Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:56
Rencontres militaires blessures et sports

 

09/06/2015 SCH Beltran - armée de Terre

 

En ce moment, et jusqu’au 27 juin, se déroulent les rencontres militaires blessures et sports (RMBS) dans le département du Cher.

 

Le centre régional d’éducation physique et sportive (CREPS) de Bourges et celui de la jeunesse et sport (CRJS) d’Aubigny-sur-Nère accueillent 64 blessés des trois armées et les acteurs de leur accompagnement. Des activités sportives et de cohésion émaillent le séjour et ont pour objectif d’aider les militaires dans leur reconstruction. Cet événement majeur est une priorité pour l’armée de Terre qui veille à mettre en œuvre le soutien médical et humain à la hauteur des sacrifices consentis par ses soldats.

 

Explications en images.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

09/06/2015 Armée de Terre

 

La cérémonie d’adieu aux armes du général de corps d’armée Alain Bouquin, général inspecteur de l’armée de Terre, présidée par le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT), s’est déroulée le 2 juin 2015 dans la cour d’honneur de l’Hôtel National des Invalides à Paris.

 

Cette prise d’armes a débuté par une remise de décorations individuelles. Médaille Militaire, l’ordre national du Mérite et croix de la Valeur militaire ont ainsi été remises, suivies de l’adieu aux armes avec lecture de l’ordre du jour par le CEMAT.

 

La Croix de la Valeur Militaire a été décernée à des militaires du 2e REP, de la BFST, de l’IAT,  de la 1re BM, de la SIMMT, du CESAT, du CMA de Nancy et à une équipe images du SIRPA Terre, dans le cadre de l’opération SANGARIS en république centre-africaine.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

09/06/2015 Armée de l'air

 

Les 1er et 2 juin 2015, le centre de détection et de contrôle (CDC) 05.901 de la base aérienne (BA) 901 de Drachenbronn-Birlenbach a organisé l’ultime édition du «Raid du Dragon». La première édition de cette compétition s’était tenue en 1994; elle se déroule traditionnellement sur la BA 901 et ses environs. Cette édition était la dernière puisque la base aérienne 901 deviendra prochainement un élément air rattaché à la base aérienne 133 de Nancy-Ochey.

 

Ayant pour but de rassembler les unités utilisatrices et gestionnaires de l'espace aérien et de favoriser la cohésion, le «Raid du dragon» édition 2015 a rassemblé 11 équipes, dont une allemande. Celle-ci avait fait le déplacement depuis le centre de contrôle d’Erndtebrück, dans le cadre du jumelage avec le CDC de «Riesling Radar» (CDC 05.901).

 

Les concurrents se sont affrontés dans 14 épreuves, réparties sur les deux journées, dont une épreuve dans la nuit de lundi à mardi. Outre les traditionnelles épreuves telles que le relais canoë/VTT, la descente en rappel ou la course d’orientation nocturne, qui se solde par une exfiltration d’un ancien bunker de la ligne Maginot, les raiders ont dû réaliser le tractage d’un Defender (véhicule 4x4) ou encore le parcours pompier. Sur la ligne d’arrivée, les organisateurs ont procédé à un dernier contrôle de l’intégrité de la flûte à champagne que chaque équipe devait porter du début à la fin des épreuves.

 

L’équipe de la BA 901 a remporté le trophée du Dragon d’or, suivie par l’équipe du CDC 04.930 de Mont-de-Marsan, qui emporte l’argent. L’équipe du centre d’instruction du contrôle et de la défense aérienne (CICDA) 00.910, lequel est également situé à Mont-de-Marsan, remporte le Dragon de bronze et le trophée de la première équipe mixte.

photo Armée de l'Airphoto Armée de l'Air
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

Partager cet article
Repost0
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:55
L’Etat mandate l’ONERA comme pilote de la nouvelle filière aéronautique Carnot

 

10.06.2015 par ONERA

 

La nouvelle filière aéronautique dénommée « AirCar» (Air Carnot) et pilotée par l’ONERA comprend dix instituts Carnot. L’objectif de ce consortium multidisciplinaire et complémentaire sera de comprendre finement les besoins des PME et ETI de la filière aéronautique afin de booster leur capacité d’innovation et répondre ainsi au mieux aux besoins industriels.

 

AirCar s’est donnée pour objectif de contribuer à renforcer par la R&D et l’innovation, la position concurrentielle des PME-ETI de la filière aéronautique. Pour se faire, l’Etat financera la filière AirCar pendant six ans à hauteur de 10,5 millions d’euros dans le cadre du Programme d’Investissements d’Avenir.

 

La stratégie d’AirCar repose entre autres sur :

- Une action collective et renforcée des Instituts Carnot (IC) du consortium pour répondre très finement aux besoins des PME aéronautiques,

- L’identification de quatre domaines prioritaires de valorisation:

Les matériaux (métalliques et composites) et procédés hautes performances,

Les systèmes et composants pour l’avion électrique,

Les innovations dans les sous-systèmes (capteurs autonomes...),

Les nouvelles applications et nouveaux usages (drones civils...).

- Une gouvernance associant les acteurs de la filière comme le GIFAS, les pôles de compétitivité, les clusters régionaux et les Instituts de Recherche Technologique ...,

- La création de quatre postes de chargés de développement « filière Carnot aéronautique »

 

L’ONERA est l’organisme de recherche dédié à la filière aéronautique. Créé en 1946 par l'Etat avec notamment pour mission de développer et d'orienter les recherches dans le domaine aérospatial, l’ONERA est impliqué dans la R&D qui a irrigué tous les grands programmes aéronautiques et spatiaux français, civils et militaires. Avec près de 60% d’activités contractuelles, l’ONERA met son expertise et ses technologies au service de l’industrie. Sa vocation est d’anticiper les ruptures technologiques du domaine aéronautique grâce à son approche système (connaissance complète de l’écosystème avion). C’est cette expertise spécifique que l’IC ONERA souhaite partager avec tous les IC du consortium et en faire bénéficier les PME-ETI.

 

Pour constituer AirCar, l’IC ONERA fédère autour de lui un consortium cohérent de neuf IC permettant une véritable complémentarité de compétences scientifiques et technologiques, ainsi qu’un maillage géographique fin des bassins d’emploi de la filière aéronautique : ARTS, CETIM, M.I.N.E.S, I@L, IFPEN TN, CNRS/LAAS, MICA, CEA-Leti, ESP.

 

En termes d’objectifs quantitatifs à l’horizon 2020, AirCar devrait générer10 millions d’euros par an d’activité avec des PME-ETI de la filière, avec un réseau de 1000 contacts actifs et les 200 équipements recensés.

 

La filière aéronautique : un pôle d’excellence au niveau français et européen (chiffres 2014)

- 1er secteur exportateur : 50,7  Md€ de CA dont 33,1 Md€ à l’export (+6 % par rapport à 2013)

-  1er solde excédentaire de la balance commerciale française commercial  français : 23,6  Md€

- Des équipementiers et des PME de la « supply chain » française qui réalisent 16,5 Md€ de CA (+6 %

par rapport à 2013)

- Filière employant plus de 180  000 personnes en effectif direct et plus de 140 000 en effectif indirec

Partager cet article
Repost0
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

10/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Dans le cadre de l’opération Barkhane, l’Unité de Distribution en Produit de Santé (UDPS) du Détachement Air (DETAIR) de Niamey au Niger a pour vocation d’assurer la « logistique santé » de l’ensemble du fuseau Ouest de la force. Une tâche vitale pour ces pharmaciens de l’urgence qui soutiennent et approvisionnent près de 2 000 personnes en opération.

 

Déployée au Niger en janvier 2015, l’UDPS ravitaille toutes les unités de santé allant du poste médical au « rôle 2» comportant un bloc chirurgical. Les produits de santé qu’il distribue sont aussi divers que vitaux : appareils bio-médicaux (défibrillateurs, appareils de radiologie), médicaments, oxygène, ou encore sang… Cette unité gère un stock de plus de 1 800 références. Composé de quatre personnels (un pharmacien, un secrétaire et deux magasiniers), il est également en charge de l’entretien des unités médicales opérationnelles qui peuvent être projetées, en urgence, sur les sites isolés de la bande sahélo-saharienne.

 

La difficulté de sa mission réside principalement dans l’étendue de la zone d’opération. La livraison des commandes ne devant jamais dépasser 48 heures, l’UDPS assure le ravitaillement des structures médicales, par convoi routier ou par voie aérienne, grâce aux hélicoptères médicalisés ou aux CASA « nurse ». Depuis le début de l’année, l’UDPS a fait transiter plus de 35 tonnes de matériels au profit de l’opération Barkhane.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

10 juin 2015 Liberation.fr (AFP)

 

Comment identifier l’ennemi quand on est face à des jihadistes, des rebelles, des trafiquants et brigands du désert qui conduisent les mêmes pick-up, portent les mêmes tenues, brandissent les mêmes armes? C’est le plus épineux problème pour les militaires français dans le nord du Mali.

 

Tel est d’ailleurs l’enjeu central pour la communauté internationale de l’accord de paix signé le 15 mai à Bamako par l’Etat malien et ses alliés, et qui doit l’être le 20 juin par la rébellion à dominante touareg: isoler définitivement les jihadistes qui avaient transformé en 2012 le Nord en base d’opérations.

Dans toute la zone sahélienne où elle opère, la force française Barkhane combat ce qu’elle a, dans sa prédilection pour les acronymes, baptisé les GAT: «groupes armés terroristes». A distinguer des GAS: «groupes armés signataires» de l’accord, qui ne posent, en principe, plus de problème.

Mais, entre GAT et GAS, la nuance peut être ténue.

Vu du ciel, à la jumelle ou même de plus près, difficile de distinguer les combattants d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) des rebelles touareg ou des membres de clans de bandits et contrebandiers (cigarettes, drogues...) qui ont toujours écumé la région.

Ils ont tous le même modèle de pick-up Toyota chargé de sacs et de jerrycans, les mêmes tuniques et turbans, et des kalachnikovs.

 «Barkhane n’est pas là pour lutter contre le banditisme», explique le lieutenant-colonel Laurent (qui, conformément aux consignes, ne peut être cité que par son prénom), l’un des chefs de l’opération dans la région. «Donc toute la difficulté consiste à savoir à qui on a affaire».

«C’était un peu le même problème en Afghanistan», poursuit-il, lors d’une patrouille à l’ouest de Tombouctou (nord-ouest). «Les GAT ont adopté envers nous une stratégie d’évitement. Ils sont bien renseignés sur nos mouvements, nous fuient.»

Quand les appareils repèrent une mitrailleuse montée en batterie à l’arrière d’un pick-up, c’est un indice. Mais, depuis qu’ils ont été taillés en pièces par les hélicoptères de l’opération Serval, en janvier 2013, les jihadistes se sont adaptés.

 

- 'Enlever la chemise d’islamiste' -

«Maintenant ils vont par deux, trois, en moto ou même à pied», explique, réfugié dans le village de Goundam, Talpi Ag Hama, un chef de famille touareg qui a passé l’année 2013 en Mauritanie et craint d’être poussé par l’insécurité généralisée à y retourner bientôt.

«Ils ont compris que les Français n’ont rien contre les voleurs», dit-il. «Donc il suffit d’enlever la chemise d’islamiste et d’enfiler la chemise de bandit pour avoir la paix. C’est ce qui se passe. En fait, ce sont les mêmes hommes.»

Certains groupes ou clans familiaux, notamment dans les communautés touareg et arabes, se sont d’ailleurs fait une spécialité de changer d’affiliation et de drapeau au gré du vent et des rapports de forces.

De nombreux affrontements dans le nord du Mali «s’expliquent par la lutte pour le contrôle des routes stratégiques pour le commerce et les trafics», a rappelé il y a deux mois le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon dans un rapport au Conseil de sécurité.

Des photos aériennes de drones de l’ONU en décembre montraient ainsi deux convois de camions de cigarettes escortés par différents groupes armés, soulignait-il.

Sur le terrain, lors des briefings dans les bases françaises, les zones tenues par des éléments hostiles, dans les reliefs montagneux ou à l’écart des grands axes, sont connues, répertoriées.

«Elles ont la forme de grosses olives, mais elles bougent tout le temps», remarque le lieutenant-colonel Laurent. Il indique sur la carte un secteur au nord du lac Faguibine: «Là par exemple, c’est la katiba Al-Fourqane», l’une des «brigades» les plus connues d’Aqmi.

Autre complication: les affrontements entre forces pro-gouvernementales et Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA, rébellion à dominante touareg).

«La confrontation entre des groupes pro-Bamako et des combattants» rebelles, «ce n’est pas notre action», précise l’officier, sauf en cas d’exactions ou d’attaque contre ses troupes. «Là, nous ripostons. Pour le reste, c’est délicat...»

Dans un rapport publié le 22 mai, le groupe de réflexion International Crisis Group (ICG) reproche à l’accord de paix de ne pas permettre, faute de cessez-le-feu crédible, «la distinction entre groupes politico-militaires et +groupes terroristes+ tant attendue par les forces internationales».

Selon ICG, «le recours aux armes resserre au contraire les liens entre groupes politico-militaires de tous bords et éléments plus radicaux ou criminels, les premiers ayant besoin des seconds pour affronter leurs adversaires».

Partager cet article
Repost0
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:45
Mort de trois femmes kamikazes dans le nord-est du Nigeria

 

10 juin 2015 Romandie.com (AFP)

 

Maiduguri (Nigeria) - Trois femmes kamikazes ont péri dans le nord-est du Nigeria lors de l'explosion de la charge qu'elles portaient sur elles, a annoncé mercredi la police, ajoutant qu'il n'y avait pas eu de victime.

 

Le chef de la police de l'État de Borno, Aderemi Opadokun, a indiqué que les kamikazes étaient mortes alors qu'elles se rendaient dans la capitale régionale Maiduguri, frappée de nombreuses fois dans le passé par le groupe islamiste Boko Haram.

 

Les trois kamikazes sont décédées et il n'y pas eu d'autres morts, a-t-il déclaré.

 

On ignorait mercredi si les trois femmes avaient été envoyées par Boko Haram mais le groupe islamiste nigérian a eu recours à plusieurs reprises à des femmes kamikazes pour frapper des endroits très fréquentés, des marchés notamment.

 

Cet incident intervient à la veille d'un sommet des chefs d'États de la région consacré à la lutte contre Boko Haram, érigée en priorité par le nouveau président nigérian Muhammadu Buhari.

 

Les présidents du Niger, du Tchad, du Cameroun et du Bénin doivent retrouver M. Buhari jeudi à Abuja. Ils discuteront notamment de la mise en place effective d'une Force d'intervention conjointe multinationale basée à N'Djamena et qui doit compter 8.700 militaires.

 

Le groupe islamiste, qui a enregistré d'importants revers ces derniers mois, a récemment démontré que sa capacité de nuisance demeurait élevée: depuis l'investiture de M. Buhari le 29 mai, Boko Haram a multiplié ses attaques dans le nord-est du pays, faisant au moins 109 victimes.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:45
photo EMA

photo EMA

 

10/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 21 avril 2015, le Service des Essences des Armées (SEA) de Libreville a ouvert au cœur du Gabon un plot d’avitaillement hélicoptère. A cette occasion, la procédure d’avitaillement en campagne mise en place par le SEA et les EA 470 des Éléments français au Gabon (EFG) a été validée.

 

Le plot d’avitaillement est implanté au cœur du centre d’entraînement et de contrôle de la préparation opérationnelle (CECPO) du complexe d’entraînement des Monts Mokékou, lequel bénéficie de travaux importants réalisés conjointement par les Forces Armées Gabonaises et les EFG. La construction de ce complexe, situé à 150 km à l’Est de Libreville, est supervisée par la Direction de l’Infrastructure de la Défense (DID) des EFG qui en assure la maitrise d’œuvre. Il vise principalement à donner plus d’autonomie aux équipages du détachement (DET) Fennec en assurant l’avitaillement de leur machine directement sur les plots d’avitaillement en campagne.

 

Armé depuis le 1er avril 2015 par des personnels navigants de l’EH 05.067 Alpilles ou de l’EH 03.67 Parisis, et des personnels mécaniciens de l’escadron 2E005 Barronies, le DET Fennec a désormais qualifié ce nouveau point avancé de refuelling,augmentant ainsi les capacités d’entraînement dans le complexe de tir et de manœuvre de Mokékou.

 

Ce 21 avril 2015, la mission conjointe entre la DID, le SEA et les EA470 a ainsi permis de s’assurer du bon fonctionnement du plot carburant et de briefer l’équipage du DET Fennec aux procédures d’avitaillement de campagne. Une attention particulière a été portée sur les consignes de sécurité à observer lors de l’avitaillement.

 

Du point de vue technique, le plot SEA est constitué de plusieurs fûts de kérosène conditionnés pour un usage aéronautique, d’un local protégé et aéré sur dalle béton qui garantit la conservation des fûts et du matériel d’exploitation. Le tout est entreposé dans une zone sécurisée.

 

Avec ce nouveau plot de campagne installé à Mokékou, les EFG disposent désormais de deux point d’appui avitaillement, le premier étant basé plus au Sud, à Mouila. En plus d’augmenter l’autonomie des EFG, ce second plot carburant constitue une capacité supplémentaire pour soutenir, le cas échéant et dans un contexte opérationnel dense, les forces engagées dans la région.

 

Depuis le 1er septembre les EFG sont devenus un pôle de coopération opérationnelle à vocation régionale. Tout en restant un point d’appui opérationnel et logistique, les EFG portent désormais leur effort sur les actions de coopération régionale. Elles visent plus particulièrement à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective et, ainsi, à contribuer à la stabilité régionale.

photo EMAphoto EMA

photo EMA

Partager cet article
Repost0
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:30
Inspection sur la base aérienne 104 d'Al Dhafra

 

10/06/2015 Armée de l'air

 

Du 1er au 4 juin, le général Pacorel s’est déplacé sur la base aérienne (BA) 104 d’Al Dhafra, aux Émirats arabes unis, pour procéder à une inspection

 

Le général Pacorel, inspecteur de l'armée de l'air, et une équipe de l'inspection de l’armée de l’air (IAA) se sont rendus du 1er au 4 juin 2015 sur la BA 104, commandée par le colonel Deflandre. Le général Pacorel a tenu à rappeler les objectifs principaux d'une inspection : vérifier que la base remplit le contrat opérationnel fixé par l'état-major de l'armée de l'air ; que le bureau maîtrise des risques de la base aérienne agit au mieux en matière de prévention des risques ; aider à la résolution de problèmes de tous ordres qui peuvent entraver le bon fonctionnement de la base et, en dernier point, écouter et s'entretenir avec l'ensemble du personnel et des représentants catégoriels. Contrat rempli pour l'IAA et la BA 104.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:30
Général Denis Mercier  - photo Armée de l'Air

Général Denis Mercier - photo Armée de l'Air

 

10/06/2015 lorientlejour.com (AFP)

 

Le chef d'état-major de l'armée de l'Air française, le général Denis Mercier, a estimé mercredi qu'il faudrait davantage frapper les centres de commandement du groupe Etat islamique, en notant que la tâche est compliquée par leur présence surtout en Syrie.

 

"En Libye, on est allé chercher les centres de gravité de Kadhafi (centres de commandement, points de regroupement...). C'est en attaquant ces centres qu'on a fait basculer Kadhafi, pas en allant tirer 150 pick-up par jour. Là, on y serait encore", a-t-il dit lors d'une rencontre avec la presse. "C'est exactement le même problème en Irak aujourd'hui. On tire beaucoup sur la ligne de front mais derrière il faudrait qu'on se concentre plus sur les centres de gravité. Le problème c'est qu'ils ne sont pas forcément en Irak" mais en Syrie, a-t-il ajouté. En Syrie, où la France n'intervient pas, la coalition internationale emmenée par les Etats-Unis fait face à une situation délicate, les opérations contre l'EI risquant de renforcer le régime de Bachar al-Assad. En Irak, les autorités de Bagdad ont en outre demandé qu'on ne frappe pas ces centres de gravité, a-t-il concédé.

 

Le général Mercier a réfuté en revanche les interrogations sur l'efficacité de la campagne de frappes aériennes contre L'EI. "Si on n'avait pas été là, sincèrement l'affaire serait réglée. Daech (acronyme de l'EI en arabe) aurait pris le pouvoir de tout, de Bagdad, etc", a-t-il affirmé. "Avec ces opérations aériennes assez intenses, on donne aux forces irakiennes la liberté d'action sur leur sol. Point barre. Mais c'est déjà énorme", a-t-il ajouté.

"Après la balle est un peu dans leur camp (...) Le problème, c'est qu'il faut qu'il y ait au sol une offensive de ces forces irakiennes qui est un peu compliquée compte tenu de l'imbrication des différentes communautés", chiites et sunnites, a-t-il ajouté.

 

Depuis le début de l'opération française Chammal en septembre 2014, les avions de chasse français ont effectué "plusieurs centaines de frappes" en Irak, a indiqué Denis Mercier, sans plus de précisions. L'état-major donne le chiffre de 135 frappes et quelque 200 objectifs détruits, mais il compatabilise plusieurs largages de bombes dans une même frappe. "On parle beaucoup des frappes mais notre contribution la plus significative c'est celle au renseignement (naval, aérien...). Elle est beaucoup plus importante que le nombre de frappes", a souligné Denis Mercier, interrogé sur la part de la France dans les opérations aériennes.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 07:25
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

10/06/2015 Source: Etat-major des armées

 

Dans la nuit du 3 au 4 juin 2015, la frégate de surveillance Ventôse est intervenue à 130 milles nautiques au sud-ouest de Saint Martin pour intercepter le caboteur Lady Margaret battant pavillon d’Anguilla et suspecté de trafic de drogue.

 

Le 3 juin, l’agence américaine interministérielle de lutte contre le narcotrafic (Joint Inter Agency Task ForceSouth – JIATF-S) a alerté les autorités françaises qu’un bâtiment suspecté de trafic de drogue avait été localisé et suivi par leurs avions de patrouille maritime. Ce bâtiment, le caboteur Lady Margaret battant pavillon d’Anguilla, naviguait à 130 milles nautiques (240 km) au sud-ouest de Saint-Martin. Les renseignements américains, complétés par ceux de la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), ont permis à la frégate Ventôse d’intercepter le Lady Margaret. Le 4 juin, à 03h17, l’hélicoptère embarqué Panther a localisé le bâtiment. Après avoir obtenu l’autorisation de l’Etat du pavillon, l’équipe de visite a pris le contrôle du caboteur dont l’équipage s’est montré coopératif. Quelques minutes après le début des recherches à bord, des ballots contenant 524 kg de marijuana ont été découverts.

 

La frégate de surveillance Ventôse a accosté le 9 juin 2015 à la base navale militaire de Fort-de-France, où l’antenne Caraïbes de l’office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) a récupéré puis détruit la cargaison de drogue.

 

Agissant dans le cadre de l’Action de l’État en mer, la Marine française aux Antilles opère régulièrement de manière coordonnée avec les autres administrations françaises ainsi que ses partenaires étrangers de la Caraïbe, pour réprimer les trafics de drogue en haute mer. Ces opérations sont placées sous l’autorité du préfet de la Martinique, délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer aux Antilles et conduites depuis le centre opérationnel interarmées implanté à Fort-de-France par le commandant supérieur des forces armées aux Antilles et commandant de la zone maritime Antilles. Elles sont menées en parfaite collaboration avec l'autorité judiciaire (JIRS de Fort de France).

 

Ces opérations illustrent la détermination et l'efficacité de l'action interministérielle menée par la France pour lutter contre le trafic de produits stupéfiants en zone maritime Antilles.

 

Les moyens des FAA contribuent sensiblement à l’action conjointe des services français dans la zone maritime Antilles, laquelle a permis la saisie de plus de 5,8 tonnes de drogue depuis le début de l’année 2015.

photo Marine Nationale
photo Marine Nationalephoto Marine Nationale

photo Marine Nationale

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 18:55
Exercice de sécurité nucléaire à Istres

 

09/06/2015 Armée de l'air  

 

Mercredi 3 juin 2015, s’est déroulé un exercice de sécurité nucléaire sur la base aérienne 125 d’Istres. De niveau 2, il a impliqué toutes les unités présentes sur cette base à vocation nucléaire (BAVN).

 

Pendant une journée, le personnel de la base a ainsi été mobilisé afin de mettre en œuvre le plan d’urgence interne (PUI). De l’évacuation des blessés jusqu’à l’établissement d’un périmètre de sécurité, en passant par l’abri du personnel, tout a été minutieusement contrôlé par l’équipe d’évaluation. Cette simulation n’avait rien d’exceptionnel. Toutes les BAVN et les bases aériennes « gîte d’étape » pour le transport d’éléments d’arme nucléaire doivent régulièrement procéder à ce genre d’entraînement. L’objectif est d’évaluer le niveau de réaction et d’organisation face à une situation de crise.

 

Conduite 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par l’armée de l’air, la mission de dissuasion est une action conjuguée de tous les aviateurs. La sécurité nucléaire sur tous les sites sensibles répertoriés est garantie grâce aux entraînements réalistes proposés.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 18:20
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre


10 juin 2015 par Armée de Terre

 

Le 2e régiment étranger d’infanterie (2e REI) de Nîmes a accueilli deux sections de l’US Marines pour un entraînement commun. La relation étroite tissée entre la 6e brigade légère blindée (6e BLB) et le 2nd US Marines division est à l’origine de cette manœuvre organisée dans le camp des Garrigues du 24 mai au 1er juin.

Les militaires français et américains ont mis à profit cet échange pour travailler conjointement les procédures opérationnelles et améliorer leur interopérabilité. Fiers de leur nouveau véhicule, les légionnaires en ont profité pour leur présenter le tout récent VBCI.


Explications

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

08/06/2015 Gabriel Boyer - armée de Terre

 

En partenariat avec le Rugby Club Orléans, le 12e régiment de cuirassiers (12e RC) a organisé un tournoi de rugby à 7 au stade des montées à Orléans, le 29  mai 2015, au profit des blessés de l’armée de Terre.

 

Des militaires, mais aussi des gardiens de prison, des policiers et des aviateurs ont pris part à cet évènement. Parmi les équipes, la sélection nationale des armées originaire des îles du Pacifique a participé au tournoi. Elle a affronté le Rugby Club Orléans lors d’un match de gala en mémoire au caporal-chef Florian Bourgeois du 12e RC, mort en exercice il y a 3 ans. Tous les bénéfices ont été reversés à l’association Terre fraternité qui vient en aide aux blessés de guerre de l’armée de Terre.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:55
1er MédicHos en milieu maritime

Prise en charge des blessés au combat sur un bâtiment de la Marine nationale, lors du 1er MédicHos en milieu maritime, au sein de la FAN Toulon, du 18 au 21 mai 2015 - photo Marine Nationale

 

02/06/2015 BCISSA  - DCSSA

 

Les frégates FAA Cassard et FLF La Fayette ont accueilli, du 18 au 21 mai à Toulon, le premier exercice en milieu maritime de Médicalisation en milieu Hostile (MédicHos).

 

Lors d’exercices particulièrement réalistes, trois médecins et neuf infirmiers ont pris en charge des blessés depuis les phases de combat jusqu'à leur évacuation héliportée vers une structure médico-chirurgicale.

 

Dans la salle de déchoquage du TCD Siroco, les équipes médecins-infirmiers ont révisé des gestes très techniques.

 

Ce MédicHos a permis de mieux appréhender la complexité de la gestion des blessés au combat en milieu maritime. Il a démontré la nécessité de développer l’enseignement du sauvetage au combat, y compris de niveau 2, au sein des équipages, la Marine ne disposant pas d’auxiliaires sanitaires.

 

L’animation pédagogique de ce MédicHos a été réalisée par le CESimMO (Centre d’enseignement et de simulation à la médecine opérationnelle) de Toulon, le CITERA de Bordeaux, la CSS FAN et la cellule secourisme de la FAN.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:55
PYLO Kit de plasma lyophilisé - photo DICoD

PYLO Kit de plasma lyophilisé - photo DICoD

 

28/05/2015 par DCSSA

 

Le ministère de la Défense, représenté par le centre de transfusion sanguine des armées, a reçu le prix spécial du jury lors de  la 7e édition des Trophées du Management de l’Innovation, organisée par BearingPoint, L’Expansion et l’Ecole des Ponts Paris Tech, pour le PLYO ou plasma lyophilisé. Le jury a souhaité récompenser la démarche originale et audacieuse, la recherche de réduction des coûts et d’amélioration ainsi que l’ouverture remarquable vers des partenaires internationaux.

 

L’hémorragie aïgue est la première cause de décès « évitable » en polytraumatologie de guerre ou civile. Seul le PLYO, se présentant sous forme de poudre à reconstituer en moins de 6 minutes avec l’eau fournie dans le kit, permet la transfusion salvatrice immédiate en cas de choc hémorragique.

 

Le PLYO est donc le plasma de l’urgence militaire et civile. Il peut être utilisé sans connaître le groupe sanguin du receveur ; il est disponible en tout temps, en tous lieux et en toutes circonstances ; il a prouvé son efficacité au combat (Afghanistan, Mali, Centrafrique…) y compris au sein d’armées étrangères, dont les forces spéciales américaines, ainsi qu’au sein des hôpitaux d’instruction des armées en France. Son usage est recommandé dans toutes les situations d’urgence vitale, militaire et civile (SMUR, sites médicalement isolés…).

 

Le plasma lyophilisé est un produit validé et autorisé par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Il est une spécificité du Centre de transfusion sanguine des armées (CTSA).

 

Pour la recherche de production à moindre coût et d’extension de ses débouchés, le CTSA a reçu le soutien de la mission pour l’innovation participative du ministère de la Défense.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:55
navire patrouilleur et logistique polaire (PLV) crédits Marine Assistance 2015

navire patrouilleur et logistique polaire (PLV) crédits Marine Assistance 2015

 

10.06.2015 TAAF.fr
 

Les TAAF ont signé ce mardi 9 juin 2015 avec le chantier Piriou (Concarneau) le contrat de construction d’un futur navire patrouilleur et logistique polaire (PLV). Fruit d’un partenariat inédit et exemplaire entre entre les ministères des Outre-mer, de la Défense et de la Recherche, ce navire succèdera à compter de 2017 au mythique "Astrolabe" (navire ravitailleur de la base Dumont d’Urville) et à "l’Albatros", patrouilleur austral des Forces Armées de la Zone Sud de l’Océan Indien (FAZSOI).
D’un coût de 50 millions d’euros, ce bâtiment partagera son temps entre une mission civile de ravitaillement des bases françaises sur le continent Antarctique (120 j/an) et une mission militaire de surveillance des ZEE françaises de l’Océan indien (245 j/an),

Madame le préfet des TAAF Cécile Pozzo di Borgo et Pascal Piriou, Président-Directeur Général du constructeur naval Piriou, ont signé ce 9 juin à l’antenne parisienne des TAAF le contrat de commande du nouveau navire, en présence des divers partenaires engagés sur le projet :

  • l’Institut polaire français Paul-Emile Victor, co-affréteur du navire, gestionnaire de la base antarctique Dumont d’Urville et de la station franco-italienne Concordia ;
  • la Marine nationale, qui armera et équipera le navire ;
  • l’Agence Française de Développement, qui consent le prêt nécessaire aux TAAF, ces dernières restant propriétaires du navire.

Par communiqué de presse, la ministre des Outre-mer, madame George Pau-Langevin, a fait part de sa satisfaction devant la réalisation de ce projet de grande envergure. Le PLV (Polar Logistic Vessel) mesurera 72 m de long pour 16 m de large. Il pourra accueillir à son bord jusqu’à 60 personnes, transporter 1 200 tonnes de fret et sera doté d’un hélicoptère.

li sera livré à la Marine nationale, à Brest, en juin 2017, pour une entrée en service dès l’été austral 2017-2018.

Dans son communiqué, la ministre des Outre-mer a salué également l’engagement de l’Albatros dans la zone sud de l’Océan indien depuis 1984. Ce dernier a notamment effectué 82 missions dans les TAAF.

 

Pour en savoir plus :
Communiqué du ministère visible ici
Site web de l’entreprise Piriou ici

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:50
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

08/06/2015 Armée de Terre

 

Le Corps de réaction rapide-France (CRR-Fr) a organisé un VIP Seminar au cœur de la Citadelle de Lille le 22 mai 2015, dans le but de débattre sur le thème « Quel commandement et contrôle (C2) pour les opérations actuelles et futures ».

 

Organisé dans le cadre du passage du CRR-Fr au format Joint Task Force (groupe de forces interarmées) et à l’occasion de son dixième anniversaire, le débat a réuni une cinquantaine d’officiers généraux et d’officiers d’états-majors français, alliés et de la communauté de l’OTAN. Ils ont pu échanger et réfléchir afin d’apporter des solutions concrètes et des hypothèses de travail pour le C2 des troupes déployées en opération.

 

Le quartier général du corps de réaction rapide-France est un état-major qui a la capacité d’entrer en premier sur un théâtre d’opérations et de conduire des engagements opérationnels allant de la basse à la haute intensité. Il peut être engagé dans un environnement interarmées et multinational dans le cadre d’un mandat de l’OTAN, de l’Union Européenne ou d’un mandat national si les circonstances l’exigent.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:50
photo T. Fumat / Armée de Terre

photo T. Fumat / Armée de Terre

 

24/04/2015 par Service de santé des armées

 

Temps fort pour célébrer l’amitié et le partenariat franco-allemand : la cérémonie en l'honneur du service de santé pendant la guerre de 1914-1918 au « vieil Armand »

 

Le 22 avril , dans le cadre des commémorations liées au centenaire de la Grande guerre et du  troisième séminaire du service de santé des armées française et allemande, une cérémonie s’est déroulée au monument national du Hartmannswillerkopf, lieu hautement symbolique de l’offensive de 1915.

 

Le General oberstabsarzt Dr Ingo Patschke, et le médecin général des armées  Jean-Marc Debonne, directeurs centraux des services de santé des armées allemande et française,  ont procédé à la lecture de l'ordre du jour et deux soldats français et allemand ont déposé  une gerbe sur le monument national.

 

Des sections du troisième régiment médical d’Ulm, de l’académie allemande de santé de Munich ainsi que de l’École du Val-de-Grâce, de l’ESA de Lyon et du régiment médical de La Valbonne représentaient les deux services de santé.

 

Le troisième séminaire franco-allemand s’est tenu à Colmar du 21 au 23 avril 2015 : « plus que des partenaires, nous sommes de vrais amis unis par les mêmes idéaux ».

photo T. Fumat / Armée de Terrephoto T. Fumat / Armée de Terrephoto T. Fumat / Armée de Terre
photo T. Fumat / Armée de Terre

photo T. Fumat / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:50
La bataille de Koursk



:03/02/2015 par CESAT

 

Pour visualiser le contenu, cliquez sur le lien suivant: LA BATAILLE DE KOURSK

German plan of attack

German plan of attack

 

Note RP Defense :

 

voir Bataille de Koursk

 

 

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

10/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 23 au 30 mai 2015, les forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) ont organisé et conduit dans la région de Toumodi un exercice de niveau GTIA (groupement tactique interarmes) auquel ont participé environ 200 soldats des forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et une trentaine de soldats de l’opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).

 

L’objectif de cet exercice était triple : entraîner l’intégralité du GTIA des FFCI avec tous ses soutiens dans des conditions réalistes de menace régionale nécessitant un engagement des forces françaises coordonnées avec celui des forces ivoiriennes et onusiennes, améliorer l’interopérabilité avec les FRCI et l’ONUCI en intégrant des sections de ces deux forces en renfort du GTIA, et enfin entraîner la compagnie de transport des FRCI qui doit être projetée au Mali au sein de la MINUSMA au cours de l’été 2015.

 

Près de 400 militaires des FFCI ont participé à cet exercice baptisé N’Zi,du nom de la rivière traversant la zone de déploiement. Un peloton d’une vingtaine de soldats du bataillon blindé des FRCI et une section du bataillon de commandos parachutistes des FRCI ont été intégrés en renfort respectivement d’un sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) à dominante blindée équipé d’ERC90 et de VBL (véhicules blindés légers) et d’un second SGTIA à dominante infanterie équipé de VAB (véhicules de l’avant blindé). Les 120 militaires de la compagnie de transport des FRCI qui doit être projetée au Mali au sein de la MINUSMA ont pu, à cette occasion, restituer des savoir-faire acquis lors du détachement d’instruction opérationnelle (DIO) organisé par les FFCI quelques semaines plus tôt à leur profit. Enfin, une section héliportée du bataillon sénégalais de l’ONUCI a été ponctuellement intégrée au GTIA pour des phases particulières de l’exercice.

 

Organisé en deux séquences de 36 heures chacune, l’exercice N’Zia permis au GTIA des FFCI de s’entraîner dans la région de Toumodi (à 250 km au Nord d’Abidjan) dans des missions de reconnaissance, de contrôle de secteur, de raid et de couverture face à un adversaire fictif, dans des conditions très réalistes. L’exercice s’est conclu par un parcours de tir de niveau SGTIA sur les champs de tir de Lomo Nord.

 

Les FFCI, créées le 1er janvier 2015, assurent la protection des ressortissants français et entretiennent la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire. Elles sont également en mesure d’appuyer les partenaires de la région, notamment l’ONUCI. En tant que base opérationnelle avancée, elles constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:45
photo R. Veron - FFDj

photo R. Veron - FFDj

 

09/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 3 juin 2015, sur la base aérienne (BA) 188, les soldats du pétrole et du feu des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) ont travaillé de concert pour fournir le carburant nécessaire à l’entraînement d’un hélicoptère Panther.

 

Embarqué sur la frégate légère furtive Surcouf (FLF) qui croisait dans la région, l’hélicoptère a desserré sur la BA 188 bénéficiant ainsi de l’espace d’entraînement en 3 dimensions qu’offre Djibouti. Vers 13h, sur court préavis et aux ordres du directeur des vols (DV), un avitaillement selon la technique de moteur tournant rotor tournant (MTRT) a été mis en œuvre.

 

L’avitaillement MTRT est complexe. Ce savoir-faire spécifique doit être entretenu de façon régulière afin de maîtriser les procédures et de minimiser les risques notamment d’incendie. Grâce aux compétences acquises et préservées, les marins, les soldats du pétrole et du feu ont pu fournir le carburant nécessaire en moins de dix minutes en communiquant uniquement avec des gestes, en raison du bruit du rotor du Panther. Cette technique permet effectivement un gain de temps précieux mais nécessite une maîtrise totale pour être effectuée en toute sécurité.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, dans le cadre de leurs activités de coopération opérationnelle, les Forces françaises stationnées à Djibouti soutiennent leurs partenaires africains dans le renforcement de leurs capacités militaires et dans le maintien de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix. Plusieurs fois par an, les FFDj participent ainsi à la formation de militaires africains dont les pays ont des accords bilatéraux avec la France.

photo R. Veron - FFDjphoto R. Veron - FFDj

photo R. Veron - FFDj

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

09/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Avions, bateaux, troupes au sol, … Pour garantir la bonne marche des forces en opération extérieure, il est indispensable de disposer d’une bonne connaissance des phénomènes météorologiques. Même sur un théâtre d'opérations comme celui couvert par la force Chammal, où le soleil et les hautes températures sont au rendez-vous quotidiennement, le rôle des prévisionnistes est primordial.

 

Rencontre avec deux spécialistes météo de Chammal, marin et aviateur.

 

Le Second Maître Aurore a 26 ans. Elle est engagée dans la Marine nationale depuis septembre 2007. Arrivée sur le théâtre fin mars 2015, le SM Aurore a d'emblée pris ses marques dans cet environnement sans doute encore plus masculin qu'en métropole. Son professionnalisme n'y est pas étranger.

 

Rien ne la destinait au monde militaire, mais après un bac scientifique et une année de géographie à l'université, où elle s’est passionnée pour les cours de météorologie et de climatologie, elle a définitivement choisi cette double voie, militaire et météo. Elle a opté pour la Marine, ayant vécu jusqu'à son entrée dans l'institution en bord de mer. La mobilité qu'offre la carrière de marin et la partie océanographie de son métier, de fait non étudiée dans les deux autres armées, ont fini de la décider.

 

Après une première année partagée entre la formation d'officier marinier à l'école de maistrance de Brest, une période embarquée sur une frégate anti sous-marine (FASM) et une à terre sur une base aéronavale (BAN), Aurore est partie pour l'Ecole Nationale de la Météorologie à Toulouse (l’ENM) apprendre son métier de METOC, météorologue océanographe. Elle y a également passé son BAT, brevet d'aptitude technique, premier échelon professionnel dans la carrière des officier mariniers. S'en sont alors suivis trois ans sur la FASM La Motte Picquet et un an sur la FASM Georges Leygues. Puis elle a obtenu son Brevet Supérieur météo en 2014.

 

Outre ses mises pour emploi sur plusieurs navires, elle a également à son actif une mission au Koweït et dans les opérations Atalante et Enduring Freedom. Des spécificités locales de son travail, Aurore nous précise : « au même titre que mon camarade aviateur, j'assure les prévisions et les briefings pour l'état-major Chammal avec des particularités marine comme les impacts météo sur la piraterie (une mauvaise météo signifie moins de navigation, donc moins de missions dans le cadre de l'opération Atalante) ou le suivi de phénomènes dangereux. Nous préparons les prévisions pour les bases aériennes et le soutien aux appareils français Air et Marine. A ce titre, Bertrand, mon camarade météo de l'armée de l'Air, et moi travaillons de concert pour la préparation de la majeure partie des prévisions. Ma zone de travail est très grande, un carré Irak-Somalie-Inde-Golfe du Bengale. J'assure également le suivi des indices de chaleur et le soutien aux bâtiments français, en particulier ceux engagés dans la mission Guerre des Mines. Ce sont des aspects qu’il n’y a pas en métropole sur une BAN. De même je ne m'occupe pas des composantes DEM (Détection électromagnétique, l’étude des conditions météo, qui influencent la propagation des ondes radar) et LSM (Lutte sous la mer) qui sont des éléments propres au métier de METOC embarqué. L'aspect coopératif avec l'armée américaine et mon collègue de l’armée de l’Air est aussi très intéressant, me permettant de voir d'autres manières de travailler. »A l'issue de son mandat, Aurore regagne un centre opérationnel de la météo marine. Elle espère repartir en mer et à moyen terme réaliser un mandat de 4 mois au Tchad. Professionnellement, elle vise le Brevet de Maîtrise bien sûr, dans la perspective aussi de devenir officier.

 

photo EMA / Armée de l'Airphoto EMA / Armée de l'Air
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

Le sergent-chef Bertrand est presque déjà un vieux routier de la spécialité. Entré à 20 ans dans l'armée de l'Air en juin 2004, il effectue, après ses classes, la formation de 11 mois à l'ENM.

 

De formation électrotechnique, originaire de la Champagne, Bertrand a naturellement choisi l'armée de l'Air lorsque la possibilité d'embrasser la carrière des armes s'est offerte à lui. Au moment de son entrée dans l'institution, il a choisi la voie "météorologie", aucune spécialité se rapprochant de sa formation initiale n'étant ouverte. Ce choix lui a néanmoins permis de rester dans le domaine scientifique, qu'il a toujours aimé. De 2005 à 2014, il a fait ses premières armes à la station Météo de la base aérienne 133 de Nancy-Ochey. Il y a réussi la sélection professionnelle, le fameux "BS" en 2012. A l'été 2014, Bertrand a rejoint d'autres bases et d'autres avions pour finalement intégrer les forces de l'opération Chammal. Il n'en est pas à sa première opération extérieure, puisqu'il est déjà parti à Douchanbé, en 2011, dans le cadre de l'opération Pamir.

 

« Ce qui est intéressant ici, nous explique Bertrand, c'est que le travail est différent de celui effectué sur une base aérienne. Depuis mon arrivée en mars 2015, j'ai ajouté à la météo opérationnelle fournie pour certaines bases aériennes où se trouvent des avions français dans le cadre de l'opération, une présentation des prévisions ciblée état-major. Non pas que ce que je présente soit plus épuré ou accessible, les prévisions sont faites pour une zone beaucoup plus grande, de l’Irak au Sud de la Somalie jusqu’en Inde et golfe de Bengale. Les informations données ne concernent pas que la piste et les environs immédiats des mouvements avion. La situation météo établie permet à l'état-major Chammal et à l'ensemble des forces d'avoir une situation précise, quel que soit leur lieu de stationnement, et de connaître les éventuelles difficultés voire dangers météo possibles (indice de forte chaleur, danger vent, etc.). Mon matériel de prévision est également différent. Bien sûr, désormais, tout se fait par informatique, nous utilisons le logiciel Synergie, le même système que Météo France. Ce logiciel est justement plus pratique pour notre travail de prévision pour un état-major et recouvrant une grande zone. Au contraire, sur ma base aérienne, en métropole, nous utilisons Messir-Vision, spécialisé pour les productions purement aéronautiques. Sans compter les outils de mesures directes que nous n'utilisons pas ici. Un autre aspect très intéressant : la coopération interalliée, avec mes collègues américains, et plus particulièrement mon travail quotidien avec Aurore, ma collègue METOC de la marine, auprès de qui j’ai énormément appris sur la partie océanographique de la spécialité. »Projeté pour 4 mois, Bertrand retourne à la fin de son mandat sur sa base où, pour sûr, nuages et pluies modifieront le visage météo de ses prévisions "chammaliennes". Dans l'avenir, il aimerait rejoindre l'un ou l'autre des pôles météo de l’armée de l’Air : le CISMF, Centre Interarmées de Soutien Météo-océanographique des Forces à Toulouse, ou le CMOA, Centre Météorologique des Opérations Aériennes à Lyon Mont-Verdun, afin de découvrir une autre facette de son métier. Et pourquoi pas, évoluer peut-être vers d'autres spécialités, le recrutement en CIRFAA, auprès des jeunes, ou instructeur de langue anglaise, étant parfaitement bilingue.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:30
HERMES 900 with the following payloads - EO, IR, SAR,GMTI, MPR, ESM, ELINT - photo  Elbit Systems

HERMES 900 with the following payloads - EO, IR, SAR,GMTI, MPR, ESM, ELINT - photo Elbit Systems

 

June 10, 2015 by Elbit Systems

 

Elbit Systems will present a wide range of innovative next generation systems at the upcoming 51th Paris Air Show, set to take place in Le Bourget, from June 15 – 21, 2015. Visitors to the company’s booth (Chalet A-200, booth and outdoor display area A-8) will have an excellent opportunity to view new products and displays of the Company’s core technologies and cutting-edge solutions.

 

The following will be presented in the Company’s booth:

 

Military Avionics and Aircraft Upgrades

The SuperVisionTM Concept  generates a conformal image of the world outside the cockpit, as well as the aircraft systems, surroundings and threats, while simultaneously fusing together the various layers of information. Harsh environment and weather conditions, in conjunction with the immense flow of information during the flight, call for an intuitive display of flight and visual data.

This strategy creates an innovative solution that reduces the pilots' workload and allows them to focus on the successful completion of their mission, while flying “Head-Up” in any terrain and in all visibility conditions.

 

New Launch - BrightNite™ is a solution that enables utility helicopters to successfully perform Degraded Visual Environment (DVE) missions in more than 90% of the nights and provides them with piloting capabilities of attack helicopters and enables a new level of operational flight.

 

New Capabilities - Digital JHMCS is a lightweight and comfortable head mounted display (HMD), provided by RCEVS, a joint venture with Rockwell Collins. Offering an improved HMD Center of Gravity (CG) and balance and thus reducing neck strains, DJHMCS is plug and play, with minimal installation requirements and the ability to operate with the aircraft's current tracker and Electronic Unit. DJHMCS can replace legacy JHMCS equipment with no A/C modifications required, thus reducing life cycle costs. DJHMCS offers advanced video and color capabilities in both day and night missions using a modern, lightweight, well-balanced digital HMD system. The system’s proven symbology, combined with color, creates a superior solution that provides intelligent vision in the cockpit. It provides immediate and accurate recognition of friendly, threat and unknown targets and areas to create a complete view of the air, ground and sea picture.  This is accomplished with sophisticated software that integrates accurate intelligence with images, video and sound. The technological upgrade dramatically reduces the logistic and maintenance requirements.

 

C-Suite Tactical solution for C-130 aircraft is a flexible, modular solution created to effectively perform under the harsh and demanding conditions created by low altitude tactical environments. Providing accurate, real-time information projected on the Head-Up, Head-Down or Helmet Mounted displays, the C-Suite Tactical solution enables a safer and more precise mission as well as increased situational awareness.

 

CockpitNGTM is based on a smart central large area display (LAD) which includes all avionic components in one suite, fully integrated with the Helmet Mounted and Head-Up displays.  All of the systems' components were developed in a "Multi-touch-Screen" technology, allowing pilots to operate the aircraft in a smooth and customizable manner. 

 

Large Area Display (LAD) is a unique large area display, dual redundant, touch-screen enabled and featuring a wide dimming range for night vision goggle compatibility at low luminance levels. All products in this line are smart integrated modular avionics (IMA) displays that can host software applications  from either Elbit Systems, customer legacy software or third-party software.

 

 

Unmanned Aircraft Systems (UAS) and Electro-Option (EO) Payloads

 

New Launch - SkylarkTM I-LEX is a new generation of the legacy Skylark I-LE mini-UAS, man-portable electric propelled, best fitted for organic “beyond the next hill” reconnaissance, counter insurgency and force protection missions, as well as civil applications including perimeter security, border and coastal surveillance, anti-terror and a variety of law enforcement missions. The Skylark I-LEX is already operational as the standard battalion level UAS of the Israeli Land Forces and has accumulated thousands of operational sorties.

 

In the outdoor display area (#A8), the HermesTM 900 medium altitude long endurance (MALE) UAS will be showcased, equipped with a wide range of highly advanced payloads for a variety of missions.

 

The Hermes 900 UAS can be equipped with a variety of high performance sensors in a plug-and-play concept, allowing it to detect ground or maritime targets, over a wide spectral range. Providing over the horizon, persistent multi-payload capabilities, Hermes 900 is based on the proven and mature building blocks of Elbit Systems’ Hermes family, setting the highest levels of airworthiness, safety and reliability. This MALE UAS has been procured by the Israel Defense Forces (IDF) and additional international users.

 

PAYLOADS for UAS:

 

DCoMPASSTM  - Digital Compact Multi-Purpose Advanced Stabilized System is a highly stabilized electro-optical payload system, delivering superb day and night intelligence surveillance target acquisition and reconnaissance (ISTAR) capabilities in the harshest weather conditions. The multi-sensor system is designed for long-range surveillance and targeting functions for UAS, helicopters, fixed-wing, maritime and ground platforms.

 

Advanced Multi-sensor Payload System (AMPS) is a dynamic target detection and recognition payload for strategic ISTAR at standoff ranges. A highly stabilized EO payload, AMPS delivers excellent day and night ISTAR capabilities, facilitated by autonomous navigation with inertial system and GPS.

 

EMERALD–AES212 is a modular Airborne ESM/ELINT system for comprehensive radar detection for all types of manned and unmanned aircraft platforms. Designed for the densest and most complex electromagnetic environments, it meets the rapidly evolving needs of today's modern battlefields.  The system delivers sophisticated intelligence gathering capabilities for the detection and analysis of all types of radars - ground-based, airborne and shipboard.

 

COMINT/DF Systems are operational and battle-proven, designed as modular building blocks, capable of tackling various types of communication systems and able to fit any unmanned aircraft system (UAS). These systems utilize wideband multi-purpose receivers and meet the requirements of any EW/SIGINT payload, offering tactical intelligence reception in real time over wide rural and urban areas with precise DF, and enabling digital audio-recording.

 

COMJAM is a battle proven, modular, flexible, standalone, future-ready configuration of customizable, interoperable and interconnected airborne communications jamming (COMJAM) payload components for UAS. The system manages multiple frequency sub-bands, predefined threats list, and priority jamming with automatic or manual operation. Deployed as a stand-alone configuration or integrated with additional Elbit Systems EW support systems, the COMJAM payload can be mounted on a variety of airborne platforms as well as offer the ideal solution for forward battlefield areas.

 

Aircraft Self Protection Solutions

 

New Launch - Air Keeper EW & SIGINT Solution for Aircraft: A highly advanced solution that provides two significantly critical capabilities in one: intelligence gathering and EW defensive capacities onboard the same platform. The solution enables the aircraft to perform missions for any existing plane as cargo, tanker, transport etc.

 

Mini-MUSIC™ is an advanced, flight-tested directed infrared countermeasure (DIRCM) system in a single compact and lightweight package easily installed on small and medium rotary and fixed-wing platforms. The system protects small to medium sized rotary and fixed-wing aircraft against heat seeking ground to air missiles (MANPADS).

C-MUSIC™ is a unique multi-spectral infrared fiber-laser based DIRCM system that will be showcased in an impressive 2.7m long pod hung from the booth's ceiling, demonstrating its outstanding aerodynamic structure. The pod will be outfitted with see-through windows to enable visitors to examine the advanced fiber laser based DIRCM mirror turret, as well as the PAWS (IR Passive Approach Warning System) sensors.

J-MUSICTM  is designed to protect large aircraft, transporters, tankers, special mission platforms and VIP jets against MANPADS. Lightweight, compact and easily installed, J-MUSIC is a distributed system, meaning that the LRUs can be installed in various locations onboard the aircraft, enabling an optimized installation solution for protection of the aircraft. It has been selected for several programs such as Embraer's KC-390 aircraft for the Brazilian Air Force and the German Air Force’s A-400M aircraft.

 

ALL-in-SMALL™ is an airborne unified self-protection system, offering a complete, lightweight and compact electronic warfare (EW) suite in a single LRU for any airborne platform. ALL-in-SMALL is comprised of an EW controller, digital radar warning receiver, IR missile warning system, advanced laser warning system and chaff/flare dispensing system. It can be optimally integrated with a DIRCM system, due to its high range detection capabilities, high DF accuracy and extremely fast hand-over from IR MWS to DIRCM.

 

Unified Self-Protection Suite for Fighter Aircraft includes the most

advanced multi-spectral DAS and ESM capabilities in a single LRU, delivering the  highest  DF accuracy,  identification,  and  location  of received signals, very high probability of intercept (POI), and enabling swift response. The suite is already deployed onboard various fighter aircraft around the globe.

 

PAWS™ is a family of IR-based (Infrared) Passive Warning Systems that provides a comprehensive, turn-key solution for airborne platforms. The sophisticated IR Missile Warning Systems (MWS) enhance airborne platform survivability by providing advance warning of the presence of threatening missiles - and by automatic management of all types of applicable countermeasures available onboard.

 

IR-CENTRIC™ is a solution that utilizes the foundations of the de-facto standard in missile warning systems (MWS), an infrared-based MWS, to harness the information streamed from its sensors for facilitating a multi-role, multi-function nexus, mission protection and safety enhancement from one single system, while responding to most modern airborne and ground operational requirements.

 

ESM/ELINT provides a full spectrum 0.5-40 GHz coverage ESM/ELINT capabilities are integrated into the EW subsystems to automatically detect, measure, identify, monitor and intercept all ground-based, shipborne and airborne radar signals. Elbit Systems ELINT systems provide continuous/uninterrupted platform protection, surveillance, early warning, information gathering and storage, geo-location and data analysis.

 

Training and Simulation

 

Military Pilot Training Solutions

Elbit Systems provides comprehensive simulator support services such as Contractor Logistics Support (CLS), training, manuals and spare parts. Our customers can avail themselves of our full technical potential to support needs throughout the system lifecycle. The latest integrated data environment is employed for visibility into assets in transit, repair, inventory and simulator down-time. Elbit Systems maintains a flexible closed loop Failure Reporting & Corrective Action System (FRACAS) process that provides a framework for identifying and tracking causes of failures and determining and verifying corrective actions.

 

Embedded Virtual Avionics (EVATM) for trainer aircraft, can be installed on basic or advanced trainer aircraft, transforming the aircraft into a virtual advanced fighter while maintaining the hourly training costs of a trainer. The EVA virtual avionics suite is designed to shorten the training gap which exists today between trainer and modern fighter aircraft. EVA is manufactured in a minimal integration configuration, thus reducing aircraft integration costs virtually to zero.

 

SkyBreakerTM is Elbit Systems’ Mission Training Center (MTC), a networked multi-cockpit, mission oriented training center supporting many aircraft types. SkyBreaker provides realistic simulated battlefield training using all aircraft systems and mission scenarios to enhance all levels of pilot training. A world leader in field-proven training and simulation solutions, Elbit Systems developed SkyBreaker to save actual flight hours by presenting aircrews with high-fidelity, simulator-based training. The SkyBreaker facility houses a complex networked system designed to provide an entire squadron with the tools to practice modern air combat using SkyScen™, a sophisticated computer generated forces (CGF) solution, in a fully integrated military setting.

 

About Elbit Systems

Elbit Systems Ltd. is an international high technology company engaged in a wide range of defense, homeland security and commercial programs throughout the world. The Company, which includes Elbit Systems and its subsidiaries, operates in the areas of aerospace, land and naval systems, command, control, communications, computers, intelligence surveillance and reconnaissance ("C4ISR"), unmanned aircraft systems, advanced electro-optics, electro-optic space systems, EW suites, signal intelligence systems, data links and communications systems, radios and cyber based systems. The Company also focuses on the upgrading of existing platforms, developing new technologies for defense, homeland security and commercial aviation applications and providing a range of support services, including training and simulation systems.

 

For additional information, visit: www.elbitsystems.com, follow us on Twitter or visit our official Youtube Channel

 

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:25
photo 3e REi / FAG

photo 3e REi / FAG

 

09/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 3 juin 2015, au Brésil, a eu lieu la remise des diplômes aux élèves du stage de Manaus. Un stage de 11 semaines que garderont longtemps en mémoire les deux stagiaires du 3e régiment étranger d’infanterie (REI) et du 2e REI y participant. A l’occasion de cette cérémonie, une délégation des forces armées en Guyane (FAG) s’est rendue au Brésil du 31 mai au 4 juin 2015.

 

Ce stage, destiné en premier lieu aux brésiliens mais ouvert aux candidats étrangers en vertu d’accords internationaux, est une mise à l’épreuve tant physique que mentale. « Il faut une bonne capacité physique car les tests d’entrée sont très sélectifs. Dès les premiers jours, nous avons des tests écrits et des tests physiques : natation, courses à pied, tractions, abdos, etc. », nous dit un ancien stagiaire, instructeur au centre d’entraînement en forêt équatoriale (CEFE). Il ajoute :« l’épreuve la plus difficile pendant les tests dont je me souviens est la flottaison dans la piscine en tenue de combat pendant 15 minutes. Le fameux : « nagez sur place » ! ».

 

Le stage dans la forêt brésilienne, qui s’étale sur 11 semaines, est composé de 3 parties. La 1re concerne la phase survie en forêt. La 2e met l’accent sur les techniques et les capacités d’évolution en forêt amazonienne : la topographie y compris fluviale, les parcours naturels, les tirs, les hélicordages, le drope, cordes lisses. Enfin, la phase combat et préparation des missions clôture ce stage.

 

« Si le stage est très physique, le mental joue un rôle crucial pour arriver au terme du stage. Ce qui fait la particularité du stage de Manaus est l’absence d’horaire … A toute heure du jour et de la nuit, il faut être prêt au coup de sifflet de l’instructeur. Au moindre retard, la punition tombe : aller dans l’eau, sac à dos sur le dos pendant l’instruction, etc. Une lutte incessante contre la fatigue », souligne l’instructeur du CEFE. Au-delà de la condition physique, il est indispensable de maintenir une bonne hygiène de vie malgré les conditions climatiques et l’environnement hostile. « Beaucoup d’abandons sont liés aux conditions d’hygiène précaires, à l’humidité … », ajoute-t-il. Du temps de sa formation, 110 personnels s’y étaient présentés, il n’en restait que 60 après les tests. Seuls 38 militaires ont terminé la formation !

 

A 7 000 km de la métropole, les forces armées en Guyane (FAG) garantissent la protection du territoire national et de ses ressources. Fréquemment engagées en appui de l’action de l’Etat dans des missions au caractère interministériel, les FAG agissent sur un territoire rendu exigeant par son étendue (1 100 km de frontières terrestres), son littoral difficile et sa forêt équatoriale.

photo 3e REi / FAGphoto 3e REi / FAGphoto 3e REi / FAG
photo 3e REi / FAG

photo 3e REi / FAG

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories