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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 21:45
La Tunisie hérite de la présidence de «l’Initiative 5+5 Défense»

 

17-12-2014 par Anas Amine- lesafriques.com

 

La présidence périodique 2015 de «l’Initiative 5+5 Défense» a été confiée à la Tunisie pour succéder à l’Espagne. Une décision prise à la clôture de la 10ème réunion des ministres de la Défense nationale des pays du Maghreb et du sud de l’Europe, organisée du 10 au 12 décembre à Grenade (sud de l’Espagne).

 

Le ministre de la Défense, Ghazi Jeribi, a souligné, à cette occasion que «cette responsabilité permettra à la Tunisie de répondre avec efficience aux défis sécuritaires confrontés au Maghreb et de faire face aux menaces internes et externes qui pèsent sur la région».

 

La réunion a constitué une occasion aux hauts responsables méditerranéens pour passer en revue les risques qui menacent la sécurité et la stabilité de leurs pays, à savoir le terrorisme jihadiste, le trafic de drogue, la traite d’êtres humains, les migrations clandestines massives...

 

Par ailleurs, ils ont fait part d’une vive inquiétude face à la détérioration de la situation en Libye, dirigée par deux gouvernements et deux Parlements se disputant le pouvoir à distance, exprimant le souhait de voir se dessiner une solution à la crise.

 

Lancée en 2004, l’Initiative 5+5 Défense, regroupant cinq pays européens (France, l’Espagne, Italie, Malte et Portugal) et cinq Africains (Libye, Algérie, Tunisie, Maroc et Mauritanie), se propose de renforcer la coopération entre les États membres à travers la promotion de l’action commune et des compétences entre leurs forces armées respectives et l’échange d’expériences et d’expertises.

 

L’objectif de cette initiative est la prise en compte, en commun, des problèmes de sécurité dans la Zone de la Méditerranée occidentale, la lutte contre le terrorisme et les trafics de tout genre, la surveillance et la sécurité maritime, la sûreté aérienne, la protection des populations civiles en cas de catastrophes, en plus du domaine de la formation et de la recherche.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 20:55
Devenez mécène de l’ECPAD


source ECPAD
 

L’ECPAD s’ouvre au mécénat  et permet aux entreprises de devenir acteur de la protection et de la valorisation de la mémoire en images de la nation.

 

Gardien d’un fonds d’archives de 9 millions de clichés et plus de 30 000 titres de films, l’ECPAD assure, depuis sa création en 1915, la conception, la réalisation, la production, la conservation, l’exploitation, la diffusion et la valorisation de supports, d’œuvres, de documents audiovisuels et multimédias intéressant la défense.

L’ECPAD propose à toute entreprise, quel que soit sa taille, de soutenir via un mécénat, l’un de ses multiples projets, et de contribuer ainsi au rayonnement du patrimoine audiovisuel du ministère de la Défense. En devenant mécène de l’ECPAD, votre entreprise noue des liens privilégiés avec l’agence d’images de la Défense. Cette relation se construit sur mesure, prenant en compte vos attentes, vos souhaits et vos besoins.

Le ministère de la Défense confie à l’ECPAD plusieurs missions, à titre permanent :

– Agence d’images : captation d’images, transmission, diffusion via la « régie actualités » ;

– Opérateur culturel : production et coproduction de films, documentaires, expositions, actions scientifiques et pédagogiques ;

– Centre d’archives définitives : collecte, conservation, catalogage, diffusion d’un fonds composé de 9 millions d’images et près de 30 000 titres de films ;

– Opérateur de formation aux métiers de l’image : 1 700 jours de formation pour 84 stagiaires en 2013.

 

Pour assurer ces missions de service public culturel et patrimonial, l’ECPAD recherche le soutien de mécènes qui partagent ses valeurs : sa volonté de préserver et d’enrichir le patrimoine national, de rendre accessible et de faire connaître au plus grand nombre les archives audiovisuelles et photographiques dont il a la garde.

Parallèlement au développement croissant de partenariats avec de nombreux établissements en charge de missions de services publics, établissements d’enseignement scolaire, universités, musées, collectivités territoriales, l’ECPAD cherche aujourd’hui à s’associer avec des entreprises désireuses de participer à des projets d’envergure au service de l’éducation, de la culture et du renforcement du lien armées-nation.

 

Nos principaux projets sont actuellement :

– Le plan de sauvegarde et de numérisation des archives audiovisuelles;

– La plate-forme numérique d’images de la Défense;

– Les commémorations du centenaire de l’ECPAD.

En soutenant ces projets, vous participez à la réalisation d’actions pédagogiques et culturelles, contribuez à l’enrichissement et à la préservation des archives audiovisuelles de l’Etat et rendez ce patrimoine accessible à tous.

 

Quels avantages pour le mécène ?

En plus de la réduction de votre Impôt sur les sociétés, le mécénat de l’ECPAD permettra de bénéficier de diverses contreparties.

Les évènements de relations publiques :

Le mécène reçoit des invitations à l’inauguration du projet soutenu, il pourra également en faire profiter ses partenaires privilégiés.

L’entreprise mécène bénéficie de mises à disposition d’espaces au sein de l’ECPAD, situé au Fort d’Ivry-sur-Seine, lieu historique construit en 1840 et faisant partie de la ceinture défensive de Paris. Certaines salles peuvent être en partie privatisées pour accueillir des évènements de relations publiques, adaptés aux besoins de l’entreprises : séminaires professionnels, petits déjeuners, déjeuners, conférences, visites VIP des monuments et des installations techniques.

Le mécénat, un outil de communication en externe :

La mention et/ou le logo du mécène sont apposés sur tous les supports de communication, les publications, les affiches et les communiqués relatifs au projet soutenu, ainsi que lors des opérations de relations publiques de mises en valeur du projet soutenu. L’entreprise mécène bénéficie alors également des relations presse que l’établissement associe aux évènements.

La visibilité du mécène sera également assurer sur le site internet de l’établissement : www.ecpad.fr

A travers son action de contribution active à l’ECPAD, un établissement qui assure plusieurs missions de service public et d’intérêt général, l’entreprise valorise son image, son histoire et ses métiers auprès de ses partenaires et clients.

Le mécénat, un vecteur de communication interne :
Devenir mécène permet à votre entreprise de sensibiliser vos collaborateurs aux causes d’intérêt général que vous soutenez et de les impliquer dans la définition, la mise en place et la gestion de ce mécénat. L’entreprise mécène peut faire bénéficier ses salariés de son partenariat avec l’ECPAD – prêt d’espace pour organiser des séminaires, avantages tarifaires, visites guidées – et développer ainsi leur culture d’entreprise.

Le mécène reçoit également un accès privilégié aux évènements de l’ECPAD et de ses partenaires : invitations aux avant-premières des films produits et co-produits par l’ECPAD, invitations aux évènements organisés par ses partenaires (salons, expositions).

 

Réalisation et mise à disposition d’un clip vidéo autour du projet :

 

L’ECPAD propose de mettre au service du mécénat engagé ses moyens humains et matériels permettant de réaliser un clip promouvant le projet soutenu : de la captation d’images, au montage vidéo et sonore, en passant par la création musicale, l’insert d’images d’archives,… jusqu’à la mise à disposition du film.

 

Avantage fiscal :

Le mécénat financier ouvre droit à une déduction d’impôt, à hauteur de 60% pris dans la limite de 5 pour mille du chiffre d’affaire pour les entreprises assujetties à l’impôt sur le revenu ou à l’impôt sur les sociétés, avec possibilité de report d’excédent sur les cinq exercices suivants.

Un reçu fiscal attestant de l’acte de mécénat sera délivré à cet effet à tout donataire, l’administration fiscale étant en droit d’exiger du donataire la délivrance de ce document afin de justifier du bénéfice de la réduction.

 

Informations légales :

Conformément à ses statuts, codifiés aux articles R-3415-1 et suivants du Code de la défense, l’ECPAD est habilité à recevoir des dons, legs, dépôts et dations et toutes recettes en application de la loi n°2003-709 du 1er août 2003 relative au mécénat, aux associations et aux fondations codifiées à l’article 238 bis du Code général des impôts.

L’ECPAD peut conclure une convention avec toute entreprise ou fondation établie en France ou à l’étranger dans le cadre d’un mécénat conformément à la loi relative au mécénat, à l’instruction fiscale de la Direction générale des impôts du 13 juillet 2004 et au Code général des impôts.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 19:50
European Defence Matters - The Role of the European Defence Agency

 

source EU Defence Agency

 

European Defence Agency is the place for defence cooperation enabling EU Member States to strengthen their defence capabilities. Find out more about the work of the Agency in this video.

The EDA was formed in 2004 to build and enhance cooperation between European Member States around a common goal of mutual security. The EU and member states need to be able to protect their citizens and interests locally and globally. The only EU member that does not participate is Denmark, meaning that there are 27 other member nations. It's mission is to improve the effectiveness of defence expenditure.

The European Defence Agency is bringing greater harmonisation into the operations of the European defence industry. Currently each member has rules about the operating standards of equipment and training, but each set of rules is slightly different creating a significant amount of administration. By developing a standard framework for these rules and procedures, EDA is helping to streamline the work of the European defence technological and industrial base and make defence cooperation smoother.

As this harmonisation gathers pace, defense cooperation can become more integrated and able to respond more swiftly to both military and humanitarian situations. There are also great benefits still to be unlocked by working more closely together as defense research projects can be combined with multiple members contributing to different parts of development and innovation. This work also includes the testing of munitions and missiles. In time this will bring Europe much closer to its goal of smart defence.

Greater defence cooperation, regulations, standardisation and certification also requires and enables an increase in defence capabilities and armament cooperation. These matters can help reduce costs for national budgets while simultaneously generating operational improvements. It has also been possible to benefit from access to the European Union's budget by providing funds for greater research and development.

The European Defence Agency also has an Action Plan that will bring about harmonisation in safety features. As with deployment and operating standards, there are also differences between the ways that weapons are stored, stockpiled and transported between EU Member States and eliminating these differences will lead to both safety and cost improvements. It is also believed that these changes will help the European ammunition industry to increase it's competitiveness as it will have less administration to deal with from different member clients.

EDA is also bringing members together to work much more closely towards maritime awareness and having the very best maritime picture. This enables different navies to share the same maritime picture when cooperating on joint missions, such as against piracy or anti drug trafficking operations. This network is called MARSUR and has 15 member states. It is a project for European navies that is built by European navies which enables it to provide the solutions that they want and need.

The current Chief Executive of the European Defence Agency is Claude-France Arnould. By overseeing the organisation and representing it at a political level, she has enabled the Ministries of Defence to come together and share best practices and ideas with their partners and help to develop the institution in the ways that they will benefit the most from. In her words, "Cooperation is no longer a luxury, it is a necessity".

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 19:50
Claude-France Arnould, Chief Executive of the European Defence Agency, with former Chief Executive Nick Witney

Claude-France Arnould, Chief Executive of the European Defence Agency, with former Chief Executive Nick Witney

 

Brussels - 18 December, 2014 European Defence Agency

 

The European Defence Agency (EDA) and the European Security and Defence College (ESDC) held a special joint academic session yesterday at EDA premises to mark the Agency’s 10-year anniversary. The event gathered over 150 participants.

 

We decided to have an academic session because we wanted not only to celebrate, but also to debate about how we see the role EDA and the development of European defence capabilities in the future”, EDA Chief Executive Claude-France Arnould underlined in her opening remarks. This was echoed by Hans-Bernhard Weisserth, Head of ESDC: “Celebrating anniversaries is a great opportunity to look back, but we also need to think about the way ahead”, he stressed.

 

Food for thought

Moderated by Sven Biscop, Director of the Egmont Institute, two panel discussions were held. The first one was dedicated to the geopolitical and economic context of European defence cooperation. “The EDA was founded in an era of extraordinary optimism for EU cooperation”, recalled Nick Witney, Senior Fellow at the European Council for Foreign Relations and former EDA Chief Executive (2004-2007). “But now more than ever, in these times of budget austerity, we need to make the maximum use of the Common Security and Defence Policy”, he added. 

We need a collective approach to crisis management”,
underlined Jamie Shea, NATO Deputy Assistant Secretary General for Emerging Security Challenges. EDA and NATO can really work on synergies thank to the good cooperation we have in place”, he said. Meanwhile, Joylon Howorth from Yale University pointed out that Europe needs a credible and autonomous military deterrent”  if it wants to fully play its role of regional power.

 

Capability development

The second session focused on capability development. Tim Rowntree, OCCAR Director, provided examples of tangible cooperation programs at EU-level and pointed out that the Organisation stood “ready to bring to support the collaborative programs of tomorrow”. Meanwhile, Claude-France Arnould made the case for increased cooperation through the European Defence Agency: “Cooperation through EDA is not a threat to sovereignty”, she stressed, “and the Agency has been specifically designed to allow cooperation from two Member States upwards”. 

Brooks Tigner, Security Europe editor and EU/NATO Affairs Analyst for IHS Jane’s Defence Weekly, suggested that “the upcoming Preparatory Action for CSDP-related research could have a real effect in boosting EU defence capabilities”. 

 

A unique book

The event also gave Claude-France Arnould an opportunity to roll-out the special book published by the Agency to commemorate EDA’s 10-year anniversary. “This is the result of several months of archive research, interviews with key actors from inside and outside the Agency, as well as external contributions from various high-level European defence experts”, she underlined. 

Titled “10 Years of Working Together”, the book is divided into three main sections covering the history of the Agency, its main success stories and independent viewpoints from key government, military and industry leaders. You can discover the digital version of this book by following this link. Chapters dedicated to the history of the Agency are available here and here.

 

More information

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 18:58
Cérémonie de baptême de la 57e promotion de l'Ecole des pupilles de l'air

Cérémonie de baptême de la 57e promotion de l'Ecole des pupilles de l'air

 

18/12/2014 Armée de l'air

 

Samedi 13 décembre 2014, la cérémonie de baptême et de parrainage de la 67e promotion des classes de l’air s’est déroulée au sein de l’École des pupilles de l’air (EPA) de Grenoble.

 

Présidée par le général Antoine Creux, major général de l’armée de l’air et lui-même ancien de l’EPA, cette cérémonie s’est déroulée en présence de familles d’élèves, ainsi que d’anciens pensionnaires de l’EPA, désormais élèves-officiers et officiers de l’École de l’air, de l’École navale, de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr et de l’École polytechnique.

 

Remise d'insigne par le commandant de l'escadron de drones 1/33 "Belfort", unité marraine de la 67e promotion

Remise d'insigne par le commandant de l'escadron de drones 1/33 "Belfort", unité marraine de la 67e promotion

 

Au cours de cette cérémonie, la «classe de l’air 1» s’est vu confier la garde du drapeau de l’école pour une année. Comme le veut la tradition, les nouveaux élèves ont aussi reçu leurs insignes de «poussins» des mains de ceux de la «classe de l’air 2».

 

La 67e promotion de «classe de l’air 1» a ensuite été officiellement parrainée par l’escadron de drones 1/33 «Belfort». Chaque «poussin» a également reçu un insigne de cette unité opérationnelle stationnée, sur la base aérienne 709 de Cognac, engagée notamment dans l’opération Barkhane au Sahel.

 

Chaque année, les nouvelles promotions des «classes de l’air» de l’EPA sont parrainées par une unité opérationnelle prestigieuse.

 

Les cérémonies ont été présidées par le général Creux, major général de l'armée de l'air et ancien pensionnaire de l'école

Les cérémonies ont été présidées par le général Creux, major général de l'armée de l'air et ancien pensionnaire de l'école

L’EPA : le lycée de l’armée de l’air

 

Établissement public placé sous tutelle du ministère de la Défense, l’École des pupilles de l’air de Grenoble accueille plus de 750 élèves, collégiens, lycéens et futurs officiers de l’armée française au sein de classes préparatoires. Plus d’informations sur le site Internet de l’école http://www.ecoledespupillesdelair.fr/

Les élèves de deuxième année ont épinglé l'insigne aux vestes des éléves de première année

Les élèves de deuxième année ont épinglé l'insigne aux vestes des éléves de première année

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 18:55
La DGA réceptionne le sixième A400M Atlas français

 

18/12/2014 DGA

 

La direction générale de l’armement (DGA) a réceptionné le 12 décembre 2014 le sixième exemplaire de série de l’avion de transport militaire A400M Atlas destiné à l’armée de l’air.

 

L’avion devrait rejoindre prochainement Orléans. Cet appareil a été livré dans une configuration identique à celle des trois précédents, livrés au cours de l’été 2014.

 

Avion de transport militaire tactique doté d’une allonge stratégique et à la pointe de la technologie, l’A400M, produit par Airbus Defence and Space, est sans équivalent sur le marché mondial. Equipé de quatre turbopropulseurs, il est conçu pour transporter jusqu’à 37 tonnes de matériel et réaliser l’ensemble des missions liées au transport, notamment les liaisons inter et intra-théâtre, les poser d’assaut sur terrains sommaires, l’aérolargage de personnel et de matériel y compris à très grande hauteur, le ravitaillement en vol ou les évacuations sanitaires.

 

Il s’agit du huitième avion de série livré sur les 170 commandés par les sept pays partenaires du programme : l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, la France, le Luxembourg, le Royaume-Uni, et la Turquie. Cinq ont déjà été livrés à la France, ainsi qu’un à la Turquie et un au Royaume-Uni.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 18:55
Les sous-mariniers au NAUTIC 2014

 

18 Décembre 2014 Source : Marine nationale

 

À l’occasion du salon nautique, la Marine nationale a fait appel aux personnels des différentes forces opérationnelles de la Marine, afin qu’ils puissent présenter leurs missions et leurs métiers au public. Durant les dix jours de salon, dix sous-mariniers ont répondu présents et se sont relayés pour faire connaître les « bateaux noirs ».

 

Une conférence sur les forces sous-marines et les spécificités de la navigation sous-marine était animée 2 fois par jour auprès d’un public nombreux et intéressé. Les échanges avec les visiteurs ont été riches et chaleureux et ont permis, sans aucun doute, de « démystifier » ce métier extraordinaire.

Le vice-amiral d’escadre Louis-Michel Guillaume, commandant les forces sous-marines et la force océanique stratégique était également présent sur le stand de la Marine nationale à l’occasion de l’annonce officielle du programme du grand prix de l’école navale 2015.

La participation à ce salon est une grande réussite pour les sous-mariniers, qui ont pu parler des sous-marins avec la passion qui est la leur.

 

Une opération « PANNEAU OUVERT » à renouveler sans modération

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 18:55
La DGA notifie la réalisation d’une vingtaine de vedettes de liaison

 

18/12/2014 DGA

 

La direction générale de l’armement (DGA) a notifié le 10 décembre 2014 à la société Socarenam un marché pour la réalisation d’une vingtaine de vedettes de liaison (VLI).

 

Ces vedettes seront destinées à des liaisons trans-rades* dans les ports militaires (Brest, Toulon, Cherbourg et outremer). Elles auront une longueur de 16 m, une largeur de 4,50 m, et une capacité d’emport de 36 passagers avec leurs bagages. Elles pourront atteindre la vitesse de 15 nœuds, et posséderont une autonomie de 300 nautiques.

 

La conception des vedettes est assurée par le bureau d’architecture navale Pierre Delion situé à Puteaux. Ces embarcations seront construites dans le nouveau site du chantier, Socarenam Côte d’Opale, à Etaples-sur-Mer. La livraison de dix premières vedettes est prévue pour 2016.

 

*Exemple de liaison trans-rades : Brest – Ile Longue

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 18:50
L'ancien patron de l'armée dénonce "la politique d'extinction de la Défense" (Belgique)

 

18 décembre 2014 RTBF.be (Belga)

 

L'ex-chef de la Défense, le général (en retraite) Charles-Henri Delcour, estime que "la trajectoire budgétaire actuelle conduit à la catastrophe. (...) Si on continue comme ça, la question sera de savoir en quelle année il n'y aura plus d'armée", affirme-t-il, jeudi, dans une interview accordée à La Libre Belgique.

 

Selon lui, la Défense, qui vivra sans investissements pendant cinq ans, "est passée en mode survie". "On reporte à 2019 le douloureux constat que, avec 0,5% du PIB, il sera impossible de procéder aux grands remplacements du matériel devenu vétuste", dit-il. Le ministre de la Défense Steven Vandeput (N-VA) doit présenter au premier semestre 2015 un plan stratégique à dix ans pour la Défense. "J'en ai connu quatre. (...) Aucun n'a atteint ses objectifs", répond l'ex-chef de la Défense. M. Delcour déplore enfin la frilosité du politique à envoyer des militaires au sol. "Le problème, c'est que notre gouvernement se précipite pour envoyer des F­16 et des frégates pour, en réalité, cacher nos manquements dans d'autres domaines et s'excuser devant l'Otan et les Américains de ne pas consacrer suffisamment de moyens à nos dépenses militaires.".

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 18:45
Nigeria : 54 militaires condamnés à mort, pour mutinerie, par une cour martiale

 

 

18/12/2014 Le Point

 

Ces soldats avaient refusé de participer à une opération contre les islamistes de Boko Haram, s'estimant sous-équipés pour cette mission.

 

Une cour martiale nigériane a condamné à mort, mercredi, cinquante-quatre soldats accusés de mutinerie pour avoir refusé de participer à une opération contre les islamistes de Boko Haram dans le nord-est du pays, a indiqué leur avocat. "Ils en ont condamné cinquante-quatre à mort et acquitté cinq", selon l'avocat des droits de l'homme, Femi Falana, à l'annonce du verdict de ce procès qui a commencé le 15 octobre à huis clos. Les journalistes ont été refoulés avant l'énoncé du verdict et les responsables militaires n'étaient pas immédiatement disponibles pour le commenter. Un verdict similaire avait été prononcé en septembre contre douze soldats qui avaient tiré sur leur commandant à Maiduguri, capitale de l'État de Borno (nord-est) où l'armée combat les islamistes.

 

Suite de l’article

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 18:45
Sécurité en Afrique : le Forum de Dakar expose plus de problèmes que de solutions

 

17/12/2014 Jean Guisnel Défense ouverte - Le Point.fr

 

Face aux menaces, les États africains peinent à unir leurs efforts. Paris veut les y aider en mettant la main au portefeuille. Jusqu'à quand ?

 

La France veut bien continuer à voir ses armées se décarcasser pour l'Afrique, sous le coup des graves menaces transnationales que constituent le djihadisme au Sahel et le mouvement terroriste Boko Haram, qui prospère au nord du Nigéria en débordant sur le Cameroun. Mais elle souhaite que les Africains se prennent davantage en main, travaillent davantage entre eux et consacrent davantage de moyens à leur défense. Tel est en substance le message que le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian est venu adresser aux participants du Forum international de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique, qui se terminera le mardi 16 décembre en fin de journée.

À ses yeux, il convient de "faire de la coopération la règle, et non plus l'exception. L'enseignement que nous retirons des opérations Serval et Sangaris, mais aussi de nos engagements dans les missions onusiennes et européennes déployées en Afrique, est simple : une gestion strictement nationale des enjeux de sécurité est désormais une illusion. La menace terroriste n'a pas de frontières. Elle se nourrit justement de leur absence, de leur porosité, et prospère grâce à la fragilité des espaces transfrontaliers."

 

Des solutions extérieures

Du côté africain, le message est passé. Bien que les participants politiques, militaires ou "académiques" au forum soient majoritairement venus de l'Afrique francophone et que l'absence de certains partenaires stratégiques de premier plan - singulièrement l'Algérie et l'Afrique du Sud - ait été remarquée, il est clair que les préoccupations françaises ont trouvé un écho. Sur ce continent où, comme dans le reste du monde, les conflits interétatiques ont le plus souvent cédé la place à des guerres intérieures, les menaces sont protéiformes.

Face aux plaies du terrorisme, des États faillis, des pandémies comme Ebola, ou de la piraterie maritime dans les golfes d'Aden ou de Guinée, entre autres, les Africains sont souvent tentés de se reposer sur des solutions militaires ou autres venues de l'extérieur. Bien sûr, les États font souvent face à des impossibilités budgétaires. Pour autant, l'un des participants africains a souligné dans l'une de ces tables rondes où la parole s'est souvent libérée : "On ne peut pas avoir une volonté politique et compter sur les autres pour la financer !"

 

Trouver des financements

De fait, exemple parmi tant d'autres, la mission de l'Union africaine en Somalie (Amisom) voit tous ses personnels payés par l'Union européenne, et l'intégralité de la logistique financée par l'ONU. Lors d'un débat sur la situation dans le golfe de Guinée, un participant s'indigne de l'absence de moyens consacrés par les États à la lutte contre la piraterie maritime, alors même que les États concernés tirent du pétrole extrait dans cette zone de substantiels revenus. Un amiral africain rétorque : "Nous avons du pétrole, nous avons du poisson, nous avons des ressources. Nous devons pouvoir trouver des financements." Une idée (pas très originale) émerge : faire payer aux entreprises étrangères le prix de cette sécurité. Il faudra qu'une voix s'élève pour rappeler que ces entreprises payent déjà des impôts et des taxes : "Il appartient aux chefs d'État et de gouvernement de donner leurs instructions..." En attendant, la Belgique paye toutes les dépenses du contingent béninois déployé par l'ONU en Côte d'Ivoire. Les États-Unis ont acheminé 250 véhicules de tous types pour la mission de l'Union africaine en Centrafrique. Quant aux Français, il suffit de se souvenir que les opérations extérieures (Opex) leur ont coûté 1,2 milliard d'euros en 2014.

 

Coordination balbutiante

Ce fait a été réaffirmé à longueur de discours à Dakar : la coopération militaire entre des États faisant face à des menaces cohérentes, coordonnées, transnationales est encore balbutiante. Et quand elle se produit, c'est souvent parce que l'aide internationale y est subordonnée. Cela étant, elle avance, comme l'a souligné le ministre de la Défense français. Devant son homologue sénégalais Augustin Tine, il a évoqué l'opération Barkhane qui engage 3 000 soldats français (plus environ un millier de forces spéciales) au Sahel, mais ne serait "pas qu'une opération militaire française. C'est un dispositif régional de contre-terrorisme inédit qui mise sur la coopération avec les cinq États concernés (Mauritanie, Mali, Niger, Burkina Faso et Tchad) et entre ces cinq États. Dans un proche avenir et sous l'effet de Barkhane, les opérations, au Sahel, à deux ou trois États se systématiseront pour mieux contrôler les zones de trafics, les frontières, ou les poches résiduelles d'activité terroriste. Le G5 Sahel, auquel s'associe la France, se renforcera. Les réunions des chefs d'état-major de la zone doivent favoriser cette montée en puissance opérationnelle qui fera le succès de ce dispositif régional."

Mais le chef d'état-major des armées françaises, le général Pierre de Villiers - invité permanent aux réunions du G5 -, brillait à Dakar par son absence. Tandis que les Sénégalais ont fait entendre leur voix s'indignant que leur pays n'y soit pas associé, ayant été "marginalisé, alors qu'il contribue à régler les problèmes dans toute la région".

Logiquement, le Forum de Dakar possède une vocation pérenne. Confirmation dans un an...

 

LIRE aussi notre article "À Dakar, l'Afrique face au défi de sa sécurité"

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 18:30
Liban : les actions civilo-militaires de la FCR soutiennent les familles du Sud-Liban

 

18/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 12 au 13 décembre, l’équipe CIMIC (Civil-military cooperation) de la Force Commander Reserve a mené plusieurs projets afin d’entretenir les liens noués avec la population locale. A la rencontre des enfants libanais, le poste français de 6.41 a accueilli près d’une centaine d’élèves de l’école maronite de Rmeish afin de leur faire découvrir l’environnement d’un camp FINUL isolé et les matériels déployés par les artilleurs du contingent français.

 

Sourire et gaieté ont animé cette journée, permettant aux enfants de profiter de jeux mis en place par les soldats de la FCR tout en pratiquant la langue française.

 

A quelques kilomètres de 6.41, toujours dans l’aire d’opération du Sud Litani, l’équipe CIMIC a donné des caisses « Tulipe » fournies par l’association française « Urgence et solidarité des entreprises du médicament » au profit d’une association d’aide aux familles dans le besoin. A l’occasion d’une aide médicale à la population dispensée par un médecin libanais, les médicaments offerts contenus dans ces caisses vont permettre de soigner plusieurs dizaines d’enfants issus de familles libanaises et syriennes.

 

Ces évènements contribuent au renforcement des liens entre les militaires français et la population, plus particulièrement avec la jeune génération de cette région du Sud du Liban, illustrant une nouvelle fois les relations étroites qui unissent le Liban et la France.

 

Les projets CIMIC ont été menés dans le cadre des opérations civilo-militaires qui viennent compléter les missions de surveillance effectuées dans le cadre de la résolution 1701, adoptée le 14 août 2006 par le conseil de sécurité de l’ONU. La FCR, qui est placée directement sous les ordres du Force Commander, assure régulièrement des missions de coopération au profit de la population de la zone située entre le fleuve Litani au Nord et la Blue lineau Sud.

 

Présente depuis 1978 au Liban, la France est le cinquième contributeur de la FINUL avec près de 900 soldats. La grande majorité d’entre eux arme la FCR qui est directement placée sous les ordres du général commandant le FINUL et qui est en mesure d’agir au profit de tous les contingents déployés sur l’ensemble de la zone d’action de la FINUL, dans le cadre de la résolution 1701.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 17:45
EFG : premier anniversaire de l’opération Sangaris

 

18/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Le 5 décembre 2014, les éléments français au Gabon (EFG) se sont rassemblés sur la place de France du camp de Gaulle afin de commémorer le premier anniversaire de l’opération Sangaris,et l’engagement des EFG en Centrafrique.

 

Présidé par le général Soriano, commandant des EFG (COMELEF Gabon) et premier commandant de l’opération Sangaris, cette cérémonie s’est déroulée en présence de Son Excellence Monsieur Renaux, ambassadeur de France au Gabon. Après la levée des couleurs et la lecture d’un ordre du jour, les autorités ont procédé à un dépôt de gerbe en mémoire des trois militaires morts au combat depuis le lancement de l’opération le 5 décembre 2013.

 

Au lancement de cette opération, les forces prépositionnées au Gabon ont été engagées pour armer le premier mandat et intervenir dans leur zone de responsabilité permanente (ZRP). Environ 400 soldats français du Gabon auront été engagés en Centrafrique, sans compter les centaines d’autres qui, à partir de Libreville ou de Douala au Cameroun, ont participé au soutien de cette opération.

 

En intervenant en urgence, cette opération a permis de mettre fin à un cycle d’exactions et empêché un désastre humanitaire annoncé. Cette intervention a également illustré la pertinence du dispositif prépositionné en Afrique, et des FFG en particulier qui, grâce à leur veille opérationnelle permanente et leur parfaite connaissance du milieu ont permis ce déploiement rapide et la prise en compte immédiate de la mission.

 

Depuis le 1er septembre 2014, les forces françaises au Gabon (FFG) sont devenues « éléments français au Gabon » (EFG), devenant ainsi la deuxième base opérationnelle de coopération sur la façade ouest-africaine avec celle constituée par les éléments français au Sénégal (EFS). Tout en restant un point d’appui opérationnel et logistique, les EFG portent désormais leur effort sur la coopération régionale en accompagnant les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective, contribuant ainsi à la stabilité régionale.

 

Par ailleurs, dans le cadre des accords de partenariats rénovés conclus depuis 2008 avec huit de nos partenaires africains (Centrafrique, Cameroun, Togo, Comores, Côte d’Ivoire, Djibouti, Gabon, Sénégal), les EFG contribuent aux coopérations opérationnelles bilatérales.

EFG : premier anniversaire de l’opération Sangaris
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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 17:45
La FLF Guépratte en exercice interarmées au large de Djibouti

 

18/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Le 12 décembre 2014, à la suite de son appareillage de Djibouti, la frégate légère furtive (FLF) Guépratte engagée dans la Task Force 150 (TF 150), volet maritime de l’opération Enduring Freedom (OEF), a participé à un exercice de récupération de commandos marine et de matériels parachutés en pleine mer, en collaboration avec les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj).

 

Cet exercice complexe et peu habituel appelé TARPON, a mobilisé l’ensemble de l’équipage du Guépratte qui a participé à la réalisation du dispositif nautique mis en œuvre pour la récupération des quinze commandos et des caisses de matériel parachutés par le Transall C160 des forces françaises déployées à Djibouti (FFDJ). La préparation minutieuse de l’exercice et l’excellente coordination entre le Guépratte, les embarcations rapides qui ont effectué la récupération en mer et le Transall ont contribué à la réussite de cet exercice.

 

Ce TARPON a permis de mesurer la réactivité et l’excellent professionnalisme des différentes équipes du bord, qui, après cet entraînement, sont qualifiées pour conduire ce type de récupération. Cette méthode de projection peut par exemple être utilisée en cas de prise d’otage, dans le cadre des opérations de contre-terrorisme maritime

 

Le Guépratte a ensuite repris sa route et rejoint la TF 150 qu’elle a intégrée le 5 décembre dernier. Au sein de l’opération Enduring Freedom, la TF150 a pour mission principale le combat contre les trafics illicites en Mer Rouge, dans le golfe d’Aden, en océan Indien et autour de la corne de l’Afrique. Ces trafics, qui financent le terrorisme mondial, sont en effet source d’instabilité dans ces régions traversées par les plus importantes routes commerciales au monde. La présence du Guépratte permettra également la collecte de renseignements, afin d’améliorer sa connaissance des différentes activités dans ces zones sensibles, tout en promouvant la coopération régionale avec les forces des Etats riverains.

La FLF Guépratte en exercice interarmées au large de DjiboutiLa FLF Guépratte en exercice interarmées au large de Djibouti
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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 17:35
Combat boat with missile (image : Militaryphotos)

Combat boat with missile (image : Militaryphotos)

 

18.12.2014 Defense Studies


MANILA (PNA) -- In a bid to improve its territorial sea interdiction capabilities, the Philippine Navy (PN) announced that it will be acquiring missile-armed MPACs (multi-purpose assault craft) to beef up its patrol force.

This was announced by PN vice commander Rear Admiral Caesar C. Taccad during Tuesday's briefing on modernization.

"It will be armed with stabilized weapon system with fire control complemented with a short to medium range missile system," he added.

The MPACs will be designed for territorial sea interdiction operations with maritime situational awareness and limited credible deterrence in the protection of the country's interest at the West Philippine Sea, Taccad stated

"And it may also be used for internal security operations and humanitarian assistance disaster response operations," he stressed.

The Department of National Defense (DND) earlier announced that it is allocating Php270 million to acquire three missile-armed MPACs.

The money will be sourced from the AFP Modernization Act Trust Fund of 2000.

The contract includes mission essential equipment.

Mission essential equipment includes day/night electronic navigation systems, communication suites, safety-of-life-at-sea, propulsion system and seamanship and ship-handling gears.

The PN currently operates a force of six MPACs.

Three of the PN's MPACs are sourced from Taiwan while the remaining three were ordered from Filipino shipbuilder Propmech Corporation, which is based in Subic Bay, Zambales.

These ships are 16.5 meters long, 4.76 meters wide and has a draft of one meter and a top speed of 45 knots.

Each one costs around Php90 million. It has a range 300 nautical miles. The hull is made of high-quality aluminum and is crewed by one officer and four enlisted personnel. It is capable of carrying 16 fully-equipped troopers or two tons of cargo.

The MPAC is capable of operating in territorial waters up to "Sea State 3" (slight waves) without any system degradation. It is armed with one .50 caliber and two 7.62mm machine guns. 

(PNA)

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 16:55
photo D2IE

photo D2IE

 

18/12/2014  Par Christophe Cornevin – LeFigaro.fr

 

INFO LE FIGARO - Un rapport choc de la délégation parlementaire au renseignement, dont Le Figaro  révèle le contenu, met en lumière les redoutables méthodes de nos «amis » américains.

 

Vol d'ordinateur dans des chambres d'hôtel, disparition de brevets dans le Thalys entre Paris et Bruxelles, pénétration d'agents à l'occasion d'une visite, piratage de technologies… Alors qu'une crise endémique tenaille le pays et réveille les appétits les plus féroces, des fleurons de l'économie française font l'objet d'un pillage vertigineux. Animé par un cynique théâtre d'ombres que ne renierait guère John le Carré, il prendrait même depuis vingt ans une forme industrielle. Cet édifiant état des lieux émane d'un rapport choc de la délégation parlementaire au renseignement, composée de parlementaires tous habilités au «secret-défense» et emmenés par le président de la commission des lois à l'Assemblée, le député (PS) Jean-Jacques Urvoas, qui vient d'effectuer une plongée au cœur des services de renseignements et de la sécurité nationale. Ce document de 175 pages, porté à la connaissance du Figaro, pointe une «plurivoracité de la prédation économique» liée à une «technicisation de l'espionnage» mais aussi l'«utilisation croissante du vecteur Internet».

Ainsi, l'année dernière, la seule Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a recensé des «cas d'ingérence», notamment dans le domaine de «la recherche fondamentale, où la culture de la protection est particulièrement faible, mais également dans l'aéronautique et la santé». Dès septembre 2011, les policiers spécialisés de la sous-direction de la protection du patrimoine économique, basée à Levallois-Perret, avaient révélé dans nos colonnes l'existence de près de 5 000 «cas» en quatre ans. Durant cette période, 3 189 entreprises ont été visées. À ce petit jeu, une cohorte de prédateurs occultes pilotée en sous-main par des agences étatiques ou des multinationales s'attaquait à la grande entreprise comme à la plus petite «pépite».

À ce titre, rappelle le rapport de la DPR [délégation parlementaire au renseignement - Assemblée Nationale / Sénat ] , «nos principaux partenaires peuvent aussi être nos meilleurs adversaires dans le domaine économique». Sans les citer, les spectres de grandes puissances comme la Chine ou la Russie se profilent entre les lignes. En février dernier, le groupe Safran a été contraint d'épaissir sa cuirasse après des cyberattaques des sites d'une de ses filiales, le motoriste Snecma. «D'une ampleur limitée» et vite décelée, l'intrusion d'origine indéterminée avait conduit les services de sécurité à neutraliser puis retirer une dizaine d'ordinateurs du réseau de l'entreprise. L'Île-de-France, où 144 cas d'ingérence ont été mis au jour en 2013, concentre près de 20 % des attaques. Les secteurs les plus ciblés étant l'aéronautique, l'énergie nucléaire, les télécommunications, l'aérospatiale, la robotique et les machines-outils.

 

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 16:45
Barkhane : point de situation du 18 décembre 2014

 

18/12/2014 Sources : État-major des armées  

 

Point de situation sur les opérations de la force Barkhane, engagée dans la bande sahélo-saharienne (BSS), du 11 au 18 décembre 2014.

 

Cette semaine, la force Barkhane a conduit plusieurs opérations au Nord Mali, avec une combinaison d’actions terrestres, aériennes et héliportées destinées à reconnaître des points d’intérêt et fouiller des caches possibles.

 

Ces opérations ont engagé des unités du groupement tactique désert Ouest, des hélicoptères de manœuvre et des moyens d’appui aérien et ISR au Nord de Bourem, à environ 180km au Nord de Gao.

 

Elles ont permis la découverte de nombreuses caches abritant un important stock d’armement, de munitions par milliers, d’outillage logistique et d’explosifs, ainsi que différents ateliers de fabrication d’IED.

 

Cette opération s’inscrit dans la continuité des précédentes actions de la force Barkhane, qui alterne en permanence opérations planifiées, d’opportunité et transfrontalières, avec parallèlement des actions dans la troisième dimension, qu’il s’agisse de frappes ou de renseignement.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : point de situation du 18 décembre 2014Barkhane : point de situation du 18 décembre 2014
Barkhane : point de situation du 18 décembre 2014Barkhane : point de situation du 18 décembre 2014
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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 16:45
Sangaris : point de situation du 18 décembre 2014

 

 

18/12/2014 Sources : État-major des armées

 

Point de situation sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République centrafricaine, du 11 au 18 décembre 2014.

 

En République centrafricaine, la situation est restée calme cette semaine malgré les échéances importantes à venir comme le forum politique et de réconciliation nationale qui devrait se tenir en début d’année dans la capitale.

 

A Bangui, une accalmie sécuritaire semble se dessiner avec l’affirmation de signaux plutôt vertueux, comme la tenue d’une conférence des maires de Centrafrique, la signature d’un partenariat entre le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et le gouvernement de transition, ou encore le lancement par le gouvernement de transition et la MINUSCA d’un processus de sélection et de réintégration des ex-FACA. Les patrouilles menées par la force Sangaris aux côtés de la MINUSCA, des forces de sécurité intérieures et de l’EUFOR RCA, révèlent une grande activité dans la ville et ses alentours : les marchés sont pleins, bien achalandés, et se déploient de plus en plus dans les quartiers qui étaient jusqu’à présent évités.

 

A l’Est, la situation reste marquée par les tensions entre les différents courants de l’ex-séléka. Pour autant, des signes encourageants sont là encore perceptibles, comme la tenue à Bambari d’une réunion rassemblant des représentants des anti-balakas, des ex-sélékas et les autorités locales, en présence de représentants de la MINUSCA et de la force Sangaris, ou encore la présentation le 9 décembre d’un groupe armé signifiant sa volonté de retrouver une vie normale et de cesser ses activités de brigandage.

Au bilan, la situation dans le pays est donc bien marquée par une accalmie, bien qu’elle demeure fragile : des poches de violence résiduelles sont toujours présentes dans la capitale, et l’Est est toujours le théâtre d’une logique de gains territoriaux visant certainement à peser sur le prochain forum politique et de réconciliation nationale.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 8 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Sangaris : point de situation du 18 décembre 2014
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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 13:55
Barracuda class nuclear-powered attack submarine (SSN) - French Navy

 

13.12.2014 by navyrecognition.com

 

Between 2017 and 2027, Barracuda-type SSNs will replace Marine Nationale (French Navy's) current-generation Rubis/Améthyste-class SSNs. The Barracuda program represents a vital contribution to the renewal of France’s naval forces. The Barracuda submarine (Suffren class) was designed to be quieter than the current Rubis class SSN, even at higher speeds, with increased underwater detection capabilities and a larger weapons payload.

 

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 13:55
Objectifs 2015 pour les paras français et britanniques

 

18/12/2014 Armée de Terre

 

Les 1er et 2 décembre, dans la ville anglaise de Colchester, le général Salaün, commandant la 11e brigade parachutiste (11eBP), et son homologue britannique le général Borton, commandant la 16e Air Assault Brigade (16 AAB), ont clôturé le séminaire annuel des deux brigades.

 

À cette occasion, ils ont dressé le bilan et les enseignements de l’année écoulée et surtout signé la feuille de route 2015 de l’Interim Combined Joint ExpeditionaryForce (I-CJEF). Celle-ci permet de fixer les objectifs d’entraînement commun et les axes d’approfondissement en termes d’interopérabilité franco-britannique.

 

Fruit d’une volonté politique commune, cette force est directement déclinée des décisions du traité de Lancaster House. Elle  vise à mettre sur pied, à partir des deux brigades aéroportées aptes à l’intervention d’urgence, une force d’intervention rapide placée sous commandement d’une des deux nations et au sein de laquelle chaque pays fournit un bataillon d’infanterie aéroportée ainsi que des éléments d’appui et de soutien.

 

Pour ce faire, la 11e BP et la 16 X sont binômées et s’entraînent régulièrement ensemble depuis 2013. Cette année, les deux brigades ont participé à plusieurs exercices binationaux en France et en Grande-Bretagne. L’exercice TEARS OF THE SUN 2, en juin 2014, dans les régions de Toulouse-Caylus-La Courtine avait notamment rassemblé 1 800 militaires dont 500 soldats britanniques ainsi que les avions de transport tactique et les hélicoptères de manœuvre associés.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 13:55
photo ACMAT

photo ACMAT

 

18.12.2014 Defesa Global

 

Volvo Group Governmental Sales (VGGS) comprising Renault Trucks Defense, ACMAT Defense,Panhard Defense, Volvo Defense and Mack Defense, announced the 1000th ALTV (Light Tactical Vehicle) lightweight multi-purpose tactical vehicle rolled off the production line.

The ALTV vehicle produced by ACMAT Defense has been sold to more than twenty countries since 2009. The 1000th unit is to be delivered before the end of the year.

The ALTV comes in single and double cabin pick-up, torpedo, command car, checkpoint and station wagon versions, and can adapt to a variety of missions including troop transport, border surveillance, reconnaissance, patrol, ambulance duties, firefighting, vehicle recovery, cargo transport, armored car role, etc.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 13:50
1914-2014: 100 years of Military Communications

 

18 déc. 2014 Thales

 

For over a century, Thales has been involved in many military radio communications milestones. Today, with more than 800,000 radio sets on the field, Thales continues to drive innovation in defence communications around the world.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 13:50
Exercice Brittany : Une relation canon

 

18/12/2014 Armée de Terre

 

Pendant près d’un mois, les Bigors du 3e régiment d'artillerie de marine stationné à Canjuers ont reçu leurs homologues britanniques du 1st régiment of Royal Horse Artillery.

 

Durant cet exercice nommé Brittany, les artilleurs français ont formé les soldats britanniques à l’utilisation du canon Caesar de 155 mm pour une expérimentation tactique. Après plusieurs jours d'instruction théorique, la section du 1stRHA a été intégrée à la 3ebatterie du 3eRAMa. À sa disposition, deux Caesar, avec lesquels elle a effectué un service en campagne avec tir.

 

L'expérimentation tactique du Caesar par les artilleurs britanniques tend à renforcer l'interopérabilité entre nos deux armées de Terre et en particulier entre les deux régiments. Ces échanges riches ont permis de créer des liens forts, essentiels pour instaurer une confiance de fer durant les opérations.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 13:20
US Navy’s interactive software to keep submarines on safe track

 

18 December 2014 naval-technology.com

 

The US Navy's new interactive software is set for installation onboard the guided-missile cruiser USS Mobile Bay (CG 53) this month, aimed at dramatically trimming down the time consumed in planning safe submarine missions.

 

Developed as part of the Capable Manpower Future Naval Capability programme, the US Office of Naval Research (ONR)-sponsored technology aims to strengthen the process of identifying the finest routes around risks in waterways globally.

 

ONR Warfighter Performance Department programme officer William Krebs said: "Our goal is for sailors to be able to carry out a mission effectively and safely.

 

"This system merges a variety of crucial data so planners can integrate information ahead of time and the command team can focus on the critical operations at hand."

 

ONR's Mission Planning Application technology, through partial automation and use of apps and widgets, will be able to rapidly check thousands of chart markings, while indicating potential hazards and creating optimal routes around rocks, reefs and other shallow spots.

 

The tool also synchronises navigation route maps and generates a visual combination of 'what, when, where, why and how' for every operation.

 

Integration of new technology on the Mobile Bay vessel will enable researchers to filter mission planning technology for the surface ship community.

 

Other members involved in the development of the new technology include Naval Research Laboratory, Naval Oceanographic Office, Space and Naval Warfare Systems Center Pacific, Program Executive Office Integrated Warfare Systems, US submarine force and Royal Australian Navy.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 12:55
Mers et océans : les grands enjeux


16 Décembre 2014 Marine nationale

 

Le fait maritime n’est plus à démontrer. Politiques, économistes, militaires et stratèges, tous sont désormais tombés d’accord : le Monde est en voie de maritimisation. Les mers et les océans sont d’ailleurs le théâtre d’une intense compétition entre États, qui se renforcera à l’avenir, au rang desquels les marines militaires jouent un rôle toujours plus croissant. Autour d’une armada de spécialistes, aux profils les plus divers, dont le CV Laurent de Jerphanion, Frédéric Cuvillier, Jean-Luc Mélenchon ou encore Isabelle Autissier, cette revue pose les bases du débat et s’interroge sur ces espaces de compétitions et d’opportunités. Réchauffement de l’Arctique, énergies renouvelables ultramarines, hydrocarbures offshore, stocks halieutiques inexploités… Les opportunités offertes sont nombreuses, et désormais stimulées par la raréfaction des ressources terrestres. Autant de réflexions de stratèges pour nourrir sa réflexion sur les mers et les océans que l’on croît toujours connaître et maîtriser.

 

La Revue internationale et stratégique N°95. Le dossier  Mers et océans, espaces de compétitions et d’opportunités sous la direction de Bastien Alex et Didier Billion. 198 pages - 20 €. Disponible en librairie.

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