologies for military purposes.

 

The planned Inspectorate of Implementation of Innovative Technologies will be modeled on the US Defense Advanced Research Projects Agency, according to Siemoniak.

 

Nordic Region

 

Across Europe, Nations Mold Cyber Defenses

Closer collaboration in developing common platforms to counter cyber threats has been given priority status by the Nordic militaries’ cooperation vehicle, Nordic Defense Cooperation (NORDEFCO).

 

The need for a robust Nordic dialogue and pan-Nordic interaction is highlighted in the study, “Cyber Defense in the Nordic Countries and Challenges of Cyber Security,” produced by the Finnish National Defense University and delivered to NORDEFCO in January.

 

The study generated a report, “The Fog of Cyber Defense,” which is expected to provide a road map for future cyber threat cooperation among Norway, Finland, Sweden, Iceland and Denmark. It is anticipated that the first cross-border projects to develop common anti-cyber threat policies and strategies could emerge as soon as 2014.

 

In the meantime, the five Nordic states are working to strengthen their domestic cyber defense capabilities. All have, or are in the process of, establishing national cyber defense centers that can draw expertise from military and national intelligence units, as well as cyber threat divisions within the communications regulatory authorities in each country.

 

Recommendations advanced in the “The Fog of Cyber Defense” include a pan-Nordic political initiative to pursue cooperation. This would entail developing a sophisticated cyberspace information exchange platform supported by each country’s cyber defense center; development of a common cyber strategy; the holding of joint interoperability exercises to enhance linguistic, procedural and technical compatibility; the establishment of a common Nordic Cyber Defense Center; and the possibility of standardizing legislation on cyber defense cooperation.

 

NORDEFCO is running a so-called Cooperation Area research program to ascertain the cost benefits and operational gains from Nordic cyber defense cooperation that would specifically deal with immediate threat warnings.

 

On a national level, Norway established a dedicated cyber defense unit under the management of the Ministry of Defense in 2012. The unit merges the cyber threat and defense capabilities of the Armed Forces Command’s Norwegian Military Intelligence Service, the National Security Authority and the Norwegian Police Security Service.

 

Denmark established a Center for Cyber Security under the direction of the Ministry of Defense in December, while Finland launched its Total Society Cyber Security Strategy in January, a four-year strategy that aims to have a dedicated cyber defense center and acomprehensive countermeasures infrastructure in place in 2016.

 

In Sweden, the government established a National Cyber Defense organization in January, which will share information from frontline cyber units within the military’s signals intelligence wing FRA, the military intelligence unit MUST and the Swedish national police intelligence service, Säpo.

 

Albrecht Müller in Bonn, Andrew Chuter in London, Jaroslaw Adamowski in Warsaw and Gerard O’Dwyer in Helsinki contributed to this report.

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 11:35
JF-17 : l’Argentine va s’associer à la Chine

10 juillet 2013 Info-Aviation

 

Des représentants de la FAdeA (Argentine aerospace company Fabrica Argentina de Aviones) ont confié lors du salon du Bourget 2013 qu’ils avaient eu plusieurs discussions avec des responsables chinois sur la co-production éventuelle du chasseur multirôle JF-17/FC-1 de la Chengdu Aircraft Corporation.

 

L’accord est loin d’être conclu. Les responsables de la FAdeA sont notamment confrontés aux problèmes du « transfert de technologie ». Néanmoins, ces discussions sont une première tentative formelle qui pourrait conduire à la co-production d’un chasseur chinois moderne en Amérique latine.

 

Les responsables de la FAdeA ont ajouté que la version co-produite en Argentine pourrait être appelée « Pulqui-III », en référence au Pulqui-II qui fut le premier chasseur à réaction conçu par l’ingénieur allemand Kurt Tamk pour le gouvernement de Juan Peron en 1950.

 

Démarré en Chine à la fin des années 80 sous le nom FC-1, le programme JF-17 est devenu un projet de chasseur sino-pakistanais en 1999 visant à réduire la dépendance du Pakistan à l’égard des entreprises occidentales pour les avions de combat de pointe. L’objectif est de mettre en service un chasseur léger multirôle d’un faible coût (moins de 20 millions de dollars) mais équipé d’une électronique moderne. Ce positionnement répond à un marché que l’Occident a dominé, mais a presque abandonné au cours des dernières décennies.

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 11:20
Echec d’interception de missile lors d’un essai aux États-Unis

09.07.2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Le département américain de la Défense a révélé qu’un essai d’interception de missile balistique mené entre autres par la Missile Defence Agency avait échoué le 5 juillet dernier, pour une raison encore inconnue. Le but de la manœuvre était d’intercepter à partir de la base de Vandenberg, en Californie, un missile balistique de longue portée lancé par l’US Army d’une base des Îles Marshall dans le Pacifique. Une enquête a été lancée pour déterminer les causes de cet échec.

 

Selon le Los Angeles Times, l’essai aurait coûté 214 millions de dollars et le dernier succès serait daté de 2008. Les essais d’interception auraient été stoppés au début de l’année 2011, suite à deux échecs répétés en 2010 avec deux nouveaux intercepteurs. Le Los Angeles Times précise que le système de défense sol-air est fabriqué par Boeing et que le « kill vehicle » provient de Raytheon.

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 07:55
14 juillet: hommage à nos soldats blessés et tués

09/07/2013 Capitaine Flora Cantin

 

Lors de la fête nationale du 14 juillet, les familles des morts au combat, les blessés et leurs proches sont invités à participer aux différentes cérémonies et activités. C’est l’occasion pour la France de les honorer, de se souvenir de ceux qui ne défileront pas, qui ont donné leur vie ou qui souffrent au quotidien des blessures subies au service de leur pays.

14 juillet: hommage à nos soldats blessés et tués

Fin 2004, le bombardement du camp français de Bouaké en Côte d’Ivoire fait 9 morts et une quarantaine de blessés parmi la force Licorne. Un plan Hommage est mis en place pour prendre en charge les soldats tués, blessés ainsi que leurs proches. Quatre ans plus tard, 10 soldats français meurent au combat dans l’embuscade d’Uzbeen, en Afghanistan. Le plan Hommage prend une nouvelle forme. Validé en 2009, il répond à la nécessité de mettre en place un dispositif d’honneurs aux défunts et de solidarité vis-à-vis de leurs familles. Il structure les diverses cérémonies (familiale, militaire, nationale) lors du rapatriement des dépouilles de soldats morts en opérations depuis ces quatre dernières années. C’est aussi une procédure administrative et financière d’urgence déclenchée sur décision du ministre de la Défense.

14 juillet: hommage à nos soldats blessés et tués

Ce mode opératoire exceptionnel est mis en place pour régler les rigidités administratives : déblocage et engagement de fonds, autorisations d’embarquement de civils dans des aéronefs de la Défense, etc. Si le plan Hommage a été activé pour les soldats français morts en Afghanistan depuis 2001 ou encore au Mali à partir de janvier 2013, il a également été mis en œuvre lors de la mort, par noyade, du caporal Julien Giffard, survenue en Guyane en 2010 dans le cadre de l’opération Harpie. Il en a été de même pour l’adjudant-chef Stéphane Moralia et le sergent Sébastien Pissot, assassinés par des orpailleurs illégaux en Guyane. « Le plan Hommage est déclenché pour tous les soldats tombés, quelque soit la nature de la mission à laquelle ils participaient. Il n’y a pas de distinction particulière », explique le colonel Brulon, conseiller communication du gouverneur militaire de Paris.

14 juillet: hommage à nos soldats blessés et tués

Lors de la fête nationale du 14 juillet, les familles des morts au combat, les blessés et leurs proches sont invités à participer aux cérémonies. C’est l’occasion de les honorer, sur les Champs-Elysées d’abord, où ils assistent au défilé dans une tribune face à celle du président de la République qui vient les saluer, puis lors de la traditionnelle réception des défilants à l’Hôtel de Brienne. Ils sont également reçus par le chef d’état-major de l’armée de Terre et par le gouverneur militaire de Paris lors d’autres réceptions.

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 07:45
New African Military Profile: Kenya

09 July 2013 by Guy Martin- defenceWeb

 

Kenya possesses the strongest military in East and Central Africa, which has been battle hardened from operations in neighbouring Somalia, as well as from numerous peacekeeping missions. The military remains a well equipped, well trained and experienced force that works hard to combat Kenya’s numerous security threats, from militancy to piracy. Click here to read more about Kenya’s armed forces.

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 07:35
Une photo d’Oussama Ben Laden sur un écran du Pentagone (Photo DoD)

Une photo d’Oussama Ben Laden sur un écran du Pentagone (Photo DoD)

09/07/2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Dans un rapport d’enquête publié hier, on apprend que la «négligence» et la «complaisance» du Pakistan ont permis à l’ancien chef d’Al Qaïda, Oussama Ben Laden, de se réfugier sans trop de difficultés dans ce pays pendant près de dix ans.

Peu après l’assaut, en mai 2011, de la résidence où se trouvait le chef d’Al Qaïda par des commandos d’élite américains des Navy Seals, à Abbottabad, une commission d’enquête avait été mise en place par les autorités du pays. La chaîne de télévision Al-Jazeera a mis en ligne lundi soir une copie du rapport de cette commission.

Il est notamment écrit dans le rapport de 337 pages qu’«[Oussama Ben Laden] a été en mesure de rester dans les limites du périmètre d’Abbottabad en raison de l’échec collectif des autorités militaires, des services de renseignement, de la police et de l’administration civile».

«Cet ressort de la négligence ainsi que de l’incompétence. Et à un degré indéterminé, il a pu impliquer – ou non – un niveau de complicité important» de la part de l’armée et du renseignement, poursuit un peu plus loin le rapport, qui indique toutefois ne pas avoir de preuves à ce sujet.

NOTRE DOSSIER SUR LA MORT DE BEN LADEN >>

Arrivé au Pakistan en 2002, soit quelques mois après le début de la guerre en Afghanistan, Oussama Ben Laden a été transféré dans une résidence d’Abbottabad en 2005.

Ce qui étonne la commission d’enquête, c’est que la résidence où a vécu Ben Laden se situait à environ un kilomètre de l’académie Kakul, l’école militaire la plus prestigieuse du pays, équivalent du Westpoint américain, du St-Cyr français, ou du Collège militaire royal du Canada.

«Que le voisinage, les responsables locaux, la police, les forces de sécurité et les services de renseignement n’aient pas porté attention à la forme étrange de l’immeuble, sa dimension, ses barbelés, l’absence de voitures ou de visiteurs pendant six ans dépasse tout simplement l’entendement», note le rapport qui ne se prive pas de lancer que «ce niveau d’incompétence, pour rester poli, est stupéfiant pour ne pas dire incroyable. Au moins 25 personnes vivaient dans cette maison mais selon un recensement local, la demeure était inhabitée».

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 07:35
Une photo d’Oussama Ben Laden sur un écran du Pentagone (Photo DoD)

Une photo d’Oussama Ben Laden sur un écran du Pentagone (Photo DoD)

09/07/2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Dans un rapport d’enquête publié hier, on apprend que la «négligence» et la «complaisance» du Pakistan ont permis à l’ancien chef d’Al Qaïda, Oussama Ben Laden, de se réfugier sans trop de difficultés dans ce pays pendant près de dix ans.

Peu après l’assaut, en mai 2011, de la résidence où se trouvait le chef d’Al Qaïda par des commandos d’élite américains des Navy Seals, à Abbottabad, une commission d’enquête avait été mise en place par les autorités du pays. La chaîne de télévision Al-Jazeera a mis en ligne lundi soir une copie du rapport de cette commission.

Il est notamment écrit dans le rapport de 337 pages qu’«[Oussama Ben Laden] a été en mesure de rester dans les limites du périmètre d’Abbottabad en raison de l’échec collectif des autorités militaires, des services de renseignement, de la police et de l’administration civile».

«Cet ressort de la négligence ainsi que de l’incompétence. Et à un degré indéterminé, il a pu impliquer – ou non – un niveau de complicité important» de la part de l’armée et du renseignement, poursuit un peu plus loin le rapport, qui indique toutefois ne pas avoir de preuves à ce sujet.

NOTRE DOSSIER SUR LA MORT DE BEN LADEN >>

Arrivé au Pakistan en 2002, soit quelques mois après le début de la guerre en Afghanistan, Oussama Ben Laden a été transféré dans une résidence d’Abbottabad en 2005.

Ce qui étonne la commission d’enquête, c’est que la résidence où a vécu Ben Laden se situait à environ un kilomètre de l’académie Kakul, l’école militaire la plus prestigieuse du pays, équivalent du Westpoint américain, du St-Cyr français, ou du Collège militaire royal du Canada.

«Que le voisinage, les responsables locaux, la police, les forces de sécurité et les services de renseignement n’aient pas porté attention à la forme étrange de l’immeuble, sa dimension, ses barbelés, l’absence de voitures ou de visiteurs pendant six ans dépasse tout simplement l’entendement», note le rapport qui ne se prive pas de lancer que «ce niveau d’incompétence, pour rester poli, est stupéfiant pour ne pas dire incroyable. Au moins 25 personnes vivaient dans cette maison mais selon un recensement local, la demeure était inhabitée».

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 07:35
Ancient Patrol

7/5/2013 Strategy Page

 

U.S. Navy Petty Officer 1st Class William Neason, left, and U.S. Marine Corps 1st Lt. Stephen T. Desmond, right, patrol through the ruins of a 200-year-old castle during Operation Northern Lion in Mohammad Abad village in Helmand province, Afghanistan, June 24, 2013. Neason, a hospital corpsman, and Desmond are assigned to Georgian Liaison Team-9. U.S. Marine Corps photo by Staff Sgt. Ezekiel R. Kitandwe

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 07:35
USA: U.S. Ambassador to Australia Visits USS Germantown

10 July 2013 Pacific Sentinel

 

DARWIN, Australia (NNS) -- United States Ambassador to Australia Jeffrey Bleich visited dock-landing ship USS Germantown (LSD 42) in Darwin, Australia July 5, during a scheduled port visit.
 
Germantown is in port with the embarked 31st Marine Expeditionary Unit (MEU) to conduct a bio-security inspection as a precursor to a complex training evolution that combines the Navy and Marine Corps maritime sea-to-shore capabilities with those of the Australian navy; a relationship that serves as a cornerstone of regional stability.
 
"We've been working closely with Australia for years and maintain a consistent schedule of U.S. and Australian training exercises," said Cmdr. Jason R. Leach, Germantown's commanding officer. "Having the ambassador aboard for a tour really helps our exposure as a strong partner nation with Australia."
 
Bleich was accompanied by Australian Consul-General Mary Warlick, Consular Chief Nathan Flook, and other members of their staff.
 
Germantown is on patrol with the Bonhomme Richard Amphibious Ready Group and, with the 31st MEU, is currently conducting routine joint-force operations in the U.S. 7th Fleet Area of Responsibility.
 
The Bonhomme Richard ARG reports to the Commander, Amphibious Force 7th Fleet, Rear Adm. Jeffrey A. Harley, headquartered in White Beach, Okinawa, Japan.
 
 
NOTE: The “Exercise Talisman Saber” Link in the above was added by PacificSentinel for clarity & context.


 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 07:30
Artemis Trident 2013 : coup d'envoi d'une coopération future

9/07/2013 Marine nationale

 

À l’occasion du déploiement actuel du groupe de guerre des mines dans le golfe arabo-persique, l’état-major de conduite des opérations de guerre des mines, les chasseurs de mines Sagittaireet Pégase, ainsi qu’un détachement de douze plongeurs démineurs ont participé à l’entraînement tripartite Artémis Trident 2013. Cet exercice anglo-franco-américain s’est déroulé au large des côtes bahreinies, du 18 au 27 juin 2013.

 

Le principal enjeu était de tester, voire d’augmenter, interopérabilité de ces trois marines dans le domaine de la guerre des mines. Outre les moyens français, deux aéronefs (NH 53), deux chasseurs de mines et un détachement de plongeurs démineurs américains, ainsi que quatre chasseurs de mines anglais ont pris part à l’entraînement.

 

Les États-Unis sont en effet une des deux seules nations au monde (avec le Japon) à opérer les trois composantes de guerre des mines : air (dragage et chasse par hélicoptères), surface (chasseurs de mines) et sous marin (mise en oeuvre d’AUV  1). Fruit d’un travail de longue haleine, la concrétisation d’une telle coopération permet de construire des bases solides pour la conduite d’opérations futures de guerre des mines communes dans le golfe arabo-persique et semble vitale pour garantir les accès maritimes des points d’intérêts nationaux.

 

Ces neufs jours d’entraînement ont également permis d’échanger sur les méthodes de travail et procédures de chaque nation.

Artemis Trident 2013 : coup d'envoi d'une coopération future

Le capitaine de vaisseau Benon a commandé le groupe de guerre des mines français ainsi que la force tripartite constituée pour Artémis Trident. Rapide retour d’expérience (Retex).

 

« Quel bilan pouvez-vous dresser d’Artemis Trident 2013 ?

 

- Ça a été une coopération opérationnelle étroite, dans cette région du monde, avec nos alliés naturels que sont les États-Unis et le Royaume-Uni a beaucoup de sens. D’une part, nos intérêts stratégiques sont largement partagés et d’autre part, il est évident qu’une opération de guerre des mines, dans le golfe arabo-persique comme ailleurs, ne peut être envisagée qu’en coalition.

 

Par ailleurs, pour les forces de guerre des mines françaises, les déploiements périodiques réalisés dans cette région du monde correspondent à un besoin de diversification de nos zones habituelles de travail.

 

Ils constituent un complément indispensable aux opérations contingentes conduites très régulièrement depuis trente ans sur les côtes françaises et européennes en général, que ce soit en Atlantique ou en Méditerranée. Dans le golfe arabo persique, l’environnement marin est exigeant (il fait très chaud et la température de l’eau oscille entre 28°C et 33 °C), l’environnement opérationnel également. C’est au travers d’entraînement comme Artemis Trident que nous améliorons nos propres modes d’action mais surtout notre capacité à travailler mieux et plus vite en coalition ».

 

Artemis Trident 2013 : coup d'envoi d'une coopération future

REGARDS CROISÉS

 

Le CC Roussel est le commandant le chasseur de mines  Pégase. Sa réaction

 

« L’équipage du Pégase a relevé le défi Artemis Trident avec enthousiasme, impatient d’éprouver le savoir-faire français, acquis davantage sur les fonds chaotiques de la mer d’Iroise que sur les fonds sablonneux du golfe. Depuis les principes généraux jusqu’aux procédures les plus techniques, chaque action, menée en parallèle par chacun des chasseurs de mines engagés, a été évaluée et comparée avec précision. Par ailleurs, les riches échanges entre participants ont activement participé à la définition d’un socle de connaissances techniques communes, premier pas vers l’intégration en cas d’engagement multinational. ».

 

1 Autonomous Unmanned Vehicule

Artemis Trident 2013 : coup d'envoi d'une coopération future
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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 07:20
What does the future hold for JIEDDO? Three options on the table...

07/08/2013  Andrew Elwell - defenceiq.com

 

One of the big questions relating to the reorganisation of the Armed Forces following the withdrawal from Afghanistan relates to the future of Joint Improvised Explosive Device Defeat Organization (JIEDDO). Will it still be an operational necessity or is the argument for its continued economic outlay too fragile?

 

The unit was formed in 2006 after a spate of deadly incidents involving the roadside bombs forced the US government to act. JIEDDO has been central to informing opinion on IEDs for a decade but senior US defence officials are now discussing its future. There are three options being considered: maintain JIEDDO’s capabilities but split its duties between the military forces; scale down its operations and house it within the Office of the Secretary of Defense (OSD); or shut it down.

 

Colonel Gareth Bex, Head of Army EOD & Search at the UK MoD, is a man who would have an opinion on JIEDDO’s future effectiveness. He spoke at the Counter-IED conference in London last month and insisted that “the genie is out of the bottle [for insurgents and their effective use of IEDs], and there’s no way it’s going back in.”

 

Col Bex went on to say that the UK failed to continue the investment it made in this area after Northern Ireland and lost the mainstay of its C-IED capabilities as a result. When protection against IEDs and mine blasts wasn't top of the agenda anymore it was easy for that investment to be directed into other avenues. Bex wonders if the same may happen again post-Afghanistan, especially considering the current economic climate. But it mustn't. The lessons learned from Afghanistan must not be allowed to be forgotten like they were after Northern Ireland - the only way to do that is maintain investment in the area and continue to take the threat seriously.

 

“IEDs are certainly an enduring global threat,” said Col Bex.

 

With that in mind, how can the US justify the elimination of JIEDDO? It would be imprudent, and short-sighted.

 

While breaking up the organisation and spreading it out through the military services – a process known as disaggregation – is a viable option, the best, and perhaps most likely option for the JIEDDO may be to roll it into the OSD.

 

JIEDDO has spent in the region of $20 billion since 2006, including the largest and most ambitious UOR programme ever for the design and acquisition of the Mine Resistant Ambush Protected (MRAP) family of vehicles.

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 07:20

9 juil. 2013 defenseupdate

Video Courtesy: General Atomics Aeronautical

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 07:20
Fireworks Army Style

7/8/2013 Strategy Page

 

A 2013 U.S. Army Reserve Best Warrior competitor, Sgt. Camille Kleparek, 63rd Regional Support Command (63rd RSC), fires her M4 rifle during the night fire qualification event at Fort McCoy, Wis., June 26. The night fire is one of the many events that will help determine who will move to the Department of the Army Best Warrior Competition. U.S. Army photo by Staff. Sgt. Amanda Smolinski

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 21:45
The British Army's Bassingbourn Barracks in Cambridgeshire

The British Army's Bassingbourn Barracks in Cambridgeshire

9 July 2013 Ministry of Defence and Foreign & Commonwealth Office

 

The Foreign Secretary has confirmed that up to 2,000 personnel from the Libyan Armed Forces are to be trained in the UK.

 

In a written statement to Parliament earlier today, William Hague confirmed that the UK Armed Forces are to train their Libyan counterparts in basic infantry skills and leadership in order to help professionalise them and help them achieve peace and stability across their country. Courses will begin later this year.

The training will take place at a British Army site in Bassingbourn, Cambridgeshire. Members of the Libyan Armed Forces – all of whom will be vetted in advance for medical, physical and behavioural suitability – will be brought to the UK in a number of small groups for courses which are expected to last a minimum of 10 weeks. The Libyan government will pay the costs of the training

Foreign Secretary William Hague answers questions from the media at the G8 foreign ministers' press conference on 11 April 2013 (library image) [Picture: Crown copyright]

Foreign Secretary William Hague answers questions from the media at the G8 foreign ministers' press conference on 11 April 2013 (library image) [Picture: Crown copyright]

The training of Libyan Armed Forces personnel in the UK is part of a broader package of defence and security assistance developed with the US, France and Italy. This is aimed at supporting the Libyan government’s efforts to increase the effectiveness and capacity of its security and justice sector institutions, and to ensure the state’s monopoly on security.

As the Prime Minister announced at last month’s G8 Summit in Northern Ireland, in total more than 7,000 members of the Libyan Armed Forces will be trained by some G8 nations.

William Hague said:

The government firmly believes that a stable, open and democratic Libya contributing to wider regional stability and security is in the UK’s interest. That is why we are working closely with the US and other European countries to lead the broader international effort, co-ordinated by the UN Support Mission in Libya, to support Libya’s democratic transition and the Libyan authorities’ efforts to make visible improvements in public security in Libya.

British soldiers training on an assault course (library image) [Picture: Peter Davies, Crown copyright]

British soldiers training on an assault course (library image) [Picture: Peter Davies, Crown copyright]

The UK Defence Secretary Philip Hammond said:

The UK’s Armed Forces are recognised as being amongst the best in the world so it is no surprise that we are one of the countries Libya has turned to for this specialist training.

The UK provides world class defence training and education to many countries, creating lasting ties between our Armed Forces and enhancing their ability to work together towards regional security and stability.

Detailed planning remains ongoing and the UK government continues to work on the specific terms of its assistance with the Libyan government. Close engagement will also be conducted with local authorities and the Bassingbourn community in advance of the training commencing.

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 17:50
Czech Republic Kicks Off Defense Reorganization

July 8, 2013 Source: Ministry of Defence & Armed Forces of the Czech Republic

 

Chief Kicks Off the Reorganisation

 

The reorganisation of management and command structures of the Czech military explains Chief of the General Staff Lieutenant General Petr Pavel at a Command Meeting in Prague.

 

New requirements for the military and resources the Czech Republic can allocate for defence of this country including meeting of allied and international commitments called for a substantial reorganisation of management and command structures of the Czech defence department which was outlined in the White Paper on Defence 2011.

 

The new structure came in effect on 1 July 2013. The most visible change is dismantling both tactical operational headquarters - Joint Forces at Olomouc and Support Forces at Stara Boleslav - and incorporating their duties into structure of the General Staff of ACR in Prague.

 

General Pavel explained changes, new relations, links and responsibilities of newly formed agencies, centres and institutes in a bid to enable a smooth transition of command, logistic and support services into the new structure.

 

At the end of the meeting, General Pavel said: “The military must work forward. We must meet our tasks regardless political turbulence, regardless there is or is not the government."

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 17:50
BFA 14 juillet - Crédits ADC F. Chesneau SIRPA Terre

BFA 14 juillet - Crédits ADC F. Chesneau SIRPA Terre

09/07/2013 Laura Bataille - Armée de Terre

 

Le 22 janvier 1963, le général de Gaulle et le chancelier allemand Adenauer signaient le traité de l’Elysée, marquant ainsi le début de la réconciliation entre les deux peuples entrés en conflit à trois reprises.  En 2013, cinquante ans après cette signature symbolique, la brigade franco-allemande (BFA), qui œuvre pour la défense européenne, participe au défilé du 14 juillet.

 

Destiné à sceller l’amitié entre la France et l’Allemagne, le traité de l'Élysée est devenu le symbole de la coopération entre ces deux pays. C’est pourquoi, pour son cinquantième anniversaire, il est à l’honneur lors de l’événement national. Pour cela, des unités allemandes et françaises, qui appartiennent à la BFA, sont présentes lors du défilé.

 

La BFA, emblème de la coopération militaire

 

Cette brigade, créée le 2 octobre 1989, est née de la volonté de montrer que les relations franco-allemandes pouvaient s’étendre au domaine militaire. Elle répond aux quatre principes fondateurs du traité de l’Elysée : réconciliation, solidarité, amitié et coopération. Composée de 4 800 hommes et femmes, elle a, entre autre, permis des progrès considérables en matière d’armement et d’harmonisation des méthodes et des modes d’action. Cette brigade consacre l’engagement pour la paix et l’amitié de leurs peuples et de l’Europe.

 

Présente sur les Champs-Elysées pour le 14 juillet, la brigade défile à pied (3e régiment de hussards, Jagerbataillon 292 et bataillon de commandement et de soutien) et les aéronefs allemands survolent les Champs-Elysées lors des défilés aériens d’ouverture et de clôture (Typhoon et Tigre).

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 17:45
US Contracts Helicopter Support in Africa

July 8, 2013 Source: Erickson Air-Crane Incorporated

 

Erickson Air-Crane Announces Two Contract Extensions with SOCAFRICA

 

PORTLAND, Ore. --- Erickson Air-Crane Incorporated, a leading global provider of aviation services to a diverse mix of commercial and government customers, and the vertically-integrated manufacturer and operator of the powerful heavy-lift Erickson S-64 Aircrane helicopter, announced today that it was awarded option period extensions with Special Operations Command Africa (SOCAFRICA).

 

US Contracts Helicopter Support in Africa

The option awards were made to Evergreen Helicopters, a recently acquired, wholly owned subsidiary of Erickson, to provide a fleet of fixed and rotary wing aircraft for personnel and cargo transport for the Department of Defense in Central Africa. The total value of the contract options is in excess of $8 million.

 

Udo Rieder, Chief Executive Officer of Erickson, commented, “We are excited to continue to develop a strong operational capability and strategic presence in Africa for the Department of Defense. We believe this region, with its vast territories and relatively undeveloped infrastructure, is becoming an increasingly large and diverse market for aviation services across a broad range of missions and types of customers.”

 

Mr. Rieder concluded, “Each new contract award brings us incremental visibility and furthers our confidence in the Evergreen business portfolio’s strength. We continue to push toward a cohesive integration of our organizations, and expect significant financial and strategic benefits to emerge.”

 

Erickson Air-Crane Incorporated is a leading global provider of aviation services. The Company currently operates a diverse fleet of 85 rotary-wing and fixed wing aircraft, including a fleet of 20 heavy-lift S-64 Aircranes. The Company also maintains a vertical manufacturing capability for the S-64 Aircrane, related components, and other aftermarket support and maintenance, repair, and overhaul services for the Aircrane and other aircraft.

 

Founded in 1971, Erickson Air-Crane is headquartered in Portland, Oregon and maintains facilities and operations in North America, South America, the Middle East, Africa and Asia-Pacific.

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 17:30
Les ‘tankistes experts’ : les hommes qui gèrent le ‘show des tanks’

juillet 9, 2013 Tsahal.fr

 

Ils sont la crème de la crème bien qu’ils n’aient pas le physique le plus athlétique de Tsahal. Au fond, ils n’en ont pas besoin. Ils sont les ‘tankistes experts’, les hommes des tanks et de l’artillerie.

 

C’est une belle journée ensoleillée. Environ 40 soldats et leurs commandants ont monté une tente au milieu du désert qui s’étend à perte de vue. Ces ‘tankistes experts’ sont sur le point de finir leur formation d’une durée de deux semaines. Ils étaient déjà commandants de tanks mais à la fin de leur entraînement, ils retourneront dans leurs compagnies en tant qu’experts, chargés d’enseigner à leur compagnie respective la subtilité de la grande guerre des armes à feu.

 

Aujourd’hui, ils s'entraînent pour les urgences qui peuvent survenir au cours d'une bataille de chars. Chaque ‘tankiste expert’ apprend à se préparer à toute situation.

 

“Feu!”, est hurlé dans le haut-parleur. Rapidement, les jumelles sont pointées vers le haut et ceux qui n’avaient pas mis leurs boules Quies se bouchent les oreilles avec leurs mains. Six tanks sont alignés à environ 140 mètres et de l'un d’entre eux une flamme et de la fumée s’échappent brusquement du canon. Presque instantanément, un énorme nuage de poussière apparaît deux kilomètres plus loin. L’obus se déplace à approximativement 1200 mètres par seconde.

 

“Cible atteinte!” On se sert la main et on applaudit de tous côtés. Le commandant Barak Assaf retire la paire de jumelles de ses yeux, le regard satisfait. Ceci est loin d'être son premier tir, mais il ne semble pas être lassé de voir que la cible ait été atteinte. Il est passé suivre le déroulement du cours similaire aux Etats-Unis qui est de dix semaines de plus que le sien. "Nous n'avons pas plus de temps à accorder. Pourtant, nous excellons comme les Américains et parfois même, nous les dépassons dans certains domaines”, dit le commandant.

 

Les ‘tankistes experts’ : les hommes qui gèrent le ‘show des tanks’

Il y a six tanks mais de trois modèles différents - le Merkava 2, 3 et 4. lls sont tous différents, c’est ce que disent les ‘tankistes experts’ - certains sont d’anciens modèles, d’autres sont plus récents - mais chaque équipe a son propre modèle.

 

Sans exception, chacun des six tanks a touché sa cible éloignée de deux kilomètres. Les célébrations se poursuivent, les tankistes sortent de leurs tanks et brandissent leurs poings en l’air, il y a vraiment un sentiment de camaraderie bien que chacun d’eux viennent de brigades différentes.

 

“Silence!”, crie le commandant Assaf. Les ‘tankistes experts’ se calment. “Maintenant, nous allons viser des cibles situées à 4600 mètres de nous - juste un peu plus de challenge.”

 

Le premier tir vers la cible très éloignée retentit et ceux scrutant avec les jumelles se regardent l’air déçu : “ils ont manqué de beaucoup.” Le commandant, un peu déçu, s’adresse à ses élèves, proches de lui et dans les tanks, et les corrige. “Vous avez manqué la cible de beaucoup et sur la droite. Arrangez ça : 1.5 et 1.5”, explique-t-il, ajustant ainsi l’inclinaison des canons.

 

“Cible atteinte!” hurlent les ‘tankistes experts’ une fois le premier obus tiré. Mais cette fois, les célébrations ne se font pas entendre. Les jumelles sont toujours pointées vers les cibles. Deux autres échouent et le commandant se tournent vers ses élèves.

 

“Ce sont des cibles assez petites”, dit-il. Un soldat sort un petit instrument pour mesurer la vitesse du vent. “2,2 mètres (par seconde)”, crie-t-il. Les corrections à apporter sont indiquées aux équipes dans les tanks. Eloignées de plus de 4500 mètres, les cibles sont atteintes. Des applaudissements se font désormais entendre depuis les tanks victorieux.

 

Devenir un ‘tankiste expert’

 

Pour devenir un ‘tankiste expert’, vous devez évidemment être choisi pour la formation. Vous devez aussi être connaisseur de tout ce qui concerne les tanks. Vous apprendrez beaucoup comme par exemple comment la vitesse du vent a-t-elle une quelconque influence et même les effets qu’à la température de l’air sur la trajectoire. Et encore, ce n’est pas parce que vous y êtes invités que vous irez. Devenir un ‘tankiste expert’ ajoute de très nombreuses responsabilités puisque vous conservez vos impératifs de commandant de tanks. Ceux qui font le choix d’y entrer sont ceux qui croient au slogan des tankistes de Tsahal : “l’homme dans le tank vaincra”.

 

Le sergent-chef Ran Fuhrman est un tel croyant. Il parle de chars avec beaucoup d'enthousiasme.

 

 

Les ‘tankistes experts’ : les hommes qui gèrent le ‘show des tanks’

“Il y a quatre personnes dans un tank : le soldat qui tire, celui qui est responsable des munitions, le conducteur et le commandant”, explique-t-il. “Quand nous ne sommes pas ‘tankistes experts’, nous sommes commandants dans le tank.”

 

Interrogé sur la possibilité des chars de disparaître un jour des combats, il est très catégorique : les chars ont un atout unique. "Le tank est l’ultime arme. Il y a des munitions pour chaque type de situation et le tank sera toujours le plus précis dans les tirs".

 

Par dessus tout, la formation pour devenir ‘tankistes experts’ est faîte pour que ces experts en tanks transmettent leur savoir. Trois jours sont réservés à la pédagogie et lorsque la formation s’achève, ils devront eux-mêmes organiser les exercices auxquelles ils avaient participé. C’est ce qui a poussé le sergeant-chef Fuhrman à y entrer.

 

    "A la fin de la journée, c’est important que nous formions à notre tour”, dit-il. “Si nous gagnons face à l’ennemi, c’est grâce aux tanks. Les chars sont les plus importants - c’est la force aérienne de la terre.”

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 17:20
Deloitte Releases Study: Commercial Aerospace Revenue Soars, Defense Declines

July 8, 2013 Source: Deloitte Aerospace & Defense Group

 

NEW YORK --- A new study released by Deloitte today analyzed 24 metrics of financial performance for the global aerospace and defense (A&D) Industry. The study found that in 2012, commercial aerospace revenues significantly increased and more than made up for declines in the defense segment. Commercial aircraft segment revenues increased 16.2 percent or US$38.4 billion in 2012, while defense segment revenues decreased 1.3 percent, for a combined increase of 5.9 percent, up from a 1.6 percent increase in 2011.

Global defense is heavily weighted towards the U.S. defense sector, which continues to be impacted by budget reductions – US$487 billion across 10 years under the Budget Control Act of 2011, and an additional US$42 billion annual budget reduction associated with the automatic "sequester," which took effect on March 1, 2013. Operating profits declined for this segment by only 1.6 percent and operating margins were flat, considering that defense companies had significant one-time charges, reflecting aggressive cost cutting in the face of declining revenues. Innovations in cybersecurity, intelligence, surveillance and reconnaissance technologies, among other areas, offer attractive pathways for a return to growth. In addition, as noted in the study, foreign military sales offer some upside potential, as certain geographies face increasing national security threats.

Boeing Commercial Airplanes and Airbus Commercial surpassed their previous year's combined production with the delivery of 1,189 aircraft in 2012. This is the highest production level achieved in large commercial aircraft history. In 2012, commercial aerospace accounted for 45.9 percent of the total revenue posted across the global A&D Industry, up from 41.9 percent in 2011. Combined revenue increases for commercial aircraft for these two companies was $20.5 billion, and were it to represent a stand-alone company, it would have ranked as the 10th largest A&D firm globally, underscoring the astonishing growth of the commercial aerospace sector in 2012.

"The global A&D market is shifting, and we may see the commercial aerospace segment reach parity with defense in the next few years, after many years of being overshadowed by military spending. Our study found that European A&D companies are recovering from systemically lower financial performance compared to U.S. A&D companies, although operating margins and return on invested capital (ROIC) continue to lag for European A&D companies," said Tom Captain, vice chairman, Deloitte LLP and global aerospace and defense sector leader.

The Deloitte Global Aerospace and Defense Industry financial performance study includes analysis of 105 A&D companies or segments of industrial conglomerates with A&D businesses that recorded revenue greater than US$500 million in 2012.

Deloitte's A&D sector focuses on top issues facing the industry. Deloitte A&D practitioners have deep industry experience and are actively involved in various segments of the industry, including: M&A, advanced technology programs, airplane program launches, and acquisition reform and economic assistance packages.


Click here for the full report (44 PDF pages) on the Deloitte website.

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 17:20
Pentagon Releases First Annual Acquisition Report

July 8, 2013 Source: U.S Department of Defense



WASHINGTON --- A recently completed defense acquisition program report, which is now before Congress, is part of a data-driven effort to find out what’s working best in equipping the nation’s military and to fix what isn’t, the Pentagon’s undersecretary of acquisition, technology and logistics said in an interview with American Forces Press Service.

Frank Kendall said the report, the first in what’s expected to become a series of annual reviews, evaluated major programs across the department. The study is a step toward mastering the mountain of data military acquisition generates.

“Even our best performers have room for improvement,” the undersecretary said. “Figuring out what to do to improve, I think, is the next question.”

Kendall often references the large, engraved wooden sign outside his office door bearing a quote from the late American statistician and professor W. Edwards Deming: “In God we trust; all others must bring data.”

“I’m a firm believer that improvements to policies and processes must be driven by data and objective analysis rather than conjecture and opinion,” Kendall said, adding the report “begins to share [that] kind of objective analysis.”

Kendall said an institutional-level view of defense acquisition -- a field that includes research and development, testing and evaluation, fielding and maintenance of virtually all U.S. military equipment -- is important because “our processes tend to come from our institutional cultures and norms.”

Acquisition underlies all military operations, he noted, adding, “If you’re serving out there and you’re waiting for the next generation of whatever piece of equipment, this is the system that’s producing that for you. … There are a lot of very hard-working people in government and industry trying to do that.”

The point of the report, Kendall said, “is to help us all figure out ways to do a better job with [acquisition]” and ultimately to ensure more and better products.

The report doesn’t make judgments or excuses, he noted.

“I want each institution to look at how well they are performing compared to others and ask themselves how they learn from one another to improve performance,” he added.

Kendall said the report shows that, in some measures, program and organizational performance across the department has improved, but more progress is needed.

“Very recent data show statistically significant improvement, but only time and further analysis will tell if these trends continue into the future,” he said. “For example, comparing the last two decades, the Army and Air Force have reduced total cost growth on contracts, and the Army has reduced contract costs-over-target. The Air Force also has lowered contract schedule growth.”

Kendall said despite such trends, “The magnitude of absolute performance issues leaves considerable room for additional improvement. Due to the nature of pushing the state-of-the-art in weapon systems, we will never have zero cost and schedule growth. But, we can certainly do better and have recent indications that this is possible.”

One major finding from the report is that “a lot of the things we thought were important may not be as important as we believed,” he said. “Fixed-price versus cost-plus contracting, for example.”

Fixed-price contracts are let at a set price for the work, while cost-plus contracts reimburse the contractor’s expenses and also add other funds, which can include award, incentive and performance fees.

Statistics for the two kinds of contracts were more similar than he expected, Kendall said. He added he’s never thought fixed-price contracts were “a panacea,” and while conventional wisdom is that fixed pricing solves a lot of problems, “I don’t think that’s the case, and the data shows that.”

Unsurprisingly, the review found that undefinitized contracts show the highest cost growth, the undersecretary said. The department can use these types of contracts to meet urgent needs, as they authorize contractors to begin work before contract terms are set.

“We tend to over-run our development programs … by about 30 percent,” Kendall said. “We tend to over-run our production programs by about 10 percent. So there’s a lot more variability and uncertainty and risk on the development side of the house.”

If the buyer hasn’t defined requirements or projected costs, he said, “You’re going to start a lot of people doing a lot of work that they’re not really ready to do, and that leads to huge inefficiencies. … The data shows that very strongly.”

Kendall added that the data also surprised him by showing that “undefinitized contract actions do not generally correlate with total cost growth on early procurement contracts. We found that it is a factor in development, but we were worried that the effect was also statistically measurable in procurement but is, in fact, not.”

Kendall said he wants to do more work on understanding which factors matter and how they correlate, but that all analysis to date points to the importance of good management.

“It wasn’t a surprise to me,” the undersecretary said. “I’ve been emphasizing the professionalism of the acquisition workforce … it’s been a constant theme of mine.”

Any project benefits from better management, Kendall noted. “We could avoid a lot of our disasters, and we could do much better in the margins in all of our programs, the better we are at managing programs and making sound decisions,” he added.

Examining factors in cost growth always leads to “a whole host of additional questions you have to ask,” Kendall said. Future reports will examine more and different defense acquisition data and institutions, both government and industry, he noted.

“It will also expand on the analysis,” he said. “I’m very open to ideas about how we get at understanding what’s really going on in the acquisition system.”

Two key take-aways from the report, Kendall said, are first, that the United States has a decisive strategic edge in its military, which is the best in the world; and second, that “the fact that it may cost us too much and take us too long to get there shouldn’t be neglected, either.”

Kendall said he had expected many of the report’s findings.

“We knew that cost growth has been high and that the recent wars have placed a premium on technical performance and schedule at the expense of cost growth,” he said. “The report reinforces the importance of our Better Buying Power initiative that [Deputy Defense Secretary Ash Carter] and I began in 2010 and I have continued to expand.”

Kendall told reporters during a Pentagon briefing in May that Better Buying Power 2.0 is a step forward in “a very, very complicated business.”

Kendall said Better Buying Power 2.0 covers a wide range of products and services that defense acquisition requires. There were 23 initiatives in Better Buying Power 1.0, 34 in 2.0 and “another 100 things, at least, that we’re working on,” he said during that briefing.

This new report, Kendall said, offers an analytic basis for further action. “For example, the finding that fixed-price contracts are not a ‘magic bullet’ to controlling cost has reinforced my experience that we need to consider and select the most appropriate contract type given the maturity, system type and business strategy for each system,” he said.

The report’s findings should help “reinvigorate cost consciousness in our culture,” Kendall said.

“This is especially important now that we are winding down the wars and have such intense fiscal constraints on the department,” he said. “We all must weigh not just the benefits of a particular capability, but also its benefits given the cost to the taxpayers.”


Click here for the full report (126 PDF pages) on the Pentagon website./i>

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 16:50
Estonian Defence Forces sign new Thales naval support contract

Jul 8, 2013 ASDNews Source : Thales Group

 

Thales UK has signed a contract with the Estonian Defence Forces to provide an additional four years of technical support and maintenance to two former Royal Navy (RN) mine countermeasures vessels (MCMVs) now serving with the Estonian fleet.

 

The contract provides a framework to achieve cost savings while accessing a wider range of support activities than previously provided.  Thales offers a complete range of services and support packages to suit specific operational and maintenance requirements.

 

The two former RN Sandown-class vessels – HMS Sandown and HMS Inverness – were decommissioned and sold to Estonia in 2006. The vessels were re-named ENS Admiral Cowan and ENS Sakala.

 

As part of a programme to return the two ships to operational service, Thales originally signed a contract in 2006 to provide operational support to the ships in service and upgrades to Thales UK’s highly-successful Sonar 2093 system. This new contract now extends the support programme until December 2016.

 

Estonian Defence Forces sign new Thales naval support contract

Sonar 2093 is a variable-depth sonar system and is designed for the detection and classification of bottom and moored mines. It is optimized for littoral (coastal) and open-ocean waters and is effective against all known mine types.

 

The system is in service with the RN’s remaining Sandown-class MCMVs, and existing export contracts include Japan, Australia, Saudi Arabia, Turkey, Italy and the Republic of Korea.

 

Ed Lowe, head of Thales UK’s naval business, said: “We greatly value our relationship with the Estonian Navy and Defence Forces, and see this new contract as a key to providing their ships with the best and most cost-effective long term support that will enable them to meet their important national and NATO commitments.”

 

Neeme Kass, Director of the Procurement Service in Estonia, said: “This signed agreement is a result of effective cooperation with Thales and is significant for Estonian Defence Forces because our goal is to establish long-term partnerships with professional companies.”

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