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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 18:50
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

25/02/2015 Armée de l'air

 

Du 13 au 15 février 2015, l’École de l’air (EA) a accueilli à Salon-de-Provence une délégation du collège de la Royal Air Force de Cranwell (Royaume-Uni) pour la 19ème rencontre sportive bilatérale.

 

Emmenée par l’Air Commodore Chris Luck, commandant le collège, les élèves britanniques se sont mesurés aux élèves de l’EA. Au programme : rugby, cross-country, natation, volley-ball, futsal et dash (nouvelle activité en relais organisée sous forme de petits ateliers sportifs).

 

Malgré la pluie, la cohésion était au rendez-vous. Les deux écoles se sont illustrées dans plusieurs épreuves : les Français ont remporté le futsal, le cross et le volley, tandis que les Britanniques ont brillé plus particulièrement au rugby, à la natation et au dash.

 

La prochaine rencontre est déjà programmée : les deux écoles se retrouveront à Cranwell en 2016!

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 18:45
photo EMA

photo EMA

 

25/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 11 au 24 janvier 2015, dans le cadre de la mission « European Union Training Mission » (EUTM), un détachement de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS) composé de dix formateurs, s’est rendu à Koulikoro à proximité de Bamako au Mali, pour mener une action de formation à la conduite tactique au profit des forces armées maliennes.

 

Au sein de la mission EUTM, composée de 21 nations européennes et visant à soutenir la formation des forces maliennes, le détachement des EFS a participé à la montée en puissance du sixième groupe tactique interarmes (GTIA) malien en vue de sa projection dans le Nord du pays.

 

Le personnel des EFS a ainsi instruit 34 soldats maliens à la conduite tactique. Les conducteurs ont suivi des instructions de base sur l’entretien de 1eréchelon, le guidage, la réaction lors de crevaisons et sur l’école de rame. Ils ont également participé à des séances de conduite renforcée en tout chemin, tout terrain et plus particulièrement sur sable le long du fleuve Niger, pour s’exercer au désensablement de véhicules en milieu hostile.

 

Les échanges entre militaires français et maliens ont été très enrichissants, et la formation s’est achevée par la traditionnelle remise d’attestation de stage. Le détachement a aussi été félicité par le colonel Rivière, commandant la training task force de Koulikoro.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les État africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

EFS : Formation à la conduite tactique du GTIA 6 malien à l’EUTM de Koulikouro
EFS : Formation à la conduite tactique du GTIA 6 malien à l’EUTM de Koulikouro
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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 18:35
Korean Air annonce une alliance avec Airbus pour construire un avion de combat

 

23 Février 2015 normandinamik.cci.fr

 

Korean Air a annoncé dimanche avoir signé avec Airbus Defense & Space un accord pour concevoir ensemble un nouvel avion de combat 'made in Korea' destiné à l'armée de l'air sud-coréenne.

 

'Nous avons signé un protocole d'entente avec Airbus', a déclaré à l'AFP un porte-parole de la première compagnie aérienne sud-coréenne, gros client de l'avionneur européen dans l'aéronautique civil.

Contacté par l'AFP, Airbus Defence & Space n'a pas souhaité commenter cette information dans l'immédiat.

Selon la presse sud-coréenne, les négociations ont été âpres, les deux partenaires ayant échoué à présenter un dossier conjoint lors d'un précédent appel à candidatures clos le 9 février.

'Airbus D&S n'est pas très enthousiaste', estimait récemment une source proche du dossier citée par le Korea Times. L'avionneur, censé seulement fournir un soutien 'technique' dans ce projet industriel 100% coréen, 'se sent comme un invité', ajoute cette source.

La compagnie sud-coréenne aurait tenu l'avionneur à l'écart de décisions clé dans le processus d'offre et 'Airbus n'est pas content', selon une autre source.

Le projet 'KF-X', estimé à 8.500 milliards de wons (6,7 milliards d'euros), prévoit la construction de 120 chasseurs de classe F-16 destinés à remplacer à terme les F-4 et F-5 qui équipent actuellement l'armée de l'air sud-coréenne.

La date limite des dépôts des candidatures pour ce projet est le 24 février. La DAPA, l'agence publique en charge du programme, doit annoncer sa décision préliminaire en mars, puis sa décision finale en juin ou juillet.

Les conditions de l'appel d'offre obligent des industriels locaux à s'associer avec des entreprises étrangères pour le volet technologique, selon l'agence Yonhap.

Korea Air effectue déjà des opérations de maintenance pour les armées de l'Air sud-coréenne et américaine et produit de longue date des ailes pour Boeing.

'Korean Air assurera la fabrication, avec le soutien technologique d'Airbus', explique pour l'AFP l'analyste Lee Il-Woo, du Korea Defence Network.

 

Le projet en question

 

L'alliance Korean Air/Airbus devrait proposer un avion de conception totalement nouvelle, les ailes delta du Typhoon du consortium européen Eurofighter ne répondant pas au cahier des charges fixé par la défense sud-coréenne.

'L'Eurofighter ne satisfait pas au concept d'ailes privilégié par la Corée du Sud', selon Lee Il-Woo.

Face à Airbus et Korean Air se dressent l'américain Lockheed Martin et Korean Aerospace Industries (KAI).

Dans le passé, l'armée sud-coréenne a massivement choisi des fournisseurs américains pour s'équiper et KAI possède un avantage car il a déjà fabriqué des avions d?entraînement supersoniques T-50 Golden Eagle et des hélicoptères utilitaires Surion.

Mais Airbus a aussi présenté des offres pour des contrats militaires ces dernières années, dont un marché de 1,38 milliard pour fournir des ravitailleurs à l'armée de l'air.

En outre, l'armée sud-coréenne privilégierait une option à deux réacteurs sur le modèle du Typhoon d'Eurofighter.

Enfin Korean Air et Airbus bénéficieraient d'un avantage concurrentiel en matière de transfert de technologies.

'Le gouvernement américain ne souhaite pas partager son expertise aéronautique' alors que le gouvernement indonésien s'arroge une participation de 20% dans le projet de chasseur sud-coréen, note Lee Il-Woo.

Le gouvernement de Séoul aurait une participation de 60%, le consortium retenu les 20% complémentaires.

Reste que les spécialistes doutent fortement de la viabilité du projet, tant en raison du calendrier serré que des contraintes budgétaires.

'Il faudrait entre 10 et 30 milliards de dollars US et jusqu'à 20 ans pour produire un nouvel appareil', souligne l'analyste.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:55
B2M - Des bâtiments multi-missions source DGA

B2M - Des bâtiments multi-missions source DGA

 

24 Février Ouest-France

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves le Drian est en visite dans le Finistère ce vendredi. Piriou à Concarneau et Hénaff à Pouldreuzic sont au programme.

 

Jean-Yves Le Drian visitera les chantiers Piriou vendredi matin, notamment l'assemblage du B2M, le futur bateau multi-missions de la Marine nationale, dont la coque a été construite dans une filiale Piriou à Gdansk en Pologne, avant d'être remorquée vers Concarneau pour l'achèvement. Trois unités ont été commandées à Kership, la filiale Piriou-DCNS.

 

Le ministre poursuivra sa visite dans le pays bigouden, à Pouldreuzic, chez Hénaff l'après-midi.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:55
Symposium sur l’interconnexion

 

25/02/2015 Armée de Terre   -Economie et technologie

 

Le 13 février à Rennes s’est tenu un symposium sur l’importance des échanges d’informations entre chaque unité déployée au sein d’une même opération.

 

Cette conférence présentait les nouvelles technologies incorporées dans le programme SCORPION permettant aux militaires de communiquer avec toutes les forces engagées dans leurs missions. Dans une perspective d’optimisation, le soldat a besoin d’être en contact avec les unités environnantes. Il doit être capable de donner et de recevoir des ordres rapidement ou de rendre compte à tout moment l’avancée de sa mission. Retour en images de ce symposium.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:55
Le 4ème RE forme à la 5ème CIS les futurs FS1 et FTS1 ERM

 

25-02-2015 4e RE Réf : 458 - 366

 

La FTS, formation technique de spécialité, forme à l’emploi les futurs opérateurs radio de tous les régiments de la Légion étrangère. D’une durée de 17 semaines, les stagiaires apprennent la procédure, ensemble de règles fixant la forme et la succession des émissions, le morse, la sécurité des systèmes d’information, les antennes, éléments essentiels dans l’établissement des liaisons radio. S’approprient le PR4G1 (découvert en régiment), le TRC 3700, poste du système CARTHAGE2 à travers l’étude de ses modes de fonctionnement, des fonctionnalités et services offerts.

La FS1, formation de spécialité de 1er degré quant à elle prépare à la fonction de chef de station. Tout en entretenant la condition physique, les stagiaires étendent leurs connaissances dans les domaines précités par pratique sur la mise en œuvre du système SIR, la gestion des véhicules du Poste de Commandement et les ER 362, derniers postes de la gamme PR4G.

Durant les 15 semaines de stage, les stagiaires tout en reprenant les bases de la FTS, reçoivent une instruction axée sur la numérisation de l’espace de bataille, qui faisant partie du paysage de notre préparation opérationnelle, permet d’obtenir, de diffuser, et de traiter en temps réel les informations nécessaires aux différents échelons de commandement sur le champ de bataille. Un précieux outil d’aide à la prise de décision des chefs.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:55
Les corvettes Gowind de DCNS ont eu beaucoup de succès en 2014

Les corvettes Gowind de DCNS ont eu beaucoup de succès en 2014

 

24/02/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

DCNS veut rapidement être, dès 2015, à nouveau profitable pour tourner la page des très mauvais comptes de 2014. Le groupe naval a enregistré ses premières pertes depuis 2001 (336 millions d'euros).
 

Pour le PDG de DCNS, le plus dur commence. Après avoir passé, dès son arrivée à la tête du groupe naval, à la paille de fer les comptes 2014 plombés par certains programmes mal maîtrisés - réacteur expérimental Jules Horowitz et sous-marins Barracuda notamment -, Hervé Guillou veut maintenant "tourner la page", comme il l'explique dans une interview accordée à La Tribune. Car les comptes 2014 sont très mauvais, conformément aux prévisions de DCNS, avec une perte nette de 336,1 millions d'euros (contre un résultat net de 114,7 millions en 2013) en raison d'un montant de provisions non communiquées. La première perte depuis la période 1997-2001, quand la Direction des Constructions Navales (devenu DCNS) était régulièrement dans le rouge. Le chiffre d'affaires est aussi en baisse à 3,06 milliards (contre 3,3 milliards en 2013).

Comment tourner la page? Pour gagner le pari de retrouver rapidement de la profitabilité dès 2015, le PDG de DCNS a recruté "du sang neuf" - Marie-Pierre de Bailliencourt (directeur général adjoint), Frank Le Rebeller (directeur général adjoint en charge des finances et du juridique) et Olivier de la Bourdonnaye (direction industrielle), sans précise-t-il, avoir lancé "une chasse aux sorcières" afin de garder "les compétences techniques des anciens". Hervé Guillou veut notamment "poursuivre la transformation industrielle de DCNS", qu'il considère comme une pépite technologique. Avec notamment la volonté "d'améliorer la maîtrise des programmes" sous l'impulsion de Pierre Legros, directeur de la nouvelle direction des programmes, et d'Olivier de la Bourdonnaye, ancien patron du programme Ariane 6.

Le PDG de DCNS compte également poursuivre des investissements dans le domaine du CMS (Combat Management Systems), un "secteur fondamental" pour le groupe et pour la France. "C'est un devoir sacré" en vue de "préserver la base industrielle et technologique de défense (BITD) française", explique-t-il. Un point de friction avec son actionnaire privé Thales (35%), qui entretient lui-aussi des compétences aux Pays-Bas à Hengelo (Thales Nederland), sur certains marchés à l'export, à l'image du contrat de six corvettes Gowind gagné en Malaisie. "Ma porte est ouverte s'il y en Europe des acteurs, qui veulent discuter de consolidation avec DCNS", souligne-t-il.

 

"Trois hubs" industriels à l'international

Hervé Guillou croit beaucoup à l'internationalisation de DCNS, dont 33% des prises de commandes ont été réalisées à l'export en 2014 (3,6 milliards contre 2,2 milliards en 2013, soit une hausse de 59%).  Notamment grâce au très beau contrat réalisé en Egypte (quatre corvettes de type Gowind vendues pour 1 milliard d'euros). DCNS a réalisé 32,7 % de son chiffre d'affaires à l'international. Mais, a-t-il constaté, le groupe "a pris sa place à l'export mais n'en a jamais profité jusqu'ici", car DCNS n'est "pas assez déployé industriellement". Une stratégie qui permettra de rivaliser face à ses trois concurrents européens, qui ont une base export plus élargie : l'allemand ThyssenKrupp Marine Systems (15 clients), le néerlandais Damen (25) et l'italien Fincantieri (20).

Le PDG de DCNS souhaite donc créer "trois hubs" industriels à l'international - Malaisie, Brésil et Arabie Saoudite (spécialisé dans le maintien en condition opérationnelle - à partir desquels DCNS pourrait exporter et profiter de la croissance de ces trois régions : Asie du Sud-Est, Amérique latine et Moyen-Orient. Trois pays où le groupe naval a déjà réussi de très jolis coups commerciaux : sous-marins Scorpène et corvettes Gowind en Malaisie et au Brésil et frégates en Arabie Saoudite. Il souhaite donc profiter des partenariats déjà mis en place avec des partenaires locaux pour mieux structurer une organisation industrielle.

Enfin, s'agissant d'une éventuelle consolidation en Europe, Hervé Guillou rappelle que "sa est ouverte". Mais pour le coup, l'une s'est refermée plutôt brutalement, le constructeur de sous-marins suédois Kockums, propriété de Saab, après avoir divorcé de TKMS, s'est récemment rapproché de Damen. "Je m'interroge effectivement", regrette-t-il. Il estime par ailleurs que les Allemands ne sont "pas encore prêts" à discuter de rapprochements.

 

Vers un tri dans les énergies marines renouvelables

En 2014, DCNS a réussi sa percée dans les énergies marine renouvelables. Notamment dans le domaine des hydroliennes où DCNS a obtenu plusieurs succès significatifs. EDF a passé commande de deux nouvelles hydroliennes de 16 mètres pour équiper la ferme expérimentale de Paimpol-Bréhat (Côtes d'Armor) et a été sélectionné par l'Ademe pour l'installation d'une ferme pré-commerciale de sept hydroliennes dans le Raz Blanchard.

En outre, le groupe a été choisi par le ministère de l'Energie de Nouvelle-Ecosse (Canada) pour une ferme expérimentale de 4 MW dans la baie de Fundy. Ce qui fait dire à Hervé Guillou, "favorablement impressionné par OpenHydro", la filiale irlandaise de DCNS, qu'il y a une "vraie route industrielle" pour "un des leaders mondiaux" dans ce domaine. "Nous sommes au stade de la production", souligne-t-il. Il estime que le groupe devra investir une centaine de millions d'euros après en avoir investi une centaine.

Sur les éoliennes en mer, Hervé Guillou rappelle que DCNS, qui apporte ses compétences sur la maîtrise de l'élément marin (flotteur, stabilité en mer...), restera derrière Alstom avec qui il a signé un partenariat. Les deux industriels ont d'ailleurs un accord avec la région Bretagne pour faire avancer le projet de site pilote éolien flottant de Groix.

DCNS poursuit également son aventure dans l'énergie thermique des mers (ETM), une technologie moins mature où des verrous technologiques restent encore à lever. Mais le groupe en partenariat avec Akua Energy porte un projet en Martinique dans le cadre d'un financement de 70 millions d'euros environ du fonds européen NER 300.

Enfin, DCNS et Enel Green Power ont été retenus pour mettre en place au Chili un centre de recherche et d'innovations sur l'énergie marine, notamment sur l'hydrolien et l'énergie des vagues.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:50
photo Mil.be

photo Mil.be

 

25/02/15 – 7sur7.be (Belga)

 

L'engagement des militaires dans les rues pour appuyer la police a coûté en un mois un peu plus de 1,8 million d'euros en frais variables, facturés au SPF Intérieur, a indiqué mercredi le ministre de la Défense, Steven Vandeput.

 

La mission des militaires - quelque 300 hommes de la composante Terre - a été prolongée lundi au moins jusqu'au 9 mars, date de la prochaine évaluation de la menace, dont le niveau a été relevé le 15 janvier à 3 sur une échelle de quatre, à la suite d'une opération anti-terroriste de grande ampleur menée dans la région bruxelloise et à Verviers avait abouti à la mort de deux présumés terroristes.

 

Les coûts variables (indemnités et allocations pour le personnel, utilisation du matériel et frais de carburant) s'élèvent à 1,851 million d'euros entre le 17 janvier et le lundi 23 février, a affirmé M. Vandeput (N-VA) en commission de la défense de la Chambre en réponse à plusieurs questions de députés.

 

En vertu du protocole conclu "pour une durée indéterminée" entre le ministère de la Défense et le Service public fédéral (SPF) Intérieur, ce dernier prend en charge les coûts variables.

 

Le niveau de prime, lié à la dangerosité de la mission, se situe au coefficient 2 (sur une échelle de 5), ce qui correspond à des tâches similaires exercées lors d'opérations à l'étranger, a précisé le ministre.

 

M. Vandeput a rappelé que la mission des militaires, en soutien de la police qui leur confie des missions "statiques de surveillance" ne consistait pas à patrouiller dans les rues des villes concernées - principalement Bruxelles et Anvers. Mais il a souligné qu'il leur arrivait de se déplacer "pour faire le tour" d'un bâtiment, citant l'exemple de l'ambassade des États-Unis dans la capitale.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:50
photo Comopsair IPR

photo Comopsair IPR

 

24/02/2015 Texte & photos: Comopsair IPR

 

Le 23 février 2015, l’équipage de la version transport d’un NH90 a exécuté un exercice d’entraînement et d’évaluation (OT&E) à Schaffen et sur l’aérodrome de Sanicole à Bourg-Léopold.

 

Pendant l’OT&E, l’équipage s’exerce aux procédures de soulèvement de charges lourdes sous l’hélicoptère. Cet exercice test est réalisé dans le cadre de la conversion des équipages et de la préparation de l’aéronef.

 

Lors des premiers vols de la journée, l’hélicoptère immatriculé RN-05 a soulevé quelques palettes. Une cargaison pesant environ 500 kg placée dans des filets et préparée par des équipes spécialisées en chargement. Dans le cas présent, le cabin operator joue un rôle important. Il doit, en effet, déterminer avec précision la bonne hauteur de l’hélicoptère de manière à permettre l’accrochage de la charge par les équipes au sol en toute sécurité.

 

Plus tard dans la journée, 13 passagers du 2e Bataillon Commandos ont été embarqués à Schaffen et transportés à Sanicole avec leur équipement complet. Ils y ont effectué un débarquement tactique. En d'autres termes : ils ont quitté l’hélicoptère en situation de combat. Le cabin operator doit, pendant ce temps, surveiller en permanence la répartition du poids pour assurer la stabilité de l’appareil. Il est également responsable de l’embarquement et du débarquement rapide des passagers. Il doit aussi veiller à ce que les charges y soient bien attachées.

 

Plus tard dans la journée, des vols se sont succédé avec de plus lourdes charges comme, par exemple, un mortier ou un véhicule léger tout terrain. Les équipages ont poursuivi leur entraînement après le coucher du soleil. L’équipage a utilisé, alors, les jumelles de vision nocturne pour les approches tactiques.

photos: Comopsair IPRphotos: Comopsair IPR

photos: Comopsair IPR

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:50
La fête du patrimoine maritime de la mer du nord (28-31 Mai)

 

source MIL.be

 

La fête de la mer du Nord affiche complet pour sa 16e édition avec 172 navires participants dont soixante sont, d'ores et déjà, des must pour le public. Au total, 200.000 visiteurs sont attendus. Chacun aura sa part de rêve ou pourra éventuellement embarquer à bord de bateaux, de la petite yole aux majestueux trois mâts.

 

La Défense

Le thème est la sécurité en mer mais ce n'est pas uniquement pour cette raison que la Défense sera présente avec le voilier école Zénobe Gramme et un stand d’information de la Marine sur la place Saint Pierre et Paul. Vous pourrez y découvrir les tâches des gardes côtes de la Marine. Cerise sur le gâteau : les démonstrations quotidiennes du nouvel hélicoptère NH 90 (NATO Helicopter), chargé du sauvetage en mer et sur la côte. Il est l'ange gardien de bon nombre de visiteurs des plages durant l’été. Il est important de savoir que grâce aux collaborateurs de la Défense, la mer est plus sécurisée !

 

Mille pirates et fous de Bruges

L'Etoile du Roy, une réplique du temps de la gloire des corsaires français, reste pour les quatres années à venir le vaisseau amiral d'Ostende à l'Ancre. Le bateau attise sans aucun doute la fantaisie des plus petits, mais fait penser aussi aux meilleurs moments des équipages qui aiment tant se rendre à Ostende, attirés par la Brugse Zot. Le Marjorie II, seul brigantin à trois mâts encore navigant à la voile, sera également amarré dans le bassin Mercator.

 

Combler l'espace

Certains étals ont disparu pour céder la place à ceux plus en rapport avec le patrimoine maritime de tous horizons. La place Saint Pierre et Paul est peuplée d'organismes de conservation, d'artisanat maritime et autres venant de Belgique, de France et des Pays-Bas. 

 

L'art de la mer

Le village des artistes de l'avenue Vindictive s'agrandit et sera relié au marché nautique et autres curiosités. Vous y trouverez un savant mélange d'affaires maritimes, d'antiquités, de vêtements et de souvenirs. Le marin qui sommeille en chacun de nous, pourra se restaurer aux nombreux stands artisanaux dont le fumeur de harengs, les "cuiseurs" de poissons, les spécialistes des croquettes de crevettes roulées à la main et la terrasse d'Ostende à l'Ancre, ne sont que quelques exemples. Le rendez-vous des Ostendais et des visiteurs !

 

La musique pour ambiance

Ostende à l'Ancre offre à nouveau un très large éventail de représentations musicales. Les classiques shantys, la folk, le rockfolk, les choeurs de ballades à capella rempliront les podiums de la place Saint Pierre et Paul, ceux de l'avenue Vindictive ou les ponts des bateaux tels l'Etoile du Roy et l'Amandine.

"Horizon éducatif" a concocté avec Ostende à l'Ancre un parcours découverte pour les enfants. Tous les écoliers d'Ostende pourront rêver en écoutant les récits de sauveteurs en mer et acquérir leur première expérience de capitaine grâce aux maquettes et modèles réduits.

Ostende à l'Ancre est accessible à tout le monde. Gracieusement offerte aux Ostendais, cette organisation de bénévoles est soutenue par le tourisme d'Ostende.  

 

Plus d'informations : http://www.oostendevooranker.be

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:45
drone Falco de l'ONU. Crédits photo Video UN

drone Falco de l'ONU. Crédits photo Video UN

 

24.02.2015 45eNord.ca (AFP)
 

L’ONU souhaite que la plupart de ses missions de maintien de la paix dans le monde soient dotées de drones pour mieux protéger les civils mais aussi ses Casques bleus.

 

Cette recommandation s’inscrit dans un vaste programme de modernisation détaillé dans un rapport d’experts de l’ONU.

La Mission de l’ONU en République démocratique du Congo est déjà dotée de plusieurs drones de surveillance pour suivre les mouvements des groupes rebelles dans l’est du pays.

«C’est un outil technologique essentiel pour les missions de terrain et la plupart des missions devraient en bénéficier», estime Jane Hotte Lule, qui a dirigé le groupe d’experts auteurs du rapport.

Celui-ci recommande aussi la création de Missions techniques spéciales chargées de renseigner le Conseil de sécurité sur les situations de crise à l’aide d’images par satellites et d’autres outils modernes de collecte de données en temps réel.

«Le Conseil ne peut pas rester dans l’ignorance des circonstances à partir desquelles il est amené à prendre des décisions», explique Jane Hotte Lule. «La technologie est si perfectionnée qu’il est impératif de la mettre au service du Conseil».

Ces recommandations risquent de se heurter à des réticences de la part des pays qui accueilleraient ces missions et qui pourraient y voir une ingérence de l’ONU dans leurs affaires. Les membres permanents du Conseil pourraient aussi ne pas voir d’un très bon oeil d’autres pays membres moins bien équipés avoir par ce biais accès à des renseignements qu’il sont pour l’instant seuls à pouvoir se procurer.

Selon le rapport, beaucoup de missions sont très mal équipées et leurs Casques bleus manquent de moyens de communication modernes.

Le rapport ne donne pas de chiffres pour le financement du vaste programme de modernisation qu’il préconise. Selon Jane Hotte Lule, l’ONU fera appel à ses États membres.

Une des recommandations du rapport est la création d’un groupe de pays contributeurs de technologie qui fourniraient des drones et d’autres équipements de pointe.

De nombreux pays qui participent à des missions de maintien de la paix s’inquiètent pour la sécurité de leurs Casques bleus, plongés dans des situations de violence et d’anarchie comme en Centrafrique ou au Mali.

Au moins 44 Casques bleus ont ainsi été tués dans le nord du Mali depuis le déploiement dans ce pays d’une mission de l’ONU en juillet 2013.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:45
Côte d’Ivoire : Fin de mandat pour les militaires des Forces Françaises en Côte d’Ivoire

 

25/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 21 février 2015, a eu lieu la cérémonie de passation de commandement des Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) sur le camp de Port Bouët. Le colonel Pinon, chef de corps du 1er régiment de Spahis de Valence au succède au colonel Chabut, dernier commandant de la Force Interarmées Licorne (Mandat 35) et premier chef des FFCI, créés le 21 janvier 2015.

 

Durant ses quatre mois de mission, le mandat 35 a participé pleinement à la reconstruction de l’armée ivoirienne. Près de 18 détachements d’instruction opérationnelle et technique (DIO et DIT) ont été mis en œuvre au profit de 856 militaires ivoiriens. 6 886 heures de formation ont été dispensées et 36 DIT / DIO, conduits par les soldats des FFCI dans des domaines aussi variés que complémentaires : combat, instruction sur le tir de combat (ISTC), techniques d’intervention opérationnelle rapprochée (TIOR), systèmes d’information et de communication, maintenance, communication opérationnelle ou encore sauvetage au combat.

 

Armée dorénavant par l’état-major du 1errégiment de spahis de Valence, cette force se compose d’une compagnie d’infanterie du 1ertirailleur d’Epinal, d’une section du génie du 3èmerégiment de génie de Charleville-Mézières et d’un escadron blindé du 1er Spahis pour l’armée de Terre, mais aussi d’un détachement du service des essences ( SEA), du service des infrastructures de la défense (SID), du commandement des systèmes d’information et de télécommunication (COMSICIA), du système d’information logistique central (SILCENT), du service interarmées des minutions (SIMu), du service de santé des armées (SSA ) et de la gendarmerie.

 

En tant que commandant d’une base opérationnelle avancée (BOA), le COMFOR des FFCI, aura trois missions majeures : assurer la défense des intérêts français et la sécurité de nos ressortissants ; appuyer nos déploiements opérationnels dans la région ; contribuer à la coopération opérationnelle régionale. A ce titre, il poursuivra les actions engagées dans le cadre du partenariat de défense rénové signé en 2012 avec la république de Côte d’Ivoire. Il devra également veiller au maintien en condition opérationnelle des militaires et des matériels en vue d’assurer, au sein de la BOA, la disponibilité d’un réservoir de force et la capacité d’appui logistique en mesure d’interagir avec nos forces déployées dans les autres BOA ou en opérations.

 

Les Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), créées le 21 janvier, assurent la protection des ressortissants français et aident à entretenir la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire (FRCI). Elles sont en mesure d’appuyer les partenaires de la région, notamment l’ONUCI, conformément aux dispositions des résolutions du Conseil de Sécurité. Ces forces constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:40
Poroshenko Gets His Guns in UAE

 

25.02.2015 by Maki Catama - aseanmildef.com

 

ABU DHABI, -- Ukrainian President Petro Poroshenko announced the signing of a deal on military and technical cooperation with the United Arab Emirates on Tuesday, during his visit to the IDEX-2015 Arms Expo in Abu Dhabi.

 

The president told reporters that he had signed a "very important memorandum about military and technical cooperation" with his UAE counterparts, without providing any more information on what the agreement will entail. The deal was struck between Ukrainian officials and UAE Crown Prince and Armed Forces Deputy Supreme Commander Sheikh Mohammed bin Zayed al-Nahyan.

 

Further details on the deal have not been confirmed by Ukrainian or Emirati officials.

 

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:35
Korean Air et Korea Aerospace Industries en compétition pour le projet d'avions de chasse

 

SEOUL, 24 fév. (Yonhap)

 

La première compagnie aérienne sud-coréenne Korean Air Line Co. et le constructeur aéronautique sud-coréen Korea Aerospace Industries (KAI), ont placé ce mardi leur demande d'adjudication pour le programme de développement d'avions de chasse sud-coréen, a fait savoir l'Administration du programme d'acquisition de défense (DAPA).

 

Portant le nom de code «KF-X», le mégaprojet de 8.500 milliards de wons (8,3 milliards de dollars) vise à mettre au point et à produire environ 120 chasseurs de classe F-16 pour remplacer vers 2025 les F-4 et F-5 actuels de la flotte coréenne.

 

«Korean Air en partenariat avec Airbus Defense and Space, et KAI, qui est associé à Lockheed Martin ont soumis leur candidature. La date limite des dépôts des candidatures pour ce projet gouvernemental est aujourd'hui», a déclaré un officiel de la DAPA.

 

«Nous projetons de choisir le soumissionnaire le mois prochain avant l’annonce de la décision finale vers juillet», a-t-il ajouté.

 

Selon des experts, KAI possède un avantage car il a déjà fabriqué des avions d’entraînement supersoniques T-50 Golden Eagle et des hélicoptères utilitaires Surion.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:30
Military Industry Corporation (MIC) présente son obusier automoteur Khalifa-1 à IDEX 2015

Military Industry Corporation (MIC) présente son obusier automoteur Khalifa-1 à IDEX 2015

 

24 février, 2015 Nathan Gain (FOB)

 

De par son ampleur, la diversité des entreprises présentes et des produits mis en avant, l’International Defence Exhibition (IDEX), salon de défense bi-annuel devenu incontournable, réserve à chaque édition son lot de surprises.

 

L’édition 2015 n’a pas dérogé à la règle, apportant son lot de nouveautés, certaines étant parfois issues de nations plutôt « discrètes ». Relativement peu présent au sein de ce genre d’évènement, le Soudan est l’un de ces pays désormais capables de déployer un panel de nouveautés propre à surprendre jusqu’aux spécialistes les plus avertis. Au travers de l’importante « Military Industry Corporation » (MIC-Sudan), consortium national d’entreprises fondé en 1993, le Soudan crée et manufacture un vaste ensemble de produits et services, allant de la simple arme de poing au véhicule de combat d’infanterie.

 

Véritable vitrine de l’industrie soudanaise, la « Military Industry Corporation », basée à Karthoum, a traversé la mer Rouge avec deux produits majeurs : l’obusier automoteur de 122mm Khalifa-1 et le véhicule de reconnaissance Sarsar-2. Selon un délégué soudanais, tous deux sont déjà en service au sein de l’armée soudanaise.

 

Le Khalifa-1 est le résultat du mariage entre un canon de 122 mm D-30 et un chassis Kamaz 43118 6×6 redessiné, le tout pour une masse totale dépassant les 20 tonnes. Doté d’un équipage de 5 hommes, le Khalifa-1, selon MIC, est capable d’assurer une cadence de tir maximale allant jusqu’à 8 obus tirés à la minute (avec un premier obus déjà chargé, détail non négligeable). Capable d’atteindre une cible dans un rayon maximal de 17 km, le Khalifa-1 serait également en mesure de tirer son premier obus ou d’être prêt au redéploiement en un maximum d’une 1min30. Enfin, le Khalifa-1 est également équipé d’un système de contrôle de tir Karary IGZ01, composé d’un poste d’observation et d’un poste de commandement. De quoi rivaliser avec le Caesar ? D’après les représentants soudanais, cela ne fait aucun doute. Qu’importe la réponse, la question a au moins le mérite d’être posée.

 

Dans une toute autre catégorie, MIC met également l’accent un panel de véhicules légers, tel le véhicule de reconnaissance Sarsar-2. Basé sur un châssis KIA, le Sarsar-2 autorise le transport d’une escouade de 11 soldats (équipage compris), le tout protégé par un blindage de niveau BR6. Le moteur, un D4DA à 4 cylindres en ligne, développe 139 chevaux et autorise une vitesse maximale de 80 km/h. Une écoutille de toit permet l’installation d’une mitrailleuse de calibre 12.7mm/14.5mm.

 

Précisons que le Sarsar-2 et le Khalifa-1 ne sont que deux systèmes d’arme parmi tant d’autres présentés par la délégation soudanaise, démontrant par là même l’importance de s’intéresser à certaines industries nationales aux qualités par trop insoupçonnées.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 16:55
La DGA passe à l’hybride!

Recette du VAB ELECTER par la DGA -  Le responsable technique projet du PEA ELECTER au sein de la DGA : Nicolas Pham Dang Le responsable technique évaluation du PEA ELECTER au sein de la DGA : Xavier Perdriau Advanced Engineering RENAULT TRUCKS Defence : François Deloumeau

 

16 février, 2015 Pierre Brassart (FOB)

 

Le 13 janvier 2015, la DGA (Direction Générale de l’Armement) a pris réception, sur son site d’Angers, du démonstrateur ELECTER, développé par Renault Trucks Defense. Cet engin, concu sur la base d’un VAB MK III, doit servir à démontrer les capacités d’une propulsion hybride parallèle. Cette livraison est prévue dans le cadre d’un Plan d’Études Amont (PEA).

 

Le groupe Volvo, dont fait partie l’entité Renault Trucks Defense, a acquis une expertise certaine dans la conception de véhicules civils dotés d’une propulsion hybride parallèle, c’est-à-dire combinant une machien électrique et un moteur diesel. Les militaires pourraient bientôt bénéficier des qualités de ce mode de propulsion (réduction de la polution et de la consommation).

 

Grâce à son apport électrique, la propulsion hybride peut servir de « booster », délivrant instantanément plus de 170 kW (230 chevaux) additionnels, améliorant l’accélération et réduisant le temps du « bond en avant » tactique du blindé.

 

La discrétion est la deuxième grande bénéficiaire de la propulsion hybride. En effet, le moteur électrique, alimenté par ses batteries à hautes performances, peut être utilisé indépendamment du diesel, permettant au véhicule d’effectuer un trajet de 10 km de façon totalement silencieuse, améliorant du coup la surviviabilité des unités avancées.

 

Un tel mode de propulsion permet également de subvenir aux besoins électriques, présents et futurs, sans cesse croissant des véhicules militaires, sans avoir recours à des alternateurs qui viendraient se greffer à des engins déjà fort chargés.

 

Le VAB MK III livré à la DGA peut également servir de groupe électrogène, fournissant 70 kW d’électricité et permettant de se passer d’une groupe électrogène tracté, encombrant et vulnérable. L’énergie offerte par la propulsion hybride est particulièrement la bienvenue en ce qui concerne les véhicules spécialisés, comme les véhicules de commandement  ou d’observation longue durée, plus « gourmands » que les véhicules classiques qui nécessitent eux-mêmes davantages de puissances.

 

Durant 18 mois, Renault Trucks Defense et la DGA vont tester ce démonstrateur ELECTER afin de valider le transfert de la technologie de la propulsion hybride à un usage militaire et doivent permettre à la DGA de mieux prendre en compte les capacités opérationnelles offertes par cette nouvelle technologie dans le cadre du développement des futures plates-formes de combat.

 

Peut-être verra-t-on une telle propulsion sur  les futurs Griffons et Jaguars…

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 16:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

25/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Ce matin, 25 février 2015, deux avions Rafale Marine ont décollé depuis le porte-avions Charles de Gaulle pour leur première mission de frappe au-dessus de l’Irak.

 

Au cours de cette mission de frappe planifiée, la patrouille a détruit un camp utilisé par Daech pour entraîner des combattants dans la région d’Al Quaim, non loin de la frontière syrienne.

 

Le porte-avions Charles de Gaulle et son groupe aéronaval sont engagés dans l’opération Chammal depuis le golfe arabo-persique, depuis le 23 février. Le GAN vient opérer en complément des composantes françaises déjà engagées dans l’opération Chammal depuis plus de cinq mois.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal  mobilise 3 200 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage 2000D), d’un avion ravitailleur C-135 FR, d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et du groupe aéronaval (1).

 

(1) Le GAN est constitué d’un état-major embarqué, du porte-avions Charles de Gaulle, du groupe aérien embarqué (12 Rafale Marine, 9 Super Étendard Modernisés et 1 Hawkeye), de la frégate de défense aérienne Chevalier Paul, de la frégate anti-sous-marine britannique HMS Kent, du pétrolier ravitailleur Meuse et d’un sous-marin nucléaire d’attaque agissant en précurseur.

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photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 16:30
Canon Caesar (Nexter Systems) - VBL Mistral (RTD - MBDA)

Canon Caesar (Nexter Systems) - VBL Mistral (RTD - MBDA)

 

25/02/2015 Ministère de la Défense

 

Le programme de modernisation des Forces armées libanaises est lancé

 

Face aux menaces qui pèsent sur la stabilité du Liban, les Forces armées libanaises doivent être modernisées, équipées et formées pour défendre l’intégrité de cet Etat ami de la France.

 

A cette fin, le Royaume d’Arabie saoudite a décidé l’an dernier d’associer la France à un programme ambitieux de soutien aux Forces armées libanaises. Doté de 3 milliards de dollars, ce plan financé par l’Arabie saoudite contribuera à renforcer l’armée libanaise avec la livraison de matériels d’armement français : véhicules blindés, bateaux armés, hélicoptères de combat, munitions, moyens de communications. De nombreuses formations seront également mises en place par les forces françaises au profit de l’armée libanaise.

 

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, se félicite du lancement effectif de ce programme. A la suite du versement de la première échéance, le contrat vient de démarrer sa phase de réalisation. Les premières livraisons interviendront dès le mois d’avril 2015.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 15:50
photo Airbus DS

photo Airbus DS


5 févr. 2015 Airbus DS

 

A400M Delivery to the point of need to support all kind of missions

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 14:55
Une nouvelle menace : le VBCI T40

 

24 février, 2015 Pierre Brassart (FOB)

 

Enfin ! Le VBCI entre dans la cour des grands, dans la catégorie des véhicules de combat d’infanterie les plus puissants au monde ! En passant d’un canon de 25mm à un 40mm complété par deux missiles anti-char, c’est un nouveau monde qui s’ouvre pour le VBCI et pour toute l’armée française !

 

Au cours du salon IDEX 2015, qui se tient du 22 au 26 février à Abu Dhabi, Nexter expose fièrement un VBCI, couleur sable, équipée de l’impressionnante tourelle T40. Celle-ci est dotée du canon de 40mm de CTA International, utilisant des munitions télescopées, et deux lance-missiles anti-char positionnés de part et d’autre de la tourelle. Ces lanceurs seront armés par des MMP, missiles qui ont effectué leurs premiers tirs réels il y a quelques jours. La tourelle T40 devrait offrir plus de souplesse dans l’usage du feu. Le canon de 40mm est suffisant pour traiter la plupart des véhicules de combat d’infanterie ou des transports de troupes blindés, voire des chars de combat par l’arrière ou les flancs, et les missiles anti-char permettent de détruire les véhicules lourds à distance de sécurité. Les EBRC Jaguar devraient remplacer les AMX-10RC et les ERC-90 Sagaie, armé respectivement d’un canon de 105mm et d’un canon de 90mm.

 

Nexter Systems at İDEX 2015 - photo LB

Nexter Systems at İDEX 2015 - photo LB

Si les VBCI français ne seront probablement pas, à court terme, rééquipés de cette tourelle, cette démonstration de Nexter nous permet de découvrir « en vrai » la tourelle qui équipera les futurs EBRC Jaguar français ainsi que les SCOUT du programme britannique FRES.

 

Avec cette tourelle, et les véhicules qui les porteront, l’armée française disposera enfin d’un véhicule de combat apte au combat de haute intensité, face à une menace lourde. Le pendant français des Bradley américains et BMP 2 russes, tous deux entrés en service dans les années 80 et équipé d’un canon automatique et de missile antichar, aura mis du temps à arriver. Jusque-là, la cavalerie française était contrainte d’entretenir plusieurs type de véhicule : un véhicule canon (AMX-10 RC, ERC -90, AMX-10 P,…) et un véhicule porte missile (VAB HOT, VAB Milan).  Le Jaguar permettra une rationalisation du parc (pratique en cette période de restriction budgétaire) qui s’accompagnera d’une diminution du parc. En 2014, l’armée française aligne environ 256 AMX-10RC, 110 ERC-90 et 140 VAB lance-missile, soit près de 500 véhicules qui seront remplacé par moins de 250 Jaguar. Le matériel qui doit être remplacé accuse un certain âge mais il faudra encore le faire tenir jusqu’à l’arrivée de la relève. Mais quid du matériel des unités prépositionné en Afrique ? La situation sécuritaire dans certaines régions africaines ne risque pas de s’améliorer de sitôt, et l’opération Serval a démontré la nécessité de maintenir des forces prêtes à intervenir rapidement depuis leur camp de base. Mais est-ce que les Jaguars flambant neuf iront s’user sur les pistes africaines ? Les 10RC et Sagaie ont probablement encore de beaux jours devant eux…

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 13:51
photo MIL.be

photo MIL.be

 

24 février 2015 lalibre.be

 

La Défense devra faire une économie de 1,5 milliard d'euros durant la législature. L'arrivée des sept avions Airbus A400M sur le sol belge ne tombe pas à pic.

 

Avant 2019 et la livraison de ces avions qui remplaceront les C-130, l'armée va en effet devoir investir pour adapter ses hangars. Selon une info du Het Laatste Nieuws, reprise par RTL, les nouveaux avions ne rentrent dans aucun des hangars de l'armée belge. Ces derniers sont trop courts et trop bas.

 

L'armée va donc devoir trouver une base pour les accueillir. La base de Melsbroek serait retenue dans la mesure où elle possède déjà des pistes adaptées au nouveau gros porteur. Trois nouveaux hangars et des parkings devront être construits.

 

Het Laatste Niews cite un commandant de l'armée qui évoque un prix de 150 millions d'euros pour l'ensemble de ces travaux.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 13:50
Quelle armée belge en 2030?

 

23 février 2015 Antoine Clevers lalibre.be

 

"Le point qui sera décisif […] est la stabilité. […] La Défense est devenue ingérable par manque de stabilité aussi bien en termes d’effectifs qu’en termes de budget", écrit le général Charles-Henri Delcour, ancien chef de la Défense. "La succession de réformes conduites depuis les années 1990 […] montre un effondrement capacitaire, que l’hypothèse d’une nouvelle réduction de 1,5 milliard […] va aggraver" , abonde Joseph Henrotin, docteur en sciences politiques (ULB), chargé de recherche dans deux instituts à Paris.

 

Ces deux éminents spécialistes en matière de Défense ont répondu à l’appel du ministre de la Défense Steven Vandeput (N-VA) de rédiger un document traçant les grandes orientations que l’armée belge devrait prendre en regard des défis futurs. Et ce, à l’horizon 2030.

 

Le ministre a besoin d’aide et il ne s’en cache pas. Le gouvernement lui a demandé de présenter une vision stratégique à dix ans pour l’armée. En même temps, il lui impose une économie structurelle de 225 millions d’euros en 2015, pour atteindre 401 millions en 2019. Soit une perte sèche cumulée sans précédent de plus de 1,5 milliard d’euros sur la législature.

 

Le plan ne sera prêt qu’en septembre. En attendant, M. Vandeput ouvre le débat. Quatorze experts, dont MM. Henrotin et Delcour, lui ont donc remis des documents de travail. Ceux-ci seront débattus lors d’un colloque mercredi sur l’avenir de la Défense, en présence de nombreux politiques. Le ministre espère ainsi recueillir une"large assise sociétale et politique" sur son plan stratégique, explique sa porte-parole.

 

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 13:30
Mohammed bin Rashid: UAE moves at a steady pace in manufacturing field to strengthen its defence capabilities

 

25/02/2015 uaeinteract.com

 

His Highness Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, Vice President and Prime Minister and Ruler of Dubai, has stressed that the UAE is moving at steady pace to achieve its developmental goals in various fields under the leadership of President His Highness Sheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan, with the follow-up of His Highness Sheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, Crown Prince of Abu Dhabi and Deputy Supreme Commander of the UAE Armed Forces, and the support of Their Highnesses the Supreme Council Members and Rulers of the Emirates.

 

In an interview on the occasion of the International Defence Exhibition and Conference, IDEX 2015, His Highness said that the country's achievements have been witnessed across all sectors and have been accomplished by the hand of loyal and faithful Emiratis.

He expressed his satisfaction at the great developments witnessed by IDEX since its launch, hailing the great care and support dedicated to the event by His Highness Sheikh Mohamed bin Zayed, resulting in its amazing success.

 

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 13:30
TALON LGR, Anti-tank Missile - NIMR 6x6 - photo Raytheon

TALON LGR, Anti-tank Missile - NIMR 6x6 - photo Raytheon

 

ABU DHABI, United Arab Emirates, Feb. 24, 2015 /PRNewswire/

 

Raytheon Company and NIMR Automotive, part of the Emirates Defence Industries Company (EDIC), are collaborating to equip NIMR armored vehicles with TALON™ Laser Guided Rockets.

Using the Raytheon remote weapons station, each vehicle will carry 16 TALON LGRs.

The RWS enables TALON to be fired from both stationary and moving vehicles, while an elevated sensor/designator enables the TALON to be fired from concealed positions ensuring lethality and survivability for the ground vehicle.

"Integration onto the NIMR vehicle further demonstrates the versatility of TALON," said Michelle Lohmeier, Raytheon vice president of Land Warfare Systems. "In partnership with EDIC, we are providing an affordable, near-term and reliable solution."

"The NIMR 6x6 tactical platform provides a range of modular system integration to support a full range of missions including armed reconnaissance, infrastructure defense, defensive fire suppression and border security," said Dr. Fahad Saif Harhara, NIMR CEO. "It can also support rapidly advancing infantry. The mobile and fixed firing modes enhance the vehicle's effectiveness and provide a significant advantage over existing heavy artillery.

 

About TALON

The TALON LGR is a low-cost, digital semi-active laser guidance and control kit co-developed with the United Arab Emirates. The TALON guidance section fits directly to the front of the legacy 2.75-inch Hydra-70 unguided rocket. TALON's architecture and ease of employment make it a low-cost, highly-precise weapon for missions in urban environments, as well as counter insurgency and swarming boat defense missions. TALON is fully compatible with existing airborne and ground laser designators.

 

About Emirates Defence Industries Company

EDIC is the region's premier integrated national defence services and manufacturing platform, providing world-class facilities, technology and support services. Based in the UAE, the company brings together the combined capabilities of the UAE's defense industries into a single integrated platform to enhance value for our clients, shareholders, partners and other stakeholders.

 

About NIMR

NIMR, a subsidiary of the Emirates Defence Industry Company, delivers highly capable wheeled military vehicles that are designed for the harshest environments, across a diverse scope of mission requirements. NIMR's range of desert-proven 4x4 and 6x6 vehicles are available in armored or non-armored configurations, with modular configurable crew capacity and payload, where protection and mobility is the focus of our design activities. Through engineering innovation, comprehensive testing and implementation of the highest standards in design and manufacturing, NIMR provides exceptional vehicle reliability and best-in-class desert performance to ensure the protection of the vehicle crews that use them. For more about NIMR, visit us at www.nimr.com

 

About Raytheon

Raytheon Company, with 2014 sales of $23 billion and 61,000 employees worldwide, is a technology and innovation leader specializing in defense, security and civil markets throughout the world. With a history of innovation spanning 93 years, Raytheon provides state-of-the-art electronics, mission systems integration and other capabilities in the areas of sensing; effects; and command, control, communications and intelligence systems, as well as cyber security and a broad range of mission support services. Raytheon is headquartered in Waltham, Mass. For more about Raytheon, visit us at www.raytheon.com and follow us on Twitter@raytheon.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 13:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

24 février 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Le porte-avions français rejoint la Task Force américaine dans le Golfe Persique pour participer aux combats contre l’Etat Islamique. Le groupe aéronaval (GAN) constitué autour du Charles de Gaulle est officiellement engagé dans l’opération Chammal en Irak. La diplomatie navale a encore de beaux jours devant elle…

 

On s’en doutait très fort depuis le départ du porte-avions de Toulon le 13 janvier dernier et c’est aujourd’hui officiel : le Charles de Gaulle, qui a franchit le détroit d’Ormuz, va prendre part aux opérations contre l’Etat Islamique en Irak. Le navire et son escorte (deux frégates, un pétrolier ravitailleur et un sous-marin nucléaire d’attaque, 2600 marins au total dans ce qui est appelé la « Task Force 473 ») a rejoint la Task Force 50 américaine, centrée quant à elle autour du porte-avions USS Carl Vinson. En attendant l’entrée en scène du Queen Elizabeth et de ses F-35 (2019 au plus tôt), la France reste donc le seul pays au monde capable de travailler en étroite coopération, on a presque envie de dire sur un pied d’égalité, avec l’aviation embarquée américaine.

 

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