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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 07:54
Missiles Hawk à N'Djamena (Source 7septembre-fr)

Missiles Hawk à N'Djamena (Source 7septembre-fr)


07.09.2015 source SHD
 

7 septembre 1191 : bataille d’Arsouf (Palestine) Lors de la 3e croisade, Richard Cœur de Lion défait Saladin, dont les forces le harcelaient sur sa route entre Césarée et Jaffa. Progressant le long de la côte afin de préserver son soutien logistique assuré par la flotte naviguant au même rythme, Richard parvient à retenir ses impétueux chevaliers afin qu’ils ne tombent pas isolément dans le piège des fuites simulées par les turcs. Il balaye ensuite par une charge de cavalerie massive, l’armée de Saladin sans toutefois parvenir à l’empêcher de se replier. Saladin, qui n’a pas réussi à vaincre les croisés, ni par le harcèlement, ni par la bataille, voit son prestige diminué auprès de ses troupes. Il a été légèrement blessé à l’épaule d’un coup de lance donné par Richard lors de la bataille. De plus sa situation tactique à Ascalon et à Jérusalem est critique. Malheureusement pour la croisade, Richard Cœur de Lion, craignant une nouvelle ruse, n’exploite pas son succès. Il entreprend la reconstruction de Jaffa, laissant aux turcs le temps de se réorganiser à l’intérieur des terres.

 

7 septembre 1565 : fin du siège de Malte (Méditerranée). La flotte musulmane de Mustafa Pacha envoyée en mai 1565 par Soliman pour prendre la dernière retraite des chevaliers de Saint-Jean, lève l'ancre.  

 

7 septembre 1812 : La bataille de La Moskowa.  Nommée Borodino par les Russes, elle est l'une des plus meurtrières et difficiles de toutes les campagnes de l'Empire. Longtemps indécise, elle bascule lorsqu'est prise la grande redoute par un assaut conjoint des cuirassiers et du Corps d'Eugène de Beauharnais. Napoléon perd 6500 tués et 21500 blessés, Les pertes russes sont de 45000 hommes. La route de Moscou est ouverte...Dans le Bulletin de la Grande Armée Napoléon fait écrire « : L’artillerie et surtout celle de la garde s’est surpassée ». Le nom de La Moskova est encore inscrit sur l’étendard du 1er RA [et du 4e Régiemnt de Chasseurs].

 

7 septembre 1940 : début du Blitz (Londres). Premier raid allemand sur Londres : 448 morts.

 

7 septembre 1987 : Le dispositif Epervier abat un Tupolev. Un peu avant 07h00 du matin, les radars du dispositif Epervier détectent qu’un Tupolev 22 libyen vient de franchir sans autorisation la frontière entre le Tchad et la Libye et fonce sur N’Djaména. Le 403 ème Régiment d’artillerie tire un missile Hawk qui atteint le Tupolev de plein fouet. L’épave révèle que les soutes, ouvertes au moment de l’impact du missile, étaient pleines de bombes à fragmentation.

 

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 07:50
New RAF intelligence aircraft arrives in UK seven months early


4 sept. 2015  Defence HQ

 

As part of its Airseeker Programme, the second signals intelligence aircraft has been delivered to the RAF, seven months early, the MOD has announced. The specialist surveillance aircraft was handed over today at RAF Mildenhall in Suffolk and will be deployable on operations within a matter of weeks.

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 07:30
Syrie: «La France doit aider Assad à combattre Daech»

 

06/09/2015 Par Judith Duportail – LeFigaro.fr

 

Pour le général Jean-Bernard Pinatel, la France ne doit pas intervenir au sol en Syrie mais devrait aider financièrement et logistiquement l'Iran, l'Irak et l'armée d'Assad pour combattre au mieux Daech.

 

Le Figaro. - Selon Le Monde, François Hollande réfléchirait à frapper Daech en Syrie, et selon un sondage Odoxa pour Le Parisien, 61% des Français sont favorable à une intervention de nos troupes au sol. La France doit-elle intervenir militairement en Syrie?

 

Jean-Bernard Pinatel* - La France ne doit pas intervenir au sol en Syrie. Nous devons en revanche fournir un appui logistique, technique et financier à ceux qui combattent déjà Daech sur le terrain, comme le font les Russes. Il faut aider les trois pays en première ligne: l'armée syrienne loyaliste, l'Iran et l'Irak. Oui, il s'agit de dictateurs ou de milices mais ils représentent un moindre mal par rapport au mal absolu qu'incarne Daech. D'ailleurs, en laissant entendre qu'il veut combattre Daech en Syrie, c'est le revirement politique auquel Hollande s'est résolu.

Jusqu'alors la France avait choisi de déstabiliser Assad tout en combattant Daech via des frappes aériennes en Irak. Or on ne peut pas jouer sur ces deux tableaux. Il est temps d'abandonner le rêve du Printemps arabe, le rêve d'imposer la démocratie par les armes en faisant tomber Assad. Il doit être notre ami provisoire car il est aussi l'ennemi de notre ennemi absolu. Sur le terrain, les militaires connaissent leur travail. La France doit aider les Etats syriens et irakiens en leur fournissant les systèmes d'armes, le renseignement, la logistique et la formation dont ils ont besoin. Il faut également améliorer l'efficacité des frappes aèriennes en envoyant en première ligne des forces spéciales pour guider les tirs et éviter autant que faire se peut de tuer les civils dont Daech se sert comme bouclier. Evidemment cette action doit être coordonnée avec tous les acteurs intervenant sur ce théatre d'opérations y compris l'Iran et la Russie. De plus, il faut empêcher Daech de renouveler ses ressources.

 

Suite de l'entretien

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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:50
Guillaume Steuer Responsable de la Communication externe d’Airbus Helicopters

Depuis le 1er septembre 2015, Guillaume Steuer est le nouveau responsable de la communication externe d’Airbus Helicopters. Il pilote toutes les activités de Communication externe de la société. Il arrive de l’Agence Européenne de Défense à Bruxelles où, depuis juin 2014, il occupait le poste de Chargé des medias et de la communication.

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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:40
Mistral : Paris a déjà versé les 949,7 millions d'euros à Moscou

En vertu de l'accord passé avec la Russie, la France n'aura pas de pénalités à verser mais a remboursé le 5 août les montants avancés par Moscou pour l'achat des deux porte-hélicoptères. Le texte doit encore être examiné en septembre par l'Assemblée nationale.

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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:40
BPC Vladivostok photo Marine Nationale

BPC Vladivostok photo Marine Nationale

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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:35
L'Indonésie recale le Rafale et choisit le Sukhoi Su-35
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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 11:55
Antoine Torres, nouveau Directeur de la Communication de l’ONERA

 

01.09.2015 – par ONERA

 

Antoine Torres a rejoint le premier septembre l’ONERA en tant que Directeur de la Communication. Il vient de la Direction Générale de l’Armement (DGA) où il était depuis mai 2012, Responsable communication programmes d’armements et porte-parole de la DGA.

 

Très marqué par l’aéronautique et l’espace, son parcours l’amène à passer dès 1987 un brevet de pilote d’avion. Ingénieur diplômé de l’ENSICA en 1987, il est titulaire d’une thèse en mécanique des fluides et breveté de l’Ecole de Guerre.

 

En 1987, il intègre le centre DGA des techniques aéronautique à Toulouse où il travaillera jusqu’en 1997 sur les systèmes de conditionnement d’air dans les avions.

 

Il noue des premiers contacts avec des chercheurs de l’ONERA Toulouse et en garde une impression de solidité scientifique. « J’avais des interrogations auxquelles mes interlocuteurs à l’ONERA m’ont apporté des réponses pertinentes et utiles. J’ai tout de suite apprécié la grande gentillesse et la disponibilité qu’ils m’ont témoignées » précise-t-il.

 

De 1997 à 2002 il rejoint la DGA à Balard pour travailler sur des programmes d’armement et constate une nouvelle fois à quel point l’expertise scientifique de l’ONERA est pertinente pour identifier et résoudre les points durs.

 

De 2002 à 2007, il s’oriente vers la stratégie d’acquisition des programmes. Son champ d’activités s’élargit, et il apprend à résumer en quelques éléments simples des problématiques très complexes à usage des décideurs. Parallèlement, il se familiarise aux problématiques de management et de conduite du changement.

 

De 2007 à 2010, Antoine Torres renforce son expertise sur le périmètre du management technique. Puis, de 2010 à 2012, il gère les urgences opérationnelles pour répondre aux besoins des forces engagées sur les théâtres d’opérations et effectue une mission en Afghanistan. Sa bonne compréhension des enjeux de communication font de lui un acteur important pour la Direction de la Communication dont il alimente les messages pour la DGA désireuse de montrer aux armées, aux médias et aux décideurs sa proximité avec les opérationnels et sa capacité à répondre de façon très réactive à leurs besoins.

 

Sa maîtrise des problématiques techniques fait de lui « un bon client pour la Direction de la communication ». Pour autant précise-t-il, « on a beau bien connaître son sujet, il faut apporter la valeur ajoutée de la communication pour le rendre intelligible auprès d’interlocuteurs et de décideurs non spécialistes du domaine ». Maitriser le fond n’est pas une garantie de communication réussie rappelle-t-il.

 

C’est donc tout naturellement que se fait, en mai 2012, son passage vers la Direction de la Communication ou il devient responsable communication sur les programmes d’armements, les études amont, l’industrie de défense et l’export et porte-parole de la DGA.

 

"C’est une vraie chance et une joie d’intégrer l’ONERA, parce que j’ai une culture aéronautique, un gout pour l’échange et la conviction profonde que la communication est un véritable atout pour l’ONERA" ajoute-t-il.

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3 septembre 2015 4 03 /09 /septembre /2015 07:55
Rafale, BPC : les raisons d'un voyage raté de Le Drian en Malaisie et en Inde

La signature du contrat Rafale attendra encore quelques semaines en Inde - photo Dassault Aviation

 

01/09/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le déplacement en Malaisie et en Inde du ministre de la Défense n'a pas été à la hauteur des espérances initiales de la France. Le crochet express vers New Delhi a même été annulé.


 

D'habitude si discret, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a-t-il pour une fois été imprudent lors de son déplacement en Malaisie, puis en Inde? Si personne ne lui en voudra en raison de ses nombreux succès diplomatico-commerciaux durant ces deux dernières années, il est probable qu'on ne l'y reprendra pas à deux fois avant de partir avec une imposante délégation parlementaire et industrielle dans le but d'assister à une incertaine signature d'un contrat Rafale en Inde...

D'ailleurs, le crochet vers New Delhi a été annulé, selon des sources concordantes, les négociations n'étant pas encore achevées pour organiser une telle cérémonie. Toute la délégation rentre donc à Paris mardi soir. "Il a espéré jusqu'au dernier moment que les négociations s'achèvent mais cela n'a pas été possible", explique-t-on à Paris. D'autant que la légendaire administration indienne, qui a été très (trop?) surprise par l'initiative du Premier ministre Narendra Modi, d'acheter 36 Rafale sur étagère en avril dernier à Paris, a tout fait pour ralentir le processus, semble-t-il.

 

Kuala Lumpur a fait le minimum syndical

En Malaisie, les résultats escomptés n'ont pas été également à la hauteur des espoirs du ministre. Mais, là aussi, "il n'y avait pas l'alignement parfait des planètes", selon un très bon observateur de la Malaisie, pour aller beaucoup loin que ce que Kuala Lumpur a pu dire sur le Rafale. "Il est trop tôt pour annoncer quoi que ce soit à ce sujet" a d'ailleurs estimé mardi Hishamuddin Hussein lors d'une conférence de presse commune avec Jean-Yves Le Drian à Kuala Lumpur.

Pourquoi une telle frilosité? Parce que les manifestations de ces derniers jours, qui ont encore rassemblé dimanche à Kuala Lumpur plusieurs milliers de personnes, fragilisent le pouvoir actuel. Cet environnement favorise "le report d'une telle décision", souligne-t-on à La Tribune. Du coup, le ministre de la Défense malaisien s'en est tenu au strict minimum. La Malaisie est en train d'étudier la proposition de fourniture de 18 Rafale de Dassault Aviation mais la décision dépendra du prix de l'avion, a notamment déclaré Hishamuddin Hussein, qui a assuré qu'il n'avait pas discuté avec Jean-Yves Le Drian des navires porte-hélicoptères de type Mistral.

 

Le Rafale favori de la compétition malaisienne

Le Rafale a les faveurs de l'armée de l'air malaisienne, qui souhaite renouveler sa flotte d'avions de combat composée de MiG-29 de fabrication russe, selon plusieurs observateurs. Trois autres appareils sont en compétition : outre le Rafale, le F/A-18 de l'américain Boeing, le Gripen du suédois Saab et l'Eurofighter Typhoon, produit par un consortium associant Airbus Group, l'italien Finmeccanica et BAE Systems.

Jean-Yves Le Drian a confirmé la remise d'une proposition française dans le cadre de l'appel d'offres portant sur l'acquisition de 18 avions de combat. Une proposition technique et technologique jugée excellente tout comme l'accompagnement politique, par les observateurs. "Tout cela fait partie d'un tout, c'est une proposition que nous étudions et j'ai été très clair avec les Malaisiens sur le fait que c'était une question de budget", a précisé le ministre français. Et donc le ministre a estimé que les autorités malaisiennes devraient déterminer notamment si une telle acquisition était "abordable".

"Nous avons remis une offre complète sur l'interrogation posée par les autorités malaisiennes sur leur aviation de chasse, et c'est cette offre-là qui va être étudiée maintenant de manière attentive par les autorités", a expliqué Jean-Yves Le Drian

 

La Malaisie, un partenaire stratégique important

Une décision malaisienne est attendue avant la fin de l'année. Mais des experts du secteur aéronautique ont prévenu que les difficultés budgétaires liées à la chute des prix du pétrole et des matières premières pourraient retarder le processus. Hishamuddin Hussein a d'ailleurs confirmé les actuelles difficultés économique de la Malaisie. Il a estimé qu'avant d'acheter de nouveaux avions de combat comme le Rafale, la Malaisie devrait prendre en compte les "contraintes économiques" à un moment où le pays est confronté à un ralentissement de son économie et à la forte dépréciation de sa devise par rapport au dollar.

Au cours d'entretiens avec la délégation malaisienne, Jean-Yves Le Drian a également indiqué que le Rafale avait été l'un des sujets de discussion parmi d'autres, dans le cadre de la "large coopération" avec ce pays, un partenaire stratégique de la France en Asie du Sud-Est. Les relations entre les deux pays portent sur "beaucoup d'autres sujets", a-t-il souligné, citant "les sous-marins, les corvettes, les avions".

Un voyage finalement raté... D'où son irritation face aux médias qui ont évoqué la possible signature du Rafale avant son départ pour la Malaisie."J'ai en ce moment une grosse difficulté personnelle. Dès que je me déplace, il y a quelqu'un qui dit "il va signer un Rafale". Il m'arrive de me déplacer pour autre chose", a-t-il maugréé au cours d'une conférence de presse à Kuala Lumpur.

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2 septembre 2015 3 02 /09 /septembre /2015 07:20
Peacekeeping: Curing The Cure That Failed

 

August 31, 2015: Strategy Page

 

The UN is rethinking its approach to peacekeeping operations. What was once a small force, which mainly monitored areas where peace had been worked out, the UN now finds itself with a lot more peacekeepers and many of them under fire. After the Cold War ended in 1991 the changes began. After 2000 the UN peacekeeper force expanded from 20,000 to over 120,000. This was complicated by the growing use of Islamic terrorism against UN personnel. That meant it had become more dangerous to be a peacekeeper. Despite the increasing Islamic terror attacks the UN's peacekeeping army suffers less than a hundred combat deaths a year. More than ten times that number are wounded, injured in accidents, or disabled by disease. The peacekeeper combat fatalities come out to 90-110 per 100,000 troops per year. In Afghanistan foreign troops lost about 350-450 in 2012. At the peak of the fighting (2005-7) in Iraq, the losses were 500-600 per 100,000. The rate for U.S. troops in Vietnam and World War II was about 1,500 per 100,000 troops. So the UN peacekeepers are often seeing some considerable violence but at less than a third of the rate of troops in actual contemporary wars and much less than in 20th century conflicts. Still, it’s a lot more violent than Cold War era peacekeeping.

 

But it’s not the casualties that are causing the biggest problem but the increase in deliberate attacks and, to put it bluntly, the use of terror against the peacekeepers. This has made more countries reluctant to supply peacekeepers, especially Moslem countries, whose troops are accused of being heretics (and not just “enemies of Islam”) by Islamic terrorists and their many supporters among the Moslem population under peacekeeper protection. Most of the peacekeepers have come from South Asia (Pakistan, India, Bangladesh, Nepal) and most of these are Moslem. Pakistan has been one of the most frequent contributors, sending nearly 150,000 troops to over forty UN peacekeeping operations in 23 countries over the last half century. The Pakistani troops suffered a death rate of 92 per 100,000 but it could have been worse were not the South Asian troops among the best trained and most professional in the UN force.

 

It’s not just the growing terrorism that is causing difficulty in getting more troops for peacekeeping duty. While the casualties have something to do with this, corruption and lack of success are more often discouraging countries from contributing. The corruption angle is interesting, as it pertains both to the corruption within the UN bureaucracy and the corrupt atmosphere the peacekeepers operate in and often succumb to. Then there is the criticism of how the UN manages these missions. Casualties are expected but the contributing countries feel a lot of their troop losses are the result of restrictive UN rules that limit what peacekeepers can do. This, in turn, is believed most responsible for a lack of success for the peacekeeping missions.

 

In addition India and Pakistan are not happy with the lack of volunteers from other major nations. The chief reasons for that are the same ones annoying the current peacekeepers (corruption and restrictive rules of engagement). In addition, the major military powers (with the exception of China and Russia) feel they already contribute quite a lot in the form of money to pay the peacekeepers. And the contributors are also upset at the lack of results. A growing number of UN members, including many who contribute little money and no personnel for peacekeeping are coming to realize that the original goals (keeping the peace) are often not met and the peacekeepers will never turn into a military organization that will be able to impose peace. While the UN likes to condemn (bad behavior) and demand that people behave, most member states do not support trying to create a UN police force with real enforcement capabilities. None of the major world powers supports this either. So there is growing pressure to look for other ways to deal with seeming endless supply of new hotspots needing to be cooled down, much less all the older ones that are still smoldering.

 

Over the last decade the UN has spent $7-10 billion a year on 13-20 peacekeeping operations supported each year. Most of the money comes from the West but a lot of it comes from wealthy (usually because of oil) Moslem nations. To Islamic terrorists that makes the peacekeepers lackeys of the non-Moslem West and Arab “enemies of Islam”. The money pays for the peacekeepers and a smaller support staff. It's actually a pretty cheap way of keeping some conflicts under control or at least out of the headlines. The causes of the unrest may not be resolved by peacekeepers but at least the problem is contained and doesn't bother the rest of the world too much. This is an increasingly unpopular approach to peacekeeping and now even the UN bureaucracy is being forced to consider changes. Fewer UN members back the policy of sending peacekeepers to where they are not wanted (by the local government, usually a bad one that is often the cause of the trouble in the first place) and use some UN approved violence to go after the people responsible for the local mess and end the seemingly endless violence in some areas. This sort of thing seems fine in theory but does not always work in practice.

 

Meanwhile most of the money is going to a few large peacekeeping operations. Three of the largest get over half the cash and for over a decade this has been Congo, Darfur (western Sudan), and southern Sudan. Africa has the largest number of "failed states" on the planet and, as such, is most in need of outside security assistance. The Middle East is also a source of much unrest. But there the problem isn't a lack of government, just bad government. Most Middle Eastern nations are run by tyrants, who have created police states that at least keep anarchy at bay and peacekeepers out.

 

Religion has become a touchy subject. While Islamic radicalism is more of a problem to fellow Moslems than it is to infidels (non-Moslems), most Middle Eastern governments avoid blaming Islam for these problems. Since it's increasing difficult to pin the blame on "colonialism" or "crusaders," the Middle Eastern nations encourage other UN members to just stay away from the religious angle altogether. This has made it difficult to deal with peacekeeping issues in Moslem nations, since religion usually plays a part in creating the problem. To the UN, this is just another diplomatic problem to be dealt with, although not very well.

 

But overall the troops and money that keep all the peacekeeping going are in danger of fading away. Frantic diplomacy is underway by the UN to try and makes things all better, but success is not assured and every year there’s the same drama as cash shortages threaten to shut down many peacekeeping operations.

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 17:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

31/08/2015 Service de santé des armées

 

Le 25 juillet 2015, le rapatriement d’un soldat français blessé au Mali a été effectué en utilisant un nouveau module d’évacuation adapté au Falcon 2000LX. L’utilisation de ce module LIFEPORT, en avant-première, annonce une évolution majeure vers plus de confort et de sécurité pour les soignants et pour le patient, lors des évacuations aéromédicales stratégiques.

 

Il y a un an, l’Escadrille aérosanitaire 6.560 (EAS) et l’Escadrille transport (ET) 60, basées sur la BA 107 de Villacoublay, ont reçu deux modules LIFEPORT pour équiper les deux Falcon 2000LX. Elles ont depuis travaillé pour les mettre en œuvre et y apporter des améliorations. L’ergonomie de ce nouveau module LIFEPORT est totalement novatrice. Le matériel électrique est fixé sur un panneau vertical et directement accessible par le praticien. La présence d’un plan de travail situé juste au-dessus d’un meuble de rangement contenant tous les consommables permet de travailler en toute sérénité, de manière confortable et sécurisée, même dans l’urgence et dans l’environnement restreint de l’avion. Par comparaison, le module d’ancienne génération oblige l’équipe médicale à laisser son matériel dans des sacs, posés en divers endroits, majorant l’encombrement, et à utiliser le mobilier de l’avion comme table de préparation des traitements injectables.

 

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photo Armée de l'Air

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 17:45
Barkhane : Visite officielle du commandant en chef de la FMM

 

31/08/2015 Sources : État-major des armées  

 

Le 28 août 2015, le commandant la Force multinationale mixte (FMM), le Major Général nigérian Abbah, accompagné d’une délégation de l’état-major de la FMM, a rencontré le général de division Brethous, commandant la force Barkhane.

 

La FMM, dont l’état-major est en cours d’installation à N’Djamena, regroupera des forces de sécurité du Tchad, du Niger, du Cameroun et du Nigéria dans le cadre de leur lutte commune contre la secte Boko Haram, sévissant dans la région. C’est en tant que commandant de la FMM que le général Abbah a été invité à visiter l’état-major de la force Barkhane basé à N’Djamena, et plus particulièrement sa Cellule de coordination et de liaison (CCL). Mise en place en décembre 2014 à l’initiative de la France, cette structure vise à favoriser l’échange de renseignements et d’information entre les pays partenaires de la Commission du bassin du lac Tchad (CBLT) afin de leur permettre de conjuguer au mieux leurs efforts pour garantir leur propre sécurité.

 

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 17:35
Mer de Chine : le Japon poursuit son réarmement

Face à la menace de la Chine, notamment sur les iles Senkaku, le Japon poursuit son réarmement

 

01/09/2015 par Michel Cabirol – laTribune.fr (avec agences)

 

Le Japon veut augmenter son budget de la défense pour la quatrième année consécutive. Le ministère de la Défense veut une enveloppe de près de 38 milliards d'euros.

 

Le ministère de la Défense japonais a déposé lundi pour la quatrième année de suite une demande de budget record pour l'exercice d'avril 2016 à mars 2017, dans le but d'élargir encore ses moyens dans une région où la Chine est considérée comme une menace. Le ministère souhaite une enveloppe initiale de 5.090 milliards de yens (près de 38 milliards d'euros), soit une hausse de 2,2% sur un an justifiée par la nécessité de davantage protéger les îles nippones éloignées du territoire principal de l'archipel, notamment celles du sud-ouest, à proximité de Taïwan.

Pékin et Tokyo se disputent la souveraineté de territoires inhabités en mer de Chine orientale, les îles Senkaku, contrôlées par le Japon mais revendiquées par la Chine sous l'appellation Diaoyu.

 

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 16:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

01/09/2015 Armée de l'air

 

Le 27 août 2015, le centre de préparation opérationnelle du combattant de l’armée de l’air (CPOCAA) a été inauguré sur la base aérienne 115 d’Orange, en présence du général Antoine Creux, major général de l’armée de l’air (MGAA).

 

Né de la fusion de l’escadron de formation des commandos de l’air (EFCA) de Dijon et du centre de formation militaire élémentaire (CFME) de Saintes, le CPOCAA devient le nouveau centre de formation et de préparation du combattant. Inauguré par de nombreuses autorités civiles et militaires, le CPOCAA devrait accueillir près de 4000 stagiaires par an.

 

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 16:55
La nouvelle bataille du Larzac

 

31/08/2015 par Philippe Rioux -  ladepeche.fr

 

Pas un nuage à l'horizon ce samedi matin sur le Larzac. Le soleil écrase de sa chaleur ce vaste plateau du causse où file le ruban d'asphalte de l'A75, entre Hérault et Aveyron, qui conduit au célèbre viaduc de Millau; l'ouvrage de Norman Foster qui vient de fêter son 50 millionième véhicule. Le vent se lève, balaye cette étendue majestueuse devenue parc naturel régional. Le souffle chaud qui couche les herbes et plaque les cardabelles est aussi celui de l'Histoire. Les cités templières et hospitalières ont récemment été classées au patrimoine mondial de l'Unesco et attirent des touristes en quête d'authenticité.

Près de l'une d'elles, La Cavalerie, se trouve le plus petit camp militaire de France, mais aussi le plus célèbre. Il y a quarante ans, son extension avait fait se lever un vent de colère et de révolte sur le plateau, fédérant militants et paysans. L'extension stoppée par François Mitterrand en 1981 a ouvert une ère de cohabitation entre le camp de 3 000 hectares, devenu Centre d'entraînement de l'infanterie au tir opérationnel (Ceito), et la population. Un centre unique en Europe et un camp inédit en France où, entre deux tirs, chasseurs et cueilleurs de champignons peuvent pénétrer dans son enceinte et où les éleveurs sont autorisés à faire paître les brebis, dont le lait fera le roquefort.

 

Pas d'extension du camp

Mais le paisible plateau est redevenu agité depuis que fin juillet, on a appris la venue prochaine de la 13e demi-brigade de la Légion étrangère en remplacement du Ceito, amené à déménager au camp de Canjuers (Var). Cette arrivée, programmée l'année prochaine, électrise déjà le Sud-Aveyron.

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 16:50
HMS Queen Elizabeth - photo QEC

HMS Queen Elizabeth - photo QEC


source Royal Navy
 

HMS Queen Elizabeth begins tracking aircraft as she flashes up her radar

Turning and burning’ for the first time, this is the long range radar of Britain’s flagship of tomorrow.

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Rain-full skies for Artful as Navy’s newest submarine debuts in Faslane

A traditional Faslane welcome – rain, cloud – greeted the newest war machine in the Royal Navy’s arsenal.

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MADE IN THE ROYAL NAVY

See how Shantel took her cooking skills to the next level, exploring new cuisines and the world. The latest video in our Made in the Royal Navy series gives you a little taster of what it’s like to be a chef in the Royal Navy.

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JOB OF THE MONTH: ENGINEERING TECHICIAN (MARINE SUBMARINER)

A crucial member of a close-knit and professional crew, you’ll be responsible for maintenance on your submarine’s vital systems, from air and water purification to the nuclear reactor itself. You’ll also be trained to operate engines, power-generation equipment and the nuclear reactor. When the submarine goes into action, you’ll be part of a damage-control and firefighting team. When you’re not at sea, you could be working hands-on at a fleet maintenance unit, or helping to plan maintenance schedules for the entire Submarine Service. Wherever you’re serving, you’ll be part of an elite fighting force, respected throughout the Royal Navy and beyond.

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 15:50
Grèce: un cargo chargé d'armes en route pour la Libye arraisonné au large de la Crète

photo vesseltracker.com

 

01 septembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Héraklion (Grèce) - Un grand nombre d'armes ont été découvertes mardi à bord d'un cargo bolivien en route pour la Libye qui a été arraisonné par la police portuaire grecque au large de l'île de Crète (sud), a-t-on appris de source policière locale.

 

La police a indiqué avoir découvert des fusils de chasse dans l'un des conteneurs à bord. Aucun détail supplémentaire n'a été fourni sur le reste de la cargaison.

 

Battant pavillon bolivien, le cargo Haddad 1 avec sept membres d'équipage, des Syriens et Égyptiens, a été arraisonné et saisi au large d'Ierapetra (sud) car il ne disposait pas de documents en règle pour sa cargaison, selon la même source.

 

Le bateau avait appareillé d'un port turc à destination de Libye, selon les premières informations de la police. Il était remorqué mardi vers un autre port de l'île pour la poursuite de l'enquête.

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 14:55
photo DLEM - Légion Etrangère

photo DLEM - Légion Etrangère

 

17-07-2015 source DLEM Réf : 133 - 698

 

Comme tous les deux ans, le DLEM change  de chef de corps et c'est sous un soleil radieux avec  un nombreux pubic que le LCL(ta) Jean de MESMAY transmet l'Etendard au LCL Rémi BARIETY.

 

Après un hommage rendu à nos anciens au carré Légion du cimetière catholique, les troupes se sont rassemblées devant la mairie de DZAOUDZI-LABATTOIR.

 

Placée sous la présidence du COMSUP, le général Franck REIGNIER en présence de monsieur Seymour MORSY le DLEM a présenté les armes une dernière fois à son chef de corps depuis 2013. Réhaussée par une remise de décorations la passation de commandement a été clôturée par un magnifique défilé sur la rue du commerce du centre ville de DZAOUDZI.

 

Suite de l'article et reportage photos

photo DLEM - Légion Etrangère

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 13:55
photo Adc Jean-Raphaël Drahi  - DICOD

photo Adc Jean-Raphaël Drahi - DICOD

 

01/09/2015 Sources : CAB CEMAT / Sirpa Terre

 

Le 31 août 2015, les écoles militaires de Saint-Cyr Coëtquidan (ESCC) ont procédé à l’ouverture officielle du premier mastère spécialisé « Opération et gestion des crises en cyber défense ». Cette formation s’inscrit pleinement dans le pacte cyber 2014-2016 décidée par le ministre de la Défense.

 

Aujourd’hui, la dimension cyber est un volet incontournable des opérations. Ce nouvel espace de bataille numérique nécessite une approche globale pour planifier et conduire les opérations tout en appréhendant les dimensions stratégiques et politiques d’une crise cyber.

 

Unique en son genre et accrédité par la conférence des grandes écoles, un mastère spécialisé « Opération et gestion des crises en cyber défense », va permettre aux armées de disposer de spécialistes capables d’être l’interface entre les techniciens cyber et les chefs militaires. Inscrite dans le pacte cyber 2014-2016, l’ouverture officielle de la formation s’est déroulée le 31 août aux écoles militaires de Saint-Cyr Coëtquidan (ESCC).

 

Cette année la scolarité est ouverte aux officiers des trois armées et aux organismes spécialisés. Elle devrait dès les prochains cycles, intégrer des stagiaires étrangers ainsi que des cadres de la fonction publiques et des organismes d’intérêt vitaux. Au cours des 10 prochains mois, les 16 stagiaires bénéficieront de 532 heures de cours répartis entre la formation technique à l’école des transmissions de Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine) et la partie académique (planification et conduite des opérations / gestion des crises dans le cyber espace) aux ESCC.

 

Au mois de juillet 2016, après un stage de quatre mois en entreprise ou dans leur future affectation, chacun devra rédiger un mémoire professionnel.

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 11:50
Le Caracal sur le stand Airbus à MSPO 2015 photo Airbus HC

Le Caracal sur le stand Airbus à MSPO 2015 photo Airbus HC

 

1 septembre, 2015 Nathan Gain

 

Ils s’appellent Caracal, Tigre et…H145M, et l’on ne voit qu’eux ici en Pologne, au 23e salon MSPO. Difficile de passer à côté de ces trois fleurons de l’aéronautique de défense française, habilement mis en valeur à l’entrée du troisième plus grand salon de ce type en Europe. Une fois encore, le constructeur français positionne magnifiquement ses pions sur le grand échiquier polonais, au point d’occulter de prestigieux concurrents, tels que Boeing, dont les fameux Apache et Black Hawk ont pour voisin principal le parking des exposants.

 

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 07:55
photo 13e RG / Armée de Terre

photo 13e RG / Armée de Terre

 

14/08/2015 Armée de Terre

 

Du 15 au 24 juillet 2015, la section Explosive Ordnance Disposal (EOD) du 13e régiment de génie (13e RG) s’est entraînée à la mise en œuvre d’explosifs d’intervention sur des véhicules, en Bretagne.

 

Accueillis par le groupe plongeur démineur Atlantique de Brest, les sapeurs du 13e RG ont participé avec succès aux différents exercices qui certifient leurs compétences de démineurs. L’entraînement s’est poursuivi avec une semaine d’exercices de déminage au fort de Penthièvre, dans le Morbihan, et la mise en œuvre d’un appareil de radiographie CP 120.

 

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 07:55
Bruno Sainjon reconduit dans ses fonctions à la tête de l’ONERA

 

Palaiseau, le 31 juillet 2015 Communiqué de presse ONERA

 

Bruno Sainjon est nommé, par décret en Conseil des Ministres, Président du Conseil d’Administration de l’ONERA. Il est reconduit à la présidence de l’établissementpour cinq ans.

 

Cette reconduction de Bruno Sainjon à la tête de l’ONERA, le centre français de recherche aérospatiale, est la suite du travail en profondeur que celui-ci a mené depuis sa nomination le 28 mai 2014.

 

Depuis plus d’un an, Bruno Sainjon a initié un certain nombre d’actions tant en interne que vers l’externe (pouvoirs publics, industriels, partenaires scientifiques nationaux et internationaux), afin que l’ONERA conforte sa place de numéro un de la recherche et technologie aérospatiale en France. Cette mission, confiée par l’Etat, de développer et d’orienter les recherches dans le domaine aérospatial, nécessite une organisation robuste au service d’une vision stratégique. Pour cela des étapes clés ont d’ores et déjà été franchies:

- Une organisation en adéquation avec le Code de la défense: nominations en 2015 d’un Secrétaire Général, d’un Directeur Scientifique Général et constitution du Haut Conseil Scientifique

- Une vision illustrant les orientations de la recherche ONERA à court et moyen terme : avec la rédaction d’un plan stratégique scientifique qui sera finalisé avant la fin de l’année afin de s’adapter à la profonde mutation du monde de la recherche et de l’industrie aérospatiale

- Une participation renforcée avec les nouvelles structures de recherche et d’enseignement supérieur: comme membre fondateur de l’Université Paris-Saclay et avec la création de laboratoires communs avec le CNRS et l’ISAE-Supaéro

 

Faire progresser la recherche aérospatiale au plus haut niveau mondial et contribuer ainsi au rayonnement international de la France, est une ambition forte portée par l’ONERA et par son Président.

 

A propos de l'ONERA

L’ONERA est le centre français de recherche aérospatiale et de défense. Sous tutelle du ministère de la Défense, l’ONERA anticipe les ruptures technologiques du domaine aéronautique grâce à des recherches amont et appliquées associées à des moyens expérimentaux stratégiques. Labellisé Carnot et avec près de 60% d’activités contractuelles, l’ONERA met son expertise et ses technologies à la disposition de l’industrie. Force d’innovation et de prospective dont la recherche a irrigué tous les grands programmes aéronautiques et spatiaux français, civils et militaires, l’ONERA rassemble plus de 2000 personnes dont 13 % de doctorants.

www.onera.f

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 07:45
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

13/08/2015 Armée de l'air

 

Le 9 août 2015, quatre Rafale ont atterri à N’Djamena pour permettre la relève des équipages et des chasseurs engagés depuis 2 mois.

 

Les Rafale, partis de France, ont atteint le Tchad après plus de 4 heures de vol. Ils resteront à N’Djamena pour une durée de quatre mois, et les équipages seront relevés au bout de deux mois. Ces appareils monoplaces remplacent quatre Rafale biplaces rentrés en France dès le lendemain. Ils conduiront les mêmes missions que leurs prédécesseurs.

 

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photo Armée de l'Air

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 07:45
Mise en condition avant projection pour le 31e RG

 

10/08/2015 armée de Terre

 

Fin juillet 2015, la 3e compagnie du 31e régiment du génie (RG) a effectué deux semaines de mise en condition avant projection (MCP) pour préparer son départ en Martinique en septembre prochain.

 

Au programme de cette formation, mise en application des savoir-faire, entraînement au combat et cohésion. Les sapeurs ont enchaîné, à un rythme soutenu, les activités d’aguerrissement, l’entraînement au tir, les parcours nautiques et les séances de techniques d’intervention opérationnelle rapprochée. Ces deux semaines de préparation se sont terminées par un exercice de vérification avant projection dans les gorges de l’Aveyron.

 

La 3e compagnie sera projetée au sein du Détachement Terre Antilles/ 33e régiment d’infanterie de marine (DTA/33e RIMa) pour une durée de 4 mois. Le DTA/33e RIMa fait partie des forces armées aux Antilles (FAA). Les FAA ont pour mission de protéger le territoire national, d’assurer la prévention et la préservation des intérêts de la France, de soutenir l’action de l’État en Martinique et de participer à la lutte contre le narcotrafic.

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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 07:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

14/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 11 août 2015, un avion de transport de type Iliouchine IL76 affrété par le Centre de soutien des opérations et des acheminements (CSOA) s’est posé sur la base aérienne projetée (BAP) en Jordanie pour livrer du matériel au profit des éléments de la force Chammal.

 

Plus de 3 tonnes de fret comprenant caisses, colis, et palettes ont été déchargées. La manœuvre a été assurée par le DéTIA (détachement du transit interarmées air) qui a opéré sous la direction du load master. Ce membre d’équipage est chargé d’assurer la bonne répartition des charges, la bonne fixation des masses, et le respect de la règlementation, notamment pour le transport des matériels dangereux. Les personnels du DéTIA se sont quant à eux affairés avec les transpalettes et chariots élévateurs pour décharger le matériel technique ou aéronautique destiné au détachement de chasse de la BAP et aux autres unités du site. Un moteur de Mirage2000 a notamment été acheminé, en remplacement d’un autre moteur dont la maintenance sera assurée en France.

 

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