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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:50
Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be

Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be

 

24/03/2015 Victoria Timmermans –MIL.be

 

Depuis ce mardi 24 mars, le Movement Control Group (MCG) a un nouveau chef de corps.  Le major Christophe Bruyère a pris la relève du lieutenant-colonel Dominique Libert.

 

Après un peu plus de trois ans de bons et loyaux services en tant que chef de corps du MCG, le lieutenant-colonel Libert a cédé sa place. « Je n’ai pas vu le temps passer tant les missions étaient nombreuses, variées, prenantes et palpitantes », déclare-t-il devant la tribune.

 

Au moment de céder le flambeau, il a souhaité beaucoup de succès et de courage à son successeur. Pour le major Bruyère, assumer cette nouvelle fonction représente avant tout un honneur. « C’est une marque de confiance de mes supérieurs hiérarchiques. Pour moi, cela représente une grande fierté ainsi qu’un nouveau défi à relever », affirme-t-il quelques minutes avant son investiture.

 

Au cours de la cérémonie, trois autres militaires ont également été mis à l’honneur pour leurs missions opérationnelles en Afghanistan et au Liban. Le général-major Jean-Paul Deconinck, commandant de la Composante Terre, les a décorés d’une médaille commémorative belge sous les applaudissements de la tribune.

 

Le nouveau chef de corps, le major Bruyère, a salué son bataillon au son de l’hymne national interprété par la Musique Royale de la Marine. Il a ensuite mené le défilé qui a mis fin à la cérémonie officielle.

Photo Jürgen Braekevelt – MIL.bePhoto Jürgen Braekevelt – MIL.be
Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be

Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:45
Defense Minister Chang Wanquan with Namibia's President Hage Geingob in Windhoek, Namibia, March 30, 2015. (photo Xinhua - Wu Changwei)

Defense Minister Chang Wanquan with Namibia's President Hage Geingob in Windhoek, Namibia, March 30, 2015. (photo Xinhua - Wu Changwei)

 

01 April 2015 by defenceWeb

 

China’s defence minister Chang Wanquan has visited Namibia, where he announced the donation of N$58 million worth of military equipment to the Namibian government.

 

Wanquan was accompanied by a delegation comprising 15 army, navy and air force officials. He said the decision to donate the equipment is part of an effort to improve defence cooperation with Namibia.

 

Wanquan said suggestions that China plans to establish a naval base in Namibia were just rumours and that rumours “can destroy a country”.

 

Namibian President Hage Geingob met Wanquan in the capital Windhoek on 30 March, saying the two countries are “all-weather” partners with solid cooperation in political, economic and military affairs.

 

Namibia is willing to make joint efforts with China to push forward state and military relations between the two countries and the two militaries, Geingob told his Chinese guest, Xinhua reports.

 

Also on Monday, Wanquan visited Sam Nujoma, the founding president of Namibia, and held talks with his Namibian counterpart.

 

Last week Wanquan visited Zimbabwe as part of a goodwill visit to Namibia and Zimbabwe.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:40
Su-30MK russe photo Sukhoi

Su-30MK russe photo Sukhoi

 

30 mars 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Sukhoi vient de livrer au Kazakhstan les 4 derniers Su-30SM de la première phase d’une commande, annoncée en février, portant sur la construction et l’exportation d’un nombre total de 36 appareils au Kazakhstan. Ce contrat s’inscrit dans un ambitieux programme de développement d’un avion de chasse datant de l’époque soviétique.

 

Le projet Su-remonte à l’ère soviétique et plus précisément au lancement, en 1988, de la conception d’un avion d’attaque au sol inspiré de l’avion d’entrainement au combat Su-27UB. Quatre ans plus tard, le 14 avril 1992, le premier avion de série décollait avec succès. Apres l’effondrement de l’URSS, toutefois, la production de masse a ralenti avant de cesser complètement et le Su-30 a principalement été utilisé pour des essais et expositions dans des salons aéronautiques internationaux. La production du Su-30 d’origine a fini par s’arrêter alors que les ingénieurs s’employaient à libérer le plein potentiel de l’appareil. La conception du Su-30MK (M pour modernisé et K pour commercial) a débuté en 1992.

 

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:40
Hélicoptère Ka-27 - photo Russian Helicopters

Hélicoptère Ka-27 - photo Russian Helicopters

 

30.03.2015 sputniknews.com

 

L'exercice aéronaval qui a débuté lundi dans l'Extrême-Orient russe est la plus importante depuis la chute de l'URSS.

 

Le plus grand exercice de l'aviation et des forces navales depuis la chute de l'Union soviétique a commencé lundi dans l'Extrême-Orient russe, a annoncé une source au sein du ministère de la Défense. L'exercice réunit plus de 100 avions et hélicoptères de différentes classes, des systèmes sol-air S-300 et S-400 et des bâtiments de guerre de la Flotte russe du Pacifique.

 

Ces manœuvres ont pour but de perfectionner les techniques de transfert de l'aviation et de riposte à une frappe massive contre les bases navales russes.

 

Le service de presse de la Flotte du Pacifique a fait état lundi d'une phase de l'exercice liée à la vérification des systèmes de liaison et à la coopération entre aéronefs et navires.

 

"L'exercice qui s'est déroulée sur la base aérienne d'Elisovo visait à perfectionner l'utilisation opérationnelle des avions Il-38 et des hélicoptères Ka-27 pour effectuer des missions de reconnaissance et rechercher des cibles navales. Les équipages ont rempli des missions de débarquement et d'évacuation de blessés conventionnels de la zone d'opération",  a annoncé Roman Martov, porte-parole de la Flotte du Pacifique.

 

Selon le porte-parole, une attention particulière été accordée à la coopération au sein des binômes et des sections d'avions, ainsi qu'entre les aéronefs et les bâtiments faisant partie des groupes de recherche et de reconnaissance.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:30
source Egyptdailynews.com

source Egyptdailynews.com

 

01/04/2015 latribune.fr (AFP)

 

Après la suspension de la livraison en 2013 pour cause de répression sanglante en Egypte, le président américain a annoncé la livraison d'avions de chasse, de missiles et de pièces détachées pour char

 

Le président américain Barack Obama a informé mardi son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi qu'il levait le gel sur la livraison d'avions de chasse F-16, de missiles Harpoon et pièces détachées pour chars Abrams M1A1.

Cette suspension avait été imposée en octobre 2013 à la suite de la répression sanglante contre les partisans du président Mohamed Morsi, destitué par l'armée le 3 juillet 2013.

 

L'Egypte impliquée au Yémen

Ces décisions doivent permettre de répondre aux intérêts communs des deux pays "dans une région instable", a indiqué l'exécutif américain dans un communiqué.

Impliquée dans la lutte contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) en Libye, l'Egypte participe par ailleurs à la coalition arabe, dirigée par l'Arabie Saoudite, qui mène une intervention militaire au Yémen pour contrer l'avancée des rebelles chiites Houthis. L'annonce porte sur 12 avions de chasse F-16 et 20 missiles Harpoon, a précisé la Maison Blanche.

Lors de cette conversation téléphonique, M. Obama a aussi indiqué au président égyptien qu'il continuerait à demander une aide annuelle de 1,3 milliard de dollars (1,2 milliard d'euros) pour l'Egypte au titre de l'assistance militaire.

 

1,5 milliard de dollars d'aide à l'Egypte

Les Etats-Unis allouent chaque année 1,5 milliard de dollars (1,4 milliard d'euros) d'aide à l'Egypte, dont 1,3 milliard dans le domaine militaire. Une partie de celle-ci avait été gelée après la destitution de M. Morsi, élu démocratiquement un an et demi après la chute de Hosni Moubarak à l'issue d'une révolte populaire.

Washington avait conditionné la reprise de cette aide à des réformes démocratiques, avant d'admettre qu'il ne pouvait plus bouder le plus peuplé et mieux armé des pays arabes notamment face à la progression des jihadistes de l'EI.

M. Sissi, qui a lancé mi-février ses avions de combat dans un raid contre l'EI en Libye, est le principal chef d'Etat de la région qui réclame la formation d'une force arabe commune pour faire face à cette menace.

La Maison Blanche précise que, lors de cet échange téléphonique, M. Obama a également réitéré les inquiétudes américaines concernant l'emprisonnement d'activistes non-violents ainsi que les procès de masse. Il a appelé au respect de "la liberté d'expression et de rassemblement".

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:30
The destroyed streets of Yarmouk. photo UNRWA

The destroyed streets of Yarmouk. photo UNRWA

 

01 avril 2015 Romandie.com (AFP)

 

Damas - Les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) se sont emparés mercredi de la plus grande partie du camp palestinien de Yarmouk, dans le sud de Damas, a affirmé à l'AFP le directeur des affaires politiques de l'OLP en Syrie, Anouar Abdel Hadi.

 

Les combattants de l'EI ont pris d'assaut ce matin le camp de Yarmouk et se sont emparés de la plus grande partie du camp, a précisé ce responsable de l'Organisation de la Libération de la Palestine, faisant état de combats qui se poursuivaient à l'intérieur avec des groupes armés.

 

L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a également confirmé que le groupe extrémiste contrôlait une grande partie du camp, après des combats contre un groupe armé palestinien hostile au régime de Bachar al-Assad. Ils se sont infiltrés à partir de la localité rebelle Hajar al-Aswad, contiguë au camp.

 

Le camp de Yarmouk, le plus grand des camps palestiniens de Syrie, comptait près de 160.000 habitants syriens et palestiniens avant le début de la guerre en Syrie il y a quatre ans, contre seulement 18.000 personnes actuellement.

 

En février 2014, les groupes rebelles syriens s'étaient retirés du camp à l'issue d'un accord avec les organisations palestiniennes armées anti-régime.

 

Les habitants souffrent de pénuries de nourriture, d'eau et de médicaments en raison d'un siège presque total imposé depuis plus d'un an par le régime.

 

L'émergence de l'EI dans le conflit syrien a compliqué la donne car si le groupe extrémiste considère le régime de Damas comme son ennemi, il combat également tous les groupes rebelles, dans sa quête d'hégémonie territoriale.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 15:50
Drone Male : un marché de dupes pour Paris ?

Armement Berlin achète une partie d'un satellite d'observation CSO (210 millions d'euros sur 300 millions au total) à la France tout en exigeant un retour d'activités. Du coup Paris offre à Berlin la part industrielle principale du futur drone MALE (credits Airbus DS)

 

01/04/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

L'Allemagne achète une partie d'un satellite d'observation CSO (210 millions d'euros sur 300 millions au total) à la France. En contrepartie, Paris offre à l'Allemagne la part industrielle principale du futur drone MALE (Moyenne Altitude Longue Endurance) européen.

 

Incroyable... La France laisse le leadership à l'Allemagne dans les drones MALE. Pourquoi? Parce que Berlin achète une partie d'un satellite d'observation CSO (210 millions d'euros sur 300 millions au total) à Paris tout en exigeant un retour d'activités pour son industrie qui n'a développé aucune compétence pour ce type de matériel. Du coup, la France, très  généreuse (beaucoup trop?) dans ses coopérations, offre à l'Allemagne la part industrielle principale du futur drone MALE (Moyenne Altitude Longue Endurance) européen, un système d'armes pourtant stratégiques pour les armées qui interviennent en opération extérieure comme l'armée française à l'inverse de son homologue allemande.

L'argumentaire "à la France les satellites d'observation optique, à l'Allemagne le drone Male européen" ne tient pas pour des raisons en partie historique, opérationnelle et de bon sens. Car l'Allemagne raccroche les wagons sur un programme déjà lancé et qu'elle a refusé à de nombreuses reprises. En revanche, elle va prendre le leadership d'un futur programme de drone MALE si il est un jour lancé. Car l'histoire d'un programme MALE européen a déjà une longue histoire agitée.

 

Une coopération refusée par l'Allemagne

En occultant l'histoire des programmes de satellites d'observation optique et des drones MALE européens, la signature de cette coopération entre la France et l'Allemagne serait beaucoup moins scandaleuse. Mais voilà, il y a l'histoire. Faut-il rappeler que Berlin a refusé à plusieurs reprises une coopération avec Paris à la fin des années 80 pour développer les satellites d'observation optique Hélios 1, puis dans les années 90. Officiellement en raison des nuages qui pouvaient limiter les capacités opérationnelles des satellites, selon Berlin. Mais dans les faits, ce serait bien les États-Unis qui ont fait pression sur l'Allemagne pour faire capoter cette coopération.

Du coup, Berlin a préféré développer des satellites radar SAR-Lupe. Une fois encore, la France est revenue à la charge en proposant une coopération à l'Allemagne. En vain. En dépit du refus de l'Allemagne et d'un certain nombre de pays européens, la France a malgré tout poursuivi le développement d'Hélios 1 et est devenue le pays européen référent en matière d'observation optique avec les satellites Hélios, puis Pléiades. Finalement l'Italie, et l'Espagne sont rentrées dans le programme Hélios. Puis en 2010, la France a lancé, à nouveau seule, le programme CSO (Composante Spatiale Optique) pour remplacer les satellites Hélios. Le système comprend 2 satellites pour les armées françaises.

 

Retour industriel, la question clef

Récemment encore, le délégué général pour l'armement (DGA), Laurent Collet-Billon, avait poussé en novembre dernier un coup de gueule sur la coopération franco-allemande, notamment dans le spatial. Les industriels allemands pointaient un retour industriel faible pour l'Allemagne, le troisième satellite devant être majoritairement construit à Toulouse. Mais à qui la faute?

"Les sujets de coopération avec l'Allemagne sont aujourd'hui extrêmement faibles. On parle depuis des années d'une coopération autour des satellites d'observation, d'une énième version de drone franco-italo-allemand, et c'est tout". S'agissant du programme qui va succéder à Hélios, Laurent Collet-Billon s'est montré très critique envers l'Allemagne :"Où en sommes-nous de la politique spatiale ? Nulle part ! On discute toujours avec l'Allemagne de la construction d'un troisième satellite CSO à son profit. La question tourne autour de ce que ce pays pourrait récupérer industriellement en retour. Des questions se posent, à l'infini, sur l'accès aux images et leur transmissibilité à des tiers. (...) L'Allemagne propose de construire un satellite intégralement réalisé par OHB, une société allemande..."

Car Berlin souhaitait confier à OHB et Airbus Defence and Space Allemagne la réalisation d'un satellite d'observation optique. "Avec 200 millions d'euros, c'était une utopie, estime un bon connaisseur du spatial militaire. Ils auraient eu un satellite avec une performance de type Pléiades au maximum".

 

La France profitera d'un troisième satellite CSO

Pour autant, pour être complet, la France trouve également son intérêt dans la construction d'un troisième satellite CSO. Un quadruple intérêt même. Avec un troisième satellite qui est cofinancé, la répétitivité du système est augmentée : les satellites passent beaucoup plus vite au-dessus de la zone qui doit être surveillée. Clairement, un plus pour l'armée française mais aussi allemande, qui aura accès à "un certain pourcentage de droits d'accès aux images" des trois satellites.

Les industriels Airbus Defence and Space et Thales Alenia Space récupèrent de la charge de travail qui est toujours la bienvenue. Enfin, le choix allemand d'acheter un satellite de fabrication française permet aux établissements français de ne pas être confronté à termes à une concurrence allemande (OHB ou Airbus Defence and Space Allemagne).

 

Drone Male : une erreur stratégique de la France?

Comment la France peut-elle laisser le manche à l'Allemagne alors que bien rares sont les pays qui disposent d'autant de compétences grâce aux Dassault Aviation, Airbus, Safran et autres Thales pour créer une filière industrielle solide? La France, pourtant si fière de son autonomie stratégique en matière militaire, est contrainte, après avoir été obligé d'acheter aux États-Unis les fameux Reaper (faucheuse en français), de se mettre dans la roue de l'Allemagne.

En juin 2007, Charles Edelstenne évoquait déjà un problème sur le projet européen EuroMale, l'ancêtre de ce nouveau programme et qui avait avorté : "le budget français, déjà contraint, va servir à dupliquer hors de France des compétences qui existent déjà en France, explique-t-il alors lors d'une conférence de presse. Je le déplore et les leçons des programmes en coopération ne sont pas apprises". Sous-entendu, on développe des compétences en Allemagne, qui ne les a pas.

Le coût de développement du futur drone de reconnaissance de type MALE qui devrait voir le jour à l'horizon 2025 s'il aboutit, s'élèverait à environ un milliard d'euro. Une étude de faisabilité, qui représentera 60 millions d'euros, sera signée à l'occasion du salon aéronautique du Bourget. L'Allemagne, la France et l'Italie mettraient chacun 20 millions d'euros.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 12:55
Stéphane Chéry photo Airbus Helicopters

Stéphane Chéry photo Airbus Helicopters

 

31 mars Aerobuzz.fr

 

Stéphane Chery a été nommé Directeur de la Stratégie digitale d’Airbus Helicopters, rattaché à Clive Schley, Directeur de la Stratégie et du Marketing. Dans ses fonctions, il sera chargé de mettre en œuvre « la vision et les objectifs clés de l’entreprise dans ce domaine, développant ainsi la culture et les comportements en cohérence avec les technologies introduites dans l’ensemble de la société », précise le constructeur.

 

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:55
Caporal-chef Fred, portrait d’un commando


01/04/2015 SCH Beltran - Armée de Terre

 

Le 2e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (2e RPIMa) de l’île de la Réunion dispose en son sein de groupes commandos parachutistes (GCP). Soldats d’élite, ils sont aptes à faire face à toutes les situations d’urgence. Le caporal-chef Fred est un de ceux-là. 

Il témoigne

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:55
photo Aviso LV Le Hénaff – Marine nationale

photo Aviso LV Le Hénaff – Marine nationale

 

25 mars 2015 par Aviso LV Le Hénaff – Marine nationale

 

Entré en arrêt technique le 15 décembre dernier pour une durée initiale de 6 semaines, le LV Le Hénaff se trouve aujourd’hui encore au bassin.

 

En effet, après la découverte de plusieurs problèmes techniques sur l’appareil à gouverner, les lignes d’arbres et les chaises de lignes d’arbres, la durée de l’arrêt technique s’est vue largement allongée pour résoudre ces désordres structurels.

 

Cette période importante et nécessaire pour le maintien en condition opérationnelle du bâtiment implique un quotidien bien différent des déplacements en mer ou même des périodes à quai. Entre les nombreux travaux réalisés à bord et les entrainements à terre dans tous les domaines, l’équipage reste très sollicité.

 

La sortie du bassin prévue début avril est attendue par tous et promet par la suite de nouvelles périodes d’activité intense pour le bâtiment.

photo Aviso LV Le Hénaff – Marine nationalephoto Aviso LV Le Hénaff – Marine nationale

photo Aviso LV Le Hénaff – Marine nationale

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:50
Photos : Malek Azoug – Mil.be

Photos : Malek Azoug – Mil.be

 

25/03/2015 MIL.be

 

Ce mardi 24 mars, le ministre de la Défense Steven Vandeput a rendu visite au détachement du 1/3 Bataillon de Lanciers au camp de Sennelager en Allemagne. Cette unité de combat de Marche-en-Famenne s’entraîne en vue de sa mission au Mali, prévue plus tard dans l’année.

 

Le ministre voulait avant tout découvrir la réalité et l’importance des entraînements à l’étranger. Le camp d’entraînement allemand de Sennelager a une superficie d’environ 120 km². Les militaires peuvent y organiser des exercices de grande envergure. Ils ont également la possibilité de s’entraîner de manière dynamique avec leur matériel dans des conditions presque réelles. Pour les militaires, cet entraînement représente une condition préalable afin de pouvoir assurer la sécurité lors de leurs missions à l’étranger.

 

Le ministre Vandeput a assisté à une démonstration réaliste et a pu faire ensuite connaissance avec les véhicules du bataillon. Selon le ministre, chaque engagement à l’étranger doit satisfaire à trois conditions : une mission clairement définie, avec des risques calculés qui permettent d’assurer la sécurité des militaires, et qui représente également une plus-value pour la Défense.

 

 

Photos : Malek Azoug – Mil.bePhotos : Malek Azoug – Mil.be
Photos : Malek Azoug – Mil.bePhotos : Malek Azoug – Mil.bePhotos : Malek Azoug – Mil.be
Photos : Malek Azoug – Mil.bePhotos : Malek Azoug – Mil.be

Photos : Malek Azoug – Mil.be

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:50
photo MIL.be

photo MIL.be

 

27/03/15 – 7sur7.be

 

L'armée belge, professionnalisée depuis près de vingt ans, ne compte plus que 5.806 militaires de réserve, dont seuls moins de 1.200 sont "entraînés" - et donc engageables -, a indiqué le ministre de la Défense, Steven Vandeput, en réponse à une question parlementaire.

 

Ce nombre devrait continuer à se réduire au cours des prochaines années, car "un grand nombre de réservistes" seront atteints par la limite d'âge. Au 27 janvier dernier, la Défense comptait 5.806 réservistes, dont environ 70% sont des ex-miliciens, 26% des ex-militaires de carrière (encore soumis à cette obligation) et 4% des militaires de réserve recrutés comme tels.

 

Mais sur ce total, seuls 1.196 sont des "réservistes entraînés" susceptibles d'être "engagés, notamment pour des tâches d'appui en fonction de leurs compétences professionnelles", a précisé M. Vandeput (N-VA) en réponse à une question écrite de la députée Karolien Grosemans (elle aussi membre du parti nationaliste flamand), qui préside la commission de la défense de la Chambre.

 

Selon le ministre, ces cinq dernières années, le nombre de militaires de réserve est resté stable et "fluctue autour de 1.200 réservistes entraînés". Mais il est donc appelé à décroître au cours des cinq prochaines années. La Belgique avait renoncé à la conscription le 3 juillet 1992, à l'initiative du ministre de la Défense de l'époque, Leo Delcroix, peu après la fin de la Guerre froide. Les 819 derniers miliciens avaient été démobilisés le 28 février 1995, sur décision de son successeur, Karel Pinxten.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:50
MI6 must win the technology arms race to defeat our foes

Britain named career spy Alex Younger as the new head of its MI6 Secret Intelligence Service - photo UK gov

 

01 Apr 2015 By Con Coughlin, Defence Editor - TheTelegraph

 

Despite the setbacks caused by Edward Snowden's revelations, Britain's spy agencies need to be fully equipped for the digital age

 

Modern espionage has changed beyond recognition in the hundred or so years since Britain’s Secret Intelligence Service was set up. Its founding father was, after all, an eccentric former naval officer who, according to legend, amputated one of his legs following a car crash in France.

Back in 1909, when Captain Sir Mansfield Cumming set up the outfit more commonly known as MI6 in a rented office on the sixth floor of a building overlooking the old War Office in Whitehall, the chief obsession among the organisation’s early practitioners was to develop an invisible ink. This was to be used by agents based on the Continent to send back secret messages relating to Germany’s military build-up.

 

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:50
Photo  Jürgen Braekevelt – MIL.be

Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be

 

25/03/2015 Victoria Timmermans – MIL.be

 

Le 22 mars, dans le cadre d’un exercice bataillon, le 1/3 Bataillon de Lanciers a pris d’assaut un village fictif du camp d’entraînement militaire de Sennelager en Allemagne. Ce village était aux mains d’insurgés.

 

À l'aube, les Lanciers ont clôturé leur exercice de grande envergure de 48 heures en attaquant le village afin de le libérer des insurgés. Vers 7h30, l’assaut a été ordonné par le colonel Hoggart depuis son véhicule de commandement tactique, un Dingo.

 

Petit à petit, les militaires ont envahi les rues d’un village construit de toutes pièces pour ce type d’entraînement. Un exercice qui a pourtant semblé réel bien que les munitions aient été à blanc. Peu de risques donc mais un haut niveau de concentration était requis malgré tout.

 

Les Lanciers ont assez rapidement repéré où étaient retranchés les insurgés et ont fait le maximum pour reprendre le contrôle du village. Après avoir été évalué au niveau bataillon l’année dernière, le 1/3 Bataillon de Lanciers a, à nouveau, fait preuve de professionnalisme.

Photo : Jürgen Braekevelt – MIL.bePhoto : Jürgen Braekevelt – MIL.be
Photo : Jürgen Braekevelt – MIL.be
Photo : Jürgen Braekevelt – MIL.bePhoto : Jürgen Braekevelt – MIL.bePhoto : Jürgen Braekevelt – MIL.be

Photo : Jürgen Braekevelt – MIL.be

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:50
Les priorités de la planification de défense au menu des entretiens des directeurs nationaux des armements

 

30 Mar. 2015 par NATO

 

Comment la coopération multinationale et une collaboration accrue avec l'industrie peuvent-elles contribuer à développer les capacités requises pour faire face aux défis de sécurité actuels ? Tel était le thème des discussions menées à la réunion semestrielle de la Conférence des directeurs nationaux des armements (CDNA), le 26 mars à Bruxelles (Belgique).

 

« La CDNA est le cadre idéal pour débattre des plans nationaux et parvenir à des résultats concrets en termes de projets d'armements multinationaux », a déclaré Patrick Auroy, secrétaire général adjoint pour l'investissement de défense et président permanent de la Conférence.

Les hauts responsables nationaux chargés des acquisitions d'équipements de défense dans les pays de l'OTAN ont été informés de l'état d'avancement des principaux programmes relevant des domaines de compétence de la CDNA :

  • renseignement, surveillance et reconnaissance interarmées ;
  • capacité alliée de surveillance terrestre ;
  • système aéroporté de détection lointaine et de contrôle de l'OTAN ;
  • futur système de surveillance et de contrôle de l'Alliance ;
  • défense antimissile balistique.

Les discussions ont également porté sur la volonté d'optimiser la contribution de la CDNA aux priorités actuelles de l’Alliance, en particulier par des initiatives de coopération multinationale. Plusieurs pays ont fait des exposés sur les activités menées au niveau national, notamment dans le cadre de la « défense intelligente », pour répondre aux besoins capacitaires de l'OTAN.

La CDNA a été informée des plans visant à accroître la réactivité de l'Alliance. Les participants ont décidé d'entreprendre des travaux de suivi pour identifier les contributions pouvant être apportées par la communauté des armements à certaines mesures décrites dans le plan d’action « réactivité ».

 

Collaborer plus tôt avec l'industrie

Les participants ont eu un échange de vues dynamique et fructueux sur les solutions qui permettraient à l'industrie de contribuer à mieux répondre aux besoins capacitaires de l'OTAN, et sur les mesures pouvant être prises pour faciliter la contribution de l'industrie. Les recommandations découlant de ce débat guideront les travaux en cours sur la mise en œuvre du cadre pour la collaboration OTAN-industrie.

« Nous identifierons des moyens pouvant permettre d'améliorer les relations de l'OTAN avec les fournisseurs suivant la philosophie qui consiste à “dépenser mieux” », a expliqué M. Auroy.

 

L’engagement en matière d'investissements de défense

La CDNA a salué l'engagement en matière d'investissements de défense pris par les dirigeants des pays de l’Alliance réunis au sommet du pays de Galles en septembre 2014.

En particulier, l'engagement pris de consacrer au moins 20 % des dépenses annuelles de défense à l'acquisition de nouveaux équipements majeurs, y compris la recherche et développement y afférente, a été vu comme une occasion de répondre aux insuffisances capacitaires et de prendre des décisions plus intelligentes en matière d'investissements de défense.

La prochaine réunion de la CDNA se tiendra à l'automne 2015.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:50
Le cockpit dispense un nombre incalculable d’informations. Photo Daniel Orban – MIL.be

Le cockpit dispense un nombre incalculable d’informations. Photo Daniel Orban – MIL.be

 

31/03/2015 Virginie Flawinne – MIL.be

 

Les pilotes de la version navale du NH90 suivaient un entraînement intensif les deux dernières semaines du mois de mars en Italie. Ils s’y sont entraînés à affronter toutes sortes de situations qu’ils risqueraient de rencontrer au-dessus de la mer du Nord lors de missions de sauvetage.

 

La société Rotorsim abrite le simulateur NH90 de la Défense néerlandaise. Les pilotes de la base de Coxyde s’y exercent comme en pleine mer. « C’est très réaliste, on s’y croirait », vante le capitaine aviateur Eline Leurs. « On peut y simuler à peu près tout. C’est très utile, surtout pour cet appareil qui est l’un des plus complexes actuellement. »

 

 Photo Daniel Orban – MIL.be
 Photo Daniel Orban – MIL.be Photo Daniel Orban – MIL.be Photo Daniel Orban – MIL.be
 Photo Daniel Orban – MIL.be Photo Daniel Orban – MIL.be
 Photo Daniel Orban – MIL.be Photo Daniel Orban – MIL.be

Photo Daniel Orban – MIL.be

Eline est la plus jeune pilote de la version navale du NH90, l’hélicoptère remplaçant prochainement le Sea King. NH90 NFH et Sea King commenceront à alterner les vols de Search and Rescue (SAR) dès septembre. Il est donc temps que les pilotes soient fins prêts à maîtriser la nouvelle perle technologique, qu’un fossé sépare des précédents hélicoptères de la Défense.

 

« L’intérêt de la formation sur simulateur est notamment qu’il est des situations trop dangereuses à tester en conditions réelles », avance le major aviateur Kristof Geerts, responsable NH90 NFH de la base de Coxyde. Les pilotes apprennent à affronter toutes les situations pour continuer à sauver des vies lors de leurs missions SAR en mer du Nord.

Vidéo : Erwin Ceuppens

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:40
Armor: Why The T-72 Survives

T-72B3 - photo Military-today

 

March 31, 2015: Strategy Page

 

A Russian motorized infantry brigade in Western Siberia recently received fifteen modernized T-72B3 tanks. This is a modernized version of T-72 with an improved fire control system and next-generation communications equipment. The delivery was of the Russian effort to modernize its armed forces. Russia has over 5,000 T-72 tanks in use (2,000 in active service and 3,000 in reserve) and most of them are Cold War (pre-1991) vintage and seriously out-of-date compared to American, European and Chinese tanks.

 

The T-72 is a Soviet second-generation tank that entered production in 1971. About 20,000 T-72 tanks were built, making it one of the most widely produced post–World War II tanks, second only to the T-54/55 family. The T-72 was widely exported and saw service in 40 countries and in numerous conflicts. Improved variants are still being built for export customers. The T-72 was the most common tank used by the Warsaw Pact from the 1970s to the collapse of the Soviet Union. It was also exported to other countries, such as Finland, India, Iran, Iraq, Syria, and the former Yugoslavia, as well as being copied elsewhere, both with and without licenses.

 

Licensed versions of the T-72 were made in Poland and Czechoslovakia, for other East European countries. These tanks had better and more consistent quality of make but inferior (to Russian made models) armor, lacking the resin-embedded ceramics layer inside the turret front and glacis armor. The Polish-made T-72G tanks also had thinner armor compared to Soviet Army standard (410 mm for turret). Before 1990, Soviet-made T-72 export versions were similarly downgraded for non-Warsaw Pact customers (mostly the Arab countries). Many parts and tools are not interchangeable between the Russian, Polish and Czechoslovakian versions, which caused logistical problems.

 

The T-72 shares many design features with earlier Soviet tanks. Some of these are viewed as deficiencies in a straight comparison to NATO tanks, but most are a product of the way these tanks were envisioned to be employed, based on the Soviets' practical experiences in World War II. The T-72 is extremely lightweight, at forty-one tons, and very small compared to their Western counterparts. Some of the roads and bridges in former Warsaw Pact countries were designed so that T-72s can easily use them while NATO tanks could not pass at all, or only at very low speed.

 

The basic T-72 is relatively underpowered, with a 780 hp (580 kW) supercharged version of the basic 500 hp (370 kW) V-12 diesel engine block originally designed for the World War II-era T-34. The 0.58 m (23 inch) wide tracks run on large-diameter road wheels, which allows for easy identification of the T-72 and descendants (the T-64/80 family has relatively small road wheels).

 

The T-72 has a comprehensive nuclear, biological, and chemical (NBC) protection system. The inside of both hull and turret is lined with a synthetic fabric made of boron compound, meant to reduce the penetrating radiation from neutron bomb explosions. The crew is supplied clean air via an extensive air filter system. A slight over-pressure prevents entry of contamination via bearings and joints. Use of an autoloader for the main gun allows for more efficient forced smoke removal compared to traditional manually loaded ("pig-loader") tank guns, so NBC isolation of the fighting compartment can, in theory, be maintained indefinitely. Exported T-72s do not have the anti-radiation lining.

 

Armor protection of the T-72 was strengthened with each succeeding generation. The original T-72 turret is made from conventional cast armor. It is believed the maximum thickness is 280 mm (11 inches), the nose is about 80 mm (3.1 inches) and the glacis of the new laminated armor is 200 mm (7.9 inches) thick, which when inclined gives about 500–600 mm (20–24 inches) thickness along the line of sight. Late model T-72s feature composite armor protection.

 

The T-72A featured a new turret with thicker but nearly vertical frontal armor. The cast steel turret included a cavity filled with quartz or sand. The T-72M (export version of the Soviet T-72A) featured a different armor protection compared to the T-72A: it had a different composite insert in the turret cavity which granted it less protection against HEAT and armor-piercing (AP) munitions. The modernized T-72M1 featured an additional 16 mm (0.63 inch) of armor on the glacis plate, which produced an increase of 32 mm (1.3 inch) horizontally against both HEAT and AP. It also featured a newer composite armor in the turret with pelletized filler agent.

 

Several T-72 models featured explosive reactive armor (ERA), which increased protection primarily against HEAT type weapons. Certain late-model T-72 tanks featured heavy ERA to help defeat modern HEAT and AP against which they were insufficiently protected. Late model T-72s, such as the T-72B, featured improved turret armor, visibly bulging the turret front. The turret armor of the T-72B was the thickest and most effective of all Soviet tanks; it was even thicker than the frontal armor of the T-80B. The T-72B used a new "reflecting-plate armor" in which the frontal cavity of the cast turret was filled with a laminate of alternating steel and non-metallic (rubber) layers. The glacis was also fitted with 20 mm (0.8 in) of appliqué armor. The late production versions of the T-72B/B1 and T-72A variants also featured an anti-radiation layer on the hull roof.

 

Early model T-72s did not feature side skirts; instead the original base model featured gill or flipper-type armor panels on either side of the forward part of the hull. When the T-72A was introduced in 1979, it was the first model to feature the plastic side skirts covering the upper part of the suspension, with separate panels protecting the side of the fuel and stowage panniers.

 

After the collapse of the Soviet Union, U.S. and German analysts had a chance to examine Soviet-made T-72 tanks equipped with Kontakt-5 ERA, and they found this ERA impenetrable to most modern American and German tank projectiles. This sparked the development of more modern Western tank ammunition, such as the M829A2 and M829A3. Russian tank designers responded with newer types of reactive armor, including Relikt and Kaktus.– Ryan Schinault

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:40
Sukhoï Su-34 bombardier tactique photo Maya Chelkovnikova – Sputnik

Sukhoï Su-34 bombardier tactique photo Maya Chelkovnikova – Sputnik

 

27.03.2015 sputniknews.com

 

Selon un journal US, la Russie modernise avec succès son armée et pourra présenter de nouveaux matériels de guerre lors du défilé de la Victoire du 9 mai prochain.

 

La Russie construit plus de 100 bombardiers de génération 4+ Sukhoi Su-34 dont 16 seront livrés à l'armée dès 2015, rapporte le journal américain Newsweek.

 

Les bombardiers Su-34 remplaceront les Su-24. Leur production en série n'est qu'un élément du programme destiné à moderniser 70% des armements russes d'ici 2020.

 

Le bombardier tactique russe avec des capacités de lutte anti-navire Su-34 (code Otan: Fullback) a un rayon d'action de 4.000 km et sa vitesse maximale est de 1.900 km/h. Il est doté d'un canon de 30 mm et peut emporter une charge de combat de 8.000 kg.

 

Selon le journal, la Russie présentera plusieurs nouveaux matériels de guerre lors du Défilé qui aura lieu sur la place Rouge de Moscou à l'occasion du 70e anniversaire de la Victoire dans la Grande guerre patriotique de 1941-1945.

 

La Russie présentera notamment le blindé Taïfoun-U, le véhicule blindé de combat d'infanterie Kourganets-25 et la plateforme lourde à chenilles Armata, d'après Newsweek.

 

La Marine russe sera elle aussi modernisée. La Russie entend construire ses propres grands navires de débarquement au lieu des porte-hélicoptères Mistral que la France refuse de livrer à Moscou.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:35
JDS Izumo DDH183 helicopter carrier - photo Japan MoD

JDS Izumo DDH183 helicopter carrier - photo Japan MoD

 

March 28, 2015 By Franz-Stefan Gady – The Diplomat

 

Japan now has all the building blocks to field a powerful carrier strike group.

 

This week, Japan’s Maritime Self-Defense Force commissioned the JDS Izumo (DDH-183), a helicopter destroyer, in a ceremony at the JMSDF Yokosuka naval base in Yokohama.

The new carrier’s principal task, although touted as a multi-purpose vessel, will be anti-submarine warfare and command-and-control operations to protect Japanese territories in the East China Sea.

“This heightens our ability to deal with Chinese submarines that have become more difficult to detect,” one Japanese official noted. According to other  JMSDF officials, the ship will also be used for humanitarian aid and disaster relief (HADR) operations.

With a 27,000 tons displacement when fully loaded (some sources state 24,000 tons), the 248 m-long  Izumo-class helicopter carrier is the largest surface combatant in the Japanese fleet to date, and substantially bigger than its predecessor, the Hyūga-class, which yielded 19,000 tons.

The ship will have a crew of around 470 and also can carry up to 400 JSDF troops.  IHS Jane’s Defence Weekly notes about the vessels’s specifications:

Izumo is equipped with an OQQ-22 bow-mounted sonar for submarine prosecution while air defence is provided by two Raytheon RIM-116 Rolling Airframe Missile SeaRAM launchers and two Phalanx close-in weapon systems. (…)

[I]t can embark Sikorsky/Mitsubishi SH-60K Seahawk anti-submarine warfare helicopters and the Izumo class’s air wing will also include two airborne mine countermeasures versions of the Kawasaki Heavy Industries/AgustaWestland MCH-101 helicopter – JMSDF officials claim that the ship will be deployed mainly for border surveillance and humanitarian assistance and disaster relief missions. (..) Officials in Tokyo have also suggested it will embark Bell-Boeing V-22 Osprey tilt-rotor aircraft.

The ship is designed to accommodate up to 14 helicopters (seven Mitsubishi-built SH-60k ASW helicopters and seven Agusta Westland MCM-101 mine countermeasure helicopters), five of which can simultaneously take off and land, given the Izumo’s large flight deck and five landing spots.

USNI News notes that the Izumo could also accommodate fixed wing aircraft – perhaps up to 27 total:

The ship would also be able to field American MV-22s and potentially the short takeoff and vertical landing variant of the Lockheed Martin F-35 Lighting II Joint Strike Fighter (JSF), however Japanese defense officials have repeatedly said they have no plans to use the JSF on the Izumo.

The new carrier is slightly larger than other light carriers, such as the Italian Cavour and the Spanish Principe de Asturias – both of which carry fixed wing aircraft. Total costs of the ship are billed at about 120 billion yen ($1 billion), although they may be as high as $ 1.5 billion.

The naming of the vessel caused some controversy. “[T]he name Izumo itself has historical baggage: the original Izumo, an armored cruiser that participated in the Battle of Tsushima, was purchased with reparations from the first Sino-Japanese War. There is little doubt all parties, particularly the Chinese, are aware of the lineage,” one analyst noted.

The new carrier joined the MSDF’s Escort Flotilla 1 based in Yokosuka, Kanagawa Prefecture. The JS Izumo’s sister ship, also constructed by the IHI Marine United Yokohama Shipyard (which already built the Hyūga-class helicopter destroyers), will be launched this August and is scheduled to be commissioned in March 2017.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:25
Jorge Ledezma Cornejo - photo gob.bo

Jorge Ledezma Cornejo - photo gob.bo

 

01 avril 2015 Romandie.com (AFP)

 

LA PAZ - Le président bolivien Evo Morales a destitué mardi son ministre de la Défense pour avoir porté une veste faisant allusion au conflit maritine entre La Paz et Santiago dans le nord du Chili où il distribuait de l'aide humanitaire à la population touchée par les inondations.

 

Je regrette beaucoup devoir prendre cette décision, mais nous ne pouvons pas commettre ce genre d'erreur, a déclaré le président bolivien lors d'une cérémonie au palais présidentiel, peu après que le ministre, Jorge Ledezma, ait suscité une polémique au Chili en arborant une inscription brodée sur sa veste clamant la mer appartient à la Bolivie alors qu'il livrait un don de 13 tonnes d'eau en bouteilles pour aider les sinistrés.

 

Le Chili et la Bolivie n'ont pas de relations diplomatiques depuis 1978 et La Paz a déposé il y a deux ans une plainte devant la Cour internationale de La Haye pour tenter de récupérer son accès à la mer, perdu lors de la guerre du Pacifique (1879-1883).

 

La Bolivie avait perdu 120.000 km2 de territoire et 400 km de côte à l'issue de ce conflit.

 

Le président Moralès a présenté des excuses au guvernement du Chili, affirmant que nous ne gérons pas l'aide à des fins électorales.

 

Le Chili avait exprimé sa reconnaissance pour l'aide apportée par le pays voisin mais s'était offusqué du slogan brodé sur la veste du ministre bolivien venu livrer l'aide personnellement dans la ville de Copiapo, à 800 km au nord de Santiago, une des régions les plus touchées par les inondations qui ont frappé cette région aride du Chili et fait jusqu'à présent 18 morts et 49 disparus.

 

Permettez-moi de dire clairement que la tragédie et la douleur de la catastrophe dans le nord ne doivent pas être utilisées à des fins politiques dans la campagne médiatique de la Bolivie, avait réagi le ministre chilien des Affaires étrangères Heraldo Muñoz.

 

Le Sénat chilien avait immédiatement approuvé à l'unanimité un texte rejetant l'utilisation à des buts de propagande de l'aide de la Bolivie qui profite de la catastrophe.

 

Quelques heures plus tard, averti du mécontentement des autorités chiliennes, Ledezma avait présenté ses excuses. Nous ne sommes pas venus faire de la propagande, ni pour provoquer qui que ce soit, nous avons simplement apporté de l'eau, a déclaré le ministre bolivien sur CNN Chili.

 

Ledezma avait précisé qu'il avait mis sa veste parce qu'il faisait froid.

 

C'était la seule que j'avais sous la main, s'est-il excusé.

 

Le ministre des Affaires étrangères du Chili l'avait exhorté à demander des excuses plus formelles pour cette erreur de jugement.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:20
Featured photo - Sensitive Military Gear Ended up on EBay, Craigslist

Featured photo - Sensitive Military Gear Ended up on EBay, Craigslist

 

March 26, 2015 By Jana Winter and Sharon Weinberger – The Intercept

 

The Pentagon lost track of sensitive equipment from a $750 million program to help U.S. soldiers spot roadside bombs — and some of it wound up for sale on eBay, Craigslist and other websites, according to a Navy intelligence document obtained by The Intercept.

 

The missing equipment includes thermal optic imaging and night vision devices that were supplied to U.S. forces to help locate improvised explosive devices, the leading killer of U.S. troops in Afghanistan, as well as related threats. “Since 2009, some of this advanced hardware has been reported as missing and is actively being sold or discussed on the global market on a variety of websites,” says an intelligence brief by the U.S. Naval Criminal Investigative Service and its Multiple Threat Alert Center.

 

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 10:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

1 Avril 2015 Source : Marine nationale

 

Le Caïman Marine vient d’obtenir la validation d’une première capacité opérationnelle « leurrage » par le sous-chef d’état-major Plans/Programmes. Une partie des modes d’autoprotection antimissiles sont disponibles et viennent renforcer les capacités militaires de cet appareil de combat ASM embarqué.

 

C’est une étape de plus dans la montée en puissance du Caïman au sein de la Marine. Les prochaines étapes capacitaires concerneront le volet formation, avec la mise en service d’un premier simulateur de vol sur la BAN Lanvéoc-Poulmic dans les prochaines semaines, et le système de détection électromagnétique ESM en 2016.

 

Le Caïman Marine est un hélicoptère de combat embarqué dont la vocation première est de conduire des missions de lutte anti-sous-marine et de lutte anti-surface à partir des frégates de type Aquitaine (FREMM) et Forbin (FDA). Il peut également conduire des missions de contre-terrorisme maritime, de soutien d’une force navale et de secours maritime.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 08:55
La Patrouille de France aux couleurs du Stade Français

 

01/04/2015 Armée de l'air

 

Cette année, la Patrouille de France affirme une fois de plus son attachement aux valeurs du monde de l’ovalie. Après le XV de France, c’est au tour du Stade Français de recevoir le soutien de la Grande Dame autour d’un partenariat qui s’affichera jusque sur leurs uniformes!

 

Une convention de partenariat a été signée samedi 28 mars 2015 au stade Jean Bouin (Paris), juste avant le match de Top 14 opposant le Stade Français à l’ASM Clermont Auvergne. «D’une durée d’un an, ce partenariat va permettre un échange de cultures, explique le lieutenant-colonel Arnaud Amberg, directeur des équipes de présentation de l’armée de l’air. Le partage sur la préparation physique et mentale sera au cœur de cet engagement. Les pilotes de la PAF seront étroitement associés aux activités des joueurs parisiens.»

 

La Patrouille de France aux couleurs du Stade Français

Une fois n’est pas coutume, les ambassadeurs de l’armée de l’air porteront haut les célèbres couleurs rose et bleu de leur partenaire durant la saison des meetings aériens 2015. «Nous avons décidé de frapper fort en allant même jusqu’à adapter les combinaisons des pilotes, souligne le lieutenant-colonel Amberg. Elles sont actuellement entre les mains du designer du stade Français qui nous a déjà fait une proposition intéressante.» Exit le traditionnel bleu ciel et place au rose emblématique de cette équipe multi-titrée. Sur le terrain vert, le maillot des joueurs sera, quant à lui, siglé du logo de la PAF sur la manche droite.

 

La couleur rose s’affichera également dans le ciel puisque la PAF est en train de mettre au point une figure inédite mélangeant les fumigènes blanc du charognard (Athos 4) et rouge de l’extérieur gauche (Athos 5). Le leader (Athos 1) apportera la touche de bleu finale! Cette figure sera d’ailleurs présentée au chef d’état-major de l’armée de l’air à Solenzara le 22 avril prochain.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 08:30
Opération Chammal : portraits de femmes au sein du détachement air projeté en Jordanie

 

01/04/2015 Sources :  EMA

 

Les femmes militaires déployées en Jordanie dans le cadre de l’opération Chammal nous racontent leur différents parcours et livrent leurs impressions.

 

Caporal-chef Tania, commando parachutiste de l’air

Au sein du détachement de protection projeté en Jordanie, le caporal-chef Tania est le seul personnel féminin. Ce militaire du rang a rejoint les commandos parachutistes de l’air n°20 (CPA 20) en 1999 et est devenu l’une des premières femmes commandos en CPA. Pour l’opération Chammal, elle est intégrée au sein d’une équipe d’une quinzaine de commandos, et s’occupe avec eux de la protection du personnel, des infrastructures et des aéronefs français. Suivant un cycle opérationnel régulier, elle participe également aux groupes de protection et d’intervention (GPI) mis en place pour sécuriser le camp français.

 

Sergent-chef Laëtitia, cellule chancellerie

Arrivée sur le théâtre jordanien mi-février 2015, le sergent-chef Laëtitia est responsable des différents travaux de la cellule chancellerie. Ce sous-officier dynamique s’est porté volontaire pour cette première opération extérieure avec le soutien de son époux. « Je suis partie avec quelques appréhensions au sujet des opérations extérieures mais dès mon arrivée elles ont été totalement effacées ».  Travaillant au sein de l’état-major fonctionnel du détachement air, elle souligne que « les relations y sont très cordiales et respectueuses. L’ambiance entre les collègues est très bonne ».Elle s’est habituée très rapidement à ce rythme de vie et de travail différent de la base aérienne de Cazaux où elle travaille à la cellule relations publiques.

 

Aspirant « Sissi », sous-chef navigateur

Au sein du personnel navigant, on retrouve l’aspirant surnommé « Sissi ». Elle est sous-chef navigateur à l’escadron 2/3 « Champagne ». Cet officier de 29 ans effectue aujourd’hui sa deuxième opération extérieure. Sur le théâtre, elle est la seule femme issue du corps du personnel navigant : « En opération comme en France, il n’y a aucun rejet, ou aucun sentiment de protection venant de mes collègues parce que je suis une femme. » Pour l’opération Chammal, Sissi se retrouve au sein d’une équipe d’une vingtaine de pilotes et navigateurs. « Ce sont tous de très bons collègues et quand je suis avec eux, il n’y a aucune gêne dans les discussions. Je ne me sens absolument pas exclue. Et comme on dit : dans les armées, il n’y a pas de distinctions il n’y a que des militaires ; c’est tout à fait vrai pour ma part» .

 

Sergent-chef Anne-Sophie, interprétateur photos

Le sergent-chef Anne-Sophie travaille à la cellule renseignement des Mirage 2000D, dans une équipe de six personnes. Interprétateur photos, elle est en charge de préparer, entre autres, les missions pour les équipages en insérant dans leur tablette (UMPC) tous les points intéressants et importants sur la zone qui sera survolée. Au retour de vol et en cas de tir, elle crée le compte rendu de tir reprenant tous les éléments de la mission en y insérant les photos des positions tirées. En poste sur la base aérienne 188 de Djibouti depuis quatre ans, elle travaille au sein de l’escadron 3/11 « Corse » où elle prépare aussi les briefings et les instructions sur le matériel de reconnaissance. En tant que femme militaire, Anne-Sophie confie : « je n’ai jamais eu de souci à travailler avec des hommes, tant que le travail est fait c’est le principal ». Elle ajoute : « pour l’opération Chammal,nous travaillons dans une très bonne ambiance. Les relations avec les équipages  se passent très bien. Ce qu’il faut avant tout c’est qu’on puisse répondre à leurs attentes, qu’on soit un homme ou une femme. »

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 07:55
photo Ecole Navale

photo Ecole Navale

 

31 mars 2015 par École Navale

 

Du 23 au 26 mars 2015, les élèves de la promotion 2014 ont effectué leur stage de découverte de la plongée militaire au sein du Groupe des Plongeurs-Démineurs de Brest.

 

Témoignage de l’un d’entre-eux :

 

« Ce stage fut court mais intense. Nous nous retrouvions le matin pour une heure de footing musclé, puis au retour, nous “sautions” dans nos combinaisons en néoprène pour aller écouter le briefing de la plongée à venir.

 

Après un bref rappel des différentes règles de sécurité et du déroulement de la plongée, nous enfilions nos blocs. Puis par groupe de cinq, chacun avec un instructeur, nous avons exploré le fond du bassin, tout en effectuant les indispensables exercices de vidage de masque et reprise d’embout. Les plus chanceux d’entre nous ont pu voir des araignées de mer !

 

Nous avons tous été impressionnés par la difficulté des déplacements à terre, sous quinze kilos de matériel, alors que nous étions très à l’aise sous l’eau grâce à la poussée d’Archimède.

 

Nous avons également assisté à plusieurs conférences et effectué différentes visites : un chasseur de mine, les installations du Groupe des Plongeurs Démineurs, et le caisson hyperbare. Le médecin-chef du Groupe des Plongeurs Démineurs nous a présenté les risques physiologiques liés à la pratique de la plongée et nous a sensibilisé sur les différents types d’accidents.

 

Nous avons également eu la présentation des différentes spécificités des plongeurs : plongeurs de bord et plongeurs d’armes. Notre lieutenant de vaisseau d’escouade, lui-même de spécialité plongeur-démineur, nous a aussi informé sur le métier d’officier chargé de la plongée.

 

Enfin le dernier jour, nous avons passé, sans aucun enjeu, une partie des tests de pré-sélection pour devenir plongeur de bord. Si certains n’avaient pas réalisé l’entrainement et la condition physique nécessaires pour réussir ce cours, ils l’ont compris dans la douleur ! Nous avons pour la plupart échoué, ne réussissant pas à tenir plus de vingt secondes en apnée à six mètres de fond.

 

Ce stage nous a permis de réaliser que nous ne sommes pas prêts physiquement pour ce type d’exercice. L’’image du plongeur en maillot Hawaï dans une eau limpide bleu turquoise est bien loin de la réalité !

 

Les différents intervenants nous ont bien montré les difficultés de la plongée et ses enjeux. Et certainement, ce stage aura fait naître des vocations ! »

photo Ecole Navale

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