Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
3 juillet 2015 5 03 /07 /juillet /2015 07:30
Dans le cadre du programme «Rewards for Justice», le secrétaire d'Etat John Kerry avait offert 3 millions de dollars pour des informations sur Tareq al-Harzi.

Dans le cadre du programme «Rewards for Justice», le secrétaire d'Etat John Kerry avait offert 3 millions de dollars pour des informations sur Tareq al-Harzi.

 

2 juillet 2015 45eNord.ca (AFP)


 

Le Pentagone a annoncé jeudi la mort dans une frappe aérienne en Syrie mi-juin d’un haut responsable logistique du groupe djihadiste Etat islamique (EI), Tareq ben Tahar al-Awni al-Harzi.

 

Tareq al-Harzi a été tué «par une frappe de la coalition le 16 juin à Shadadi», dans la province d’Hassaké (nord-est de la Syrie), selon le porte-parole du ministère américain de la Défense, le capitaine de vaisseau Jeff Davis.

Tareq al-Harzi est le frère d’Ali al-Harzi, un recruteur de l’EI dont le Pentagone a annoncé la mort le 22 juin dans un raid de l’aviation américaine à Mossoul, dans le nord de l’Irak.

Tareq al-Harzi était chargé de «lever des fonds», de «recruter» et de «faciliter les voyages» de combattants du groupe ultra-radical Etat islamique, a déclaré Jeff Davis.

Il a participé aux «achats et au transport d’armes depuis la Libye jusqu’en Syrie». Et il a facilité en Irak les attaques suicide avec des véhicules bourrés d’explosifs, une technique dont le groupe Etat islamique a fait une arme redoutablement efficace.

«Sa mort réduira la capacité du groupe Etat islamique à intégrer des combattants étrangers dans les combats en Syrie et en Irak, et à déplacer des hommes et des armements entre la Syrie et l’Irak», a indiqué le porte-parole.

Dans le cadre du programme «Rewards for Justice», le secrétaire d’État John Kerry avait offert 3 millions de dollars pour des informations sur Tareq al-Harzi.

De son côté, Ali al-Harzi, tué selon les Américains le 15 juin, donc la veille de la mort de son frère, était recherché pour son rôle présumé dans l’attaque contre le consulat américain à Benghazi en Libye, le 11 septembre 2012.

Cette attaque avait coûté la vie à l’ambassadeur des États-Unis en Libye, Christopher Stevens, et à trois autres Américains.

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2015 5 03 /07 /juillet /2015 07:30
AT-4 launcher photo 4th Stryker Brigade Combat Team

AT-4 launcher photo 4th Stryker Brigade Combat Team

 

June 8, 2015: Strategy Page

 

The United States recently delivered 2,000 AT4CS (the CS stands for "Confined Spaces") one-shot shoulder fired rocket launchers to the Iraqi military. Half of this shipment was held back for training purposes, since it does require some practice to become proficient with the AT4.

 

Made by a Swedish firm (Saab Bofors) the U.S. Marines have been using AT4 since the 1990s and Iraqis who saw it in action were impressed. The 6.8 kg (15 pound) weapon has a range of 300 meters and can destroy bunkers as well as armored vehicles. Many have been used in Iraq and Afghanistan by American and other NATO forces.

 

The AT4CS can be fired from inside a building and that capability attracted U.S. SOCOM (Special Operations Command) and the U.S. Marine Corps to buy many of these missiles. The AT4CS is a one shot system that can operate with reusable night vision equipment. The 1.8 kg (four pound) rocket is fired from a one meter (40 inches) long launcher. The maximum range of the rocket is about two kilometers. The warhead doesn't arm until the rocket is about ten meters from the launcher. It takes about one second for the rocket to go 250 meters. The warhead can penetrate about 500mm (nearly 20 inches) of steel armor. Thus the AT4 is very useful against the thick walled compounds commonly found all over Iraq.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 19:45
Déclaration du Porte-Parole SEAE suite à l'attaque contre la MINUSMA au Mali

 

02/07/2015 SEAE - EEAS 150702_03_en

 

L'attaque terroriste ciblant la MINUSMA au Nord Mali aujourd'hui a emporté cinq casques bleus originaires du Burkina Faso et blessé neuf autres qui agissaient dans le cadre de leur mandat pour maintenir la stabilité et sécurité de la région.

 

L'UE exprime ses sincères condoléances aux familles des victimes et au gouvernement du Burkina Faso.

 

Cette opération de maintien de la paix, dont le mandat vient d'être renouvelé, est l'une des plus coûteuse en vies humaines. L'UE réitère son plein soutien aux efforts des casques bleus opérant courageusement dans des conditions difficiles au nom de la communauté internationale.

 

Nous rappellons également que, dans sa résolution 2227, le Conseil de Sécurité des Nations Unies a confirmé que des sanctions seront prises contre tous ceux qui s'opposent à la paix au Mali et rompent le cessez le feu.

 

L'UE reste déterminée à mobiliser tous les moyens possibles pour le succès de la mise en œuvre de l'accord de paix signé par toutes les parties à Bamako le 20 juin dernier.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 19:30
Comment lutter contre Daesh ?


01.07.2015 LeMonde.fr
 

La communauté internationale parviendra-t-elle à vaincre l'organisation Etat islamique qui vient de célébrer le premier anniversaire du « califat » ? Analyse des stratégies militaires pour réduire son emprise au Proche-Orient.

 

- Détruire les capitales du « califat », par Michel Goya, colonel dans les troupes de marine et historien. Il est possible de vaincre militairement Daech grâce à une grande opération héliportée et aéroportée sur l’Euphrate. Un combat qui pourrait durer plusieurs années et qui nécessiterait au moins 100 000 hommes sur le terrain

 

- La logique suicidaire de Daech pourrait provoquer sa propre chute, par Hamit Bozarslan, directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS). La logique nihiliste de l’Etat islamique pourrait se retourner contre lui et accélérer son effondrement.

 

A lire aussi :

 

- Face à la progression de l’Etat islamique, quelle stratégie pour la coalition ? La réunion des alliés de la coalition mardi à Paris doit permettre d’échanger sur le plan à adopter après les récentes avancées des djihadistes..... Le premier ministre irakien, Haïder Al-Abadi, est arrivé, mardi 2 juin, à Paris, déterminé à relancer la dynamique contre l’expansion de l’Etat islamique.

 

- Face à l'avancée djihadiste, les Etats-Unis impuissants

 

- L'art militaire de l'antiterrorisme Au fil des années, la lutte contre le terrorisme a glissé du terrain policier vers le domaine militaire. Pour l'armée française, elle devient un élément structurant.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 17:20
Le nouveau chasseur américain F-35 est-il vraiment mauvais?

 

02-07-2015 Par Vincent Lamigeon - Challenges

 

L'avion de combat de Lockheed Martin n’a pas réussi à battre un vieux F-16 lors d’un exercice de l’US Air Force. Un nouveau coup dur après ses énormes retards et surcoûts de développement.

 

Le chasseur F-35, programme d’armement le plus cher du monde avec 400 milliards de dollars investis, sera-t-il aussi le plus catastrophique? Une fuite sur le site spécialisé War is Boring vient en tout cas jeter le doute sur les performances du futur appareil de l’US Air Force, de l’US Navy, des Marines et d’une dizaine d’autres pays clients (Royaume-Uni, Pays-Bas, Italie, Australie, Japon, Israël…). Selon le compte-rendu d’un pilote de F-35 après un exercice de combat rapproché contre un F-16 en janvier en Californie, dévoilé par le site,  l’appareil s’est montré incapable de dominer son adversaire, manquant constamment "d'énergie" pour réaliser les manœuvres nécessaires.

 

Manque d'"énergie"

Le combat s’annonçait pourtant inégal. Le F-35 en question, un F-35A monoplace, était opposé à un F-16D Block 40 biplace, soit une version datant de la fin des années 80. Mieux, le F-35 volait sans armement ni réservoirs de carburant, à l’inverse du F-16, chargé de deux réservoirs, et non handicapé du point de vue aérodynamique. Pourtant, le F-16 a fait mieux que résister, raconte le pilote. "Même avec la configuration limitée du F-16, le F-35A a gardé un désavantage d’énergie sur tous les engagements", écrit-il selon War is Boring.

En gros, le F-35 a fait montre d’inquiétantes faiblesses aérodynamiques. Il s’est avéré trop lent pour toucher le F-16 au canon de 25 mm. Il s’est même montré incapable de manœuvrer assez rapidement pour éviter les tirs de son adversaire. Pire, selon le pilote, le casque de vision à 360 degrés de l’appareil ne permet pas de voir tout ce qu'il se passe autour de soi. "Le casque était trop grand par rapport à l'espace disponible pour voir derrière l'avion", écrit le pilote. Fâcheux quand l’avion est en situation de "dogfight", même si ces duels aériens façon Top Gun sont devenus rarissimes.

 

"Moins bon que le F-15"

Le pilote affirme même que le F-35 est "substantiellement inférieur" au vieux F-15 qu’il pilotait il y a quelques années. Conclusion impitoyable de l’auteur de l’article, David Axe : "Pendant quelques décennies, les Américains et les aviateurs alliés vont combattre dans un chasseur inférieur, qui pourrait les envoyer à la mort… et coûter aux Etats-Unis le contrôle de l’espace aérien."

Chez Lockheed Martin et au Pentagone, on sort les parapluies. Un communiqué du constructeur américain assurait le 1er juillet que "l’article ne raconte pas toute l’histoire", soulignant que le F-35 impliqué (l’AF-2) est destiné aux "tests scientifiques" et aux tests de "qualités en vol" de l’avion. "Il n’est pas équipé de nombre de fonctions intégrées aux F-35 produits actuellement, appareils de 5ème génération", indique Lockheed Martin.  

 

159 millions de dollars pièce

Même l’US Air Force s’est fendue d’un communiqué, jurant qu’"il y a eu de nombreuses occasions ou des groupes de F-35 ont engagé des groupes de F-16 en simulation de combat, et les F-35 ont gagné chacune de ces rencontres, grâce à leurs capteurs, leurs armements et leur technologie furtive". Mais l’industriel et les militaires américains se sont bien gardés de démentir les conclusions du pilote cité par War is Boring.

Pour eux, l’appareil n’est clairement pas destiné au dogfight : le F-35 "est destiné à engager, viser et abattre l'ennemi depuis de longues distances, pas nécessairement en situation de combat visuel", souligne l'US Air Force. Une faiblesse quand même fâcheuse pour un avion à 159 millions de dollars pièce, selon les derniers chiffres du GAO, l’équivalent américain de la Cour des comptes

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:55
La force de leur engagement : suivez six jeunes recrues en action



 02/07/2015  DICOD - JDEF

 

Ils ont entre 21 et 26 ans, portent l’uniforme et en sont fiers. Cet été, le Journal de la Défense (#JDef) vous propose de vivre une expérience inédite. Six jeunes recrues de l’armée de Terre, de la Marine et de l’armée de l’Air vont vous faire découvrir leur métier et surtout leur passion lors de deux numéros spéciaux de 26 minutes.
Dans cette première partie diffusée en juillet, vous allez pouvoir les suivre dans leurs unités respectives et pendant leurs entraînements. Antoine, Amaury, Remi, Boris, Morgane et Baptiste se confieront à nos caméras sur leur motivation et ambition, à leur manière ils nous expliqueront quelle est la force de leur engagement. Êtes-vous prêts à les suivre ?

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:55
« Groupes mortier » du 13e BCA : se former !

 

02/07/2015 armée de Terre

 

Les « groupes mortier » du 13e bataillon de chasseurs alpins ont effectué en mai 2015 une formation d’adaptation pour obtenir leur certificat de qualification initiale et leur certificat de qualification élémentaire.

 

Pendant plusieurs jours, ces spécialistes ont mis en œuvre l’ensemble de leurs savoir-faire. Ce système d’arme technique, précis et puissant, est une découverte pour les plus jeunes, contrairement aux anciens. En tant que chasseurs alpins, ils évoluent dans un milieu très exigeant. C’est pourquoi les cadres insistent sur la formation malgré une programmation très dense avec l’opération Sentinelle. Tous les jours, l’instruction et l’entraînement se poursuivent pour maintenir le haut niveau opérationnel du bataillon Savoie.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:55
Remise du prix Erwan Bergot à Sylvain Tesson, lauréat de la 20e édition. - Crédits ADC Emmanuel C.

Remise du prix Erwan Bergot à Sylvain Tesson, lauréat de la 20e édition. - Crédits ADC Emmanuel C.

 

02/07/2015 Armée de Terre

 

Sylvain Tesson, auteur de l'ouvrage Berezina, est le lauréat 2015 du prix Erwan Bergot.

 

Il a reçu son prix le 29 juin 2015 à La Sorbonne, devant de nombreuses personnalités du monde littéraire et des armées. Le général de division Barrera a quant à lui reçu le prix spécial du jury avec son livre "Opération Serval". Depuis 1995, l’armée de Terre récompense des livres qui transmettent avec talent et force les valeurs de courage et de dévouement à la Nation : autant d’exemples d’engagement au service d’une certaine idée de la France.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:55
L’Etat-major de la Marine quitte ses bureaux situés dans l'hôtel de la Maine, rue Royale, pour rejoindre ses nouveaux locaux à Balard - photo JJ Chatard/DICOD

L’Etat-major de la Marine quitte ses bureaux situés dans l'hôtel de la Maine, rue Royale, pour rejoindre ses nouveaux locaux à Balard - photo JJ Chatard/DICOD

 

02/07/2015 Carine Bobbera  - DICOD

 

L’État-majorde la Marine quitte ses bureaux rue Royale pour rejoindre ses nouveaux locaux à Balard. L’occasion de revenir sur l’histoire de ce prestigieux bâtiment, l’hôtel de la Marine, témoin des grandes heures de la France.

 

Construit entre 1757 et 1774 au Nord-Est de l’actuelle place de la Concorde, l’hôtel de la Marine est l’œuvre de l’architecte Jacques-Ange Gabriel. L’édifice sert dans un premier temps de garde-meuble royal. Y sont stockés, entretenus et restaurés le mobilier, les tapisseries, les luminaires et les objets de décoration les plus précieux des demeures royales. Les visiteurs de l’époque peuvent également y admirer les joyaux de la couronne. L’hôtel de la Marine connaît son premier grand évènement historique en 1778.

 

C’est dans ses murs qu’est signé, le 6 février, le Traité d’Amitiés et d’Échanges entre le roi de France et les treize états indépendants d'Amérique. Par ce traité, Louis XV reconnaît l’indépendance des États-Unis. Le ministère de la Marine, créé par Colbert le 7 mars 1669, quitte Versailles pour sa nouvelle demeure à l’occasion de la Révolution, en 1789.

 

L’État-major s’y installera 17 ans plus tard. En 1848, l’hôtel de la Marine voit la signature de l'acte d’abolition de l'esclavage, projet porté par le sous-secrétaire d’État à la Marine de l'époque, Victor Schœlcher. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, de 1940 à 1944, les Allemands réquisitionnent l’hôtel et installent une partie du commandement de la Kriegsmarine. Le bâtiment retrouve après-guerre sa vocation maritime, en y abritant l’État-major de la Marine nationale.

 

C’est le seul ensemble conservé aujourd'hui en France regroupant les éléments successifs d’un siècle de décoration, marqués par la symbolique de la Marine nationale.

 

L’hôtel de la Marine  a été confié au Centre des monuments historiques.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:50
Netherlands orders Bushmaster armored vehicles

 

SYDNEY, July 1 By Richard Tomkins (UPI)

 

The Netherlands' Ministry of Defense has ordered a dozen Bushmaster armored vehicles for delivery next year from Thales Australia.

 

The Bushmasters will be in the troop carrier variant and fitted with additional composite armor, Remote Weapon Stations, and Thales' SOTAS intercom system.

 

"The Bushmaster has proven itself on operations with the Dutch military in Afghanistan, and is a vital component of their Light Brigade," said Thales Australia Chief Executive Officer Chris Jenkins. "This export order shows their continuing confidence in the Bushmaster, its ability to protect troops in theater and save lives.

 

"It's also a tribute to the unique skills and in-depth expertise we have at our Bushmaster production facility in Bendigo, Victoria. Generating exports like this is good for us, good for our many local suppliers, and good for the economy as well."

 

The Bushmaster is a wheeled armored vehicle with a curb weight of more than 27,000 pounds. It has an operational range of 497 miles and has a speed of about 61 miles per hour.

 

The Netherlands previously procured 86 Bushmasters.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:50
photo Europe & US MoD/DoD

photo Europe & US MoD/DoD


2 July 2015 By Marco Giulio Barone * for International Security Observer (ISO)
 

What risks are Europe’s leading military powers taking by substantially cutting their armored forces? Marco Giulio Barone worries that the decision could hamper future defense coordination and create severe vulnerabilities for the security of the entire continent.


This article was originally published by the International Security Observer on 16 June 2015.

 

Shrinking armoured forces in the four most important countries in Europe looks like a strategic adjustment to contemporary geopolitical scenarios. However, the excessive reduction of armoured assets in key countries and the absence of coordination amongst them could create severe vulnerabilities for the future defence of the whole continent.

The establishment and the expansion of the European Union reshaped the geography and politics of Europe with the consequent merge (and sometimes contrast) of multiple political, economic and social stakes coming from EU members. Nonetheless, some countries – Germany, Great Britain, France, and Italy – have kept their prominent role in European affairs and, today, they keep influencing deeply the international relations between Europe and the world. Their approach to defence matters has changed in terms of perceived threats and strategic planning, thus influencing European security policies according to their strategic needs (or wished). One of the most evident effects of this on the military is the progressive reduction of armoured assets. During the Cold War, armoured assets would have been the protagonists of warfare and their role was to face Soviet armoured divisions. Therefore, the core capabilities of western forces relied on big armoured complexes whose features were extreme tactical mobility and strategic pre-positioning across the foreseeable fronts. Instead, in the post-Soviet era the security threats to western European countries changed and became farer and asymmetric, thus requiring – in theory – high deployability, strategic mobility and limited logistic footprint. The armies of the four countries having taken this into consideration have become lighter and more deployable.

Germany, Great Britain, France, and Italy have traditionally coupled their economic relevance to a proportional military power made of big armies, more or less well equipped. Today, such proportionality is no longer linear for two main reasons: first, symmetric threats (read a state enemy at the gates) have objectively declined and second, national politics in today’s Europe have priorities other than defence expenditures.[1] Concerning the armoured assets, the reduction of Russian armoured forces and East European countries embracing the Atlantic treaty have stressed once again the loss of importance of the main threat. In addition, until 2010, rapprochement policies between the EU and Russia made the hypothesis of strategic confrontation even more unlikely.

Following the crisis in Ukraine the problem of strategic conventional deterrence has appeared once again as strategic priority, thus finding Germany, Great Britain, France and Italy not ready to respond promptly and adequately. In fact, despite of the tough headlines of the hottest phases of the Ukraine crisis, Russia has not deployed armoured assets in Crimea and at Ukrainian eastern border, rather using motor rifles and light units.[2]

To sum up, a traditional strategic race between west European countries and Russia is unlikely because both parts would be unable to sustain it at both economic and military level.[3] In particular, during the second round of negotiations in Minsk, Germany and France had to leverage on U.S. indirect deterrence – Obama raised the tones a few hours before the beginning of the talks – rather than on their own military power. In short, the two European countries, although politically and economically significant, were unable to look independent at strategic level.[4] A feature that Putin does not like, as he cannot consider west European stakeholders as an independent subject from Washington like it used to previously.

The hottest and biggest spot for the four EU lead countries is the southern front made of MENA (Middle East North Africa) countries and the Sahel. Great Britain, France and Italy are committed to multiple theatres with different coalitions, but their overall impact at the political and military level is limited. Nevertheless it is likely that these countries – even Germany, will be called to raise their commitment southward.[5] In those theatres power projection is usually based on a mix of light and medium forces, sometimes supported by a few mechanized assets. Such a mix is often considered the most suitable to counter elusive enemies organized in small formations. Furthermore, the limited logistic and economic footprint of such units in comparison to armoured ones makes them more sustainable in theatre for prolonged periods. In fact, lighter means, ammunitions and equipment are easier and cheaper to transport to and from the theatre of operations, while their strategic mobility allows expeditionary forces to cover big areas with limited logistics. As a consequence, the four countries have been reshaping their armed forces to become lighter and more flexible. However, the U.S. experience in that area demonstrates that, in case of major high intensity campaigns armoured assets have unmatched firepower, resistance and tactical mobility. Considering that conflicts in MENA countries keep growing in both size and intensity, major campaigns might be required in the near future.

In Europe, diminishing capabilities in leading high intensity conflicts by the four biggest countries modifies even the internal balance of forces amidst the EU and NATO. In fact, Poland and the other East European countries are moving in the opposite direction, and their armoured forces are increasing in size.[6]

At the political level this encourages the shift of the geostrategic axis eastward and implies more attention towards eastern European members and Russia.

At the military level, the weighted relevance of France, Germany, Great Britain and Italy will be decreasing in favour of those countries that welcome U.S. troops and bases and contribute every day more to the defence of the continent. As a consequence, the European defence agenda will likely be established progressively less in Berlin, Paris or Rome and more in Warsaw.[7]

As of today, at the operational level, the sum of the armoured forces of the four countries is adequate to the foreseeable level of threat, but quantities are next to the minimum below which credible operational capabilities in the field might be lost. In particular, the main problem is fragmentation: each country adopts its own doctrine and heterogeneous assets (Main Battle Tankss, Infantry Fighting Vehicles, Artillery) that are not deployable directly as a whole, nor being supported by common logistics.[8] As a consequence, the overall importance of each national force in Europe is constrained, while miscellaneous forces can difficultly merge as a whole in case of crisis. In short, the sum of numbers remains credible but the lack of interoperability makes its true strategic value critically low.[9]

Finally, the waste of know-how due to risible numbers and poor training downgrades the capabilities previously reached in the field.[10] In case of need, the rebuild of such operational capabilities would require time and fresh money, two features often lacking when sudden threats appear.

Armed forces are built around the “what if” paradigm and their structure depends on the expected threats. As a consequence, the detriment of armoured forces reshapes the military potential of the four countries, strengthening some features and weakening some others. Taking into account the current trend and the possible future challenges, there are four highlights to take into account.

First, a symmetric threat would find the four most powerful countries in Europe with insufficient armoured units, with Germany as the only exception. On the one hand, such a threat would not be sudden and would take a few years to manifest. On the other, this timeline might prove too short for readjusting the military for conventional warfare.

Second, despite of the reassurance the U.S. provided to east European countries by redeploying its EUCOM (United States European Command) troops on their territory, it is clear that the European theatre will be increasingly less relevant to Washington. This can bring two opposite outcomes: the empowerment of EU countries within the NATO framework, as often wished by the U.S., or, rather, the confirmation of the current trend – regardless of the U.S. disengagement – and the progressive decline of overall European military capabilities, as the armoured divisions continue representing the backbone of the strategic relevant armies.[11] Eastern countries, which are experiencing a reversing trend in this sense, might even choose alternative frameworks for collective defence, other than NATO and EU, and regardless of the economic importance of Paris, Rome, Berlin, and London.[12]

Third, in case of slow worsening of one or more crises at Europe’s gates a stronger power projection might be required. Such eventuality is considered far from the four governments of the countries explored in this piece, but the acceleration of the current trend that sees the continent challenged on its southern and eastern fronts might represent a pushing factor for reversing the current decision at strategic level, including the reduction of armoured forces.

Fourth, the current tendency will likely cause decreasing capability of projecting and developing tracked armoured vehicles (especially tanks) in the mid term. In fact, there are few or no programs for replacing current tanks and tracked IFVs (paper tanks do not count). Today, no country in West Europe possesses the resources for running its own program. Furthermore, the over constrained demand for such assets do not allow economies of scale that would ameliorate the overall industrial efficiency (including lower unit costs).[13][13] Whether this trend will be positive or negative for industry depends on the evolution of geopolitics in Europe as well as on foreign and defence policies to be adopted in the near future.


Notes

[1] The trend that sees defence spending as a secondary priority in today’s national agendas in Europe is well explained in the study below, that takes into consideration the case of the small Slovakia: despite of favourable economic conditions, the country has not invested more in its armed forces, rather cutting further its budget for a number of arguable reasons actually common to several European countries.

Suplata, M., Save the Defence: Why investing in the armed forces matters, Central European Policy Institute, November 26, 2014 http://www.cepolicy.org/publications/save-defence-why-investing-armed-forces-matters.

[2] Bowen, A.S., Chicken Kiev – Will Russia risk an all-out invasion of Ukraine?, Foreign Policy, March 15, 2014: http://foreignpolicy.com/2014/03/15/chicken-kiev/. See also, Bowen, A.S., Military Modernizatsiia and Power Projection – A strong and modern military is the cornerstone of Putinism, The Interpreter, October 10, 2013: http://www.interpretermag.com/military-modernizatsiia-and-power-projection/.

[3] Francis, D., Don’t Trust NATO’s Plan to Counter Putin, The Fiscal Times, August 28, 2014: http://www.thefiscaltimes.com/Articles/2014/08/28/Don-t-Trust-NATO-s-Plan-Counter-Putin.

[4] Erlarger, S., Shrinking Europe Military Spending Stirs Concern, The New York Times, April 22, 2013: http://www.nytimes.com/2013/04/23/world/europe/europes-shrinking-military-spending-under-scrutiny.html?_r=0.

[5] Darling, D., Europe’s Defense Retrenchment Appears Over, but What Comes Next?, Forecast International, September 11, 2014: http://globenewswire.com/news-release/2014/09/11/665398/10098266/en/Europe-s-Defense-Retrenchment-Appears-Over-but-What-Comes-Next.html.

[6] Larrabee, S.F. et alii, NATO and the challenges of austerity, RAND – National Defence Research Institute, 2012, pp.76-80. http://www.rand.org/content/dam/rand/pubs/monographs/2012/RAND_MG1196.pdf

[7] Bender, J., Only the US and Estonia are meeting NATO’s defense budget goals, Business Insider, February 27, 2015: http://www.businessinsider.my/only-us-and-estonia-meeting-nato-budget-goal-2015-2/#m73QBA97CA6u0eHt.99.

[8] “We have to share our military and industrial capabilities”, Briefing of the European Defence Summit, May 03, 2013: https://www.securityconference.de/en/news/article/we-have-to-share-our-military-and-industrial-capabilities/.

[9] Flanagan, S.J., A Diminishing Transatlantic Partnership?- The impact of the financial crisis on European Defence and foreign assistance capabilities, Center for Strategic and International Studies, May 2011, pp. 18-20: http://csis.org/files/publication/110427_Flanagan_FinancialCrisis_web.pdf

[10] Today there are about 1100 MBTs of four different models, 1425 AFVs (at least 6 models) and 470 tracked howitzer (3 models) in service. During the Cold War there were about 6239 MBTs, 11389 AFVs and 1343 tracked howitzer.

[11] Carpenter, T.G., NATO, European Spending and U.S. grievances, Aspenia online, May 12, 2015: https://www.aspeninstitute.it/aspenia-online/article/nato-european-spending-and-us-grievances.

[12] Larrabee, S.F. et alii, ibid.

[13] Report from the Commission to the European Parliament, the Council, the European Economic and Social Committee and the Committee of the Regions, A New Deal for European Defence – Implementation Roadmap for Communication COM (2013) 542; Towards a more competitive and efficient defence and security sector, Brussels, June 24, 2014, pp.6-14.


* Marco Giulio Barone is contributor at the International Security Observer (ISO). He is also a Contributing Analyst and subject matter expert at Wikistrat, Counter-Terrorism and East Asia divisions. He is also project leader and columnist at “Il Caffè Geopolitico”, an Italian online journal about geopolitics. His research and analysis activities focus on counter-terrorism, geopolitics, East Asian and MENA countries defence and security matters.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:50
photo Patrick Brion – MIL.be

photo Patrick Brion – MIL.be

 

02/07/2015 Johan Lievens –MIL.be

 

Malbork, Pologne. L’alarme est déclenchée pour deux F-16 belges. Un avion non identifié est entré dans l’espace aérien de l’OTAN. Nos avions sont envoyés pour l’intercepter en plein vol au-dessus de la mer Baltique. Depuis janvier 2015, la Belgique a déployé quatre F-16 et cinquante personnes dans le cadre de la mission de surveillance aérienne de l’OTAN Enhanced Air Policing Mission (EAPM).

 

Suite à la crise ukrainienne et l’annexion de la Crimée par la Russie, l’OTAN a décidé de renforcer ses activités dans la région de la mer Baltique. La Belgique, ayant beaucoup d’expérience en matière de surveillance aérienne, a fourni un appui. Le détachement mène des interventions d’urgence (Quick Reaction Alert -QRA) dont le nombre est déjà grimpé à quatorze. Dans la plupart des cas, il s’agit d’avions russes ne communiquant pas leur plan de vol ou ne prenant pas contact avec le contrôle aérien de l’espace survolé. « C’est un peu plus rude que durant la guerre froide », lâche le commandant de la Composante Air, le général-major aviateur Frederic Vansina. « À l’époque, nous étions pilotes avant tout et les relations étaient amicales. Mais actuellement, ils osent entreprendre des manœuvres fatigantes pour rendre la vie dure à nos  pilotes. »

 

photo Patrick Brion – MIL.bephoto Patrick Brion – MIL.be
photo Patrick Brion – MIL.bephoto Patrick Brion – MIL.be

photo Patrick Brion – MIL.be

Le but d’un QRA est d’identifier l’appareil et de communiquer cette information aux contrôleurs aériens. L’avion qui ne communique pas son plan de vol sera escorté par le F-16 jusqu’à sa sortie de la zone contrôlée. « Je pense qu’il est important de montrer que nous n’acceptons pas n’importe quoi », explique le ministre de la Défense Steven Vandeput. Dans la majorité des cas, les pilotes belges sont tombés sur des pilotes russes occupés à effectuer des vols de reconnaissance le long des frontières allemandes, suédoises, danoises et polonaises. Un pic d’activité russe a été constaté du 16 au 18 juin pendant l’exercice OTAN BALTOPS 2015. Les Belges sont de permanence QRA pendant une semaine. La suivante, ils rentabilisent au mieux leur présence en s’entraînant au combat aérien avec les MIG-29 polonais. L’espace aérien polonais est bien plus grand et offre bon nombre de possibilités impensables en Belgique. « Le MIG-29 est un peu le « meilleur » ennemi du F-16 et, avec ces combats simulés, nous apprenons à découvrir les points faibles de l’adversaire »,  explique le général Vansina.

 

En date du 30 juin 2015, le détachement belge avait déjà contribué pour quelque 25% dans les efforts fournis par l’OTAN dans la région. La contribution belge à cette mission de surveillance aérienne s’achèvera début août.

Vidéo : Clint Soete

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:50
P902 BNS Pollux Photo Jorn Urbain

P902 BNS Pollux Photo Jorn Urbain

 

01/07/2015 Ron Joosen – MIL.be

 

Afin de se préparer au mieux à ses prochaines missions, le P902 Castor a subi, la semaine dernière, un entraînement intensif sous la houlette du centre d’entraînement opérationnel MOST (Mine countermeasure vessels Operational Sea Training) pour chasseurs de mines.

 

Plusieurs instances et collaborateurs, tant de la Défense que de la garde-côtière, ont proposé à l’équipage des explications sur leurs domaines de compétence ainsi que sur l’entraînement qui va de pair. Mais l’approche théorique n’est qu’un aspect parmi d'autres. L’accent a surtout été mis sur la pratique afin que les actions soient correctement exécutées lors d’une interception en cas de délit. La coordination et la communication entre les différents partenaires sont en effet essentielles à la bonne conduite des opérations.

 

Cette journée interactive, l’enthousiasme de l’équipage, la qualité des orateurs et l’interaction avec le Centre d’Informations Maritimes (CIM) ont permis de conscientiser l’équipage dans le domaine du Maritime Situational Awareness et d’affiner les procédures dans le cadre du Plan d’Urgence et d’Intervention de la mer du Nord.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:50
Les meilleurs du tir tactique en compétition en Belgique

 

2 juil. 2015 par MIL.be

 

Le championnat national de tir militaire s’est déroulé ces 1er et 2 juillet au camp Lagland à Arlon. Il réunissait les meilleurs tireurs de toute la Défense.

 

Pour chaque militaire participant, tout débutait par un contrôle complet de l’arme. « Nous vérifions notamment que la détente ne soit trafiquée car il est toujours tentant de l’avoir plus souple », explique le premier sergent Pascal Dechene, armurier. La « triche » est formellement sanctionnée et les participants doivent bien vérifier qu’ils ne vont pas tricher inopinément. « Les webbings, ces fameux gilets intégrant protection et porte-chargeurs, doivent peser au minimum huit kilos », ajoute l’adjudant Carl Deleu, un des responsables techniques du championnat.

 

photo Sedeyn Ritchie - MIL.bephoto Sedeyn Ritchie - MIL.be
photo Sedeyn Ritchie - MIL.be
photo Sedeyn Ritchie - MIL.bephoto Sedeyn Ritchie - MIL.bephoto Sedeyn Ritchie - MIL.be

photo Sedeyn Ritchie - MIL.be

« À l’origine, le championnat était une discipline olympique mais nous l’avons adapté à l’entraînement militaire et il est devenu une compétition dynamique », explique l’adjudant Frank Verstraeten de la cellule du sport de la Défense. « Le concept se veut le plus réaliste possible dans l’esprit train as you fight », poursuit le major Frank Adam du même service. « Le championnat et ses épreuves sont d’ailleurs en constante évolution. La prochaine étant l’inclusion des armes de défense personnelle : chacun tirera avec son arme organique. »

En effet, si les tireurs étaient aujourd’hui équipés de manière identique, c’est parce que la FNC et ses munitions de guerre 5.56 étaient communes à chacun. Même les participants néerlandais et luxembourgeois tiraient avec cette arme à laquelle ils ne sont pas habitués. « Le grand atout que nous aurons lorsque les armes de défense personnelle auront été implémentées, c’est que le championnat s’y adaptera et proposera des parcours polyvalents permettant à chacun de s’y mesurer selon son équipement spécifique. »

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:35
Arjun MK II - source Livefist

Arjun MK II - source Livefist

 

June 27, 2015 By Vivek Raghuvanshi – Defense News

 

NEW DELHI — The Indian Army's plan to develop and build a medium-weight main battle tank to replace more than 2,500 Russian T-72s has raised questions about the future of the homemade Arjun tank and likely would kill a decade-old proposal by the Defence Research and Development Organisation (DRDO) to build a tank, according to analysts and officials.

 

The Indian Army this month floated a global request for information to seek partners to design the new tank under a program called Future Ready Combat Vehicle (FRCV). As a medium-weight platform it would weigh 40-plus tons, compared with the Arjun, which weighs 60 tons.

 

"The proposed FRCV is in the medium category and is more likely to be around the T-90 platform than the Arjun Mark-II platform, which is getting close to the medium-heavy/heavy category," said Anil Chait, retired Indian Army lieutenant general. "Designing and developing the product around proposed qualitative requirements afresh would suggest that we may be looking toward the end of the Arjun saga," he said.

 

However, Rahul Bhonsle, a retired Army brigadier general and defense analyst, said the Arjun will progress from the current Mark-1 level to Mark-3.

 

"The lead time for the FRCV to be manufactured, if all goes well, is likely to be approximately 15 years or so. This provides adequate scope for the Arjun series to be progressed to at least Mark-3. Moreover, there is a need in the Indian Army for an Arjun class of tank."

 

While no Ministry of Defence official would comment on the fate of the decade-old Futuristic Main Battle Tank (FMBT) project to be developed by DRDO, an Army official said FRCV has "surely killed" the FMBT.

 

The FMBT, intended to be in the 50-plus ton category, was also meant to replace the T-72s.

 

"The FRCV seems to be a completely new project which possibly junks the FMBT, which was being worked upon by the DRDO or may be a lead to the developing agency to add on to the existing work that has already been done on the same," Bhonsle said.

 

"I surely see Americans, Russians, French, Germans, Koreans and British participating along with Indian companies in stand-alone or joint venture mode. We could see leading companies from there which are involved with tank design, participating in it," Chait said.

 

Unlike the earlier tank effort, the FRCV does not restrict production to the DRDO. Domestic defense companies in tie-ups with overseas defense companies can serve as the production agencies.

 

"As this is an open competition, private agencies could also be roped in to develop the tank. The best option would be for DRDO designing and developing the same with a foreign partner as it is best placed technically to do so. For an Indian private company in collaboration with a foreign partner it would be a Greenfield venture," where the foreign company would construct new facilities for the project, Bhonsle said.

 

The Army plans to begin induction of the basic FRCV by 2025-27, which would be the platform on which numerous variants would be developed to serve different functions. These variants will include a tracked light tank, a wheeled version, a bridge layer tank, a trawl tank and mine plows, armored recovery vehicle, self-propelled gun, anti-aircraft tank, artillery observation vehicle, engineer reconnaissance vehicle, and armored ambulance.

 

According to the request for information, FRCV will be executed in three stages: design, prototype developmental and production.

 

The request says the design agency and developing agency can be separate entities. The best design will be chosen and given to the nominated development agency for prototype production. The selected prototype will be given to the production agency or agencies for bulk production.

 

Shankar Roy Chowdhury, retired Army general and former service chief, said the paramount requirement for the tank is survivability.

 

"Russian designers sought to achieve this [survivability] by smaller size [three-man crew and lighter armor], lower profile and speed. The West preferred larger turrets, hence thicker armor, heavier tanks. The test for both designs has been the Arab-Israeli wars and the gulf war. The Russian designs did not do too well. Blame that on the crews if you like," Roy Chowdhury said.

 

The most important requirement, however, is that the future FRCV must be indigenously designed, Roy Chowdhury said.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:35
VN1 vehicle launched bridge

VN1 vehicle launched bridge

 

June 7, 2015: Strategy Page

 

China recently offered (for export) another new variant in its line of ZBL 09 8x8 wheeled armored vehicle; the VN1 vehicle launched bridge. This is an old concept that goes back to World War II. What it amounts to is a 15-20 meter (46-66 foot) bridge than can quickly be deployed from the vehicle over obstacles allowing similar (in size and weight) vehicles to quickly cross.

 

China introduced the ZBL line of armored vehicles in 2006 after more than a decade of development. The first model was a personnel carrier but other variants quickly followed. For example the ZBL 09 ST1 is equipped as a tank-destroyer with a high velocity 105mm gun. This appears to be a variant on the 2007 version that had a lower velocity 105mm gun that was intended to give infantry front line artillery support. The Germans called this an “assault gun” when they invented the concept (as the “Sturmgeschütz” during World War II. These vehicles are particularly useful for infantry attacking as an assault gun could quickly take out enemy opposition with one or two shells.

 

The assault gun version of its ZBL 09 had a smaller turret than the ST1. The larger turret of the ST1 is apparently to hold the additional recoil and fire control equipment for the more powerful and longer range 105mm gun. In 2009 there was already an artillery version of the ZBL 09, carrying a 122mm howitzer in a larger turret similar to the one used by the ST1.

 

Since 2012 the Chinese Army has been using the ZBL 09 with the turret and 105mm gun as a wheeled light tank. That appeared to indicate that an anti-tank version was already in the works. The ZBL 09/105mm assault gun could, with some extra training, be capable of shooting up other armored vehicles. The 105mm gun carried is not powerful enough to destroy most modern tanks, but could knock out most other armored vehicles.

 

The basic ZBL 09 is a 21 ton vehicle that has a crew of three and carries seven passengers. The ST1 apparently has a crew of four and weighs over 25 tons. All ZBL 09s are 8 meters (25 feet) long, three meters (9.2 feet) wide, and 2.1 meters (6.5 feet, to the hull roof) high. It's amphibious and has a top water speed of 8 kilometers an hour. On roads, top speed is 100 kilometers an hour, and max road range on internal fuel is 800 kilometers. The infantry carrier version has a turret with a 30mm autocannon.

 

The infantry version of the ZBL 09 entered service in 2009, and a growing number of combat brigades are being equipped with it, to operate somewhat like the American Stryker brigades. China has been developing new wheeled armored vehicles for over a decade. Until recently, these were all based on Russian designs. The ZBL 09, however, borrows more ideas from the West. Still, some of the more recent (since 2009) Russian type designs were interesting and instructive.

 

The Chinese have observed NATO success in Iraq with the Stryker and LAV wheeled combat vehicles. Chinese designers eventually concluded that the roomier internal layout of Western vehicles did serve a useful purpose, and the ZBL 09, and all the electronics installed in it, are an example of what the Chinese learned.

VN1 vehicle launched bridge

VN1 vehicle launched bridge

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:30
Des contractors américains pour former les forces spéciales de Jordanie

 

01..07..2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

La société américaine GSI (GovSource Inc) recherche des formateurs pour un contrat de 13 mois en Jordanie.

Les formateurs, tous anciens membres des FS américaines (au moins 3 ans d'expérience), devront avoir une expérience du mentoring au profit de soldats de nations partenaires.

Ils seront sur place pour le 1er août prochain et ils seront déployés au KASOTC (King Abdullah Special Operations Training Center, KASOTC.) pour y entrainer des recrues jordaniennes.

 

GSI recrute aussi des formateurs pour un autre contrat de 13 mois. Il s'agit de transformer un bataillon d'artillerie jordanien en un bataillon équipé de lance-roquettes multiples de type High Mobility Artillery Rocket System (HIMARS). La Jordanie dispose de 12 systèmes de ce type.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:30
photo Lockheed Martin

photo Lockheed Martin


01.07.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Un petit point sur les 36 F-16 Fighting Falcon destinés à l'armée de l'air irakienne...

Le Pentagone, dans le cadre d'une FMS, a attribué un marché de soutien logistique (contractor logistics support) à Lockheed Martin (lire ci-dessous). Les prestations seront effectuées à Balad Air Base en Irak mais aussi à Tucson (Arizona) où eu lieu depuis la fin 2014 la formation des pilotes irakiens. Cette délocalisation a été provoquée par le rappel des contractors US pour cause d'insécurité croissante.

 

"Lockheed Martin Corp., Lockheed Martin Aeronautics Co., Fort Worth, Texas, has been awarded an $119,200,000 cost-plus-fixed-fee, undefinitized contract action for contractor logistics support. Contractor will provide CLS for the Iraq F-16 program. Work will be performed at Balad Air Base, Iraq, with ongoing CLS support activity in Tucson, Arizona; Fort Worth, Texas; and Greenville, South Carolina, and is expected to be complete by Aug. 31, 2016. This contract is 100-percent foreign military sales. This award is the result of a sole-source acquisition. Air Force Life Cycle Management Center, Wright-Patterson Air Force Base, Ohio, is the contracting activity. (FA8615-12-C-6012)."

Huit F-16 ont été livrés à Tuckson pour la formation des Irakiens (voir des photos ici) mais l'un des avions s'est écrasé la semaine denrière. Le Brigadier General Rafid Mohammed Hassan a été tué lors de ce crash qui a eu lieu de nuit lors d'un entraînement avec le 162nd Wing de l'Arizona Air National Guard.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:30
Credits Rada Electronic Industries

Credits Rada Electronic Industries

 

NETANYA, Israel, July 1 By Richard Tomkins (UPI)

 

Israel's RADA Electronic Industries has announced it is to produce a tactical air surveillance radar system for an unidentified European defense contractor.

 

The value of the contract and the number of Multi-mission Hemispheric Radars to be supplied were not disclosed but RADA said the order would be fulfilled by the end of this year.

 

RADA's Multi-mission Hemispheric Radar, or MHR, is an S-band, software-defined, pulse-Doppler, active electronically scanned array radar with advanced signal processing. It detects and tracks multiple aerial targets -- fighters and transports to small unmanned aerial vehicles.

 

"We are very pleased with this order. While the order is not large, it comes from a new customer and we believe it confirms our global presence in this growing market," sais RADA Chief Executive Officer Zvi Alon. "The European market is demonstrating increased interest in our radars and inertial navigation systems and is gradually becoming one of our major markets."

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 15:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

02/07/2015 Sources : État-major des armées

 

La force Sangaris poursuit son désengagement progressif, débuté début juin 2015. Le déploiement, qui compte aujourd’hui environ 1 000 militaires français, sera porté à 900 au 14 juillet 2015.

 

Le dispositif s’articule autour d’un sous-groupement aéromobile (3 Puma, 2 Gazelle et 2 Tigre) et d’un centre de commandement et de soutien. Suite au départ du GTIA (groupement tactique interarmes) Turco et du GTIA Vercors, il s’appuie désormais sur un GTIA unique (comprenant 16 VBCI, 61 VAB et 46 VBL), en force de réaction rapide au profit de la MINUSMA, à présent pleinement opérationnelle.

 

Cette semaine, la situation sécuritaire est restée globalement calme. Robuste et réversible, la force Sangaris conduit simultanément la poursuite des opérations de relèves et d’appui à la MINUSMA. En parallèle, les manœuvres de désengagements continuent. Le détachement Fennec a ainsi quitté le théâtre et les appareils ont été rapatriés le 25 juin 2015.

 

Au 1er juillet 2015, environ 900 militaires seront déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 12:55
The Vladivostok amphibious assault ship of the Mistral class at the STX Europe shipyard in Saint-Nazaire

The Vladivostok amphibious assault ship of the Mistral class at the STX Europe shipyard in Saint-Nazaire

 

02.07.2015 sputniknews.com

 

According to a source in the joint technical-military venture responsible for the warships' construction, Paris and Moscow have made a preliminary agreement on compensation for France’s non-delivery of the Mistral-class helicopter carriers.

 

MOSCOW (Sputnik) – Paris and Moscow have preliminarily agreed on compensation for France’s non-delivery of the Mistral-class helicopter carriers and will continue consultations in July, a source in the military technical cooperation said Thursday.

 

“Russia and France were unable to agree on a preliminary compensation for the non-delivery of the Mistrals in June. ‘Preliminary’ because the decision needs to be approved now by the governments of both countries,” the source told RIA Novosti.

 

He said that the next stage in consultations would be held in July.

 

Earlier, the press reported that France was apparently prepared to return approximately 800 million euros to Moscow, however, Moscow has insisted on 1.1 billion euros in compensation.

 

In 2011, Russia and France signed a $1.5-billion contract on the delivery of two Mistral-class helicopter carriers. Paris did not fulfill its side of the deal, accusing Moscow of involvement in the Ukrainian crisis, a claim that Russia has repeatedly denied.

 

In April, French President Francois Hollande said Paris would return Moscow's payment for the warships if the contract was terminated.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 11:55
source bulletin-numismatique.fr

source bulletin-numismatique.fr


02.07.2015 source SHD
 

2 juillet 1652 : bataille du faubourg Saint-Antoine (Paris). Le prince de Condé, chef des « frondeurs » tente de renverser la régente, Anne d’Autriche (veuve de Louis XIII) et son ministre Mazarin. A la tête des armées du roi de Louis XIV qui n’a que 14 ans, Turenne affronte l’armée de Condé à la porte du faubourg St Antoine  et s’apprête à l’écraser sous les yeux du jeune roi et de Mazarin présents sur les hauteurs de Charonne, lorsque se produit un événement inattendu : la duchesse de Longueville, montée sur la Bastille pour galvaniser les troupes frondeuses, fait retourner les canons de la forteresse contre l’armée royale, dont un rang de cavalerie est emportée. Elle ouvre à Condé la porte St Antoine pour que ses troupes ne périssent pas. Cette trahison marquera Louis XIV et le rendra vigilant vis-à-vis des puissants nobles de France : recrutement de ses ministres et de ses plus proches collaborateurs parmi les grandes familles bourgeoises et la petite noblesse, arasement des fortifications de Paris et refus d’en bâtir de nouvelles malgré les propositions de Vauban. C’est aussi pour Condé le début d’une longue période de disgrâce, jusqu’à la brillante campagne de Hollande en 1672.

 

2 juillet 1779 : d'Estaing débarque à la Grenade (Caraïbes). Pendant sa campagne d’aide aux insurgés américains, l’escadre du vice-amiral d’Estaing mouille devant Grenade qui avait été cédée à l’Angleterre en 1763 et met à terre 1200 hommes qui s’emparent de l’île après deux jours de combat. Réussie malgré l’intervention de la flotte de l’amiral Byron, l’opération permet la saisie de trente navires de commerce.

 

2 juillet 1816 : naufrage de La Méduse (au large de la Mauritanie). En route vers Dakar et le Sénégal (que la France récupère des Anglais après les guerres de l’Empire), la frégatte La Méduse s’échoue sur un banc de sable (à 50 km de la côte) causant la mort de 160 personnes. Le commandant sera condamné à 3 ans de prison pour abandon de navire. Géricault immortalise le naufrage en1819 avec le tableau le radeau de La Méduse.

 

2 juillet 1915 : appel officiel aux Français pour concourir à la Défense nationale. "Echangez l'or que vous détenez, et qui ne peut d'ailleurs vous être d'aucune utilité, contre des billets de la Banque de France dont le crédit fait l'admiration du monde" ou encore "Ohé! Les braves gens… versez votre or, nous versons bien notre sang". Les affichent se multiplient et des comités de l'or s'organisent dans le pays. Durant la seule année 1915, la Banque de France reçoit 380 tonnes de métal, et plus de 700 tonnes pendant l'ensemble des années de guerre.

Note RP Defense : voir page 18 bulletin-numismatique.fr POUR LA FRANCE VERSEZ VOTRE OR L’OR COMBAT POUR LA VICTOIRE

 

2 juillet 1915 : la mention "Mort pour la France" est instituée. Il s'agit d'une récompense morale visant à honorer le sacrifice des combattants morts en service commandé et des victimes civiles de la guerre. Toutefois, la preuve doit être rapportée que la cause du décès est la conséquence directe d'un fait de guerre. Par ailleurs, si la nationalité française est exigée pour les victimes civiles, y compris les déportés et internés politiques, elle ne l'est pas pour les membres des forces armées et ce même dans le cas où ils ont été déportés ou internés résistants.

 

2 juillet 1984 : le Mirage 2000 est opérationnel (Dijon). La première unité à employer de façon opérationnelle les Mirage 2000C est l’escadre de chasse 1 / 2 Cigognes.

 

Chronique culturelle du 02 Juillet 2015 - SHD

Note Rp Defense : voir Force de frappe et opérations extérieures

 

2 juillet 2008 : libération d’Ingrid Bétancourt par un commando colombien.(Colombie). L’audacieuse opération « Jaque » de la Force armée colombienne permet la libération de quinze personnes (Ingrid Bétancourt, 3 Nord- Américains et 11 militaires et policiers) retenues en otage depuis des années par les FARC. Sans verser une goutte de sang, les Forces spéciales colombiennes infiltrent les FARC sous couvert d’une opération humanitaire et obtiennent que les otages soient déplacés en hélicoptère. L’opération a débuté en avril, mais l'exfiltration proprement dite dure 20 minutes.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 07:55
Des rugbymen en stage au 7e RMAT


1 juil. 2015 par Armée de Terre

 

Le 7e régiment du matériel de Lyon a accueilli les rugbymen du Lyon olympique universitaire (LOU) les 25 et 26 juin pour un stage d’aguerrissement et de cohésion.
Immergés au cœur du fort de Neyron, les jeunes athlètes du centre de formation du LOU ont vécu au rythme des activités proposées par les militaires. Les exercices ont mis à rude épreuve leur organisme. Parcours d’audace et pistes ont permis de renforcer les valeurs de cohésion, d’esprit d’équipe et de dépassement de soi. Des moyens éprouvés par l’armée de Terre pour perfectionner la préparation mentale et physiques de ses soldats. Des valeurs morales que cultivent également les rugbymen du LOU.
Retour en images sur ces deux journées.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 07:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

 

01/07/2015 Armée de l'air

 

Le championnat de France de voltige aérienne s’est déroulé du 22 au 27 juin 2015 à Epernay (Marne). A moins de deux mois des Mondiaux de Châteauroux, un jeune pilote de l’équipe de voltige de l’armée de l’air (EVAA) atteint la troisième marche du podium.

 

Dans la catégorie Unlimited (« Elite », catégorie la plus haute de voltige aérienne) du championnat de France de voltige, le capitaine Alexandre Orlowski, appartenant à l’EVAA, termine troisième avec un score de 75,52%, derrière le gagnant Olivier Masurel (80,46%), et Mikael Brageot (76,57%). Le pilote de l’armée de l’air a progressé de deux places depuis l’an dernier, et monte pour la première fois sur le podium du championnat de France.

Outre Alexandre Orlowski, on retrouve parmi les titulaires de l’équipe masculine 2015 le capitaine François Rallet, également membre de l’EVAA. Le choix de l’ouvreur s’est porté sur un autre pilote de l’armée de l’air, Alexis Busque, qui jouera un rôle important aux championnats du monde de voltige : c’est lui qui ouvrira le bal des démonstrations aériennes et transmettra aux autres pilotes des informations précises d’aérologie, telles que la force du vent, les conditions météo ou encore les repères.

Lors de l’édition 2014 des championnats du monde, le capitaine François Le Vot, ancien pilote de l’armée de l’air, s’est illustré en décrochant la première place. Il a aussi obtenu le titre de champion du monde en individuel. 

photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 07:50
photo defensa.gob.es

photo defensa.gob.es

 

29 juin 2015 techniques-ingenieur.fr (AFP)

 

Le gouvernement espagnol veut pousser son industrie de défense, fragmentée, vers la consolidation afin qu'elle pèse plus lourd en Europe, annonce lundi le ministre de la Défense Pedro Morenes.

 

"Nous allons réorganiser le secteur, comme l'ont fait les Britanniques, les Français et les Italiens, avec nos spécificités, déclare le ministre dans une interview au journal El Pais. Nous ne pouvons pas obliger les entreprises prisées à fusionner, mais nous pouvons encourager les associations à travers les programmes que nous lançons".

 

"Le but est de pouvoir mettre sur la table, quand on parle de politique européenne commune (de défense), une industrie de poids, afin de pouvoir siéger au conseil d'administration et ne pas rester de simples sous-traitants", ajoute M. Morenes.

 

D'après El Pais, le ministre veut s'appuyer sur deux programmes de recherche et développement pour encourager les coopérations.

 

L'un de ces programmes, de 174 millions d'euros, porte sur le développement d'une nouvelle frégate F-110, avec une co-entreprise du groupe d'électronique et de communications Indra et de l'armateur public Navantia pour l'électronique et les systèmes de combat.

 

L'autre, de 89,3 millions, porte sur le développement d'un nouveau véhicule blindé sur roues par Santa Barbara General Dynamics, filiale de l'américain General Dynamics, à partir d'une plateforme italienne (Iveco-Oto Melara), française (Nexter), finlandaise (Patria) ou allemande.

 

L'Espagne a fortement réduit ses dépenses militaires en raison de la crise économique de 2008.

 

L'industrie espagnole de défense a facturé 4,8 milliards d'euros en 2014, d'après l'association espagnole des industries de défense, de l'aéronautique et de l'espace (TEDAE).

 

A titre de comparaison, l'industrie française de défense, la seconde en Europe derrière la Britannique, a réalisé 15 milliards d'euros de chiffre d'affaires la même année, d'après le ministère de la Défense.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories