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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:45
Cameroon to receive Russian weapons

 

20 January 2015 by defenceWeb


Cameroon will this year receive artillery, missiles, armoured trucks and other weapons from Russia, according to the country’s government.

Russia’s ambassador Nikolay Ratsiborinskiy met with President Paul Biya on January 16 and discussed a number of issues. In a statement released after the meeting, the president’s office said that, “By the end of the year, the Cameroonian army will be equipped with the most sophisticated military equipment from Russia. This will among other latest generation of weapons, heavy artillery, including missiles, air protection, anti-aircraft missile system, and cannon. Armoured trucks of Russian production will also be delivered to Cameroon to transport troops. To ensure proper use of this equipment, Russia is ready to welcome the young Cameroonians for the training of civilian and military specialists.”

Cameroon has increased its defence budget as it attempts to deal with Boko Haram militants carrying out raids in its territory. According to figures obtained by IHS Janes from a Cameroonian defence official, the Ministry of Defence's budget will grow from CFA198.5 billion ($355 million) in 2014 to CFA212 billion ($376 million) in 2015. After taking into account inflation of 2.7%, this works out as an increase of $16 million in real terms.

At the end of last year, Cameroon became the first country outside of Nigeria to launch coordinated air strikes against Boko Haram. According to Reuters, about a thousand Jihadists had entered the country, “attacking five villages and temporarily seizing a Cameroonian military base”.

“Fighter planes went into action for the first time since the start of the conflict,” Cameroonian Communications Minister Issa Tchiroma Bakary told Al Jazeera. “Militants were driven out after two strikes and heavy fire”, he added. Later on President Biya reportedly deployed more than 1 000 troops to the Nigerian border to fortify against follow-up attacks. Meanwhile, neighbouring Chad has agreed to send troops to Cameroon to combat Boko Haram.


If Cameroon does indeed receive weapons from Russia, it will be a shift away from China, which is supplying a significant amount of hardware to the West African nation, such as two P-108 patrol vessels being built by Poly Technologies. In May last year Cameroon unveiled a variety of new Chinese hardware, including Type 07P infantry fighting vehicles and PTL-02-type tank destroyers.

Apparently Germany has provided over a 100 military vehicles to Cameroon to help it fight Boko Haram militants. Cameroon’s forces are gradually being re-equipped – for example in August 2013 Cameroon ordered Mi-17 helicopters from Russia and in July that year received a CN235-300 medium transport from Airbus. A French OPV-54 patrol craft was delivered in 2012 while two Aresa-320 patrol boats from Spain were delivered last year.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:45
Barkhane : Transfert d’autorité du bataillon logistique

 

21/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 19 janvier 2015, le colonel Hervé Desmeulles, chef de corps du 3e régiment du matériel (3e RMAT) a succédé au colonel Vincent Buttolo à la tête du bataillon logistique (BATLOG) du fuseau ouest de l’opération Barkhane.

 

La cérémonie de transfert d’autorité a eu lieu sur la plateforme opérationnelle désert (PfOD) de Gao entre le BATLOG Alsace-Lorraine (descendant) et le BATLOG Maréchal Niel (montant).

 

 Composé de 270 soldats provenant de 27 unités différentes, le BATLOG stationné sur la PfOD de Gao assure le soutien de l’opération Barkhane, au profit du groupement tactique désert ouest (GTD-Ouest). Extrêmement variées, ses missions vont de la maintenance des véhicules aux convois logistiques, en passant par le ravitaillement en carburant, le soutien du combattant, le dépôt munitions, ou encore la santé.

 

 Entre octobre 2014 et janvier 2015, le BATLOG Alsace-Lorraine a effectué 24 convois et parcouru 992 500 kilomètres. Il a transporté 2 350 tonnes de fret et 990 m3 de carburant. C’est aussi plus de 40 000 rations livrées, plus de 620 m3 d’eau en bouteille et 5 500 m3 d’eau sanitaire.

 

 L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : Transfert d’autorité du bataillon logistiqueBarkhane : Transfert d’autorité du bataillon logistique
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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:40
BTR-4 received slight modernization

 

19.01.2015 by Denys Kolesnyk - info-news.eu

 

Ukrainian BTR-4 APC was slightly modernized, taking into account its combat experience in Iraq and Eastern Ukraine. The engineers upgraded its defense capabilities, extending its real life time in combat.

In Iraq this APC took part in the fight against the Islamic State, while in Eastern Ukraine – against the pro-Russia terrorists and Russian regular troops. In both armed conflicts BTR-4 showed itself from a positive side, however, some weaknesses were also spotted during its exploitation by the National Guard of Ukraine. The drawbacks concern the defense capabilities of the machine.

The specialists and designers installed new anti-mine “skirt”, increasing the protection of the vehicle from improvised explosive devices (IEDs). The ‘Parus’ (Sail) battle module was equipped with the cage armor, increasing the protection from an RPG hit. Some other upgrades are planned as well.

Source: Ukraine Industrial

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:30
Des soldats canadiens ont combattu l'EI au sol en Irak

 

20.01.2015 by JDD

 

Les forces spéciales canadiennes se trouvaient sur le front, dans le nord de l'Irak, pour préparer de futurs bombardements contre le groupe Etat islamique (EI). Un accrochage a alors opposé ces soldats aux djihadistes, dont au moins deux ont été abattus lors de ce tout premier engagement au sol révélé depuis le début de l'offensive aérienne contre l'organisation.

 

"Tirs de mortier" et de mitrailleuses. L'incident s'est produit au cours des sept derniers jours. L'état-major canadien a plaidé le droit à "l'autodéfense" et rappelé que le Canada avait, comme la France, déployé des avions de chasse en Irak, ainsi que des forces spéciales, destinées à la formation des troupes irakiennes et des milices kurdes.

Le général Michael Rouleau, commandant des forces d'opération spéciales du Canada, a donné des précisions sur les circonstances de l'accrochage. Les forces spéciales se trouvaient dans le nord de l'Irak pour y rencontrer de haut-gradés de l'armée irakienne quand ils ont été pris à partie. Ils ont déterminé ensemble les prochaines cibles des raids aériens, avant d'avancer vers la ligne de front "pour confirmer les plans et visualiser ce dont ils avaient discuté sur une carte".

Une fois arrivés sur place, "ils ont immédiatement essuyé des tirs de mortier et le feu de mitrailleuses". Les tireurs d'élites canadiens ont aussitôt été autorisés à répliquer par leur commandement et ont "neutralisé les deux menaces". Aucun Canadien n'a été blessé.

 

>> LIRE AUSSI - Des frappes ont visé des dirigeants de l'EI en Irak

 

"Pas une escalade". Pour le chef des forces spéciales, "le fait que nous ayons eu un échange de coups de feu avec l'EI ne signifie pas que cela soit devenu une mission de combat". Même son de cloche du côté de Jonathan Vance, commandant interarmées du Canada, qui ne "considère pas cela comme une escalade".

 

>> LIRE AUSSI - Irak : avec les forces spéciales françaises qui forment les peshmergas

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:25
SSV-175 "Viktor Leonov"

SSV-175 "Viktor Leonov"

 

La Havane, 20 jan 2015 Marine et Océans (AFP)

 

Le navire espion russe SSV-175 "Viktor Leonov", de la flotte du Nord, est arrivé mardi à La Havane à la veille d'une rencontre diplomatique historique entre Cubains et Américains dans la capitale cubaine.

 

Ce bateau de la classe Vishnya, de 91,5 mètres de long et 14,5 de large, est arrivé au port de la capitale cubaine dans la matinée et était amarré au quai habituellement réservé aux bateaux de croisière face à la vieille ville, ont constaté des journalistes de l'AFP.

 

Comme pour ses précédentes visites en février et mars 2014, l'arrivée du navire n'a fait l'objet d'aucune annonce préalable des autorités cubaines, à l'inverse de ce qui se fait d'habitude pour les escales de navires de guerre étrangers.

 

Avec son équipage de 200 membres, le "Viktor Leonov", lancé en 1988, est spécialisé dans la collecte d'informations électroniques.

 

Son arrivée intrigue au moment où de hauts responsables des États-Unis et de Cuba doivent se réunir mercredi et jeudi pour poser les bases de la reprise de leurs relations diplomatiques et tourner la page de la Guerre froide.

 

Toutefois, un responsable du Pentagone a démenti auprès de l'AFP toute inquiétude face à cette escale en toute légalité.

 

"Ce n'est pas sans précédent, ni inhabituel, cela n'a rien d'alarmant", a assuré ce responsable.

 

Moscou et La Havane ont été des alliés très étroits pendant trois décennies avant la chute de l'Union soviétique au début des années 90. Après une période de froid, les relations entre la Russie et Cuba ont été relancées à la fin des années 2000.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:20
La Défense nationale canadienne veut mieux surveiller ses agents du renseignement

 

19 janvier 2015 par Nicolas Laffont - 45eNord.ca

 

Le ministère de la Défense nationale souhaite mettre en place un système de surveillance plus rigoureux pour les activités de ses agents de renseignements militaires. Les coûts, potentiellement élevés, pourraient cependant freiné cette volonté.

 

Dans le sillage du scandale impliquant le sous-lieutenant Jeffrey Delisle, qui a été reconnu coupable d’espionnage pour le compte de la Russie il y a près de deux ans, le chef du renseignement de la Défense avait ordonné la tenue d’une enquête indépendante et exhaustive sur le sujet, selon des documents obtenus par La Presse Canadienne en vertu de la Loi sur l’accès à l’information.

 

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 08:20
photo BAE Sytems

photo BAE Sytems

 

20 January 2015 naval-technology.com

 

BAE Systems has signed a contract with the US Navy to deliver critical system engineering, integration and testing support for its Aegis combat system.

Initially valued at $23m, the five-year agreement comes with an overall price of $120m.

As part of the Aegis technical representative engineering support services contract, BAE Systems will provide system development, integration, engineering and maintenance support.

BAE Systems Intelligence and Security sector president DeEtte Gray said: "Our Aegis system engineering experts have been working side-by-side with sailors for more than 40 years to modernise and strengthen the US Navy's fleet of Aegis-equipped surface ships.

"Together, we are enhancing the US Navy's combat readiness."

The Aegis system, which is reportedly the navy's most advanced and complex weapon system, integrates the latest-generation computers and radars to trace and guide weapons.

Vessels integrated with Aegis system upgrades will feature open architecture and technologies aimed at reducing overall ownership costs while ensuring military readiness for ongoing missile defence requirements.

More than 100 vessels from the navies of Australia, Japan, Norway, and Spain, as well as the US, have been, or will be, equipped with the system.

BAE also provides modernisation support for the navy's fleet of cruisers and destroyers equipped with the Aegis system.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 07:30
photo Iran MoD

photo Iran MoD

 

20-01-2015 Par RFI

 

Téhéran et Moscou ont signé mardi 20 janvier un protocole d'accord sur l’élargissement de leur coopération militaire, à l'issue d'une visite de deux jours à Téhéran du ministre russe de de la Défense Sergueï Choïgou.

 

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 22:50
Airbus : la malédiction de l'A400M

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20/01/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

L'avion de transport militaire traverse à nouveau des turbulences. Airbus Defence and Space est en train de revoir le calendrier de livraisons de l'A400M. Un nouveau calendrier devrait être dévoilé fin février.

 

Décidément l'A400M n'est pas un programme au long fleuve tranquille. Depuis son lancement en 2003, l'avion de transport militaire donne régulièrement du fil à retordre à Airbus. C'est encore le cas en ce début d'année. Airbus Defence and Space revoit actuellement son planning de livraisons pour 2015 avec les différents pays clients, a annoncé ce mardi le directeur général d'Airbus DS en France, Jean-Marc Nasr. Airbus DS devrait dévoiler son nouveau calendrier 2015 de livraisons de l'avion de transport militaire A400M "probablement fin février", a-t-il précisé à l'occasion de la présentation des vœux à la presse vœux de la division défense et spatiale d'Airbus Group.

"Vous aurez plus d'informations sur ce sujet là probablement fin février", a-t-il estimé, peut-être à l'occasion de la publication des résultats annuels de la maison-mère, Airbus Group. "J'espère, je n'ai pas de date, a-t-il précisé. Lorsque le groupe présentera la clôture des comptes, fin février, il annoncera l'intégralité des grands programmes. L'A400M sera sûrement le programme dont on parlera le plus avec l'A350 et l'A380".

 

Nouvelles difficultés

Le ministère allemand de la Défense a indiqué jeudi dernier craindre un retard dans les livraisons de l'A400M, dont il attend cinq unités en 2015 après avoir réceptionné son premier avion en décembre 2014. En outre, un responsable du sous-secrétariat turc des industries de la défense a dit lundi que le pays s'attendait à des retards dans les livraisons de ses deux A400M anticipées en 2015, après avoir déjà dû patienter plus longtemps que prévu pour les deux premiers qu'il a reçus en 2014. Airbus Group a reconnu des problèmes de livraisons vendredi lors d'une réunion avec l'Organisme conjoint de coopération en matière d'armement (Occar), qui gère les programmes européens.

"Il n'y a pas de problème grave", a assuré le directeur général d'Airbus DS en France. Le magazine allemand Spiegel rapportait mercredi dernier que seuls deux avions sur cinq pourraient être livrés à l'Allemagne cette année en raison de problèmes d'assemblage du fuselage. "Il n'y a pas de problème de fuselage en tant que tel", a souligné Jean-Marc Nasr, faisant état de difficultés avec l'organisation de la chaîne des fournisseurs. "On voudrait optimiser ce système-là".

 

Et la France?

Jean-Marc Nasr n'a pas souhaité préciser le nombre d'A400M que la France, qui dispose déjà de six A400M dans sa flotte, pourra réceptionner en 2015. Ni des autres pays d'ailleurs. Selon lui, "la nouvelle cible de livraison va être agréée avec les États clients et l'Occar dans les prochaines semaines". L'armée française en espère quatre cette année, dont deux appareils à un nouveau standard qui permettra notamment des largages de matériel, des parachutages d'hommes et du ravitaillement en vol.  Des avions dotés du nouveau standard seront bien livrés courant 2015, a précisé Jean-Marc Nasr. Un porte-parole du ministère français de la Défense a dit ne pas avoir connaissance d'éventuels retards de livraisons pour l'A400M en 2015.

En 2014, le groupe a livré neuf appareils, notamment à trois nouveaux clients (Allemagne, Royaume-Uni et Turquie). Au total, 174 avions ont été commandés par huit pays à ce jour. L'année 2015 "va être l'année de montée en puissance de l'A400M", a pourtant estimé Jean-Marc Nasr. Il a notamment indiqué que la Malaisie recevrait son premier appareil en 2015 sur les quatre commandés en 2005.

 

Plusieurs pays intéressés à l'export par l'A400M

Jean-Marc Nasr espère "fortement" signer des contrats d'exportation de l'A400M cette année. Entre cinq à dix pays ont d'ores et déjà fait état de leur intérêt et plusieurs négociations sont bien avancées. L'A400M a été notamment présenté au Mexique, aux Emirats arabes unis et au Kazakhstan, et a suscité l'intérêt de plusieurs pays dans le Golfe, l'Asie-Pacifique et l'Amérique latine, avait indiqué Airbus l'an dernier.

Au-delà de l'A400M, il a souligné que l'avionneur avait engrangé l'année dernière 28 prises de commandes d'avions de transport de petite et moyenne capacité (CN235 et C295) et un avion de ravitaillement en vol A330 MRTT, dont cinq exemplaires ont été livrés en 2014. Airbus DS dispose ainsi d'un carnet de commandes de 163 A400M, de 30 CN235 et C295 et 13 A330 MRTT.

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 19:50
vz.58 Pistol 762 photo CSA

vz.58 Pistol 762 photo CSA

 

18 janvier 2015 par Stephane Mantoux - Historicoblog

 

On en sait un peu plus désormais sur les armes utilisées par les frères Kouachi lors de l'attaque de Charlie Hebdo et par Amedy Coulibaly. Les médias ont souvent parlé de fusils d'assaut et même d'un lance-roquettes, ce qui ne recouvre qu'une partie de la réalité. Les terroristes de Paris se sont manifestement approvisionnés par la filière des Balkans, celle qui alimente le grand banditisme français et même au-delà, dans certaines cités.

 

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 18:50
Les Européens comptent travailler avec les pays arabes pour contrer le terrorisme

 

20.01.2014 par 45eNord.ca (AFP)

 

Les Européens ont appelé lundi à plus de coopération avec les pays arabes dans la lutte contre le terrorisme, alors que l’Europe était en état d’alerte après les attentats de Paris et le monde musulman en ébullition contre les caricatures de Mahomet.

 

« Nous préparons des projets spécifiques à lancer dans les prochaines semaines avec des pays précis pour accroître le niveau de coopération en matière de contreterrorisme », a déclaré la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini en citant « la Turquie, l’Égypte, le Yémen, l’Algérie, les pays du Golfe ».

L’UE a aussi décidé une meilleure coordination en matière d’échange d’informations et de renseignement, à la fois à l’intérieur de l’UE mais aussi avec d’autres pays. Mme Mogherini a à cet égard mentionné la Turquie, l’Égypte, des pays du Golfe, l’Afrique du Nord, mais aussi l’Afrique et l’Asie.

Elle a indiqué qu’elle ferait deux actions concrètes immédiates : la mise en place d’attachés de sécurité dans toutes les délégations de l’UE dans les pays pertinents afin d’entretenir des contacts réguliers entre professionnels de la sécurité et du contreterrorisme, et l’amélioration de la communication avec les populations arabophones, au sein de l’UE et avec la communauté arabe dans le monde.

Mme Mogherini a évoqué une prochaine conférence internationale à Bruxelles sur les moyens d’assécher le financement des réseaux terroristes.

Sur le plan intérieur européen, les 28 ont appelé le Parlement européen à relancer le travail sur le PNR, le projet de registre européen des passagers dans le transport aérien, que les élus européens bloquent depuis 2011, réclamant des garanties sur la protection des données personnelles.

« Il faut qu’on renforce notre façon de coopérer (…) avec les pays arabes », avait affirmé la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, avant la réunion des 28 ministres des Affaires étrangères de l’UE à laquelle était convié le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi.

« Les attaques terroristes ciblent surtout les musulmans dans le monde, il nous faut donc une alliance, un dialogue pour faire face ensemble », avait-t-elle expliqué. « On va discuter aujourd’hui des relations d’échange plus denses aussi avec les États musulmans dans le monde », avait rnchéri pour sa part le ministre allemand, Frank-Walter Steinmeier.

 

Le monde musulman en ébullition

Mais la pression est forte dans de nombreux pays musulmans. Des centaines de milliers de personnes ont manifesté lundi à Grozny, capitale de la Tchétchénie, contre la publication d’une nouvelle caricature du prophète Mahomet dans Charlie Hebdo, cible de l’attentat meurtrier du 7 janvier. Des islamistes radicaux ont défilé à Gaza, brûlant le drapeau français et menaçant de s’en prendre aux Français.

De nombreuses manifestations avaient déjà eu lieu ce week-end dans des pays musulmans. Au Niger, de violentes émeutes ont fait dix morts.

La lutte contre le terrorisme n’est pas seulement « une question militaire ou sécuritaire », a estimé à Bruxelles M. al-Arabi, affirmant qu’il fallait la livrer « au niveau intellectuel, culturel, médiatique, religieux ». « C’est cela que nous tentons ».

Certains ministres, comme le luxembourgeois Jean Asselborn, ont reconnu que cette coopération euro-arabe ne devait toutefois « pas » se faire « aux dépens de la démocratie ».

La coopération en matière de renseignement, le renforcement des contrôles aux frontières de l’espace Schengen, la lutte contre le trafic d’armes ou la création d’un registre commun des passagers aériens (PNR) sont devenus une priorité des dirigeants européens après les attentats meurtriers de Paris et la vaste opération anti-jihadistes en fin de semaine dernière en Belgique.

Ces questions seront discutées par les ministres compétents, ceux de l’Intérieur, le 29 janvier à Riga, et surtout par les chefs d’État et de gouvernement le 12 février, lors d’un sommet consacré à la lutte contre le terrorisme et les « combattants étrangers » européens de retour de Syrie ou d’Irak.

 

L’Europe en alerte

Plusieurs chefs de la diplomatie de l’UE participeront aussi jeudi à Londres à une rencontre organisée conjointement par le Royaume-Uni et les Etats-Unis entre pays membres de la coalition contre le groupe Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak.

L’Europe est en alerte. En Allemagne, le manifestation hebdomadaire du mouvement anti-islam Pegida a été annulée à Dresde (est) en raison de menaces de mort proférées par l’EI contre l’un des organisateurs. Lundi dernier, 25.000 personnes, un record, avaient défilé dans la capitale de la Saxe.

En France, neuf personnes soupçonnées d’avoir pu apporter un soutien logistique à Amédy Coulibaly, en armes et véhicules notamment, sont en garde à vue jusqu’à mardi soir. Coulibaly avait tué une policière près de Paris puis quatre personnes juives dans une supérette casher dans l’est de Paris le 9 janvier.

Un Algérien de 33 ans arrêté samedi à Athènes et soupçonné d’avoir un lien avec la cellule jihadiste démantelée en Belgique devait être présenté lundi au parquet en vue de son éventuelle extradition, demandée par Bruxelles.

Mais le chef et pourvoyeur de fonds de la cellule belge qui projetait des attentats contre des policiers est toujours en fuite. Il s’agirait d’Abdelhamid Abaaoud, un Belge d’origine marocaine de 27 ans qui a combattu dans les rangs de l’EI en Syrie, selon les médias belges.

Dès samedi, l’armée a commencé à surveiller certains sites sensibles à Bruxelles et à Anvers, notamment des ambassades et lieux juifs. La police britannique a conseillé à ses agents d’être prudents et a « pris des mesures autour des bâtiments ».

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 18:45
Ebola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry

 

20/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 19 janvier 2015, monsieur Jean Marc Todeschini, secrétaire d’Etat aux anciens combattants et à la mémoire (SEDACM), a inauguré le centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry mis en œuvre par le Service de santé des armées dans le cadre de l’action des armées françaises dans  la lutte contre Ebola.

 

M. Todeschini a été accueilli par le commandant du détachement français et celui de la base de l’armée l’air guinéenne qui abrite le CTS. Pour visiter le centre, le secrétaire d’Etat et le ministre guinéen de la santé ont suivi le circuit du patient : zone d’accueil et de transit, zone d’hospitalisation composée de 10 chambres individuelles à usage unique avec ses différents sas d’habillage et de déshabillage, puis zone médicale de transit, avant de se rendre dans le laboratoire puis la pharmacie. « Les soignants sont en première ligne dans la lutte contre Ebola, il faut leur garantir l'accès aux soins » a-t-il déclaré, avant de saluer «le travail acharné, efficace et solidaire réalisé par les 120 personnes déployées dans ce centre ».

 

Le CTS propose une offre de soins spécifique aux soignants guinéens et de toute nationalité qui œuvrent en première ligne dans la lutte contre Ebola. Il leur assure une prise en charge médicale basée sur le damage control infectiologie, c’est-à-dire le traitement symptomatique de chaque trouble pour palier à la défaillance d’organes. Le patient sera pris en charge par les soignants du service de santé des armées, la plupart issus des hôpitaux militaires, en chambre individuelle à usage unique spécialement conçues. Ainsi, l’intimité du patient et la relation soignant-patient pourront être assurées. Les familles seront également accueillies pour les visites dans un espace communautaire.

 

Cette structure de soins unique et entièrement autonome a été construite en un mois par un détachement interarmées de militaires français.

 

Depuis cet été, les armées prennent pleinement part à l’action gouvernementale de lutte contre le virus Ebola. Cette participation a d’abord consisté à mettre à disposition des capacités d’évacuation sanitaire et d’hospitalisation de patients contagieux au sein des hôpitaux militaires français, à participer à la viabilisation d’une piste sommaire en Guinée et à participer aux différentes structures du plan interministériel Ebola. Dorénavant, les armées assurent le fonctionnement d’un centre de traitement des soignants (CTS) destiné à prendre en charge les soignants guinéens et ceux de toute autre nationalité amenés à œuvrer dans la lutte contre le virus Ebola dans le pays.

Ebola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de ConakryEbola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry
Ebola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de ConakryEbola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry
Ebola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de ConakryEbola : inauguration du centre de traitement des soignants (CTS) de Conakry
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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 18:30
Obtenir les effets escomptés par la coalition au-dessus de l’Irak

Un CF-188 Hornet est ravitaillé en vol par un avion CC-150T Polaris au-dessus de l’Irak, au cours de l’opération Impact, le 6 novembre 2014. PHOTO : Caméra de combat des Forces canadiennes, MDN

 

20 janvier 2015 Par les Affaires publiques de la Force opérationnelle aérienne en Irak

 

La campagne aérienne de la coalition en cours au-dessus de la République d’Irak contre le groupe terroriste État islamique en Irak et au Levant (EIIL) est une entreprise complexe nécessitant la coordination d’opérations dans les airs et sur le sol, et ce, en tout temps.

La Force opérationnelle aérienne en Irak (FOAI) du Canada est en mesure, au sein de la coalition, de mener ses missions en partie grâce à la fonction de coordination du centre multinational d’opérations aériennes (CAOC).

La FOAI fait partie du système de commandement et contrôle de la Force de stabilisation au Moyen-Orient, dont la fonction est de traduire les orientations opérationnelles de haut niveau et de les diffuser aux équipages aériens de niveau tactique qui mènent des missions au‑dessus de l’Irak. Le CAOC peut être perçu comme le coordonnateur central qui rassemble tous les divers éléments aériens pour soutenir la réalisation des missions aériennes. Il coordonne la collecte de renseignements par les aéronefs, le positionnement des ravitailleurs aériens et le déploiement des aéronefs de frappe des divers pays participant à la campagne contre EIIL.

« Les CF-188 ne sont pas les seuls aéronefs qui participent au combat contre EIIL », raconte le colonel Eric Kenny, commandant de la FOAI. « En fait, nous soutenons un effort plus vaste de la coalition. Notre activité aérienne est fondée sur nos contributions nationales à la coalition ainsi que sur les travaux de coordination et d’établissement de calendriers par le centre multinational d’opérations aériennes de la coalition. »

Chaque jour, les effets devant être obtenus dans la zone d’opérations sont définies par le CAOC et les missions sont élaborées et confiées aux pays participants à l’aide d’ordres de missions aériennes. Le CAOC décide comment les capacités et les forces aériennes doivent être intégrées, définit les objectifs et les tâches (ainsi que les critères de succès) et tente de prévoir les actions d’EIIL.

« Le nombre total de missions que nous réalisons par jour dépendra d’un certain nombre de facteurs, notamment les demandes de soutien aérien des forces de sécurité irakiennes, la disponibilité des ressources de la coalition, les conditions météorologiques et les objectifs de la campagne aérienne », explique le colonel Kenny.

Avec trois types d’aéronefs canadiens à sa disposition, le CAOC peut avoir recours à ses ressources pour soutenir ses missions de ravitaillement, pour recueillir des renseignements au‑dessus d’emplacements géographiques précis ou pour mener des frappes aériennes dynamiques ou délibérées.

Les cibles délibérées sont déterminées avant le début de la mission, alors que les cibles dynamiques peuvent être définies comme des objectifs inopinés. Les missions confiées aux équipages aériens sont toutes liées aux effets escomptés et c’est pourquoi un processus de planification axé sur les effets pour les aéronefs peut être utilisé pour divers rôles. Cela signifie que seulement une partie des missions menées par des CF-188 peuvent entraîner le largage de munitions, et que certaines semaines peuvent comprendre plus d’heures de vol que d’autres.

Parmi les missions accomplies pour la FOAI, citons celle dans le cadre de laquelle des CF-188 ont assuré un couvert aérien pour un aéronef de transport C-130 Hercules de la Royal Australian Air Force qui a entrepris des missions de parachutage de matériel d’aide humanitaire en soutien aux civils déplacés sur le mont Sinjar, dans le Nord de l’Irak.

Le 17 novembre 2014, quatre CF-188, dans le cadre d’une opération plus vaste de la coalition, ont mené des frappes aériennes contre des positions d’EIIL dans les environs de Mosul, dans le Nord de l’Irak. Le CC-150T Polaris a effectué du ravitaillement aérien et a livré environ 28 000 livres de carburant aux aéronefs de la coalition actifs pendant cette mission. Il s’agissait là de la première participation de la Force opérationnelle interarmées en Irak à une frappe délibérée.

Pendant ce temps, l’Aurora a aidé à dresser un portrait du renseignement en présentant des évaluations des dommages du combat à la suite des engagements de la coalition tout en soutenant l’identification de cibles possibles d’EIIL.

« Nous avons reçu des commentaires très positifs du commandant de la composante aérienne de la Force multinationale au sujet des capacités aériennes et des effets fournis par la FOAI », déclare le colonel Kenny.

L’opération Impact constitue le soutien offert par les Forces armées canadiennes à la Force de stabilisation au Moyen-Orient, la coalition multinationale luttant contre EILL en République d’Irak. Dans le cadre de cette contribution, environ 600 membres des Forces armées canadiennes sont déployés au sein de la Force opérationnelle interarmées en Irak et de la Force opérationnelle aérienne en Irak, qui sont basées au Koweït. En plus de ses membres, la FOAI a été déployée avec six chasseurs CF-188 Hornet, un ravitailleur aérien CC-150T Polaris et deux aéronefs de surveillance CP-140 Aurora.

 

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 18:30
Obtenir les effets escomptés par la coalition au-dessus de l’Irak

Un CF-188 Hornet est ravitaillé en vol par un avion CC-150T Polaris au-dessus de l’Irak, au cours de l’opération Impact, le 6 novembre 2014. PHOTO : Caméra de combat des Forces canadiennes, MDN

 

20 janvier 2015 Par les Affaires publiques de la Force opérationnelle aérienne en Irak

 

La campagne aérienne de la coalition en cours au-dessus de la République d’Irak contre le groupe terroriste État islamique en Irak et au Levant (EIIL) est une entreprise complexe nécessitant la coordination d’opérations dans les airs et sur le sol, et ce, en tout temps.

La Force opérationnelle aérienne en Irak (FOAI) du Canada est en mesure, au sein de la coalition, de mener ses missions en partie grâce à la fonction de coordination du centre multinational d’opérations aériennes (CAOC).

La FOAI fait partie du système de commandement et contrôle de la Force de stabilisation au Moyen-Orient, dont la fonction est de traduire les orientations opérationnelles de haut niveau et de les diffuser aux équipages aériens de niveau tactique qui mènent des missions au‑dessus de l’Irak. Le CAOC peut être perçu comme le coordonnateur central qui rassemble tous les divers éléments aériens pour soutenir la réalisation des missions aériennes. Il coordonne la collecte de renseignements par les aéronefs, le positionnement des ravitailleurs aériens et le déploiement des aéronefs de frappe des divers pays participant à la campagne contre EIIL.

« Les CF-188 ne sont pas les seuls aéronefs qui participent au combat contre EIIL », raconte le colonel Eric Kenny, commandant de la FOAI. « En fait, nous soutenons un effort plus vaste de la coalition. Notre activité aérienne est fondée sur nos contributions nationales à la coalition ainsi que sur les travaux de coordination et d’établissement de calendriers par le centre multinational d’opérations aériennes de la coalition. »

Chaque jour, les effets devant être obtenus dans la zone d’opérations sont définies par le CAOC et les missions sont élaborées et confiées aux pays participants à l’aide d’ordres de missions aériennes. Le CAOC décide comment les capacités et les forces aériennes doivent être intégrées, définit les objectifs et les tâches (ainsi que les critères de succès) et tente de prévoir les actions d’EIIL.

« Le nombre total de missions que nous réalisons par jour dépendra d’un certain nombre de facteurs, notamment les demandes de soutien aérien des forces de sécurité irakiennes, la disponibilité des ressources de la coalition, les conditions météorologiques et les objectifs de la campagne aérienne », explique le colonel Kenny.

Avec trois types d’aéronefs canadiens à sa disposition, le CAOC peut avoir recours à ses ressources pour soutenir ses missions de ravitaillement, pour recueillir des renseignements au‑dessus d’emplacements géographiques précis ou pour mener des frappes aériennes dynamiques ou délibérées.

Les cibles délibérées sont déterminées avant le début de la mission, alors que les cibles dynamiques peuvent être définies comme des objectifs inopinés. Les missions confiées aux équipages aériens sont toutes liées aux effets escomptés et c’est pourquoi un processus de planification axé sur les effets pour les aéronefs peut être utilisé pour divers rôles. Cela signifie que seulement une partie des missions menées par des CF-188 peuvent entraîner le largage de munitions, et que certaines semaines peuvent comprendre plus d’heures de vol que d’autres.

Parmi les missions accomplies pour la FOAI, citons celle dans le cadre de laquelle des CF-188 ont assuré un couvert aérien pour un aéronef de transport C-130 Hercules de la Royal Australian Air Force qui a entrepris des missions de parachutage de matériel d’aide humanitaire en soutien aux civils déplacés sur le mont Sinjar, dans le Nord de l’Irak.

Le 17 novembre 2014, quatre CF-188, dans le cadre d’une opération plus vaste de la coalition, ont mené des frappes aériennes contre des positions d’EIIL dans les environs de Mosul, dans le Nord de l’Irak. Le CC-150T Polaris a effectué du ravitaillement aérien et a livré environ 28 000 livres de carburant aux aéronefs de la coalition actifs pendant cette mission. Il s’agissait là de la première participation de la Force opérationnelle interarmées en Irak à une frappe délibérée.

Pendant ce temps, l’Aurora a aidé à dresser un portrait du renseignement en présentant des évaluations des dommages du combat à la suite des engagements de la coalition tout en soutenant l’identification de cibles possibles d’EIIL.

« Nous avons reçu des commentaires très positifs du commandant de la composante aérienne de la Force multinationale au sujet des capacités aériennes et des effets fournis par la FOAI », déclare le colonel Kenny.

L’opération Impact constitue le soutien offert par les Forces armées canadiennes à la Force de stabilisation au Moyen-Orient, la coalition multinationale luttant contre EILL en République d’Irak. Dans le cadre de cette contribution, environ 600 membres des Forces armées canadiennes sont déployés au sein de la Force opérationnelle interarmées en Irak et de la Force opérationnelle aérienne en Irak, qui sont basées au Koweït. En plus de ses membres, la FOAI a été déployée avec six chasseurs CF-188 Hornet, un ravitailleur aérien CC-150T Polaris et deux aéronefs de surveillance CP-140 Aurora.

 

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 17:55
La logistique dans Vigipirate

 

20/01/2015 ASP Bourceret – Armée de Terre

 

Depuis le passage au niveau « alerte attentat », le groupement de soutien de base de défense (GSBdD) de Lyon-Mont Verdun assure la logistique des unités accomplissant la mission Vigipirate dans Lyon et sa région.

 

L’exigence de rapidité et d’efficacité fait partie de chaque mission des forces armées. Dans le cas présent, le GSBdD assure une logistique complète, afin de garantir aux militaires déployés tout l’équipement nécessaire et une organisation adaptée. Pour le renforcement du plan Vigipirate, il a su répondre en 48 heures seulement aux besoins matériels (transports, logements, équipements) que nécessite une mission de cette envergure.

 

 

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 17:45
Gender transformation a challenge for Armour Formation Reserves

 

20 January 2015 by defenceWeb

 

There are some who may ask why transformation is still an agenda item in the SA National Defence Force (SANDF) after 21 years and one answer is to be found in the Armour Formation where ergonomics ensures one size doesn’t fit all.

 

“It’s not easy to meet the female representative targets prescribed by gender policy,” said Lieutenant Colonel Philip Coetzer, SO1 Reserves of the Army Armour Formation.

 

“Accommodation of personal safety and convenience for different gender is a challenge. One-piece versus two-piece fire resistant overalls is an example but however creative one would like to be, the safety and survival of personnel is a non-negotiable.

 

“Physical power of the upper part of the body for handling and carrying equipment and ammunition makes it difficult for smaller or female soldiers, who would rather prefer another military division to the hard and rough armour milieu. This has implications for gender transformation in general,” he pointed out.

 

Taking the analogy of sport, Coetzer asked whether his formation would rather see “rugby forward types” go to other formations.

 

“Not necessarily, but at the same time it must be understood that tall female netball players will experience combat vehicles being just as uncomfortable and challenging.”

 

He sees the pool of suitable candidates for the Armour Formation (Reserve Force) shrinking and maintains it will impact on continued transformation in the Formation.

 

“The utilisation of women as armoured soldiers in the Reserve Force has to be put into perspective. Almost 40% of the current available number of combat vehicles can presently be fully manned only with women from Armour Reserves. In other words the utilisation of women as drivers, gunners, crew and troop commanders for tanks and Rooikat combat teams is a necessity.”

 

Overall Coetzer maintains the Reserve component of the Armour Formation, which has been actively working on transformation for the last 10 years, has made progress especially in the management process.

 

He is adamant one of the major hurdles still to be faced is an improved feed of newcomers to the ranks of the Formation.

 

“It is virtually impossible to implement racial and/or gender transformation without an improved feeder source of new recruits.”

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 17:45
Sangaris : Inauguration de la sous-préfecture de Grimari

 

20/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le vendredi 16 janvier, des représentants des autorités centrafricaines, les représentants administratifs de la ville de Grimari et de ses quartiers, ainsi que les représentants de la société civile étaient présents à l’inauguration de la sous-préfecture de Grimari.

 

Cette ville, située à plusieurs centaines de kilomètres à l’ouest de Bangui, ne bénéficiait plus des conditions optimales de travail pour ce service de l’Etat. En appui de la MINUSCA, la force Sangaris (GTIA Korrigan), a participé à la sécurisation de l’évènement aux côtés de la gendarmerie centrafricaine.

Depuis plusieurs mois, l’intervention de Sangaris en appui de la MINUSCA, a permis à la ville de reprendre une activité normale. Les quartiers reprennent vie, le marché central se remplit et les commerces réapparaissent. Le retour progressif des autorités  a permis aux services administratifs de proximité, aux mairies, à la gendarmerie et aux écoles primaires une réhabilitation de l’administration dans un climat plus apaisé.

Cet évènement en province est un signal fort pour la Centrafrique : la réelle prise en compte de l’importance des conditions d’exercice d’un fonctionnaire et l’amélioration des conditions d’accueil de la population dans ce bâtiment étatique qu’est la sous-préfecture de Grimari.

Le climat apaisé de la ville de Grimari illustre les résultats obtenus par les efforts conjugués de l’Etat centrafricain et de son administration, des forces internationales dont Sangaris, et de la population.

La veille, la force Sangaris participait aussi à l’inauguration de la mairie du 4e arrondissement de Bangui. Ce chantier est le deuxième projet de rénovation de bâtiment administratif ayant abouti après celui de la mairie du 8ème arrondissement.

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Sangaris : Inauguration de la sous-préfecture de GrimariSangaris : Inauguration de la sous-préfecture de Grimari
Sangaris : Inauguration de la sous-préfecture de GrimariSangaris : Inauguration de la sous-préfecture de Grimari
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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 17:35
Islamic State jihadists moving in vehicles captured from the Iraqi army

Islamic State jihadists moving in vehicles captured from the Iraqi army

 

Jan 19, 2015, Times of India (PTI)

 

NEW DELHI: Britain has warned India about possible attack by ISIS and said all efforts must be taken to check activities of the Middle East terrorist group.

British officials have conveyed this to their Indian counterparts at the India-UK counterterrorism joint working group meeting held in London on January 15-16.

Officials said that during the meeting, India had asked Britain to impress upon Pakistan not to differentiate between "good" and "bad" terrorists in the wake of recent attack on a school in Peshawar and said that it must take a firm stand on why Pakistan had become a nursery of terrorists.

 

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 17:30
Opération IMPACT: forces spéciales et frappes

 

20.01.2015 par Nicolas Laffont - 45eNord.ca

 

Les forces spéciales canadiennes ont eu fort à faire au cours des derniers mois en Irak, alors que la mission initiale de formation des forces de sécurité irakiennes s’est transformée en mission d’assistance aux pays de la Coalition.

 

Lors d’une conférence de presse au Quartier général de la Défense nationale, à Ottawa, ce lundi 19 janvier, le lieutenant-général Jonathan Vance et le brigadier-général Michael Rouleau, respectivement commandant du Commandement des opérations interarmées du Canada et commandant du Commandement des forces spéciales du Canada, ont fait le point sur les opérations canadiennes en Irak.

 

Le lieutenant-général Vance a affirmé que les près de 1.000 frappes aériennes menées par les pays de la coalition ont réussi à stopper le groupe État islamique et à les placer sur la défensive. «Nous avons perturbé leur liberté de mouvement, leur capacité de commandement et contrôle, et limité leur capacité de mener à bien des opérations de grande envergure», mais il faudra néanmoins «des années avant de crier victoire».

Nous ne sommes qu’au «début de la campagne» a dit le général Vance, qui estime qu’il «ne s’agira pas d’un combat facile, et il restera beaucoup à faire dans les domaines de l’instruction et de l’aide avant qu’un niveau de réussite important soit atteint».

Résumant les sorties des avions canadiens dans l’espace aérien irakien, Jonathan Vance a précisé que la Force opérationnelle aérienne en Irak a effectué 358 sorties aériennes en date du 18 janvier à 15h, soit 230 sorties pour les CF-18; 61 sorties pour l’aéronef de ravitaillement CC-150T et 67 missions de reconnaissance pour les aéronefs de patrouille CP-140.

 

Entraîner, conseiller et assister

Au cours des derniers mois, les membres des forces spéciales canadiennes ont fourni des conseils et de l’assistance aux commandants supérieurs des forces irakiennes dans la défense de leurs lignes contre l’EI et dans la planification de leurs opérations offensives.

«Grâce à un centre de coordination combiné que nous avons établi, la coordination, planification et synchronisation des opérations irakiennes est améliorée», a affirmé le brigadier-général Michael Rouleau.

Une fois cette étape franchie, une mission de reconnaissance sur le terrain est effectuée afin de visualiser les opérations des lignes de front.

L’instruction que les forces spéciales canadiennes offrent sont la navigation terrestre, l’informatique ou les systèmes de position globale, GPS.

«Nous avons aussi aidé en fournissant une formation médicale aux forces de sécurité irakiennes […] comment garder en vie un soldat sur le champ de bataille assez longtemps pour qu’il se rende jusqu’à un hôpital».

Précisant que la formation se fait «des kilomètres derrière les lignes de front, Michael Rouleau a indiqué aux journalistes que cette partie représente environ 80% du travail, le reste se faisant «pour la plupart à proximité de la ligne de front, mais parfois sur la ligne de front».

Le brigadier-général a comparé l’environnement à celui de la Première Guerre mondiale: «La chose que les gens ne comprennent pas, c’est que dans le Nord de l’Irak en ce moment c’est un environnement relativement statique. C’est un peu comme lors de la Première Guerre mondiale. Il y a une ligne de tranchée au Nord où les Forces irakiennes font face aux forces du groupe l’État islamique et c’est relativement statique ».

 

Face à l’ennemi

Lors de la planification d’un bombardement non loin de la ligne de front, des membres des forces spéciales ont été attaqué par des tirs de fusils mitrailleurs et de mortiers.

Depuis le début de la mission canadienne en Irak, c’est la première fois qu’un incident de ce type se produit, a indiqué le brigadier-général Rouleau. «Lorsqu’ils ont avancé pour confirmer les plans et visualiser ce dont ils avaient discuté sur une carte, ils ont immédiatement essuyé des tirs de mortier et le feu de mitrailleuses», a raconté le chef des forces spéciales.

Il a précisé que les Canadiens ont répliqué aux tirs ennemis dans une posture purement défensive et ont détruit les deux positions ennemies d’où venaient les tirs grâce à des snipers. Il n’y a eu aucun blessé du côté canadien.

 

Des yeux sur le terrain

Les membres des forces spéciales canadiennes ont également pris part directement aux frappes de la coalition contre des cibles de l’État islamique. Plusieurs d’entre eux ont ainsi aider les avions de chasse amis à localiser des cibles ennemies à 13 reprises.

Le brigadier-général Rouleau a donné l’exemple de lasers pointés sur des cibles au sol, afin d’aider les bombes à guidage laser.

Dans une vidéo diffusée lors du point de presse, on peut en effet voir ce qui semble être une position ennemie assez proche, filmée par des membres des forces spéciales. Les deux bunkers du groupe armé sont alors frappés par des bombes de la coalition.

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 13:55
Visite conjointe du CEMA et du CNR à la Direction du Renseignement Militaire à Creil

 

20/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 19 janvier 2015, le général d’armée Pierre de Villiers s’est rendu à Creil, en compagnie de Monsieur Alain Zabulon, coordonnateur national du renseignement (CNR), pour une visite des services de la Direction du Renseignement Militaire.

 

Accueillis par le général de corps d’armée Christophe Gomart, directeur du renseignement militaire, le CNR et le CEMA se sont fait présentés différentes capacités, dont celles offertes par le centre de renseignement géospatial interarmées (CRGI) doté de moyens les plus moderne. Cet organisme, nouvellement crée, relevant du CEMA, poursuit sa montée en puissance. Il complète la palette d’outils et de capacités dont disposent les armées dans le domaine de la connaissance et de l’anticipation, fonction essentielle de la stratégie de sécurité nationale française.

 

Cette visite a permis de réaffirmer le rôle essentiel de la DRM, service de renseignement des armées, dans la planification et la conduite des engagements opérationnels à l’étranger.

 

Ce déplacement s’inscrit également dans le cycle des visites de terrain du CEMA. Il lui a permis de rencontrer les acteurs du renseignement militaires sur leur lieu de travail et de leur témoigner sa grande satisfaction pour leur engagement au quotidien.

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 13:55
Protéger les installations du ministère de la défense

 

19 janvier 2015. Portail des Sous-Marins

 

Alors que la sécurité des sites et des personnels de la Défense sur le territoire revêt une impor­tance inédite, le ministère de la Défense a mené, depuis un an, une réflexion qui a récemment abouti à la mise en place d’une direction fonction­nelle dédiée pour élaborer la poli­tique de protection des installa­tions, moyens et acti­vités de la Défense.

 

Référence : TTU

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 13:50
 Médaille belge

 

20/01/2015 ASP Bourceret - Armée de Terre

 

Les 13 et 14 janvier, le lieutenant-général Buchsenschmidt, commandant l'Eurocorps à Strasbourg, s’est rendu à Olivet afin de décerner la médaille militaire belge au colonel Remanjon.

 

Les 13 et 14 janvier, le lieutenant-général Buchsenschmidt, commandant l'Eurocorps à Strasbourg, s’est rendu à Olivet afin de décerner la médaille militaire belge au colonel Remanjon, chef de corps du 12e régiment de cuirassiers, en récompense de son investissement dans son poste précédent de directeur de cabinet. Le corps européen est un quartier général de pointe en Europe. Dans cet état-major certifié OTAN travaillent, main dans la main, plusieurs nations européennes : l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, la France, le Luxembourg et prochainement la Pologne. Tous les deux ans, un général de corps d'armée d'une des nations cadres en prend le commandement.
Le lieutenant-général a profité de cette occasion pour visiter le régiment et s’essayer au simulateur d’instruction technique du tir aux armes légères (SITTAL) ainsi qu’au simulateur de char, avant de prendre place à bord d’un véritable char Leclerc pour une manœuvre sur terrain d’entraînement.


(Pour plus d’informations sur l’Eurocorps : http://www.eurocorps.org/).

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 13:45
Centrafrique : le VBCI au service de la force Sangaris

 

20/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Sangaris dispose de 16 véhicules blindés de haute capacité, particulièrement adaptés à la mission de stabilisation et d’appui de la MINUSCA. Le VBCI rassemble en un seul véhicule toutes les caractéristiques pour agir en Centrafrique : mobilité, rapidité, protection, observation et appui feu.

 

Aux cotés des drones de reconnaissance au contact (DRAC) et de l’hélicoptère Tigre, dans la version HAD arrivés progressivement sur le théâtre, le véhicule blindé de combat d’infanterie permet de densifier les appuis de la force. Cet engagement matériel va de pair avec l’évolution de la mission de Sangaris qui est devenue, peu à peu, « force de réaction rapide » de la MINUSCA.

 

Le VBCI, depuis sa mise en place début août 2014 sur le théâtre centrafricain, n’a cessé de conforter ses équipages sur sa puissance, à la fois force de dissuasion et d’appui au commandement. « Le déploiement des VBCI dans la zone a accompagné le retour au calme, et l’apaisement déjà entamé des tensions intercommunautaires», témoigne le capitaine Christophe, commandant le sous groupement du GTIA Korrigan, armé de VBCI dans la ville de Dékoa (190 km au nord de Bangui).

 

Ce véhicule de dernière génération est en mesure de faire face, grâce à son blindage, à différents types de menaces, allant du simple jet de pierres aux grenades offensives. Son gabarit imposant et sa puissance de feu lui valent l’appellation de « taureau de feu » par la population centrafricaine.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Centrafrique : le VBCI au service de la force Sangaris
Centrafrique : le VBCI au service de la force Sangaris
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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 13:40
photo Sergei Mamontov RIA Novosti.

photo Sergei Mamontov RIA Novosti.

 

MOSCOU, 19 janvier - RIA Novosti

 

L'armée russe se dotera massivement de missiles hypersoniques d'ici 2030-2040, a annoncé lundi à Moscou Boris Obnossov, directeur du consortium russe Missiles tactiques. 

"Le programme comprend plusieurs étapes. A mon avis, il donnera des résultats dès la prochaine décennie et l'armée passera aux armes hypersoniques pendant les années 2030 et 2040", a indiqué M.Obnossov dans une interview au magazine Défense de Russie.

Le responsable avait déclaré en novembre dernier que les premiers missiles hypersoniques destinés aux avions russes seraient conçus d'ici 2020.

Selon lui, le problème principal des concepteurs d'armes hypersoniques consiste à créer de matériaux capables de résister à des températures élevées pendant le vol hypersonique. Mais il faut en outre créer de nouveaux moteurs et équipements de bord.

"Je crois que nous sommes plutôt à niveau avec les Etats-Unis (dans le domaine de la conception d'armes hypersoniques), mais il y a toujours un risque d'être en retard. Nous menons donc des travaux très sérieux dans ce secteur", a noté M.Obnossov.

Créé en 2002, le consortium Missiles tactiques réunit 26 entreprises qui produisent des missiles, des bombes guidées et des armes embarquées.

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 13:35
photo 2nd Infantry Division - US Army

photo 2nd Infantry Division - US Army

 

Jan. 19 By Richard Tomkins (UPI)

 

A U.S. Army Division and a Korean Army brigade are combining personnel and command staff to form a new joint army division beginning this week.

 

UIJEONGB, South Korea -- The U.S. Army and Republic of Korea Army are joining forces and establishing a combined division for improved readiness and defensive capabilities.

The U.S. Army said the new division will be comprised of the U.S. 2nd Infantry Division and a brigade from the South Korean Army. Its commander will be American, while his deputy will be Korean.

Officers, non-commissioned officers and units will be attached to the division, allowing interoperability and capitalization of the strengths of both armies

 

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