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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 17:45
CTF150 : Poursuite des opérations de contrôle du Surcouf dans le golfe arabo-persique

 

07/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 18 juin 2015, la frégate Surcouf, engagée au sein de la CTF 150, a réalisé des opérations d’approach and assist auprès de deux boutres dans le golfe arabo-persique.

 

L’équipe de visite du Surcouf a mené une première opération d’approche auprès d’un boutre indien dans la matinée. Les marins français ont engagé une discussion avec l’équipage, qui était visiblement familiarisé avec les missions et les activités de la force multinationale dans la zone. Le boutre transportait des denrées alimentaires à destination de la Somalie.

 

Peu de temps après, dans l’après-midi, un nouveau boutre a été approché. L’équipage de l’embarcation, de nationalité somalienne, a invité l’équipe de visite à son bord. Ces derniers transportaient des barils d’essence depuis la Somalie jusqu’au Yémen. Une discussion a été engagée, ce qui a permis d’obtenir du renseignement précieux sur la situation maritime dans la zone de responsabilité du Surcouf.

 

A l’issue de ces visites, le Surcouf a continué sa route, poursuivant sa mission de surveillance et de protection en océan Indien.

 

Depuis le 6 avril 2015, la France assure le commandement de la Task Force dont la mission est de lutter contre le terrorisme international et les activités illégales qui participent à son financement. Dans ce cadre, les bâtiments militaires placés sous son contrôle participent à la surveillance de la zone, à la collecte de renseignements sur les trafics et conduisent des opérations de sécurité maritime. Avec deux bâtiments français déployés au sein de la CTF-150, la France démontre toute son implication dans la lutte contre le terrorisme international, et sa volonté de participer à la sécurisation des espaces maritimes dans la région de l’océan Indien, aux côtés des pays partenaires investis dans la coalition.

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 17:30
photo EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

 

07/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 17 juin, la FLF Surcouf, engagée en opérations au sein de la CTF 150 dans des opérations de sécurité maritime en océan Indien, s’est entraînée avec la frégate nippone Ikazuchi. Cette dernière embarque le commandement de la Combined Task force 151, force jumelle de la CTF150, engagée dans des missions de lutte contre la piraterie, dans la même zone de responsabilité que le Surcouf.

 

Les hélicoptères français et japonais ont saisi l’opportunité de cette rencontre à la mer afin de réaliser des manœuvres communes, effectuant notamment des séries Touch and Go(ou « posé-décollé ») sur les plateformes hélicoptère des deux bâtiments. Ainsi, l’hélicoptère nippon Seahawk SH60 a apponté à 4 reprises sur le pont d’envol du Surcouf. Au même moment, le Panther français effectuait des manœuvres similaires sur la frégate japonaise.

 

Ces exercices interalliés sont primordiaux pour améliorer la fluidité des manœuvres aviation entre des marines dont les procédures et le matériel sont parfois différents. Ces exercices permettent, d’une part d’améliorer l’interopérabilité de nos forces et d’autre part, de renforcer les liens qui unissent nos deux nations.

 

Depuis le 6 avril 2015, la France assure le commandement de la Task Force dont la mission est de lutter contre le terrorisme international et les activités illégales qui participent à son financement. Dans ce cadre, les bâtiments militaires placés sous son contrôle participent à la surveillance de la zone, à la collecte de renseignements sur les trafics et conduisent des opérations de sécurité maritime. Avec deux bâtiments français déployés au sein de la CTF-150, la France démontre toute son implication dans la lutte contre le terrorisme international, et sa volonté de participer à la sécurisation des espaces maritimes dans la région de l’océan Indien, aux côtés des pays partenaires investis dans la coalition.

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

06/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 25 mai au 8 juin 2015, au cours d’une nomadisation, le détachement d’hélicoptères Fennec (DETFENNEC) de l’opération Sangaris a passé le cap des 800 vols cumulés depuis son déploiement sur le théâtre centrafricain.

 

Rattachés au sous-groupement de renseignement multicapteurs (SGRM), ces hélicoptères de combat de l'armée de l'Air sont engagés sur l’ensemble du théâtre d’opération pour effectuer des missions d’appui-renseignement et d’appui-feu au profit des troupes au sol, mais également des missions de reconnaissance et d'évacuation sanitaire. Ces appareils multifonctionnels ont été une nouvelle fois déployés en autonomie totale (concept de nomadisation) sur le terrain avec les capteurs au sol. "Par cette manœuvre, nous démontrons une fois encore notre capacité de projection tactique, au plus prêt de l’intérêt renseignement, en interopérabilité avec nos camarades de l’armée de Terre. Ceci revêt le double avantage de renseigner la force sur des régions rarement visitées et d’appuyer les troupes au sol dans leur progression", explique le commandant Cédric, chef du DETFENNEC.

 

L'intégration d'un élément "Air" dans une manœuvre "Terre" est aussi un challenge pour les mécaniciens, amenés à intervenir sur les hélicoptères dans des conditions de travail rustiques : Lors de ce type de projection, nous devons rapidement nous approprier notre environnement qui diffère largement de notre espace habituel de travail. Entretenir une machine en pleine campagne exige beaucoup de vigilance. Nous devons gérer la fatigue car de notre réactivité dépend la remise en ligne de vol rapide de l’hélicoptère, et ce, tout en gardant à l’esprit la sécurité des vols, insiste le caporal-chef Matthieu, un des mécaniciens du détachement. C'est une riche expérience, tant sur le plan humain que professionnel. Au-delà des défis qu'impose le terrain, passer une semaine avec mes camarades de l'armée de Terre m'a permis d'apprendre davantage sur leur quotidien. Cela m'a également donné l’occasion d'aller à la rencontre de la population centrafricaine.

 

Présent en RCA depuis le 5 décembre 2013 et stationné sur le camp de M’Poko, ce détachement est constitué de 18 personnels incluant les pilotes, les mécaniciens et le spécialiste chargé d'exploiter le renseignement. Il a atteint, au début du mois de juin 2015, le nombre de 800 vols, soit l'équivalent de 1 700 heures de vol en 19 mois de présence, ce qui a généré plus de 1 000 comptes rendus d'informations prises sur le terrain. Avant de quitter le sol de Bangui fin juin 2015, le détachement a effectué son dernier vol au-dessus de la capitale le 14 juin 2015.

 

Au 1er juillet 2015, environ 900 militaires seront déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 11:57
Vol d'explosifs : les sites militaires vont faire l'objet d'une évaluation de sécurité


07.07.2015 LeFigaro.fr (AFP)

Le ministère de la Défense a annoncé qu'une enquête de commandement avait été ouverte aujourd'hui à la suite du vol d'explosifs à Miramas. Dans le même temps, le ministère a indiqué que tous les sites militaires allaient faire l'objet d'une évalution de sécurité.

Par ailleurs, le parquet de Marseille a annoncé aujourd'hui l'ouverture d'une enquête pour "vol avec effraction commis en bande organisée et introduction frauduleuse dans une enceinte militaire" après le vol d'un important stock de munitions sur un site militaire de Miramas (Bouches-du-Rhône). Cette enquête est "diligentée par la section de recherches de la gendarmerie nationale de Marseille ainsi que par l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) pour les constatations", précise le procureur de Marseille Brice Robin dans un communiqué, confirmant sans plus de détails un "vol de munitions et d'explosifs découvert" hier. De source proche de l'enquête, au moins 150 détonateurs et des pains de plastic ont été volés sur ce site.

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 11:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

06/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 19 et 23 juin 2015, dans le cadre de l'opération Sangaris, ont eu lieu les dernières cérémonies de transfert d'autorité (TOA) de différents sous-groupements de la force française, marquant ainsi la fin de la période de relèves.

 

Le 19 juin 2015, le lieutenant-colonel Mange a pris le commandement du sous-groupement aéromobile (SGAM) Barracuda et succède au lieutenant-colonel Schmidt. Pour ce nouveau mandat, les soldats du 5e régiment d'hélicoptères de combat (5e RHC) relèvent ainsi ceux du 3e RHC.

 

Le 23 juin 2015, les transmetteurs du 28e régiment de transmissions (28e RT) succèdent à ceux du 53e RT. Le lieutenant-colonel Schiratti a transmis le commandement du sous-groupement de transmissions (SGTRS) Hermes au chef de bataillon Siodniak.

 

Au 1er juillet 2015, environ 900 militaires seront déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre
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photo EMA / Armée de Terre

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 11:30
IAI and Thales have integrated a new datalink capability on Heron

 

Jul 7, 2015 source IAI

 

Israel Aerospace Industries (IAI) and Thales have conducted, in Israel, risk reduction flight tests for the integration of Thales and Elisra's NATO STANAG 7085 data link on board the Heron Medium-Altitude Long-Endurance unmanned aerial vehicle (MALE UAV).

 

Through a joint effort between IAI and Thales, Thales's data link terminal, the TMA 6000, together with Elisra Radio Frequency Modules and antennas, have been integrated on board the Heron system and successfully demonstrated in flight. During the flight test, both infrared and daylight videos were transmitted in real time to the ground control station, and the sensors were controlled in real time from the ground.

 

The TMA 6000 complies with NATO STANdard Agreement (STANAG) 7085: the waveform standard for real time transmission of videos, images and other Intelligence Surveillance Reconnaissance (ISR) data from on-board sensors to dedicated ISR stations. This compliance ensures NATO interoperability and guaranties radio frequency authorisation in full alignment with the International Telecommunications Union (ITU) regulation, as well as high resistance to jamming and interception. The TMA 6000 offers exceptional radio performances with a throughput capability up to 137 Mb/s.

 

The Heron is a MALE UAV developed by Israel Aerospace Industries. It is capable of operations of up to 45 hours in duration at up to 30,000 ft. The different variants of Heron are operated by more than 15 nations worldwide including: Israel, Australia, Canada, France, Germany, and more.

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 09:35
Afghanistan: attentat à Kaboul contre les forces de l'Otan

 

07 juillet 2015 Romandie.com (AFP)

 

Kaboul - Un attentat à la bombe a visé mardi à Kaboul des troupes étrangères de la mission de l'Otan en Afghanistan, a indiqué à l'AFP une porte-parole de l'Alliance atlantique qui n'a pas précisé si l'attaque avait fait des morts ou des blessés.

 

L'attentat n'a pas été revendiqué dans l'immédiat, mais les troupes étrangères de la mission de l'Otan Soutien résolu font partie des cibles de prédilection des rebelles talibans.

 

Selon une porte-parole de l'Otan qui a requis l'anonymat, l'attentat a visé les forces de la coalition à Kaboul, sans plus de précisions.

 

Najib Danish, porte-parole adjoint du ministère afghan de l'Intérieur, a de son côté indiqué que l'explosion s'était produite dans le sud-est de la capitale, dans le district de Shah Shahid.

 

Un photographe de l'AFP qui s'est rendu sur place a vu un véhicule blindé fortement endommagé par la déflagration.

 

La police a établi un périmètre de sécurité et de nombreuses ambulances se dirigeaient vers le lieu de l'attaque.

 

Depuis la fin de la mission de combat de l'Otan, seules 12.500 troupes étrangères sont aujourd'hui déployées en Afghanistan dans le cadre d'une nouvelle mission baptisée Soutien résolu qui est chargée de former et de conseiller les forces afghanes.

 

Ces dernières ont fort à faire contre des rebelles islamistes, qui ne se cantonnent plus uniquement à leur fief du sud du pays et s'en prennent de plus en plus aux troupes gouvernementales et étrangères à Kaboul et dans le nord du pays.

 

La semaine dernière, un attentat suicide contre un véhicule transportant des soldats américains sur la route de l'aéroport de Kaboul avait tué deux civils. L'attaque avait été revendiquée par les talibans.

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 08:55
Mouchoir instruction fusil GRAS mle 1874 - mle 1874 M80 photo delcampe

Mouchoir instruction fusil GRAS mle 1874 - mle 1874 M80 photo delcampe


07.07.2015 source SHD
 

7 juillet 1874 : adoption du fusil Gras. Utilisant des cartouches à étui métallique, il encrasse moins le canon et est plus fiable.

 

7 juillet 1944 : assassinat de Georges Mandel (forêt de Fontainebleau). Il restera « l’homme que l’on attendait » tant ses qualités politiques et humaines promettaient. Collaborateur de Clemenceau en tant que journaliste puis comme directeur de cabinet, il devient l'un des hommes politiques les plus prometteurs de la IIIème République. Tranchant, efficace et très patriote, il accomplit un travail exemplaire (ministre des PTT, des colonies et brièvement de l'Intérieur). Très tôt conscient de la menace hitlérienne, sa lucidité et sa volonté de combattre le rapprochent de Churchill qui voit en lui jusqu’au 17 juin 1940, l'espoir français. D'origine juive, il est haï par beaucoup et s'interdit de partir pour Londres pour ne pas alimenter la critique. Arrêté par la police de Vichy, alors qu’avec quelques députés il gagne les colonies françaises à bord du Massilia, il est emprisonné en France puis à Buchenwald (aux côtés de Léon Blum). Lorsque Philippe Henriot (ministre de Vichy) est assassiné, il est rapatrié en France où la milice l'exécute en guise de représailles. Mandel à de Gaulle qui voulait démissionner, le 13 juin 1940 : « Ne pensez qu’à ce qui doit être fait pour la France et songez que, le cas échéant, votre fonction actuelle pourra vous faciliter les choses… ». De Gaulle rend d’ailleurs hommage à Mandel dans ses mémoires car sans ce conseil, il n’aurait pas pu disposer des facilités de transport que sa fonction mettait à sa disposition pour se rendre à Londres. L’ouvrage de Jeanneney (L’homme qu’on attendait ) tente d’expliquer pourquoi Mandel n’a pas choisi de partir pour Londres.

 

7 juillet 1995 : massacre de Srebrenica (Bosnie-Herzégovine). Ville de 20 000 habitants, à majorité musulmane, Srebrenica est prise par les troupes serbes du général Ratko Mladic sous les yeux des 400 casques bleus néerlandais qui y sont stationnés. Ils sont évacués alors que les exécutions sommaires de bosniaques musulmans sont perpétrées dans les forêts voisines. Environ 8000 corps ont été exhumés après la guerre. En 2014, le tribunal international de La Haye a estimé que l’Etat néerlandais était civilement responsable de la mort de 300 musulmans, pour ne pas les avoir protégés.

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 21:50
Centre des opérations du CRR-Fr lors de l'exercice CITADEL KLEBER à Mourmelon en mars 2015 - photo CRR-Fr

Centre des opérations du CRR-Fr lors de l'exercice CITADEL KLEBER à Mourmelon en mars 2015 - photo CRR-Fr

 

06/07/2015 Stephan Boonen - MIL.be

 

Quinze Belges font partie du Corps de Réaction Rapide – France. Quatre cent-trente militaires provenant de douze pays travaillent côte à côte au sein de cet état-major international de l'armée française.

 

Cet état-major, créé le 1er juillet 2005, offre une réponse aux engagements internationaux de la France en matière de Défense et de sécurité. Plus précisément, dans le cadre de l'Union européenne et de l'OTAN. Dès 2017, il sera de standby pour la NATO Joint Task Force.

Cérémonie du 14 juin 2015 commémorant  les 10 ans du CRR-Fr - photo CRR-Fr

Cérémonie du 14 juin 2015 commémorant les 10 ans du CRR-Fr - photo CRR-Fr

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 21:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

06/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 30 juin 2015, l’avion de patrouille maritime Atlantique 2 (ATL2) engagé dans le cadre de l’opération Chammal depuis novembre 2014, a été relevé par un autre avion et un nouvel équipage en provenance de la base aéronavale de Lann-Bihoué (France).

 

"A bord" depuis le 21 novembre 2014, cet avion à la cellule si particulière a réalisé au cours de ces derniers mois de nombreuses missions ISR (intelligence, reconnaissance et surveillance) au-dessus de l'Irak. Après un certain nombre d'heures de vol, il est planifié pour effectuer une rotation des appareils afin de gérer au mieux le "potentiel utilisable" de chaque avion.

 

Outre des missions ISR, l'Atlantique réalise également des missions XINT (mission d'interdiction aérienne) et SCAR-C (coordination du vol des chasseurs), où il peut être amené à coordonner les vols de plusieurs avions en missions de renseignement et de reconnaissance armée contre le groupe terroriste Daech. A ce titre, un membre particulier de l’équipage, le FAC(A) (forward air controller airborne) est nécessaire à bord de l’Atlantique 2 pour coordonner l’ensemble des actions d’appuis aériens. Une quinzaine de missions de ces deux types a ainsi été réalisée depuis novembre 2014 en coordination avec le CAOC (Combined Air Operation Center) au Qatar afin de détecter, d’identifier et de frapper d’éventuelles cibles d’opportunités.

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un appui (aérien et formation) aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage 2000D) et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2.

photo EMA / Armée de l'Airphoto EMA / Armée de l'Airphoto EMA / Armée de l'Air
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 16:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

30 Juin 2015 Source: Marine nationale

 

Après 2 ans de formation à l’École navale, les officiers-élèves sont déployés pendant cinq mois à bord du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude et de la frégate  Aconit. À un mois de leur retour à Toulon, l’EV 2 Claire dresse un premier bilan de sa mission.

 

Comment s’articule votre formation à bord des unités du groupe « Jeanne d’Arc » ?

 « Notre rythme est le suivant : dix jours de travaux dirigés puis dix  jours de quart, où nous sommes  immergés au sein des  équipages du Dixmude ou de l’Aconit. Nous sommes en permanence mis en situation opérationnelle. C’est très important car nos réactions aux cas non conformes doivent être validées : feux, voies d’eau, avaries de barre, homme à la mer… »

 

En quatre mois, avez-vous le sentiment d’avoir progressé ?

 « Avant d’embarquer, nous venions de valider notre compétence de marin lors d’un dernier embarquement sur un petit bâtiment au large de la Bretagne et de valider notre compétence d’ingénieur par une immersion de 11 semaines dans un institut de recherche. Aujourd’hui, nous avons des compétences d’officier de marine. Ce changement est notoire, nous appliquons maintenant concrètement toutes les connaissances que nous avons acquises».

 

Votre mission n’est pas terminée mais avez-vous déjà un souvenir fort ?

 « Lorsque nous étions au large de Djibouti, j’étais responsable de l’organisation d’un  exercice d’évacuation de ressortissants (RESEVAC). Ce fut pour moi une expérience très enrichissante dont je me souviendrai. Ici, les mises en situation se font dans un contexte au plus proche du réel.».

 

Comment vivez-vous votre quotidien avec l’équipage ?

« Au début, j’étais insérée au cœur des services, j’avais tout à découvrir au contact des équipages et des officiers-mariniers, je posais beaucoup de questions. Maintenant, je ne suis plus seulement spectatrice, je suis actrice. De vraies responsabilités me sont confiées ».

 

Dans un mois, vous allez rejoindre votre affectation. Vous sentez-vous prête ?

« Pendant cette mission, je n’aurai jamais pensé découvrir autant de choses. Je crois que nous nous sommes beaucoup entraînés à notre futur métier, en conduisant des patrouilles dans des zones de navigation denses, en participant à des manœuvres avec des marines amies. Dire que je suis prête ? Il faut rester humble. Commander des hommes et des femmes est extrêmement difficile, je pense que je n’aurai jamais fini d’apprendre. Cependant, je suis confiante sur ma capacité à relever ce défi et  suis impatiente. ».

photo Marine Nationalephoto Marine Nationale

photo Marine Nationale

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 16:50
Fallschirmjäger trainieren Freifall



6 juil. 2015 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 06/2015 15E25301

 

Der Fallschirmspezialzug EGB (= Erweiterte Grundbefähigung) besteht aus speziell ausgebildeten Soldaten, die als Vorauskräfte Absetz- und Landeplätze erkunden und sichern. Sie sorgen dafür, dass nachfolgende Luftlandekräfte sicher anlanden können. Soldaten des Fallschirmjägerregiments 26 üben eine Woche lang im brandenburgischen Holzdorf das Springen im Trupprahmen. Die Weiterbildungswoche dient dazu, Verfahren zu festigen und noch mehr Routine zu bekommen.


Musik: Covert Ops, Dill; Edwards, Universal

 

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 16:30
Sufa - Storm Mk.III

Sufa - Storm Mk.III

 

June 25, 2015: Strategy Page

 

 An Israeli armor brigade recently discovered that the U.S. hummer (Hmmwv) was superior to tracked armored personnel carriers (APCs) when it came to performing reconnaissance outside of urban areas. The hummers were faster and more maneuverable, and also required less maintenance and fuel. Normally Israel builds its own military wheeled vehicles, but in 2012 Israel bought 2,500 slightly used hummer (HMMWV or Humvee) vehicles from the United States. Most were placed in reserve, to be used in wartime, or a major military emergency. But commanders were told they could have some for experimenting and thus the recon company of one armor brigade got to try some out.

 

Aside from getting these hummers cheap, Israel also has need for these larger (than Israel's standard motor vehicle of the same type) vehicles. For one thing, a hummer can carry more and be used as a mobile command post, or carrier of heavy weapons or bulky electronics. The hummer can also be equipped with armor. An Israeli firm developed and makes some of the most popular hummer armor kits, and sold a lot of them to the United States for use in Iraq and Afghanistan.

 

Normally, the Israeli ground forces uses the Sufa (Storm) all-terrain vehicles. These are two ton, militarized versions of the Chrysler Jeep Wrangler. Sufa 1 appeared in 1990, with Sufa 2 showing up in 2005, and Sufa 3 in 2011. There are several versions (command, recon, armored) and the design has been optimized to deal with all the unique types of off road terrain encountered in Israel.

 

While smaller than the American Hummer, the Sufa is more suitable to Israeli needs (which largely consist of policing hostile Palestinians). The Sufa 3 is 4.5 meters (14.7 feet) long and 1.68 meters (5.5 feet) wide. In contrast the heavier hummer is 4.6 meters (15 feet) long and 2.1 meters (7.1 feet) wide.

 

The withdrawal of American forces from Iraq, and the wide use of larger MRAP armored vehicles in Afghanistan left the U.S. with a lot of relatively new and little used hummers, even after many had been used to equip Iraqi and Afghan forces.

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 16:20
Palantir - photo PEO IEW&S

Palantir - photo PEO IEW&S

 

June 25, 2015: Strategy Page

 

The U.S. Army intelligence bureaucracy is again in trouble with SOCOM (Special Operations Command) over a long-term dispute about computer software. Troops in combat zones and especially SOCOM prefer to use an intelligence database management system called Palantir. But many senior people in the army intelligence and computer tech insist on using another system (DCGS). To further complicate matters it wasn’t even the army who initially created the mess. It all began when the U.S. Air Force developed a data mining and analysis system that, when adapted for army use (as DCGS), turned out to be more expensive and less effective than commercial products (like Palantir). A 2012 government investigation reported the problems in great detail. But senior army commanders and Department of Defense procurement bureaucrats continued to block the use of commercial products the troops preferred. For nearly a year now SOCOM (Special Operations Command) troops have been complaining that a superior system (Palantir) they have been using since 2009 is becoming more difficult to obtain because of more aggressive interference from the procurement bureaucracy and contractor lobbyists. SOCOM was ordered back into Iraq during 2014 and one of their assignments was to collect intelligence on what was going on there. SOCOM preferred Palantir but many procurement officials interfered with doing that.

 

The basic problem was that the army system (DCGS or Distributed Common Ground System) was cobbled together on the fly, in the midst of a war and has not aged well. Several investigations, in response to growing complaints from the troops, found that the army refused to recognize the problems with DCGS or get them fixed, or allow cheaper and more capable commercial software (like Palantir) to be used instead of DCGS. After 2010 complaints from users and maintainers of DCGS got louder (as in more politicians receiving emails about it). Some of the troops asked for specific commercial systems that were more robust, powerful, and easier to use commercial data mining and predictive analysis software. The army complained that these commercial systems were expensive and required a lot of effort and money to integrate into DCGS. The troops insisted that this was not so and that commercial products like Palantir would save lives. Army bean counters insisted that it was probably only a few dozen lives at most and the additional money needed has to be taken from somewhere else, which might also cost lives in combat. But SOCOM and other organizations point out that they have been able to sneak Palantir into service in some areas and have lots of proof that Palantir outperformed DCGS in combat conditions. But now even SOCOM is being blocked from getting Palantir even though Palantir is officially approved for army use and SOCOM is supposed to be able to buy whatever they need, even if it is not on the “approved” list.

 

The DCGS controversy also involves professional pride, as the army techs and managers have spent years building DCGS and are confident they can match any commercial products and do it cheaper. But that is rarely the case, as the army simply can't hire the best software engineers and project managers. When it comes to complex software systems, things go better if you keep an eye on the commercial side. If there is something there that does what you need done and does it faster, better, and more reliably it's worth paying the commercial price.

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 12:56
Prix d’économie de la défense 2015: l'appel à candidatures est lancé

 

03.07.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense


Le prix d'économie de la défense, lancé en 2004, s'adresse aux chercheurs des universités, grandes écoles et centres de recherches.

Ce prix récompense une thèse, un travail scientifique ou un mémoire universitaire de deuxième ou de troisième cycle dédié à ce domaine. Les critères d'appréciation des manuscrits sont leur qualité, leur originalité et leur intérêt au regard du domaine de l'économie de défense.

Doté d'un montant de 5 000 €, ce prix est décemé par un jury présidé par le Directeur des affaires fjlnancières du ministère de la défense et composé de deux professeurs d'université ainsi que de trois représentants du ministère de la défense.

L'arrêté du 9 juin 2015 portant création et règlement du prix d'économie de la défense détaille les conditions d'éligibilité et de sélection Les candidats doivent avoir présenté et soutenu leur thèse, travail scientifique ou mémoire universitaire de deuxième ou de troisième cycle entre le 1" janvier 2011 et le 30 juin 2015 La phase de candidatures est ouverte du 21 juin 2015 au 1" septembre 2015.

Les dossiers de candidatures devront être adressés à l'adresse suivante dans le calendrier prescrit (le cachet de la poste faisant foi): Ministère de la défense SGA/DAF/QEFI Observatoire économique de la défense, 60 boulevard du Général Martial Valin, CS 21623, 75 509 Paris cedex 15.

La version électronique des manuscrits sera envoyée, selon le même calendrier, aux adresses suivantes jean-michel.oudot@intradef.gouv.fr et christian.calzada.ext@intradef.gouv.fr

 

Note RP Defense : voir l' Observatoire économique de la Défense

Prix d’économie de la défense 2015: l'appel à candidatures est lancé


29/05/2015 Sources : SGA/DAF/QEFI/OED

 

Année 2015

Ecodef n°71 - Avril 2015 (format pdf, 576 kB).

Dynamiques socio-démographiques des effectifs militaires

EcoDef n°70 - Janvier 2015 (format pdf, 583 kB).

La dualité dans la stratégie des entreprises

 

Année 2014

EcoDef n° 69 - Novembre 2014 (format pdf, 552 kB).

 Les enjeux de la mutualisation du soutien dans le domaine de la défense en Europe

EcoDef n° 68 - Septembre 2014 (format pdf, 545 kB).

Le rôle clé de la BITD dans les exportations civiles et militaires de la France

EcoDef n° 67 - Avril 2014 (format pdf, 783 kB).

Échanges internationaux et base industrielle et technologique de défense 

EcoDéf n°66 - Janvier 2014 (format pdf, 709 kB).

La dualité dans la base industrielle et technologique de Défense

 

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 12:55
SEM - photo Marine Nationale

SEM - photo Marine Nationale

 

29 juin 2015. Portail des Sous-Marins

 

La Marine nationale comptait à la rentrée prochaine — suite au retrait programmé, à l’été 2015, des derniers chasseurs-bombardiers Super Etendard modernisés (SEM) qui équipent la flottille de chasse 17F sur la BAN de Landivisiau (Finistère) — ne faire voler que des Rafale. Il n’en sera rien : les SEM risquent de devoir durer — faute de remplacement — au-delà de la limite annoncée initialement, soit deux ans encore, même si la nouvelle date de retrait signifiée par la “Royale” reste fixée à l’été 2016…

 

Référence : TTU

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 12:55
photo ECPAD

photo ECPAD

 

04.07.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

Selon le compte rendu d’exécution des crédits de la mission Défense (article 8 de la LPM 2014-2019) et le bilan semestriel détaillé de juin 2015, l'opération Sentinelle coûte 94 millions d'euros:

sentinelle.jpg

Il ne s'agit pas de s'offusquer des coûts/surcoûts de cette opération de sécurité intérieure. Mais plutôt de voir comment elle impacte le budget de la défense. Le même document précise d'ailleurs que:

louvois.jpg

 et on lit un peu plus loin que:

sentinelle2.jpg

Discussion, arbitrage: le match Bercy-Brienne n'est pas fini.

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 12:45
photo François Rihouay

photo François Rihouay


02.07.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Du 6 au 25 juin 2015, une opération de contrôle de zone a été effectuée à l’est du Mali, dans la région d’Ansongo (au sud-est de Gao). Selon l'EMA, suite à un renseignement d’opportunité, la mission de reconnaissance a été poussée au-delà des frontières nigériennes, jusqu’au sud-ouest d’Akabar. Baptisée "Marne", cette opération a rassemblé des légionnaires du 1er REC et des marsouins du 21e RIMa. 300 soldats au total, avec 70 véhicules blindés (VAB, VBL, PVP) et 23 poids lourds.

Une partie de ces hommes participe actuellement à l'opération "Dordogne".

 

Suite de l'article et reportage photos

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 11:50
Exercise Gib Splash: The Submarine Parachute Assistance Group


6 juil. 2015 by Forces TV

 

Parachuting might not be something you would readily associate with a submarine rescue, but for one specialist team it's the fastest way to get to a crew in distress.

The Royal Navy’s Submarine Parachute Assistance Group (SPAG) is a specialist emergency rescue team on constant standby to travel to stricken submarines.

The highly-trained group was formed in the 1960s when Naval commanders decided they needed to be able to get experts to the site of a submarine emergency as quickly as possible.

This video shows SPAG exercising in the waters around Gibraltar.

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 11:50
Le commandement du Standing NATO Maritime Group 2 passe de l'Italie à la Turquie

Le commandement du Standing NATO Maritime Group 2 passe de l'Italie à la Turquie

 

02.07.2015 trt.net.tr

 

Une cérémonie de passation de commandement s'est déroulée à Erdek dans la ville de Balıkesir pour cette importante mission.

 

Le second groupe maritime permanent de l'Otan (Standing NATO Maritime Group 2 - SNMG2), dont la Turquie endossera le commandement, forme une des 4 missions de l'Otan en mer Noire, Egée, Méditerranéenne et en mer du Nord.

 

La frégate TCG Barbaros et les chasseurs de mines TCG Enez seront en mission au sein de ces groupe.

 

Les autres pays membres de l'Otan contribueront au groupe dont le commandement sera à la frégate Barbaros.

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 11:35
Apache And Hind

 

28.06.2015 Strategy Page



An AH-64E Apache Guardian from 1st Armed Reconnaissance Battalion, 25th Aviation Regiment, 25th Combat Aviation Brigade, 25th Infantry Division, and a Mi-35 Attack Helicopter from 31st Squadron, Tentara Nasional Indonesia Angkatan Darat, take off for a flight together during an attack/reconnaissance training mission in Semarang, Indonesia, Sept. 9. The training is part of Garuda Shield 2014, where units from United States Army Pacific are focusing on peace support training capacity and stability operations with the TNI-AD. (U.S. Army photo courtesy of 25th Combat Aviation Brigade)

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 11:30
Israël refuse de commenter ses ventes d'armes au Soudan du Sud

 

05.07.2015 i24news.tv

 

Une députée de l'opposition appelle le ministère de la Défense à faire preuve de "transparence publique"

 

Le ministère israélien de la Défense a refusé de s’exprimer sur les éventuelles ventes d’armes au Soudan du Sud après qu’une députée de l’opposition l’a exhorté à cesser les exportations de munitions vers le pays frappé par la guerre civile.

"Il doit y avoir transparence publique concernant les exportations de Défense, en particulier au cours d’une guerre civile", a écrit la députée Tamar Zandberg au ministre de la Défense Moshe Ya’alon le mois dernier, selon Haaretz.

Zandberg a également joint à sa lettre l’avis juridique d’un avocat qui dit avoir été informé de la présence de marchands d'armes israéliens sur des vols à destination de Juba, la capitale du Sud-Soudan.

Dans sa réponse, le ministère a entre autres indiqué que "l’existence d’une guerre civile a évidemment un impact sur la politique d’exportation de Défense vers le pays en question", sans toutefois nommer le Soudan du Sud.

Début juin, des militants des droits de l’homme ont protesté contre la présence d’une délégation du Soudan du Sud au salon de l'industrie de la défense internationale organisé à Tel Aviv.

Les activistes affirmaient que des munitions et navires militaires israéliens sont utilisés dans la guerre qui se déroule dans le pays d'Afrique orientale.

Israël entretient une politique d’ambiguïté concernant les pays vers lesquels des armes sont exportées.

Selon Haaretz, les exportations vers des pays africains sont en hausse constante ces dernières années: de 107 millions de dollars en 2010 à 318 millions en 2014.

 

A lire sur le sujet: Le Soudan du Sud et la fin de la périphérie israélienne

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 11:25
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

05/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 15 au 18 juin 2015, un détachement composé de militaires des forces armées en Guyane et plusieurs gendarmes ont effectué une opération de contrôle de zone sur un site d’orpaillage illégal démantelé au cours d’une précédente opération.

 

Les militaires du 9e régiment d’infanterie de Marine ont été engagés le 15 juin 2015 à Saut Maman Valentin pour une opération de contrôle de zone. Après une mise en place au plus près en pirogue, les militaires ont rejoint le site à contrôler.

 

« Nous savons que 3 à 4 pirogues logistiques sont présentes chaque jour sur ce site et que des sonnettes sont présentes sur les confluents», annonce le capitaine Antoine. Dès la fin du briefing et le rappel des consignes de sécurité, les militaires et les gendarmes ont rejoint le point à atteindre. Sur la zone et sous une pluie diluvienne, ils ont constaté que le site était déjà réinvesti par les garimpeiros. Après avoir fouillé puis détruit des bâches et une pirogue, la patrouille fluviale s'est rendue sur un autre site.

 

Le but de cette nouvelle mission était de marquer la présence des forces françaises dans cette zone fluviale où se croisent plusieurs axes logistiques, principaux et secondaires. Ces déplacements en pirogue ont été exigeants et ont mis à rude épreuve le savoir-faire des piroguiers, la végétation abondante rendant la navigation difficile d'où l’usage du légendaire coupe-coupe.

 

A 7 000 km de la métropole, les forces armées en Guyane (FAG) garantissent la protection du territoire national et de ses ressources. Fréquemment engagées en appui de l’action de l’Etat dans des missions au caractère interministériel, les FAG agissent sur un territoire rendu exigeant par son étendue (1 100 km de frontières terrestres), son littoral difficile et sa forêt équatoriale.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 11:20
photo USAF

photo USAF

 

June 27, 2015: Strategy Page

 

The U.S. Air Force recently ordered another few hundred Griffin missiles for use in its AC-130 gunships and UAVs. Entering service in 2010 the AGM-176 Griffin, which weighs 15 KG (33 pounds, or 20.5 kg/45 pounds with the launch tube) and has a 5.9 kg (13 pound) warhead, was first used in Afghanistan. Griffin has a greater range (20 kilometers from aircraft for the B and C versions) than Hellfire because of pop-out wings that allow it to glide after launch. The latest version (Griffin C) uses laser, GPS, inertial guidance and two way communications. The Hellfire II missile has been around a lot longer, weigh 48.2 kg (106 pounds), carries a 9 kg (20 pound) warhead, and have a range of 8,000 meters. But for precision work, as gunships and UAVs are often called on to do, smaller warheads and cheaper missiles are preferred.

 

The U.S. Army also tested the Griffin B missile as a replacement for the more expensive Javelin ATGM (Anti-Tank Guided Missile). In Afghanistan troops at remote outposts use the Javelin as their own artillery, which is especially useful if they are out of range of American 155mm guns and so far from air bases that bombers or helicopter gunships would take a while to arrive. Javelin gets the job done but it is expensive ($75,000 per missile). Griffin is smaller, simpler, and dispenses with the expensive armor-piercing warhead. This is a much cheaper alternative to Javelin. The Griffin B is being tested in a six missile launcher that can be swiveled towards the target and missiles can be quickly fired at nearby threats. Budget reductions put this project on hold although the U.S. Navy also considered using a similar system on ships to take care of Iranian suicide boats.

 

The air force and marines find Griffin excellent for use from gunships, enabling (in addition to the larger Hellfire) gunships to operate in daytime. Previous to the introduction of these precision missiles the gunships had to be low enough to use 20mm and 40mm autocannon. But that brought them within range of similar weapons on the ground plus heavy machine-guns and portable missiles. With Griffin and Hellfire the gunships can fly high enough to be safe from ground fire.

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 10:30
Rafale : le Qatar n'a pas encore payé son acompte

Le Qatar avait signé début mai un contrat de 6,3 milliards d'euros (armement compris) pour l'acquisition de 24 Rafale (six en version biplace et 18 en version monoplace), (Crédits : Dassault Aviation)

 

06/07/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Plus de deux mois après la signature du contrat d'acquisition de 24 Rafale à Doha, le Qatar n'a toujours pas payé son acompte, selon des sources concordantes. Mais Paris n'est pas inquiet.

 

Plus de deux mois après la signature en grande pompe du contrat d'acquisition de 24 Rafale (plus 12 en option) le 4 mai à Doha, le Qatar n'a toujours pas payé son acompte, selon des sources concordantes. Pas d'acompte, pas de contrat en vigueur. Pour autant, pas de panique. En France, personne n'est très inquiet sur cette transaction financière, qui prend un peu plus de temps que prévu. D'autant que le ramadan ralentit actuellement ce type de discussions. "Nous sommes très confiants, Doha nous donne régulièrement des assurances", assure-t-on à La Tribune.

Pourquoi un tel retard? Selon nos informations, Doha doit mobiliser de nouveaux crédits pour le budget du ministère de la Défense, qui a dû faire face à de très grosses dépenses d'acquisition de matériels américains, notamment les systèmes de défense aérienne, dix batteries Patriot pour plus de 7 milliards de dollars en juillet 2014, suivi d'un contrat de maintenance de ces systèmes de 2,4 milliards de dollars en décembre 2014. L'acompte devrait être versé très rapidement. "C'est imminent", explique-t-on à La Tribune. A suivre...

 

Un contrat de 6,3 milliards d'euros

Le Qatar avait signé début mai un contrat de 6,3 milliards d'euros (armement compris de MBDA et Safran) pour l'acquisition de 24  Rafale (six en version biplace et 18 en version monoplace), en présence du président français, François Hollande, qui avait lancé en anglais "Good choice" à l'adresse du général qatari Ahmad al-Malki, qui a supervisé les négociations avant de signer le contrat avec le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier.

Les avions de combat seront livrés à partir de 2018 avec une livraison par mois à raison de 11 avions par an, selon le ministère de la Défense. Ils seront équipés de tous les armements possibles, notamment des missiles de croisière Scalp et de missiles air-air Meteor. Une centaine de mécaniciens très spécialisés qataris seront formés en France, et 36 pilotes.

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