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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 11:50
photo ECPAD

photo ECPAD

 

01/10/2015 Sources : ACT - Otan

 

Le général Denis Mercier a pris le commandement suprême de la transformation de l’Otan (Supreme Allied Command Transformation – SACT) lors d’une cérémonie qui s’est tenue le 30 septembre 2015, à Norfolk en Virginie (États-Unis).

 

La cérémonie s’est déroulée en présence du secrétaire général de l’Otan, M. Jens Stoltenberg, ainsi que de nombreuses autorités civiles et militaires, ambassadeurs auprès de l’Otan ou membres du comité militaire. Cet événement a également marqué la fin de la mission du général Jean-Paul Paloméros, ayant occupé les responsabilités de SAC-T de 2012 à 2015.

 

«Je suis heureux de souhaiter au général Mercier une chaleureuse bienvenue dans cet important et prestigieux poste de commandement de l’Otan, a notamment déclaré Jens Stoltenberg. Le général Mercier arrive avec des états de services remarquables dans les domaines opérationnels et de commandement, à un moment crucial pour l’Alliance où nous nous adaptons pour aborder des menaces et des défis complexes, afin d’assurer la sécurité de nos nations et de nos citoyens.»

 

Le commandement allié de la Transformation (ACT) est l’un des deux commandements stratégiques de l’Otan, et le seul situé en Amérique du Nord. Il joue un rôle essentiel pour le maintien et le renforcement du lien transatlantique entre l’Europe et l’Amérique du Nord, tout en menant la transformation des structures militaires, des forces, des capacités et de la doctrine de l’Alliance.

Dirigé par un général de l’armée de l’air française depuis 2009, il est un des symboles de l’implication de la France dans les structures de commandement intégrées de l’Otan, qui y affecte un de ses officiers de plus haut rang. Cette affection représente également la confiance des Alliés pour la France et sa capacité à participer à la Transformation de l’Otan.

En plus de l’état-major de l’ACT à Norfolk, le général Mercier exerce son autorité sur trois centres situés en Norvège, en Pologne et au Portugal, ainsi que sur plusieurs organismes, localisés à Washington (États-Unis), Bruxelles ou Mons (Belgique). Leur leitmotiv commun est de tirer les leçons du passé au regard des situations stratégiques d’aujourd’hui, dans le but de préparer l’avenir.

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 11:35
L'armée afghane annonce avoir repris Kunduz, les talibans démentent

 

01/10/2015 Par lefigaro.fr

 

Cette ville stratégique était tombée lundi entre les mains des insurgés, soulevant la question de la capacité des forces afghanes à tenir tête aux talibans après le retrait des forces étrangères.

 

La ville était tombée lundi aux mains des talibans. Au terme de trois jours d'occupation par les insurgés, l'armée afghane a annoncé avoir repris Kunduz. «Après l'arrivée des renforts et le lancement d'une opération d'envergure dans Kunduz, les talibans n'étaient plus en mesure de résister et ils ont fui», résume le gouverneur de la province, Hamdullah Danishi, contacté par Reuters. L'arrivée de nouvelles troupes a longtemps été freinée par les insurgés qui ont miné les accès à la ville et lancé un assaut sur l'aéroport où stationnaient quelque 5000 soldats. Selon les autorités, l'offensive éclair menée par les forces spéciales a commencée mercredi à 23 heures avant de prendre fin le lendemain à 4 heures. Près de 150 talibans auraient été tués et 90 autres blessés.

 

Suite de l’article

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 10:55
[Teaser] Le groupe aéronaval : un outil de précision (Jdef)



1 oct. 2015 par Ministère de la Défense

 

Faire décoller et apponter des avions en pleine mer, c’est la mission du porte-avions Charles-de-Gaulle. Pour la mener à bien, le porte-avions est en permanence escorté par des bâtiments qui complètent sa protection contre les menaces aériennes, de surface ou sous-marines. Cet ensemble appelé GAN, pour groupe aéronaval, est mis en œuvre par 2 600 marins. Avec les États-Unis, la France est ainsi un des seuls pays à pouvoir déployer un tel dispositif en opérations.

En avril 2015, une équipe du Journal de la Défense (#JDef) a embarqué sur plusieurs navires durant l’opération Chammal. Au-delà de l’activité du groupe aérien embarqué, engagé contre DAECH, les témoignages des acteurs du GAN vont vous permettre de comprendre l’impressionnante machine déployée par la France pour projeter sa force partout dans le monde.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 07:56
Projet de loi de finances (PLF) 2016

 

30/09/2015 Ministère de la Défense

 

Le projet de loi de finances (PLF) pour 2016 met en œuvre les priorités décidées par le Président de la République lors du Conseil de défense du 29 avril 2015 et inscrites dans la loi du 28 juillet 2015 actualisant la programmation militaire pour les années 2015 à 2019 :  la protection du territoire national, l’équipement et l’activité opérationnelle des forces ainsi que le renseignement.

 

A ce titre, le budget 2016 de la Défense est porté à près de 32Md€ (toutes ressources confondues) contre 31,4Md€ dans la LPM initiale.
Le ministère bénéficiera également de la création nette de 2 300 emplois afin de poursuivre la montée en puissance de la force opérationnelle terrestre (FOT). Les crédits d’équipements atteindront un total de 17 Md€ consacrés à la modernisation des matériels des forces armées et l’entretien programmé des matériels (EPM) augmentera de près de 7% par rapport à 2015 pour permettre la régénération des matériels, fortement sollicités sur les théâtres extérieurs.
2016 sera par ailleurs l’année de lancement de l’expérimentation du SMV (service militaire volontaire) et la première année complète où l’ensemble des états-majors et directions centrales sera rassemblé sur le site de Balard, améliorant l’efficacité du ministère.
Dans un contexte financer particulièrement contraint, le budget 2016 de la mission « Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation » consolide les droits des anciens combattants en maintenant l’ensemble des dispositifs de reconnaissance et de réparation et en intégrant plusieurs mesures de justice sociale et d’équité. Il traduit, en cette période de commémoration du centenaire de la Grande Guerre, la solidarité de la Nation envers ses anciens combattants et l’importance du lien armée-Nation.

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 07:55
Inauguration du centre support cyberdéfense de la Marine nationale

 

30/09/2015 Sources : Marine Nationale

 

Au cœur des préoccupations du ministère qui a engagé un « Pacte Défense Cyber », la cyber défense est désormais dotée d’un centre pour l’entraînement des forces au sein de la Marine nationale : le centre support cyberdéfense (CSC). Son inauguration à Toulon, mardi 29 septembre, a réuni le vice-amiral d’escadre Denis Béraud, amiral commandant la force d’action navale, et le vice-amiral Anne Cullerre, sous-chef d’état-major aux opérations aéronavales qui dispose d’une casquette d’autorité cyber défense de la Marine.

 

La complexité des réseaux et des systèmes et leur interconnexion nécessitent une attention toute particulière, comme l’a rappelé le vice-amiral Cullerre : « le cyberespace est un espace de lutte à part entière, nous le savions déjà au regard des nombreuses actions préexistantes au CSC. Mais la création de celui-ci renforce notre visibilité et notre ambition en matière de cyberdéfense. »

 

Le CSC, coordinateur interorganique de l’entraînement des différentes composantes dispose de deux antennes : une à Toulon et l’autre à Brest. Il est également en mesure de fournir des groupes d’intervention rapide capables d’être projetés sur une unité pour la renforcer. L’objectif visé est de garantir la capacité des unités aéronavales à détecter et d’analyser les menaces cyber, identifier les conséquences techniques et opérationnelles, et les traiter pour préserver l’intégrité  des systèmes de combat. Le capitaine de corvette Eric Herveleu, chef du CSC, a rappelé que la cybersécurité est l’affaire de tous : « Nos marins vont peu à peu devenir des cyber-combattants : in fine, l’équipage se verra attribuer – au même titre que son rôle à la mer au poste de combat ou de sécurité – un rôle cyberdéfense ».

 

L’inauguration du centre s’est achevée par une simulation d’attaque de hacker sur le portail de la force d’action navale, rendant particulièrement explicites les menaces et les moyens mis en œuvre pour les contrer.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 07:50
PzH 2000 (Panzerhaubitze 2000) 155mm self-propelled howitzer

PzH 2000 (Panzerhaubitze 2000) 155mm self-propelled howitzer

 

Sep 29, 2015 by Richard Tomkins(UPI)

 

Lithuania on Tuesday signed an agreement to procure 21 PzH2000 self-propelled howitzers from the German Armed Forces.

 

The deal for the 155mm guns, as well as vehicles and other equipment, is worth nearly $65 million.

 

The Lithuanian Ministry of Defense said 16 of the guns will be usable for combat purposes, two will be used for training firing and driving skills, and three for spare parts.

 

"The changed geopolitical situation and lessons learned from the conflicts in Georgia and Ukraine have made the Lithuanian Armed Forces prioritize an efficient fire support to maneuver units on the course of its development," said Minister of National Defence Juozas Olekas. "Looking for solution, we turned to Germany, our ally, and its understanding and good will has helped us come up with a compromise on the procurement on one of the most modern self-propelled howitzers in the world within a particularly short time.

 

"That is a clear demonstration that Germany understands the reasons behind our security concerns and is sending a clear signal that it stands firmly by Lithuania."

 

The other equipment being purchased from Germany includes 26 M577 V2 armored command vehicles and six BPZ2 recovery tanks.

 

Also included in the deal is training for Lithuanian troops who will use the self-propelled howitzers, which will begin to arrive in Lithuania next year.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 07:50
EDA hosts SES/SESAR Military Implementation Forum

 

Brussels - 25 September, 2015 European Defence Agency

 

On 22 September, the European Defence Agency (EDA) hosted the 7th edition of the SES/SESAR Military Implementation Forum, bringing together the top management of the European Commission, the European Aviation Safety Agency (EASA), Eurocontrol, the SESAR Joint Undertaking, the SESAR Deployment Manager, NATO and of the defence community. They addressed the following challenges: What is the foreseeable evolution of military aviation and airspace usage over the next two decades? How to accommodate the military vision in the aviation regulatory and operational environment? How are military interests taken into account in SESAR? 

 

Jorge Domecq, the Chief Executive of the EDA, underlined that SES/SESAR is one of his top priorities: “EDA’s role is twofold: first, bridging the military with the Commission and EASA; second, developing incentives and solutions to engage the military. Let me also insist on the close cooperation with NATO on this issue.” 

The following issues have been in particular highlighted during the discussion: on the regulatory part, EASA would actively interact with the military. Given there is a clear trend towards digitalisation and connectivity, cyber-security should be at the heart of the community's attention.  Through a total aviation approach, aviation related issues should be embraced in a systematic and consistent manner.

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 07:50
Exploring hybrid threats

 

Brussels - 25 September, 2015 European Defence Agency

 

The European External Action Service (EEAS), in the framework of the Luxembourg Presidency and in cooperation with the European Military Staff and Crisis Management and Planning Directorate, organised a conference on Countering Hybrid Threats, held on 24 September 2015. Jorge Domecq, the European Defence Agency (EDA) Chief Executive was among the keynote speakers to present the EDA work and priorities regarding tackling hybrid threats. 

 

The opening remarks were delivered by HE Ambassador Stephan Müller, the Luxembourg Representative to the Political and Security Committee (PSC), whereas the keynote speeches were presented by Mr Maciej Popowski, the EEAS Deputy Secretary General, Jorge Domecq, the EDA Chief Executive, and a representative of the Space, Policy, Copernicus and Defence Diractorate of the European Commission.

“One thing is certain, hybrid warfare poses a significant challenge to the EU, its citizens and its interests, and time is of the essence to develop a joint approach to effectively tackle hybrid threats,” said Jorge Domecq and presented three main areas the EDA activities are currently focused on. In particular, Jorge Domecq indicated capability development, civil-military synergies and EU-NATO relations. The EDA Chief Executive announced the upcoming EDA-led war-gaming exercise in February 2016 that shall stress-test available defence capabilities against hybrid threats. “The aim is not to re-invent and come up with a set of new capabilities, instead, the exercise will allow us to see where extra attention is needed and how the capability that exists should be used,” he explained. Moreover, Jorge Domecq underlined the necessity of dual use within Research & Technology domain to avoid “spending twice”, thus to enhance civil-military synergy. Additionally, he emphasised the EU-NATO complementary approach in both directions regarding countering hybrid threats, claiming that this is “not an option, but an absolute need”.

Jorge Domecq’s speech, along with the two other keynote presentations, provided solid grounds for fruitful discussions continued in three panels, which were devoted to various aspects of facing hybrid threats. Among a number of topics raised, the conference participants dwelled upon identifying vulnerabilities hybrid warfare makes use of, shaping awareness of hybrid threats, resilience and deterrence against possible threats, aspects of information sharing  or EU-NATO cooperation. As a matter of fact, Roland van Reybroeck, the EDA Director Cooperation Planning and Support was a speaker of the third panel discussion and talked about building resilience.

Beyond achieving better understanding on hybrid threats, the discussions held at the conference will contribute to the ongoing works on the Joint Framework on Hybrid Warfare that shall be prepared by EEAS by the end of December, together with the Commission and EDA. “If Europe succeeds in offering a credible answer to hybrid treats, it will certainly enable us to make a very meaningful contribution to the security view, becoming a relevant partner and a security provider rather than a security consumer,” said Jorge Domecq, the EDA Chief Executive.

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 07:40
Op UNIFIER: les premiers militaires ukrainiens diplômés du cours canadien de déminage sont prêts

Le lieutenant-colonel ukrainien Gavryluk parle aux membres des Forces ukrainiennes et des Forces armées canadiennes lors d’une cérémonie pour la présentation de certificats de réussite militaire aux instructeurs des Forces ukrainiennes de l’école de lutte contre les dispositifs explosifs de circonstance du centre de déminage de Kamyanets Podilsky pendant l’opération UNIFIER en Ukraine. (Photo : Caméra de combat des Forces canadiennes, MDN)


30.09.2015 par
 

Les premiers militaires ukrainiens à être formés par les Forces armées canadiennes ont obtenu leur diplôme la semaine dernière après une semaine d’instruction intensive au centre de déminage du ministère de la Défense ukrainien, situé à Kamyanets-Podilsky, rapporte l’Armée canadienne.

 

Le 14 avril 2015, le premier ministre Stephen Harper, entouré de son ministre de la Défense et du chef d’état-major de la Défense, avait annoncé que le Canada allait déployer près de 200 membres des FAC en Ukraine jusqu’au 31 mars 2017.

Mais, alors que les formateurs américains étaient déjà à l’oeuvre depuis longtemps, la mission canadienne tardait à commencer, faute d’avoir défini le cadre juridique de l’opération canadienne avec les autorités ukrainiennes. Finalement, après une longue période de préparation, la mission d’instruction opération UNIFIER, a démarré officiellement le 14 septembre.

Le cours dispensé par les canadiens au Centre de déminage du ministère de la Défense ukrainien portait principalement sur les compétences essentielles en génie de combat, comme le déroulement des activités sur le champ de tir et la neutralisation des munitions conventionnelles, dit l’Armée canadienne dans un article sur son site cette semaine.

Ces compétences, explique-t-elle, ont fait l’objet d’évaluations lors d’exercices de campagne sous le regard attentif d’experts en neutralisation des explosifs et des munitions des Forces armées canadiennes.

«Nous avons offert de la formation sur certaines compétences essentielles qui jetteront les bases d’une formation avancée subséquente», explique le major Matt Littlechild, l’officier canadien dirigeant la portion de l’instruction sur la lutte contre les dispositifs explosifs de circonstance (IED) pour l’opération UNIFIER.

Ce premier groupe de militaires ukrainiens diplômés du cours canadien de génie en Ukraine le 19 septembre est constitué d’instructeurs, de préciser le major: «Tous ces étudiants sont des instructeurs au centre de déminage. Ils utiliseront les connaissances qu’ils ont pu acquérir pendant ce cours pour améliorer l’instruction qu’ils offrent.»

La prochaine phase de l’instruction au centre de déminage consistera en la prestation, en partenariat, de cours supplémentaires en génie à un plus grand groupe de militaires ukrainiens, suivis de cours sur des techniques avancées de lutte contre les IED à l’aide de matériel de neutralisation des munitions et des explosifs donné par le Canada.

En plus de l’expertise en génie qu’apporte le personnel des Forces armées canadiennes au centre de déminage de Kamyanets-Podilsky, la mission d’entraînement militaire du Canada en Ukraine offre de l’entraînement tactique au centre d,entraînement Starychi et fournit aussi une formation dans les domaines de la police militaire, de la sécurité aérienne, du secourisme militaire et de la logistique.

Le Canada et l’Ukraine sont des alliés de longue date et, à la chute du bloc soviétique, Ottawa a été parmi les premières capitales à reconnaître l’indépendance de l’Ukraine. En outre, depuis le renversement du président pro-russe Ianoukovitch en février 2014 et le début de la crise ukrainienne, le Canada, qui compte une importante minorité ukrainienne forte de i,2 millions de personnes, a été un soutien indéfectible des nouvelles autorités pro-occidentales à Kiev.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 07:35
FANC : Réunion des CEMAT et représentants de 26 nations du Pacifique en Indonésie

 

30/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 14 au 16 septembre 2015, le général de division Léonard, commandant supérieur des forces armées en Nouvelle-Calédonie (COMSUP FANC), a participé au 9e Pacific Armies Chiefs Conference (PACC) à Denpasar, en Indonésie.

 

Le général de division Léonard a représenté le chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT) à l’occasion de ce séminaire qui regroupait les CEMAT ou leurs représentants de 26 nations du Pacifique (Australie, Bangladesh, Birmanie, Brunei, Chili, Chine, Cambodge, Canada, Corée du sud, Etats-Unis, Grande Bretagne, Inde, Indonésie, Japon, Laos, Malaisie, Mongolie, Népal, Nouvelle-Zélande, Papouasie Nouvelle Guinée, Philippines, Singapour, Thaïlande, Tonga, Vietnam). Seize CEMAT en titre étaient ainsi réunis autour des CEMAT des États-Unis et de l’Indonésie, nations coorganisatrices.

 

Organisé par le commandant de l’US Army dans le Pacifique, ce séminaire biennal visait essentiellement à échanger sur les connaissances de chacun dans le domaine de la gestion des crises dans un cadre multinational. Le thème principal de ce séminaire était l’implication des forces armées dans la coopération régionale en Asie-Pacifique. Cette rencontre a été ponctuée par l’intervention du ministre de la Défense indonésien qui a rappelé la nécessité et l’importance de la contribution militaire à la coopération multilatérale dans la région Asie-Pacifique, pour faire face aux risques de catastrophes humanitaires et de crises alimentaires et énergétiques, ainsi qu’aux menaces que font peser le crime organisé et le terrorisme.

 

Le thème majeur fut abordé à deux reprises lors de deux sessions traitant de de la coopération régionale et des missions de rétablissement et de maintien de la paix dans un environnement multinational. En parallèle, ce séminaire a aussi permis de réaliser de nombreux entretiens bilatéraux.

 

Les FANC constituent le point d’appui central du « théâtre » Pacifique avec un dispositif interarmées centré sur un groupement tactique interarmes (GTIA) et les moyens de projection associés. Avec les Forces armées en Polynésie Française (FAPF), dispositif interarmées à dominante maritime, les FANC ont pour principales missions d’assurer la souveraineté de la France dans leur zone de responsabilité, d’animer la coopération régionale et d’entretenir des relations privilégiées avec l’ensemble des pays riverains de la zone Pacifique. Enfin, les FANC engagent régulièrement leurs moyens pour des opérations d’aide aux populations, en appui des autres services de l’État.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 07:35
Frégate indienne INS Trikand - photo Marine Nationale

Frégate indienne INS Trikand - photo Marine Nationale

 

29.09.2015 Marine nationale


Le 29 septembre 2015, la frégate type La Fayette Surcouf et le patrouilleur de haute mer Enseigne de vaisseau Jacoubet se sont entraînés avec la frégate indienne INS Trikand. Les entraînements conduits (évolution tactique de groupe, tir contre but flottant et exercice de défense aérienne) ont confirmé le haut niveau d’interopérabilité des unités. La Marine nationale travaille régulièrement avec la marine indienne. La coopération militaire avec l’Inde est fondée sur une vision partagée des grands enjeux stratégiques en océan Indien. Cette année, les marines française et indienne avaient conduit Varuna, un exercice majeur impliquant les groupes aéronavals.


Reportage photos

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 07:20
Le Canada a exploré la possibilité d’intégrer «pleinement» ses forces avec les États-Unis


30.09.2015 par Nicolas Laffont - 45eNord.ca
 

La relation, déjà étroite, entre le Canada et les États-Unis aurait pu être encore plus proche, à en croire des informations dévoilées par CBC. Un plan pour «pleinement» intégrer les Forces armées canadiennes avec les forces américaines a en effet été préparé et discuté jusqu’au plus haut niveau de la hiérarchie militaire.

 

Ainsi, l’initiative CANUS FI (forces intégrées Canada-Etats-Unis) visait à créer une force militaire intégrée binationale avec les États-Unis, en vertu de laquelle les forces aériennes, maritimes, terrestres et des opérations spéciales seraient déployées conjointement sous commandement unifié à l’extérieur du Canada.

Selon des informations fournies par le ministère de la Défense nationale, la présentation du programme conjoint Canada-États-Unis pour l’intégration des forces militaires a été conduit aux plus hauts niveaux, avec le chef d’état-major de la Défense de l’époque, le général Tom Lawson et le chef d’état-major américain, le général Martin Dempsey, lors de réunions qui ont eu lieu à «plusieurs reprises».

Les discussions du plan sont contenus dans une note d’information d’octobre 2013 préparée par l’État-major interarmées stratégique et obtenue grâce à l’accès à l’information par CBC.

Ce sont trois concepts différents qui ont au final été examinés:

  • améliorer l’interopérabilité militaire et la coopération
  • créer une force intégrée des unités nationales spécialement désignées pour se déployer à l’étranger
  • «intégrer pleinement les forces»

Une intégration complète des deux forces militaires posent de véritables questions sur le contrôle des troupes et notamment sur la question de l’utilisation de la force, des règles d’engagement et de l’interprétation du droit international qui sont variables entre les deux pays.

En fin de compte, «le général Lawson a indiqué que le Canada n’était pas prêt à déployer des forces terrestres entièrement intégrés».

Les efforts militaires pour l’intégration ont donc cessé et se sont recentrés sur l’amélioration de l’interopérabilité entre les forces.

Les armées canadiennes et américaines travaillent régulièrement en étroite collaboration pour améliorer l’interopérabilité à travers une série d’activités coordonnées de formation collectives combinées. «Ces exercices et des activités de formation sont conçus pour améliorer notre capacité à travailler avec les forces américaines au sein de l’ONU, de l’OTAN, dans un cadre multinational ou binational sur toute la gamme des opérations», a indiqué une porte-parole de la Défense nationale dans un courriel envoyé à 45eNord.ca.

Le Canada a intégré ses forces avec les États-Unis à quelques reprises pour des missions très spécifiques et des soldats des deux pays participent régulièrement à des exercices au Canada et aux États-Unis.

Un des meilleurs exemples d’intégration réussie est le Commandement nord-américain de la défense aérospatiale (NORAD). L’accord du NORAD a permis aux Forces canadiennes et américaines de travailler en étroite collaboration pour défendre l’Amérique du Nord au cours des 57 dernières années. Le commandement central est installé au Colorado, tandis que deux commandements régionaux sont installés en Alaska et au Manitoba. Dans chacun de ses commandements, des officiers canadiens et américains y travaillent.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 06:30
Le général Philip Breedlove, Commandant suprême des forces alliées en Europe. (Archives/Nicolas Laffont/45eNord.ca)

Le général Philip Breedlove, Commandant suprême des forces alliées en Europe. (Archives/Nicolas Laffont/45eNord.ca)


28.09.2015 par 45eNord.ca (AFP)
 

Le commandant des forces de l’Otan en Europe, le général Philip Breedlove, s’est inquiété lundi du déploiement de missiles anti-aériens russes en Syrie, inutiles contre le groupe Etat islamique que Moscou affirme vouloir combattre.

 

« Je n’ai pas vu le groupe État islamique faire voler des avions » justifiant le déploiement « de missiles SAM 15 ou SAM 22 » ou de « chasseurs sophistiqués », a ironisé le général Breedlove.

« Ces équipements sophistiqués n’ont rien à voir avec le groupe État islamique », a indiqué à Washington le général devant le German Marshall Fund, un groupe de réflexion.

Pour le général Breedlove, la Russie cherche en fait à créer une « bulle » de protection contre toute attaque aérienne, au profit du régime de Bachar al-Assad.

Les États-Unis s’inquiètent depuis des semaines du renforcement de la présence militaire russe en Syrie, Moscou ayant selon eux constitué une véritable base aérienne avec 28 avions de combat dans la province de Lattaquié, un fief de Bachar al-Assad.

A l’Assemblée générale de l’ONU lundi à New York, les présidents Barack Obama et Vladimir Poutine se sont mutuellement accusés d’alimenter les tensions sur place.

« Très haut sur l’agenda de Poutine et des Russes en Syrie, il y a protéger le régime d’Assad » contre ses ennemis et tous ceux qui pourraient les aider, a expliqué le général Breedlove devant le German Marshall Fund.

« Nous sommes un peu inquiets » de voir à terme les Russes créer une zone de protection anti-aérienne sur la Méditerranée du nord-est, qui empêcherait les avions de combat d’opérer dans la zone, a-t-il dit.

Moscou a déjà créé en Mer Noire ce genre de bulle (A2/AD, anti-access, area denial, selon le terme militaire américain), a expliqué le général, grâce à des batteries de missiles déployés en Crimée après l’annexion de celle-ci par les forces russes.

Et la Russie utilise aussi l’enclave russe de Kaliningrad en Europe orientale pour créer une telle bulle au-dessus de la Baltique, a-t-il indiqué.

Pour le général américain, les Russes cherchent probablement avant tout en Syrie à prolonger le régime d’Assad, « parce que c’est la porte légitime pour leurs ports et leurs bases aériennes en Syrie ».

La Russie veut d’abord « ralentir l’avance des forces anti-Assad » et mènera ensuite quelques « actions anti-EI pour légitimer son approche », a-t-il dit.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 23:30
Secretary Kerry Poses for a Photo With Russian Foreign Minister Lavrov Before Their Meeting at UN Headquarters in New York City (Sept. 28, 2015) - photo US gov

Secretary Kerry Poses for a Photo With Russian Foreign Minister Lavrov Before Their Meeting at UN Headquarters in New York City (Sept. 28, 2015) - photo US gov

 

01 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Nations unies (Etats-Unis) - Les Etats-Unis et la Russie, qui effectuent chacun des frappes en Syrie, se sont mis d'accord pour organiser au plus vite une rencontre entre leurs militaires afin d'éviter tout incident entre leurs aviations, ont annoncé mercredi les chefs de la diplomatie des deux pays.

 

Nous sommes tombés d'accord sur le fait que les militaires devraient se mettre en contact très bientôt, a déclaré le Russe Sergueï Lavrov, tandis que l'Américain John Kerry confirmait la nécessité d'une discussion entre militaires, aussi vite que possible, peut-être même demain.

 

Les deux ministres s'exprimaient devant la presse à la sortie d'une réunion du Conseil de sécurité, quelques heures après les premiers bombardements russes en Syrie.

 

La réunion entre militaires des deux armées doit porter sur ce que M. Kerry a appelé en anglais la deconfliction.

 

Il s'agit d'éviter un incident militaire entre les avions russes et ceux de la coalition pilotée par les Etats-Unis et qui mène depuis un an des frappes contre les positions du groupe Etat islamique.

 

Le mot deconfliction peut se traduire en français par le fait que les parties prenantes à un conflit communiquent et échangent des informations pour éviter des incidents entre leurs aéronefs qui interviennent sur un même théâtre d'opération.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 22:20
Defense Secretary Ash Carter briefs reporters at the Pentagon, Sept. 30, 2015. DoD photo by U.S. Air Force Senior Master Sgt. Adrian Cadiz

Defense Secretary Ash Carter briefs reporters at the Pentagon, Sept. 30, 2015. DoD photo by U.S. Air Force Senior Master Sgt. Adrian Cadiz

 

30 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Washington - L'approche russe en Syrie est vouée à l'échec et tournera mal, a estimé mercredi le secrétaire à la Défense américain Ashton Carter, après les premières frappes russes dans le pays ravagé par la guerre civile.

 

Leur approche est vouée à l'échec, a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse au Pentagone. Ce qu'ils font va mal tourner et est contre-productif.

 

M. Carter a estimé que les première frappes russes ne visaient probablement pas le groupe Etat islamique (EI), contrairement aux intentions affichées par Moscou.

 

Il semble qu'elles étaient dans des zones où il n'y avait probablement pas de forces du groupe Etat islamique, a-t-il dit.

 

M. Carter a estimé également estimé que la stratégie russe en Syrie, en ne prévoyant pas de transition politique et un départ de Bachar al-Assad, risquait d'ajouter de l'huile sur le feu du conflit.

 

Notre position est claire: la défaite du groupe Etat islamique et de l'extrémisme en Syrie ne peut être achevée qu'en parallèle avec une transition politique en Syrie, a-t-il estimé.

 

L'aviation russe a mené mercredi ses premiers bombardements en Syrie à la demande du président Bachar al-Assad, une intervention militaire qui a immédiatement suscité des doutes de plusieurs pays occidentaux concernant les cibles réellement visées, EI ou rebelles.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 21:35
Afghanistan : Kunduz, une bataille stratégique

 

30.09.2015 Le Monde.fr avec AFP

 

Les talibans ont pris le contrôle, lundi 28 septembre, de la ville de Kunduz, déclenchant une contre-offensive des forces afghanes, soutenues par les forces américaines. Une « prise » qui constitue une nette victoire pour les insurgés et marque un tournant dans la guerre qu’ils mènent, depuis quatorze ans, contre les forces gouvernementales et étrangères.

 

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 21:30
photo Russia MoD - RT.com

photo Russia MoD - RT.com

 

30 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Moscou - L'aviation russe a effectué vingt sorties aériennes et touché huit cibles du groupe Etat islamique en Syrie, détruisant notamment un poste de commandement de l'EI, a annoncé mercredi le ministère russe de la Défense.

 

Nos avions ont attaqué huit cibles. Toutes ont été touchées. Les cibles, notamment un centre de commandement des terroristes du groupe Etat islamique, ont été entièrement détruites, a indiqué le ministère de la Défense dans un communiqué.

 

Le porte-parole du ministère de la Défense, Igor Konachenkov, a pour sa part évoqué 20 sorties aériennes effectuées mercredi.

 

Je veux préciser que toutes ces frappes ont eu lieu après l'organisation d'opérations de reconnaissances aériennes sur la base de renseignements fournis par le pouvoir syrien, a-t-il ajouté, cité par les agences russes.

 

Selon le ministère de la Défense, qui a publié une vidéo des frappes sur laquelle on voit trois sites touchés par des bombardements, des dépôts de munition, des armes et du matériel militaire ont également été visés par l'aviation russe.

 

La télévision officielle syrienne avait confirmé plus tôt que les frappes russes avaient eu lieu dans les provinces de Hama (nord-ouest) et Homs (centre), tandis que l'armée syrienne a mené un raid dans la région de Lattaquié (nord-ouest).

 

Le président Vladimir Poutine a justifié mercredi ces frappes aériennes russes en Syrie, estimant qu'il fallait prendre de vitesse les jihadistes en les frappant sur les territoires déjà sous leur contrôle avant qu'ils arrivent chez nous.

 

A New York, le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a cependant estimé qu'il y avait des indications selon lesquelles les frappes russes n'ont pas visé Daech, acronyme arabe du groupe Etat islamique.

 

Les frappes conduites par la Russie en Syrie ont visé des zones où il n'y avait probablement pas de forces du groupe Etat islamique, a également indiqué le secrétaire à la Défense américain, Ashton Carter.

 

L'utilisation de l'aviation russe en Syrie vient en soutien des forces armées de la république arabe syrienne, qui se bat contre l'EI et d'autres groupes terroristes, a jugé le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, cité par les agences russes.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 21:30
Un Su-24M photo Sputnik. Igor Zarembo

Un Su-24M photo Sputnik. Igor Zarembo

 

30 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Beyrouth - L'aviation russe a mené mercredi ses premiers bombardements contre deux provinces dans le centre de la Syrie, selon une source de sécurité syrienne, mais ces frappes auraient, selon une ONG, principalement visé al-Qaïda et des rebelles islamistes.

 

La télévision officielle syrienne a confirmé les raids russes précisant pour sa part que leurs objectifs étaient des positions du groupe jihadiste Etat islamique (EI).

 

Les avions russes et syriens ont mené (mercredi) plusieurs raids contre des positions terroristes à Hama (nord-ouest) et Homs (centre), a précisé cette source de sécurité.

 

Les raids ont frappé des objectifs avec précision et des drones russes avaient auparavant survolé les secteurs, a précisé la source à l'AFP sans donner de bilan des victimes.

 

Nous tentons d'établir un bilan mais ce qui est certain, c'est qu'il y a eu beaucoup de morts notamment parmi les chefs terroristes, dans les attaques qui ont visé l'EI, a souligné une source militaire.

 

Mais selon Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), les frappes ont visé dans la province de Homs, des centres de commandement du Front al-Nosra, branche syrienne d'al-Qaïda et son puissant allié islamiste Ahrar al-Cham ainsi que d'autre petits groupes rebellles locaux.

 

Dans la province de Hama, les avions ont frappé un dépôt d'armes de l'Armée al-Izza, un groupe rebelle soutenu par des pays arabes et les Américains à Latamina et des positions des rebelles islamistes et d'al-Nosra.

 

Mais, a-t-il ajouté, les frappes contre les localités de Rastane, Talbissé et Zaafarani dans la province de Homs, n'ont tué que cinq combattants contre 27 civils et des dizaines de blessés.

 

La source de sécurité a confirmé des raids russes sur Rastane et Talbissé.

 

La télévision syrienne a fait état de frappes dans la province de Homs et Hama. Mettant en application l'accord entre la Russie et la Syrie pour contrer le terrorisme et éliminer l'EI, en coopération avec l'armée de l'air (syrienne), les avions russes ont mené plusieurs raids visant l'EI, a-t-elle dit. Elle a cité quatre secteurs dans la province de Homs et trois dans celle de Hama.

 

Le régime syrien contrôle la grande majorité de la province de Homs, notamment la capitale éponyme. D'autres parties de la province sont aux mains des rebelles et du Front al-Nosra mais aussi de l'EI.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 21:30
infographie LeFigaro.fr

infographie LeFigaro.fr

 

30/09/2015 Par lefigaro.fr

 

Le Parlement russe avait donné le feu vert mercredi à Vladimir Poutine pour une action militaire. Les États-Unis jugent que ces premières frappes sont « contre-productives » et ne visaient pas Daech.

 

La Russie a officiellement commencé sa campagne militaire contre les «terroristes» de Syrie, quelques heures après un vote en ce sens de son Parlement. Mercredi, les avions de Moscou ont frappé leurs premiers objectifs situés dans la région de Homs mais aussi à Hama et à Lattaquié. Les bombes ont été larguées sur des «équipements militaires» et «des stocks d'armes et de munitions» de l'État islamique, ont affirmé dans l'après-midi les autorités russes.

 

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 20:45
Burkina: l'armée sécurise Ouagadougou au lendemain de son assaut

 

30.09.2015 Romandie.com (ats)

 

L'armée loyaliste a repris mercredi le contrôle de la situation dans la capitale du Burkina Faso, au lendemain de son assaut-éclair contre la caserne des ex-putschistes de la garde présidentielle. L'ex-chef putschiste s'est momentanément réfugié dans une ambassade.

De nombreux soldats étaient positionnés à presque tous les coins de rue du quartier Ouaga2000, qui abrite la caserne du Régiment de sécurité présidentielle (RSP). C'est cette unité d'élite de l'armée burkinabè, ancienne garde prétorienne de l'ex-président Blaise Compaoré, qui avait mené le coup d'Etat du 17 septembre, mis en échec au bout d'une semaine.

Le chef du RSP et auteur principal du putsch, le général Gilbert Diendéré, se trouvait mercredi après-midi "dans une représentation diplomatique" de la capitale. Des négociations étaient en cours pour qu'il soit remis aux autorités, a indiqué un communiqué du gouvernement.

Le gouvernement a ajouté que l'armée loyaliste continuait mercredi de passer "au peigne fin le Camp Naba Koom en vue de dresser un bilan exhaustif des opérations militaires". Il a réitéré son "appel à la tolérance et au bon accueil de nos frères de l'ex-RSP".

 

Toujours pas de bilan des victimes

Mardi soir, l'armée régulière, déterminée à en finir avec les irréductibles du RSP qui rechignaient à rendre leurs armes, avait mené un assaut-éclair à l'arme lourde contre la caserne Naaba Koom. Le général Diendéré, ancien bras droit de Compaoré, avait alors affirmé craindre un bilan élevé, mentionnant la présence dans le camp, en temps normal, des familles de militaires et d'une clinique.

Mercredi matin, des tireurs allongés étaient positionnés, l'arme pointée vers des terrains vagues où des soldats du RSP auraient pu trouver refuge après avoir fui leur camp au moment de l'assaut.

L'opération de ratissage et de sécurisation du quartier Ouaga2000, dans le sud de la capitale, était menée alors même qu'une circulation très intense de centaines de petites motos, le moyen de locomotion le plus populaire à Ouagadougou, avait repris sur l'axe principal menant au centre-ville. Sur le bord de la route, les travailleurs prenaient leur petit-déjeuner sur le pouce dans des gargotes, signe d'une normalité en partie retrouvée dans la capitale.

La société civile, qui avait rejeté une première médiation de la Cédéao (Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest) comprenant une amnistie des putschistes, n'a cessé de rappeler que le putsch avait fait une dizaine de morts et une centaine de blessés et que ses principaux responsables devaient être traduits en justice.

 

Prochaines élections

Le régime de transition doit à présent mener à bien sa principale mission: l'organisation des élections générales. L'Union européenne (UE) s'est félicitée de "la fin des affrontements" à Ouagadougou, saluant "un pas important vers la normalisation de la situation".

Ces élections sont censées tourner la page de la transition ouverte il y a un an à la suite du soulèvement populaire qui a chassé du pouvoir le président Compaoré, après 27 ans à la tête de ce pays. L'histoire du Burkina Faso est jalonnée de coups d'Etat militaires depuis son indépendance en 1960.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 20:40
Ukraine: accord sur le retrait des armes près de la ligne de front dans l'Est rebelle

 

30 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Kiev - L'Ukraine et les séparatistes prorusses ont annoncé mercredi un accord sur le retrait des armes de calibre inférieur à 100 mm dans une zone de 15 km de part et d'autre de la ligne de front dans l'Est rebelle.

 

Cette initiative approuvée après trois mois de pourparlers intervient 48 heures avant un sommet à Paris entre les dirigeants ukrainien, russe, français et allemand destiné à faire avancer le processus de paix en Ukraine.

 

Le chef de la diplomatie allemande Frank-Walter Steinmeier a salué grandement cette annonce tout en insistant sur la mise en oeuvre des accords de paix pour l'Est de l'Ukraine signés en février à Minsk grâce à la médiation franco-allemande.

 

Les accords dits Minsk 2 ne prévoyaient que le retrait des armes de plus de 100 mm, mais cette clause a été régulièrement violée, provoquant la mort de plus de mille personnes, selon les observateurs internationaux.

 

L'accord sur le retrait des armes de moins de 100 mm a été signé mardi soir à Minsk par les émissaires ukrainien, russe et de l'OSCE au sein du Groupe de contact pour l'Est de l'Ukraine, a annoncé Daria Olifer, porte-parole de l'émissaire ukrainien Léonid Koutchma.

 

La mise en oeuvre de cet accord prendra 41 jours et verra chaque partie retirer ses armes à 15 km de la ligne du front.

 

Le dirigeant de la république autoproclamée de Donetsk Alexandre Zakhartchenko a promulgué le texte mercredi soir et son homologue à Lougansk Igor Plotnitski doit faire de même dans la soirée.

 

Il s'agit d'un progrès incontestable pour régler le conflit, a souligné M. Zakhartchenko.

 

Pour son émissaire Denis Pouchiline, la création d'une zone tampon de 30 km signifierait la fin de la guerre.

 

Le chef de la mission de surveillance de l'OSCE pour l'Est de l'Ukraine, Ertugrul Apakan, a salué un pas vers la paix et la stabilisation dans l'intérêt du peuple de l'Ukraine.

 

Le porte-parole militaire ukrainien Andriï Lyssenko a également salué une mesure très importante, une victoire diplomatique de Kiev.

 

Ce n'est pas assez, a pour sa part mis en garde le chef de la diplomatie allemande.

 

Nous avons besoin de plus: les armes lourdes doivent aussi être retirées des zones de conflit et le rôle de l'OSCE doit être respecté et renforcé, comme convenu à Minsk. Beaucoup d'autres points des accords de Minsk doivent encore être mis en oeuvre, a-t-il poursuivi sur son compte Twitter.

 

Le volet politique des accords de Minsk prévoit une large autonomie pour les régions rebelles et des élections locales dans ces dernières d'après les lois ukrainiennes d'ici la fin de l'année.

 

Or les séparatistes insistent sur la tenue de leurs propres élections le 18 octobre pour la république autoproclamée de Donetsk et le 1er novembre pour celle de Lougansk et non le 25 octobre comme dans le reste du pays.

 

L'Ukraine exige de son côté la reprise du contrôle sur la frontière avec la Russie dont près de 400 km lui échappent après dix-sept mois du conflit qui a fait plus de 8.000 morts.

 

Le sommet à Paris vendredi est une opportunité assez rare d'avancer sur le sujet. J'espère que et Kiev et Moscou sont disposés à travailler en ce sens, a souligné M. Steinmeier.

 

Kiev et les Occidentaux accusent la Russie d'armer les séparatistes de l'Est et d'y avoir déployé des troupes régulières ce que Moscou dément catégoriquement.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 16:55
École de l’air: aguerrissement en montagne

 

30/09/2015 Armée de l'air

 

Les élèves de la promotion unique «2015» de l’École de l’air ont effectué un stage d’aguerrissement du 15 au 24 septembre 2015, au centre de montagne air situé à Ancelle (Hautes-Alpes).

 

Cette période de formation de deux semaines a permis aux «poussins» (surnom attribué aux élèves de première année) d’acquérir les fondamentaux de la vie militaire.

 

Cette formation initiale est particulièrement importante, car elle forge la cohésion au sein de la promotion, un esprit amené à perdurer longtemps après le passage des élèves à l’École de l’air.

 

Les nombreuses activités physiques ont également permis aux «poussins» de tester leur résistance physique et leur motivation à embrasser une carrière au sein de l’armée de l’air.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 16:35
MD-530 F Cayuse Warrior light attack helicopter

MD-530 F Cayuse Warrior light attack helicopter

 

September 28, 2015 By Franz-Stefan Gady – TheDiplomat

 

Afghanistan’s most decorated pilot is critical of U.S. efforts to help build the Afghan Air Force.

 

Afghanistan’s most decorated pilot, Colonel Qalandar Shah Qalandari, recently questioned the usefulness of a new fleet of American-made light attack helicopter gunships, according to an interview published in the New York Times.

Among other things, Colonel Qalandari said that the new helicopters cannot reach areas where Taliban insurgents are normally operating, since the helicopter cannot cross the mountain ranges that surround Kabul, and that the aircraft is also dangerous to operate.

“It’s unsafe to fly, the engine is too weak, the tail rotor is defective and it’s not armored. If we go down after the enemy we’re going to have enemy return fire, which we can’t survive. If we go up higher, we can’t visually target the enemy,” he noted. “Even the guns are no good.”

The helicopter gunship in question is the MD-530 F “Cayuse Warrior” light attack helicopters, some of which were recently involved in a combat mission south of Jalalabad. One pilot talking to the New York Times, however, noted that the helicopters lack gun sights for its two .50 caliber machine guns, making targeting very difficult.

 

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 16:35
Indian Navy's New Destroyer 'Kochi' Revealed (Part I)

 

September 24, 2015 by Livefist

 

The Indian Navy's second Kolkata-class destroyer Kochi enters service on September 30 in Mumbai. Ahead of that day, here's the first official literature on the ship, made available exclusively to Livefist.

 

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 16:30
Credits BBC

Credits BBC

 

30 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Ryad - La coalition arabe conduite par l'Arabie saoudite qui intervient au Yémen en soutien au gouvernement a affirmé jeudi avoir intercepté en mer d'Oman un bateau de pêche iranien chargé d'armes destinées aux rebelles chiites yéménites Houthis.

 

Des armes ont été saisies à bord de ce bateau, intercepté samedi au large de la ville omanaise de Salalah, a déclaré la coalition dans un communiqué. Cette annonce a été faite alors que de vives tensions opposent l'Arabie saoudite à l'Iran.

 

Selon la coalition, parmi les équipements saisis figurent 18 obus antiblindés, 54 obus antichars BGM17 et des système de guidage de tirs. Outre le capitaine, 14 Iraniens étaient à bord de ce bateau, enregistré en tant qu'embarcation de pêche en Iran, a-t-on ajouté de même source.

 

La coalition militaire conduite par l'Arabie saoudite et composée principalement de pays du Golfe impose un blocus maritime au Yémen depuis le début de son intervention en mars en soutien au président Abd Rabbo Mansour Hadi contre les rebelles chiites Houthis.

 

Le gouvernement yéménite et la coalition arabe accusent régulièrement l'Iran de soutenir les Houthis qui se sont emparés de vastes pans du territoire yéménite depuis un an et contrôlent toujours la capitale Sanaa.

 

Pour justifier leur intervention, les monarchies sunnites du Golfe, Arabie saoudite en tête, ont affirmé vouloir empêcher Téhéran de rééditer au Yémen l'expérience du mouvement chiite libanais Hezbollah.

 

Fin avril, un convoi de bateaux iraniens soupçonnés par les Américains de transporter des armes pour les rebelles avait fait demi-tour en mer d'Oman avant d'atteindre la côte yéménite.

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté en avril une résolution qui impose un embargo sur les armes contre les rebelles au Yémen.

 

Au cours de la semaine écoulée, le ton est monté entre l'Arabie saoudite et l'Iran à propos de la bousculade meurtrière qui s'est produite lors du pèlerinage annuel musulman de La Mecque.

 

Parmi les 769 morts annoncés officiellement figurent 239 Iraniens. Téhéran a accusé Ryad de graves négligences dans l'organisation du rassemblement religieux. Ryad a rétorqué en reprochant à Téhéran de chercher à politiser la catastrophe qui a endeuillé le pèlerinage.

 

Les deux pays ont également des échanges tendus au sujet de la Syrie. Mardi, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU, le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir, a affirmé que l'Iran faisait partie du problème et ne pouvait pas faire partie d'une solution.

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