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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:50
Airbus Helicopters s’ouvre aux PME innovantes

 

29 décembre 2014 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Airbus Helicopters a officiellement lancé sa nouvelle plateforme Open Innovation. Ce nouveau programme offre l’opportunité aux entreprises créatives, désireuses de se développer sur de nouveaux marchés, d’accompagner Airbus Helicopters dans sa stratégie d’innovation.

 

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:50
Un radar pour éviter les collisions avec les éoliennes

 

3 janvier 2015 par Aerobuzz.fr

 

Airbus Defence and Space a développé un nouveau radar pour éviter que les avions n’entrent en collision avec les éoliennes. Le Spexer 500 AC déclenche des signaux et avertit le pilote.

 

Le nouveau radar Spexer 500 AC (AC = anti-collision) d’Airbus DS a été développé pour éviter que les avions n’entrent en collision avec les éoliennes. Il prévient le pilote des collisions pouvant se produire en localisant à temps les objets volant à proximité d’une éolienne pour ensuite enclencher le balisage lumineux. Ce radar est intégré en exclusivité à l’« airspex », le système de balisage de la société spécialisée dans l’énergie éolienne Enertrag.

 

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:45
EFS : DIO aguerrissement à Toubacouta

 

27/12/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Du 4 au 13 novembre 2014, le détachement d’assistance opérationnelle commando de l’unité de coopération régionale (UCR) des éléments français au Sénégal (EFS) a mené un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) au profit des forces armées sénégalaises à Toubacouta.

 

La première semaine était dédiée à une action de formation au profit des forces armées sénégalaises. Le centre d’entraînement tactique n° 3 a sollicité l’aide des EFS pour le stage commando de deux compagnies devant être projetées en République de Côte d’Ivoire dans le cadre de l’ONUCI en février 2015. Le détachement commando a plus particulièrement pris en charge la compagnie du 5ème bataillon d’infanterie en délivrant à une centaine de militaires des instructions en TIOR (technique d’intervention opérationnelle rapprochée), en ISTC (instruction sur le tir de combat), en secourisme de combat, en techniques de survie et en combat en localité.

 

La deuxième semaine, le détachement s’est consacré à des activités dans le cadre de l’unité de coopération régionale au profit d’un groupe de la section PROTERRE. Au cours de cette instruction, les militaires des EFS ont organisé des séances de tir pirogue et de tir layon. Le détachement des EFS a également entretenu ses savoir-faire propres en effectuant un déroulé sur la piste mangrove et une sortie en kayak.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:45
RCI : deux nouveaux stages au profit des militaires ivoiriens

 

29/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 15 au 19 décembre, les soldats français engagés en Côte d’Ivoire ont encadré deux stages de formation militaire au profit d’une centaine de militaires ivoiriens.

 

Pendant toute une semaine, 90 militaires des forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), du soldat au chef de section, ont été encadrés et formés par les soldats de la force Licorne. Les formateurs ont proposé aux stagiaires une formation au combat d’infanterie avec d’un côté l’instruction des chefs de section et de l’autre celle des chefs de groupe et soldats. Le but était de faire progressivement monter en puissance les différentes sections et d’amener, au fil des jours, les chefs de section à conduire de manière autonome des missions et à commander tous leurs hommes.

 

En marge de ce premier stage, une douzaine d’officiers et de sous-officiers ivoiriens spécialistes des transmissions ont été sensibilisés à l’importance des systèmes d’information et de communication (SIC) lors d’un engagement opérationnel. A l’instar de leurs camarades fantassins, les officiers ont travaillé sur la planification du déploiement des réseaux informatiques, phase indispensable avant l’installation d’un poste de commandement. De leur côté, les sous-officiers se sont entraînés à déployer un réseau informatique de 12 postes informatiques, nécessaire au bon fonctionnement d’un centre d’opérations (CO).

 

Ces interactions permettent aux stagiaires de bénéficier d’un socle de connaissances mobilisable à tout moment. En douze années, des milliers de soldats ivoiriens ont pu bénéficier des savoir-faire des soldats de Licorne.

 

Forte de ses 450 militaires, la force Licorne accompagne la réforme de l’armée ivoirienne et maintient une présence militaire en Côte d’Ivoire pour assurer la protection des ressortissants français. Conformément aux annonces du ministre de Défense lors de son déplacement auprès de la force Licorne en mai dernier, compte tenu de l’évolution de l’environnement régionale et en vertu des orientations du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, celle-ci passera progressivement du statut de force opérationnelle à celui de force de présence d’ici janvier 2015. Le positionnement géographique de la Côte d’Ivoire, la qualité de ses infrastructures portuaires et aéroportuaires et les capacités de ses emprises feront de la future force une plateforme stratégique, opérationnelle et logistique majeure.

RCI : deux nouveaux stages au profit des militaires ivoiriensRCI : deux nouveaux stages au profit des militaires ivoiriens
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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:45
Immersion en brousse avec le 3e RIMa en République centrafricaine

 

30/12/2014 Armée de Terre

 

 Alors que la force SANGARIS vient de fêter Noël, la mission continue pour nos soldats. Notre caméra les a suivis à Bambari, où est basée une partie du groupent tactique interarmes Korrigan, notamment armé par le 3e RIMa. Plongez dans leur quotidien au sein de la population centrafricaine à travers cette interview illustrée de leur colonel.

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:45
RCI : Licorne assure le soutien logistique de l’opération Barkhane

 

29/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Le 22 décembre 2014, les éléments du plot logistique de la force Licorne ont accueilli 23 camions transportant plus de 246 tonnes de matériel, notamment des véhicules militaires et des containers, désengagés de l’opération Barkhane depuis Niamey au Niger.

 

Escorté par les gendarmes maliens, nigériens, burkinabés, puis ivoiriens, ce convoi a parcouru plus de 1 800 km avant d’arriver au camp militaire de Port-Bouët, point d’entrée et de sortie logistique des forces armées françaises engagées sur la façade ouest-africaine. Ce fret logistique sera ensuite acheminé en France par voie maritime pour être remis en condition.

 

Pour le maréchal des logis chef Vincent, responsable du transit de surface, « c’est un flux logistique permanent qui transite depuis le camp de Port-Bouët que ce soit par voie terrestre, aérienne ou bien maritime. En effet, le camp sur lequel est installée la force Licorne bénéficie d’une très grande capacité d’accueil et de stockage et la Côte d’Ivoire dispose également d’infrastructures portuaires et aéroportuaires de qualité permettant aux soldats, aux véhicules et au matériel opérationnel d’être acheminés ou désengagés rapidement depuis n’importe quel point en Afrique de l’Ouest ».

 

La force Licorne accompagne la réforme de l’armée ivoirienne et maintient une présence militaire en Côte d’Ivoire pour assurer la protection des ressortissants français. Conformément aux annonces du ministre de Défense lors de son déplacement auprès de la force Licorne en mai dernier, compte tenu de l’évolution de l’environnement régionale et en vertu des orientations du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, celle-ci passera progressivement du statut de force opérationnelle à celui de force de présence d’ici janvier 2015. Au même titre que les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj), les forces française en Côte d’Ivoire (FFCI) constitueront alors la seconde base opérationnelle avancée sur la façade ouest-africaine.

 

Le positionnement géographique de la Côte d’Ivoire, la qualité de ses infrastructures portuaires et aéroportuaires et les capacités de ses emprises en feront ainsi une plateforme stratégique, opérationnelle et logistique majeure.

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:35
FANC/FAPF : Fin de mission pour la FS Vendémiaire

 

27/12/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Le dimanche 21 décembre, après 2 mois de mission en Asie du Sud Est, la frégate de surveillance Vendémiaire (FS VDR) a rejoint son port d’attache de Nouméa.

 

Cette mission d’une soixantaine de jours, rythmée par des patrouilles dans les mers de Flores, Java, Sulu, Célèbes, Chine méridionale, dans l’archipel des Spratleys et des escales (Australie, Indonésie, Vietnam, Malaisie, Brunei et Palau) a démontré la place de la France, seule nation européenne à disposer d’une présence maritime dans la zone, comme acteur majeur du Pacifique.

 

La mission de l’équipage du Vendémiaire a donc permis d’affirmer l’attachement de la France à la liberté de navigation notamment en Mer de Chine et de réaliser de nombreuses actions de coopération avec les pays visités, à quai comme en mer.

 

A ce titre, il a réalisé différents exercices avec les marines australienne (EVOLEX avec le chasseur de mine HMAS Diamantina et PRERAM avec le patrouilleur HMAS Pirie), indonésienne (EVOLEX avec la corvette KRI Tjiptadi), vietnamienne (c’était une première - EVOLEX avec le patrouilleur HQ275), brunéienne (VISITEX avec le patrouilleur KDB Darulehsan), et américaine de la 7ème flotte (PRERAM et VISITEX avec la frégate USS Michael Murphy).  Dans le cadre du Theatre Security Cooperation, plusieurs exercices ont été conduits, notamment des exercices sécurité réalisés conjointement avec la marine malaisienne puis avec l’équipage du patrouilleur « Remelik » de Palau.

 

La FS  VDR a également activement participé à la protection des ressources halieutiques en prenant part à la mission régionale de police des pêches KURUKURU et en visitant deux navires de pêche philippins au nom de l’organisation régionale des pêches Western and Central Pacific Fishery Commission (WCPFC) dans la poche de haute mer nord Papouasie Nouvelle-Guinée.

 

L’Alouette 3 du détachement 22S, élément indissociable et indispensable à la réussite des missions lointaines, a pleinement participé à toutes les phases de la mission.

 

Ce déploiement de type semestriel, dont les zones de patrouille couvraient les Zones de Responsabilité Permanentes d’ALPACI (2/3 de la mission) et du COMSUP des FANC, avait les objectifs principaux suivants :

- affirmer la présence de la France dans le Sud-Est Asiatique, notamment en mer auprès des armateurs français dans la zone de contrôle naval volontaire ;

- affirmer l’attachement de la France à la liberté de la navigation et de survol ;

- entretenir notre connaissance de la zone Asie-Pacifique ;

- entretenir la coopération régionale avec les pays riverains.

FANC/FAPF : Fin de mission pour la FS VendémiaireFANC/FAPF : Fin de mission pour la FS VendémiaireFANC/FAPF : Fin de mission pour la FS Vendémiaire
FANC/FAPF : Fin de mission pour la FS VendémiaireFANC/FAPF : Fin de mission pour la FS Vendémiaire
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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:30
Liban : la FCR a mené deux coopérations opérationnelles innovantes

 

30/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 8 au 19 décembre 2014, la Force Commander Reserve (FCR) a conduit deux semaines d’exercices, menés conjointement entre les soldats français et libanais. Deux coopérations inédites, l’une dédiée à la protection d’autorités et l’autre à l’entrainement commando ont été effectuées par la cellule instruction du contingent français.

 

Dans le cadre du partenariat entre la FCR et les forces armées libanaises (FAL), un peloton français a été binômé avec une section libanaise durant la durée des deux stages. Au cours du stage du détachement d’accompagnement d’autorités, les savoir-faire particuliers de la protection d’un VIP, ainsi que les réactions face à une prise à partie ont été abordés en théorie mais également en pratique lors d’une séance de tir en mouvement.

 

Sur le camp français de 9.1 mais également sur le camp du 54erégiment des FAL de Tyr, les stagiaires de la coopération commando se sont entrainés au combat aux corps à corps, au parcours opérationnel et au franchissement notamment en milieu naturel. Dépassement de soi et rusticité étaient au rendez-vous d’un programme dense et novateur.

 

La France, engagée au Liban depuis 1978 dans le cadre de la FINUL, a notamment pour mission de soutenir les forces armées libanaises (FAL) afin qu’elles prennent en compte la sécurité du Sud Liban. Le partenariat avec les FAL, inscrit dans le dialogue  stratégique FAL – FINUL (entériné par la résolution 2064 d’août 2012 qui renouvelle le mandat de la résolution 1701), est l’axe d’effort de la FCR qui conduit ses missions en étroite coopération avec les FAL.

Liban : la FCR a mené deux coopérations opérationnelles innovantesLiban : la FCR a mené deux coopérations opérationnelles innovantes
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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:30
Chammal : Exercice incendie conjoint entre les pompiers émiriens et la frégate Jean Bart

 

05/01/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 29 décembre 2014, la base navale d’Abu Dhabi a organisé un exercice incendie conjoint impliquant la sécurité civile émirienne et la frégate Jean Bart Cet entraînement a permis de vérifier la pleine capacité du personnel français de la base navale et des pompiers émiriens à soutenir l’équipage d’un navire en escale confronté à un sinistre.

 

Rapidement arrivé à bord, le personnel émirien a ensuite été binômé avec des marins du bord avant d’intervenir dans les locaux envahis par la fumée et placés dans l’obscurité. La proximité des différentes procédures, le professionnalisme de l’ensemble des acteurs et la solidarité naturelle entre combattants du feu ont permis une intervention rapide et efficace.

 

L’équipage du Jean Bart poursuivra jusqu’au début du mois de janvier son escale de maintenance, bénéficiant du soutien permanent de la base navale, relais essentiel vers les autorités émiriennes et le tissu industriel local.

 

Le Jean Bart rejoindra ensuite le porte-avions américain Carl Vinson pour poursuivre sa mission de lutte contre le groupe terroriste Daech en Irak.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif est structuré autour de neuf avions Rafale, six avions Mirage 2000D, un ravitailleur C-135 FR, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 et la frégate anti-aérienne Jean Bart, intégrée dans le groupe aéronaval américain constitué autour du porte-avions USS Carl Vinson.

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:30
Rencontre avec le sergent Loïc, en mission au Liban pour des actions de coopération civilo-militaire


06/01/2015 Armée de l'air

 

Son profil est atypique. Dès les premières minutes de l’entretien, on comprend facilement que le sergent Loïc a choisi un parcours hors du commun. Portrait de ce jeune aviateur de 29 ans, adjoint au chef d’équipe de coopération civilo-militaire (CIMIC en anglais), actuellement en mission au Liban.

 

Engagé en 2008 à l’école de formation des sous-officiers de l’armée de l’air à Rochefort, le jeune homme fait le choix d’une spécialité qu’il voulait opérationnelle et dynamique. « J’ai choisi les fusiliers commandos de l’air pour vivre une expérience différente, en me dépassant au quotidien pour atteindre des objectifs précis. J’ai ainsi été breveté parachutiste en 2009, après un stage de deux semaines ». Affecté sur la base d’Orléans en tant que chef de poste commandement protection, le sergent Loïc part en mission avec ses équipiers durant six mois aux Émirats arabes unis.

Après quatre années riches et passionnantes, les aléas de la vie et des contraintes personnelles le font radicalement changer de carrière. « En 2013, j’ai été affecté au centre interarmées des actions sur l’environnement (CIAE) de Lyon en tant qu’adjoint au chef d’équipe CIMIC ». À peine le temps de s’immerger pleinement dans ce nouveau métier que le sergent Loic est déployé au Sud Liban dans le cadre de la mission de la FINUL (force intérimaire des Nations unies au Liban).

Intégré à une équipe de quatre militaires, il participe quotidiennement à la réalisation des projets visant à entretenir un lien étroit avec la population locale, afin de contribuer au rayonnement de la France et à la bonne intégration de la force dans son environnement. « En trois mois nous avons déjà mené à bien trois inaugurations, qui m’ont permis de suivre la réalisation des projets de A à Z. Je suis ainsi amené à rencontrer les maires, les mokhtars et autres autorités publiques afin de connaître les besoins des villageois, que ce soit en termes de vie courante (groupe électrogène, purificateur d’eau) mais également en termes d’éducation ou de construction publique. Dans tous les cas, nous faisons toujours en sorte de favoriser les projets qui ont un impact direct sur la qualité de vie des Libanais ».

Dans un pays où les relations interconfessionnelles sont très présentes et où l’intégration de la force passe notamment par les actions de coopération civilo-militaire, le sergent Loïc est conscient d’occuper un poste clef, dans lequel les relations humaines priment et que peu d’aviateurs ont la chance d’exercer. Alors que le mandat Daman XXII se terminera dans deux mois, il est « déjà pleinement satisfait de cette nouvelle aventure, très enrichissante tant professionnellement que personnellement ». Et de conclure : «  je suis fier, en tant qu’aviateur, de servir au CIAE » !

 

La France, engagée au Liban depuis 1978 dans le cadre de la FINUL, a notamment pour mission de soutenir les forces armées libanaises (FAL) afin qu’elles prennent en compte la sécurité du Sud Liban. Le partenariat avec les FAL, inscrit dans le dialogue stratégique FAL – FINUL (entériné par la résolution 2064 d’août 2012 qui renouvelle le mandat de la résolution 1701), est l’axe d’effort de la FCR (Force Reserve Commander) qui conduit ses missions en étroite coopération avec les FAL. Plus d’informations sur le site des opérations.

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:20
Premier vol du ravitailleur KC-46 de Boeing

Avion ravitailleur KC-46 de Boeing développé pour l’US Air Force qui en a commandé 179 – photo Boeing

 

30 décembre 2014 Aerobuzz.fr

 

Boeing annonce que l’avion-ravitailleur KC-46 a effectué son premier vol, le 28 décembre 2014, à Paine Field (Washington). L’avion, un Boeing 767-2C qui a volé 3 heures et 32 minutes, sera doté de ses systèmes militaires après certification. Ce premier vol s’inscrit dans le programme de l’avion ravitailleur de nouvelle génération destiné à l’US Air Force. Le contrat a été remporté par Boeing en 2011 après un épique combat à rebondissements multiples mené contre Airbus et son A330 MRTT.

 

Boeing prévoit d’utiliser 4 avions d’essais : deux 767-2C et deux KC-46A. Les 767-2C seront utilisés pour la certification de la version cargo, avant de recevoir les systèmes de ravitaillement en vol. Dans le même temps, les KC-46, entièrement équipés, seront utilisés pour les certifications militaire et civile (FAA). Boeing doit livrer à l’US Air Force, les 18 premiers KC-46 en 2017. Le contrat total porte sur 179 avions.

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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 21:35
5 janvier 1952 : mort de l'ADC Vandenberghe

 

source SHD


5 janvier 1952 : mort de l'ADC Vandenberghe (Tonkin - Indochine)  "Que la France me donne 100 Vandenberghe et nous vaincrons le Viêt Minh" : de Lattre de Tassigny. Chef du commando n°24 aussi appelé commando des tigres noirs, Vandenberghe conduit jusqu'à sa mort (à 24 ans), des missions en terrain ennemi avec des hommes issus du vietminh qu'il a lui-même retournés et formés pour la plupart. Sous-officier possédant des qualités de chef de guerre incroyables, il est l'un des cadres les plus décorés de l'armée française. C'est lui qui tente le sauvetage du fils de Lattre, le lieutenant Bernard de Lattre, lors de la bataille du Day et parvient à récupérer sa dépouille (Mai 1951). Malheureusement, 7 mois plus tard, l'une de ces recrues le trahit et l'assassine, durant son sommeil dans la nuit du 5 au 6 janvier dans son camp à Nam Dinh. Son assassin, le sous-lieutenant N'Guyen Thin Koy, ancien de la division 308, était manipulé par l'ennemi qui retenait en otage sa famille.

5 janvier 1952 : mort de l'ADC Vandenberghe

Juillet 1951 - Au cours d'une séance d'instruction au commando nord-viêtnam n° 24 (commando "Vandenberghe" ou "des tigres noires"), l'adjudant-chef Vandenberghe commente un croquis devant son adjoint, le sergent-chef Tran Dinh Vy. En retrait, les bras croisés, le sous-lieutenant Nguien Tinh Khoï (ancien commandant de l'unité d'assaut du régiment 36 de la brigade 308 du viêt-minh, capturé lors de la bataille du Day), qui trahira son chef et participera à son assasinat. - photo Francis Jaureguy SCA - ECPAD

 

voir reportage photos Séance d’instruction au commando Vandenberghe .

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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 20:55
Notre cinquième arme à l’oeuvre

 

5 janvier 2015 ECPAD

 

Film d’actualité réalisé par la section cinématographique de l’armée et diffusé aux soldats et au public de l’arrière.

 

Août 1915 - L’escadrille MS 3 (Morane-Saulnier) du capitaine Antonin Brocart est à l’œuvre. Des avions – Farman, Morane-Saulnier Parasol, Nieuport 11 et Maurice-Farman – sont sortis des hangars, armés et réglés avant de partir en mission de surveillance ou de combat.

 

Voir la vidéo 
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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 20:55
Ils ont passé les fêtes en Opex (Témoignages)


31/12/2014  Ltt Alexandra Lesur-Tambuté - Armée de l'air

 

Déployés en opérations extérieures (Opex), à des milliers de kilomètres de leur cocon, de nombreux aviateurs célèbrent les fêtes de fin d’année loin de leur famille. Alors que l’armée de l’air participe aux opérations Barkhane, Sangaris et dernière en date, Chammal, ces hommes et ces femmes ont fait le choix d’être déployés loin de leur pays.

 

Sergent Éléonore, secrétaire du détachement « chasse », opération Chammal

Affectée sur la base aérienne 133 de Nancy, à la cellule communication, Éléonore se porte volontaire pour remplacer une secrétaire de la 3e escadre en Opex, si le besoin se faisait ressentir. « On m’a proposé un départ pour le mois de novembre, m’explique-t-elle. Malgré les fêtes en perspectives, j’ai dit oui ». Mariée et mère de deux enfants, Eléonore s’assure au préalable que son mari, commando de l’air, pourra bénéficier d’horaires adaptés à ceux de ses enfants. Le commandement accepte. Ni une, ni deux, Éléonore, paquetage sur le dos, arrive en Jordanie, un mois seulement après le début de l’opération Chammal. « Après huit ans de service sur plusieurs bases aériennes, je ressentais le besoin de connaître le côté opérationnel », confie-t-elle. Sur place, pour sa première Opex, elle n’est pas déçue. Elle vit de très bons moments et parfois quelques coups de blues lorsqu’elle pense à sa famille. « On m’avait prévenue mais les collègues voient vite quand quelque chose ne va pas et vous aident à passer ces mauvais moments », raconte-t-elle. Et puis, certains ont plus l’habitude que d’autres, je parle des mécanos, des pilotes, des chefs … ils veillent sur nous ». À la veille des fêtes de Noël, Éléonore a appris que le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), venait à la rencontre des aviateurs engagés en Jordanie. « Je suis très agréablement surprise, souligne-t-elle. Nous sommes flattés de voir que le CEMAA en personne se déplace pour venir passer les  fêter de Noël en notre compagnie ». Éléonore n’oublie pas aussi de citer le commandant du détachement « Air », le colonel Stéphane G., son second ainsi que le commandant du détachement « chasse » : Eux non plus n’oublient pas le côté humain de notre engagement en nous organisant des moments festifs pour cette fin d’année loin de la métropole ».

 

Adjudant Régis, vidéaste, opération Chammal

Volontaire pour partir au Mali ou au Tchad à l’été 2014, Régis est finalement déployé le 11 octobre 2014 aux Émirats arabes unis (EAU). Il rejoint ensuite la Jordanie le 27 novembre, lieu de renforcement de l’opération Chammal.  C’est la troisième opération extérieure pour l’adjudant, dont la dernière en date remonte à 2012, au Tchad, lors de l’opération Épervier. Marié et père de deux enfants, il confie : « je supporte l’éloignement grâce au travail quotidien ». En effet, équipé de sa caméra, d’un enthousiasme sans faille, Régis récolte les images du détachement « Air », de jour comme de nuit, selon l’activité des opérations. « Un métier qui change de mon affectation au centre de formation Rafale de Mont-de-Marsan  où je réalise des vidéos au profit de l’instruction des équipages », souligne-t-il. Pour la première fois, Régis passera les fêtes de fin d’année loin de ses proches. « Mes enfants l’ont bien pris car ils étaient préparés à mon départ », ajoute-t-il. Dernièrement, Régis a eu l’occasion de partager une fête de Noël avec des pays membres de la coalition (cf. encadré ci-dessous). Une expérience enrichissante qui vous fait sortir de votre routine selon ses dires. Et de conclure : « Même en opérations, il y a ce côté festif qui n’est pas oublié et qui donne l’opportunité aux aviateurs de se changer les idées ou de garder le moral »

 

Les aviateurs français fêtent Noël avec la coalition 

Le 22 décembre 2014, des aviateurs du détachement « Air » de l’opération Chammal, en Jordanie, ont fêté Noël avec des pays membres de la coalition luttant contre le groupe terroriste autoproclamé Daech.

Les forces aériennes royales jordaniennes ont rassemblé des militaires américains, belges, hollandais et les aviateurs français autour d’un agréable repas. Dans un magnifique décor rouge et blanc, sans oublier le traditionnel sapin décoré, les aviateurs ont pu échanger avec les autres nations et célébrer la fête de Noël.

Les invités ont tenu à saluer l’effort de leurs hôtes pour leur offrir ce moment convivial.

L'armée de l'air vous souhaite une excellente année 2015 !

 

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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 20:45
Barkhane : Création d’une aire aéronautique et logistique

 

29/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Alors que le soleil se couche sur le Tchad, les 60 sapeurs du détachement du 25e régiment du génie de l’air (RGA) stationnés à N’Djamena se mettent à l’œuvre afin de réorganiser la zone aéroportuaire et logistique.

 

La réalisation d’un parking pouvant accueillir l’A400M représentait la première phase de ce chantier et s’est déroulée de la fin 2013 à l’été 2014. La seconde phase, entamée en octobre 2014, consiste à réaliser une zone logistique, laquelle permettra début 2015 le déménagement du détachement de transit interarmées. La 3e phase consistera à effectuer les raccords des différents taxiways à la piste.

 

Les équipes se succèdent jour et nuit pour optimiser le travail et éviter les interférences entre les différentes machines. La journée, les sapeurs de l’air terrassent la zone afin que, dès la nuit tombée, ils puissent produire et mettre en œuvre le béton.

 

Pour ce faire, ils utilisent la machine « Wirtgen » qui met en place des bandes de béton de 200 mètres de long sur 5 mètres de large et 20 centimètres d’épaisseur. Chaque nuit la machine est capable de produire jusqu’à 40 mètres de béton par heure. Douze heures plus tard les hommes du 25e RGA peuvent marcher sur ces bandes pour finaliser le travail de consolidation.

 

Spécialisé dans la réalisation et le maintien en condition des plateformes aéronautiques, le 25e RGA intervient en France et sur les théâtres d’opérations extérieures. Il est rattaché à la brigade aérienne d’appui à la manœuvre aérienne (BAAMA) du commandement de soutien des forces aériennes (CSFA). Doté d’une capacité unique d’expertise des terrains revêtus et de maintien en condition des terrains sommaires pour avions, il entretient les savoir-faire du génie aéronautique en appuyant toutes les opérations aériennes de l’armée française. Cette pluralité de compétences permet ainsi d’aborder n’importe quelle situation. « Entreprendre pour aboutir », telle est la devise du génie de l’air.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : Création d’une aire aéronautique et logistiqueBarkhane : Création d’une aire aéronautique et logistique
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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 20:20
Espagne: les USA veulent rendre permanente leur présence militaire

 

MADRID, 5 janvier – RIA Novosti

 

Les Etats-Unis veulent amender leur accord de coopération militaire avec l'Espagne de manière à augmenter leurs effectifs déployés sur la base aérienne de Moron de la Frontera, en Andalousie, et à obtenir l'autorisation d'utiliser cette base en permanence afin de "réagir aux crises en Afrique".

 

Washington souhaite renégocier son accord avec Madrid signé en 1988 en vue de "faire de Moron de la Frontera une base permanente", rapporte lundi le quotidien El Pais.

 

Cette base permettrait au Pentagone de "réagir aux crises en Afrique", ajoute le journal, précisant que le secrétaire à la Défense Chuck Hagel a déjà adressé une proposition ad hoc aux autorités espagnoles.

 

Aux termes des ententes intervenues en mars dernier, la base de Moron de la Frontera compte actuellement 850 militaires américains, mais leur nombre pourrait être porté à 1.100 personnes en cas de nécessité.

 

Le journal suppose, citant ses propres sources, que le contingent américain pourrait atteindre 3.000 personnes en cas de crise.

 

Conformément à l'accord de coopération militaire en vigueur entre les Etats-Unis et l'Espagne, les effectifs américains doivent quitter la base en avril 2015.

 

Le Pentagone cherche à conclure un nouvel accord avec Madrid avant les élections parlementaires prévues en Espagne à la fin de l'année, car si l'opposition socialiste remporte le scrutin, Washington aura beaucoup plus de mal à négocier un nouveau statut pour ses troupes en Andalousie.

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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 19:55
Vente d'Alstom : le dessous des cartes

 

 

06/01/2015 Par Alexandre Devecchio - LeFigaro Vox Economie

 

Pour Jean-Michel Quatrepoint, la vente d'Alstom est un «scandale d'État». Le journaliste et économiste révèle que le gouvernement a délibérément confié à un groupe américain l'avenir de l'ensemble de notre filière nucléaire.

 

[...]

Cela peut-il également avoir des conséquences diplomatiques et géopolitiques? Lesquelles?

Oui, et c'est peut-être le plus grave. Les Etats-Unis sont nos alliés, mais il peut arriver dans l'histoire que des alliés soient en désaccord ou n'aient pas la même approche des problèmes, notamment dans la diplomatie et les relations entre États. Est-on sûrs qu'en cas de fortes tensions entre nos deux pays, comme ce fut le cas sous le Général de Gaulle, la maintenance de nos centrales nucléaires, la fourniture des pièces détachées seront assurées avec célérité par la filiale de GE?

 

Photos Marine Nationale

Photos Marine Nationale

En outre, on a également oublié de dire qu'il donne à GE le monopole de la fourniture de turbines de l'ensemble de notre flotte de guerre. D'ores et déjà, le groupe américain fournit près de la moitié des turbines à vapeur de notre marine, à travers sa filiale Thermodyn du Creusot. Alstom produit le reste, notamment les turbines du Charles de Gaulle et de nos quatre sous-marins lanceurs d'engins. Demain, GE va donc avoir le monopole des livraisons pour la marine française. Que va dire la Commission de la concurrence? Monsieur Macron a-t-il étudié cet aspect du dossier?

 

photo Alstom Satellite Tracking Systems

photo Alstom Satellite Tracking Systems

Enfin, il est un autre secteur qu'apparemment on a oublié. Il s'agit d'une petite filiale d'Alstom, Alstom Satellite Tracking Systems, spécialisée dans les systèmes de repérage par satellite. Ces systèmes, installés dans plus de 70 pays, équipent, bien évidemment, nos armées, et des entreprises du secteur de la défense et de l'espace. C'est un domaine éminemment stratégique, car il concerne tous les échanges de données par satellite. General Electric récupère cette pépite. Quand on sait les liens qui existent entre la NSA, les grands groupes américains pour écouter, lire, accéder aux données des ennemis, mais aussi des concurrents, fussent-ils alliés, on voit l'erreur stratégique à long terme que le gouvernement vient de commettre. Le ministère de la Défense a t il donné son avis?

[...]

 

 

Lire l’entretien

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 17:55
Entre civil et militaire, quelle stratégie de développement pour Thalès ?

 

source Marc CAZABAT, Responsable du comité de Défense économique de l’ANAJ-IHEDN
 

Hervé MULTON Directeur Général Adjoint de THALES, Directeur Stratégie, Recherche et Technologie

Jeudi 15 janvier 2015 - 19h30 à 21h00

Ecole militaire - Amphithéâtre Des Vallières

 

Thales figure parmi les leaders européens de la fabrication et de la commercialisation d’équipements et de systèmes électroniques destinés aux secteurs de l’aérospatial, du transport, de la défense et de la sécurité. Thales intègre en 2014, d’après la revue américaine « Défense news », le très convoité top 10 du classement mondial des groupes de défense, à la 9eme place. L’entreprise est aussi le 3eme groupe européen derrière l’anglais BAE Systems et l’européen Airbus group. Avec 14,2 Mds d’euros de chiffre d’affaire et un carnet de commandes de 29,5 Mds d’euros, le groupe d’électronique a retrouvé la voie de la croissance et une rentabilité qui approche les 2 chiffres à 7,2%.

Les activités du civil sont certainement à développer, alors que Thales est déjà leader mondial de l’avionique civil, des partenariats ou achats pourraient permettre de faire face à la concurrence, la consolidation de positions pourraient aussi permettre d’émerger parmi les leaders mondiaux dans certaines activités, le renforcement de l’innovation pourrait permettre de prendre un temps d’avance, le renforcement des positions sur les pays émergents pourraient conforter l’élan de croissance actuel.

Comment est constitué aujourd’hui le groupe Thales ? Quelles sont ses activités leader sur le marché mondial ? Quels sont les nouveaux défis qui attendent le prochain représentant de ce groupe ? Quelle stratégie pour cette pépite de l’industrie française ? Pour nous répondre, nous avons invité M. Hervé Multon, Directeur Général Adjoint de THALES, Responsable de la Stratégie, de la Recherche et Technologie.
 
_____

Hervé Multon est diplômé de l’École Polytechnique et de l’Ecole Nationale Supérieure de Techniques Avancées. Il est également titulaire d’un Master of Science de l’Université de Stanford. Il a débuté sa carrière à la direction générale de l’Armement (DGA) du ministère de la Défense, où, durant 15 ans, il a occupé successivement les fonctions de directeur du programme franco-italien de missiles sol-air ASTER et des lanceurs associés ; de chef du bureau des programmes de missiles et d’électronique à la direction des programmes des méthodes d’acquisition et de la qualité ; de chef de cabinet du Délégué général pour l’armement, Jean-Yves Helmer, avant de prendre des responsabilités dans la gestion des ressources humaines de la DGA.
Il a rejoint le groupe Thales en 2002, au sein de la Division des Systèmes Aériens, où il a été en charge de l’activité des centres de contrôle du trafic aérien pour l’Europe, en tant de directeur de la Business Unit Eurocat E.
En 2007, il a pris la direction des opérations françaises de la joint-venture Thales Raytheon Systems, leader mondial des systèmes de commandement et de contrôle des opérations aériennes. Depuis décembre 2009, il était Vice-Président, Adjoint au Directeur de la Stratégie de Thales. Hervé Multon occupe ses fonctions actuelles depuis avril 2010.


defense-economique@anaj-ihedn.org
www.anaj-ihedn.org
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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 17:50
Air force to share guard duty with the Dutch

 

05/01/2015 - Colin Clapson - deredactie.be

 

Belgium has plans to share its responsibility to guard Belgian airspace with the Dutch. The Belgian air force will in future also be involved in guarding Dutch airspace.

 

The Belgian defence ministry is confident that a formal agreement with the Netherlands can be signed this year.

 

The joint effort will help to cut costs now that both nations are facing mounting bills to fund the introduction of the Joint Strike Fighter, the F-35, as the replacement for our antiquated F-16 fighter jets.

 

The Belgian government still has to take a decision on the successor of the F-16. Earlier, then Defence Minister Peter De Crem came out in favour of buying Joint Strike Fighters produced by America's Lockheed-Martin. The daily De Morgen reports that 40 Joint Strike Fighters will cost 3.5 billion euros.

 

A letter written by the Dutch Defence Minister Jeanine Hennis-Plasschaert suggests that maintenance of the Dutch fleet of Joint Strike Fighters will cost 280 million euros annually - around half the Belgian budget for operational costs. Opposition MP Dirk Van der Maelen spoke in De Morgen of a classic trick of the defence ministry: suggesting it will be cheaper only to pass on the full bill later on.

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 17:45
FAZSOI : visite du préfet de la Réunion sur la FS Floréal

 

 

27/12/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Le 15 décembre 2014, la frégate de surveillance (FS) Floréal de retour de mission de surveillance maritime dans la zone de responsabilité permanente des forces armées de la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI), a accueilli à la mer le Préfet de La Réunion, monsieur Dominique Sorain, qui exerce les fonctions de délégué du gouvernement pour l’action de l’état en mer (DGAEM).

 

Il était accompagné du général Franck Reignier, commandant supérieur (COMSUP) des FAZSOI, du capitaine de vaisseau Jacques Luthaud, commandant de zone maritime et de monsieur Denis Mehnert, directeur de la mer en zone Sud de l’océan Indien. Le Préfet a pu découvrir in situ le Floréal et ses missions.

 

Héliportés par Panther, l’hélicoptère embarqué du Floréal, les autorités ont assisté à une présentation du bilan de mission  au cours de laquelle le Floréal a intercepté quatre embarcations pêchant illégalement dans les zones économiques exclusives (ZEE) des îles Eparses. Les nombreuses patrouilles analogues régulièrement effectuées dans la zone par les bâtiments des FAZSOI ou des autres administrations ont déjà permis de diminuer sensiblement la pêche illégale dans les zones économiques exclusives (ZEE) françaises de la zone Sud de l’océan Indien.

 

La visite s’est achevée par une démonstration « type » d’intervention à bord d’un navire de pêche mettant ainsi en avant, de façon dynamique, les procédures d’échange avec les autorités dans le cadre de l’Action de l’Etat en Mer (AEM), ainsi que le matériel utilisé.

 

En tant que délégué du gouvernement, le préfet exerce l’autorité sur l’AEM au nom du premier ministre dans la zone. Il est assisté du commandant de zone maritime pour la coordination des moyens des administrations. Les FAZSOI assurent le contrôle opérationnel des bâtiments de guerre. Le directeur de la mer assure, lui, entre autres, la tutelle sur le CROSS, centre de contrôle des activités de pêche. Le passage de ces autorités sur le Floréal témoigne de la qualité de la collaboration entre les acteurs contribuant à l’AEM à La Réunion.

 

Les FAZSOI garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis La Réunion et Mayotte. Elles constituent le point d’appui principal du théâtre « océan Indien » pour lutter contre de nouvelles menaces comme la piraterie ou l’immigration illégale, assurer la surveillance des zones économiques exclusives (ZEE) associées à l’ensemble des îles de la zone de responsabilité et conserver une capacité régionale d’intervention rapide.

FAZSOI : visite du préfet de la Réunion sur la FS FloréalFAZSOI : visite du préfet de la Réunion sur la FS Floréal
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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 17:25
AS550 Fennec photo Felipe Christ - Helibras

AS550 Fennec photo Felipe Christ - Helibras

 

5 Jan 2015 By: Dominic Perry - FG

 

Helibras has delivered the first four of 36 Airbus Helicopters AS550 Fennec and AS350 Squirrel helicopters it is modernising for the Brazilian army.

Performed at the Airbus Helicopters subsidiary's Itajubá facility, upgrades for the light single-engined rotorcraft include a glass cockpit, new communication and navigation systems and additional ballistic protection.

 

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 13:45
Photos R. Veron - CECAD

Photos R. Veron - CECAD

 

25/12/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Du 28 novembre au 8 décembre 2014, des officiers éthiopiens ont effectué un stage d’aguerrissement en milieu désertique au Centre d’Entraînement et d’Aguerrissement au Désert (CECAD) à Djibouti.

 

Trois officiers et six cadets militaires éthiopiens, aux côtés de leurs camarades français et djiboutiens, ont suivi les différents modules proposés par les douze instructeurs du CECAD : sauvetage, combat, topographie, vie en campagne… Plus particulièrement, les modules de vie en campagne adaptés au milieu désertique ont été enrichissants et appréciés. Par exemple, l’apprentissage des techniques de collecte de l’eau et d’allumage du feu qui satisfont les besoins primaires.

 

L’élément « eau » est en effet primordial. 6 à 12 litres d’eau par personne et par jour sont nécessaires en milieu désertique, d’où la nécessité d’être formé pour le collecter. A Djibouti, faute de rosée matinale, l’eau est récupérée par condensation, grâce à la méthode de l’alambic, puis filtrée par un système d’entonnoir avec du sable. Et pour la garder « fraîche », rien de tel qu’une chaussette mouillée pour envelopper le contenant.

 

Le feu est également vital notamment pour cuire les aliments. Plusieurs possibilités d’allumage de feu existent : la technique de la loupe qui capte les rayons solaires, utilisation la limaille de fer sur la batterie d’un téléphone portable…

 

Les instructeurs du CECAD sont issus du 5e Régiment Interarmes d’Outre-Mer (5e RIAOM). Ils connaissent l’environnement semi-désertique et y sont acclimatés. Afin de former les stagiaires, ils s’inspirent de techniques ancestrales employées par les nomades et utilisent également des moyens modernes utilisés par tous.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise.

FFDj : des cadets éthiopiens formés au CECADFFDj : des cadets éthiopiens formés au CECADFFDj : des cadets éthiopiens formés au CECAD
FFDj : des cadets éthiopiens formés au CECADFFDj : des cadets éthiopiens formés au CECAD
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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 12:55
L’armée de Terre se fait ambassadrice de vos vœux de bonne année pour 2015


31/12/2014 Armée de Terre

 

Envoyez vos cartes virtuelles aux couleurs de l’armée de Terre à tous vos proches ou vos contacts professionnels en un instant.

 

Fierté, honneur, cohésion, fraternité, solidarité... Pour l’année 2015, c’est un peu de nos valeurs que vous pouvez transmettre en quelques clics ! - Pour commencer, cliquer sur la photo ci-dessous.

 
 

Attention ! pour les destinataires ayant une adresse « Wanadoo » ou « Orange » merci de bien vouloir utiliser ce lien

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 12:45
Dans la peau d’un laborantin du SEA sur le Détair de Niamey

 

30/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Le brigadier-chef Yohan est laborantin au service des essences des armées (SEA) du détachement air (DETAIR) de Niamey. Il est le spécialiste de la sécurité et de la qualité du carburant de tous les dépôts SEA de l’opération Barkhane.

 

En France, il est affecté au laboratoire du SEA situé à Marseille. Entré dans l’armée en 2001, le brigadier-chef Yohan a déjà effectué plusieurs missions en opérations extérieures, notamment au Kosovo, en Afghanistan et actuellement au Niger. Il a également été détaché deux ans en Guyane.

 

Depuis septembre 2014, c’est au sein du laboratoire mobile du SEA de Niamey que le brigadier-chef Yohan fait ses analyses. Tout le carburant utilisé par les armées sur la bande sahélo-saharienne est issu de raffineries locales. C’est pourquoi avant d’être utilisé, des échantillons sont prélevés à chaque livraison et acheminés par avion vers le laboratoire du DETAIR.

 

Si la logistique de l’opération Serval nécessitait une manœuvre d’ampleur, depuis août 2014, celle de l’opération Barkhane triple les besoins en liaisons à travers des espaces gigantesques au climat exigeant pour les hommes, comme pour les matériels.

 

L’opération Barkhane bénéficie de trois SPOD (Sea Port of debarkation) que sont Dakar, Abidjan et Douala, deux APOD (Air Port of debarkation) à Niamey et N’Djamena dont les flux conduisent à la plateforme opérationnelle de Gao, sur les cinq sites isolés, ou vers les détachements opérationnels avancés de Tessalit, et à l’avenir du Nord Niger.

 

Les besoins en carburant sont considérables pour répondre aux besoins opérationnels et aux élongations. Le SEA a pour mission d’approvisionner, stocker, distribuer et analyser les différents carburants de toute l’opération Barkhane.

 

Chaque semaine, ce sont plusieurs caisses d’échantillons qui arrivent pour être vérifiés et testés. C’est seulement suites aux analyses effectuées par le laborantin, que le SEA donnera son feu vert ou non, pour l’utilisation des carburants sur les différentes emprises de l’opération Barkhane.

 

Un des fers de lance du brigadier-chef Yohan est la détection d’eau dans le carburant. En effet, comme l’eau retombe au fond des cuves de carburant, des bactéries peuvent se développer à l’interphase entre l’eau et le carburant et générer une pollution. « L’eau est notre ennemie, elle ramène le carburant à la vie » explique le laborantin.

 

Afin de prévenir une éventuelle pollution dans le carburant, le brigadier-chef Yohan effectue une distillation des échantillons qu’il reçoit. La pollution d’un carburant peut se traduire par une présence d’eau, de métaux ou encore d’autres carburants mélangés. « Il est possible de trouver des traces de gasoil ou d’essence dans du kérosène, si par exemple les cuves servant au stockage ou au transport ont été mal nettoyées », détaille-t-il.

 

Les pollutions dans le carburant sont dangereuses pour tous les types de véhicules. Qu’il s’agisse de véhicules terrestres ou d’aéronefs, elles peuvent provoquer des avaries sur les moteurs, des incendies ou encore des explosions. Autre danger propre aux aéronefs, le risque de gel. En effet, à une température de -47°C, les particules d’eau, si elles sont suffisamment nombreuses, pourraient geler et ainsi provoquer des cristaux de glace dans les réservoirs, obstruant ainsi l’arrivée de carburant vers les moteurs. « Pour prévenir ce risque, un additif anti-glace est ajouté aux carburants destinés aux aéronefs » explique le brigadier-chef Yohan.

 

Les missions et les tâches du brigadier-chef Yohan sont aussi variées qu’essentielles à la sécurité du personnel et au maintien en condition opérationnelle du matériel militaire.

 

Muni de ses éprouvettes, tubes, balances et autres instruments de mesure, le brigadier-chef Yohan joue un rôle primordial, garant de la qualité et de la sécurité du carburant. En trois mois, il a réalisé plus de 120 analyses. Au sein du SEA, cinq militaires détiennent actuellement les compétences requises pour armer un laboratoire mobile en opération extérieure.

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 12:45
FFDj : les futurs médecins djiboutiens en stage à l’hôpital Bouffard

 

 

25/12/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Le 10 décembre 2014, 6 externes djiboutiens ont achevé un stage de formation à l’hôpital médico-chirurgical Bouffard.

 

En 2010, le service de santé des armées (SSA) français et le ministère de la Santé djiboutien ont signé une convention autorisant les étudiants en médecine djiboutiens à effectuer des stages à l’hôpital Bouffard. Ce protocole avait été ratifié par le biais du chef de la direction interarmées des services de santé des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et le Doyen de la faculté de médecine de Djibouti. Ces périodes d’apprentissage s’intègrent dans le cursus de formation des médecins de la République de Djibouti. La validation de ces stages est indispensable pour être autorisé à passer les examens permettant d’atteindre le niveau supérieur d’étude. Cette année, 30 externes auront été formés en 6 périodes de stage de 4 à 5 semaines.

 

Les étudiants en médecine peuvent également participer à des stages optionnels l’été pour approfondir leurs connaissances. Différents services sont concernés : otorhinolaryngologie, urgences, réanimation, médecine et chirurgie. Lors de ces périodes, chaque externe suit un médecin de l’hôpital Bouffard dans ses activités professionnelles quotidiennes. Il est ainsi amené à observer la prise en charge du patient et à étudier le cas concret.

 

L’instruction dispensée par le Service de Santé des Armées français fait partie intégrante de la formation de la future génération des médecins djiboutiens. Les premiers médecins djiboutiens ainsi formés à la faculté de médecine de Djibouti et à l’hôpital Bouffard seront diplômés en 2015.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise.

FFDj : les futurs médecins djiboutiens en stage à l’hôpital Bouffard
FFDj : les futurs médecins djiboutiens en stage à l’hôpital Bouffard
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