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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 12:55
EADS celebrates 60 years of Patrouille de France (c) EADS

EADS celebrates 60 years of Patrouille de France (c) EADS

 Provence, France,  25 May 2013 EADS

 

Patrouille de France, the legendary French flight demonstration team celebrated its 60th anniversary today at its base in Salon-de-Provence. The Patrouille de France boasts a rich heritage of spectacular flight demonstrations and has enthused millions of spectators and aviation enthusiasts worldwide at air shows and other events over the last sixty years.

EADS is proud to have played a part in the squadron’s legacy and to take part in the celebrations, by participating in the APPAF display with the Fouga CM 170 “Magister” F-AZZP, the team’s main display aircraft for 16 years. The twin-jet aircraft was also used by the French Air Force for regular pilot training.

The Fouga Magister was replaced by the Alpha Jet as the main flight display aircraft in 1980. It made its final appearance in a Patrouille de France display on 16 September 1980 at Salon-de-Provence, France.

Note for photo editors: A high resolution version of the photograph can be downloaded from the Media Centre of the EADS website, www.eads.com/media

Video: http://youtu.be/hxoqXIkdCew

About EADS

EADS is a global leader in aerospace, defence and related services. In 2012, the Group – comprising Airbus, Astrium, Cassidian and Eurocopter – generated revenues of € 56.5 billion and employed a workforce of over 140,000.

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 12:45
photo EUTM Mali

photo EUTM Mali

25 mai 2013 EUTM Mali

 

Une formation militaire d’un bataillon appelé à monter sur la ligne de front ne pouvait s’envisager sans des séances de tirs. Or, le champ de tir de TIENTIENBOUGOU, des écoles militaires maliennes, se situe à une vingtaine de kilomètres de piste, soit 45 minutes de pick-up, du camp de Koulikoro. L’utilisation de ce champ de tir présentait deux difficultés majeures pour le bataillon malien. Tout d’abord, la distance et les problèmes logistiques associés (Véhicules, carburant, …). Mais aussi, en saison des pluies, la piste pour y parvenir pourrait rapidement devenir totalement inutilisable.

 

Devant ces difficultés, EUTM Mali a décidé d’apporter son soutien aux armées maliennes afin de réaliser un champ de tir plus proche et simple d’accès. Deux sites avaient été initialement reconnus, les autorités maliennes ont choisi les environs du village de TANABOUGOU pour accueillir cette infrastructure.

 

Sa réalisation a demandé 3 semaines de travaux. Il a fallu tout d’abord défricher et déboiser le terrain (350m*70m), le niveler, monter une butte de tir (6 m de haut), réaliser la route d’accès en latérite. Ce sont en tout 6 000 m3 de sable, terre et de latérite qui ont été bougés.

 

Il a fallu ensuite que les autorités maliennes définissent les règles d’utilisation du champ de tir en liaison avec EUTM Mali.  La gestion et l’emploi ont été confiés à la mission Européenne, le temps qu’elle existera.

 

C’est donc le Lundi 6 Mai 2013 que s’est déroulé le 1er tir du bataillon WARABA.

 

Reportage photo

photo EUTM Mali

photo EUTM Mali

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 12:45
Frégate type La Fayette (FLF) Guépratte

Frégate type La Fayette (FLF) Guépratte

24/05/2013 Sources : EMA

 

Le 14 mai 2013, la frégate type La Fayette (FLF) Guépratte a quitté le port de Djibouti pour rejoindre l’opération européenne de lutte contre la piraterie Atalante. A cette occasion, elle a mené une succession d’exercices en mer avec toutes les composantes des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj).

 

Dès l’appareillage de la frégate, des exercices ont été menés avec les fusiliers marins du groupe d’intervention et de renfort (GIR) qui assurent la protection des bâtiments à quai et lorsqu’ils quittent le port.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

Peu de temps après avoir atteint la pleine mer, l’alerte aérienne a été déclenchée à bord du Guépratte, 4 chasseurs ayant été détectés en approche à grande vitesse du bâtiment. Quatre Mirage 2000D de l’escadron de chasse 3/11 Corse, stationnés sur la base aérienne 188 (BA188) ont effectué plusieurs passages pour entrer dans la zone de défense aérienne du bâtiment. A l’issue de cet exercice de défense aérienne (air defense exercise - ADEX), un hélicoptère Puma du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT) s’est entraîné à effectuer des manœuvres de Touch and go (TAG) en multipliant les appontages-décollages sur la plateforme du Guépratte. Cet exercice permet aux pilotes de s’entraîner à effectuer cette délicate  manœuvre sur un bâtiment en mouvement.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

Ces entraînements organisés avec les FFDj et les bâtiments de la Marine nationale en escale contribuent à renforcer l’interopérabilité entre les trois armées et à améliorer les compétences à travers le partage des expériences et l’apprentissage des savoir-faire.

 

Actuellement, la frégate Guépratte est déployée avec la frégate de surveillance (FS) Nivôse et un avion de surveillance maritime Falcon 50 au sein de l’opération Atalante. Cette opération a pour mission d’escorter les navires du Programme alimentaire mondiale (PAM), de participer à la sécurité du trafic maritime et de contribuer à la dissuasion, à la prévention et à la répression des actes de piraterie au large des côtes somaliennes. La France participe à l’opération Atalante avec le déploiement permanent d’au moins une frégate de la marine nationale. Le dispositif peut être renforcé ponctuellement par un avion de patrouille maritime Atlantique 2 (ATL 2) ou de surveillance maritime Falcon 50 ou par un avion E3F.

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 12:30
photo Marine Nationale P. GHIGOU

photo Marine Nationale P. GHIGOU

25/05/2013 Sources : EMA

 

Le 18 mai 2013, le vice-amiral Marin Gillier, commandant la zone maritime de l’océan Indien (ALINDIEN), et son état-major interarmées (EMIA), ont embarqué à bord du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre.

 

Composé d’une cinquantaine de militaires, officiers et sous-officiers des trois armées, l’EMIA ALINDIEN exerce habituellement son contrôle opérationnel depuis la terre. Il doit toutefois conserver son aptitude à embarquer à tout moment, en fonction des opérations à commander. Pour conserver cette capacité, l’EMIA ALINDIEN est régulièrement projeté à bord de bâtiments français.

 

Le BPC Tonnerre met ainsi à profit sa capacité à recevoir un tel état-major. Ce transfert de la terre vers la mer s’est parfaitement déroulé à l’occasion de l’escale à Abu Dhabi du groupe Jeanne d’Arc, composé du BPC et de la frégate anti-sous-marine (FASM) Georges Leygues. Chacun des membres de l’état-major a ainsi pu disposer, dès son arrivée à bord, de l’ensemble des données et des moyens de communication nécessaires pour continuer à conduire l’ensemble des missions. Il s’agit d’un critère indispensable pour conserver sa réactivité et être opérationnel à la mer.

 

ALINDIEN exerce son autorité sur la zone maritime « Moyen Orient - océan Indien » s’étendant du sud du canal de Suez, à l’ouest, jusqu’à la mer de Chine méridionale et les Philippines, à l’Est. Il anime les relations militaires bilatérales, au nom du chef d’état-major des armées, dans l’ensemble des pays de sa zone de responsabilité. Ainsi, l’escale à Mascate du BPC, du 22 au 25 mai, a permis à ALINDIEN de rencontrer de hautes autorités militaires et civiles, dont le chef d’état-major de la marine omanaise, le Vice Amiral al Raissi.

photo Marine Nationale P. GHIGOU

photo Marine Nationale P. GHIGOU

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 11:50
Crédits EMA

Crédits EMA

24/05 par Jean-Philippe LACOUR, Correspondant à Francfort - lesechos.fr

 

Les deux fabricants de blindés auraient un intérêt à se rapprocher dans un contexte de restrictions de budgets nationaux. Les obstacles capitalistiques ne sont pas les seuls.

 

La pression sur les budgets de défense en Europe pourrait forcer une alliance franco-allemande dans l’armement. Selon le quotidien allemand « Handelsblatt », le français Nexter montre un intérêt pour fusionner avec le fabricant de chars allemand Krauss-Maffei Wegmann (KMW). Et c’est le français, propriété du groupe public GIAT Industries, qui est à la manœuvre pour tenter un rapprochement avec l’allemand, détenu par des intérêts familiaux et réputé pour défendre son indépendance, indique le « Handelsblatt ».

 

Le sujet a déjà été évoqué en haut lieu par le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, avec son homologue allemand Thomas de Maizière, a affirmé la semaine dernière le quotidien allemand. De source proche du ministère français, on confirme que le ministre discute avec ses homologues européens, en particulier sur des aspects industriels susceptibles de faire avancer l’Europe de la défense. Aucune des entreprises concernées ne souhaite en revanche s’exprimer sur le sujet. KMW et Nexter sont parmi les dernières entreprises européennes exclusivement actives sur l’armement terrestre, avec principalement le char « Léopard » côté allemand, concurrencé par le « Leclerc » français. Ces groupes développent des systèmes d’armement et de génie terrestre, le Français ajoutant à son arsenal des munitions et têtes de missiles.

 

Concurrence américaine

 

Nexter a bouclé l’année 2012 avec un chiffre d’affaires de 742 millions d’euros et il est rentable. KMW a publié en 2011 des ventes de 900 millions d’euros, alors qu’elles atteignaient 1,4 milliard en 2008. L’année 2013 a néanmoins bien démarré pour l’allemand, qui a devancé Nexter pour rafler une énorme commande de 1,89 milliards d’euros passée par le Qatar pour renouveler d’anciens chars et obusiers de fabrication… française.

 

Un rapprochement franco-allemand dans le secteur ferait sens pour résister à la concurrence américaine. Mais il y a encore loin de la coupe aux lèvres, car Nexter devrait d’abord être privatisé pour qu’un éventuel rapprochement puisse s’effectuer. La tentative du précédent gouvernement de rapprocher Nexter de Thales avait été torpillée par le nouveau pouvoir. Mais les choses pourraient évoluer, car Paris veut désormais se délester dans le portefeuille de participations d’Etat, dont le domaine de l’armement n’est pas exclu. De son côté, KMW, issu en 1999 du rapprochement des groupes Krauss-Maffei et Wegmann, a démontré sa volonté de conserver son indépendance. En 2011, plusieurs familles contrôlant la holding du groupe avaient racheté les 49% du capital encore détenus par le conglomérat Siemens. Cela avait été perçu comme un signe de repli sur soi. Et la fusion souvent évoquée avec le concurrent de la Rhur, Rheinmetall, n’a jamais été poussée loin, alors que les deux groupes sont déjà partenaires sur la fabrication de blindés.

Crédits EMA

Crédits EMA

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 11:50
Entraînement SPONTEX, VIP Day - photo Marine Nationale Sébastien Deschamps

Entraînement SPONTEX, VIP Day - photo Marine Nationale Sébastien Deschamps

24 mai 2013 -    Didier Déniel – LeTelegramme.fr

 

Pendant une dizaine de jours, dix bâtiments de surface et deux sous-marins ont participé à l'opération Spontex. Un entraînement international à la lutte anti- sous-marine auquel participaient 1.500 militaires de sept nationalités.

 

L'Europe de la Défense est une réalité dans l'esprit des militaires qui ont participé à cette vaste opération d'entraînement à la lutte sous-marine qui s'est déployée dans le golfe de Gascogne, au nord-est d'une ligne Bordeaux-Brest. Le gros de la flotte était constitué de bâtiments participant à la Force navale franco-allemande. Cinquantième anniversaire du traité de l'Élysée oblige. Le Portugal, le Royaume-Uni, la Belgique, la Pologne et le Canada étaient aussi présents sur l'eau.

 

« Entretenir notre tactique maritime »

 

Sur le pont du Siroco, bâtiment français qui abritait l'état-major durant cette opération, l'amiral Rogel, chef d'état-major de la Marine affichait, hier, sa satisfaction. « Nous avons peu l'occasion de nous entraîner avec autant de bateaux. Ces exercices sont très importants pour la Défense européenne. Ils nous permettent d'entretenir notre tactique maritime commune. Les équipements et les transmissions ne cessant de changer. Aujourd'hui, je peux dire que nous avons maintenu le niveau qui doit être le nôtre. » L'opération Spontex était principalement axée sur la lutte anti-sous-marine. Deux sous-marins, l'un français et l'autre portugais n'ont cessé de jouer au chat et à la souris avec les bâtiments de surface dans des eaux n'excédant pas 200 m de profondeur. L'exercice incluait également des tirs sur cibles flottantes et des simulations d'opérations antiaériennes sur les avions de la Ban de Landivisiau (29). « Nous avons vraiment l'habitude de travailler ensemble maintenant », soulignait, dans un français impeccable, Torben Jürgensen, capitaine de corvette allemand, formé en partie à l'École navale de Brest. « Ces échanges nous permettent d'avancer sur le chemin de l'Europe de la Défense. Les échanges humains sont au coeur de cette collaboration. Depuis quelques années, beaucoup de nos marins sont formés en France. Et vice-versa. Le barrage de la langue qui était une réalité dans les années 90 s'est vraiment affaissé ».

 

Autour d'un noyau dur

 

Patricia Adam, députée et présidente de la commission de la Défense nationale et des forces armées, assistait, hier, aux dernières manoeuvres sur l'eau. « Pour les militaires, cette collaboration est une évidence. Elle l'est moins pour les politiques. Mais elle le deviendra. Nous rencontrons des représentants du Parlement allemand deux fois par an. Idem avec les Britanniques. Et bientôt, nous allons prendre la même initiative avec les Polonais. Des choses solides se mettent en place pour garantir une défense commune. » Pour Gilbert Le Bris, député et membre de la commission de la Défense, « cette défense commune peut se faire entre les 27 états membres mais autour d'un noyau dur. Elle se met en place d'une manière pragmatique ».

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 11:45
La RDC et la Zambie décident de renforcer la sécurité le long de leur frontière commune

24 mai, 2013 Radio Okapi

 

La RDC et la Zambie se sont engagées jeudi 23 mai, à Lubumbashi (Katanga), à renforcer la coopération entre leurs services de défense et sécurité pour combattre la contrebande et le vol de véhicules le long de leur frontière commune. Les deux pays en sont convenus à l’issue de la 8è session de leur commission permanente mixte. Ils ont également décidé de travailler ensemble pour examiner la question des 14 000 réfugies et 15 000 demandeurs d’asile congolais qui séjournent sur le territoire zambien.

 

Le ministre zambien de la Défense, Joffrey Bwalya Mwamba, a indiqué que la mise en pratique de ces résolutions permettra de mettre fin au problème de sécurité qui concerne ces deux pays.

 

«Le but de cette commission permanente mixte est de s’assurer que la paix et la stabilit sont garanties dans les deux pays et le long de notre frontière commune», a-t-il souligné.

 

De son côté, le ministre congolais de l’Intérieur, Richard Muyej Mangez, a exprimé la volonté de la RDC d’appliquer les résolutions issues de cette bipartite.

 

La police de migration de la Zambie avait arrêté, début avril dernier, trente-deux commerçants congolais en séjour irrégulier dans la localité de Mining Stone en Zambie, frontalière de Kasumbalesa.

 

Le chef de poste de la Direction générale des migrations (DGM) à Kasumbalesa (Katanga), Hilaire Longeli, avait indiqué que certaines femmes, parmi ces trafiquants, ont été arrêtées avec leurs bébés.

 

L’Association des commerçants transfrontaliers (ACT) ont dénoncé le fait que ces Congolais aient passé une heure dans le conteneur de la police de migration zambienne, avant d’être transférés à chilabombwe, ville zambienne située à 30 km de Kasumbalesa.

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 11:40
Le radar russes d'alerte précoce de type "Voronej"

Le radar russes d'alerte précoce de type "Voronej"

KALININGRAD, 24 mai - RIA Novosti

 

Les radars russes d'alerte précoce "Voronej", construits dans les régions d'Irkoutsk et de Kaliningrad, seront optimisés d'ici la fin 2014, a déclaré vendredi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou, lors d'une visite d'inspection au radar Voronej-DM de Kaliningrad.

"Le programme national d'armement prévoit d'assurer la couverture totale du territoire russe par les radars, afin de parer toute attaque de missiles balistiques suivant n'importe quelle trajectoire et venant de n'importe quel secteur. Il faut combler le retard accusé dans la construction de radars dans les régions éloignées et terminer la construction des radars à ondes métriques dans la région d'Irkoutsk et à ondes décimétriques dans la région de Kaliningrad d'ici la fin de 2014", a indiqué M.Choïgou.

Selon le ministre, le président russe Vladimir Poutine a de nouveau insisté le 12 mai dernier, lors d'une réunion des responsables du ministère de la Défense, sur la nécessité de mettre en place le Système national d'alerte aux missiles protégeant l'ensemble du territoire russe.

"Nous avons déjà un radar à Kaliningrad. Les travaux en sont à un stade avancé. J'espère que nous terminerons tous les travaux à temps à Irkoutsk et à Kaliningrad", a ajouté le ministre Choïgou.

Le radar Voronej-DM (ondes décimétriques) situé à Pionerski, dans la région de Kaliningrad, fonctionne au régime d'essai depuis novembre 2011. Il doit contrôler le territoire allant de l'Atlantique du Nord à l'Afrique du Nord. Ce radar a un rayon d'action de 6.000 km. Il est en mesure de surveiller jusqu'à 500 cibles simultanément.

Le radar de type "Voronej-M" (ondes métriques) est en service opérationnel à Oussolie-Sibirskoïe, dans la région d'Irkoutsk (Sibérie orientale) depuis mai 2012. Il contrôle les attaques de missiles venant de l'Est. Le ministère de la Défense envisage d'y construire un autre rideau d'antenne pour augmenter son champ de couverture.

Ce sont des radars "préfabriqués" produits sous forme de modules (23 pièces d'équipements), ce qui permet un montage relativement rapide (de 12 à 16 mois) sur son site aménagé. Les radars soviétiques plus anciens se présentaient sous forme de grands bâtiments en béton où l'on installait des éléments radiotechniques (jusqu'à 4.000 unités d'équipements), ce qui demandait parfois plus de 5 ans pour la mise en service de la station.

La Russie compte quatre radars préfabriqués de type "Voronej", les deux autres stations de ce type étant déployées près de Saint-Pétersbourg et à Armavir, dans le territoire de Krasnodar (sud). Le radar de Saint-Pétersbourg est de type Voronej-M et celui d'Armavir - Voronej-DM.

Le ministère russe de la Défense envisage de remplacer d'ici 2020 tous les radars datant de l'époque soviétique par ces nouvelles stations. D'autres radars "préfabriqués" pourraient être installés dans les villes de Petchora, de Barnaoul et d'Enisseïsk.

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 11:35
Deux responsables militaires chinois rencontrent le ministre polonais de la Défense

24-05-2013 French.china.org.cn

 

Fan Changlong, vice-président de la Commission militaire centrale, et Chang Wanquan, conseiller d'Etat et ministre de la Défense nationale, ont successivement rencontré vendredi à Beijing le ministre polonais de la Défense Tomasz Siemoniak.

 

Durant son entretien avec M. Siemoniak, M. Chang a déclaré que la Chine travaillerait avec la Pologne pour renforcer la coopération militaire concernant des visites de haut niveau, la formation du personnel et des échanges médicaux.

 

M. Siemoniak a indiqué pour sa part que la Pologne espérait élargir sa collaboration et approfondir ses relations militaires avec la Chine.

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 11:20
Seahawk Hellfire

5/21/2013 Strategy Page

 

SOUTH CHINA SEA (May 18, 2013) Two MH-60R Sea Hawk helicopters assigned to the Wolf Pack of Helicopter Maritime Strike Squadron (HSM) 75 launch AGM-114 hellfire missiles during a live fire exercise. HSM 75 is part of Carrier Air Wing 11, deployed with the Nimitz Carrier Strike Group to the U.S. 7th Fleet area of responsibility conducting maritime security operations and theater security cooperation efforts. (U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 3rd Class Raul Moreno Jr.)

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 11:20
Seahawk Hellfire

5/21/2013 Strategy Page

 

SOUTH CHINA SEA (May 18, 2013) Two MH-60R Sea Hawk helicopters assigned to the Wolf Pack of Helicopter Maritime Strike Squadron (HSM) 75 launch AGM-114 hellfire missiles during a live fire exercise. HSM 75 is part of Carrier Air Wing 11, deployed with the Nimitz Carrier Strike Group to the U.S. 7th Fleet area of responsibility conducting maritime security operations and theater security cooperation efforts. (U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 3rd Class Raul Moreno Jr.)

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 11:20
MQ-9 Reaper in Iraq in 2008. Photo Air Force

MQ-9 Reaper in Iraq in 2008. Photo Air Force

23-05-2013 par Jeff Mason et Steve Holland  - Nouvel Observateur

 

WASHINGTON (Reuters) - Barack Obama a présenté jeudi de nouvelles directives limitant l'usage des drones armés à l'étranger et a pris des mesures pour sortir de l'impasse sur la fermeture de la prison militaire de Guantanamo.

 

Le président des Etats-Unis, qui s'exprimait à l'Université de la Défense nationale dans le cadre d'un grand discours de politique étrangère, a en outre recadré ce que son prédécesseur George Bush a nommé la "guerre contre le terrorisme" après les attentats du 11 septembre 2001.

 

"Notre pays est toujours menacé par des terroristes. Nous devons toutefois reconnaître que la menace a changé et évolué par rapport à ce qui est arrivé sur nos rivages le 11-Septembre", a-t-il déclaré.

 

"Nos efforts systématiques pour démanteler les organisations terroristes doivent se poursuivre. Mais cette guerre, comme toutes les guerres, doit prendre fin. C'est ce que l'histoire nous enseigne. C'est ce que notre démocratie exige.

 

"Au-delà de l'Afghanistan, nous devons définir notre action non pas comme 'une guerre mondiale contre le terrorisme', mais comme une série d'efforts continus et ciblés pour démanteler les réseaux d'extrémistes violents qui menacent l'Amérique."

 

En ce qui concerne les drones, a expliqué Barack Obama, leur usage serait limité aux circonstances dans lesquelles des Américains font face à un "danger imminent". La doctrine en vigueur jusqu'ici autorisait le recours à ces armes controversées employées sur des théâtres éloignés lorsqu'une menace significative était identifiée.

 

"Dire qu'une tactique militaire est légale ou même efficace, ne revient pas à dire qu'elle est sage ou morale en toutes circonstances", a souligné le président.

 

En vertu des nouvelles directives qu'ils a signées mercredi, le recours aux drones sera désormais du ressort du département de la Défense, alors qu'il était jusqu'ici de celui de la CIA.

 

LA QUASI-CERTITUDE QU'AUCUN CIVIL NE SERA TUÉ

 

Ces mesures devrait laisser davantage de latitude au Congrès et pourrait amener le Pentagone à prendre en charge l'activité des drones au Yémen, mais pas au Pakistan, où la CIA en restera sans doute maîtresse.

 

Par ailleurs, l'ordre ne sera donné que lorsque le suspect ne peut être capturé, la souveraineté des Etats tiers sera respectée et seuls Al Qaïda et ses alliés seront visés.

 

"Avant toute frappe, il doit y avoir la quasi-certitude qu'aucun civil ne sera tué ou blessé - c'est la norme la plus stricte que nous puissions adopter", a poursuivi Barack Obama.

 

Décrié par certains mouvements de défense des droits de l'homme, l'usage de plus en plus fréquent des drones suscite de vives tensions avec le Pakistan et l'Afghanistan. Barack Obama s'était engagé à davantage de transparence sur le sujet.

 

Mercredi, le gouvernement avait reconnu pour la première fois que quatre Américains, dont le religieux Anouar al Awlaki, né au Nouveau-Mexique, avait été tués par des drones au Yémen et au Pakistan.

 

Lorsqu'un Américain quitte son pays pour aller le combattre ailleurs, il ne doit pas pouvoir s'abriter derrière sa nationalité, a estimé Barack Obama, justifiant ces opérations. Il a toutefois jugé que l'emploi de drones armés aux Etats-Unis ne serait pas conforme à la constitution. La question faisait débat au Congrès.

 

Face à l'hostilité des parlementaires, le président n'a pu tenir la promesse faite en 2008 concernant la fermeture de la prison militaire de Guantanamo, à Cuba. La grève de la faim observée par 103 des 166 détenus qui s'y trouvent a donné une nouvelle urgence à ce chantier.

 

"Rien d'autre que la politique ne justifie que le Congrès nous empêche de fermer une installation qui n'aurait jamais dû ouvrir", a-t-il lancé jeudi.

 

Le président, qui ne peut prendre cette décision seul, a annoncé une série de mesure pour hâter la fermeture, telles que la levé du moratoire sur le transfert de détenus au Yémen.

 

Sur le plan politique, ce discours lui a permis de tourner la page des scandales liés à l'attaque du consulat américain de Benghazi, en Libye, aux enquêtes du fisc sur des mouvements conservateurs et à l'obtention par les pouvoirs publics de relevés téléphoniques de journalistes.

 

Avec Mark Felsenthal et Roberta Rampton,; Jean-Philippe Lefief pour le service français

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 20:40
Défense: François Hollande confirme 24.000 nouvelles suppressions de postes

24 mai 2013 à 16:52 Liberation.fr (AFP)

 

François Hollande a mis en perspective vendredi les grandes orientations du Livre blanc des armées, confirmant 24.000 nouvelles suppressions de postes d’ici 2019, et promis des propositions d’ici décembre pour renforcer la mutualisation des moyens de défense en Europe.

 

Dans une période de lourdes contraintes budgétaires, le président de la République a voulu tenir devant l’IHEDN (Institut des Hautes études de la Défense nationale) un discours de «sincérité» sur les choix budgétaires imposés par la crise dans ce Livre blanc qui lui avait été remis le 29 avril, a souligné son entourage.

 

Il a confirmé le maintien «à son niveau actuel» de l’effort de défense en 2014: «31,4 milliards d’euros en 2014, c’est-à-dire exactement le même montant qu’en 2012 et en 2013», et un engagement de «179,2 milliards d’euros pour la période 2014-2019».

 

Les suppressions de postes se poursuivent (24.000 nouvelles d’ici 2019 après les 54.000 programmées par son prédécesseur Nicolas Sarkozy) mais les effectifs militaires français resteront, avec 250.000 hommes, «les plus importants en Europe», a-t-il souligné.

 

Le chef de l’Etat a en outre souligné qu’il veillerait avec «une attention particulière» au maintien d'«une présence militaire partout sur le territoire» en évitant de nouvelles fermetures de sites. Les effectifs susceptibles d’être projetés à l’extérieur restent également importants avec 66.000 hommes, a-t-il fait valoir.

 

Selon lui, avec le maintien de ses trois grandes priorités: «protection, projection et dissuasion nucléaire», la France reste ainsi «un pays influent, actif» qui «peut parler parce qu’il a les moyens aussi de se faire respecter».

 

Le chef de l’Etat a aussi annoncé sa volonté d'«ouvrir une nouvelle étape de l’Europe de la défense», indiquant qu’il ferait des propositions dans ce domaine, d’ici le conseil européen de décembre 2013, consacré à ce sujet.

 

«La maîtrise des finances publiques partout en Europe exige et invite à mutualiser les capacités, à prendre davantage d’initiatives et à nous appuyer sur les matériels fabriqués en coopération», a-t-il expliqué, soulignant que «c’est ce que la France fait déjà avec le Royaume Uni», notamment pour développer des missiles légers anti-navire.

 

«C’est aussi ce que la France veut faire avec l’Allemagne, y compris pour des interventions militaires extérieures», a-t-il ajouté souhaitant également la poursuite des «partenariats avec la Belgique, l’Italie ou l’Espagne et associer les nouveaux membres de l’Union européenne à cette démarche. A commencer par la Pologne et les pays du groupe de Visegrad» (Hongrie, Pologne, République tchèque, Slovaquie).

 

François Hollande a par ailleurs estimé que la France devait «revendiquer toute son influence» dans l’Otan «sans pour autant perdre sa liberté d’action et de décision, et encore moins diluer le caractère national de notre défense».

 

Sur le plan politique, il a plaidé pour renforcement du droit de regard du Parlement sur les questions de défense, estimant qu’il devait être «pleinement respecté dans ses droits, en matière d’information, de connaissance, de délibération sur les opérations dans lesquelles sont engagées nos forces».

 

M. Hollande a souhaité également que «la politique d’exportation d’armements fasse l’objet de rapports annuels débattus devant les commissions compétentes» et que le contrôle des parlementaires soit «également amélioré en matière de renseignement».

 

Enfin, le président a confirmé vendredi que la cyberdéfense était une priorité en matière de sécurité et qu’une «branche nouvelle» de réservistes serait spécialement affectée à ce domaine, dont l’objectif sera de «mobiliser de jeunes techniciens et informaticiens aux enjeux de la sécurité».

 

La loi de programmation militaire (LPM, 2014-19), issue du Livre blanc, sera présentée en Conseil des ministres en juillet et votée au Parlement avant la fin de l’année.

 

«Le budget de la Défense devrait être sanctuarisé, c’est-à-dire au moins être augmenté de l’inflation. En le gelant, on diminue dans les faits notre capacité d’action», a critiqué Yves Pozzo di Borgo (UDI), vice-président de la commission de la Défense du Sénat.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 20:38
photo EMA

photo EMA

24 mai 2013 à 14:11 liberation.fr (AFP)

 

Les forces spéciales françaises sont intervenues vendredi matin à Agadez, dans le nord du Niger, pour y faire cesser la prise d’otages qui avait démarré jeudi après un attentat suicide, a annoncé le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian.

 

Le ministère de la Défense a précisé à l’AFP que l’assaut avait fait au moins deux morts dans le camp des «terroristes» preneurs d’otages.

 

«L’assaut s’est déroulé vendredi à l’aube», a-t-on assuré, alors que le ministre nigérien de la Défense, Mahamadou Karidjo, avait affirmé que l’opération s’était achevée jeudi soir.

 

«A l’heure où je vous parle, la situation est stabilisée, en particulier à Agadez, où nos forces spéciales sont intervenues en soutien des forces nigériennes à la demande du président (nigérien Mahamadou) Issoufou», a indiqué M. Le Drian, interrogé à la mi-journée par BFMTV, après un discours du président François Hollande devant l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) à Paris.

 

«L’objectif (des terroristes, ndlr) était que le Mali devienne un sanctuaire islamiste, ça ne le sera pas. Il faut maintenant éviter qu’il y ait, soit au Nord-Niger, soit dans une partie du Tchad, des risques identiques», a-t-il conclu, qualifiant la région du Sahel de «zone d’instabilité».

 

La veille, M. Hollande avait déclaré que Paris appuierait «tous les efforts des Nigériens pour faire cesser la prise d’otages» à Agadez et «anéantir» le groupe qui a porté les attaques contre un camp militaire et un site d’Areva à Arlit (nord).

 

«Il ne s’agit pas d’intervenir au Niger comme nous l’avons fait au Mali, mais nous aurons la même volonté de coopérer pour lutter contre le terrorisme», avait déclaré le chef de l’Etat, en marge d’une visite à Leipzig, en Allemagne.

 

Vendredi, M. Hollande a une nouvelle fois condamné les deux attentats suicides, voyant dans les actes terroristes perpétrés jeudi au Niger «une preuve supplémentaire» de la nécessité de soutenir l’Afrique contre le terrorisme.

 

Les deux attentats ont été revendiqués par les islamistes du Mujao et «supervisés» par le jihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar, selon un porte-parole de son groupe. La formation de Belmokhtar a menacé de lancer de nouvelles attaques au Niger, dans un communiqué mis en ligne vendredi par des sites islamistes.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 19:50
Crédits Northrop Grumman

Crédits Northrop Grumman

24/05/2013 Fabrice Gliszczynski – LaTribune.fr

 

Les deux Airbus ACJ319 (version jet d'affaires des A319) utilisés par la chancelière Angela Merkel sur les vols court-courriers seront équipés d'un système de protection contre les attaques de missiles. Les appareils disposeront d'un système de « contre-mesures » conçu par Northrop Grumman.

 

Les deux Airbus ACJ319 (version jet d'affaires des A319) utilisés par la chancelière Angela Merkel pour des vols court et moyen-courriers (elle dispose d'autres appareils notamment un A340 pour les long-couriers) seront équipés d'un système de protection contre les attaques de missiles. Les appareils disposeront d'un système de « contre-mesures » conçu par Northrop Grumman, a indiqué le département de la Défense américain, cité par Bloomberg. « Lorsqu'un missile est tiré, il est autoguidé par le rayonnement infrarouge de l'avion. Si ce dernier tourne, le missile le suit. Un système de contre-mesures est un système électronique qui perturbe le rayonnement infrarouge de l'avion que le missile ne comprend pas », explique un expert interrogé par La Tribune.

 

Un contrat à 26 millions de dollars

 

L'installation sur les avions allemands sera finalisée d'ici au 31 mars 2016. Le contrat s'élève à 26 millions de dollars. L'A330 du chef de l'Etat français dispose lui aussi de systèmes de contre-mesures. Interrogé, Airbus n'a pas fait de commentaires. Northrop Grumman a déjà signé des contrats similaires pour équiper les appareils des chefs d'Etat omanais et qatarien. L'Arabie saoudite ou le Maroc ont également un tel équipement. Ce système peut déjouer tout type de missiles, selon le groupe industriel.

 

En 2002, deux missiles tirés depuis le sol avaient visé un Boeing B757 de la compagnie charter israélienne Arkia Israeli Airlines lors de son décollage de Mombasa, au Kénya. Le tir avait manqué sa cible et l'avion avait poursuivi sa route. En 2003, un Airbus A300 de DHL avait été touché par un missile sol-air alors qu'il se trouvait à moins de 3000 mètres d'altitude, et avait dû se poser en urgence à Bagdad

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 19:40

24 mai 2013 BFMTV

Interrogé par BFMTV, ce vendredi matin, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a réagi à l'annonce de la suppression de 24.000 postes supplémentaires dans l'armée d'ici à 2019. "Nous n'avons pas encore décidé la méthode d'action pour permettre ces réductions. Nous allons le faire avec beaucoup de discernement, en faisant en sorte que les forces opérationnelle soient le moins touchées possible", a ainsi déclaré le ministre.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 19:38
Hollande confirme 24.000 suppressions de postes dans l'armée d'ici à 2019

24/05/2013 Par Le Figaro.fr avec AFP

 

Le président de la République, François Hollande, confirme les 24.000 suppressions de postes dans l'armée d'ici à 2019, en entérinant les grandes orientations du Livre Blanc de la Défense, dans un discours à l'Institut des hautes études de la Défense nationale (IHEDN).

 

Le Livre blanc de la Défense 2013, remis fin avril au président de la République, prévoit 24.000 nouvelles suppressions de postes dans les armées d'ici à 2019, soit près de 10% des effectifs, tout en réaffirmant les ambitions de la France, malgré les contraintes budgétaires.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 17:50
Crédits Airbus Military

Crédits Airbus Military

 

16.05.2013 EADS

 

The second production Airbus Military A400M has successfully completed its first engine runs as it begins final preparation for its maiden flight later this month.

The aircraft, known as MSN8, is now undergoing taxying trials outside the A400M Final Assembly Line in Seville, Spain.

Airbus Military expects to complete four A400M aircraft in 2013 and will deliver MSN8 to the French Air Force in the third quarter of the year

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 16:55
Le Livre blanc de Défense français : quelles implications pour la défense européenne ?

24.05.2013 ifri.org

 

Le 30 mai, Ifri Bruxelles réunit le général Gilles Rouby, chef de la représentation militaire de la France auprès de l’OTAN et de l’Union européenne, Étienne de Durand, directeur du Centre des études de sécurité de l’Ifri, et Luis Simón, chercheur à l’Institut des études européennes de l’Université libre de Bruxelles. Vivien Pertusot, responsable d’Ifri Bruxelles, assurera la modération.

Remis au président de la République fin avril, le Livre blanc sur la Défense et la Sécurité nationale est publié en pleine crise économique et dans un contexte d’importantes coupes dans les budgets de défense en Europe. Mais pour demeurer crédible en matière de défense européenne et appeler ses partenaires à endiguer un désarmement rampant du Vieux Continent, la France doit maintenir un outil de défense adéquat.

Ce Livre blanc équilibre-t-il ambitions et moyens ? Quelle lecture fait-il des menaces et du poids de la crise ? Comment la France entend-elle relancer la défense européenne ? Quels rôles pour les institutions (Union européenne et OTAN), et pour les coopérations bilatérales ?

Autant de questions qui s’inscrivent dans la perspective du Conseil européen consacré à la défense en décembre prochain.

Lieu : Eurorégion Alpes Méditerrannée - 62, rue du Trône - 1050 Bruxelles

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 16:50
The Fuchs Fox 1A8 vehicle is primarily used by the German Army in Afghanistan. Photo Rheinmetall Defence.

The Fuchs Fox 1A8 vehicle is primarily used by the German Army in Afghanistan. Photo Rheinmetall Defence.

24 May 2013 army-technology.com

 

Rheinmetall Defence has received a contract to upgrade the Germany Army's additional Fuchs/Fox armoured personnel carriers (APCs) to the latest 1A8 configuration.

 

The €36m contract from the Federal Office of Bundeswehr Equipment, Information Technology and In-Service Support (BAAINBw) will cover upgrade of 25 vehicles, bringing the total number of vehicles being modernised by the company to 177.

 

Vehicles will be supplied in five different configurations, which include seven HRM communication vehicles equipped with high-frequency HRM radio systems, five command and fire control vehicles for indirect fire/joint operations tactical fire support, as well as six armoured reconnaissance vehicles.

 

Remaining two variants comprise four combat weather section vehicles for indirect fire/joint operations tactical fire support, such as weather data collection and analysis, as well as three explosive ordnance disposal (EOD) section vehicles, increasing number of different variants in service with the Bundeswehr to 16.

"The Fuchs/Fox 1A8 is primarily deployed for operations in Afghanistan."

 

The vehicles are expected to be used by the army in support of deployed operations abroad and also for special pre-deployment training at home.

 

Featuring enhanced reliability and excellent off-road mobility, the Fuchs/Fox 1A8 is primarily deployed for operations in Afghanistan.

 

As well as offering increased protection from ballistic fire, the vehicle also boosts soldier's defence against landmines and improvised explosive devices (IEDs) compared to earlier variants of the vehicle.

 

The vehicle's infantry section is fitted with an unmanned weapon station to provide crew members with enhanced self-defence capability, and a substantially higher level of protection against other battlefield threats.

 

Having already shipped 123 vehicles from previous contracts by February, the company is set to start delivery of new vehicles later this year, for scheduled completion in 2016.

 

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 16:50
AGM-114 Hellfire image copyright US Army

AGM-114 Hellfire image copyright US Army

21/05/2013 by Paul Fiddian - Armed Forces International's Lead Reporter

 

The British Army is getting more AGM-114 Hellfire supersonic air-launched missiles from manufacturer Lockheed Martin, it's been announced. The Hellfires will be used to equip the British Army's Apache AH1 attack helicopters, supplementing those already in service, and the contract value is £15m.

 

In British Army service, the Hellfire air-to-ground missile has seen extensive operational use. Recently deployed during NATO's Libyan no-fly zone enforcement sorties, during which British Army Apaches launched from HMS Ocean, it's also been used in Afghanistan.

 

"Hellfire has proved itself in Afghanistan and Libya, providing our Apache crews with state of the art precision firepower", explained the UK Minister for Defence Equipment Support & Technology, Philip Dunne, adding: "This order will ensure the Apache's attack capability remains in place for current and future operations."

 

British Army Apache Hellfires

 

Each British Army Apache Hellfire missile complement extends to 16 examples, arranged in groups of four. Twinned to each of these missiles is a guidance system, to enhance their precision strike capability.

 

First introduced in 1984, the AGM-114 Hellfire is a staple of modern warfare. Able to be launched from a variety of airborne platforms include combat aircraft, helicopter and UAVs, it has a top speed of Mach 1.3 and a maximum range of five miles.

 

A recent Hellfire development is the AGM-114R 'Romeo' Hellfire II, equipped with a semi-active laser homing guidance system. No less than 24,000 of these upgraded Hellfires are now being produced, both for domestic and foreign customers.

 

AGM-114 Hellfire Missile

 

In related news, it's been reported that the RAF's MQ-9 Reaper UAVs are set to be fitted with heavily-modified Hellfire missiles. Initial Reaper UAV missile launch trials are tentatively scheduled for late 2013 and they'll involved the MBDA Brimstone weapon, whose roots lie in the AGM-114 Hellfire missile.

 

These Reapers already have the capacity to launch Hellfires, along with GBU-12 laser-guided bombs.

 

The RAF ultimately plans to have 10 Reapers in service, split between RAF Waddington-based No. 13 Squadron and No.39 Squadron, which operates from Nevada's Creech Air Force Base.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 16:50
Entraînement SPONTEX, VIP Day - photo Marine Nationale Sébastien Deschamps

Entraînement SPONTEX, VIP Day - photo Marine Nationale Sébastien Deschamps

24/05/2013 Marine nationale

 

Point d’orgue de l’exercice de lutte anti-sous-marine Spontex, une journée placée sous le signe de l’amitié entre la France et l’Allemagne a été organisée à bord des bâtiments de la Force navale franco-allemande (FNFA). L’activation de la FNFA pour toute la durée de Spontex est une façon de célébrer les cinquante ans de coopération de la France et de l’Allemagne, et de faire la démonstration de l’efficacité militaire de cette coopération.

Entraînement SPONTEX, VIP Day - photo Marine Nationale Sébastien Deschamps

Entraînement SPONTEX, VIP Day - photo Marine Nationale Sébastien Deschamps

Le 23 mai, plusieurs autorités politiques et militaires des deux pays se sont réunies à la mer, pour célébrer ensemble l‘anniversaire du Traité de l’Elysée. A bord du bâtiment de soutien allemand Frankfurt am Main, puis du bâtiment amphibie français Siroco, ils ont assisté ensemble à diverses démonstrations des capacités conjointes des deux marines.

 

Madame Patricia Adam, députée du Finistère et présidente de la commission de Défense à l’Assemblée nationale, a  affirmé que  « pour une Europe de la Défense forte, il est indispensable que nos nations partagent la même vision, et qu’elles mettent en commun leurs moyens et leurs hommes. La sécurité, notamment la sécurité maritime, n’a pas de frontières. Je suis convaincue, a déclaré Madame Adam, que bien se préparer ensemble, c’est l’assurance d’être capable de bien réagir ensemble ».

VIP Day, Patricia Adam, l'amiral Jean-Baptiste Dupuis, l'amiral Bernard Rogel CEMM, et Gilbert Le Bris - photo Marine Nationale Sébastien Deschamps

VIP Day, Patricia Adam, l'amiral Jean-Baptiste Dupuis, l'amiral Bernard Rogel CEMM, et Gilbert Le Bris - photo Marine Nationale Sébastien Deschamps

Le chef d’état-major de la marine, l’amiral Rogel, a quant à lui rappelé que, « la  mutualisation des équipements et des entraînements, ainsi que les échanges humains, sont à la base du développement de l’intéropérabilité entre nos forces militaires. En mettant régulièrement leurs capacités opérationnelles en commun pendant des entraînements de haut niveau tels que Spontex, les unités françaises et allemandes démontrent qu’elles sont prêtes à répondre immédiatement à toute sollicitation, si la volonté politique l’exige ».

 

Le major général des armées allemand, le lieutenant general Peter Schelzig, a complété en rappelant à quel point « il est important que les militaires alliés se connaissent bien, car la coopération ne peut se baser que sur des relations de confiance et de franchise ».

 

Lorsque le général de Gaulle et le chancelier Adenauer ont signé le Traité de l’Elysée en 1963, ils avaient le voeu commun que leurs deux nations, désormais amies et partenaires,soient unies pour avancer ensemble dans la reconstruction de l’Europe. Dans le domaine militaire, et maritime en particulier, la coopération entre les deux pays est aujourd’hui bien concrète et dynamique. L’activation de la FNFA pour des entraînements d’envergure comme Spontex, ainsi que le signal fort lancé par les autorités militaires et politiques pendant cette journée franco-allemande, est une preuve de ce dynamisme.

Entraînement SPONTEX, VIP Day - photo Marine Nationale Sébastien Deschamps

Entraînement SPONTEX, VIP Day - photo Marine Nationale Sébastien Deschamps

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 16:50
Navantia s’appuyera sur une entreprise américaine pour évaluer les problèmes du sous-marin S-80

24 mai 2013 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

Navantia s’appuiera sur la collaboration de l’entreprise américaine Electric Boat pour évaluer les problèmes techniques apparus sur le sous-marin S-80 et effectuer une révision du programme.

 

L’annonce en a été faite par le secrétaire d’état à la défense, Pedro Argüelles, devant le Congrès des Députés.

 

Argüelles a ajouté que les problèmes rencontrés sur le système de propulsion et dans le poids du sous-marins, entraineront un retard de 1 à 2 ans, mais qu’il n’est envisagé pour le moment aucune autre modification, et que le plafond de dépense est maintenu à 2,135 milliards €.

 

« Ce programme est un projet à long terme, dans lequel notre pays a décidé d’affronter les risques technologiques qu’il implique, » a expliqué le secrétaire d’état. « L’objectif final, que nous ne devons pas perdre de vue, a-t-il ajouté, est de parvenir à l’autonomie et à l’avantage opérationnel pour nos forces armées, et de parvenir à ce que l’Espagne dispose dans ce domaine d’une capacité industrielle et technologique de pointe. »

 

Arguelles a ajouté que les forces sous-marines étaient « une priorité » pour les Forces armées, et que, par conséquent, le retard du programme S-80 obligeait à réaliser le grand carénage du sous-marin Tramontana dans le chantier naval de Navantia pour ne pas perdre de capacités.

 

Référence : Info Defensa (Espagne)

Navantia s’appuyera sur une entreprise américaine pour évaluer les problèmes du sous-marin S-80
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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 16:45
SU-25 Ukrainien avec une partie de l'armement qu'il peut emporter (crédit : Wikimedia)

SU-25 Ukrainien avec une partie de l'armement qu'il peut emporter (crédit : Wikimedia)

 

24 Mai 2013 par La Rédaction - enderi.fr

 

L’Ukraine a récemment vendu au Niger deux SU-25 Frogfoot, tirés de ses stocks de guerre froide. La France, qui aurait participé au financement de cet achat conséquent pour un pays comme le Niger, voit d’un très bon œil le renfort de moyens aériens locaux dans sa lutte sahélienne contre les mouvances terroristes, particulièrement dans le contexte des attaques sur les sites d’Areva.

 

Les deux avions font la fierté de la petite mais vaillante armée de l’air nigérienne, qui jusque là ne comptait que quelques avions de transports et quelques hélicoptères de manœuvre. Les deux SU-25 (portant les numéros d’immatriculation 5U-MCC et 5U-MCF, 5U étant le préfixe OACI du Niger naturellement) seront les premiers véritables avions de chasse de cette armée de l’air. Ils sont vraisemblablement arrivés au Niger en février, car les premières informations à leur sujet remontent à cette date. Ils ont très certainement été livrés début février en toute discrétion, sous la forme de kits apportés par avions gros porteurs, en même temps que l’outillage et les pièces nécessaires à la maintenance. Ces avions proviennent sans doute de la 4070ème Base de Réserve ukrainienne qui, jusqu’à une date récente, stockait sous cocon une trentaine de SU-25 en version de base.

Quelques exemplaires de cette version originelle du SU-25, aussi appelée Frogfoot-A en codification OTAN, ont déjà été vendus par l’Ukraine à la Macédoine (4 appareils en 2001, dont 1 SU-25UB biplace), à la Guinée équatoriale (4 exemplaires entre 2007 et 2009 dont 2 SU-25UB) et au Tchad (6 ou 7 exemplaires entre 2008 et 2010 dont au moins 2 SU-25UB). Les appareils destinés au Niger ont d’abord suscité l’intérêt de la République Démocratique du Congo en 2012, qui a finalement renoncé à l’achat et créé une opportunité pour le Niger. Bien que cet investissement ait été qualifié « d’urgent » par le Niger, il n’a pas de lien avec l’offensive terrestre française au Mali, état donné que la commande a été passée à l’été 2012. Par contre, il découle directement de l’aggravation de la situation sécuritaire au Mali dont la France continue de faire les frais à travers les otages enlevés sur le site d’Arlit il y aura bientôt trois ans. A l’instar de ce qui se passe chez les autres clients du SU-25 en Afrique, le Niger va très probablement confier le pilotage et l’entretien de ces avions à des contractors ukrainiens, connus pour officier de la même façon au Tchad ou en Guinée équatoriale. Mais à la différence du Tchad, où des pilotes tchadiens sont formés à prendre la relève des pilotes ukrainiens, le Niger ne dispose pas de version biplace permettant une formation dans de bonnes conditions. Les avions nigériens vont donc rester vraisemblablement longtemps entre les mains de mercenaires coûteux, peu prompts à prendre des risques et dont le comportement au combat peut être sujet à caution.

Mais malgré les réticences que peut susciter l’emploi de mercenaires, le Su-25 est probablement le meilleur choix possible pour une armée africaine. C’est un avion rustique spécialisé dans l’attaque au sol et l’appui des forces terrestres. Il est le pendant russe de l’A-10 américain, bien que son design et sa masse le rapproche plus de l’YA-9 de Northrop, concurrent malheureux de l’A-10 lors de l’appel d’offre. La ressemblance est d’ailleurs suffisamment prononcée pour se demander s’il n’y a pas eu migration discrète des schémas de l’YA-9 de l’autre côté du rideau de fer. Quoiqu’il en soit le SU-25 est un biréacteur subsonique, avec environ 800 km de rayon d’action (à pleine charge avec deux réservoirs supplémentaires), ce qui est relativement faible notamment dans les immensités sahéliennes. Ce rayon d’action limité est compensé par la facilité avec laquelle l’avion peut être déployé sur des pistes sommaires avancées, avec un minimum de logistique : sur de courtes périodes, le SU-25 ne nécessite pas d’infrastructures particulières, à part une piste d’une longueur suffisante. Une équipe d’une demi-douzaine de mécaniciens, équipée d’un outillage rudimentaire et de quelques pièces détachées permet une utilisation opérationnelle de plusieurs semaines sur des bases sommaires. En termes d’armement, le SU-25 est équipé du redoutable canon GSh-30-2, canon de 30 mm automatique à deux tubes fixes, mais avec la particularité d’avoir une seule culasse. Ce canon tire toutes les munitions en calibre 30x165mm, dont certaines contiennent de l’uranium appauvri. Il se retrouve également sur les MI-24P, facilement reconnaissable du fait des deux tubes visibles sur le côté droit du fuselage. Il est également réputé pour être particulièrement rustique. Bien que pouvant tirer quasiment aux mêmes cadences que le canon GAU-8A de l’A-10 des munitions aux effets équivalents, on notera qu’il pèse 20 fois moins lourd : à peine 115 kilos hors munitions. Avec 4 tonnes de charge utile réparties sur 11 points d’emport, le SU-25 peut embarquer une bonne partie de l’inventaire soviétique des munitions air-sol, mais il est utilisé de manière privilégiée en Afrique avec des bombes lisses de 250 ou 500 kg de type RBK ou OFAB (voir article sur les bombes syriennes pour plus de détails sur les bombes russes). Ce sont des munitions non guidées, à effet de zone ou effet de souffle. Aucun détail n’a pour l’instant filtré sur les munitions que pourraient emporter les SU-25, sachant que les Nigériens ne dispose pas de stocks de telles armes, en théorie, n’ayant eu jusque là aucun aéronef pour en utiliser.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 16:45
Atalante : entraînements avec les Forces françaises stationnées à Djibouti

24 mai 2013 Par FLF Guépratte

 

Mardi 14 mai, à son appareillage de Djibouti, la frégate légère furtive (FLF) « Guépratte » a conduit des activités d’entraînement avec les Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) au moment de débuter la mission Atalanta.

 

Dans un premier temps, l’équipage du « Guépratte » a pu se mesurer à 4 mirages 2000 de l’escadron 3.11 de l’armée de l’Air au cours d’un Air defense exercise (ADEX).

 

La vigilance des fusiliers marins du groupe d’intervention et de renfort (GIR) et des équipes de protection du Guépratte a également été mise à l’épreuve pendant toute l’escale et à l’appareillage à l’occasion d’exercices organisés avec le concours de la base navale.

 

Enfin, un hélicoptère PUMA du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT), a effectué des manœuvres d’appontage et de décollage (Touch and go), afin d’entraîner les pilotes à cette manœuvre toujours délicate sur un bâtiment en mouvement.

 

Ces opérations contribuent à renforcer l’interopérabilité entre les trois armées et à améliorer les compétences à travers le partage des expériences et l’apprentissage des savoir-faire.

 

Cet entraînement a également offert l’opportunité d’échanger du personnel avec les FFDj à bord du bâtiment, notamment d’accueillir une délégation du 3ème régiment de hussards, régiment jumelé avec la frégate, dont un escadron arme actuellement la composante blindée du 5ème RIAOM.

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